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[Rp] La folie des Grandeurs, ou pas !

Shawie
La folie des grandeurs certaines mauvaises langues auraient dit, et dieu sait qu’à la Grotte, il y en a des mauvaises langues. Il existe bien des tempérament différents, elle avait de plus en plus de mal à s’adapter avec les nouveaux. Pourtant, c’était un réel plaisir de les former et de leur apprendre ce qu’il fallait pour qu’un jour, ils puissent voler tout seul. Le souci c’est qu’elle n’était pas sure de vouloir les laisser partir. Egoïstement votre pourrait on dire.

Ils avaient réussi à avoir la carte des lieux, ne demandez pas comment, vous n’en reviendrez pas. Sur son cheval, elle tenta de déchiffrer et de s’orienter dans la pénombre. C’était bientôt le levé du soleil. L’attaque était prévue pour la nuit mais malheureusement, contre temps obligé, ils avaient tourné pendant un moment avant de trouver le lieu dit. Thynes. Une seigneurie sans Seigneur, elle était peu fortifiée, parfait pour une attaque. De loin, on pouvait apercevoir certains villageois commencer à prendre leur travail, des lumières sortant d’autre bicoque, enfin, un village comme les autres.

C’était donc quasiment le matin. A première vue, pas trop de défense, des animaux en libertés, surement des granges de maïs, des réserves d’or sous les paillasses. Elle tourna la tête, toujours assise sur son cheval, pour s’adresser à ces compères doucement :


Bon, on est arrivé, un peu en retard. Le village est la bas, Thynes. D’après les informations, il n’y aurait pas trop de défense. Peut être que els villageois ne sont pas riches ou que sais je, mais je suis sure qu’on trouvera de quoi nous satisfaire.

Montrant du doigt l’entrée principale.

Je vais entrer par la, faudrait que quelques personnes viennent avec moi pour les distraire sur nous pendant qu’un autre groupe montrant un petit chemin adjacent rentrera par la bas. Comme ça, on les prend en des deux côtés et ils ne pourront pas s’enfuir.

Elle rangea sa carte dans sa sacoche, sortit son épée.

Bon et bien, bon courage à nous. Essayez de ne pas prendre trop de chose, enfin qu’on puisse partir sans trop trainer quoi.

Une petite tape sur le cul du cheval et elle trotta vers l’entrée principale.
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Tywin.lannister
Tywin se tennait à coter de son maitre, il observa les défences de la ville qui semblaient être assez faible, une partie de plaisir se dit il.
Il espérait pour les vilageois qu'il y aurait asser d'or et peut être qu'il prendrait leurs vies rapidement sans les faire souffir.


Je te suis shawie, mon bras me démange.

Il donna un coup de botte a son cheval et suivit shawie en trotinant.
Edgar Davout, incarné par Richard_watelse
[Sur la place du village de Thyne]

Edgar Davout avait la première ronde de la journée. Depuis le levée du coq jusqu'à ce que les cloches sonnent midi. Le soleil peinait à se lever, et la brume en profitait pour s’éterniser dans la vallée. Sa hallebarde fraîchement affûtée venait compléter une armure usée par des années de services, et une barbe touffue de plusieurs jours qui lui donnait un air bourru et viril. Une mouche vint à voler autour de sa tête, et par réflexe plus que par réelle fin, tel un chien il l’attrapa entre ses dents et mâchonna la pauvre bestiole. Il en chassa une autre qui se posait sur la cicatrice de sa joue. Sa journée commençait comme toutes les autres sur la place du village de Thynes et finirait comme hier dans la lueur des tavernes et la profondeur des chopes de bières.

Edgar parlait comme un chien par grognements. Parfois, son maigre vocabulaire traversait sa paroi buccale pour former des phrases brèves : Ces paroles avaient le plus souvent attrait à l’état de son ventre « A boire ! J’ai faim !.. ; » ou à une de ses innombrables insultes « Nabot ! Chiure de pigeon ! Râclure pleine de morve !». A tout prendre, ceux qui le côtoyaient préféraient de loin les grognements canins.

Il salua d’un plissement d’yeux peu commodes le garde dont il prenait la relève. Un rien à signaler atteint ses oreilles, et, après quelques minutes d’analyse, l’information avait fait le tour du cerveau. Mais son comparse était déjà loin pour qu’Edgar lui réponde.
Richard_watelse
Richard Watelse marmonnait un onzième credo. Encore un douzième et le coq sonnerait le levé du matin, et Aristote plongerait les royaumes dans un nouveau jour plein de promesses. Le guerrier tenait fermement son épée entre les mains. Pointe au sol, elle prenait la forme d’une croix qui avait été le témoin d’autant de prières que de combat. Une chevelure indisciplinée retombait en boucles sombres sur son visage et ses épaules, cachant à moitié un regard froid et lointain. La ferveur qu’on y lisait était quasi fanatique. Il lui semblait toujours ne plus sentir son corps dans sa tentative de rencontrer Aristote par la prière.

Richard Watelse avait commencé son pèlerinage il y avait de là plus d’un an dès son retour des guerres d’Antioche et des soulèvements de Jérusalem. Le choc de la guerre avait fragilisé sa foi, qu’il essayait désormais de consolider par ce pèlerinage. Ses pas l’avaient conduit dans l’humble chapelle de Thyne où il avait passé la nuit à veiller, priant, faisant pénitence, luttant contre le sommeil. Car la foi exigeait une discipline du corps assujettie à l’âme.

Le coq, enfin, mit fin à sa nuit blanche et le petit matin promettait une nouvelle chance de racheter ses fautes en servant le Très-Haut. Un gargouillement de ventre se fit entendre alors qu’il atteignait le parvis. Son regard alourdit de sommeil parcourut la petite place en quête d’un paysan qui lui ferait la charité d’une miche de pain, mais ne croisa que les yeux, apparemment vides de toute activité cérébrale, d’un garde à l’allure bestiale. Il le salua :


Ola! Bon matin pour une garde, n'est ce pas?

Le soleil pourtant restait faible et l'humidité restait suspendue dans les airs. Plutôt une journée pour attraper la mort.
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RP en cours : Forum officiel 1=> International RP => Guerre - War => Il était une Foi...
Silvinho
Silvinho avait parcouru pas mal de chemin avec ces compagnons de route. L'attaque devait se produire pendant la nuit mais quelques aléas pendant le voyage nous avaient menés à Thynes au beau matin. Ce village peu fortifié et apparement peu gardé etait une bonne chose pour une premiére main. Shawie avait préparer la tactique un groupe d'un côté l'un de l'autre pour ne donner aucune chance à nos victimes.

Je prend l'autre côté qui vient avec moi?

Silvinho mît son casque et sortie son épée avant de la brandire et de chargé.

A l'attaqueeeeeeee !!!
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Devilfred


[Castel de Falmagne - Seigneurie de Frederik]

Le maréchal était déjà fort occupé à Falmagne. Il devait tout redécorer dans son château. Ah ça, il était affreux. Le précédent occupant n'avait ni la conception de la propreté, ni celle du gout! Il devait absolument tout redécorer avant que sa femme arrive. Ah ça oui, il ne devait pas laisser ce château en piteux état. Il aboyait donc ses ordres à ses servants et architectes. Les pierres du château serait brossées et frottées jusqu'à ce qu'elles retrouvent leur blancheur d'antan et qu'elles perdent cette couleur noir verdâtre... Le plancher serait remplacé par du marbre plutôt que cette saloperie rocailleuse qui écorcherait le pied du premier venu. Il ferait installer également des étendards de Dinant et de Falmagne entre les grandes fenêtre de la salle principale, à intervalle régulier. Avec des braseros en face afin de ramener un semblant de chaleur dans ce foutu trou perdu.

- Vous doublerez la garde là, la et là. Les fenêtres devront être refaites. Les carreaux sont poisseux et méritent de recevoir un vent de nouveauté. La grande fenêtre ici, derrière le trône seigneurial, vous la ferez en vitrail! Cela ajoutera une dose de couleur. Vous installerez également 6 piliers dans cette salle. Vous allez également me faire le plaisir de nettoyer et désinfecter ce qui me servira de trône et le siège de votre futur dame. Ah! Vous me ferez également le plaisir de changer la porte et la herse du castel, les portes grincent et la herse est tellement rouillée que le moindre bélier la ferait tomber d'un coup. Vous referez également les jardins à l'extérieur et entretenez les, ma femme ne voudra pas de mauvaise herbe ni de fleur desséchées, elle voudra un jardin verdoyant et vivant! Est-ce clair?
- Oui messire, nous ferons comme vous le demandez!

Il avait déjà assez à gérer comme vous voyez. Un cavalier arriva inopinément à Falmagne, traversant la bourgade pour rejoindre le castel. Le cavalier s'arrêta et descendit du cheval.


- Je cherche Frederik du Val d'Haine! Tonna le cavalier.
- Qui le demande, cavalier?
- Son Altesse Royale le demande. Elle m'envoie pour le prévenir que ce matin, des brigands s'en sont pris à la principauté. Il doit venir aider à défendre la principauté, lui et ses hallebardiers.
- J'y serai.

Le voilà donc rendu là. À se faire mander par son altesse royale pour défendre ses terres. Ça promettait. Il se tourna vers son serviteur.

- Demande au palefrenier de seller nos chevaux et au capitaine de la garde d'appeler les hallebardiers. Nous devons arriver le plus vite possible. Nous allons faire halte à Falmignoul puis nous irons directement au village concerné. D'accord?
- Oui maitre!

Ainsi donc, il allait de nouveau prendre les armes... Pour un militaire retraité... Il allait devoir faire de grands efforts pour voir s'il n'avait pas perdu la forme.
Valentina.
    Puisque les mairies ne cèdent pas, nous nous en prendrons à un domaine de noble. Soit ! L’idée avait recueilli un franc succès et une fois les plans en poche et quelques indications sur les défenses en place et le potentiel butin, la petite troupe s’était mise en route pour Thynes. Le trajet avait été assez long. Long car ils avaient chevauché à brides abattues de longues heures, long également car Val n’avait jamais été jusque dans ce coin du royaume, mais surtout ils s’étaient perdus à de nombreuses reprises. Il faut être honnête… et les premiers rais du soleil commençaient à poindre lorsque la joyeuse bande arriva.

    Thynes, sa forteresse, ses animaux, les granges prêtes à imploser et surtout ses coffres pleins… Un lieu de villégiature parfait pour le groupe malgré l’atmosphère pesante. Toute à ses rêveries s’imaginant déjà son bolide regorgeant des trésors de ce domaine, Valentina fut rappelée à la réalité par les premiers ordres qui tombèrent. Oubliant l’espace d’un instant ses futures richesses – mais également la douleur qui lui brûlait le séant à avoir chevaucher toute la nuit – Val se concentra pour écouter Shawie.

    Deux options se présentaient à elle. Suivre Shawie pour la distraction à l’entrée principale ou bien suivre Silvi pour l’entrée en force à la deuxième entrée. Choix cornélien pour la petite rousse surtout lorsque l’on connaît sa grande passion pour le jeu, le mensonge – petit bien entendu et pas avec tout le monde –, la triche et le théâtre. Car si la petite rousse n’était pas violente pour un écu, jouer, elle aimait cela. Et après tout, le plaisir de chacun se trouve et s’éprouve de manière parfois fort différente.


    Tywin suivait Shawie, Val suivrait donc Silvi et elle était bien décidée à s’amuser un peu. Ces derniers temps, elle ruminait de mauvais souvenirs. Le jeu lui avait manqué sur les chemins, les cartes, le ramponneau et d’autres petits passe-temps tout aussi excitants et stimulants qu'une folle nuit de brigandage. Ce soir, elle voulait distraire et se distraire par la même occasion. Les azurs rousse se portèrent sur Tywin et Shawie.

    Je vais suivre Silvi.

    Un sourire taquin à l’attention de son compagnon de route, elle s’amusa de ses propos.


    Chut Silvi ! Tu vas nous faire remarquer et ici, ils sont peut-être plus réactifs qu’en Auvergne. En plus, un « Qui m’aime me suive ! » aurait eu un effet beaucoup plus grandiose et spectaculaire que ton « Qui vient avec moi ? ».

    D’un point de vue tactique, nous pourrions nous aussi les distraire pour entrer plus facilement. Qu’en penses-tu ?


    Oh la petite rousse avait des tonnes d’idées dans la tête. Pas question ici de claironner fièrement un « haut les mains, peau de lapin » ni de jouer la pauvre victime blessée, elle avait dans la tête d’utiliser une technique aussi vieille que le monde. Il allait falloir ruser pour entrer et quoi de mieux pour cela que…

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Richard_watelse
A l'attaqueeeeeeee !!!

Les oreilles du soldat se tendirent immédiatement devant l'appel si bien connu. La main se dirigea instinctivement sur le pommeau de son épée essayant de distinguer l'endroit d'où viendrait le premier coup. Et combien seraient-ils? Un homme seul, simple fou, tenterait-il de terroriser un village de son propre chef? Toute une armée de pillards prête à décimer toute âme qui vive? A part ce cri, rien. Strictement rien.

A côté de lui, il pouvait sentir la tension de la milice. Une tête pointa hors d'une maisonnée, curieuse de savoir l'origine du cri. Un vieillard sortit même hors d'une petite chaumière en maugréant que "des jeunes doivent encore faire des âneries".


Richard Watelse tira l'épée de son fourreau. Il fit un tour sur lui-même, attendant un signe.


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RP en cours : Forum officiel 1=> International RP => Guerre - War => Il était une Foi...
Tywin.lannister
Tywin suivait shawie de près, il sentait la fatigue de son étalon noire parcourant le chemin, c'étais une bête robuste elle tiendra le coups. Il donna un coup du plat de son epée sur le postérieure de son cheval ce qui lui finit gagner de la vitesse et en profita pour dépasser shawie

A l attaqueeeeeee !!!!

Tywin lacha un juron, il se demanda quelle était l'abrutit qui avait crié ça, il lui dira deux mots après que tous sois fini.
raison de plus pour se magner se dit tywin.


Il débula dans la rue avec un bruit de tempête, certain habitant sortait de leur chaumière en le regardant perplex, se demandant qui pouvait bien être cette homme blond sur cette énorme étalon noire.

Tywin profita de ce moment oû il avait capté l'intèret de tous et en un éclaire il dégaina sa lame qu'il avait affutée pendant ces derniers jours.
Il dirigea son cheval vers le premier homme et lui trancha l'artère, une fontaine de sang jaillit de son cou éclabusant la femme qui se situait à coter de lui.


Les habitants mirent peux de temp à réaliser ce qui se passait, en un instant ils s'encouraient dans les rues en se bousculant, trébuchant et en se marchant les un sur les autres. C'étais la panique total.

Allons vous aurez tous droit à votre tour, innutile de se chamailler.

Il se tourna ensuitte vers shawie en lui en désigant de son épée ensanglanté la population en fuite

A toi l'honneur
Hadrien.marcus
Que fait Hadrien pendant ce moment ? Euh. Non, il n'est pas dans la Citadelle. Parce qu'une Citadelle aussi fortifiée que la capitale, c'est déjà très fortifié comme fortification, c'est un fort dans un fort et ancré dans un fort. C'est très très fort... Bon vous avez compris. Actuellement, il est en train de boire, presque dégouté par le goût, du lait d'amende. L'eau, c'est pas bon. Ca rend les gens malades, en plus, on se baigne dedans. Du vin ? Hm. Pas lorsqu'il est accompagné de deux gardes palatins. Il ne voudrait pas devoir partager sans arrêt sa gourde et mourrir de faim.Il se dirige actuellement vers Thynes. Parce qu'il doit bien s'arranger pour voir son peuple. Peuple dont il est apprécié et il apprécie l'intelligence et la bonté ! Un gargantuesque, le chef de l'autre type, l'autre garde palatin, tous les deux vétus d'une armure de platte complète, se penche pour lui, le sourire est dissimulé sur sa frimousse pour parler à son Dominus.


- Monseigneur, nous sommes bientot arrivés. J'espère qu'il va y avoir beaucoup de bière, de la Leffe en prime !

- Je ne sais pas. J'espère aussi.

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Prince de Dinant
Baron de Menezalban
Gabrielle_blackney
[La langue des femmes est leur épée, et elles ne la laissent jamais rouiller.*]

- Seigneurerie de Falmignoul -

Gabrielle était paumée au milieu de nul part. En fait non, pas tout à fait mais elle avait chevauché des jours en compagnie d’Enzo pour aller visiter la future seigneurerie de son mari dans la principauté de Dinant.
Autant le dire : elle était scotchée, Gabrielle. Un château. Un vrai avec des tas de couloirs, des pièces immenses, un donjon, des créneaux et tout ce qui va avec. Une place forte avec une vue sublime sur la Meuse. Franchement, ça en jetait carrément d’avoir un château à soi. Evidemment, c’était bien trop grand, c’était gris, sombre et froid. Le château n’ayant pas été habité depuis quelques temps, la poussière avait envahie les tapis et les tapisseries mais quand même, ça avait de la gueule.
Ca n’était certainement la plus grande ni la plus belle seigneurerie du coin, mais peu importait. Il y avait un beau domaine qui promettait de belles parties de chasse, et puis, c’était le nord et ça faisait du bien de se retrouver loin de la sécheresse languedocienne, de voir de nouvelles têtes, bref, de changer d’air.

En parlant de nouvelles têtes, en voilà une qui arrive. Un cavalier, qui semble bien pressé. Un messager en fait, qui cherche Enzo pour lui annoncer que « le Maréchal, Monseigneur Frederick du Val d’Haine réclame sa présence immédiate à ses côtés afin de… » blablabla… Il y a des brigands. Ils ont attaqué un village de la principauté. Il faut aller aider les habitants. Voilà en substance le message.
Gabrielle sautillerait presque de joie à l’annonce de la chose. Non qu’elle se réjouisse que des pauvres gens se fassent attaquer, mais voilà des mois qu’elle s’entraine à manier son épée et que pour l’instant, à part trancher quelques hautes herbes et taper dans des mannequins en bois, elle n’a jamais pu tester son apprentissage sur un vrai vilain. Et puis des brigands, c’est bien, c’est tout de même moins dangereux qu’une armée en guerre, ils sont moins aguerris. Enfin, elle imagine.

Gabrielle soupire et regarde Enzo. Plus dangereux qu’un brigand en fait. Son pire ennemi tout autant que son meilleur ami. Son mari. Il est bien capable de ne pas vouloir qu’elle y aille. Il va lui servir des arguments fallacieux sur le fait qu’elle n’est pas encore bien douée avec son épée, que c’est dangereux, qu’il ne veut pas être veuf tout de suite, qu’elle n’est qu’une femme et que sa place n’est pas sur un champ de bataille, aussi minime soit il, et autres foutaises. D’aucun diront que tout ceci part d’une bonne intention et qu’il tient à elle, Gabrielle, elle, pense qu’il a tendance à jouer les rabats-joies et elle a bien l’intention de ne pas se laisser dicter sa conduite. Elle le regarde donc et joue son seul atout, elle va lui montrer qu’elle aussi sait être bornée parfois.


Enzo, je fais seller nos chevaux. Oui, les nôtres. Il paraît que la femme du vassal a les mêmes obligations envers son suzerain. Alors si tu y vas, j’y vais aussi. De toute façon, à moins de m’enfermer dans le donjon, ne tente même pas de me l’interdire.

Et Gabrielle de tourner les talons pour aller aux écuries sans même attendre une réponse. De toute façon, le Maréchal machin chose ne devrait pas tarder, Enzo doit se préparer, enfiler tout son attirail, et il ne va certainement pas lui faire une scène en public. Fin de la discussion donc.
Au pire, quelques portes claqueront au retour, quelques éclats de voix se feront entendre. Mais ça voudra dire qu’ils seront vivants et en forme tous les deux, ce qui – après tout – est bien le plus important lorsqu’on revient d’un combat.


*Proverbe chinois

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