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[Rp] Correspondance vers l'imprévu.

Emeline.
Il y a des habitudes qui ne vous lâcherons jamais, des instants à vous qui laisse l'extérieur pensive, des actes qualifiés d'étrange qui donne un gout sucré à la vie. Depuis le couvent et bien après cela, elle avait pris l'habitude d'envoyer des messages ''au vent'' sans en connaitre le destinataire, sans rien savoir de celui ou celle qui lira ce morceau de vie, qui partagera cet instant, qui entrera dans son jardin pour un instant. Parfois elle obtenait réponse, souvent ignorée cela ne l'empêchait pas de continuer. Ce jour-la Emeline s'installa à son bureau dans une chambre d'auberge, il était tard et Vitto dormait déjà paisiblement, certaine de pas être prise en 'faute'. Elle alluma une bougie et a la lueur de celle-ci dessina les lettres sur le parchemin :

Citation:


    A vous, inconnu(e) de lieu, de rang et de nom,
    De nous , prisonnière des barreaux doré de notre sang,

    Salutations,


    « On hait les autres parce qu'on se hait soi-même. »*

    Nous ne vous connaissons pas, nous ne savons rien de vous ni même votre prénom, votre rang ou le lieu dans lequel vous vous plaisez à vivre et affronter les journées qui ce succède à un rythme régulier. Nous n'avons pas la prétention d'assurer vous connaître, peut-être vous gueux, peut-être êtes vous troubadour, marchands de bric et de broc, vendeur à la sauvette de catin dans les bas-fonds ? Femme de tout ou de rien, homme de gout ou d'égo.

    Cela intéressera que celui qui veux obtenir de vous quelques choses de précieux, mais nous sommes pas de ces personnages étranges qui peuple de Royaume de France dans l'unique but d'obtenir une aide précieuse, une information capital, un écu pour vivre.

    Nenni nous, nous apprécions avoir l'espace d'un instant l'intérêt et le temps d'âmes encore inconnu(e), car l'amitié Aristotélicienne est complexe, les clans parfois trop soudés et finalement nous avons l'envie de nous arrêter un instant pour découvrir cet inconnu croisé hier dans les ruelles, cette femme triste observée en taverne, cet homme âgé assit sur le blanc.

    Nous avons l'ambition de découvrir ceux qui nous sommes aujourd'hui inconnus et demain qui sait peut-être seront-ils nos confidents.

    Si vous avez continuer de lire ce courrier, c'est qu'il vous intéresse ou vous intrigue, que vous êtes d'accord avec nos idées ou pas et comptez bien nous le faire savoir. Ainsi maintenant que vous savez qui nous sommes ou avez une explication plus ou moins correcte du pourquoi d'une telle missive, revenons-en au début :

    Nous avons trouvée cette citation dans un recueil de pensées, son auteur Cesare Pavese nous est inconnu et pourtant nous pouvons affirmer être d'accord avec lui. La haine envers un autre n'est pas un sentiment particulièrement courtois ou convenable, haïr un homme ou une femme ne devrait pas être quelques choses de tolérable derrière lequel nous nous cachons pour justifier la souffrance que l'autre nous force à endurer. Si demain nous haïssons notre père, notre sœur, notre domestique, alors peut-être que nous pensons même chose de nous. Ainsi nous devions vivre avec la autre pour l'autre et celle pour nous, tel sentiment est-il vivable réellement ?

    A vous, inconnu de nom, de rang et de lieu, nous vous laissons y réfléchir et peut-être que nous recevons de vous une réponse, sans haine assurément.

    E-L.

    Fait en Mars 1460, à la taverne ''La Dementieva'', Rodez, Comté de Rouergue.





*de Cesare Pavese
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Eilinn_melani
Les perles d’albâtre de l'hiver avaient fondu, dissolues par le chant des vents du Midi. Le zéphyr apportait désormais la promesse du printemps, faisant éclore les fleurs nouvelles, reverdissant les collines du Languedoc pour quelques mois, avant que le soleil ne se fasse trop ardent et transforme l'herbe en cette végétation brune et asséchée qui donnait son caractère désertique et inhospitalier à cette province du sud.

La missive fut apportée à Eilinn dans le jardin de sa demeure de Nîmes, perdue au milieu d'autres lettres demandant son allégeance, de comptes-rendus municipaux ou comtaux, et elle ne fut pas tout de suite remarquée.

Alice jouait dans le jardin, faisant rouler un cerceau, alors que le soleil ne se faisait pas trop menaçant encore pour sa peau fragile, Alienor-Marie elle se consacrant à ses études de la faculté de Belrupt. La Vicomtesse avait délaissé les comptes de son domaine champenois pour y préférer la lecture des "Contes de Cantorbéry" de Geoffrey Chaucer, installée sur une méridienne déplacée pour l'occasion, à côté un guéridon supportant boissons et douceurs.

Au bout de quelques contes, la lecture fut abandonnée peu après l'histoire de Constance, fille de l'Empereur de Rome.


    « Elle possède la beauté, mais point d'orgueil,
    Jeunesse sans enfantillage ni sottise
    Et la vertu guide toute sa conduite.
    L'humilité a vaincu l'égoïsme.
    Elle est miroir de toute courtoisie,
    Son cœur, le reposoir de sainteté,
    Sa main, sa déléguée très charitable. »


Le parchemin fut délaissé, et enfin son attention se porta sur le courrier, alors que déjà Edwards lui amena un couteau pour les ouvrir. Certaines missives furent dédaignées, et enfin la jeune fille eut en main le pli anonyme, le tournant et le retournant un instant en espérant une indication sur l'expéditeur, et finalement d'un geste élégant, ouvrit la missive à l'aide du couteau. Les rires d'Alice ponctuaient sa lecture silencieuse, et il lui fallut un moment, alors que le soleil passait au Zénith et annonçant l'imminence du déjeuner, pour réfléchir à la réponse.

Ce ne serait que plus tard, au détour d'une de ces heures méridiennes propices au sommeil et à l'indolence, que la réponse serait écrite.


Citation:
A vous, E.L du Rouergue ;
De moi, Eilinn Melani, Vicomtesse d'Avize, Diaconesse de Paris, demeurant à Nimes ;

Votre missive trouva son chemin dans les contreforts languedociens, peu éloignés de ceux du Rouergue. Je ne saurai dire ce qui a conduit celle-ci finalement dans mon courrier, certains parleraient d'un caprice du destin, d'autres du hasard. Les Romains eux préféraient accuser les Parques, ou bien les Moires pour leurs contemporains grecs, ces tisseuses qui filaient, nouaient ou bien coupaient le fil des destinées de chacun.

Je ne suis pas de celles qui se répandent sur leurs actes, leurs paroles, espérant obtenir un quelconque aval ou approbation de la part de mes pairs. J'ose croire agir comme le voudrait mon nom, qui semait autrefois la terreur en Italie et en Champagne, et qui sonne probablement aujourd'hui comme le symbole de ces destinées nobles presque vénérables, à la descendance tentant de préserver les acquis et fortunes de leurs aïeux. Ainsi considère-je ma biographie comme peu intéressante, et propice à votre endormissement immédiat.

Vous évoquez dans votre lettre l'Amitié Aristotélicienne comme raison à cet envoi vers l'inconnu. Cette méthode me laisse perplexe, mais après tout, le chemin vers la Vertu connait bien des tours, détours, raccourcis.

Pour en revenir à votre citation, j'avoue y trouver un goût de vérité, même si la parabole de l'Ermite dans la Vita d'Aristote semble vouloir prouver le contraire. Il n'est pas toujours nécessaire de se haïr pour haïr les autres, il suffit parfois d'une conviction adamantine sur sa propre valeur par rapport aux autres pour provoquer ce mépris et cette arrogance chère à certains nobles. Se réfugier derrière le mépris et la haine n'est-elle pas finalement un aveuglement pour ignorer nos propres défauts.
Je vous répondrai cette citation de Socrate "Connais-toi toi-même". La connaissance de nos faiblesses et failles permet la compréhension de nos rapports avec les autres.

Eilinn Melani.


Le coursier eut pour mission de trouver la fameuse E.L. résidant dans une taverne de Rodez, au sein du comté du Rouergue.
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Vicomtesse d'Avize, Diaconesse de Paris.
Emeline.
Le soir arriva bien trop vite au gout d'Emeline qui était toujours à Rodez, la ville y était amusante bien que légèrement routinière. Entrant dans la chambre d'auberge elle farfouilla dans le courrier découvrant une écriture inconnue, un coup d'oeil à l'homme endormi dans l'autre coin de la chambre et sourire au Vitto endormi. '' Il veille sur vous la nuit'' avait-il dit le Capitaine et la donzelle aimait à croire que son ami la protégeait du mal. S'installant donc au petit bureau elle ouvrit le parchemin à la lueur de la bougie et découvrit la réponse :

Amusée de la réponse, la damoiselle plongea sa plume dans l'encre afin de continuer cette correspondance amusante.


Citation:


    A vous, Eilinn Melani, Vicomtesse d'Avize, Diaconesse de Paris, demeurant à Nimes ;
    De nous, E-L, piégée à Rodez, Comté de Rouergue.

    Ainsi vous êtes Vicomtesse, nous sommes loin de la Catin des bas-fonds vraisemblablement, ce n'est peut-être pas si mal en soit ! Diaconesse de Paris, vous avez bien du courage chère demi-inconnue, cette ville bien qu'assurément Royale abrite bien des tordus également !

    "Connais-toi toi-même" dites-vous ? Ma foy vous avez certainement raison, nous estimons que l'être humain ce connait toujours parfaitement, mais prend un malin plaisir à cacher sa réalité, c'est de notre époque après tout. Les femmes assume, les hommes découche et les enfants aiment croire que tout est rose dans une vie qui ne l'est pas franchement. Nous pensons qu'ainsi ce mentir est toujours plus simple que d'assumer qui nous sommes en réalité. Tout ceci me fait penser à cette citation :

    « Jouer, c'est vivre. » de Michel Duchaussoy.

    Nous jouons tous, avec : l'argent, l'alcool, la vie, la religion, cherchant les limites des lois et du cœur de nos souffrances et lorsque nous les trouvons nous regrettons d'avoir jouer, mais ne regrettons jamais d'être vivants. Quoi que certains en arrivent à des actes Anti-Dogmatique qui nous laisse perplexe... Mais après tout nous pouvons vivre notre mort semble-t-il.

    Eilinn Melani de Nîmes, nous espérons vous apporter un peu de divertissements dans vos journées, au plaisir de vous lire.


    E-L.

    Fait le dernier jour de Mars 1460, dans l'auberge municipale, Rodez, Comté de Rouergue.



Pliant soigneusement le papier, elle sourit à la lune moqueuse et fixa le reste du courrier. Rien de Minlenchon ? Ça promet une réponse terriblement froide.
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Eilinn_melani
La correspondance se poursuivait, avec ce goût de distraction que pouvait apporter une lecture inattendue, une rupture de la monotonie.

Citation:
De nous, Eilinn Melani, Oiseau d'Hermès,
A vous, E-L, de Rodez, Comté de Rouergue.

La connaissance de soi-même n'est pas octroyée à tous. Elle découle d'un questionnement intérieur, d'une permanente remise en question de nos préjugés, de nos valeurs, de nos croyances en ce que nous pensons immuable. Elle s'obtient au bout d'un long chemin de vie, avec la sublimation du triptyque corps/esprit/âme.
Notre chair est le vaisseau permettant le voyage vers les contrées inconnues de la Verité, notre esprit nous permettant alors de l'appréhender dans son immensité, notre âme devenant alors Son réceptacle.
Cette Vérité n'est pas différente de la notion de divinité, elle est l'aboutissement d'une quête, mais elle est aussi cruelle dans sa notion de perfection, alors que nous ne sommes que des hommes.

Je n'apprécie pas vraiment votre citation de Duchaussoy. Chaque acte, parole et pensée a une répercussion, et badiner avec cette notion ne peut que mener à l'Obscurité et le Sans-Nom. Jouer ne signifie pas vivre pour moi, jouer est l'irresponsabilité qui mène une société à sa décadence. C'est vivre qui est véritablement l'unique chose à faire, et cela ne peut se faire qu'en ayant pleine conscience de ce qui nous entoure, visible ou invisible.

Eilinn Melani

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Vicomtesse d'Avize, Diaconesse de Paris.
Emeline.
Citation:


    A vous, Eilinn Melani, Oiseau d'Hermès,
    De nous, Emeline-L, de Rodez, Comté de Rouergue.

    Salutations,

    Veuillez accepter de nous pardonner notre silence, votre dernier courrier nous à demander un petit moment de réflexion. Une sorte de remise en question. Nous avons pu constater que vous aviez du verbe pour une Vicomtesse, nous apprécions ceci. Serriez-vous professeur ou maître dans l'art des lettres et de l'histoire ?

    Vous qui semblez avoir un avis sur tout, dite-nous donc ce que vous pensez du jugement des hommes sur les hommes et la place du jugement divin au sein de notre Royaume ? Nous avons appris il y a peu que le Roy de France peut accorder Sa Grâce et cet acte nous laisse perplexe... L'homme a-t-il le droit ou le devoirs de juger son prochain ? Nous ne pensons pas.


    Prenez soin de vous et des autres,

    Emeline. - L



Envoyant le courrier, la jeune sourit en coin et s'étira, il était temps de voir si Gen trainait en taverne. Gen... A Gen.. Elle l'appréciait cet homme.
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Eilinn_melani
Le quotidien était rythmé par les cérémonies religieuses, le baptême de sa meilleure amie, l'organisation de l'anoblissement de son futur époux, ainsi que d'autres choses chronophages qui avaient fait delaisser la correspondance avec l'étrange jeune fille du Rouergue.

Citation:
A vous, Emeline-L, de Rodez, Comté de Rouergue,
De nous, Eilinn Melani.

Je ne suis guère qu'un professeur de théologie au séminaire de Noirlac, mais oeuvrant trop peu souvent pour en développer tous les talents. Même si les lettres et l'histoire, tout comme le trivium et le quadrivium, ont fait partie de mon éducation, je ne me sens guère érudite.

Votre question est un peu étrange, je vous l'avouerai. La société est régie par des lois afin de ne pas permettre à l'arnachie de se développer. Une société sans lois n'en serait finalement pas une, chacun volant, violant, tuant au gré de sa fantaisie, et à son tour tué par vengeance, avarice, luxure, gourmandise, menant le tout à sa propre annihilation. La justice est une chose nécessaire à la cohabitation de chacun au sein d'un royaume. Le seigneur punit son vassal voleur, le juge le gueux insultant, c'est l'application d'un idéal, d'une humanification d'un concept complexe : à savoir qu'il est nécéssaire d'être impartial afin de préserver une cohésion. La Justice est une femme aux yeux bandés, portant épée et balance, et j'ose croire qu'il existe des hommes capables de l'incarner, comme St Arnvald le fut.

Eilinn Melani.

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Vicomtesse d'Avize, Diaconesse de Paris.
Emeline.
Citation:


    De Nous, Emeline-L,
    A vous, Eilinn Melani,


    Bonjour !

    Noirlac ? L'abbaye en Berry ? Nous y étions pour effectuée notre Pastorale, c'est un endroit charmant quoi qu'étrange. Nous y avons vu un poulet marcher sans tête, imaginez ! Un miracle du Très-Haut certainement. Ainsi vous y êtes professeur de théologie ? Qu'est-ce donc la Théologie, Madame Eilinn ?

    Nous avons appris le Dogme et le Droit Canon, la Pastorale, mais point la Théologie... Peut-être est-ce réservée aux grand de ce royaume comme les joutes ou la chasse ?


    Nous devions partir pour Nîmes prochainement, j'espère avoir le plaisir et la chance de vous rencontrez une fois la-bas, mais avant cela je rêve de voir la Mer et son eau que l'on dit très salée.


    Emeline L-


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Eilinn_melani
Réponse courte, visiblement l'expéditeur ne semblait pas avoir envie de répondre à toutes les questions posées.

Citation:
A Emeline-L,

Peut-être nous reverrons-nous à Noirlac dans ce cas. Et un poulet sans tête n'a rien de miraculeux, fort heureusement. Je suis également la sœur cuisinière, ainsi me trouverez-vous facilement la-bas.

Bon séjour sur la Méditerranée.

Eilinn Melani

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Vicomtesse d'Avize, Diaconesse de Paris.
Emeline.
Languedoc, Rodez et après ?! La gamine était sur les routes, elle aimait cela, voir du monde, combattre des bandits, sourire aux gréer des rencontres ennuyantes ou pas. En tout cas le courrier de la Vicomte lui arrivait toujours et la gamine prenait grande joie à lui répondre surtout aujourd'hui était un jour particulier.

Plongeant la plume dans l'encre elle traça quelques mots, plusieurs même :


Citation:


    Madame Eilinn Melani,
    Mademoiselle Emeline Lescuragne,

    Salutations !


    Madame, nous avons une demande particulière à vous faire, nous nous sommes jamais vue et pourtant j'apprécie vos mots et la douceur de vos explications ou la vivacités de votre avis. Vous êtes sans doute une femme exceptionnelle et à l'argumentaire réel et vivant.

    Aussi, nous osons vous apprendre que le Vendredi 11 Mai sera la date de notre entrée dans la Grande et certainement unis famille Aristotélicienne Romaine, nous avons un parrain de naissance et choisi par feue notre mère, mais point de marraine... Ce rôle doit à mes yeux être tenue pas une femme comme vous.

    Alors nous vous demandons humblement de bien vouloir être notre marraine devant le Très-Haut et les hommes.


    Bien à vous,

    Emeline.


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Eilinn_melani
Citation:
A Emeline Lescuragne,

J'accepte volontiers de devenir votre Marraine, tant il me semble important d'aider les hommes, ou les femmes, à aller sur la voie de la Vertu et à accomplir l'Amitié Aristotélicienne.
Il vous faudra me préciser le lieu de votre baptême toutefois.

Vous excuserez la brieveté de ma réponse, mais je prépare mes épousailles d'ici quelques jours, et parfois je manque de temps... Néanmoins j'en trouverai assez pour assister à votre entrée dans la Famille Aristotélicienne.

A bientôt donc,

Eilinn Melani.

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Vicomtesse d'Avize, Diaconesse de Paris.
Emeline.
Citation:



    Madame Eilinn Melani,

    Comment vous remercier d'accepter ? Vous devez être une femme de coeur pour le faire sans rechigner à la tâche. Le lieu me semblait parfait bien que très loin des châteaux dont vous devez avoir l'habitude. Entre Lodève et Millau il y à une petite chapelle perdue au cœur de la foret à la lisière d'un champ de blé. Monsieur Typhanie Cassavecchi à acceptée à officier dans cet endroit un peu hors du commun pour me faire plaisir et être loin des '' Évêques trop fouineur'' selon ces mots.

    Elle as dit que Edmond sera là pour indiquer le lieux aux convives et afin que je ne sois point préoccuper de l'arrivé de mes invités.


    A Vendredi Madame et ...je serais la femme devant l'autel pour vous pussiez identifier.


    Emeline.



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Eilinn_melani
Citation:
A Emeline Lescuragne,

Je prend bonne note du lieu, qui ne sera guère loin de chez moi, et serai ravie de revoir ma vassale Typhanie à l'occasion de votre baptême. Saluez la de ma part en attendant que je puisse la voir vendredi.

Eilinn Melani

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Vicomtesse d'Avize, Diaconesse de Paris.
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