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[RP] Le vieil evêque et la vierge

Minlawa
Le vieil évêque du Mans n’aimait pas quand tout ce finissait trop tôt. Lui qui venait d’avoir 50ans savait très bien.
Les jeunes, ils n’avaient pas cet avantage de savoir comment sera leur futur. Les vieux, eux ils vivaient déjà leur futur. Comme on dit : si jeunesse savait, et si vieillesse pouvait. Les jeunes sont pressés et ne prenne plus le temps de rien.
Ça circule, ça file et puis un jour on les voit plus. On les torches, on calme leurs pleurs, on les fait manger, ils nous vomissent dessus, on leur offre un toit pour être à l’abri, et le jour ou ils pourraient devenir rentables si on les revendait sur un marché aux esclaves, ils décident de partir ailleurs faire leur vie.
Alors là, il avait de la compagnie, et il en profitait, parce que ce n’était pas ses enfants qui iraient le voir le vieil évêque.
Mais tu sais papa, on a notre travail, et les responsabilités qui vont avec.
Mais tu sais papa, le petit dernier est malade.
Mais tu sais papa, c’est loin.
Mais tu sais papa, on t’aime.

Ha les cons de jeunes qui savent se faire pardonner de tout auprès de leurs parents juste en disant ça… Chantage affectif sur un père ! Ce n’est pas un crime ça ?

C’est Alors, qu'un pot de lait se décida à tomber. Cible accroché, Tango Papa Charlie, bombe largué, target target target... Direction le crane du papy Minlawa

Oui mais voila que d'un coup... Un souvenir lui revint!

Il avait une pupille.

Par les saintes burnes d'Aristote, Par Aristote bénissez-moi d'être ce que je suis. Crottin de bouc Amnésique!

Que faire à par reprendre au plus vite contact avec sa jeune filleule.

Minlawa a écrit:
      Minlawa de Montfort-Balmyr




A Emeline Lescuragne,

Moi, Monseigneur Minlawa de montfort, fait homme par la Grâce du Seigneur, te salut devant le Très Haut, et sous le regard d’Aristote.

Ma chère enfant, Ma pupille.
Je vous écris ce jour du fin fond du Diocèse du Mans, Comté du Maine car je crois qu’il est temps que je me préoccupe d’un serment qui me lie à vous et à vos parents.

Le jour de votre divin Baptême, Madame votre mère m’a demandé de devenir votre protecteur et parrain. Aujourd’hui qu’ils ne sont plus parmi-nous, je suis donc là pour me soucier de vous. Vous me pardonnerez ce temps de silence, et ce retard dans ma promesse envers vous, mais des obligations saintes et divine m’on distrait de ma propre vie, et donc de ce parrainage.

Du haut de vos quinze années au couvent à Paris, il est temps pour moi de revenir vers vous. De vous protéger, et pourquoi ne pas vous faire quitter le couvent afin de me rejoindre dans notre diocèse, sous l’autorité et les bons soins de l’évêque si l’envie vous en prennait.

Je prierais pour toi ma filleule!



Fait à le Mans, en tant que Minlawa de Montfort-Balmyr
en ce XX, jour du mois de Mars de l'an de Grâce MCDLX



Minlawa de Montfort.
Prêtre à votre service.






[Bonjour, Bonjour,
Retrait des images par mes soins car hors norme (cf les Règles d'or du coin des aRPenteurs). Bien entendu, vous pouvez supprimer mon intervention une fois que vous en avez pris connaissance.
Bon jeu, Bon RP,
Modo Mahelya]

_________________

Emeline.
Tout juste sortie du couvent, Emeline jeune femme de quinze ans tout juste profitait de sa vie sans retenue, ni excès soyons clair. Elle avait appris à gérer des écus et ben c'est déjà bien en soit non ? Au coeur de la ville, elle louait une chambre d'auberge coquette et discrète. C'était même acheté une carte ! Sa prochaine destination sera Limoges en Limousin afin d'y vivre paisiblement et rechercher sa famille du moins tenter de le faire avec avidité. En ce jour elle était sortie acheter quelques nouveau tissu en tenant compte des explications et conseil du garçon rencontré la veille. Seule ! Comme une grande, de retour elle reçue un plie et s'étala de tout son long sur une chaise pour la lire devant la cheminée crépitante.

Décidément ces parents n'avaient pas terminés de la faire payer le lourd prix de leurs petite sauterie d'un soir. Après le couvent, nous avons le parrain ! Inattendu et déroutant comme nouvelle, un prêtre en prime ben voyons la religion ne la quittera pas demain. Fixant le parchemin, elle regarda la plume et décida de répondre avant qu'il arrive en courant.


Citation:


    De nous, Emeline Lescuragne,
    A vous, Monseigneur Minlawa de montfort,

    Monseigneur,

    Quel plaisir de découvrir que nous avons parenté qui ne nous à pas oubliée. Ainsi nous avons un protecteur prêt à tout pour nous venir en aide au péril de sa vie, voici qui nous rassure. Quittez-le couvent ? Vous n'y pensez point, les sœurs sont ma foy appréciables et me font découvrir les bien faits de la pastorale.

    Peut-être aurons nous le loisir de nous voir ici-même ? Ceci éviterais un voyage sans doute couteux en Maine et lorsque vous me reverrais je serais prête pour la confirmation et vous pourrez juger vous-même des progrès effectués.

    Nous vous prions de recevoir nos salutations aristotélicienne.


    Fait à Paris,



La lettre envoyée, elle s'en voulut de mentir à son parrain, mais la liberté cela n'avait pas de prix et tant qu'il ne venait pas elle sera en paix.
_________________
Minlawa
Un jour comme tant d'autres, un jour où le jeune Mainois se lève le matin heureux d’être jeune quelque chose, pour partir pêcher sur le lac et revenir en début d'après-midi pour vendre sa prise du jour, un jour tellement banal et pourtant si différent. Aujourd'hui, comme tous les autres jours précédent celui-ci, le vieux retourne chez lui après être passé sur le marché d'où il a tiré quelques pièce de ces deux belles truites qu'il a réussi à prendre.
Depuis sa décision de vraiment s'installer en cette ville du mans, il n'a cessé de tout faire pour améliorer sa condition de vie. Les quatre planches qui lui servaient au début de cabane sont devenues une petite maison en dur, rien d'extraordinaire bien sûr, mais bien plus solide et aussi un peu plus grand, et ainsi il pourra passer l'hiver au chaud. Il possèdera bientôt deux champs, et a aura assez d'argent pour payer un théologien pour Montmirail ou Laval. Et une échoppe de boulanger... Il payera même ses impôts !

Mais là n'est pas la question, aujourd'hui, l'humeur n'est pas à la nostalgie, quoique... sans cette lettre que lui remet un voisin alors qu'il rentre chez lui, peut-être que ces pensées se seraient arrêtées là. Aucune arme précise sur le sceau qui la ferme, aucune indication sur l'expéditeur, encore un courrier d'un conseiller municipal pour un quelconque recensement... Cela mérite tout de même à se qu'il s'y attarde deux minutes.
Il rentre chez lui, pose le pli sur la table avant de raviver le feu dans son unique cheminée et de s'installer devant elle pour y ouvrir le courrier.

Il reçoit en fait le courrier de sa pupille.
Il prendra le temps de répondre.
Installée à la petite table d'écriture, Minlawa toisa le papier,
Dans un fauteuil lui faisant face un tas de papier chiffonné; brouillons ratés. Il attendait l'énoncé de quelques noms qui passerait par sa vielle caboche ridé, plume voletant au ras du vélin vierge où le vieil évêque était prêt à répondre.


Minlawa a écrit:
      Minlawa de Montfort-Balmyr




A Emeline Lescuragne,

Moi, Monseigneur Minlawa de montfort, fait homme par la Grâce du Seigneur, te salut devant le Très Haut, et sous le regard d’Aristote.

Ma chère fille,

Appelez-moi « Parrain » car ce n’est pas réellement l’évêque qui vous adresse ces courriers, mais le parrain qui vous a été choisit par votre Mère le jour de votre Naissance.
D’ailleurs cela me fait penser au fait que la foy Aristotélicienne est une foy que l’on appel Anabaptiste. C’est-à-dire que le baptême de l’enfant n’est là que pour le sauvé de l’enfer au cas où il subirait ce qu’on appel la mort du nourrisson.
Ensuite il est obligé de confirmer ce premier baptême d’enfant par un baptême d’adulte doué de la raison. Ce baptême affirme donc notre foy, rachète tous nos péchés passés, et nous donne ensuite le moyen de racheter nos péchés par la confession.
J’aimerais, si cela n’est pas déjà fait, que nous nous entretenions sur un nouveau baptême. Vous avez 15ans. En âge de décider, âge de raison, âge d’un nouveau baptême.
En ce qui concerne le fait de quitter le couvent, n’oubliez pas que la foy ne se vie pas en ermite. La retraite spirituel n’a que deux buts dans la vie : se retirer pour mieux éprouver sa foy, puis revenir à la vie de tout les jours, ou alors finir ses jours dans un lieu saint. De votre âge, je ne pense pas qu’il soit bon d’y vivre définitivement jusqu’à vos derniers jours, donc il faut penser à en sortir un jour.
l'Ermite n’est pas homme de vertu tout simplement car il n’est pas homme au départ. Il a oublié de vivre avec les autres, or les Vertus ne peuvent être vécu que si on a quelqu'un à se coté. Les vertus sont offertes aux autres, par exemple avec la charité qui ne peut pas se faire à soi même. On n'est pas charitable à s'offrir une choppe à soit même. Tout comme pour les vertus, l'amitié Aristotélicienne à besoin que l'on soit deux.
Ma filleule ne sera donc pas ermite, car je ne pense pas que vos parents l’auraient souhaité. Sinon ils ne vous auraient pas confié à moi.
Vous me demandez d’organiser une rencontre, je vais me pencher sur cette idée immédiatement. Malheureusement je suis évêque. Je ne serais pas disponible immédiatement donc. En plus il me faut le temps de venir.
Donc avant cela, discutons de votre baptême si vous le voulez bien ma chère filleule. Ensuite peut-être vous ferons-nous entrer dans un petit séminaire.


Je prierais pour toi ma filleule!



Fait à le Mans, en tant que Minlawa de Montfort-Balmyr
en ce XXV, jour du mois de Mars de l'an de Grâce MCDLX



Minlawa de Montfort.
Prêtre à votre service.





[Cheffe-cheffe Aldraien
Retrait des images dont la taille dépasse celle autorisée par les Règles d'Or. Merci de les lire pour éviter aux modérateurs de se répéter. Bon jeu.]

_________________

Emeline.
Après avoir quittée le charmant petit coin de chambre Parisienne, la ''sans ville'' décida de ce rendre en Anjou, c'était grand, beau, un peu frais peut-être ? Et puis dangereux car pas si loin que cela du Maine ou le parrain voulait la voir et la privée de liberté enfin pensait-elle. Alors, elle était prudente, donnait pas trop souvent son nom, fuyait les lieux religieux et dormait dans des auberges bien moins luxueuse. Les écus manquait également et cela était son vrais problème, elle allait devoir trouver une source de revenue rapidement ou devra travailler. Gloups ! Bon donc elle était en Anjou et prudente. Lorsqu'une réponse de son parrain arriva dans l'auberge. Double gloups.

Citation:


    De nous, Emeline Lescuragne,
    A vous, notre Parrain,

    Mon père,

    C'est amusant de constater que vous nous parlez de baptême, effectivement nous pensions confirmer celui-ci qui avait eu lieu enfant afin de reconnaître la Religion Aristotélicienne Romaine comme la seule vrais religion de notre époque. Nous avons grandie et été éduquée dans un couvent lieu clos et sans grande interaction avec le monde extérieur pourtant empli de défis et autres barrière que le Créateur nous demande de relever chaque jour de notre vie d'enfants.

    Aujourd'hui, nous souhaitons terminer cette acheminement intérieur dans une petite cérémonie de baptême ou vous serrez bien entendu selon la volonté de notre mère à nouveau parrain à nos côtés guidant nos pas vers l'astre solaire.

    En parlant de sortir du Couvent, j'ose croire que vous accepteriez de nous confier à la garde d'une amie faite ici même il y à quelques semaines. Une femme charmante et tout à fait comme il faut qui serait je pense – à dire vrais je n'en sais rien- ravie -possiblement- de nous prendre l'espace de quelques mois son sous ailes afin de nous faire découvrir le Royaume de France comme il est réellement. Rien ne nous assure quelle acceptera, mais nous pensons que nous devons connaître notre Royaume et marcher dans les traces des hommes et femme de notre époque pour devenir une Croyante encore meilleure.

    Notre rencontre pourra ce faire au Baptême sans doute ? Nous pensions allée voir la Mère supérieur ou la Grande Prieur rapidement afin de convenir d'une date que nous manquerons pas de vous communiquer.

    Prenez soin de vous et des votres.


    Emeline.



Sourire avant d'envoyer le courrier et s'effondrée sur le lit miteux, fatiguée et pensant à l'avenir.
_________________
Minlawa
Minlawa a écrit:
      Minlawa de Montfort-Balmyr




A Emeline Lescuragne,

Moi, Monseigneur Minlawa de montfort, fait homme par la Grâce du Seigneur, te salut devant le Très Haut, et sous le regard d’Aristote.

Ma chère fille,

[center]« Amie d’il y à quelques semaine. », « je pense – à dire vrais je n'en sais rien- ravie –possiblement »[/center]
Ma pupille, je puis vous dire qu’avez autant de certitude dans vos phrases, une autre se profile, celle de ma méfiance.
Une femme que vous connaissez depuis quelques semaines vous dites ? Où l’avez-vous rencontré ? Sous quelles conditions ? Voyons ma fille, je ne saurais me démettre de la confiance de votre mère et confier à une inconnue ce que l’on m’a confié. Avant d’en discuter, sachez que cela ne se fera que si je rencontre cette personne, et que des témoins de moralités se présentent à moi.
Je sais que cette précaution est un peu stricte pour vous. Cependant les routes ne sont pas les lieux de la foy. Le pèlerinage est aussi une preuve de foy qui arriverait trop tôt pour vous.
Ce baptême est la seule priorité pour l’instant pour vous et moi. N’ayez crainte, j’ai bien compris que la vie au monastère vous fait croire que rien n’arrive et que les quelques épreuves de dur labeur saura vous faire éviter tout les problèmes qu’une vie peut offrir, mais croyez en la parole d’un vieil évêque, qui a beaucoup voyagé.
Je comprends aussi que vous pensiez que la vie se comprenne sur le terrain. Mais je vous avouerais qu’il est bien plus vrai que l’on connait les tourments et les joies de la vie en culminant et non en tant que vulgaire. La base n’est en fait qu’un tas de personne qui ne savent pas grand-chose, mais qui pourtant donne leurs idées et avis sans avoir toute les cartes en mains. Si vous souhaitez réellement voyager, nous vous confierons une garde fait de soldat-clerc. Peut-être les teutoniques.
Ma chère pupille, je sais que je suis arrivé dans votre vie comme un chien dans un jeu de croquet, cependant, croyez bien que je ne fais pas l’important pour assouvir un plaisir malsain, mais bien pour respecté mon devoir de parrain. Je sais que plus tard vous comprendrez le souci que j’ai et les raisons de tous cela.
Je vous demande d’avoir la même confiance que celle que votre mère avait en moi.
Organisons donc ce baptême. Avez-vous des souhaits pour le lieu, l’officiant et les invités ? Je m’occuperais des formalités.

Je prierais pour toi ma filleule!



Fait à le Mans, en tant que Minlawa de Montfort-Balmyr
en ce XXV, jour du mois de Mars de l'an de Grâce MCDLX



Minlawa de Montfort.
Prêtre à votre service.







Après avoir envoyé ce courrier, il prit alors une décision.
Prenant un autre papier à entête il se demandait bien comment on écrivait « Ritter » ainsi que « Siegfried VonKorwald ».
Rha ils ont des ces idées les germain de se donner des noms que même dehors on ne pourrait pas coucher avec !
Il prit un nouveau papier à entête. Expliquant la situation sans trop de détail.
Minlawa allait essayer d’obtenir une garde pour sa pupille sans que celle-ci ne soit au courant.

[Cheffe-cheffe Aldraien
La taille limite des images est de 250x250 pixels, que vous y mettiez une seule image ou trois pour réduire la taille et passer outre la règle n'y change rien. Merci d'en tenir compte et bon jeu.]

_________________

Emeline.
Anjou toujours, cela sauve l'âme parait-il. Libre je suis libre et demain je me réveillerait encore libre de cette vie que je découvre. Lettre d'un parrain qu'elle n'as jamais vu, d'un évêque qu'elle ne connait pas encore, d'un homme qu'elle va peut-être aimer un jour. Mais qui peut avec certitude prévoir l'avenir. Réponse dans cette chambre d'auberge, devant-elle une fenêtre, derrière un lit et au milieu le vide.

Citation:


    De nous, Emeline Lescuragne,
    A vous, mon Parrain et protecteur,

    Mon père,

    Nous pouvons comprendre votre méfiance, mais pouvons-nous parler au nom d'une autre femme ? Vous savez comme il est complexe d'obtenir la protection d'une âme qui n'est pas celle d'un membre de votre famille. Je ne pense pas que Gabrielle soit femme à refuser, cependant personne d'autres ne pourras prendre une telle décision à sa place. Ni moi, ni vous, ni Dieu.

    Des témoins de confiance ? Allons bon, vous qui avez ma garde n'avez même pas confiance en moi ? Vous me pensez capable d'être une de ces femmes qui s'enfonce dans les bras de la Créature Sans Nom. Vous me prenez déjà pour une pécheresse avant même d'avoir la certitude que j'en suis une. Stricte est le mot, un jour viendra ou vous n'aurez plus le devoir de me protéger et celui-ci reviendra à l'homme que j'aurais choisi pour une union devant le Très-Haut et les hommes dans le but de fonder une famille et de trouver l’amitié aristotélicienne. Voyez je vous cite même le Droit Canon dans le désir d'avoir votre confiance.

    Les routes ne sont surement pas lieu de Foy, mais les couvents également pensez-vous qu'auprès des miens j'aurais de quoi devenir une femme de la société. A quoi bon avoir famille noble et parrain Évêque si ce n'est pas pour représenter ceux-ci dans des lieux ma foy de possible débauche, mais toujours proche du Créateur.

    J'aimerais réellement voyager, envoyer donc vos Soldat-Clerc au Couvent de la ville de Paris et nous serons tout deux comblés de bonheur. Prenez-moi avant afin que mes mâles soit bouclés et sachez que Gabrielle sera présente, avec vos soldats nul besoin de la rencontrer avant ils seront assez reconnaître une fidèle Aristotélicienne.

    Concernant le Baptême nous voulons qu'il ce déroule à l'Abbaye de Noirlac en Berry, si la soeur Neti pouvait être officiante nous en serions ravie et comblée. Pour les invités vous pensez leurs envoyer invitations ? Je m'en occuperais personnellement, nous serions heureuse d'écrire à nos amis pour les inviter à telle cérémonie. Le plutôt sera le mieux.


    Nous vous prions de recevoir nos salutations aristotélicienne.


    Fait en Anjou,

    Emeline.



Envoyant la lettre en colère, elle ne remarqua même pas son erreur. Comme quoi mentir c'est nul et qu'un jour tout s'apprend. En colère toujours, elle attrapa un second parchemin et écrivit.


Citation:


    A Gabrielle,
    D' Emeline,

    Mon amie,

    Comment ce déroule la vie au Couvent ? J'espère que les soeurs ne sont pas trop dure avec vous, cet endroit ne me manque pas, mais vous je dois vous avouer que si. La vie dehors n'est pas toutes rose, mais elle me plait. J'y croise des personnes fortement aimables et d'autres assez effrayantes. Les hommes ne pense décidément pas comme nous, hier encore l'un d'entre eux me proposait de payer ma chambre en partageant sa couche. C'est dégoutant !

    Alors que je vous écris, je suis en Anjou, c'est un lieu pas franchement déplaisant, mais il me me rassure pas. Laissez moi vous raconter :

    Alors que j'étais encore à Paris, un Évêque du Maine m'as écrit comme étant mon parrain et Protecteur. Malheureusement loin d'avoir envie de me donner de la liberté il est décidé à me coller des Soldats-Clerc dans les pattes. J'ai mentis en disant que j'étais encore au couvent, mais je ne sais pas combien de temps encore il va me croire.

    Je lui est demandée le droit de voyager en votre compagnie à la sortie du Couvent, mais il as refusé en prétextant qu'on ne confie pas sa Pupille à la première venue. Si vous saviez comme je suis triste mon amie, à croire que les femmes ne seront jamais libre dans ce Royaume et condamnée à être la propriété d'un homme ou d'un lieu religieusement ennuyant. Enfin ce parrain venu du passé à aussi un avantage bientôt je serais baptisée devant Dieu et les hommes. vous serrez là dite moi Gabrielle ?


    Donnez-moi de vos nouvelles, jolie brune.

    Avec toutes mon amitié.

    Emeline.


_________________
Minlawa
Ha les femmes de société… Les nobles et leur gout du paraitre. Le spirituel mis de coté pour des fars et de la poudre.
Minlawa n’aimait pas vraiment les nobles pour leur esprit étriqué par le pouvoir et les scrutins.

Il n’aimait pas non plus les femmes qui croyais que « dire ce qu’on pense » faisait d’elle des femmes de forces, d’esprit, alors qu’au final elle ne passait que pour des femmes d’émotions qui parlait « avec leur bonne intention » et « leur cœur » et finissait toujours par parler trop vite en gémissant et pleurnichant. Se plaignant et finissant par vivre dans des béguinages après avoir tué leur époux. Tout ça pour une ride qui les aurait mis de mauvaise humeur. Ha les humeurs et les femmes. Là où l’homme savait réfléchir avec son esprit, son savoir, la femme réfléchissait selon si elle était habillé en bleu ou en rouge.

Ha les émotions qui transparaissent dans les courriers. Rien de pire, mais il répondait tout de même à l’effronté.


Minlawa a écrit:
      Minlawa de Montfort-Balmyr



A Emeline Lescuragne,

Moi, Monseigneur Minlawa de montfort, fait homme par la Grâce du Seigneur, te salut devant le Très Haut, et sous le regard d’Aristote.

Ma cher pupille,

Vous pouvez comprendre notre méfiance. Ainsi, si vous comprenez, je n’aurais donc pas a justifier plus ce choix au sujet de votre "amie". Choix qui plus est déjà fait puisque j’ai prit contact avec une commanderie teutonique. Dans le cas ou vous souhaiteriez partir en pèlerinage, J’ai demandé à ce qu’un teutonique se mette à votre suite si j’en faisais la demande. J’attends justement leur confirmation dans les quelques jours et les connaissant, je ne crois pas qu’ils refuseront. Ce jour là vous serez libre de circuler. Mais cela ne saurait se faire avant votre confirmation de baptême.
De plus, je sens dans votre lettre comme une pointe d’exaspération. Je la comprends, vous n’avez pas a la justifier ni à me la faire comprendre, je savais que cela arriverait. Vous avez trop vécu enfermé dans un monde clôt, ayant probablement oubli ou méconnue les réalités d’une vie qui se passe en dehors du couvent.

Ceci est ainsi fait que si on faisait confiance à la femme, qui plus est de 15 ans, on aurait des guerres aussi vite qu'elles ont des amourettes. Qui plus est pour une femme, de quinze ans, qui n’a encore pas connue les tentations de la vraie vie, de décider pour elle-même trop vite, avant d’avoir été préparé à celle-ci.

Ne voyez pas en moi votre bourreaux, mais bien celui qui vous protégera de la rencontre de ce tragique destin qui s’ouvrirait à vous si je n’étais pas là. Faites moi confiance et sous peu, vous serez protégé spirituellement mais aussi de corps. Vous serez heureuse si vous me faites confiance ma filleule.

une femme de la société, si c’est là votre bonheur recherché, je peux vous le faire devenir. Les femmes de société ne viennent pas des rues et routes parcouru. Les plus couru ne court jamais, comme le dit le dicton. D’ailleurs, à propos de cela, renseignez vous et partager pleinement la vie du couvent. Cuisine et potager devrons être vos œuvres aujourd’hui. Mais n’ayez crainte, s’il le faut, je vous ferez envoyer une servante qui saura vous enseignez ce dont vous avez besoin. Je pense que dès que j’aurais la réponse de l’ordre teutonique, je ferais envoyer ce garde immédiatement vers votre couvent, pour qu’il me renseigne sur vos manques et besoin principaux. Attendez le donc dès réceptions de ce courrier, car il est possible qu’il soit déjà en route.
Je suppose que cette Gabrielle est l’amie dont vous me parliez.
Ma cher pupille, je sens bien le ton de plus en plus condescendant dans votre courrier. Mais comme je vous l’ai dit, je comprends vos émotions. Je n’en tiendrais donc pas rigueur pour l’instant. Mais en bonne femme de société, je vous conseillerais un peu de tempérance. Je suis à votre service comme le débiteur de votre Mère. Mais je suis aussi clerc qui a l’habitude d’une certaine éducation qui a fait ses preuves. Je sais être la carotte, comme je sais être le bâton.


Je prierais pour toi ma filleule!



Fait à le Mans, en tant que Minlawa de Montfort-Balmyr
en ce XXV, jour du mois de Mars de l'an de Grâce MCDLX



Minlawa de Montfort.
Prêtre à votre service.





C'est alors, que le pigeon s'envola.
Revenant sur une nouvelle lecture du courrier il s'étonnait: "Fait en Anjou".
Il se frottait le menton.

[Cheffe-cheffe Aldraien
Idem que plus haut, merci d'en tenir compte. Bon jeu.]

_________________

Emeline.
Encore ?! Bon toutes liberté semblait envolée pour le coup. Elle lu, fronça les sourcils et soupira. Elle devait répondre, assurément, vous n'y pensez pas de lui dire '' Je veux être libre, comme ma mère.'' Elle la maîtresse d'un homme et terminée morte n'était pas franchement dans ses projets.

Citation:


    De nous, Emeline Lescuragne,
    A vous, mon Parrain et protecteur,

    Je comprends votre méfiance, pas votre refus, nous y reviendrons en temps et en heure.

    Une commanderie Teutonique ? Vous ne pensez pas en faire trop, les Soldats-Clerc ont surement mieux à faire que de surveiller une femme sur les routes du Royaume de France, de plus se sont des hommes. Il ne vous est jamais venu à l'esprit qu'une escorte de mâles risque d'apprécier de me protéger plus que raison même au cœur de ma couche ? Je ne suis pas certaine qu'une pupille de quinze ans enceinte d'un teutonique ne vous aidera pas dans la suite de votre évolution religieuse, soit, qu'ils me protège vous en serez le seul responsable. Mais vos amis ne pourrons me refuser le droit de voir mes amis.


    Oubliée ? Peut-ont oublier ce que nous n'avons pas connu mon père ? Je suis dans ce couvent depuis ma naissance et voilà que j'oublie le Royaume de France ? Je ne le connais même pas ce Royaume là ! Qui est le Roy ? Qui porte la Royaume ? Quel est le souci majeur de la politique actuel ? Tout est à apprendre et vous m'enfermez dans ce couvent sans éducation autre que religieuse. Je ne tolère pas d'être l'ignorante du Royaume ce n'est pas Convenable pour une femme de mon rang.

    Mon bourreau ? C'est cet endroit sans vie et entouré de vieille soeurs, pas fichu d'avoir un geste d'amour et ceci devrait être le Saint Lieu d'une Religion louant l'amitié ? Être Aristotélicienne ne fait pas de moi la domestique chargée des corvées et du nettoyage des assiettes, me semble-t-il. J'exige d'être libre de découvrir le monde qui est le mien et d'en profiter dans l'intérêt des miens et de ma famille.

    Mon baptême dépend que de vous à présent, faite le faire rapidement et nous serrons tout deux satisfait d'une confirmation qui vous prouvera que je ne suis pas une femme mêlée aux démons.

    Je ne souhaite ni carotte, ni bâton, simplement le droit de vivre comme vous dans un endroit accueillant qui saura devenir ma maison.

    Bien à vous et au plaisir de vous voir à mon baptême.

    Emeline.


Envoyant le courrier, elle regarda la Lune et lui tira la langue. Un jour ma belle tu auras la chance de caresser ma peau, mais ne rêve pas. Ce jour-là ! Tu ne m'auras jamais tout à toi. Je saurais te rendre folle, te faire rêver de mon corps . Mais le soleil lui sera mon maître et le seul lieu qui auras mon amour.
_________________
Minlawa
Une certaine routine s'est de nouveau installée dans la vie du vieux, la vie à la cathédrale du Maine sous le soleil chaud, l'apprentissage des livres, de temps à autres un retour chez lui pour s'occuper de la foy de ses voisin, de sa toute nouvelle obe de bure qu'il vient d'acquérir et ces lettres qui arrivent à intervalles presque réguliers, cette correspondance qui en quelque sorte rythme sa vie d'homme.

Habituellement c'était des fidèles, mais pas là


Minlawa a écrit:
      Minlawa de Montfort-Balmyr



A Emeline Lescuragne,

Moi, Monseigneur Minlawa de montfort, fait homme par la Grâce du Seigneur, te salut devant le Très Haut, et sous le regard d’Aristote.

Ma cher pupille,

Pour la compréhension du refus j’ai confiance en le Créateur et dans le Temps.
Quand vous aurez éveillé votre esprit à ce qui se passe vraiment en dehors de votre couvent.
D’ailleurs, si vous voulez vraiment ne pas comprendre pleinement ce choix, sachez qu’une femme de société se marie, que pour cela elle doit être vierge que sur les routes peu sur, il y a souvent un dé troussage des vierges par des mécréants et briguant peu scrupuleux de la vertu d’une femme. Tant que ça se vole, ils prennent.
Alors j’ai choisit tout particulièrement l’ordre militaro-religieux le plus sérieux et l’homme le plus amoureux de sa femme que je connaisse. J’ai pleine confiance en cette Homme qui, s’il l’accepte, se présentera à vous sous le nom de Monseigneur le Ritter Teutonique Hobb Siegfried VonKorwald. C’est-à-dire l’une des personnalités les plus importante ce cette ordre.
Et n’ayez crainte pour mon évolution religieuse. Je suis arrivé au terme de ma vie, et à l’endroit exacte où je souhaitais me trouver. Je suis Evêque, et Archexorciste. Cela me suffit largement. Ce qui me préoccupe aujourd’hui, c’est vous. Votre avenir sur lequel je me dois de veiller.
Ce teutonique n’aura pas pour but de vous rendre prisonnière, juste d’être votre épée et votre bouclier contre les mauvaises rencontre. Ceci est légitime et aussi me permettrait de dormir le soir, vous sachant protéger. Reprenez vos raisons. Mais peut-être ais fait une erreur. Peut-être n’est il pas tant de quitter ce couvent et que vous y restiez encore un temps. Une année de plus dans ce couvent pour y apprendre la tempérance et l’écoute de l’autorité. Et j’enverrais tout de même ce Grand teutonique pour vous l’apprendre.

J’ai peur que le couvent ait oublié de vous élevé du moins dans la foi autant que dans le respect. Si votre mère était encore là.
Pour ces raisons, je vais prendre encore un mois. Je reprendrais contact avec vous au bout de ce moment. Pour voir si vos idées ont murit. Sauf si vous répondez à ce courrier avec raison et excuse sincère.


Je prierais pour toi ma filleule!



Fait à le Mans, en tant que Minlawa de Montfort-Balmyr
en ce XXV, jour du mois de Mars de l'an de Grâce MCDLX



Minlawa de Montfort.
Prêtre à votre service.




_________________

Gabrielle_blackney
Une amitié qui ne peut pas résister aux actes condamnables de l'ami n'est pas une amitié.
- Emile Alain -

Citation:
A toi, Emeline
De moi, Gabrielle


J’imagine volontiers que la vie dehors te soit plaisante. Surtout pour toi qui découvres la vraie vie. Je t’envie si tu savais. L’enfermement ne me réussit pas. Je m’ennuie à mourir et j’ai l’impression que je ne sortirai jamais. Mais tu sais tout ça.
J’ai bon espoir malgré tout de sortir d’ici quelques semaines. Je vois bien que j’arrive à les tromper sur ma repentance, et ma demande de baptême, très sincère celle-ci, les adoucit un peu.

En effet, les hommes ne sont pas comme nous. Mais tu sais, les femmes ne sont pas toutes vertueuses.
Ton parrain Evêque a malheureusement raison. Je ne t’ai jamais expliquée clairement pourquoi j’étais dans ce prieuré, mais tu sais bien que si j’y étais c’est que ma conduite n’était pas des plus idéales.
Mais ne t’inquiète pas, il est sûr que nous nous retrouverons et que ma fréquentation ne fera pas de toi une femme perdue. Ma moralité n’est pas des plus aristotélicienne, mais je sais me tenir et j’ai quelques qualités.
Nous arriverons bien à convaincre ton parrain de nous laisser nous rencontrer. Il faut juste qu’il évite de savoir le pourquoi de mon enfermement.

Mais tu as raison. Nous ne serons jamais libres. Du moins, nous devons cacher notre liberté et agir discrètement. Mais il nous reste quelques possibles. Crois-moi, je l’ai expérimenté. Mais si nous nous faisons prendre, les conséquences seront toujours bien plus terribles que pour le sexe dit fort. Fais ce que tu veux, Emeline, sois libre, mais toujours avec les yeux baissés. Ils nous croient soumises et se méfient moins. Les hommes sont des imbéciles. Mais certains valent le coup tout de même. Un jour, peut-être, je te parlerais de celui qui valait le coup pour moi.

Bien sûr que je viendrai à ton baptême. Si je suis encore ici, j’escaladerai les murs du potager et je volerai un cheval. Mais je viendrai.
Où aura lieu la cérémonie ?

Je n’ai toujours pas le droit d’écrire. Du moins pas ce genre de lettre. Nous sommes donc au petit jour, la première messe va commencer. J’y cours et je confierais cette lettre à qui il le faut pour que tu la recoives.

Amicalement,

Gabrielle.


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Emeline.
Parfois les erreurs peuvent vous supprimer tout droit humains, plus encore lorsque vous êtes une femme de caractère et de Foy. Dans ce genre de cas, vous n'avez plus le choix, vous vous excusez et tolérez qu'un homme dirige votre vie. Mais n'oubliez jamais ce qu'il à fait et faite lui payer le prix fort, qu'il regrette d'avoir eu ce pouvoir sur votre vie, qu'il n'oublie jamais que Femme et liberté sont deux synonymes. Elles ont la pouvoir, mais laisserons toujours croire qu'ils sont bien meilleurs.

Citation:


    De nous, Emeline Lescuragne,
    A vous, mon Parrain et protecteur,


    Je vous prie de vouloir croire en mes sentiments de regrets profonds. Je suis consciente que ma lettre était marquée par manque certain de contenance lié à mon impatience d'entrer dans le monde. Je pensais que vous pouviez comprendre qu'après toutes une vie passée entre quarte murs j'aurais appréciée en sortir plutôt que de m'ennuyer follement dans ce lieu qui n'aide pas à l'Amitié Aristotélicienne.

    Comment voulez-vous faire évoluer votre foy et votre vertus dans un lieu ou tous et toutes ce comportent parfaitement bien. Dans tel lieu Dieu ne peut nous dresser des barrières et nous ne pouvons les enjamber. Vous qui soudainement vous présentez à moi et décidé de ma vie, vous semblez ne pas avoir conscience que cela fait quinze longue années que j'attendais de vous qu'un geste d'attachement.


    Vous voulez me confier à un inconnu afin de soulager votre sommeil ? Quand allé vous prendre vos responsabilité ? Bébé on m'as confiée à un Couvent de bonnes soeurs aigrie et sans affection, Adolescente à un homme Soldat-Clerc sans lien de parenté à qui passerais vous le relais après celui-ci ?

    Vous voulez des excuses mon père, je ne peux vous en présenter plus sincère que celle-ci : Je vous prie de m'excuser d'être née illégitime et d'avoir sans doute tâcher la généalogie de ma famille pour les trente prochaines années, ma mère à dû décélérer en vous un homme capable de supporter cette lourde tâche.

    J'attendais cet homme ''épée'' aux portes du Couvent de la Ville de Paris dans une semaine, ainsi je vous prouverais que nous ne sommes pas la damoiselle sans éducation que vous pensez rencontrer, mieux nous ne pouvons pas faire.

    P.s : Je me dois d'écourter ce courrier, il est l'heure des Vêpres.

    Emeline.



Envoyant le courrier, elle sourit dans la chambre d'Auberge et répondit cette fois-ci à son amie et seule confidente. Peu importait quelle ne pouvait répondre, Emeline savait à qui confier le courrier afin qu'il soit transmis et ensuite détruis.


Citation:


    A VOUS, Gabrielle,
    De nous, Emeline,


    Salutations,

    Plaisantes n'est pas vraiment le mot qui conviens le mieux à mon idée de la vie. Nous dirons quelle est enivrante et pourtant si complexe.


    Nous pensions nous baptisée à l'Abbaye de Noirlac en Berry, un jour de ce mois d'Avril, si notre protecteur nous laisse cette chance. Je hais les hommes ! Et cet air hautain qu'ils laisse derrière eux, comme ... Passons ! La colère n'amène jamais rien de bon finalement.

    Nous espérons que la vie au couvent n'est pas si mal, tout à fait entre nous vous ne ratez rien dehors. Hier les gens dans la rue hurlait à la gloire du nouveau Roy de France. Nous n'avons pas vraiment tout compris en soit, mais il était agréable de pouvoir hurler à gorge déployée sans ce faire rouspéter ensuite.

    Passez le mur ? Vous n'y pensez pas ! Nous trouverons un moyen de vous faire venir en toute légalité.

    Nous vous donnerons de nos nouvelles bientôt, soyez bénis.

    Emeline.


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Minlawa
Minlawa s' agaçait.

Ha les gamines. Il devrait demander au teutonique de lui mettre un tatouage façon pointure 45 en armure histoire de la faire sortit un peu sa pupille de son petit monde doré où tout tombe tout cuit dans le bec trop vite, sans faire d’effort.
Le problème des ordres et monastère, c’est qu’il habituait à une certaine oisiveté certains qui, cultivent, prient, mange, re-prient puis dort, puis ça recommence. Donc forcement quand tout est à porté de main, que les besoins et le temps laisser les hommes et femmes rêver à une fuite vers l’extérieur alors qu’ils n’en connaissent rien… ça donne des chieuses…

Minlawa a écrit:
      Minlawa de Montfort-Balmyr



A Emeline Lescuragne,

Moi, Monseigneur Minlawa de montfort, fait homme par la Grâce du Seigneur, te salut devant le Très Haut, et sous le regard d’Aristote.

Ma cher pupille,

J’accepte vos excuses.

Comme je vous l’ai dit, j’ai tout à fait compris votre impatience, je vous l’ai pardonné dans un précédent courrier. Cependant je pense qu’il faut aussi savoir raison garder et poser des limites.
Vous apprendrez bien plus tard, que ce que je fais pour l’instant, vous semble liberticide, mais qu’au contraire, cela vous apprend à vivre cette liberté que vous aller obtenir bientôt.
Se lancé dans la vie, c’est comme se lancé dans un lac. Si vous ne savez pas nager, vous vous noierez ma chère enfant. Vous allez justement apprendre à évoluer avant de sortir du Couvent. N’ayez crainte.

N’ayez crainte non plus sur cet inconnu de vous, mais qui ne l’est pas de moi. D’ailleurs il est connu et reconnu pour presque une grande majorité des clercs qui travail à Rome. Comme je le suis. Et ce relais s’arrêtera auprès de moi. Je vous rappellerais aussi que c’est vous qui souhaitez parcourir les routes. Donc que c’est ce choix qui m’oblige à vous confier à un homme de confiance.

Je prierais pour toi ma filleule!



Fait à le Mans, en tant que Minlawa de Montfort-Balmyr
en ce XXVII, jour du mois de Mars de l'an de Grâce MCDLX



Minlawa de Montfort.
Prêtre à votre service.




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Emeline.
Game over, reconnait tes tords fillettes et paye en le lourd prix!

Citation:


    De nous, Emeline Lescuragne,
    A vous, mon Parrain et protecteur,

    Père,

    Pardonnez-moi car nous avons trahie votre confiance, avant de nous juger mon parrain laissez-moi vous raconter l'histoire qui nous poussa à continuer dans le méfaits et le mensonge au point ou aujourd'hui nous nous sentons coupable et nous confessions à vous à l'aide de ce courrier qui assurément ne vous rendra pas de très bonne humeur :

    Lorsque nous avons appris votre existence nous étions déjà sortie du Couvent qui nous à vu grandir depuis notre naissance, nous venions de découvrir la liberté et avons eu peur de votre arrivée soudaine dans notre vie. Comprenez que l'enfant que nous sommes ne souhaitait pas retourner dans un couvent ou nous n'avions ni amis, ni droit de ce dégourdir les jambes ailleurs que dans le cloitre, endroit pour le moins banal lorsque vous le parcourrez pendant quinze très longue années.

    Innocente comme nous sommes, nous voulions découvrir ce Royaume, dépenser nos écus en tissu inconnus et autres objets à la mode, afin de devenir enfin : Une femme du monde. Nous voulions que notre famille soit fier de nous et découvre une illégitime qui à réussi dans sa vie et non une pauvre gamine sortent du couvent et leurs trainant dans les pattes.

    Nous avons donc quitté Paris pour Saumur et Saumur pour Limoges, allant de découverte en découverte de soirée agréable en taverne à journée plaisante au bord de l'eau. Nous tenons à vous faire savoir que jamais notre honneur ou notre convenance ne fut bafouée, ni même notre foy car nous allions à la messe aussi souvent que possible priant avec ferveur et regrettant de vous mentir. Mais encore une fois nous avions peur que notre Protecteur devienne notre bourreau nous empêchant de devenir celle que vous voulions être.

    Dieu ne fut pas de notre avis et cette nuit à dû décidé que tout ceci n'avait que trop duré, car nous avons payée un lourd tribu à nos actes déplacés. Nous vous contactons de Rodez ou nous nous sommes faite attaquée par trois malotrus qui nous ont dépouiller de tout nos biens. Mais là aussi nous vous devons explications :

    Arrivée à Limoges nous avons connaissance d'un garçon d'un printemps moins grand que nous : ''Vittorio Angelo de Cognin Franchesse Casaviecchi'' vous devez connaitre sa tante ? Typhanie Anastasia Casaviecchi une religieuse elle aussi, partie en retraite nous semble-t-il.

    Vittorio Angelo est garçon comme il faut très respectueux et accepta de m'accompagner à Nîmes en Languedoc afin de faire pèlerinage vers le Cornichon de Saint-Théodule. Mais arrivée en Rouergue nous avons eu quelques problèmes, disons que deux hommes et une femme ont décidé de nous souhaiter bienvenue à leurs façon et nous sommes coincée dans la Capital sans argent, ni nourriture.

    Père, nous avons que vous allez être déçu et que nous avons mal réagit, nous aurions dû vous dire la vérité dès le départ et acceptez vos choix, car étant adulte vous savez ce qui est bon ou non pour l'enfant que nous sommes. Oh mon père, nous vous demandons votre aide, après avoir passée la nuit dans un champ de Cochon à mi-morte nous voici famélique et honteuse d'avoir fait la forte tête. Mon Protecteur venez nous en aide nous avons besoin de vous....

    Nous allons prendre contact avec le curé de la ville nommé Saintjuste en espérant que vous saurez nous pardonnez et sachez que nous accepterons punition et corvées, bien entendu.

    Père, parrain, Monseigneur, c'est avec honte et grande culpabilité que nous terminons notre courrier, vous savez tout de votre pupille.

    Emeline.



Envoyant le courrier, elle soupira et ce réchauffa au coin du feu d'une taverne, comment allait-elle faire ?! Dormir en prison ? Hors de question ! Elle allait devoir trouver des écus et pour ça il faudra...Tr...tr...travailler ?! Eurk ! D'accord, d'accord, mais hors de question de se salir les mains, elle iras à l'église tiens !
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Minlawa
A peu prêt en même temps que celui de sa pupille, un autre pigeon apportait des compléments sur cette nouvelle.

Il prendrait le temps pour répondre à sa filleule.

Mais il répondait immédiatement au prévôt.

Citation:
De Minlawa de Montfort, Evêque du Mans
à Gen, Capitaine à la Prévôté du Rouergue.

Nous, Monseigneur Minlawa de Montfort, Evêque du Mans, vous saluons devant le Très Haut, et sous le regard d’Aristote.

Nous avons eu votre courrier à peu prêt en même temps que celui de notre Pupille.
Nous sommes mitigés dans l’attitude à tenir pendant cette épreuve. Au moment où nous avons reçu votre courrier, nous allions justement écrire à l’ordre teutonique, pour qu’une lance soit organisée et rejoigne notre filleule.

Notre faute étant d’avoir laisser trop longtemps une enfant de quinze ans sans surveillance.

Nous vous remercions et prierons pour vous d'avoir mis notre pupille sous votre protection.

Ps: si l'enquête devait déboucher sur des noms, pourriez vous me les faires parvenir? Je vous en rendrais grâce.

Que cela soit dit à tous!


Fait à Mans, en tant que Evêque de Le Mans
en ce XXVIII, jour du mois de Mars de l'an de Grâce MCDLX


Minlawa de Montfort.
Evêque à votre service.



Il avait hésité à demander à ce que sa Fillote soit mis aux fers.
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Emeline.
Rodez, la ville était agréable étrangement, étrangement car c'était une capitale et pourtant celle-ci était peuplée d'âmes encore inconnue de l'innocence. Il y en avait pourtant deux que la gamine appréciait malgré leurs humeurs et leurs moqueries à son ignorance. Mais l'endroit plaisait à la jeunette même si il y avait des règles imposées par ces protecteurs du moment comme ne surtout pas quitter la ville tant que son Parrain ne lui avait autorisée, c'était un maigre prix à payer ma foy. Elle n'avait pas eu de nouvelle de l'évêque et savait que sa colère devait être grande, aussi décidant de bien ce comporter, elle était polie, courtoise et cherchait à ce faire oublier.

Heureusement il y avait Vitto également ! Le jeune garçon était une source de bonne humeur et prenait soin d'elle autant qu'un frère, elle savait qu'il ne la laisserais pas avant que tout deux soit en sécurité et pour cela Emeline en était reconnaissante.

En ce jour, elle avait terminée sa tâche à accomplir au sein de l'église et décida d'écrire à Gabrielle pour la tenir au courant des événements. Elle n'iras pas dans les détails bien entendu, mais tout de même.


Citation:


    A vous, Gabrielle,
    De nous, Emeline,

    Mon amie,

    Vous n'allez pas nous croire, mais nous avons dormis en compagnie de cochons. Non pas d'hommes à l'hygiène douteuse, mais bien de vrais cochons à quatre pattes et de couleur rose pâle. Ceux-ci nous on invités dans leurs champs pour passer le nuit, c'était particulier. A dire vrais des rustres nous on collé une raclée nous offrant la possibilités de lier pareil amitié animalière.

    Aussi nous sommes coincée à Rodez ville charmante au demeurant, bien que loin de notre destination finale ma fois.

    Nous espérons que vous allez bien et que votre ennuis n'est point trop grand.

    En pensant à vous.

    Emeline.



La gamine envoya le courrier et couru en taverne rejoindre Gen et sa compagne.
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