[RP] Grand bal de printemps !

Le crieur était passé partout annonçant :

Amis Lourdais et visiteurs un grand bal aura lieu à l'occasion du quatrième anniversaire de notre ville. Le thème sera le printemps.

Venez déguiser ou avec vos habits de fêtes ou même vos haillons aucune importance. Mais amenez tous une fleur qui sera déposer dans un grand panier. Plus le panier sera rempli plus vous prouverez votre attachement à notre ville.

Le bal commencera Lundi 23 avril.

Puis il avait poser une affiche avant d'aller plus loins.


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Quand une Femme du Monde dit "non", ça veut dire "peut-être". Quand elle dit "peut-être", ça veut dire "oui". Quand elle dit "oui", ce n'est pas une femme du Monde.

Mettez cette table là ! Faites ceci ! faites cela ! elle donnait ses ordres et pendant que les serviteurs s'occupait de préparer la salle elle alla dehors voir si tout se présentait bien.

A l'entrée de la salle un joli banc était couvert de fleurs.



Après s'être assis un moment elle rentra dans la salle. Celle ci décorée de fleurs et de nombreux bougeoirs étaient pratiquement prête.



Il ne restait plus qu'à poser dans l'entrée un joli panier ou chaque participant mettrait sa fleur.



Tout était prêt il ne restait plus qu'a allez se préparer.
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Le grand jour était arrivé.

Le crieur l'avait annoncé en ce 23 avril un grand bal serait donné.

Le Sieur Korrigan venait d'achever une pénible journée de labeur à la mine. Il était couvert de crasse et un bon bain n'aurait pas été du luxe.

Il s'empressa alors de rentrer. Il pris un seau pour aller puiser de l'eau afin de procéder à ses ablutions.

La marmite fut vite remplie et l'eau commença à chauffer.

Il entreprit alors d'aller chercher quelques jonquilles . Dame Azilize n'avait elle pas dit que c’était le bal du printemps et qu'il fallait venir avec des fleurs ??

Les bras chargés de fleurs, il rentra chez lui et rempli la bassine d'eau chaude . Il se saisit d'une brosse et nu comme au jour de sa naissance il se frotta joyeusement afin de faire disparaitre l’épaisse couche de crasse qui le recouvrait.

Cela étant fait, il se sécha et revêtit les vêtements tout neuf qu'il venait d'acheter à Dame Jolimome.

"De belles braies toutes propres c'est quand même mieux pour paraitre en public"

Une fois habillé et briqué comme un sou neuf, il accrocha sa bourse, chargea ses bras de fleurs au doux parfum et quitta sa demeure d'un pas guilleret en direction de la salle de bal.

" Une belle soirée en perspective, peut être de belles rencontres qui sait ? "

Le sourire aux lèvres et les bras chargés de fleurs, il accéléra un peu le pas, tout excité de ce premier bal dans ce village qui l'avait si bien accueilli

Egwene arriva au bal, elle avait reçue l'invitation et avait bien l'intention de participer à une petite fête.

Elle avait enfilée une tenue en "bon" état, qu'elle avait réussit à troquer en échange de quelques contes à un vieillard sur le marché.

Elle avait choisi d'apporter des crocus, une fleur qu'elle avait trouvé sur le bord du chemin quand elle se promenait. Elle la déposa dans le panier prévu à cet effet, et partit à la découverte des lieux...



La salle était magnifique et très bien décorée, il y avait peu de monde pour l'instant, mais la soirée promettait d'être longue. Elle se mit à l'écart, contre un mur de la salle, en attendant l'arrivée des autres.

Azi avait passer un long moment à prendre un bain, faut dire qu'elle était fatiguée. La journée avait été dure. Pendant que Pierrette lui frottait le dos elle se mit à papoter comme au bon vieux temps.

Après le bain, elle mis une de ses plus belles tenues, tout à fait d'actualité. La robe de dessous était jaune très clair et celle de dessus vert foncé. Une ceinture d'or fin finissait sa toilette.

Pierrette lui fit une coiffure comme elle en avait le secret, puis posa un cercle d'or qui tenait un léger voile jaune clair. Après s'être regarder dans un miroir elle se prépara à partir pour Lourdes.

Lorsqu'elle arriva à la salle déjà les lourdais commençaient à arriver.

Elle salua ceux qui était déjà là.

Bonjour chris, tu est très beau... ces dames de Lourdes vont se battre pour danser avec toi.

Bonsoir Egwene, voilà une très belle fleur. Tout aussi belle que toi. Je te présente Chris.

Je vous laisse je doit me préparer pour accueillir les autres invités.

Elle les quitta en souriant...
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Nairolf avait promis de venir et en était d'ailleurs ravi.
On lui avait dit de venir avec un fleur... voilà qui serait facile pour lui.
Il choisit une rose fort rouge, désignant un amour passionel; voilà qui allait fort bien pour lui.



Il s'en alla alors dans sa plus belle (et propre) tenue vers le bal où il était heureux de constater qu'il n'était pas le seul arrivé sur les lieux.
Déjà plusieurs autres personnes se trouvait au bal.


Bonjour à toutes et à tous.
Nairolf est arrivé, pour vous servir.
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Quand une Femme du Monde dit "non", ça veut dire "peut-être". Quand elle dit "peut-être", ça veut dire "oui". Quand elle dit "oui", ce n'est pas une femme du Monde.

Près du pas de la porte, elle hésitait. Elle avait reçu le courrier du maire, quelque part elle pouvait donc presque se considérer comme invitée elle aussi. Mais c'était un bal lourdais, elle n'avait pas de costume et devait repartir d'ici quelques heures. Détail supplémentaire, ses bâtons constituaient un obstacle certain à l'agilité pourtant fort utile de tout danseur qui se respectait.
En d'autres termes, elle ne présentait aucune caractéristique habituel de la gracieuse danseuse qui se rendait au bal en sautillant légèrement. Seul petit détail qui prouvait qu'elle ne se rendait pas simplement travailler aux champs, ses braies gueule ne présentaient pas la moindre trace de poussière ou de boue. Elle les avait lavées de frais pour venir. Ne pas pouvoir danser, ne pas pouvoir porter de houppelande, ne pas pouvoir rester, c'était une chose, mais ce n'était pas une raison pour arriver comme une souillon à une petite fête.
A défaut de déguisement, elle portait donc ses bâtons et en guise de fleur, un bouquet de muguet et de fleurs fraichement coupées qu'elle avait confectionné avant de venir. Puisqu'elle ne pouvait rester et participer aux réjouissances, elle déposerait simplement son panier avant de retourner préparer la carriole et le bourricot.

Approchant de la porte entre-ouverte de la salle, elle frappa ses bottes au sol pour en faire machinalement tomber la poussière, puis pénétra dans la place, son bouquet en mains. Elle le déposa à côté du panier où s'entassaient déjà quelques fleurs fraiches apportées par les participants. Ceci fait, elle n'eut que le temps de saluer les quelques têtes connues avant de repartir en direction des portes de la ville. Le convoi n'attendait pas.


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Elle alla commander que les musiciens commencent et appela les Lourdais et leurs visiteurs à commencer la danse. Pour débuter elle avait demander une farandole afin que célibataires et couples puissent se lancer sans problème sur la piste de danse.

Elle avait glissé dans ses cheveux une fleur sauvage puis attrapa la main de ceux qui étaient déjà là et se lança dans une farandole effrénée. Son voile voletait et une mèche indisciplinée coulait sur son visage. Elle riait du plaisir que lui prodiguait la danse.

Elle entraînait la farandole vers ceux qui restait sur le coté.

Allez allez... on vient tous danser... Venez venez...
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Quand une Femme du Monde dit "non", ça veut dire "peut-être". Quand elle dit "peut-être", ça veut dire "oui". Quand elle dit "oui", ce n'est pas une femme du Monde.

Egwene avait vu le salle se remplir assez rapidement, et il devait certainement avoir encore pas mal de monde, des retardataires, comme souvent...

Elle essayait de retenir les noms, les visages des arrivants, mais avait bien du mal à se souvenir de tout le monde. Il ne fallait pas lui en demander trop à la jeunette non plus...

Egwene remercia d'un grand sourire Azilize qui partait déjà voir les autres invités :

Merci, tu es très élégante toi aussi.

Puis elle se tourna vers le sire : Enchantée. Je suis Egwene, toute nouvelle.

Elle eut à peine le temps d'un petit sourire timide que la Tribun appelait déjà les invités à se joindre à la danse. Elle suivit donc les autres personnes qui se pressaient déjà sur la piste, se greffant à la file agitée qui passait à côté d'elle. Elle avait toujours aimé dansé, et là il fallait dire qu'elle allait être servie.

Bien que peu rompu aux us de la danse, Chris se laissa emporter dans la farandole.

Il avait saisi la main d'une inconnue et tourbillonnait maintenant au milieu de la foule, bercé par l'entrainante musique.

La salle s'etait remplie tellement vite qu'il n'avait pu faire connaissance avec tout le monde.

Il reconnut néanmoins certains visages, des personnes croisées dans les ruelles ou en taverne.

Il était heureux à l'idée de connaitre de nouvelles personnes, de se faire de nouveaux amis.

Il quitta un instant la piste de danse afin de se rendre au comptoir et d'y déguster une chopine.

De là, il pouvait observer à satiété, les gentes demoiselles parées de leurs plus beaux atours.

Les Messieurs n’étaient pas en reste. Partout s’étalaient les plus belles étoffes, les plus belles coiffes et les plus beaux costumes.

Il fut presque gêné de son apparence négligée, mais il se laissa une fois de plus emporté par la musique.

La farandole avait laissé place au quadrille. Il était temps de s'enquir d'une partenaire.

Le bal. La jeune fille avait reçut un message du maire lui faisant part de la manifestation printanière qui allait se dérouler.
A la réception du message elle était au couvent, refuge qu'elle avait adopté ne se faisant pas à la ville. C'était pourtant sa ville mais rien n'y faisait, elle n'y arrivait pas.
Poussée cependant par la Mère Supérieure qui n'avait eu de cesse de lui répéter qu'il fallait qu'elle sorte, qu'elle rencontre du monde, Helwena avait finit par abdiquer et elle avait fait son sac.

Seulement 2 jours Avait-elle bien précisé.

La jeune fille n'était pas faite pour être nonne, elle ne trouvait pas de bonheur à y être mais là au moins il n'y avait pas toute cette foule oppressante qu'il y avait en ville.

Le sac à l'épaule, Helwena sortit du couvent dans la matinée et prit le chemin de la ville. Elle passa la journée à l'auberge puis le soir, donna un coup de peigne dans ses longs cheveux, se pinça les joues pour leur donner un peu de couleur, ajusta sa capuche sur sa tête et rejoignit le bal.

L'écho des voix et de la musique se faisait entendre de loin. A coup sur il y devait y avoir du monde. Prenant son courage à 2 mains, elle s'approcha de la salle et glissa dans le panier la fleur qu'elle n'avait pas oublié d'apporter.



Se faisant, elle repéra une chaise dans un coin et s'y installa en vitesse. Regardant la décoration et les danseurs un petit sourire se dessina sur ses lèvres mais elle ne bougea pas pour autant de sa place.
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Toujours à la recherche d'une partenaire, Chris remarqua une frèle jeune femme assise dans un coin de la salle.

Il s'arma de courage et se dirigea vers elle.

"Madame vous etes bien en beauté, je ne pense pas avoir l'honneur de vous connaitre. Je me presente, Chris Korrigan. Me feriez vous l'honneur d'une danse ?? "