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[RP] Histoires Flamboyantes : Cérémonie Des Calva d'Or

Tricet


Il commencait a ce faire tard, la nuit engoufrait le village dans l ombre.. Tricet etait en train d allumer un gigantesque feu dans son champs, il avait pris soin de disposer autour de celui ci, une serie de chaises et de bancs, de mettre sur des tables des choppes et des futs de calva.. Il attendait du monde.. Intrigués par cette flambée et la boisson à souhait, les habitants commencaient a se reunir chez le vacher.. Il laissa le temps a la nouvelle de se rependre , les laissa s assoir, sans dire mot.. ILs semblaient tous inquiéts de ce rassemblement improvisé," qu est ce que le boulet avait encore inventé".. Une fois tout le monde installé, Tricet monta sur une chaise et prit la parole :

Fecampois, Fécampoise !!!

Je vous ai tous reunit ce soir, pour moult raisons... Avant tout, je tiens a préciser une chose, pour le deuil du roy, toute animation est prohibé sur le territoire du royaume... Mais cela tombe !! Ceci est ni une animation ni un jeu, juste une soirée entre amis ... Et tous les habitants de Fécamp sont mes amis..
Ensuite vous n etes pas censer ignorer que le CACN organise, le 12 avril :
La cérémonie des calva d'or
L élection du meilleur scenario ecrit par un normand..
Et je vous connais, chers fecampois, toute la normandie vous connait, je sais qu aucun d entre vous n y paricipera... C est pour cela que je vous y ai tous inscrit.. Tous, sans exception, les vieux, les jeunes , hommes, femmes et meme toi le nouveau qui essaye de rester caché derriere les autres..
Imaginez cette fierté et cette publicité pour le village : "Le grand vainqueur du calva d or est decerné a ..... Au village de Fecamp tout entier"
Pour cela, nous allons nous réunir, le soir devant un feu, pour éloborer un scénario...
Comment procéder ?? Trés simple , grace a ceci !!!


Tricet montra, un flambeau posé sur un pied metalique...

Grace a ce flambeau.. Chacun votre tour, vous irez le récuperer. Une fois a votre main, vous entamerez une histoire. Vous pourrez la stoper où bon vous semble.. Ensuite là, plusieurs possiblilités :
- Vous reposez le flambeau sur son pied et laissez qui le souhaite, le reprendre et continuer l histoire, où vous vous etes arrété
-Vous le tendez a quelqu un, lui imposant ainsi, de devoir continuer l histoire
-Ou enfin quelqu un le réclame...

Quels sont les interets :

- Même une simple petite phrase peut faire avancer l histoire pas obligé d etre un ecrivain, en clair accessible a tout le monde
- Permet de n avoir aucune limite dans l imagination


hrp : c est votre perso qu raconte l histoire.. Ce n est pas lui qui la vit.. Par conséquent , il est crédible qu il raconte des histoires de dragon, de fée.. ou autre..


- il est meme drole de s amuser a coincer le prochain conteur, en terminant, votre histoire par une situation difficile..

hrp seule regle a respecter : ceci est du RP : donc mise situation de votre perso (en italique) qui prend la torche , de meme pour la reposer( n hesitez pas a jouer de ca , exemple : tricet voit lilie trembler, le froid arrivait.. Il se leva pour recuperer le flambeau, et en profita pour mettre un buche au feu...etc)
Utilsez le gras por faire parler votre perso, si dans l histoire qu il raconte il y a des dialogues, vous pouvez utilser la couleur !!!


Maintenant petits exemples pour ceux qui ont la compreneur difficile

Tricet redescendi de la chaise, s approcha de la torche enflammée, la porta a son visage et entama

Il etait une fois un jeune garcon. Il etait issu d une famille modeste. Il passait sa journée a jouer dans les champs, jusqu au jour où...

Tricet arreta l histoire, regarde l assemblé et cherche a qui donner le flambeau..Il hésite et prefere le remettre sur le pied..

Ensuite un exemple pour coincé quelqu un..

Tricet pris le flambeau...

Le jeune paul se promenait le long de la falaise, l herbe etait humide, soudain il glissa, chuta dans le vide, alors qu il tombait il voyait sa vie defiler dans sa tete , il allait mourrir !! Et alors

Tricet donne le flambeau a Matou..


Là matou doit de débrouiller avec ca.. elle peut dire : L enfant reussit a s aggriper a une branche.. Ou un grand aigle déchira le ciel et aggripa l enfant...Ou soyons fou : l enfant ouvrit les yeux durant sa chute.. rien ne bougeait , tout etait immobile.. il ne tombait plus..Il volait..

Tricet reposa le flambeau tout en parlant :


Bref je pense que là, c est suffisament clair..
Amusez vous bien, soyez imaginatif et surtout Riez Plus..
Le plus dur c est de lancer l histoire quelqu un pour demarrer ?[/
rp]
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La perfection a un gros défaut, elle est souvent ennuyeuse...

Dernière édition par Tricet le 23 Mar 2009 15:50:17; édité 2 fois
Matouminou
Matou avait écouté avec beaucoup d'intérêt et d'attention ce que racontait Tricet. Pour une fois, il semblait cohérent. Elle osa même penser "crédible" dans son rôle d'animateur. Elle sourit....ça c'était le genre de soirée qu'elle aimait. Elle regarda autour d'elle. Personne n'osait démarrer...Elle n'allait pas laisser Tricet comme ça...elle fit un pas en avant et commença.



L'enfant, occupé à arracher une par une les pattes de l'araignée qui gigotait entre ses doigts, n'entendit pas arriver l'homme. Tout de noir vêtu, ce dernier esquissa un sourire qui ressemblait plus à un rictus. "Ainsi ce sale petit morveux avait une fois de plus échappé à la surveillance de sa mère", pensa-t-il. Il faut dire que celle-ci était plutôt simplette et pas vraiment consciente de sa responsabilité maternelle.
Il attrapa le jeune garçon par le collet et le souleva. le pauvre enfant battit des pieds dans le vide en hurlant de frayeur puis de colère.
" Lâche moi sale brute...t'es pas mon père..."
Il devint de plus en plus rouge et sentit le souffle lui manquer. Il souhaita alors que l'homme se transforme en couleuvre...Il sentit la prise se desserrer et glissa à terre....

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Matouminou
Heureuse Fécampoise
Fière d'être Normande
Verba docent, exempla trahunt
Tricet
Tricet restait attentif a l histoire de Matou, il voyait les autres encore hesitant.. Matou arrreta son histoire puis vint deposer la torche sur le pied metallique... Personne ne bougeait.. Le jeune vacher se leva et repris la torche



L enfant, enfin libre pris ses jambes a son cou.. Comment avait il fait pour s échapper ?? Peu importe.. Un seule chose comptait, fuir.. Il traversa le bois de la Madeleine, atteigna le garfu, ce petit ruisseau qui serpentait au creux de la vallée Felestine.. Cette charmante vallée où le jeune garcon avait toujours vécu depuis sa naissance.. Aprés plusieurs minute , il arriva chez lui. Il vivait dans une petite ferme, elle semblait abandonnée, mais il reconnu l odeur de la fameuse tarte que sa mére avait le secret..


Tricet arréta son histoire et reposa le flambeau sur son pied.. Il attendait qu un courageux le prenne
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Aupyl
Aupyl se demandait pourquoi cette convocation en pleine nuit dans un champ à moitié labouré. Avec toutes ses ornières, on ne pouvait que se luxer ou se fouler une cheville.Enfin, bon, il était venu pour voir se que le CACN avait tramé encore.
Tricet avait parlé disant qu'il fallait narrer une histoire. Il avait commencé, puis Matou avait repris, puis Tricet, on n'entendait qu'eux presque.

A moi, à moi!
Je la connais cette histoire. Attendez, j'arrive.

Aupyl se leva, embrassa son ange, et se dirigea vers la table centrale.



Alors donc, il avait cette odeur de tarte qu'il connaissait. Cette tarte que sa mère faisait tous les dimanches. Mais là, d'après ce qu'il en savait, c'était mardi. Deux jours après la messe, c'était donc mardi. Il ne comprenait pas pourquoi sa mère avait fait son dessert.
Elle ne lui avait pas dit que.... que...


Arf zut, j'ai un trou. Pourtant, je la connais, je l'avais même raconté à Shawenn.

Aupyl s'adressa à la foule:
Allez , tous ensemble, SHAWENN! SHAWENN! .
La foule scanda son nom en choeur :
SHAWENN! SHAWENN!
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Shawenn
Shawenn écouta les paroles de Tricet, il avait eu encore une très bonne idée. Il n'était pas aussi bouseux qu'il ne le pensait. Il devait peut-être regarder les étoiles le soir, et une lui était peut-être tombée dessus éclairant un peu cet esprit si creux parfois.
Elle entendit son prénom quand Aupyl eu fini son histoire...
Elle fit une révérence, les joues rouges par les applaudissements...elle prit la torche.





Le petit garçon frappa deux fois à la porte de la chaumière. Son coeur battait un peu vite. Il devait y avoir quelque chose qui clochait. Mardi, une tarte...sa mère ne devait plus avoir de repère. La femme était entrain de remettre quelques morceaux de bois dans l'âtre de la cheminée.
Quand elle vit le garçonnet, elle se releva et elle lui tendit les bras.

"Ben t'étais z 'où non di Diou !! J'me tracassais ptit poussin !! La marie toujours inquiète quand elle te voit pas !! Ptit coquin !!"

Elle l'embrassa le gamin, le pauvre sentit sa joue griffée. La pauvre femme souffrait d'une grosse pilosité. Elle était là tous les matins à se raser avec le coup choux. Il aimait sa mère le petit, mais il évitait tout contact avec elle.


Shawenn s'inclina de nouveau et elle posa le flambeau....
Pardallian
.
pardy se leva et vint prendre le flambeau.

[b].

alor ch'tite biloute ,tu lorgne ti mes tartouilles aux pissenlits,ché pourtio pas ton féte c'matin
j'attendions le curio d'la parroisse,il doit vinir pour fire,une ch'tiote gatrie.

[i].
pardy rigolait de ses aneries et reposa le flambeau sur son pied.

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Tricet
Tricet vit que les habitants commencaient a arriver, il ne pouvait s empecher de reprendre la torche, il fallait avouer que c etait un vrai moulin a parole.. Au moment de s en saisir, il marqua un temps de pause, il scruta tous les fécampois ... Insista, il cherchait quelqu un.. Etait t elle là?? Oserai t elle venir ?? ...Il porta le flambeau a son visage pour y apporter un air plus mysterieux, grace aux ombres formées par flamme..



Il se nommait Kiaran, et ce jour là, la tarte ne le tentait point.. Il ne pouvait s enlever de l esprit son aventure de l apres midi.. Qui etait cet homme ?.. Pourquoi avait t il fini par lachait prise ?.. Tant de questions sans réponse.. Contraint d accepter, forcé et manipulé par sa mére... Kiaran repris le chemin de la verdure, la tarte a la main...
Il arriva au bord du petit ruisseau, il s accroupit et fixa l'eau.. des poissons semblaient jouer entre eux...
Oh que vous avez de la chance mes p'tits poissons.... vous ne devez pas avoir de parents sur le dos, ni de curé.. Libre .. nager sans contrainte...Comme...
Il n avait pas eu le temps de finir sa phrase que...


Tricet reposa la torche...
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Horloger
Horlo avait cru entendre AUpyl et la foule en délire l'appeler. Certainement avait-il entendu des voix. Il saisit la torche, et poursuivit.



...un galop au lointain se fit entendre. Le petit garçon s'immobilisa. Il tourna la tête, et vit au loin, sur le sentier, un cavalier. Il soulevait derrière lui un nuage de poussière; le chemin de terre passait à proximité de l'endroit où jouait l'enfant. Il eut un instant d'hésitation. Que faire? rester près du petit cours d'eau, comme si de rien n'était, ou bien se cacher dans les fourrés pour regarder passer le cavalier? A mesure que le bruit du galop se rapprochait, son coeur battait plus vite, comme à l'unisson du galop du cheval. Il hésita encore, et soudain, prit sa décision.
Aupyl
Aupyl prit la torche, il savait comment finissait l'histoire mais il aimait bien faire durer le suspens.



Vi, il était sur le bord de la rivière. Et il fallait qu'il prenne son destin en main. Quelque soit sa décision, il lui fallait choisir et vite. Le cavalier lui faisait peur, mais le cheval le fascinait. Il se leva et se mit sur le sentier face au cheval et au cavalier qui fonçait sur lui. Il se tenait droit comme un I. Il commençait à distinguer les vetements du cavalier, ou plutôt la cuirasse d'acier.
Le rythme de l'équipage ne faiblissait pas. Il se ......


Aupyl fit tomber la torche;
-Mince, c'est que c'est chaud, ça.
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Matouminou


...força à garder les yeux ouverts. Le cavalier se rapprochait dans un nuage de poussière. L'enfant sentait son coeur battre. Le cheval arriva droit sur lui, il entendit distinctement le cavalier pousser un juron et le vit au ralenti tirer brusquement sur les rênes. Le cheval se cabra balayant l'air de ses pattes avant. L'homme sauta à terre, enleva son heaume. Son visage exprimait un profond courroux:

Sacrebleu, petit!! tu veux donc mourir? Quelle mouche t'a piqué?

Kiaran se jeta à ses genoux et l'implora:

Messire chevalier, je vous en supplie, emmenez moi avec vous...je peux vous servir, m'occuper de votre cheval...

Les mots se bousculaient dans sa tête, il était décidé coûte que coûte à quitter cet endroit.

Tu n'as donc point de famille? une père? une mère? D'où viens-tu?

Je suis orphelin...je n'ai nulle part où aller...

La cavalier le regarda avec pitié....Des orphelins, il y en avait à la pelle dans le royaume. La dernière guerre, tout juste achevée, avait été abominablement meurtrière. Des combats sanglants, des affrontements violents, des villages pillés et beaucoup de morts.
Il se hissa sur le cheval et tendit la main à l'enfant l'aidant ainsi à se mettre en croupe derrière lui.


Accroche toi bien petit...

Alors que le cheval galopait vers une destination inconnue, le jeune garçon eut une dernière pensée pour sa mère.


Matou regarda autour d'elle, le flambeau à la main....elle se dirigea alors vers Leonvieux. Elle le savait un peu timide mais elle était sur qu'il s'en sortirait très bien. Elle déposa le flambeau devant lui avec un sourire encourageant.
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Matouminou
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Artesienne62
Galopant avec le chevalier

Ou mens mené vous,le gamin un peu effrayé sans savoir ou il aller aboutir

Loin d'ici lui répondis, ou il y aura moins de guerre ou tu pourras peut êtres trouver une famille qui s'occupe de toi, car moi je ne peux pas



Le gamin était heureux d avoir rencontré ce chevalier qui ne connaissait pas.


reposa la torche parterre
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Tricet
Tricet prit la torche qu Arté avait mise au sol..
Arté, met pas le flambeau par terre, tu vas enflammer mon champs..
Tricet regarda Leonlevieux..
Bon, tu dors ?? .. quoi t as peur? .. Bon je me lance mais aprés c est toi !!!



Kiaran, solidement accroché a son cavalier, sentait l air lui fouetter le visage, ils allaient si vite, que le paysage semblait fondre devant ses yeux..
Aprés seulement quelques minutes , ils avaient deja passsé le bois de la Madeleine, la limite du canton.. Le jeune garcon n avait jamais était aussi loin..

Hé petit , comment te nommes tu ? moi je suis Marbot le pieux. Chevalier érrant... Et lui .... Marbot montrait son cheval.... c est Nuage !!
Petit garcon entre deux inspirations, rendues difficiles par la vitesse, repondit
Je suis KIARAN... merci à vous et a Nuage !!!
Une voix grave et forte se faisait entendre du dessous...
Enchanté Kiaran... Accroche toi, on va accélerer !!!
Le jeune garcon se pencha en avant, pour voir d 'ou venait cette voix..
Nuage? ??
Le chevalier serra fort la taille du petit garcon...
Et c est parti ! YYYAaahh Nuage !!!
Kiaran senti , son estomac s enfoncer dans ses instestins, une acceleration fulgurante, lui fit décoller le corps de la selle, il était tenu que par Marbot...
Soudain, Kiaran regarda le sol....


Tricet regarda Leonlevieux, espérant qu il se décide enfin

Bon, on attend 5 minutes si tu viens pas, quelqu un d autre se décide..
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La perfection a un gros défaut, elle est souvent ennuyeuse...
Leonvieux
Léon, à moitié tétanisé par la timidité, saisit la torche d'une main tremblante...
Heu : Je dois dire quoi ?
Voyant Matou lui fire un sourire encourageant, il se décida enfin :




Mais pourquoi est ce qu'on entend plus rien ? Le cheval devrait faire du bruit ?
Son regard se pose sur les sabots de nuage : Le cheval ne touchait plus le sol : Sans pour autant prendre de l'altitude il semblait filer au dessus du chemin sans le toucher

Kiaran hésita entre la terreur et l'emerveillement ?
Qui... Qui êtes vous vraiment ?

Le cavalier ne répondit pas. On s'approchait d'un petit pont


Léon, très fier de lui, reposa la torche.
Ensuite seulement il se mit à trembler de tous ses membres en se demandant si il avait bien parlé...
Shawenn
Shawenn se prit au jeu en écoutant chacun faire la suite de l'histoire. Elle vit Léonvieux qui reposa le flambeau sur son support.
Elle s'avança ne voyant personne le reprendre. Elle le prit...



Le cheval galopa vers le pont.
Le gamin pouvait sentir les muscles de l'animal se contractaient, mais aucun bruit, ni aucun bruissement...la journée était spéciale.
Dès qu'ils traversèrent le pont, une chaleur étouffante se fit sentir, le gamin commençait à suer à grosses gouttes.
Il tenta d'attirer l'attention du chevalier qui avait l'air d'être concentré sur la route.

"Chevalier, où allons-nous ???"

Le chevalier pencha la tête sur le côté ce qui fit sursauté le pauvre gamin. Il faillit en perdre l'équilibre.

"Je te l'ai dit je t'amène chez quelqu'un qui s'occupera de toi. Sois patient mon enfant..."


Shawenn s'inclina et elle reposa le flambeau sur son socle.
Leonvieux
Léon semblait tout chose..

Il rougit. tendit la main vers la torche...
Puis blémit, et laissa retomber sa main.

Il resta sans mouvement à regarder Shawenn qui retournait à sa place au bord du cercle.
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