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[RP] Quand les armes rapprochent famille et amis

Jade.de.sparte
[Seigneurie d'Autrey-lès-Gray, au matin]

Fidèle à ses habitudes, la jeune femme, après une toilette sommaire, se rendit à la nursery où ses anges étaient déjà lavés et vêtus, déjà à jouer. Elle les rejoignit, les câlina longuement chacun leur tour puis se joignit à eux quelques instants. Jade débutait toujours ses journées ainsi depuis qu'elle était veuve puis les laissait à regret à la nounou qui en avait la charge pendant que la Duchesse vaquait à ses devoirs et nombreuses responsabilités. Elle revenait toutefois les voir régulièrement. Toutefois, la superbe rousse avait tenté de faire respecter la routine malgré le voyage. Ainsi, dans sa Seigneurie comtoise, elle agissait de même sauf que, cette fois, son devoir serait de prendre les armes.

Oh mes chéris ! faites un gros bisous à maman ! Je vais revenir très vite, il y aura une surprise plus tard... chuuuuttt ! je ne dis rien !

La jeune femme avait bien l'intention d'écrire à sa famille et amis... elle quitta ses amours et se rendit à son cabinet de travail pour rédiger sa correspondance. Une fois cela fait, Jade changea de tenue, portant une robe dont la jupe était ouverte sur le devant dévoilant des braies et des bottes, ses longs cheveux étaient tressés en une longue natte. Elle voulait être à son aise pour se pratiquer à l'épée, se rendant à la salle d'armes pour esquisser les bases qui revinrent vite à sa mémoire alors qu'une silhouette de paille se voyait transpercée à quelques reprises.
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Eudes_von_strass
- Cocoricooooo !

Journée très spéciale qui s'annonça par un coq, le jouvenceau avait passé une nuit particulièrement désagréable. Un rêve. Voilà la cause de sa mauvaise humeur matinale. Certes les lits étaient confortables, les draps et les couvertures agréables, et qu'il y avait une décoration extrêmement douce, il fallait quand même avouer que la dame de ses lieux avait très bon goût et qu'il n'était pas normal d'avoir passé une telle nuit.

Tout ne s'était pas passé comme il se devait. Ce rêve, Eudes aurait voulu ne jamais le faire... Tout était sombre, on pouvait apercevoir quelques lueurs, quelques ombres, mais aucun visage. Alors qu'il se trouva dans une pièce, où de multiples étagères avec quelques boules de cristal pouvaient s'y trouver, gisait sur le sol, un roux abattu par un être maléfique. Surement le plus puissant qu'il n'est jamais existé. Regard à gauche, puis à droite, c'était une horreur. Plus qu'un rêve, un cauchemard. Quand soudainement... Le jeune garçon se réveilla en sursautant.


- Aaaah ! Où suis-je ?!

Ce monstre n'est autre que, celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom. Petit à petit, il reprit son souffle lorsqu'il ordonna à son écuyer de lui apporter ses vêtements de guerre, son épée ainsi que son casque qu'il avait fait forger dans le Périgord. Ce rêve était-il un mauvais présage ? Eudes passa outre et termina de s'habiller au plus vite pour aller rejoindre la maîtresse du château. Un pas par là, un pas par ici, il croisa un serviteur. Un sourire s'esquissa sur son visage de minet et l'interpella.

- Vous là bas, j'ai besoin d'un renseignement ! Disait-il en s'approchant un peu plus de lui. Pouvez vous m'indiquer où sont les latrines ? Cela uuuurge !

Une fois la direction indiquée, Eudes fit quelques mètres dans les couloirs avant de se retourner brusquement et d'interpeller ce dernier à nouveau.

- Et au passage, vous là bas, dites moi où puis-je trouver la Duchesse ?

Et celui-ci lui répondit :

- Dans la salle des armes.

Sans un merci, car il ne le méritait pas, il alla rapidement se vider la vessie puis sans se laver les mains il alla rejoindre Jade. Avant d'entrer dans la plus utile des salles du château, un page l'annonça. Main droite sur son arme blanche à double tranchant, le jeunot s'inclina légèrement avant de lui dire quelques mots.

- Bonjour. On commence à s'entraîner ?
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Adjoint du Maréchal d'Armes Impérial | Ministre Royal de la Justice
Yarwelh
[Castel de Dole, bureau du Commissaire aux Mines]


- Dame. Dame? DAME!

La CaM leva les yeux de ses calculs. Le page devant elle la regardait fixement. Et pour dire vrai, elle n'avait entendu que le dernier appel.
Un peu étonnée, elle le dévisagea, attendant qu'il se manifeste, qu'il indiqua pourquoi il l'avait dérangée.


- Vous avez un message.

La jeune femme tendis le bras et le page lui tendis le pli. Il attendis réponse de la part de la dame mais celle ci avait posé le parchemin, encore scellé, sur la pile et était retourné à ses calculs sans plus un regard vers le page.
Ce dernier finit donc par hausser les épaules avant de tourner les talons.
Ce n'était pas du dédain de la part de Yarwelh, juste qu'elle ne voulait pas faire d'erreur dans ses calculs et que ce n'était donc pas le moment de la déranger.

Quand, enfin, elle eu finit, elle souffla et posa la plume sur la table. Un regard vers les enfants qui jouaient dans la salle et un fin sourire se dessina sur ses lèvres. Ses Amours étaient la seule chose qui la tenait en vie, sa préoccupation première. Et elle ne les laissait jamais seuls, ne les laissait pas jamais à une nourrice. Ou presque. Le seul moment où elle les laissait c'était quand elle se rendait à Noirlac, où dans le secret elle avait eu son diplosme d'infirmière et où elle continuait les cours.


- On y va? Z'ai faim. Veut maison.

Son fils, le portrait de feu son père la regardait en attendant réponse

- Oui on y va.

Mais en se levant la parlementaire vit le parchemin remis par le page. Scel rouge. Pli personnel.
Elle hésita à l'ouvrir. Comme son E., elle aussi avait haste de rentrer chez eux, pour profiter de la chair de sa chair. Mais scel rouge, donc pas de travail en plus en perspective.
La lecture en fut rapide, le parchemin replié et mis dans la besace.
Elle prit sa fille dans ses bras, et de sa main libre tint celle de son fils pour rentrer.


Enguerrand, ta marraine est revenue en Franche Comté.
Elle sera bientost là.

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Créatrice de fresques et de portraits
Jade.de.sparte
Ses muscles s'assouplissaient à chaque assaut, variant la garde, l'attaque, tenant l'épée à deux mains, ses pas contre son adversaire se faisait plus sûr, plus solide sur ses jambes aussi, elle fit un tour sur elle-même pour frapper de côté la vague silhouette de paille qui lui servait de cible

- Bonjour. On commence à s'entraîner ?

La jeune femme se retourna prestement, sa tresse virevolta suivant le mouvement alors que le Baron de Coussey qui l'escortait s'inclinait devant elle. En guise de respect, elle leva son épée en un salut rigide mais trahi par un sourire amusé alors qu'une idée folle traversait la tête de la Sparte.

Sortez donc l'épée du fourreau Baron ! L'exercice ne vous fera pas de tord ! Je crains que vous ne vous empâtiez à ne toujours qu'utiliser une plume !

La taquinerie était évidente de même que la provocation mais la rouquine était ainsi ! Sa dernière pratique remontait au début de son dernier mandat ducal, elle avait besoin. Surtout que maintenant elle utilisait une nouvelle épée, celle de Lisandru en fait, qu'elle portait depuis son dernier voyage.

Hé bien Eudes ! C'est pour ce matin ?

Sans crier gare, elle fit un pas en avant, garde haute, un sourire sur son joli minois, second pas rapide, ses bras utilisèrent la gravité pour descendre l'arme et la remonter dans une diagonale de la droite, la lame vint heurter la sienne dans un bruit familier, la rouquine dégagea rapidement, troisième attaque, cette fois, elle tourna sur elle-même et son épée arriva avec plus de force. Pour une femme aussi menue qu'elle, manipuler une telle arme relevait d'une grande volonté plus que de la force, elle avait donc dû apprendre à utiliser son propre poids et sa vitesse pour effectuer des attaques correctes. Elle ne serait jamais maistre d'armes mais en combat singulier, Jade parvenait à se défendre.

Désolée Eudes de te réveiller ainsi ! Je voulais tester mes attaques...

Un sourire sur son visage montrait son contentement d'avoir pu s'exercer ainsi et fit signe à un garde d'approcher, lui remettant son épée, ne se promenant pas au sein de sa demeure ainsi, en laissant l'honneur aux hommes.

Que dirais-tu de te restaurer ? Tu dois être affamé ? Romain ! Fais quérir Livie et les enfants et préviens la cuisinière que nous sommes morts de faim ! Et je veux que les fourneaux fonctionnent à plein régime, j'attends des invités !
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Mathilde.von.frayner
Une surprise?!
Puis la toute petite avait regardé sa mère s'en aller pour la journée, non ce qu'elle partait faire elle n'en savait rien et cela ne l'avait pas vraiment inquiété.
Il faut dire qu'à son jeune âge, elle avait plutôt l'habitude de se demander quand reviendrait celle ci, ce qu'il mangerait au gouter, ou quelques petites futilités du genre.

Puis au bout d'un moment l'enfant avait compris que sa mère revenait toujours au plus vite, quand la journée se terminait au pire, oui un peu avant le diner.
Alors ce jour la elle c'était faite à l'idée que les choses importante et incompréhensible qui les avaient amené la, garderait Jade à peu près jusqu'au couché du soleil.
Quel ne fut donc pas sa surprise quand on vint lui retirer son jeu pour lui dire qu'il fallait se préparer pour le repas approchant.

Elle fut tout de même assez contrarié qu'on la coupa ainsi sans lui avoir demandé son avis, elle entreprit un moment de lancer le cube au bout de la pièce, pour obliger la gouvernante à jouer avec elle, et à ne pas tout arrêter tout de suite.

Mais si on la pressait tant, c'est surement qu'il mangerait tous ensemble!
En réalité la petite Mathilde ne se tortilla pas tant l'esprit que ca, seul un adulte en est capable.
Alors elle se laissa emporter par la nourrisse, c'est qu'elle avait faim.

Et on la repeigne, et on retire sur sa petite robe, non pas de pli!

Et enfin on la descend, hum quel bonne odeur!
La petite rousse tend sa bouille par dessus l'épaule qui la porte, et finit par regarder son frère qui lui aussi est arrivé à destination en même temps qu'elle.
Katarina
[Dole ]

Comme tout les jours depuis la levée de ban, Katarina se levait tôt pour prendre les ordres du jour. Cela faisait parti de ses devoirs de noble et une fois de plus, elle n'y dérogerait pas, elle mettrait son épée au service de son Comté de naissance. Elle n'avait pas eu de nouvelles de ses enfants depuis quelques temps, n'en avait pas pris non plus faute de temps ...

Katarina fut donc surprise de recevoir une lettre de Jade, son ainée. Celle--ci revenait en Franche Comté, se battre. Amenerait-elle ses enfants avec elle ? Elle l'esperait ...

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Eudes_von_strass
Le baron adorait être en présence de Jade. Bien qu'imprévisible par moment, il n'est nul doute qu'elle est exceptionnelle et qu'un seul sourire pourrait lui faire perdre tout ses moyens. C'est ainsi, lorsque cette dernière taquina le jouvenceau, ce dernier n'en resta pas à ses derniers mots et se précipita à dégainer son épée pour présenter la pointe à son adversaire. La regardant faire, Eudes prit subitement un rire incontrôlable au point de ne plus avoir de force pour laisser son épée tomber sur le sol. Avançant près d'elle, de quelques centimètres seulement, il esquissa un sourire.

- Est-ce ainsi que l'on t'a appris à manier l'arme ?

Evidemment, elle ne sera jamais maître d'armes et ceci était fortement compréhensible. Réussir à se défendre et vaincre son ennemi sont deux choses différentes. Bien heureusement, lui aussi aimait taquiner et avec douceur, venant droit du coeur :

- J'espère que Maximilien sera meilleur que toi... Mais j'avoue que ce spectacle m'a bien réveillé malgré une nuit affreuse.

Se frottant le cou, le jeune garçon décida de ne pas avouer qu'elle pourrait faire une excellente guerrière... Si elle s'entraînait plus souvent. Il rengaina donc son épée et fit un énorme sourire.

- Je ne me souviens pas avoir pris de petit déjeuner ce matin. Je te suis, je suis famélique !

Filant ses gants en soie, il veilla à se dépoussiérer avant de suivre la maîtresse des lieux...
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Adjoint du Maréchal d'Armes Impérial | Ministre Royal de la Justice
Jade.de.sparte
Oh Eudes ! Vous savez très bien que le combat à l'épée ne fait pas partie de l'éducation des jeunes filles de bonne famille ! Et Maximilien, je l'espère, sera aussi habile que son père... Et cessez de me taquiner, je pourrais vous priver de repas !

C'est qu'elle adorait taquiner le Ministre ! Entre les deux, une franche camaraderie c'était installée. Une table fut rapidement dressée dans une vaste pièce et la jeune femme vit arriver la nourrice et ses enfants. Un sourire irradia son visage en voyant ses précieux anges. Elle se pencha pour embraasser Maximilien et le serrer affectueusement dans ses bras puis elle se releva pour prendre Mathilde qui hérita d'un câlin tendre et d'un doux baiser sur son front.

Maman vous avait dit que nous aurions une suprise mes chéris... Il va y avoir beaucoup de gens qui vont venir, il y aura des visiteurs, de la famille comme grand-mère et bien d'autres, des amis, ta marraine aussi Maximilien...

Romain, vous conduirez les invités ici dès qu'ils arrivent !


Puis se tournant vers les petits, Jade leur caressa la joue à chacun avant de désigner la table, qui débordait de victuailles diverses de même que plusieurs bouteilles, d'un geste à Eudes.

Débutons !
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Uriel
[Sur la route]

Superbe pigeons super-soniques des royaumes. Ces volatiles bénis par on-ne-sait-quelle-force-supérieure avaient tout pour plaire : ils pouvaient trouver un individu n'importe où dans les Royaumes, même un inconnu, il suffisait de leur donner un nom et c'était parti. Pas besoin d'adresse, ni de direction, c'était ... comment dire ... magique ?

Et en ce matin, Uriel avait reçu la lettre d'une amie franche et sincère, toute dévouée aux justes causes. La lisant avec plaisir, il lui avait répondu avec intérêt, la sachant ainsi en Franche-Comté.

Le voyageur se remit donc en route, suivant la carte, vers la direction indiqué. Vers le midi, un frugal repas composé d'un quignon de pain et ... d'un peu de vin de messe fut tout ce qu'il fallait pour s'assoupir à l'ombre d'un arbre ...

    Bon ... tournez à gauche, dans 200 pas, tournez à droite, virage à droite imminent ... puis quittez le chemin.
    Comment ça faites demi-tour, dès que possible ?
    Oui, oui, z'avez bien compris.
    Non, non, non, papotib.
    Un peu de sérieux, voyons !
    Justement, parlons-en, depuis quand on nous dit par où aller. Et l'instinct ?
    Faites ce qu'on vous dit, et puis c'est tout.


Et ce fut tout ... courte sieste, mais drôle de rêve, prémices d'une époque engagée ? Il se releva donc et suivit ... la direction indiquée et puis si il arrivait en retard ce ne serait pas dramatique ...
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Mathilde.von.frayner
Et dans un premier temps si elle avait regardé son frère elle n'avait pas tardé à remarquer que dans la pièce ou on venait de l'amenait il y avait Jade mais également d'autres personnes.
Ah oui derrière elle reconnait un jeune homme, qu'elle à déjà vu à plusieurs reprise.
Sans doute un ami de la famille puis à ce moment la, sa rousse maman s’avança vers elle pour la prendre dans son bras.
Ca avait été au tour de Maximilien la maintenant c'était au sien, elle fait la moue puis tend les bras, encore, encore...
Gesticule dans les bras de la nourrisse bien peinée!

Et enfin vient le câlin! Alléluia!

Visiteurs, grand mère, amis, marraine, grand mère?
L'enfant sourit puis finit par s'agripper, enjouer, aux épaules de la duchesse en la regardant.


Miam! Miam!


Et enfin elle tend de nouveau le nez vers la bonne odeur.
Gourmande? vraisemblablement!
Mais tout de même inquiétée, malgré son jeune âge, elle reporte son attention sur sa mère, quand est ce qu'elle pourrait voir sa famille?


Quand? c'est maintenant? Surprise!

Du charabia... mais non!
Jade.de.sparte
Mathilde sur ses genoux, Maximilien à sa senestre, la jeune femme s'occupait de ses petits, veillant à leur bien être de façon conviviale,

Du poulet ma princesse ? et du fromage ? pour toi aussi mon chéri ?

Elle ajouta aussi des noix et des poires, de même qu'un petit bout de saucisson, préparant deux gobelets en étain pour y verser du lait. Son assiette, elle n'y pensa pas, trop préoccupée, un jour elle reprendait des couleurs, elle irait mieux...

Posant un baiser tendre sur le front de sa fille, caressant la joue du petit duc, la jeune femme tenta de sourire en regardant Eudes.


Je vous en prie, faites honneur à la table... il semble que les invités tardent...
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Yarwelh
[Quelques jours plus tard]

- Enguerrand! Enguerrand! On va estre en retard!


En vérité, ils l'étaient déjà. Et de beaucoup.
Aliénor dans les bras, Yarwelh tenait la porte de la maison attendant son fils. Le carrosse attendait devant. Il devait les emmener a Autrey les gray. Une fois tous dedans, le véhicule se mit en route.
Yarwelh avait haste d'arriver, revoir son amie et aussi son filleul. Le troisième plus bel enfant après ses deux amours. Mathilde aussi était mignonne.

Le trajet lui parut long dans l'envie qu'elle avait d'arriver. Mais d'un autre costé, si court vu qu'elle profitait de ses enfants. Sa fille, pourtant peignée à la maison avant de partir avait les cheveux tout défaits a force de caresse de la part de sa mère. Elle les recoiffa donc prestement, puis demanda un baiser à son fils avant de descendre.
Elle lissa sa chemise pour estre présentable malgré le trajet et rapidement, ses bottes claquèrent sur les pavés de la cour.


Ils furent tout trois mener à leur hostesse. Et secouant légèrement sa fille pendue à son cou pour qu'elle fisse de mesme, elle salua.


Bonjour.
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Créatrice de fresques et de portraits
Jade.de.sparte
Il existe des choses dans la vie qu'on s'explique mal comme pourquoi s'adresse-t-on à vous alors que vous avez la bouche pleine ? C'est pourtant ce qui arriva à la Duchessse qui venait à peine de se décider à se prendre un morceau de fromage, vit arriver sa bonne amie Yarwelh et ses enfants dont son fils, un peu plus âgé que Maximilien et qui était son filleul. Jade avala sa bouchée en vitesse et se leva pour les saluer

Yarwelh ! mon amie ! Quelle joie ! Et les enfants ! comme ils ont grandi !

Elle embrassa la petite sur le front après lui avoir caressé la joue, donna une bise à la mère puis se pencha vers Enguerrand qu'elle serra dans ses bras tendrement.

Mon filleul a bien grandi ! C'est un petit homme...

Elle lui sourit puis regarda Yarwelh, se souvenant à quel point Enguerrand avait été fragile à sa naissance. Jade était si heureuse de les voir

Venez vous joindre à nous... Yarwelh, connais-tu Eudes ? Viens voir ton filleul et ma princesse...
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Enguerrand.
Oui maman j'arrive !

Fallait se faire beau après tout il avait plus vu sa marraine depuis un moment. Sautillant pour enfiler sa braie, il termina de rentrer sa chemise et descendit en trombe pour rejoindre sa mère qui l'attendait avec Alienor. Il sauta directement dans le carrosse se mettant en fasse des dames. Il sourit au baisé de sa maman plongeant la tête dans les décors que leur offrait le parcours jusqu'à sa marraine. Il laissa sa maman descendirent puis sauta à deux pieds joint hors du carrosses et hop !

Un coup d'oeil à droite, un coup d'oeil à gauche, un blondinet, une petite rousse , on lève la tête, la grande rousse...


Marrrraaaaaaiiiiinnneeee !!!

S'empressant de s'avancer vers elle et de courir dans ses bras pour la câliner en guise de salutation plus qu'affectueuse. C'est qu'elle lui avait manquer, elle avait pas fort changé de ce qu'il se souvenait

Oui e peux presque monter un cheval, enfin presque hein maman !?

Dit il en souriant à sa mère, toujours dans l’étreinte de sa marraine puis s’avançant avec eux. Il devança les adultes pour allez voir les deux autres petites têtes pareil que lui

Bonjour !

Dit il tout joyeux alors que sa marraine et sa mère suivait. Il se souvenait du petit garçon mais ps de la petite fille.
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Jade.de.sparte
Elle était heureuse, assise là à cette table avec les enfants, Eudes, Yarwelh et ses petits. Les deux femmes avaient subi les épreuves du destin mais les petits anges les avaient accrochées à la vie car ils en valaient la peine et tous les efforts du monde. Dans sa tête, trottait la phrase de son filleul « Oui e peux presque monter un cheval, enfin presque hein maman !? » qui rappelait les goûts de son fils. Elle repensa Maximilien trop heureux de monter avec Lisandru, ce voyage avait été un pur moment de joie. Pourquoi ne voyageait-elle pas plus ? Mais soudain son visage changea, une idée venait de jaillir de sa petite cervelle trop active, et son regard s’illumina. Pourquoi pas ?

Ça vous tenterait de tous partir en voyage ?

Ses yeux se posèrent sur Yarwelh et ses enfants, puis les siens et enfin Eudes… il lui manquait un autre protecteur pour cette escapade et la rouquine songea à son cousin Edouard, l’éternel complice de ses bêtises mais aussi son ange gardien. Oh oui, le groupe serait parfait ! Mais où ? Sans réfléchir plus loin, la rouquine lança tout de go

L’Italie ! Qui m’aime me suive !
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