[RP ouvert ] Un peu de féminité dans ces histoires de fesses

- Voilà, voilà , par tous les saints couillus du Pape, l'est pire que la Kach, celui là.

Il avait d'abord râlé quand la brune l'avait envoyée aider le baratineur en titre des Lycans.
Mais arrivé sur place, le gars lui avait expliqué le pourquoi de la chose, c'est à dire un défilé de fesses, mais cette fois , féminin.
Des jolies rondeurs, des courbes et des cambrures à faire pâlir un certain marquis. Alors la figure de Pochtron s'était éclairée d'un sourire gourmand et il s'était empressé d'obéir aux ordres du Bara.

Sauf que là, il exagèrait.
Fallait tout faire à la fois, porter les fûts, porter les tables.

- ça va, ça va, j'ai pas dix bras moi , hein ?
Et pis j'étais en train de faire ma cour à la Mariette, moi ! Va m'faire rater l'affaire le Bara.

Mais le jeu en valait la chandelle, mortecouille.
C'est qu'il en avait croisé des girondes et des bien faites, des greluches à Sarlat.
Et dans sa tête, défilaient des donzelles se trémoussant en tenue légère.
La blancheur de leur cuisse et leur croupe qu'elles dénuderaient. Il allait en perdre le sommeil, c'est sur.

Foutus Lycans, bande de fêlés qui se jouaient de la vie et de la bienséance, ces gredins trinquaient à l'irraison et quand un se calmait, l'autre relançait le jeu.
Et ventre Dieu, il aimait ça le Pochtron.
Et si la belle Mariette acceptait de le suivre dans une vie d'errance et de danger, bah, il la f'rait grimper au plafond, la belle.

Mais en attendant, aider ce bandit de Bara......

- J'arrive, j'arrive ! ça vient, y'à pas l'feu, hein !!!

,

voilà ce qu'était écrit sur l'annonce, enfin l'affiche pour le concours dont Bara parlait depuis tellement longtemps ;
Après celui des hommes, c'était le tour des femmes mais là y avait un hic, un gros Hic .

Dites Pochtron .. J'pourrais voir l'orga... Barathéon syouplait? De toute urgence?

Attendant Bara, un petit sourire en coin qu'il allait lui falloir ravaler rapidement, elle mit ses poings sur les hanches, et tapotant du pied pour paraitre mécontente elle le vit arriver .

Bonjour Bara, moi aussi suis ravie de te voir mais pas pour cela que je viens . En fait, kachi et moi avons bien lu ton affiche et ...

Elle montre du doigt "Salardaises" .

Le concours est ouvert que pour elles ?? Je me suis entrainée à défiler pour rien ??? !!!
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Tsss, toujours le même sourire agaçant, tapageur et un tantinet cruel le Bara. Mais elle aimait ça .

La petite moue s'effaça alors laissant place à un sourire. Elle joint ses mains derrière son dos, tournicote légèrement puis d'une voix douce:

Je signe où Bara ?

La Blonde prit la plume et de sa plus jolie écriture signa : Braise.
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Après avoir fait son petit tour au marché, Edelweiss que tout le monde connait sous le nom de Emelinne se rendit pour l'inscription du défiler.

Bonjour Baratin, bonjour les filles

Hochement de tête accompagner d'un sourire au Pochtron, c'est surement lui l'organisateur... Elle se campa devant lui droite comme un I et le regarda droit dans les yeux.

J'suis pas Sarlasaise, ni des Belles de Lycans, mais j'veux participée, vous pouvez m'inscrire?

Pas le temps de souffler pour Bara...
Voici que les plus belles créatures se concentraint déjà autour de la table des inscriptions, mettant en valeur leur jolies courbes, ornées d'un magnifique sourire à en pervertir plus d'un curé!

L'Anglois était aux anges: il avait l'habitude de croiser de très jolis derrières dans sa couche, mais jamais autant en une fois!

En parlant de joli derrière... La belle Kachi décida enfin de se montrer, la mine des mauvais jours, toutefois.
Voulant tout d'abord brusquer la Lycane pour ne pas être passée tout de suite, il ravala sa réplique pour lui souffler d'une voix mielleuse:

- Voilà la plus belle!... Mais bien sûr que je t'inscris... une petite signature?

Ouf! On a évité la colère de la louve!
Le brun ne put même pas prendre le temps de se féliciter qu'il vit une demoiselle se démarquer des autres, le saluant brièvement, puis s'adressa à Pochtron comme à l'organisateur.
Levant un sourcil qui laissait apparaître un léger agacement, il rectifia aussitôt le tir en agitant la main devant les jolis yeux de la belle.

- Hop, hop, hop! C'est par là que ça se passe!

Le loup lui fit son plus grand sourire avant de lui tendre le vélin contenant le tableau des inscriptions et sa plus belle plume:

- Un petit autographe pour un grand amateur de jolis séants?

Il la remercia à sa façon en louchant sur ses courbes, puis détourna son intention sur Achille, prenant l'autre tableau consacré aux jurés:

- Bonjour Achille! Mais vous faites très bien! Une petite signature... Vala! Vous allez vous régaler, foi de Baratineur!

Allez on respire et on s’affale sur sa chaise ! La journée va être bien remplie…
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Si en privé on pouvait dire que la rousse n'était pas pudique, il n'en allait pas de même en public. Si en privé certaines choses se font, dans la douceur des alcôves, en public, en pleine lumière il n'en allait pas ainsi, la rousse en avait bien conscience. Tout comme elle avait conscience du fait qu'après les gens ne la verrait probablement plus de la même façon. Qu'est-ce que ça pouvait bien faire après tout ? Pas grand chose puisque le délit de faciès elle le subissait depuis sa plus tendre enfance à cause de la couleur de sa chevelure. N'était-ce pas pour cela en partie que sa mère avait été brûlée ? Elle qu'on avait jugée et condamnée d'avance sans même lui offrir l'occasion de se défendre, sans même avoir accepté de l'écouter.

Milla arriva à l'endroit qui avait été préparé pour l'occasion et salua les personnes déjà présentes.

Messire Baratheon comme je vous l'ai promis en taverne je viens m'inscrire au concours.
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Et d'entendre le bruit de la foule. Oui oui, ça avait l'air d'être ici. Elle se rapproche la blonde elle se faufile. Ah les visages familiers. Un sourire à Patt et un à Carmilla.

Bonjour!!! Il parait que la gente féminine est à l'honneur.. Alors si vous le permettez j'en serai!

Large sourire de la donzelle.
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La brune aurait préféré faire durer un peu plus le concours de fessier masculin, mais les belles choses ont toujours une fin.
Et après êtes passée de jury, elle devenait concurrente, tsss !!!
Plus la même chose là, il fallait défiler, fesses a l’air devant eux !!
coup d’œil rapide devant les hommes déjà présents et pressés que les donzelles montent sur l’estrade
Allez zou une Lycane ne se défile pas !!

Elle s’avança vers l’organisateur, regardant au passage la concurrence féminine toute autour du beau Baratineur qui ne savait plus ou regarder tellement les donzelles étaient jolies, se faufila jusqu’à Bara et lui dit :


-Tu peux m’inscrire Bara ,bien sûr que j’en suis !
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La vindicative incline la tête lorsque Bara lui indique la direction de l'atelier de l'artiste lycanesque et récupère en passant une Lily qui vient d'arriver.

Alors Lily, décidée à participer également ? Regardez donc Flax qui s'empresse de s'inscrire tss... Je me demande bien pourquoi je ne suis pas surprise... Je vous propose qu'on y aille ensemble puisque soit disant l'artiste nous attend. Ceci dit... s'appelant Pochtron, j'suis pas sur que ce soit dans les huiles qu'il devrait sévir qu'en dites-vous ?

Entrainant l'ancienne prévôt dans son sillage, la môme au loup continue son babillage sans grand intérêt...
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Clin d’œil pour mimiquer celui du Bara, et un rire en mentionnant Cissou.

Cissou... je pourrais pas la retenir même si je voulais. Il rit à nouveau. Vous en faites pas, je pense qu'on pourra dire qu'elle est de la partie.

Et je suis là pour l'art, moi ! Coup d’œil rapide qui file vers la rousse à l'air conspiratrice non loin... Pas que pour mater ! Savoir vivre, appréciation de la beauté tout ça...

Bah ouais un peu de baratin ça passe fin bien...

Levage de n'oeils au ciel quand le Flax tente de se faire passer pour un esthète et secouage de tête à la penser qu'il croit pouvoir leurrer qui que ce soit avec son petit discours. Puis se retrouvant les épaules "cernées" la vindicative est bien obligée de continuer son chemin...

Quand Lily lui fait sa demande, Patt lève un sourcil et incline la tête pour lui murmurer.

Désolée mais... Je ne fais pas dans le breton pour l'alcool... Ici est alcool de poire ! Plus costaud, mais si tu veux gouter...
Mais y'a une condition, Lubna ne doit rien savoir, sinon je vais avoir le droit à une scène.

C'est que la réelle propriétaire de la distillerie n'était pas du genre à aimer sa façon de "gérer" les lieux, mais puisqu'elle était partie en villégiature à Castillon, avec un peu de chance, elle n'en saurait rien...
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Dis, t'aurais pas du chouchen pour le courage?

Alors que Pattricia lui répondait par la négative, au grand damn de la blonde, il se glissa derrière elle discrètement, passe ses mains sur son ventre arrondi, déposant un baiser dans son cou, lui murmurant:

Bonjour mon ange...

Alors qu'elle se retournait, il lui sourit, content de la retrouver sur la halle animée.

Alors comme ça, tu vas montrer tes jolies fesses aux Sarladais! Ca tombe bien, je ne raterai ça pour rien au monde, je vais en faire des jaloux, ponctué d'un clin d'oeil complice, et d'un baiser sur les lèvres.

Tandis qu'il la prenait par la taille tendrement, Renlie s'adressa à Bara.

Et bien mon cher, félicitations, on dirait que vos concours sont des plus réputés. J'accepte avec joie de siéger dans vote jury!
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Par tous les saints couillus du Pape. Alors qu'il croyait rester seul avec le Bara, voilà que les mâles du coin rappliquaient tous. Essayant de rentrer sa bedaine, le bougre tenta de prendre un air conquérant et avantageux, alors qu'il passait une main sur sa barbe renaissante. Foutre Dieu, comment ils faisaient pour avoir ces épaules carrées et cette prestance.

Il se promit de demander la recette au gagnant du précédent concours, le Joran, un ami à lui. Puis ignorant délibèrément les hommes, il revint aux donzelles , détaillant chacune d'elle d'un oeil connaisseur.

Oubliée la Mariette, la gueuse n'avait qu'à rappliquer, sinon, il en entreprendrait une de celles ci.

Appuyé contre une des poutres, il bougonnait dans sa barbe.

- Tiens la Maryanne, une coquine celle-là. Impatiente comme une chatte à l'idée de se présenter. Elle est arrivée la première......

Sa bouche se fit gourmande quand il vit arriver la blondinette, celle qu'on surnommait la Brindille. Tout simplement magnifique. Celle là, il l'avait vue s'exercer à défiler avec la Kach, en taverne. Deux vraies chipies ces deux là.

- Kach, elle est déjà là ! Y m' tarde de voir ses fesses à elle.
Jamais réussi encore à la surprendre quand elle se rend à la rivière le matin ! Une futée , celle là.

La nouvelle, Edelweiss, il la connaissait pas trop. Mais elle avait ce regard des filles qui ont vécu . Elle semblait toujours sur le qui -vive la brune.

- Et dire que l'Anabel va rappliquer. Celle là, j'l'ai déjà souvent guetté en cachette quand elle se baignait aux alentours de son moulin, il y a longtemps en Armagnac. Et par tous les saints, elle est gironde la blonde !

- Tiens, la mairesse. Rousse et mignonne. Faudra que j'en parle aux Lycans. Si la ville est dirigée par une main de fer dans un gant de velours et en plus fesses nues, ça vaut p'têtre le coup de s'installer ici !

Une autre rousse, la Patt, l'avait pas froid aux yeux celle là , avec ses loups.
Une aventurière, mais belle à croquer, la mignonne. Et un coeur gros comme ça.
Et puis une blonde , et pas n'importe laquelle. La régulière du Comte. Et le p'tit qu'elle portait , la rendait plus féminine, et belle.

- Foutre Dieu, la Théa ! Celle là, j'aime la r'garder quand elle lave ses dessous au lavoir. Passionnée, toujours à claquer les portes et à râler. Tempérament de brune quoi. Et puis, c'est la soeur de la Kach, alors.......

La dernière, il la connaissait pas . Cissou qu'elle s'appelait. Jamais loin du beau Flax. Joli brin de fille aussi.

Enfin, bref, tout en cherchant du regard une cruche où remplir son verre, le bougre se disait qu'il y allait y avoir du spectacle...Parce que pour sur, y'avait d'la greluche là.

Alors qu'on est en train de filer presque bras dessus bras dessous avec la vindicative, on sent une présence. Kécecé...? Des bras qui l'entourent délicatement, reconnaissant ce parfum entre mille. Lui...

Bonjour mon ange...
Alors comme ça, tu vas montrer tes jolies fesses aux Sarladais! Ca tombe bien, je ne raterai ça pour rien au monde, je vais en faire des jaloux.

Et de sourire carrément troublée. Les mains qui se posent sur les siennes, lâchant donc Patt au passage, puis de se retourner, sourire ultra détendu, mode" blonde qui déchire total".
Et vas y qu'on vole un baiser au Comte, bah... si, là, elle en avait vraiment envie. Encore les hormones qui jouaient des tours?! C'est que c'était tendance, alors ...

Sourire amusé, faciès illuminée à voir son fiancé.

Ouh... Ravie de te voir ta Grandeur! Décidément, je vois que tu ne rates aucun concours de fessiers!

Petit clin d’œil complice avant de lui souffler à l'oreille...

Je ne sais pas si tu feras des jaloux, mais en tout cas, c'est une première pour moi...! Mais je suis contente que tu sois là. Je me déshabillerais d'autant plus vite!

Et de rire de bon coeur.
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Comme elle vient de se prendre un vent de la blonde, la rousse continue son chemin en direction de l'atelier de l'artiste. Une fois devant lui, la jeune femme s'approche de son oreille et lui murmure ses conditions.

La suite est simple, la vindicative se glisse derrière un paravent et se déshabille, puis elle sort de sa cachette, pas du tout à l'aise. Suivant les instructions du peintre, elle prend ensuite la pose, lui laissant le temps d'exercer son art.

si vous pouviez ne pas trop trainer s'il vous plait, je n'aime pas du tout me balader dans cette tenue...

La môme au loup en était encore à se demander pourquoi elle avait accepter que déjà elle entendait les brouhahas des autres femmes qui arrivaient.

Aheum... C'est fini, j'peux m'rhabiller ?
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Alors ils l'avaient fait... les yeux rivés sur l'affiche, Oranne souriait.
Le concours aurait lieu, finalement.
Un petit coup d'oeil à la ronde, quelques silhouettes connues, d'autres non, femmes, hommes, lycans ou non, Bara avait attiré du monde.

Elle s'approcha lentement du beau brun, un léger sourire aux lèvres. Après tout, ce pourrait être en quelques sortes son baroud d'honneur, qui sait ?

Bonjour joli coeur, dis-moi, on peut s'inscrire jusqu'à quand, à ton petit défilé ?
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On reconnaît un roux parmi mille hommes... mais on reconnaissait Slad dict le Flamboyant parmi mille roux ! Depuis plusieurs semaines déjà il avait réussi à faire venir un marchand de Venise, ville de décadence pour s'offrir une tenue plus classe. Il ne reniait pas ses habitudes, mais tant qu'à faire autant continuer avec encore plus de classe... c'est vêtu de vêtements d'apparats qu'il arriva à Sarlat tard dans la nuit. La route avait été longue. Les enfants dormaient, il ne put que prendre une chambre à l'auberge la plus proche pour s'y reposer.

Le matin au levé il fit mander une femme pour garder les enfants le temps de retrouver sa Brindille. Quand il sortit de l'auberge il se retrouva face à une affiché annonçant un concours du plus joli fessier féminin de la ville. Et bien voilà où il la trouvera ! Il marcha donc jusqu'au lieu où se découlerait le fameux concours, puis laissa passer une jolie jeune femme rousse devant lui qui allait s'inscrire. Il traversa la petite foule déjà présente pour se placer au meilleur endroit, cherchant du regard la raison de sa venue ici, tout en profitant d'admirer les charmes de toutes ces femmes qui passeraient sous ses yeux en tenue plus leste et moins couverte.

Il esquissa un sourire, se sentant déjà chez lui ici. La Brindille lui avait parlé d'un groupe qui l'accompagnait, il ne les connaissait encore pas mais le Flamboyant ne tarderait pas à se faire connaître à sa manière.. Croisant les bras sur son poitrail, il attendit patiemment le début du concours. Il ne connaissait personne ici donc il n'avait à s'attarder en discussions futiles.
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C'était vraiment pas désagréable de dessiner les fesses de ces belles créatures qui faisaient la queue devant son atelier.

Certaines à la peau laiteuse, d'autres plus sombres. Fessiers rebondis, ou plus modestes. Les donzelles étaient toutes plus girondes les unes que les autres.

- Hum, tourne toi un peu, mignonne ! Là c'est bien !

Du plat de la main, il essuya la sueur qui lui coulait sur le front.

- Oh, Didiou, par tous les saints couillus du pape.......


- Suivante ! on se dépêche ! Allez !

En quelques coups de fusain, le bougre les croqua des yeux et du geste. A défaut d'autre chose.

Regard parfois exorbité. Jamais , oh grand jamais, il n'avait vu autant de popotins à la fois sous ses yeux gourmands. Oubliée la Mariette, d'ailleurs la gueuse n'avait pas daigné venir défiler, la coquine.

Enfin, il pu rendre les portraits à Bara. Fier de lui et rassasié du regard. Mais le ventre en feu, foutre Dieu.

Le jour de montrer des fesses.... on ne s'habille pas n'importe comment, surtout quand les seules personnes de vraie connaissance sont un frangin, sa femme et sa jumelle et qu'elle arrivait dans une nouvelle ville, une de plus à sa longue liste, une animée par la ferveur des lycans.

Je sors toutes mes tenues des malles ouvertes, les chapeaux, les ceintures, les voiles, robes, jupes, bustiers, chemises, les dessous... qui a dit que j'etais coquette ?

Ro...ooose ! Rooooose ! Viens m'aider à choisir
Ana... vous n'allez pas monter sur cette estrade...
Joran l'a fait !
Mais c'est un homme
Oouiiii ! tu as remarqué toi aussi !?

L'éclat de rire ne tarda pas et emplit toute la pièce résonnant jusque dans le couloir de l'auberge

Ana ... chut !
j'arrete de rire et soupire en me jetant sur le lit et en battant des pieds dans le vide

Je peux jamais faire comme je veux ! Personne ne m'aime....
Mais si Ana.... tout le monde vous aime... Allez venez on va choisir ensemble.

Le sourire jusqu'aux oreilles, je me retourne vive comme l'eclair et saute du lit

Au bout d'une heure... bon d'accord trois heures, l'Anabel était fin prete, la tignasse blonde domptée par la douce Rose, la mise impeccable avec un je ne sais quoi d'affriolant, le décolleté peut-etre, la jeune femme embrassa son bout de chou qu'elle confia au bon soin de sa nounou avant de se rendre au point de rendez vous des fesses à l'air libre.

Des femmes, sa belle soeur et Théa, toutes plus belles les unes que les autres étaient sur l'estrade attendant de montrer leur derrière, une jolie fille finit sa prestation et sans sourciller la ravageuse blonde monte les marches et se met à battre des mains en regardant l'assistance masculine

Mais où sont les hooooooommes ?!!!
je mets mes mains en porte voix et hausse le ton
Y A T IL DES HOMMES ICI CE SOIR ?!!!!
Une main derrière l'oreille, style j'entends rien
Allez ... plus fort !!! PLUS FORT !!!!

Sans attendre les réactions, je m'assois au bord de l'estrade, mes pieds touchent à peine le pavé, les mains dos contre dos, coincées entre les genoux sérrés, la pointe de pieds vers l'interieur, j'arborre une moue mi boudeuse mi coquine puis fixant les jurés sur la droite, je remonte un pan de ma robe jusqu'à la cuisse découvrant une jambe au joli galbe et déroule lentement le bas soyeux, puis le fais tournoyer et le lance vers un des hommes devant moi.
Je prends appui sur l'autre fesse pour me tourner vers les jurés de gauche et renouvelle l'operation.
Le sourire aux levres, je me lève devant les mâles et glisse une main sous la bretelle de ma robe, la tete legerement en arriere, devoile une épaule mais je retire ma main aussitot et l'oeil coquin accompagne un index qui fait non, non, non.
Je me tourne alors et la main agile dans le dos tire sur le lacet de la robe qui tombe à mes pieds sous l'effet d'un petit déhanché tout en sensualité, mon visage niché dans un bras venu remonter ma chevelure d'or, je leur jette des regards sans equivoque et les laisse admirer mon joli fessier.

Nul besoin d'artifice à la beauté, qui se dévoile fièrement nue et avance d'une feline démarche sur la pointe des pieds vers l'un des jurés, ramasse son bas aux pieds de celui-ci, tourne autour du voyageur entourant son cou du soyeux tissu, passe au devant du second juge effleure son torse du bout d'un doigt et lui pose un baiser sur le nez avant de se placer derrière le 3 eme juge, son frere, qu'elle enlace en faufilant ses mains sous sa chemise et lui laisse en les sortant la marque de ses ongles sur la peau, au tour du dernier juge, pas moins que le coms, se penche devant lui pour attraper son bas au sol, le faire glisser lentement de long de son corps et le laisser pendre à son épaule avant d'attraper le col de sa chemise et l'attirer à elle pour lui mordre le lobe de l'oreille.

Un petit rire moqueur et je repars lentement, accentuant à peine mon déhanché naturel, vers ma robe abandonnée mais qui vois je ? non loin, le peintre qui a immortalisé sur la toile, les fesses de toutes ces dames, et qui ne perd rien du spectacle, une idée ! farfelue bien évidemment, un sourire et l'index qui lui fait signe d'approcher.
Un chuchotement à l'oreille et le voilà qui part chercher son attirail de peintre, pendant que la jeune femme remonte sur l'estrade et offre aux regards ébahis son corps nu.

Pinceaux et couleurs en main, l'artiste revient auprès d'elle qui, du bout de ses doigts qu'elle embrasse, envoie des baisers à la foule, un dernier regard aguicheur au jury puis recule pour laisser le champs libre aux autres femmes.
Commence alors une autre peinture, pendant que les femmes se succedent le derrière à l'air, une toile colorée dont le support n'est autre que l'Anabel.

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Les yeux fermés, les bras posés de chaque côté du baquet, de l'eau la couvraient jusqu'à la naissance de ses seins, elle se prélace, une odeur agréable se dégage des vapeurs d'eau, son buste perle de petits rosés de sueur, ses joues sont rougies par la chaleur de l'eau bouillante. pur moment de délices que la vagabonde savoure, léger soupire d'extase, il en faut parfois très peu. Le temps passe. Une main lui tapote l'épaule et la fait sursauter.

Dépéchez mam'zelle, vous allez rater le défiler !

Ohhh le défilé, vite !!!

Elle plonge intégralement dans l'eau devenue presque froide qui raffermit son corps et le couvre de chair de poule vigorifiant et elle se dresse sur ses fines jambes d'un bond, emportant presque l'eau du baquet avec elle qui retombe en pluie. Prenant le drap de bain tendu, elle enjambe le baquet en se couvrant, s'essuie et passe dans la minuscule chambre laissant s'empruntes de pas sur le plancher. Le choix des habits fut rapide, Edel ne possède qu'une jupe d'un jaune soleil et d'une chemise au décolleté généreuse assortie, une paire de bas noirs qui met en valeur ses jambes fines.

Elle lisse ses longs cheveux noirs qui crolle malgré elle, relève l'une des mèches sur le côté et l'attache avec sa pince, glisse une petite fleur jaune au même endroit. Elle sourit en inclinant la tête, satisfaite du résultat, relève ses jupons, dévale les escaliers et se met a courrier, buste en avant vers la salle du défilé.
hop, elle se glisse parmi les concurrentes, reprenant son souffle et observant autour d'elle. Des rires, des gloussements, deux concurrentes qui se penchent l'une vers l'autre, se soufflant quelques mots accompagnés de petits rires étouffés. L'excitation est palpable dans la salle, autant du coté du jury, que de la foule qui a pris d'assaut les sièges.

Edel regarde vaguement dans la salle, c'est qu'il y a du monde, puis son regard reste accroché a la première concurrente qui défile. Très jolie d'ailleurs, petite moue de la vagabonde puis elle ouvre de grands yeux, voyant la demoiselle se mettre nue? ....
Puis c'est au tour de la seconde, très sensuelle, très suave, très coquine mais ses gestes sont directes et provoquent, les yeux d'Edel pétillent en la regardant.

Coup d'oeil à gauche puis a droit, elle fait un pas. Profonde inspiration, un bottage de cul mental et la voilà qui déboutonne sa chemise, agitement léger des épaules pour la faire glisser le long de ses bras au moment où elle passe devant le jury, petit sourire accroché à ses lèvres, le regard se plongeant dans chacun d'eux, un quart de tour, elle leur tourne le dos, elle fait deux trois pas, ses cheveux couvrant intégralement son dos caressent le creux de ses reins à chaque pas. Les mains posées sur sa taille, pendant que ses mains légèrement tremblantes font glisser le tissu à ses hanches puis ses cuisses, elle fait chuter sa jupe au sol, dévoilant son petit fessier blanc. Elle l'enjambe en tournant la tête, petit sourire malicieux aux lèvres, jambes serrées, elle se baisse, récupère ses effets et les balances sur son épaule et s'éloigne du jury tout en levant une main qu'elle agite, la démarche accentuée faisant tanguer son fessier rebondi.

Elle avait dit quoi déjà la blonde à Bara? : "oui".
Puis voyant qu'il avait assez de concurrentes avait dit "finalement, non. j'ai pas envie de défiler."
Depuis un certain moment sa folie retombait et elle avait du mal à savoir le pourquoi du comment la Brindille. Puis ses fesses .. elle avait fait une moue en y pensant. Fallait pas qu'ils remarquent ce détail qui la marquait.
Alors bon gré malgré et parce que c'était ainsi que ça devait être, elle passa devant pochtron qui ouvrit de grands yeux lorsqu'il découvrit la chose en question. Erma prit une position puis lui déclara:
J'reste comme ça, et tu m'peindras comme ça s'te plait.

Ce qu'il fit alors, laissant la chose de côté. Et lorsqu'elle regarda le résultat, elle lui sourit satisfaite.

A présent c'était le défilé qu'il allait falloir aborder et elle voulait passer avant Kachi, histoire de pas tomber sur la foule en délire. Juste qu'elle n'en avait pas trop le coeur mais elle avait promis. Et puis elle avait sa fierté, et puis fallait réagir!
T'es pas une mauviette, tu sais que tu as d'belles fesses même si t'as ça et puis c'est une partie de plaisir! Faut minauder, fais les baver !

Le sourire réapparu, un peu plus sûre d'elle de s'être auto dynamisée, reprenant du poil de la Bête.
Aussi lorsque les superbes créatures précédentes eurent fini, elle se drapa dans sa cape et avança sur l'estrade.Elle inspira puis pensa au scénario qu'elle avait mis en place dans sa petite tête. Elle commença sans effusion, sans mouvement plus raide que l'autre.
Sa démarche était souple, lente et féline. Ses courbes étaient cachées par la longue cape sombre. Ses cheveux blonds étaient la seule tache lumineuse qui émanait de sa silhouette.
Son visage était baissé, mais on pouvait voir un léger sourire, doux, couleur de miel.
Arrivée au milieu de l'estrade, les yeux des males rivés sur elle, elle se tourna dos à l'assistance et leva ses bras en croix en un geste theatral. Son menton se baissa, ses cheveux s'éparpillèrent alors que la cape glissait sur sa peau douce la découvrant. Les yeux suivaient la peau qui se libérait et que les rayons du soleil venaient mordre. La blancheur d'albatre de la peau de son dos, soulignant la finesse de sa silhouette et aux rondeurs si féminines se dévoilait, suivit de la douce naissance de son fessier, sa taille marquée puis ce qu'elle avait dissimulé à Pochtron se dévoilà.... et son fessier finalement rebondit et ferme.La cape finit sa course à ses chevilles et elle reste là, sans bouger à la merci de leurs regards.
Le vent, lui seul venait toucher son corps, s'enrouler autour de ses chevilles pour remonter le long de ses fines cuisses et finir la course sur la naissance de ses seins.

C'est un pal à qui elle avait fait la commission auparavant qui monta sur l'estrade, prit la cape et lui recouvrit les épaules.Alors seulement elle rabattit les mains sur la cape la refermant sur elle, se retourna puis le va son menton. Un sourire en coin ,juste ce petit sourire taquin et coquin ornait son visage.Elle fit une légère réverence puis laissa place à la concurrente suivante, soulagée que cette épreuve soit terminée. Au fait, c'était quoi le prix déjà ? ....
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Après avoir enfin réussi à s'extirper de l'atelier de l'artiste avant l'arrivée des autres "pauseuses", la rousse s'était esquivée et avait pris son poste d'observation, assise sur un tonneau. Évidemment voyeurs et jurys s'étaient installés depuis belle lurette, qu'attendre d'autre de ces hommes par cette belle journée de printemps, où la sève montante n'était pas que dans les arbres.

Certaines des concurrentes avaient déjà commencé leur défilé, mais la vindicative ne bougeait pas. Elle savait qu'elle devait y aller, elle savait qu'elle décevrait, mais Bara avait été prévenu dès le début, pas question qu'elle se promène le popotin à l'air sur une estrade comme une vache lors d'une foire agricole. Chacun avait ses secrets, chacun avait ses limites, et puis elle ne manquerait pas de respect envers celui qui lui avait donné sa confiance.

Certaines filles ne manquaient pas de chien, d'humour et d'une envie farouche de gagner, elle se surprend à sourire en les regardant. Il va bien falloir que je me décide, mais pas tout de suite, j'vais attendre encore un peu... Pas prête, pis surtout qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire pour compenser ? Rien sans doute...

Le concours continuait et Patt regardait...
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Entre l'inscription et le défilé, la rousse s'était éclipsée le temps de régler quelques affaires courantes et aussi de se préparer mentalement et physiquement. Pour la détente, un bon bain ferait l'affaire. Avant de rentrer dans l'eau, Milla remonta sa crinière le temps de s'occuper de son corps. Elle y étala un mélange personnel à base de farine de maïs qu'elle faisait moudre spécialement, d'une tasse de lait de chèvre et d'un dernier ingrédient qui n'appartenait qu'à elle. Pendant que le tout agissait, elle s'occupa de sa chevelure sur laquelle elle appliqua un oeuf mélangé à de l'huile d'olive. Elle entra enfin dans l'eau et y resta quelques minutes pour décontracter ses muscles, se lava et se rinça avec une décoction à la lavande qu'elle affectionnait tant.

Elle prit également le temps de choisir la tenue qui lui semblait la plus adaptée à la situation, un corset qui mettait comme toujours ses attributs féminins en valeur et choisi de porter une jupe à la place d'une houppelande. Pas question de se montrer entièrement nue devant tout le monde. Elle avait malgré tout une certaine pudeur et de la retenue en public. De bottes lacées à l'arrière feraient l'affaire. Le défilé venait de commencer lorsqu'elle arriva sur la place. La rousse regarda les premières participantes en haussant les sourcils. Celles-ci étaient plus qu’aguichantes. Certaines chose pouvaient se faire en privé mais là avec tout ce monde, elle se demanda un instant si elle n'allait pas faire demi-tour et déclarer forfait. Hélas elle ne pu le faire, les portraits venaient d'être montrés.

Prenant son courage à deux mains, Milla s'avança vers le jury, les salua d'un signe de la tête, fit quelques pas de sa démarche naturellement chaloupée tout en défaisant sa ceinture et la laissa choir au sol, fit un demi-tour sur elle-même en faisant subir le même sort à sa jupe. Elle finit par se présenter dos à eux, attendit un peu avant de quitter la scène.
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Il fallait en finir... Elle en était consciente, mais ne bougeait pas pour autant. Quand la rousse mairesse défile, elle se dit que ça devait être le tour des rousses, et donc surement le sien, mais Kachi la devance et la vindicative regarde le beau défilé qu'elle offre. Bon... Plus vite tu te décides plus vite c'est fini ! Zou !!!

C'est au moment où elle saute du tonneau que l'idée lui vient. Puisqu'elle ne les séduirait pas par sa plastique, non pas qu'elle ne soit pas une belle femme d'après certains, mais elle resterait habillée... Il lui faudrait donc se faire pardonner par le jury son manque d'envie de se montrer dans le plus simple appareil. La môme au loup caresse le tonneau, sourit et file en direction des "Amazones".

De retour avec deux tonnelets, la jeune femme monte les marches, habillée d'une simple robe, couleur aurore, et qui ne laisse rien entrevoir de sa plastique, pas de décolleté, pas de jupe fendue, pas de bras nus, seuls ses pieds le sont, et une simple tresse de cuir marque ses hanches. Les pauvres vont être déçus... Pour une fois, le cou n'est pas couvert par un col comme à son habitude et un de ses tatouages tribaux se laisse deviner. Elle a complètement détachée sa toison rousse, elle lui fait comme une cape descendant jusqu'au niveau des fesses. Son seul bijou est sa médaille d'Aristote et elle ne s'est pas fardée.

Elle pose les tonnelets au début de l'estrade et saute au sol où elle atterrit avec souplesse. La jeune femme récupère des godets en mal de propriétaires et les pose deux par deux sur l'estrade à la hauteur de chaque membre du jury. Une fois les mini futs rapprochés, la jeune femme se tourne face aux juges.

Messires, vous me voyez là dans ma tenue la plus dénudée. Vous ne pourrez ni toucher, ni humer, seule votre imagination travaillera... ou pas.
Mais pour me faire pardonner votre déception, je me propose de vous servir une boisson rafraichissante, qui saura peut-être -ou pas- tempérer vos émotions à venir...

La Sarladaise aux pieds nus remplit les godets et en donne deux par membre du jury.

Dans l'un vous avez de l'alcool de poire directement issu de la distillerie où je travaille, dans l'autre, vous avez un vin de Bergerac issu de mes futures vignes. Je vous souhaite un bon défilé !

Après un sourire ravageur, car oui elle leur devait bien ça, elle met les tonnelets au pied de l'estrade et remonte sur celle-ci d'un coup de hanche pour terminer son défilé, direction... la maison !
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Dbruno après réflexion décida d'aller voir le défilé.

Il sortit direction la place du village, arriva juste à temps pour apercevoir sa passion s'avancer sur l'estrade.

Serra les poings et se faufila avec peine entre les villageoises et villageois.

Se plaça juste devant l'estrade, pour admirer sa passion faire son spectacle entre plaisir et colère.

Sourit en la regardant, pensant qu'elle avait les plus magnifiques fesses et courbes du royaume.

Pesta en sont intérieures en la voyant envoyer un baiser.

ah! non pas cela

Il alla la rejoindre derrière l'estrade pour l'aider à se revêtir.

Tu es fière de toi, montrer une partie de mon trésor à la moitié du comté et le baiser tu n'étais pas obligé de l'envoyé !

Humm toi parfois ! tu mériterais une fessée, oups pardon pas ici.


Sourit en la regardant et l'embrassa avec Passion.

Aller on regarde les autres maintenant que je suis là.
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Le défilé était décidément très intéressant.
Les jolies candidates redoublaient d'ingéniosité pour maintenir l'attention de l'audience sur leur fesses et même procurer de certaines envie coquines à ces Messires qui étaient là, la bouche ouverte pour la plupart, reluquant sans gêne cambrures et autres déhanchés qui se succédaient à toute vitesse.

Et au lieu d'être au milieu d'eux, Baratheon était là, adossé au muret de l'atelier de Pochtron, tapotant du pied nerveusement en attendant la dernière oeuvre du peintre.
Le beau brun était en train de louper tout le spectacle, lui qui avait attendu ce concours avec une certaine impatience...

- Dépèche-toi un peu, tu veux? Tu me fais tout rater là... Si je ne vois aucune femme défiler, je te coupe la main pour que tu ne puisses plus me faire perdre du temps!

Pochtron sortit finalement de son antre, la peinture à la main, ses pinceaux dans l'autre, accompagnés d'une mine bougonne qui montrait son agacement devant les réprimandes de l'homme.

- Voilà, enfin! Donne-moi ça!

Le loup arracha le tableau de ses mains et fila le poser avec les autres, avant de retrouver sa place.


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Han !

Mais han de han !

S'il avait su que c'était une épreuve aussi physique que mentale que ce défilé il aurait mis des braies plus larges... Entrée en matière par un strip-tease et de sentir les bas de la concurrente lui effleurer le visage, puis entourer son cou, que de luttes inhumaines pour garder les mains dans les poches et un regarde totalement artistique et détaché sur la chose.

T'as craqué garçon, tâte-moi ça !

Que de démons, toute la clique était descendue sur ses épaules, assis les jambes ballottant dans le vide, ses tapant dans les mains et sifflant les candidates d'une façon que même lui n'aurait pas fait.

Ouaille mate celle là ! Le petit diabolotin qui tend les bras pour essayer d'intercepter la culotte de la Louve, le voyant passer à tout au travers de sa personnification jure comme un matelot.

Et un rire collectif auquel participe même leur hôte lorsque la vieillarde se montre sur scène, faisant mine d'être flatté de se faire qualifier d'entrée.

J'en doute pas mamie, mais en attendant z'avez plus trop de dents ! Par contre si vous pouviez éduquer la nouvelle génération...

Et à Patt de passer avec ses gobelets, qu'il regarde d'un œil douteux. Pas qu'il avait peur de la liqueur qu'elles contenaient hein, juste de l'effet qu'aurait l'alcool sur la sagesse de ses mimines encore enfouies au fond de ses poches. Mais bon c'est vrai qu'il se faisait soif, et à défaut de voir la rousse défiler... pas qu'elle avait pas de beaux pieds mais bon c'était loin d'être son kif'... Pi c'est que du vin dans l'un. Dans un sourire qui lui est adressé, il lui lève son verre pour montrer l'appréciation de son déhanché avant de siroter.

Patt je suis déçu, j'étais venu exprès pour toi ! Zéro pointé ! Il se marre avant d'appeler à la suivante, une brune, kidnappée à la fin de sa prestation par un nain dans l'élan de la passion, puis une rousse sulfureuse qui se déshabillait tout en dansant pour son plus grand bonheur. Technique quand même, ça mérite des points en plus ça... Et le Bara qui ramène le dernier tableau à l'exposition qu'il apprécie savamment entre deux défilés.

Fin appréciateur de la beauté féminine depuis son plus jeune âge, c'était dur dur de classer tous ses fessiers... mais l'ordre commençait à naître dans son esprit et il griffonnait sur un papier devant lui pour se faire une idée d'ordre. La pause suivant la rousse lui permit de le finaliser, et de plier tout ça pour qu'aucune des candidates ne se sente obligée de gagner des points avec des actions plus osées à son égard... Y réfléchissant à deux reprises, il déplia son classement en le laissant devant lui.