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[RP]« Le bonheur n'est pas le droit de chacun...»

Enzo.blackney
    «...c'est un combat de tous les jours. »
    de Orson Welles


Et pour mon bonheur à moi, je vais faire le con.

Oui, Enzo allait s'abaisser à un comportement dérisoire, qui sans doute n'en valait pas réellement la peine. Il existe diverses façon de sauver son honneur, certaines sont plus honorifiques que d'autres. Ce jour, s'en est une forme qu'il va aller gagner. Tous ne le verront pas de cette manière, mais le jeune Blackney ne peux pas laisser ce genre d'impudence aller plus loin que ça. Mordric lui avait dit d'arrêter de faire l'égoïste et de devenir un homme. Et c'est bien ce que comptait faire le jeune homme, ce jour. L'escale à Montpellier serait de courte durée, mais assez pour que le fils du Chat est à faire ce à quoi il meurt d'envie depuis plusieurs jours. Malgré un œil déjà amoché, et une lèvre fendu par des combats inutiles, il n'allait pas faire le lâche devant l'affront qui lui avait été fait. Car oui, Enzo est orgueilleux. Orgueilleux et prêt à défendre son petit bonheur à lui : Gabrielle. Le pas qui fait lever la poussières sur les dalles de Montpellier est donc pressé, méprisant, lourd d'une rage qui lui brouille la raison. Mordric. Ce sale type qui osait tourner autour de sa cousine, qui tentait par des mots de l'amener vers lui, pour plus qu'une relation d’amitié. C'est ce qu'il avait comprit en tombant sur les lettres que ce dernier avait osé écrire à sa cousine. Dubitatif, il avait jeter un œil, et ce qu'il avait lu l'avait fait bouillir. Même si, déjà auparavant, l'envie de mettre son poing dans la tronche de Mordric était déjà bien présente.

Et même si, maintenant, il était certainement plus sur des sentiments de Gabrielle à son égard, Mordric était un ennemi. Un homme avec la possibilité de venir lui retirer celle qui compte le plus pour lui, même s'il ne l'avoue pas. Enzo est jaloux. Même Audoin l'a remarqué tellement c'est flagrant, et pourtant il le renie. Il le renie, mais se dirige tout droit vers la rue de Traverse, où il est sur de retrouver le Montpelliérains. Ce n'était plus de la petite provocation pour railler, et le jeune Blackney avait décidé que s'en était assez, qu'il n'allait pas rester sans rien faire, et sans rien faire alors qu'un autre tente de mettre dans sa couche Gabrielle.Entre les lettres, les regards, les sourires et les remarques, le vase avait débordé, et Enzo allait lui faire ravaler le goût l'envie de s'approcher trop près de Gabrielle. Il n'allait pas laisser l'affront du fait qu'il tournicote autour de sa cousine ainsi. Même si leurs relations étaient interdit, même si personne ne cautionneraient leurs agissements, même si tout était perdu d'avance. Il tenait à elle, et c'était maintenant très clair, elle tenait à lui aussi. Enzo fit donc volte face, regardant Audoin dans les yeux, un air légèrement mauvais sur le visage.


- « Vous... ! Je veux la paix. »

Et de lever le menton, fourrant les mains dans les poches de ses braies, alors qu'il se détourne et reprend son chemin. Il ne veux pas qu'Audoin se mêle de ça. Même si son travail est de s'assurer de la protection du fils du duc. Là, actuellement, ce dernier en a simplement cure. Il n'a qu'une envie : Casser le nez de Mordric. Alors qu'Audoin fasse ce qu'il veut ! Aujourd'hui, il n'allait pas réussir à raisonner son impétueux jeune maitre. Jalousie et colère en poche, Enzo est prêt. Aussi débile soit cet énervement de coq. Sourire méprisant, menton relever, le Blackney se racle quelque peu la gorge avant de crier :

- « Mordric ! Sort de ton trou à rat ! TOUT DE SUITE ! Si tu ne veux pas avoir la honte de ta vie en m'obligeant à aller te chercher par le fond des braies ! »


Guerre de coqs, guerre de cowboys. Manquerait presque la botte de foin et les pistolets. Un honneur est en jeu. Pas celui que son père voudrait. Mais ça n'en reste pas moins un.
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© JD Alcalnn pour la citation. Création originale de JD Marin.
Mordric
"Pour jouer au salaud
Comme les fils de John Wayne
Avec un long manteau, un chapeau..."*


"- « Mordric ! Sort de ton trou à rat ! TOUT DE SUITE ! Si tu ne veux pas avoir la honte de ta vie en m'obligeant à aller te chercher par le fond des braies ! » "

Il n'y avait pas deux voix pareilles de par le comté, assurée et arrogante, à l'image de l'homme qui venait de crier au dehors. Ainsi c’était donc ce jour que le convoi des Pairs repassait en ville. Et apparemment ce n'était pas le Blackney attendu qui se présentait devant sa taverne, mais le pendant masculin de la famille.
Qui semblait presque aussi joyeux qu'à son habitude. Presque. Nuance qui ne serait sûrement pas très subtile.

La journée avait pourtant si mal commencée ! Pourquoi fallait-elle qu'elle suive le même chemin ? Soupirant et las d'avance, le Chapeauté quitta son comptoir. Levé depuis peu, bien que la matinée tirait à sa fin, il était apprêté comme à son habitude, drapé dans son mantel, coiffé de son chapeau. Et c'est ainsi paré, après avoir traversé la salle vide de clients qu'il passa la porte, gagnant la rue alors qu'au loin sexte** sonnait.

Deux hommes sous le soleil du sud, à l'angle de rues passantes de Montpellier, devant une taverne. Le Chapeauté, amusé regardait le Blackney. Le jeune homme semblait avoir eu quelques problèmes à Lodève si l'on en jugeait de l'état de son visage. Son air lui, semblait furieux, son envie mal dissimulée. L'heure de se battre ? Décidément, sale journée.
Mais c'est d'un ton aimable et calme qu'il lui répondit.


Lo Bonjorn Chaton. Trop fainéant pour te faire servir à l'intérieur maintenant ?

Sourire large. Yeux rieurs. S'il devinait les intentions du jeune homme, autant les aviver un peu avant d'en profiter.

Et je sais que tu en connais un rayon sur la honte en étant celle de ta famille, mais j'ai vécu pire situation déjà, je te remercie. Que puis je donc faire pour toi ?

Nouveau sourire, nouvelle provocation. A quelques mètres l'un de l'autre, à quelques instants d'une collision.

* -M- Machistador.
** Midi.

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Enzo.blackney
    « [...]It's the moment of truth it's the moment to lie
    It's the moment to live and the moment to die
    The moment to fight, the moment to fight, to fight, to fight, to fight [...] »

    This is war- 30 seconds to mars


Il se tient droit dans ses bottes le Blackney, mains bien fourrés dans ses poches, toujours. Ses sinoples suivent avec un certain mépris la silhouette de l'homme qui sort de la taverne. Un oiseau siffle non loin de la scène. L'un est chapeauté, l'autre des mèches de cheveux qui lui tombe un peu devant les yeux. Le soleil brûle, et le vent fait lever quelque peu la poussière. S'il jugeait son homologue de façon méprisante, c'était bien pour n'avoir aucun respect envers le Chapeauté. Pour ne retenir aucun coups qui lui était, selon Enzo, mérité. Le silence ne tarda pas à être rompu, et il toisa Mordric, retirant une main de ses cheveux pour retirer les mèches de ses cheveux qui, depuis Bayonne, avaient relativement poussé. Le Blackney était levé depuis longtemps, et attendait ce moment depuis plusieurs jours déjà. Le moment jouissif où son poings irait se fracasser dans le visage de Mordric. Alors le jeune impudent s'avança, sourire narquois sur le visage, arrogant à souhait. Si le pistolet existaient, sans doute qu'Enzo aurait jouer au traite et tiré à même la sortie de l'homme. Ce n'était pas dans son caractère d'être déloyal, mais l'envie de mettre du bleu autour de ses yeux rieurs étaient beaucoup plus tentant qu'un combat à la loyal. Et pourtant, il avait demandé à Audoin de rester en dehors de ça. Allait-il écouter les ordres de son jeune maistre ? Aucune idée. Mais reste néanmoins qu'il voulait se battre. D'homme à homme. De prouver qu'il tenait à Elle.

- « Mordric ! »


Un nom. Une haine cracher. Il avait de la chance de pas être breton, car sinon, il aurait osé le crachat au sol le Blackney. Ils bougent légèrement les épaules alors que le sang bouille en lui. Et c'est lui qu'on voyait comme un être désagréable. Hautain il était, ça c'était clair, mais au moins, il n'avait pas ce genre de paroles cruels en bouches. Du moins, c'est ce qu'il pensait. Midi avait sonné, et le sol sera alors fauché par d'autres individus, qui pourraient alors remarquer la scène. Mais Enzo s'en fichait. Un attirait son attention actuellement. Le Chapeauté. Gabrielle était, il ne savait où, et ça aussi l'importait peu en ce moment. Qu'elle débarque ou non. Que Valériane ou Brekthas débarquent. Qu'Audoin ou même Actarius ou un membre de sécurité Languedocienne débarquent, l'Impétueux s'en fichait. Franchement. Il s'en irait pas bredouille sans un moindre coup de la droite sur Mordric. Ça c'était bien clair. Au risque de visiter les geôles pour la deuxième fois de sa vie. Il était sobre, il n'avait pas perdu au ramponneau. Son humeur venait du fait qu'il avait lu les mots que l'homme avait osé envoyé à Gabrielle. Et c'était bien assez pour réclamer bataille.

- « Ça aurait été si indécent d'aller te déformé le visage chez toi, Mordric... »

Rire narquois, sourire arrogant. L'autre main qui se retire de la poche, quelques pas pour raccourcit la distances entre les deux hommes, la langue d'Enzo de passer légèrement sur sa lèvre inférieur blessé. Les mains se lient ensemble pour aller faire craquer les doigts et les jointures. Gabrielle. Pardonne-lui d'être aussi crétin, la jeunesse à ses désavantages, et on ne bafoue pas l'honneur d'un Blackney. Surtout quand cet honneur porte le synonyme de Femme.

- « Si tu penses m'avoir avec quelques mots bien placés Mordric, tu te trompes. Sache alors, que la honte que ma famille voit en moi porte le nom de Gabrielle. Soit, si tu le vois comme une honte...»

Un second pas, suivit rapidement d'un troisième. Malgré l'envie de lui sauter un visage, Enzo était tout de même un jeune homme d'armes. Il jugeait donc quelque peu la situation avant d'oser l'affront, tandis que l'atmosphère se tendait de plus en plus. Avait-il attroupement ? Il en avait aucune idée. Mordric. Sale type. Pire que lui. Peut-être plus agréable sur certain point, mais au moins le Blackney n'était pas du genre à aller voler les femmes des autres. Ou presque.

- « Alors comme ça on écrit à Gabrielle. J'ai vu. J'ai lu. Je sais.Et toi, Mordric, as-tu envie d'une deuxième honte ? Au moins, moi je n'ai pas d'hideuses cicatrices sur les mollets à cause de batifolage. Je n'aurais aucun scrupules à ce que tu perdes ta mobilité... pour le reste de tes jours. »

Le Blackney reste alors immobile, arrogant, droit. Il dépassait Mordric en taille, et la jeunesse pourrait être un avantage. À voir. Le Chapeauté savait-il se battre déjà ? Le regard mesquin, la main droite d'Enzo se referma en un poings qu'il serra quelque peu, ne lâchant pas l'homme des yeux.

- « Solhard ! » *

Trad. C'est le moment de vérité et le moment de mentir
Et le moment de vivre et le moment de mourir
Le moment de combattre, le moment de combattre, de combattre, de combattre, de combattre

* En Oc : Salaud, pardon de la vulgarité.

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© JD Alcalnn pour la citation. Création originale de JD Marin.
Mordric
[...Now it's time to blow this f*ucker down...*]

Le sourire n'avait toujours pas quitté les lèvres du Montpellierain.
Coq et coquelet se faisaient face en un duel qui ne se voulait que verbal.
Pourtant la tension se voyait dans le corps du Normand et le regard qu'il fichait dans le sien semblait déborder de colère.
Pourtant il paradait, fanfaronnait et menaçait. Qu'attendait-il pour se libérer de tout cela, qu'attendait-il pour agir, cesser une fois pour toute de parler ?

Toutefois, c'est un soupire las et dépité qui s’enfuît entre les lèvres du Chapeauté.
Lentement, il leva la main pour se débarrasser de son couvre-chef, le laissant tomber dans la poussière, révélant ainsi sa chevelure attachée en queue.
Lentement, il retira son mantel qui vint rejoindre son chapeau au sol, faisant s'élever un peu de poussière entre eux alors que d'un ton fatigué, il donna la dernière provocation nécessaire au jeune homme. Du moins l'espérait-il.


Enzo... Tu es venu là pour te battre ou pour jouer au gamin contrarié comme d'habitude ? Tu n'apprendras donc jamais à être un homme ? Une bonne fois pour toute ?

Et comme pour prouver que l'heure était venue, c'est toujours aussi souriant, le visage nimbé de moquerie qu'il écarta les bras. Invitant le jeune homme à ouvrir les hostilités.
Il se considérait offensé, à lui l'honneur du premier coup.
L'important serait celui qui porterait le dernier.
Les yeux toujours rivés dans ceux du Blackney, il attendait, sans se soucier de la suite et de justesse il retint un bâillement provocateur.


* Maintenant il est temps de régler son compte à ce merdeux. Beelzeboss - Tenacious D

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Enzo.blackney
[ Face to face, out in the heat *]

Alors le Chapeauté n'aime pas les joutes verbales ? Parfait, Enzo non plus. Alors, il attend que le Montpellierain est fini de se « déshabillé », sourire narquois au bord des lèvres. Le Blackney n'a rien enlevé. Il fait trop chaud - pour lui - pour le mantel et il n'est pas du genre à se fanfaronner avec des tas de couche de vêtements. Donc, pas besoin d'aller retirer sa chemise, ce n'est pas un défilé, et il n'est pas venu pour faire le beau. Il n'avait répondu à aucunes des paroles du jeune homme, ce qui avait l'avantage - ou le désavantage - d'être venu l'agacé. Même s'il n'était pas venu parlementer, il aurait pu, tout du moins, répondre. Alors que la provocation venait d'être lancé, un vent chaud passa entre eux, faisant relevé un peu plus de poussière que ce qu'avait provoqué le chapeau et le mantel en tombant au sol. Le pire c'était que le Chapeauté osait le regarder un de ces sourires moqueurs, écartant les bras. Un viens bien différent de ceux que Gabrielle lui lançaient. Un viens qui n'allait pas se faire attendre bien longtemps, car le Normand s'avançait vers Mordric, sans hésitation aucune. Comparé aux choses de couches, le Blackney était beaucoup plus à l'aise quand il était question des armes, des batailles et des combats. Même à mains nues.

Alors s'il fallait lancé les hostilités il n'allait plus hésité.

Solhard**. Chaque coups donné sera pour Elle. Même si c'est complètement stupide. Un homme ! Il voulait qu'il apprenne à être un homme. S'il restait encore un peu de sang froid au Blackney, maintenant, il en avait plus. Il s'élança directement sur Mordric - qui d'autre ! - air menaçant, énervé à souhait. Un poing rapide de la droite se dirigea directement sur son rival, tandis que l'autre, une fois la distance bien raccourcie, se préparait à frapper le ventre du Montpellierain.


- « Ça c'est pour toute les fois où tu as osé me railler en taverne. »

Le reste sera pour Gabrielle.Le Blackney se foutait des représailles, Mordric pouvait bien le frapper. D'ailleurs c'est le but d'une bataille, mais il n'avait aucunement l'intention d'être le perdant dans cette histoire. Défends-toi Chapeauté ! Sinon je te colle au sol et tu auras la deuxième pire raclé de ta vie, au minimum !

* Pour l'ambiance tout ça. Trad.Face à face, dehors dans la chaleur
** En oc : Salaud. Encore.

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© JD Alcalnn pour la citation. Création originale de JD Marin.
Mordric
["Bet you sleep like a child with your thumb in your mouth
I could creep up beside put a gun in your mouth
Makes me sick when I hear all the sh.it that you say
So much crap coming out it must take you all day"*]


Gosse de riches face à gosse des rues.
Le Normand avait l'avantage du premier coup, mais ça ne serait pas suffisant pour se débarrasser du Chapeauté. La droite atteignit l'arrête du visage du Montpellierain alors que son adversaire se sentait le devoir de préciser les raisons de son ire. La mâchoire encaissa le coup alors que la douleur éclata brièvement.
Malheureusement pour le jeune Blackney, le Chapeauté s'y connaissait en matière de douleur et il lui faudrait une pluie de coups pour le réduire à néant. Et comme tout bon habitué des rixes, le gamin abandonné aux rue à l'âge de sept ans qu'il était avait appris à se servir de ses poings. Bien mieux que d'une épée.

Le second coup que s'apprêtait ensuite à donner le Petit Con était attendu.
Il savait se battre apparemment, du moins il savait où frapper. La technique manquait peut-être un peu...
Mais cette fois il ne le laisserait pas l'atteindre et d'un pas rapide, s'écarta de la trajectoire alors que sa droite vola à son tour, visant l'une des pommettes de son adversaire, celle surplombée par l'oeil amoché. Tant qu'à frapper, autant parachever l'oeuvre de ses prédécesseurs.
Et pour titiller encore plus le gamin, autant le faire avec le sourire et l'oeil rieur. Autant se foutre de lui.
Peut-être qu'ainsi il comprendrait qu'il était la risée du convoi entier.

L'heure n'était plus aux passes d'armes que le Garde Épiscopale échangeait avec ses petits copains. L'heure était venue à la rue, aux frappes vicieuses et au résultat final.
Coups bas, moqueries. Ce genre de combat ne se gagnait pas au nombre de coup portés, mais à ceux qui faisaient mouche là ou cela blessait le plus.
Et face à un Normand à l’ego aussi énorme, c'était un jeu d'enfant.


Si tu baises aussi mal que tu frappes Enzo, je plains Gabrielle.

Emballé c'est pesé ? Le sourire du Chapeauté se faisait plus large encore.

* F#ck U - Archive. Trad:
Je parie que tu dors comme un enfant avec ton pouce dans la bouche,
Je pourrais me glisser à tes côtés et le remplacer par un flingue.
Ça me rend malade quand j'entends toute la m
.erde que tu dis,
Tellement de conneries qui sortent, ça doit te prendre toute la journée.

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