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Rue des Maraudeurs.

Peannuts
Peannuts avait quitter le bureau de Kate au cadastre faché car personne n'avait fait attention à elle. Elle parcoura les rues de Dole et arriva chez emma avec un peu de retard pour venir chercher son morceau de gâteau. Elle toqua à la porte et attendit que celle-ci vienne lui ouvrir.

EMMA!!!!!! C'est moi Peannuts! T'es la?
Emma.
Entendant un bruit a la porte, perdue dans mes malles, je souris contente de savoir quelqu'un me rendant visite et me sortant de tout mon travail, un oeil a ma fille endormie dans son berceau je me dirige vers la porte et l'ouvre doucement.

Oh bonjour Peannuts, viens entre donc, le froid commence a se ressentir et tu vas attraper le mal.

Je souris et dépose un doux baiser sur sa joue, la faisant entrer dans la demeure bien chauffée bien que surchargée de malle en tout genre.

Le gâteau est la sur la table, sers toi autant que tu veux, il est tout a toi.


Dis-je en lui montrant le gros gâteau trônant au milieu de la table.

Il y'a aussi du lait chaud, dans le pichet et un gobelet avec du miel et une petite surprise mais cela tu l'as verras après que tu as mangé.

Je lui souris encore, puis la faisant assoir, je m'assois face a elle, une tisane bien chaude entre mes mains, la regardant avec douceur

Alors raconte moi ta vie ici, tout se passe bien?

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Peannuts
Peannuts sourit quand Emma lui ouvrit la porte.

B'jour Emma!!! Je suis venue te voir comme convenue.

Et elle entra dans la demeure bien chaude et sourit.

Fait chaud chez toi!

Citation:
Le gâteau est la sur la table, serre toi autant que tu veux, il est tout a toi.


SEs yeux gourmant brillèrent de plaisir. Elle tourna la tête vers la table et commença à saliver devant ce magnifique gâteau jutse pour elle.

Juste pour moi toute seule? T'es sûre? T'en veux pas un morceau? Parce que si je le mange toute seule je risque d'être malade moi...

Elle s'assied à table et ce pris une part de gâteau non sans s'être débarassé de sa veste chaude et de son écharpe pour être mieux. Elle regarda tout autour d'elle ensuite pour voir le bébé qu'elle avait entre aperçu en taverne mais ne vit que des malles....

Tu t'en vas ou? Pourquoi y a toute les malles? Tu veux déjà nous quitter? Tu m'aime plus? Est ce que je peux avoir un peu de lait chaud stp aussi? J'ai un peu soif.

Sa colère était passé à présent par la présence de Emma et surtout du délicieux gâteau dans lequel elle croqua une bonne bouchée.
Emma.
Je la regarde avec tendresse, de la tendresse j'en ai toujours eu pour elle même a l'époque ou elle était une enfant défiante de tout, je la regarde s'emparer d'un morceau de gâteau avec gourmandise, tout en l'écoutant.

Citation:
Juste pour moi toute seule? T'es sûre? T'en veux pas un morceau? Parce que si je le mange toute seule je risque d'être malade moi...


Si tu le souhaites je prendrais une part, bien que je suis déjà repu d'un bon repas, mais je ferais un écart car il me semble que je sois tout aussi gourmande que toi.

Suivant son regard qui parcourt la pièce, je pu apercevoir dans celui ci une ombre de questionnement ainsi qu'un soupçon de colère, et l'entendis reprendre une flopée de question.


Citation:
Tu t'en vas ou? Pourquoi y a toute les malles? Tu veux déjà nous quitter? Tu m'aime plus? Est ce que je peux avoir un peu de lait chaud stp aussi? J'ai un peu soif.


Je repris dans un sourire

Je pars m'installer en Languedoc, la ou il y a du soleil et une nouvelle vie qui m'y attends, cela n'est pas une question que je ne t'aime plus car tu resteras toujours une personne que j'aimerais toujours, tu es une jeune fille tellement adorable que l'on ne peut que s'attacher a toi.

Et venant a sa dernière question je lui servit un bol de lait chaud avec une pointe de miel.

Tiens ton lait avec une touche de miel.

Mais dis moi j'ai pu voir dans ton regard une once de colère, quelque chose te tracasse?

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Peannuts
Il est vrai qu'elle était un peu en colère et deçu. Elle aimait bien Emma et ne voulait pas qu'elle parte loin d'elle.

Elle mangea une bouché du délicieux gâteau et soupira. Emma lui apporta le lait chaud demander et elle la remercia la bouche pleine.

Michii..... C'est loin ou tu vas? Combien de jour de poney? Elle osa poser une dernière question qui la chagrinait. Tu pars quand?

La petite ne savait plus quoi penser et commençait à ne plus avoir faim car une boule commençait a ce former dans son ventre.

Citation:
Mais dis moi j'ai pu voir dans ton regard une once de colère, quelque chose te tracasse?


Elle déposa sa part de gâteau et ce leva et alla faire un câlin à Emma et resta coller un peu contre elle en répondant à la question.

Lilithe, mon amie, elle est partie aussi et ne me donne plus de nouvelle. Je sais même pas ou elle est! Et maintenant c'est toi qui part.... Je te verrai plus toi non plus. Tout le monde m'abandonne!!!! Tu pensera plus à moi toi non plus!!!

Elle alla s'asseoir sur sa chaise et pour ce donner une contenant et le temps à ses émotions de redescendre un peu, elle prit le verre de lait entre ses petite main et le goutta.

Je pourrais venir te voir dans ta nouvelle maison si papa et Kate y veulent et si c'est pas trop loin?
Maecenas
Après sa sortie du monastère dans lequel il a séjournée pendant un peu plus de deux mois, Maecenas se résolut de brosser un tour dans la rue Maraudeur plus précisément du côté où réside Emma. En fait, cela faisait un sacré moment qu'il était sans nouvelle de son amie.

Il arriva donc chez elle dans l'espère d'avoir de ses nouvelles. Mais c'était surtout la revoir qu'il espérait par dessus tout.

Arrivé devant la porte, il se mit à cogner. Il le faisait dans un rythme régulier qui ne traduisait pas de l'impatience mais de l'espoir.

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Sol lucet omnibus
Clarrissia
Au petit matin du 28 mars, un ciel chargé d'amertume et de fientes surplombe Dole. Féline dite Clarrissia s'avance près de la maison de sa maman...sa maman adoptive, la soeur de sa mère biologique Anna.

Elle a juste seize ans Clarri, mais déjà repue, fanée, poignardée plein coeur par la vie qui ne lui a pas fait de cadeaux, comme tant d'autres. Elle pense à Line, à Emma, à Wilfred...à plein d'autres encore dont le souvenir fugace rejaillit par volutes dans sa mémoire...ah qu'elle les aimait ceux-là...elle s'avance avec sa fille dans ses bras à la recherche d'un dernier espoir, d'un baiser maternel en somme...Emma lui avit dit qu'elle pourrait venir vivre avec elle.
Des larmes ruissellent sur sa pauvre gueule ravagée par le désespoir. Sa poitrine est serrée, les mots coincés au fond de sa gorge ; ça souffre trop dans son petit coeur malade. Il lui semble qu'elle n'existe plus ; plus la force de vouloir quoi que ce soit, même marcher.

Jamais elle ne s'est sentie aussi seule, aussi abandonnée.

Elle a un grand coup de moins bien Féline. La vie lui est devenue insupportable, elle atteint le bout de la nuit ; son destin semblait s'inscrire avec celui de sa mère finalement, restait qu'Emma...Line peut-être...Wil pourquoi pas...c'était donc le coeur chargé d'espérances qu'elle se présenta devant la grille de sa "mère".
Elle pense trop la petite mésange qui aimait tant la vie il fut un temps...une éternité...et Stan qu'elle n'avait pas revu depuis ces sinistres jours ayant suivi la mort de...

Alors elle pense...


" Je sais bien que toutes les fins d'Homme sont dégueulasses, qu'il n'y en a pas d'euphoriques. Mourir c'est pas engageant, même pour les grands mystiques qui comptent ferme comme mon cul sur le paradis solaire. Et pourtant tout le monde a cessé, cesse ou cessera. la vie c'est juste un fil pour histoire qui rime à rien. On devrait sentir ça dans sa chair et dans son esprit. Mais que dalle ! On conserve le bandeau des archers sur les yeux pour ne pas voir le peloton d'exécution. On espère pas, non, on ne va pas jusque là ; simplement on occulte, on chasse de ses perspectives la culbute inexorable. On la remet à plus tard, à jamais.

C'est ça vivre. C'est oublier sa fin.

Ce que j'ai pas lu je l'ai deviné, ce que je n'ai pas deviné je l'ai imaginé et ce que je n'ai pas imaginé je l'ai rêvé. Toujours par moi-même. Les autres ne t'apprennent jamais qu'eux. C'est pas suffisant pour s'accomplir. Si tu ne te finis pas tu restes en rade.
J'ai le flou artistique qui m'enveloppe. Je me languissais de Stan, d'Emma, de Line... comme ils me manquent...
La vie elle est cruelle et sans pitié. Quand j'étais petite fille je rêvais d'un animal qui ne bédolerait jamais. On m'a proposé un reptile...bah...j'ai trouvé l'Homme en guise de reptile. Salaud !

Bah, je pourrais me dire que rien n'est figé, que demain peut-être le soleil se lèvera et alors le ciel sera bleu...peut-être ! Mais il ne faut jamais oublier qu'il y a toujours un côté du mur à l'ombre...maman...je t'en prie, ne me rejette pas."


Elle regarde son bébé avec un sourire attendrissant. Le bébé de la honte et de l'horreur...mais comme disait Emma, " elle n'a rien demandé cette petite...tu n'as pas le droit de la rejeter."

Non, elle n'avait pas le droit. Et c'est sans doute pour cela que Stan refusait de la voir sans doute...enfin c'est ce qu'elle pensait.


"Le principal de ma p...de vie c'est qu'elle fut un effroyable gâchis. Je n'ai jamais compassé, mais fais fi de toute routine, haï l'auto-satisfaction, m'insurgeais contre la soumission, mortifiais les imbéciles, détractais le faux-cuage, n'empruntais jamais aux riches, prêtais parfois aux pauvres, bouffais les culs inodores, aimais à faire des cadeaux, aurais bien aimé en recevoir, vivais en état d'ébriété, demandais beaucoup à la vie et lui en donnais davantage encore, tolérais énormément, réprouvais parfois, mouarf - aurais plus gagné à être méconnue - et connaissais suffisamment de saletés sur les autres pour pouvoir me faire une idée approximative de moi-même, me comportais plus souvent qu'à mon tour en fille siphonnée..et puis je l'aimais à en crever Stan...oh maman...par pitié...ne me rejette pas."

Elle prend une longue inspiration...agrippe la chaînette de la cloche et sonne.

- Advienne que pourra...
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Emma.
Elle avait dès l'aube traverser les rues de Dole, Dole le quartier des Nobles, belles demeures et devantures, Dole qui l'a faisait doucement sourire, elle était Dame mais dans son cœur était restée juste Emma, jeune demoiselle d'apparence fragile, mais à l’intérieur bien plus fort et munie d'une multitude de ressources.


Elle marchait de son pas décidé, elle souriait aux oiseaux qui chantaient déjà les louanges du printemps renaissants, elle souriait à la vie et à la pensée de ses petites princesses.


Une lueur dans ses yeux , une inquiétude soudaine, Clarrissia... sa petite fée semblait perdre toute sa lumière, sa joie, elle craignait la Brune de vivre le même cauchemar qu'avec sa chère sœur, son adorée Anna.


Anna.. ma tendre.. protège ta fille de la ou tu es...



Ce souffle avait traversé ces lèvres, comme une supplique au ciel si bleu..


Elle avait enfin passé les belles rues et la voilà Rue des Maraudeurs, tant de souvenirs, de rires, chaque moment d'avant lui revenait par vagues..


Enfin elle aperçut sa maison a côté de celle d'Anna, pincement au cœur, trouble dans les yeux, un long soupir s'ensuivit, elle se devait de garder son sang froid.


Un cliquetis, une porte qui grince et là voilà enfin chez elle, enfin maintenant chez eux, elle éternue sous la flopée de poussière qui s'en échappa, elle jeta un regard circulaire à la maisonnée, puis retroussant ses manches, elle fit un grand ménage, retournant coussin, literie, délogeant la poussière de chaque recoins, quelques heures après tout fut enfin prêt, et le feu crépité dans chaque cheminée.


Un son de clochette retint son attention, sa fille probablement, elle fila à la porte, et son minois s'illumina en voyant sa fleur de vie devant elle.



Ma chérie!!!! entre voyons tu es chez toi ici..



Prenant sa petite fée elle l'emmena a l'intérieur,


Tout est prêt ma fée, ainsi que ta chambre et la chambre de ma petite fille a côté de la tienne.

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Clarrissia
Et soudain, la beauté pure. Emma...sa maman...toujours aussi belle, aussi féline, aussi gracile avec des yeux qui pétillaient de vie et d'espoir...

- Maman...te dire je t'aime te vas si bien...

Elle posa le petit panier d'osier où reposait Emmeline sa fille, puis se jeta dans ses bras.

- Oh maman, que je suis heureuse de te retrouver. Ne me quitte plus jamais maman...plus jamais t'entends ?

Elle avait quoi Emma...quelques années de plus, mais quel joli cadeau. Le noir de jais de ses cheveux avait remplacé le blond des blés, lui donnant un air encore plus charmeur et irrésistible. Merci mon Dieu pensa-t-elle pour ce magnifique présent. Les yeux les plus myosotis du monde ! Avec à l'intérieur cette infinie langueur qui faisait qu'on ne pouvait que l'aimer.
Des lèvres charnues et sensuelles, d'un beau rouge franc, les pommettes admirablement formées et sans une ride...même si elle se doutait bien la mésange que les rides de sa maman étaient à l'intérieur.

Et cette élégance dans la voix et dans la démarche...cette élégance qui faisait que l'on ressemblait à une princesse ou à une tenancière de bordel...cette élégance qui devait donner l'envie à certains sires de démolir leurs barrières pour foutre le camp avec elle...

Clarri l'écoutait sans se lasser car Emma rendait plus belle une vie qu'elle installait au-dessus d'elle-même. C'était une princesse mélancolique et rêveuse qui décrochait des étoiles dans le ciel pour éclairer sa vie...leur vie désormais.
Courageuse, non seulement dans les combats mais aussi dans l'existence qu'elle affrontait sans plier...et elle restait toujours aussi belle...

Elle revint quelques instants sur terre et absorba les paroles de sa mère...

Citation:

Tout est prêt ma fée, ainsi que ta chambre et la chambre de ma petite fille a côté de la tienne.


Reprenant le panier d'osier d'une main, elle prit le bras d'Emma de l'autre, ne cessant de la regarder et de l'admirer en souriant.

- Oui entrons maman...au fait...comment va Dame Line ?...tu es belle maman tu sais...
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Emma.
Elle regardait sa blondinette, son regard était empli d'amour pour cette petite fée, qui donnait à sa vie une saveur tout aussi différente..


Un sourire éclaira son minois, Clarri..sa fille, sa fierté, une beauté pure et insolente, elle éclairait d'un sourire tout alentour, et réchauffer le cœur de sa mère dans ses moments de désespoirs.. Clarri ce petit bout de femme qui prend encore parfois allure d'enfant en ayant vécut tant de choses...


Elle est sa fille, son double, elle est son amour au féminin comme sa mère l'était, elle pourrait donner sa vie pour elle, elle se sacrifierais même si il le fallait...


Elle posa une main sur son ventre, revenant à la réalité brutalement, une grimace, une douleur vive et intense, elle se courba, dans un souffle..



Clarri... le bébé..Wil...

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Peannuts
Peannuts passa part la pour faire sa rondes de garde et vit de la lumière dans la maison. Il n'était pas supposer avoir personne dans la maison car cet maison lui appartenait. Emma lui avait donner avant de quitter la ville et elle avait la clef dans son coffret bien caché à la maison.

La surprise passé, elle fronça les sourcils. Peut être que quelqu,un avait trouvé sa cachette et lui avait volé sa clef.... Elle s'avança doucement vers la porte armé de sont bouclier et de son baton. Elle prendrait a mal ceux qui avait osé pénétrer dans SA maison.

Sournoisement, elle ce glissa pret de la porte et respira un grand coup. Sont coeur battait la chamade dans sa poitrine et le sang fillait a vive allure dans ses veines. L'adrénaline montait peu à peu et ses senses en était décuplé. De sa main, elle tourna la poigné très doucement et nu aucune résistance de ca part. Elle tendis l'oreille et entendit des voix à l'intérieur. QUELQU'UN avait bien volé SA clef!
Elle assura son bouclier et son baton et entra en trombe dans la pièce en criant une espèce de cris de guerre prête à frapper qui compte ce trouvant sur son chemin.

WWWWOUUUUUUUUUUAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHRRRRRRRRRR!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Elle ouvrit grand les yeux et eu du mal à retenir son coup de baton qui frappa de justesse sur le plancher juste au côté d'Emma. Peannuts ce figea sur place la bouche ouverte et regarda les deux femmes tout aussi surprise qu'elle et qui ne bougait pas de surprise et de peur.

EMMA!!!!!!! Tu es la!!! Tu es revenue!

Elle sauta de joie et alla faire un gros calin à celle-ci qu'elle bouscula un peu avec tout son atiraille de garde. Emma reçu un léger coup de baton sur la tête quand elle la prit dans ses bras et avec son bouclier elle bouscula un peu l'autre personne.

Tu aurais put me dire que tu était revenue me volé ma clef quand même.

Elle prit un mini air faché et tappa un peu du pied pour faire sont effet.
Emma.
Elle sursauta la Brune en entendant un bruit a ses cotés, un coup sur la tête douleur supplémentaire à celle qu'elle avait dans le ventre, petits pieds voulaient sortir et il lui faisait comprendre, mais un sourire apparut en voyant Peannuts devant elle...



Peannutsss!!!! Oh quel Joie de te revoir!!!!




Une grosse bise pour cette petite demoiselle qu'elle appréciait de beaucoup, et reprenant la main de sa fille elle la serra dans la sienne.


Citation:
Tu aurais put me dire que tu était revenue me volé ma clef quand même.



Elle rit la Brune doucement car les douleurs revenaient chaque fois un peu plus..


Peannuts, je suis pas venue te voler la clé j'en avait le double, et ne t'en fais pas je te la rend bientôt.



Un regard coulant vers sa fée à ses côtés..


Je te présente ma fierté Clarrissia, ma douceur, ma fille!!!! Nous allons emménager à Chateau-Chalon d'ici quelques jours la famille s'agrandit, et avec tout ce remue-ménage dans ma vie, j'ai pas eu le temps de parler de certaines choses avec ma fille..
*soupire* je deviens vraiment vieille...


Prenant appuis sur sa fille elle s'assoit, elle sent bien qu'elle va finir par accoucher la sans la présence de son médecin personnel..


Clarri voici Peannuts, une jeune demoiselle qui à beaucoup aidée ta mère quand je me suis retrouvée à Dole, en cadeau de sa douceur je lui ai offert les clés de chez moi, mais je garde toujours la maison de ta mère pour en faire une petite surprise que tu découvriras bientôt..


Lançant un regard à sa fille, elle lui sourit sa tendresse de mère, elle adorait tant sa fille, puis regardant Peannuts elle reprit.


Alors dis moi Peannuts que deviens tu ? Je vois que tu es bien équipée..



Une grimace plus forte que les autres..


Je vais vraiment accoucher!!!!

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Peannuts
Salut!!!!!! elle envoya un salut de la main mais s'inquiéta d'emma qui ce plia un peu plus en deux

Mais qu'est e que tu as? Tu vas accoucher??? Y faut pas rester debout hein??? y risque de ce cogner la tete en sortant sur le placher. Assiez toi la!!!

Peannuts était un peu désorienter et ne savait vraiment pas quoi faire dans un cas pareil. C'était la première fois qu'elle ce trouvait dans un cas pareil. Dans son affollement, elle ne pensa pas non plus à Will qui était médecin. Elle ne savait pas d'ailleur si celui-ci était toujours à Dole ou pas....

Dit moi! Qu'est ce qui faut qu,on fasse???? Elle sautillait dans tout les ense prête à l'action et pour évacuer le stress de la situation.
Clarrissia
La maman de Clarri s'appuyait sur ses épaules comme la misère sur le monde. Ouvrant la porte, la jeune fille sursauta en même temps que sa mère, lorsqu'elles entendirent un bruit près d'elles.

Une jeune fille s'avança et cria.


Citation:
WWWWOUUUUUUUUUUAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHRRRRRRRRRR!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


C'est qu'elle avait de la voix la gamine...gamine gamine...elle ne devait être guère moins vieille que la mésange...toutefois sa spontanéité fit plaisir à voir.

Quelques instants plus tard, sa mère se plia en deux...une douleur, puis deux, puis soudain ce qu'elle redouta arriva.



Citation:
Je vais vraiment accoucher!!!!


- Et m...et papa qui n'est pas là...on fait quoi dans ces cas-là ?

L'annonce de sa maman lui coupe les jambes. Elle avait beau s'y attendre, s'y préparer, l'anxiété de s'occuper de sa mère, de surcroît sans son médicastre de père, lui fit perdre quelques instants tout contrôle...Bienvenue dans le monde merveilleux de l'obstétrique...pffff, quelle guigne...bah, c'était pas le tout mais fallait se bouger les miches recta.

Finalement elles étaient deux...et puis Clarri se rappelait de son accouchement à elle, à Autun...rapide la naissance...ben là fallait que ce soit pareil.


- Bon jeune fille, Peannuts je crois, tu peux faire bouillir de l'eau ? Je vais l'allonger sur le lit et la mettre en position.

Se retournant vers sa maman elle lui dit...

- Pas banal hein comme situation ? La fille qui va accoucher sa mère...

Elle porte plus qu'elle n'accompagne Emma dans sa chambre, et l'allonge sur le lit. Lui cale deux gros oreillers dans le dos et tout en lui relevant les jupons, s'installe entre ses jambes.
Un frisson dans le dos, des jambes qui flageollent...sa mère avait perdu les eaux ; ses jambes ruisselaient d'un liquide jaune orangé.


- Purée, mais comment elle avait fait la ventrière...
chuchota-t-elle...

Peannuts !!! Me faut des draps propres ! Bébé arriiiiiiiiiiiiive !!!!

elle éponge le front de sa douce maman, essaie de lui sourire mais n'en mène pas large.

- Ca va aller maman...excuse-moi, faut que je touche là où ça te travailles.

Esquissant un petit air navré, elle plonge en tremblant ses doigts...inutile d'aller bien loin...elle sent la tête de son...frère ? Sa soeur ? Elle s'en foutait en cet instant Clarri. Seul comptait la santé de sa mère et celui du bébé.

- Mais il fout quoi papa !!! Maman...je crois qu'il arrive...respire...pousse, pousse, pouuuuuuuuuuuuuuuusse !!!
Peannuuuuuuuuuuts !!!!de l'eau vite !!! le bébé est là !


La tête de l'enfant apparaît lentement, dans un cri maternel à déchirer les tympans

- Allez maman, pousse une dernière fois ! Bouge-toi nom d'un chien, s'il te plaît maman !

A cet instant, tout s'accélère, Clarri a juste le temps de recueillir dans un drap le bébé...même pas eu le temps de voir de quel sexe il s'agissait...
Des larmes ruissellent sur les joues de la jeune fille. Emotion et effort entremêlés.


- Peannuts ! Me faut un couteau bien aiguisé également...

Elle emmaillote le nourrisson...il a quelques attributs...un mâle... et le pose sur le ventre de sa maman.

- Maman... tu as mis au monde un garçon magnifique mère chérie...il est tout simplement bien constitué et bien gueulard...un vrai Van Ansel...tout comme toi. Elle rit.
Mais j'aimerais que papa vienne tu sais...au moins pour qu'il s'inquiète de ton état de santé et de celui du bébé...au fait, comment vas-tu l'appeler ?


Attendant Peannuts, elle s'assoit sur le bord du lit, sourit, pleure en même temps...embrasse les mains de sa maman, l'éponge, voudrait en faire tellement plus...

Une belle journée...

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Emma.
La Blonde se tord sous la douleur, elle avait oublié combien la naissance de Maelle fut aussi douloureuse, elle s'accroche à sa fée, elle n'a plus la force de parler juste de gémir de douleur, dans sa tête juste un plus jamais!!!



Clarri.... Nouvelle vague de douleur lui vrillant le bas du ventre, elle serre les dents, la vie elle va donner, elle se doit être forte, elle se laisse aller contre les oreilles, ses mains tirant sur les draps, elle souffle comme elle sait faire, et sens son ventre se contracter sous les contractions, il arrive trop vite, encore un bien énergique voilà.


Elle écoute avec sagesse sa fille, se concentrant sur sa voix qui la capte et elle s'applique, ses jambes se raidissant sous les poussées, son front ruisselant, elle gémit, la douleur lui coupant la respiration.


Dernier sursaut de force, dernière poussée, elle entend le cri qui lui chavire le cœur, elle entend comme dans un songe


Citation:

Maman... tu as mis au monde un garçon magnifique mère chérie...il est tout simplement bien constitué et bien gueulard...un vrai Van Ansel...tout comme toi. Elle rit.
Mais j'aimerais que papa vienne tu sais...au moins pour qu'il s'inquiète de ton état de santé et de celui du bébé...au fait, comment vas-tu l'appeler ?



Un fils.. ses larmes coulent sur ses joues, la pression se relâchant, elle se laisse couler dans le lit, ses bras se refermant sur son petit trésor

Il se nommera Nathanaël Van Ansel, et tu en seras la digne marraine ma chérie...

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