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[RP] Ils vinrent ... !

Namaycush
A Vent Mauvais….Coeur Carmin !




Depuis trois éternités, la fureur de l’ego et la colère des hommes menaient ceux-ci au-travers de leurs desseins les plus virils, les plus mâles et aussi les plus absurdes.

Mâles dominants de leur essaim, ceux-ci, souvent, s’entourèrent de cour de poules à joli plumage, mais à caractère plus que dominant, qui dans la vérité de la chose menaient ces hommes vers un destin certain de poire, à savoir mourir par la queue, sous un joug matriarcal implacable.

Un Balbuzard s’aperçut bien vite que son vol planait bas, à ras de l’eau, moustiques de plein bec, comme Falco à la débarque de Cosnes, mais à l’oreille, sans le poil, et décida de devenir corbeau, planard des hauts sommets, fréquentant la haute et épousant Jagellon, oubliant que les Alpes ne couvraient point Bourgogne.

Bourgogne, fier terroir, devenue à l’apogée d’une flétrissure non noble, qui aurait pourtant pu se révéler le millésime du siècle, se trompa de vigneron comme de maître de chais. Bourgogne n’y est pour rien, Bourgogne a cru, Bourgogne a été trompée et Bourguignons sereins seront rétablis, quoiqu’il advienne.

Charognes s’allièrent, Gypaète et Corbeau s’unirent, mal ramage s’essaya à l’art de la trouvère, sans talent à hauteur de Gamalinas.

Certains crièrent au traître, sans compréhension aucune, facile de déclamer sans savoir, mais premiers à demander explications à leur déclaration de félonie, alors que facile il leur était de ressasser accusation facile contre Carmin donnant fer juste contre un ennemi d’alors, ne s’étant jamais permis d’insulter la régnante d’alors.

Au-delà des hommes, se déroulait l’enjeu, celui de la crédibilité de la Couronne, celui d’une féodalité presque perdue, celui d’une coalition fédérée.

Borne franchie, limite dépassée, comme celle moussue, à odeurs de sous-bois sur laquelle était gravé… « Burgundiae », relique d’une Rome que nul n’égalera.

Namay allait, menant les siens, beaux qu’ils étaient, venus de tous horizons, confortant l’image d’une Couronne unie devant l’absurdité d’une prise de décision dénuée de raison à l’affrontement perdu, prouvée par la sortie de territoire de grands seigneurs se révélant bandits de grand chemins, peut-être à décharge de Falco, sachant préserver les siens comme pouvant leur ordonner d’aller au front.

De bonne humeur, comme toute troupe sereine, qui saurait perdre ou gagner, en volupté de panache, donne-t-il le ton à voix de baryton… et index battant la mesure


Trois, quatre… !

Prise de souffle…

La dame de Charolais avait promis,
La dame de Charolais avait promis,

De rester fidèle à son pays.
De rester fidèle à son pays.

Mais son cœur à foiré, vers le noire perroquet.
Dansons la saltarelle
Vive le son
Vive le son

Dansons la saltarelle
Vive le son du canon !


Joyeuse troupe se ferait entendre, partageant bonne humeur avant le fer…
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Ptitmec13
Qu'il était bon de retrouver cette troupe là. La route se faisait au rythme des bruits des sabots de leurs montures, ou des couinements d'une roue de charrette de ci de là. Et bien sur leurs ménestrel qui n'avait pas tardé à mettre en vers leurs aventures.
A la suite du Cap elle ne se fit pas prier pour entonner le couplet suivant.


Monsieur Corbaque a débarqué,
Monsieur Corbaque a débarqué,

Très vite il nous a instaurés,
Très vite il nous a instaurés,

Une bile de Conseil à Dijon, remplis à foison de pigeons.
Dansons la saltarelle
Vive le son
Vive le son
Dansons la saltarelle
Vive le son du canon!
Bastien_de_louhans


Bastien entendit qu'au début de la colonne, certains avaient entonné l'hymne de cette expédition. Il trouva ça de bon augure, ça impliquait que l'armée royale n'oubliait pas pourquoi elle était venue. La félonie avait donné naissance aux rebelles, et on ne pouvait donc s'attendre qu'à de nouvelles félonies de leur part dans le futur. Il choisit donc un couplet qui montrait son état d'esprit. Pourvu que les paroles de cet air, qui unissaient les troupes, ne soient pas sacrifiées sur l'autel d'une négociation aux illusoires bénéfices.

La Mirandole a fait venir,
La Mirandole a fait venir,
Des excuses pour se prémunir,
Des excuses pour se prémunir.

C’était bien essayé,
Mais nous n'sommes pas benêts.

Dansons la saltarelle
Vive le son, vive le son
Dansons la saltarelle
Vive le son du canon !

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--Ben_moi_des_fois_ze_voni
Une affichette esseulée, arrachée de son clou par une bourrasque, voletait en claquant dans la bruine. Elle fit quelques petits loopings dans les airs au dessus des remparts. Elle chuta en plongée vers les douves pour mieux tourbillonner au dessus des champs.

Puis elle alla, humide et crottée, se vautrer bien à plat sur la face d'un soldat qui chantait.

Gamalinas
Le rythme était donné, la marche était lancée, la troupe avançait. Sur l'ultime chemin de la Capitale bafouée, Carmin vint entreprendre le début de la bataille, celle qui fait chanter. Un à un la composition faite sur les routes fit entonner par tous, alors qu'un placard vint se placarder sur un piéton près de Saint Gervais. L'homme un peu surpris retira la chose de son faciès alpin et regarda la chose avec dégoût. Gamalinas sur son cheval, en se penchant sur le côté regarda ce que l'affiche renfermait avant qu'elle soit jetée par l'homme d'arme. Chacun ses armes dans la lutte des idées, mais déverser sa bile ainsi exprime peu d'esprit. Apportons en.

A Dijon figurait Tiallaz.
A Dijon figurait Tiallaz.

Il était en retraite grivoise.
Il était en retraite grivoise.

On le savait tous niais et le voila prouvé.

Dansons la saltarelle
Vive le son
Vive le son
Dansons la saltarelle
Vive le son du canon.

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Evalys
Evalys souriante avait écouté le début de la chanson et emporté par le tempot elle ne pu s'empêcher d'en chanter une bride qu'elle avait apris par coeur, elle s'avança d'un pas, vétu de sa houpelande de façon élégante et leva la voix à son tour en essayant de chanter juste :

Son Eminence de Brantôme
Son Eminence de Brantôme

A fait lever tous ses hommes
A fait lever tous ses hommes

Aristote nous protège, au Roi on rend cortège.

Dansons la saltarelle
Vive le son
Vive le son
Dansons la saltarelle
Vive le son du canon.

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Kahhlan
Petit sourires les écoutant les uns après les autres entonner les vers de leur camarade ménestrel ...
Le cap , voix de ténor qui ne la surprenait pas , avait entamé la marche fort gaiement et si elle ne possédait pas de lyriques talents, c'est avec plaisir qu'elle entonnait le couplet suivant derrière Gama et Eva, nullement gênée par la bourrasque matinale ...



Carmin a écrit à Bouillon
Carmin a écrit à Bouillon

De se préparer à Dijon
De se préparer à Dijon

On a plus de deux cent pains, pour éponger le larcin.

Dansons la saltarelle
Vive le son
Vive le son
Dansons la saltarelle
Vive le son du canon !

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Juliane
Blonde en deuil, glacée, mais blonde à la voix claire :

Dénigrer Italiens et Impériaux ! (bis)
Etes-vous bien mieux placé messire Falco ? (bis)
Mais son cœur est navré et on va le soigner.
Dansons la saltarelle
Vive le son (bis)
Dansons la saltarelle
Vive le son du canon.
Sofio_de_valmonte
Et on ira….
Déçus par le constat amer des futures élections en Bourbonnais Auvergne, ils avaient décidé de s’en aller, de passer l’été quelque part dans le sud, qu’importe, si cela n’était qu’a deux. Se voyant déjà passer des soirées sur la plage avec comme seule compagnie une lune qui forcement aurait été très belle. Mais comme toujours les projets avortés avaient fini par dériver, d’un début d’été romantique, se retrouver dans une armée parée pour le pire….


Quand les Duchés ne se faisaient pas la guerre, les nobliaux trouvaient toujours à s'occuper en se tirant dans les pattes entre eux pour des raisons la plupart du temps qui auraient dépassé l'entendement du commun des mortels. Une guerre intestine faisait rage en son duché, alors que tout prés des frontières une fronde s'armait, le choix avait été vite fait.

Ce n’était pas non plus anodin ,tant de mois passés en conseillée ducal l’avaient immobilisé, mis à part une excursion pour assister au trépas d’une amie en Lorraine, ils n’avaient que très peu bougé. Qu’importe en avait’t'elle tranché le suivre comme il la suivait dans ses délires les plus fous passait avant tout.

Pour le Roy, lui avait’il dit…elle avait sourit, partant du Bourbonnais Auvergne sans se retourner, ni remarquer les signes qui font des présages , forte de ses ressentiments comme la confiance et la franchise, elle avait fini par se persuader que l'aventure serait belle, qu’importe si le brouillard s’épaissit, qu’importe si le corbeau hurlait au loin, c’était bien sa main glissée dans la sienne et maudite soit les écrevisses, les truites et les promesses.

Mais les choses étaient différentes, et pour la première fois de son existence, cette colère qui la qualifiait tant, cette rage de vaincre et de prouver quelque chose l'avait abandonnée.Vidée elle avait passé la nuit à essayer de comprendre, aucune vipère d'eau n'était venue troubler le début de soirée, d'autres en leurs genres s'en étaient allégrement chargées.

Au petit matin l'armée fit son entrée dans le village, l'ambiance semblait au beau fixe, de chants et de pas lourds, si au moins l'ordre de pouvoir bénéficier de quelques heures de repos était donné, elle pourrait s'isoler et prendre le temps au temps.


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Ongwhu
Le gastéropode............. hummmmmmm................ normalement c est pas méchant a la base, mais quand cela s accouple a un corbeau, ben cela donne un beau bazar !

Bon , l un avait pu voler ailleurs, voyant que cela allait chauffer pour ses fesses, mais l autre...........?!?

Ben oui c est pas très réactif a la fuite , voir même très lent.....



Ernesto lui regardait dans les fourrés, histoire de voir si il trouvait pas le maistre félon.......


Bref Memento était bien là, le chant avait commencé, ce qu il le fit rire.
Sacré Sire Gamalinas, une vraie plume , il avait encore une fois de plus sorti un vrai bijou




Sur l’eau la guerre vient de grandir, (bis)
Le boutre ennemi s’est vu périr. (bis)
Les voila bien nommés, ces gens du cœur navré.
Dansons la saltarelle
Vive le son (bis)
Dansons la saltarelle
Vive le son du canon.

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Poutreur de Gastéropodes Félons
Chipolata


Enfin le retour au pays ! Enfin le grand nettoyage ! Enfin le retour au bon droit ! Enfin la chasse à la volaille dégénérée !

La Saucisse chevauchait le coeur gai de l'hallali venant ! Elle qui avait prêté son épée si souvent pour la Bourgogne n'avait jamais eu autant de plaisir à le faire que cette fois ! Vider la Bourgogne de toute l'engeance qui y pratiquait la terreur depuis des années lui était le plus doux des élixirs... après le chiporhum cela va de soi !

...et fait écho de son joli timbre :


Devinez qui a quitté Dijon. (bis)
A Sémur il retrouve son fripon. (bis)
C’est le noir corbeau, qui s’allie à Falco.
Dansons la saltarelle
Vive le son (bis)
Dansons la saltarelle
Vive le son du canon.

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Ronea
Les soldats ça marchent, ça marchent et puis ça s'arrêtent et là ça fait comme un village de tente et c'est marrant.
Ronea et Lou eux voyageaient seuls. Pas question de mettre un pas dans les rangs serrés de l'armée parce que comme le disait Kahhlan " l'armée c'est pas pour les enfants". Et même si parfois ça faisait ronchonner Rone. Elle y avait mis les pieds d'abord et même plus, et ensuite elle n'aimait pas qu'on la traite pour ce qu'elle était une môme. D'accord elle y comprenait rien à tout ce qui se passaient. Pour elle l'armée bougeait et elle se demandait même si leur arrivée à Autun n'était pas juste parce que Kahhlan voullait veiller sur Lou et elle. Et ça la faisait sourire. Parce que si c'était cela, c'était la grande classe quand même.

Après avoir retrouvé les bras de Kahhlan et avoir discuté longtemps en taverne. Rone était sortie dehors en courant. Elle courait le plus vite possible faisant de grandes enjambées. Ces cheveux noirs volaient au vent rien n'aurait pu l'arrêter. A part peut être une pente un peu trop prononcée additionnée à des herbes de printemps, qui a cette saison, lui montaient jusqu'au bidon. Et la môme finit sa course en glissant sur le ventre, l'herbe grasse lui faisant une bonne piste de glissade.
Même pas mal! Et elle reprit sa course jusqu'à Lou qui semblait ne plus s'arrêter de s'occuper d'Elliote, son cheval.

Lou!Lou! Ta maman elle est Làààààààààà!
Et pis y a Tinounou!
Melusina! Viens Viteeeeeee!


Elle tira le garçon par la main pour l'entrainer vers le camp de l'armée.

En plus, Tinounou elle a un bébé chien et on a même le droit de jouer avec lui!

Quand les oriflammes furent en vue, la gamine fit signe à Lou de se faire plus petit.

Faut faire attention si ton papi il nous voit, il va nous dire de partir et on pourra pas jouer avec le chien. Et moi, j'veux pas qu'il me mange.

Les terrains de jeux ça se découvrent et se redécouvrent. Rone était la spécialiste pour cela et la voilà parti à la recherche d'un chiot en plein milieu d'une armée.

Le premier qui le trouve a gagné.

Le chien en quelques minutes été devenu un prisonnier à faire échapper au sein d'une armée de géant, Lou et Rone étaient bien entendu, le valeureux chevalier et la valeureuse chevalière venus sauver le pauvre prisonnier.


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Dragones
La Brune suivait sur sa jument tranquillement quand elle entend la voix du Capitan lancer la chanson et chacun de reprendre un couplet.
Tantôt accompagné par d’autre, tantôt seul.
La chanson était amusante et entrainante et tous y aller de bon coeur.
Elle preferait la danse au chant mais quand faut y aller faut y aller...
Dragones savait qu’elle ne chantait pas juste et pour ne pas dénaturer le talent de Galaminas, elle prit le partie de le clamer…

Au faux Conseil n’est plus Tiallaz,
Au faux Conseil n’est plus Tiallaz,

Même plus avec la Blanc Combaz,
Même plus avec la Blanc Combaz,

Car il s’est refroidi et elle n’en a pas joui.
Dansons la saltarelle

Vive le son
Vive le son

Dansons la saltarelle
Vive le son du canon.
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*atalante
A peine rentrée chez moi, voilà qu'il me faut repartir, rejoindre une nouvelle armée, de nouveau ça bouge dans une des provinces vassale dont j'ai la charge......peut être est ce moi qui attire le vent de révolte, ou alors, ils m'attendent pour que je leur mette la fessée......qui sait.

Je rejoins donc Kahhlan, la première dame, meneuse de revue, meneuse de la mémento mori.
La mémento mori et son célèbre capitaine, le beau Namay cush, Frère du roi et prince, mais avant tout, capitaine de cette armée forte d'une certaine discipline.
Puis, je retrouve aussi ma cousine Juliane qui à grand besoin d'une activité qui bouge. Elle est bien triste ces derniers temps, depuis le meurtre de son ami faut dire, je vais la surveiller, qu'elle ne me fasse pas une bêtise.

Discussions sur la suite des choses, la stratégie, les renforts présent et à venir, le ravitaillement, car sans cela, une armée ne tiens pas très longtemps, puis les différents courriers officiels à rédiger, demandes diverses et ordres.

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Ptitmec13
Et la chanson continuait d'être entonnée. Chaque événement avait son couplet, elle ne demandait qu'à s'agrandir au fur et à mesure du temps.

Nouvelle du 18 de mai :
Nouvelle du 18 de mai :

Bouillon s’est pris un coup dans le nez.
Bouillon s’est pris un coup dans le nez.

Et le voila tout sec, il a perdu son bec.

Dansons la saltarelle
Vive le son Vive le son
Dansons la saltarelle
Vive le son du canon!
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