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[RP] Les catacombes de Dieppe

--Pestilence


Pestilence ! Pestilence c'est son nom, enfin le nom qu'elle s'est choisi car sa mère, une catin de Bertincourt, l'avait abandonné dès son plus jeune âge sans même lui en donner un.

Pas rancunière, Pestilence s'était contenté de la retrouver et de l'égorger. Après tout elle estimait être clémente pour lui avoir épargné l'écorchement à vif.

Pestilence c'était aussi le sobriquet donné à ce lieu : Les catacombes de Dieppe.
L'humidité crasse et les ténèbres en avait fait le repaire des mécréants de la pire espèce. Fuyant les règles et les contraintes des bonnes gens ils préféraient mourir à petit feu entre eux.

Bien sûr ces brigands sordides sortaient de temps à autre le soir pour dépouiller ou abuser des personnes sans défenses. L'honneur n'existait pas dans leur âme, d'ailleurs en avaient ils une ? Quoi qu'il en soit ils allaient toujours au plus simple en agressant lâchement des vieilles personnes, des femmes seules, des enfants.

Pestilence c'est également l'odeur infecte qui régnait ici. Le grand air était bien loin et une odeur acre d'urine et d'excréments emplissaient les catacombes.

Les habitants de ces profondeurs s'y était habitué, pire il adoraient ça. La crasse, l'envie, le meurtre, la méchanceté, la trahison, la petitesse était le mélange malsain dont ils s'abreuvaient et se délectaient chaque jour.

Ils s'étaient organisé en une véritable ville parallèle; une Dieppe souterraine , un état dans l'état mais dans une version diabolique. Les catacombes étaient le revers de la médaille, la face obscure de la lune.

Des tavernes s'étaient organisé. On y servait un alcool frelaté immonde et les bagarres y étaient incessantes. Les tricheurs de ramponneau et les clients des filles de joie s'y côtoyait avec violence.

Pestilence continuait donc sa balade dans ce monde tapissé de cadavres; elle espérait et redoutait à la fois de rencontrer quelqu'un.
Alors quelle se situait près du grand portail qui marquait la limites entre Dieppe et ce Royaume du Mal; elle scrutait un écriteau.
Citation:
Dieppois imprudent rebrousse chemin ! Tu entres ici en Enfer




RP ouvert à tous. C'est un peu le quartier général des malfrats Dieppois, en marge de la petite vie tranquille du village. N'hésitez pas a utiliser des PNJ (pseudo). Bon RP à tous sans oublier que certains joueurs sont jeunes et plus sensibles.
--Nyx_la_sombre
Alors que Nyx en finissait de tabasser l'une de ses brutes qui voulait encore abuser d'elle gratuitement, elle entendit des pas au grand portail.
Elle s'avança déjà agacée, les yeux froncés se faufila dans un recoin sombre, releva son capuchon sur la tête et attendit, prête à donner envie à cet intrus de ne plus jamais revenir icelieu.
Elle se parlait tout bas, Sombrelot sur son épaule...

- Qui ose nous déranger ?? Qu'on nous laisse tranquille ou bien qu'on affronte l'enfer ici bas et plus jamais n'en sortira...

Elle émit un petit rire sarcastique discret dans sa cape en épiant sa future proie plantée là devant les grilles

- Viendra ? viendra pas?

Elle attendait avide de nouvelles recrues espérant que ce soit une femme, il lui en manquait de nouvelles bonnes chères pour assouvir ces fredains affamés...

- Arrive donc ! murmura -t-elle

Elle attendit un petit moment avant d'apâter de crainte que ce ne soit la maréchaussée qui faisait sa petite ronde mais qui s'arrêtait toujours au portail trop peureux de ce qu'il y avait derrière...
--Pustullelecrado
Pustulles fut attiré par ce bruit qui venait de l'entée du souterrain, il sortit la tête de son tonneau, réveilla les deux demoiselles de joies a ces côtés.

"Allez dégagez les garces ou je vous renvoie à l'éternelle, hooooooooo c'est quoi ce bruit de trop, arrêtez donc, je cuve"

Pour ce donné du courage il vida son petit tonneau, tel était ainsi son déjeuner du matin, celui-ci avait été volé place de Dieppe à un noble de passage, celui là même qui ne passerait plus.
Il etait comme ça pustulle, deux écus et l'affaire était faite.
Il sortait rarement de sa ville préférée, Dieppe la souterraine mais lorsu'il sortait ce n'était pas pour rien.

"Ah c'est toi Nyx, encore a casser des dents à un malheureux, tu en fais un bouquant"
--Nyx_la_sombre
- Rhooo Pustulle la ferme ! Tu vois pas qu'y a quelqu'un là??? Nan mais tais toi donc ! Il va nous entendre l'aut' là haut...pfff..se décide pas à venir cuilà ! Encore un trouillard!

- Pis quel malheureux??? Non mais ça va pas??? c'est encore l'aut' là qui commençait à m'chercher, j'vais pas m'laisser faire non??

- Bon pousse toi là...pfff t'as déjà picolé ! Aller dégage de mon coin !

--Pustullelecrado
"Eh alors j'ai picollé tu m'as pas mi au monde que je sache alors tes conseils, oui je picolle, et ton coin a c'est comme ça et ben je m'en vais voir si y'a pas a égorger ailleurs"

Pustulle cracha par terre et tourna las talons vexé et en colère un jour elle verrait celle là, il tourna au premier carrefour, flanqua un grand coup de pied a un pestiféré plus faible qui dormait au sol, s'amusant en entendant les os craquer, puis lui prit ses pauvres richesses, une paire de chausses trouées, cracha encore et disparu des yeux de Nyx.
--Pestilence
Pestilence est si habituée a l'air nauséabond des catacombes que l'atmosphère saine qui s'entraperçoit près de la grille lui est insupportable.

Un jour alors qu'elle était sortit de sa tanière pour voler deux ou trois chats pour se nourrir; elle avait rencontré un homme, grand, beau et blond. Elle en avait tellement été éprise qu'elle était resté pendant une semaine dans la Dieppe "d'en haut" et s'était habitué a cette brise pure, a l'absence de cette odeur de putréfaction. Elle s'était même lavé et avait fait soigné une plaie purulente.
Le jeune étalon lui avait fait comprendre que rien ne serait jamais possible entre eux hormis une nuit sans lendemain.

Depuis ce jour Pestilence a la certitude que sa place est définitivement sous terre. Au diable les Dieppois avec leurs règles leur morale et leur loi. Elle les hait, elle les maudit. Et surtout elle cache précautionneusement son histoire d'amour qui lui vaudrait les railleries et le mépris des habitants des catacombes.

Redescendant dans les épaisses ténèbres, elle entend des bruits. C'est Nyx, une vieille truie desséchée qui vend ses charmes. Enfin si on pouvait encore appeler ça du charme. Cependant il faut toujours se méfier de cette malpropre, aussi la main près du glaive Pestilence s'approche.


Tiens donc ; encore cette vieille truie de Nyx !
--Pustullelecrado
Pustulle, en avait marre il avait encore abusé du calva frelaté, n'avait mangé que juste un rat et était dérangé par ce bruit que ceux d'en haut appelaient musique.

Son estomac criait, pendant que lui crachait, l'humidité certainement, il en avait marre de ces bourgeois du dessus qui les ignoraient proprement il se décida pris son vieux poignards sale et éffilé, puis son casse tête volé a un chevallier qui ne pourrais plus se plaindre, ce dernier avait il y a longtemps tenté d'arrêter pustulle et avait vite comprit a ses dépends qu'il n'aurait pas fallu.
Il se dirigea vers la grille et fût aveuglé par la lumière du dehors.
Cette fois c'était décidé, ils allaient payer et lui allait manger.
--Bouricot




Un veille homme marché avec lenteur dans les catacombes de dieppe la belle, Une de ses jambes traîné un peu comparé a l'autre le freinant dans sa marche. Il porte une longue barbe blanche , a un nez en racine de gingembre avec pas mal de bouton dessus. Ses oreilles en forme de choux sont percés et orné par un anneaux a moitié rouillé. Sur sa tête qui détient quelques long cheveux de couleur blanche avec un troue aux milieux laissant apparaître son crane, un large chapeau miteux avec quelque troue a ces extrémité le protéger de la pluie et des gouttes innombrable qui tombé dans ce lieux sinistre. Ce veille homme se nommé bourricot , un surnom a ne pas en douté, d'ailleurs , personnes ne connaisse son vrai nom. Son odeur était comment dire...spéciale , c'était un mélange de renfermé , pourriture , et de vieux a la fois , bref quelque chose de peu supportable pour le commun des mortelles. Certain dans ces lieux qui pourtant ne sente pas la rose lui dissait que parfois il enpesté encore plus que tout ce qui est réunis ici. Sans parlé des flatulences qu'il lâche de temps en temps, mais il commence a ne plus avoir grand pouvoir sur sa prostate.

Certain disse que ce surnom lui vient de son ancien travaille , qui était gardien de mule, d'autre disse qu'ont le nomme ainsi car il aussi idiot que ces animaux, et pour finir quelque uns pour son caractère qui ressemble en tout point a ces merveilleuse bêtes. Bref , se mystérieux personnage est le plus ancien pensionnaire de cette "seconde" ville, il en connais tout les recoins et la plupart des habitants. Personnes ne lui cherché vraiment de noisse, il n'embête personne, et aux cas ou avait de bonne relation et savait aussi se débrouillé malgré son grand âge.

Sa tranquillité , il la devait surtout a ses combines, n'ayant plus la fougue de ses 20 ans , il refile quelques bon plan a ses voisins en échange d'une petite compensation. Revenant de la surface, il contemplé les 3 pièces qu'il venait de recevoir pour quelques petit boulot fais ici et la. Il entendis du bruit , pris sa mine renfrogné et rangea vite dans une des ses poches non trouée son butin, et se dirigea vers la salle d'où venait se raffut. A peine fut'il rentré que pustulle le crado lui passa devant comme une flèche , Il le regarda passé bizarrement et continua son chemin. La deux femmes se tenaient face a face. Bouricot les connaissaient bien entendus , de nom , et leurs histoire respectives seulement. L'une se nommait pestillence, dessus par l'amour , elle était revenus se cachait sous terre , l'autre se nommait nyx, Un peu sadique sur les borts, garçon manquer a ne pas en douté elle n'hésite pas a tuer. Bouricot s'avança vers elle.


Par la barbichette de lucifer! Pas bientôt finit se boucan?Aller vous arracher les mamelles ailleurs non di diou!
--Pustullelecrado
Ah lala quelle journée, pustulle revenait du monde extérieure, il avait été "visiter" ceux du dessus.
Et bien lui en avait pris, il avait "trouvé" deux belles bourses accrochées sur des ceintures de nobles sur le marché.
Il avait également emptunté un tonneau de calva sur une fête organisée.
Pfffff les gens s'amusaient.
Pustulle gromelait:


-"Mais a quoi cela leurs sert il d'être heureux pffffff, ils ont l'air si bête dans leurs bonheur"

Il se posa les fesses devant la taverne du dessous, attrapa une des demoiselles de charmes lui envoya un baiser sale et collant, la paya d'une bonne claque qui lui fendit la lèvre, il se mit a ricanner et s'envoya son tonneau de calva.
--Pestilence
Pestilence regarde en coin l'affreux bonhomme qui l'interpelle. Diable qu'il est laid ce poux. Il sent l'urine à plein nez le bougre.

Néanmoins Pestilence est secrètement émue par le grand age du type. Passer tout une existence icelieu c'est sans nul doute un châtiment pire que tous les enfers. Mais bon l'apitoiement est une faiblesse dans les catacombes et il faut rester sur ses gardes.

C'est donc avec méfiance et défi qu'elle lui rétorqua.


Tu rigoles vieux bouc répugnant, c'est mon territoire ici, alors tu vas traîner ta carcasse rouillée ailleurs avant que je déboîte le reste de tes os
--Nyx_la_sombre
Nyx était déçue ce n'était que cette vieille peau de Pestilence qui était là...elle fit demi tour avec Sombrelot à son épaule comme toujours, elle râlait d'avoir perdu du temps...

- Pfff....c'est toi vieille peau ! Dégages toi aussi ! Non mais qu'est ce que vous faites là tous ! Vous êtes sur mon territoire là !

- Et toi Bourricot va trainer tes lambeaux ailleurs, on t'a causé ?? De quoi tu t'mêles ?? T'as pas toujours dit d'aller trainer nos mamelles ailleurs que je sache alors la ferme et dégages de mon ch'min...


Elle marchait vivement, cette haine toujours en elle, jamais elle ne leur pardonnera...

Quant à Pestilence, elle s'en méfiait, elle savait qu'un jour elle y passerait aussi...

- Quelqu'un a vu la Pustulle l'ivrogne ? J'dois lui causer
--Pestilence
--Nyx_La_Sombre a écrit:

- Quelqu'un a vu la Pustulle l'ivrogne ? J'dois lui causer

Ignorant cette question Pestilence voit rouge. Cette chienne a parlé de "son territoire". Comment peut elle oser marcher sur ses plates bandes ? Depuis toujours Pestilence gouverne sans partage dans ce recoin des catacombes, prenant sa commissions sur les trafics en tout genre et rackettant les plus faibles. Cet affront doit être lavé.

Mordious ! J'ai bien entendu ? Tu dis que c'est ton territoire espèce de croque-lardon ?

Sans crier gare elle sort une dague de son fourreau et la plaque contre la gorge de Nyx. Celle ci est au pied du mur et ne peut se débattre.

Ici je règne sans partage et j'ai droit de vie et de mort. Tu m'entends gore pissoue ? C'est suffisamment clair pour ta petite caboche ?

Une telle provocation ne peut être impunie. Dans ce monde impitoyable tout signe de faiblesse est fatal et seuls les plus intraitables survivent. C'est ainsi que Pestilence était prête à faire couler le sang pour assoir son autorité.
--Bouricot


La première a lui répondre était pestillance, elle le regarda avec méfiance et méfis a la fois et lui dit qu'il se trouvé sur son territoire. Elle fi,nit par les menace d'usage qui suivait habituellement dans ces lieux , comme quleq'un qui dit "merci" ou "aurevoire " a la surface. Comme une sorte de politesse entre eux, mais en plus dangereux , il pouvait a tout moment mettre en application leurs phrases.

Par les corne de belzébute, le mien et collet aux tien alors tva me faire le plaisir de ralé moins fort.

Il traîna sa carcasse jusqu'à son repère , il n'avais qu"a passé une arche qui ne séparé même pas les deux lieux.

Y a pas de porte jte rappelle bougre de concrela, alor ralle moins fort.
C'est alors que nyx intervient, elle envoya valsé a son tour le vieux bouricot en disant qu'il se trouvé sur son territoire

faudra vous mettre d'accord les filles...héhé...

Se petit rire lui échappe , deux fille comme elles qui dissent avoir le même territoire , il savait pertinemment comment cela allait finir, il s'assied sur une veille couverture et regarda le spectacle. Pestillance sortie une dague et la mis a la George de nyx bloquer contre le mur et la menasa . Le vieux bougre rigola comme si il venait d'assisté a une scène vraiment drôle , alors qu'il n'en était rien. Se genre de spectacle le faisait bien rire , de son temps , on lui aurait déjà trancher la george sans même demandé d'explication.

Wouééé allé crevé la cette bon a rien! héhéhé!
Aimbaud
Aimbaud rentrait de la taverne où il était allé s'esbourbir au milieu des gueux - le mot s'esbourbir ne veut strictement rien dire, alors cessez de froncer ce sourcil d'un air dédaigneux et continuez plutôt votre lecture - quand était arrivé l'incident.

Mais quel incident ?

Et c'est ainsi qu'Aimbaud fit une entrée triomphale dans la narration, laissant le lecteur complètement perdu.

Ah euh... la ! lalala.. la la !

On remerciera Aimbaud pour cet habile changement de sujet. D'ailleurs personne n'a rien remarqué de ce fâcheux intermède, et la narration peut reprendre son fil disgracieux avec plénitude et sérénité... Mais qu'est-ce que je raconte...

Ainsi Aimbaud rentrait de la taverne, l'oeil brillant et le talon titubant, heureux en tous point d'avoir bu à l'oeil et à l'écu de ces affreux dieppois qui peuplaient les rades du port, quand il arriva devant sa porte. Qu'il poussa ! Oh, le malotru.
Ladite porte s'ouvrit et Aimbaud entra d'un pas décidé, la jambe roide et le pied assuré, dans le but de toucher le sol. Oui, c'est un but comme un autre. Il faut bien des buts dans la vie pour avancer... Mais le sol, ne trouva point.

Car en fait : c'était un escalier. Non ?

Aussi Aimbaud perdit il l'équilibre qui lui était si précieux, et se ramassa la gueule dans le couloir alambiqué qui s'enfonçait dans d'obscures profondeurs inconnues. Sa descente aux enfers fut ponctuée de cris virils :


Aïe !...

Ouh !

ATCH !...

Grumph !

OUAïe !


Arrivé en bas, les fesses sur la tête (car il était souple), il se rendit compte... qu'il s'était trompé de porte. Et que l'endroit où il se trouvait sentait le rat putréfié mitoné avec du camembert séché. Ce qui -on en conviendra - n'est pas un repas ordinaire...
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Sur mon avatar vous pouvez voir papa et maman qui ont une fiévreuse envie de me concevoir.
--Nyx_la_sombre
Nyx fut prise par surprise et se retrouva avec une dague sous la gorge en un éclair de temps.


Elle émet un petit sourire narquois et la regarde droit dans les yeux :

- TON territoire.????!!!

Nyx se met à rire d'un air machiavélique

-Laisse moi rire vile escrafe !Alors vas y saigne moi ! héhé ! qu'on en finisse ! regarde ce veau coquard n'attend que ça !! Hein pas vrai l'bourricot qu't'attends qu'ça que j'crève ?!!!
Ahhh ! ça vous irait bien tous bande de salezart !



- Mais dis moi la coureuse de rempart, comment feras tu sans moi ...quand ces grippeminauds de truandailles t'arracheront tes jupons ! tu pourras plus m'appeler là !



Nyx rit plus fort encore et regarde Sombrelot toujours sur son épaule prêt à intervenir au moindre signe. Nyx cligna des yeux et le hibou se posa immédiatement sur les cheveux de Pestilence qu'il tira violemment. Pendant ce temps Nyx tira de sa jarretelle sa petite dague et la pointa à son tour vers Pestilence.

- Alors??? Comment qu'on fait là ??? C'est toi ou c'est moi ???

Les yeux enflammés de rage, toute sa haine surgissant, elle savait que Pestilence avait l'avantage et pouvait en un coup rapide lui trancher la gorge.
Au fond d'elle elle ne voulait pas mourir de suite..elle avait quelque chose à accomplir, elle lui avait promis, même si la mort la libérerait de ces souffrances qu'elle ne supportait plus, elle ne devait pas mourir maintenant...


Ah oui, elle faisait la dure la Nyx ! Mais quels choix avaient elles, elles autres???

« Pas maintenant Pestilence »...Elle pensa en elle même :  « Tu ne peux pas me faire ça...pas maintenant...tu ne le sais pas encore mais un jour... ».

Elle chassa ses pensées et son regard chargé d'un venin malsain qui venait de si loin se fixa sur celui de Pestilence...


Les deux femmes fulminaient du feu du diable...
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