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[RP] Fauve et Mortel... notre "Chez nous"

Fauve_the_legend
La voici donc cette maison de pierres et de bois, celle qui ne ressemble pas aux autres !
Il en aura fallu du temps pour la trouver.



Fauve regardait chaque pierre, chaque plante, chaque fleur... les frolait du bout des doigts.
Le devant de la maison était classique, quelques marches, une porte, des fenêtres... mais ce qui l'avait davantage attiré était l'arrière de la maison, où la nature avait envelopée le toit et les murs.
Ce qui donnait un aspect arrondit de ce côté là, comme une maison sortie de terre.



La jeune femme fit plusieurs fois le tour, souriante.
Yeliel jouait déjà avec ses petits animaux en bois, les faisant courrir sur le petit mur de pierre.
Quant à Tempérance, elle était avec son papa, blottit dans ses bras, en sécurité...

Fauve regarda un instant son fils jouer et le rappela...


Yeliel ! Tu viens mon ange, il est tant de rentrer.
Prends tes jouets chéri, tu jouera à l'intérieur.

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Fauve_the_legend
La chambre était arrangée avec goût. Une grande moustiquaire protégeait leur lit d’éventuelles attaques nocturnes.



Fauve se souvint de ses nuits passées, seule à attendre son retour…
Elle l’avait regardé lui tourner le dos et s'éloigner. Elle avait retenu un soupire doucement et avait baissé la tête.
Puis elle avait reçu un pigeon, lui annonçant son retour. Alors elle était revenue elle aussi, dans cette ville de Nevers… Ils s’étaient donné rendez-vous, encore, peut-être que cette fois cela allait enfin durer. Elle lui avait présentée sa fille, leur fille, fruit de leur amour… Puis il lui avait demandé de rentrer chez eux…


Ensemble, seuls, sans avoir besoin de parler…

Ils se regardent longuement, sans un mot, quand soudain elle se sent soulevée et serrée contre son torse. Instinctivement elle l'enlace de ses bras autour de son cou et ses jambes l'enserrent autour de ses hanches puis elle rit joyeuse quand il tourne un peu sur eux. Elle le serre fort contre elle fermant les yeux. Puis le regarde, espiègle et lui sourit son regard plongeant dans le sien. Elle l'embrasse lui offrant ses lèvres, l'antre humide de sa bouche, et même son souffle, elle s'ouvre comme une corolle. A cet instant, elle ne pense qu'a lui, elle n'est qu'avec lui, pour lui...

Mortel place sa main bien à plat en son dos. Ses doigts sillonnent sa peau jusqu'à la chute de ses reins. Il sent le grain de sa peau, léger sous leur passage. Son bras enserre sa taille, l'entoure bien. Il sent ses formes épousées son corps. Un début de naissance de pointes contre son torse. L'autre main bien imprimée sur sa hanche.
Il survole ses lèvres, les frôle, les effleure juste par sa respiration haletante. Il prend pleinement sa bouche, tête penchée sur le côté dans un long gémissement qu’il ne peut retenir. Son corps se colle encore plus au sien. Sa bouche s'abandonne, voluptueuse, suave au premier contact de leurs langues puis langoureuses en une danse tournoyante. Sa respiration se perd, et il ne peut que laisser gémir son envie entre ses lèvres. Il pousse au plus loin son visage pour qu’il puisse savourer son grain, sa chair, son antre chaude et humide appuie bien sur son cou. Cela le pousse à venir la reconquérir de plus belle. Ses lèvres se font pressantes, elles remontent par le menton, parcourent celui-ci avec de légers mordillements, se perdent sur un côté de sa mâchoire. Il remonte à son oreille, susurre son lobe puis dérive vers sa bouche qu’il embrasse avec passion, pleinement. Il cherche ses yeux.
Son regard se livre sans fard ni pudeur dans le sien. Mi-clos, enfiévrés...Sa main explore sa gorge, remonte à son cou pour s'attarder en ce creux situé entre la naissance des seins et le bas de la gorge.

Le cœur de la jeune femme bat plus vite, son souffle devient irrégulier, son corps s'éveille, frémit sous ses doigts qui la frôlent, sous la chaleur de sa paume qui la caresse, sous la douceur de ses lèvres qui la goutent. Elle le quitte pas du regard, se perd dans ses prunelles sombres et enfiévrées, alors que son corps se serre contre lui, que ses mains partent à la découverte de sa nuque, de son cou et de ses épaules, qu'elles caressent légèrement presque fébrilement.

Mortel fais tourner sa tête sous les caresses portées à sa nuque. Il ferme les yeux un court instant. Son ventre se creuse sous le contact de leurs bas ventre qui se touchent de par leurs corps enlacés au plus proches et au plus loin, qu'ils ne semblent n'en faire qu'un. Il se mord les lèvres. Il est si bien sous ses mains qui le parcoure, et ne font qu’accroitre son envie, son plaisir, son désir. Leurs bas ventre se frôlent, se touchent et il ne peut contenir l'ardeur, la fierté dressée qui fait de lui un homme. Sa main va et vient à plat de sa hanche à son ventre, et quelques doigts gravitent autour de son nombril. Il glisse entre cette main plus bas entre leurs deux bas ventres pour se placer sur son antre, celle du péché originel. Du plat de la main, la paume sur le haut, ses doigts serrés, il caresse lentement son intimité. Il cherche en son regard, en l'ondulation de son corps, à l'expression du visage, un signe pour se conforter qu'elle s'abandonne.
Son ventre se creuse au rythme de sa main dont les doigts sillonnent les lèvres avec un mouvement de plus en plus profond qui fait s'agripper la paume de sa main bien sur son bas ventre. Il ne lâche pas son regard. Son souffle se fait sourd, long, plaintif au fur et à mesure qu’il explore son antre, si près de sa virilité. Il a du mal à contenir sa réserve sous tant d'envie et de plaisir, son visage se porte contre le sien, front contre front. Il se mord les lèvres.

Accrochée de toutes ses forces, Fauve sent son désir et son plaisir grandir sous les caresses et les baisers qui lui prodiguent. Elle retient son souffle un instant quand sa main se pose sur son intimité puis l’embrasse passionnément pour étouffer un gémissement de plaisir quand il commence à la caresser, son corps ondule lentement, ses pupilles se troublent sous la passion qu’il fait naitre lentement en elle.
Elle à chaud, son souffle s’accélère, son corps devient fébrile supportant de moins en moins la barrière des vêtements. Elle se cambre et se tend vers lui, sent son membre se dresser entre eux et le frôle en ondulant du bassin. Ainsi accrochée à lui, jambes enserrant ses hanches, elle est totalement offerte et a sa merci.
Elle sent sa poitrine frotter contre son torse et poindre sous sa chemise jaune dessinant les pointes en travers du tissu. Elle sent son intimité sous ses doigts devenir chaude et humide, sa peau devenir sensible à chaque frôlement d'une main, d'une bouche ou d'un vêtement. A fleur de peau, elle s'accroche à lui, le caresse fébrile, le goute de ses lèvres, de sa langue, le respire. Elle en veut plus et gémit de désirs contenus.

Le beau brun est aux prémices d'un désir, d'un plaisir si omniprésent entre eux, qu’il s'arrête à quelques centimètres du bord du lit. Il plonge son regard fiévreux dans ses iris si expressives. Il sent tout son corps en émoi au contact du sien, la pointe de ses seins dressée à travers le tissu de sa chemise jaune, à l'allure, d'une fierté identique qu’il ressent en tout point en son bas ventre. Sa main découvre toute la chaleur, et l'intimité de son antre humide sous ses doigts irrésistiblement attirés par la profondeur délicieuse de son ventre, par laquelle, il ressent cette cambrure, le mouvement de son corps si lascif. Sa main libère son intimité avec douceur, pour caresser longuement l'entrouverture de son entrejambe. Faire le tour de sa taille, et sentir au plus bas sur ses cuisses, la découverte d'un porte-jarretelle. Il joue de ses doigts sur l'attache sans la défaire. Il descend encore, savoure le galbe de ses cuisses au creux de la paume de sa main, où des bas les habillent d'une douceur extrême. Juste en dessous, la fermeté du cuir de ses bottes. De longues bottes aux lacets, qu’il devine contre ses hanches bien enserrées. Mortel ne quitte pas son regard. Il poursuit d'éveiller chaque partie de son corps. Il cherche ses lèvres encore et encore. Il ondule de son corps au rythme de la cadence du sien. Sans rien laisser paraitre, ses doigts défont les lacets de ses bottes. Il prend tout le temps nécessaire. Ses lèvres se font plus exigeantes, il goute son cou encore pour venir longer ses épaules, se perdre de sa bouche avide sur cet arrondi si emprunt à l'envie de le mordiller, le prendre à pleine bouche, et de la langue, en faire le contour, pleinement et de le manger. Il ne se rend pas compte sous cette danse de leurs corps, de leurs visages, de leurs mains, de leurs doigts, de leurs lèvres, de leurs respirations qu’il retire une à une ses bottes, avec un mouvement long, emplit de force. Il les laisse tomber au sol pour caresser ses jambes, ses cuisses si douces sous la protection des bas. Et contre toute attente, sa main abandonne son dos pour s'apposer comme sa semblable à la rondeur, à la fermeté de la courbe parfaite de ses fesses. Il ressent leurs bassins ancrés, leurs reins se fondent. Sa virilité caresse son intimité, son plaisir s'accroit de sentir sa chair chaude si bien imprégnée contre lui. Ses doigts fébriles survolent les attaches du porte-jarretelle. Son visage descend à l'encolure de sa chemise, pour venir glisser entre les premiers boutons défaits qui lui permette le chemin jusqu'à la naissance de ses seins. Il prend le bouton suivant entre ses dents, et tire dessus pour le faire céder. Il reporte son regard dans le sien. Ses yeux brillent, brûlent d'une fièvre qu’il reconnaît dans ses iris à elle.
Le bouton disparait le long de leurs corps. La voie libre, son visage écarte les pans de la chemise, d'un côté puis de l'autre, la vision qui s'offre à lui accentue la montée du plaisir encore plus.

Caresse après caresse, le corps de la jeune blonde rend les armes et se soumet à la douce torture qu'il lui inflige. Lentement au fur et à mesure qu'il la déshabille, elle se libère de toute contrainte. Serrée contre lui comme un lierre autour d'un chêne, prenant racine à même l'arbre, son corps n'est plus que désir frémissant, ondulant souplement contre lui. Elle gémit perdue, les sens affolés quand sa virilité caresse son intimité palpitante, humide et ouverte, prête à le recevoir. Ses mains comme habitées d'une vie propre bataillent avec la chemise de Mortel, cherchant à lui retirer pour enfin supprimer les dernières barrières qui séparent son corps avide de plaisir du sien.
C'est haletante, le souffle court et les yeux mi-clos plongés dans les siens qu'elle se cambre en arrière pour lui offrir ses seins dénudés puis laisse un soupir de plaisir s'échapper de ses lèvres entre ouvertes et ferme les yeux pour mieux ressentir les sensations qu'il éveille en elle.

Mortel frémit de sentir contre sa peau, ses rondeurs de chair, ses seins chauds et doux, qui se frottent, vont et viennent. Et les pointes si offertes quand dans une cambrure des plus chaloupée, Fauve l'invite à les goûter. Son regard brillant, fiévreux d'un plaisir trop contenu, ne quitte pas le sien. Et encore moins quand le bruit se fait entendre de la ceinture qu’il dégrafe de ses doigts fébriles. Se libère et se dévoile par un mouvement d'écart des pans, ses flancs, ses reins, son ventre et son bas ventre. Ses yeux dérivent quelques minutes devant la contemplation d'un tel spectacle. Sa peau respire. Son ventre se lève et se baisse dans une cadence très lente, au point d'en faire creuse par instant.. Tout vit au rythme de ses sens. C'est plus fort que lui. Il parcoure de son souffle chaud la courbe de ses seins, bien par en dessous. Il remonte, fait bien le contour. Ses mains alternent leurs va et vient bien au creux de ses paumes, pour saisir le galbe de chacune de ses cuisses. Ses doigts dégrafent les attaches du porte-jarretelle. La douceur de ses gestes fait rouler ses bas tout le long de ses cuisses à ses chevilles pour les enlever. Son regard se reporte vers le sien. Son excitation grandissante, il ne peut que chercher encore et encore des prémices pour accroitre et affoler leurs sens. Sa langue se durcit en une pointe. Par accoûts vifs, les tétons sont encerclés par un mouvement rotatif autour d'eux, fébrile qui se lie par la suite par un passage furtif, éclair sur ses pointes. Mortel n’a qu'une envie soudaine, un plaisir lancinant. Il s'acharne au creux de ses entrailles. Il creuse son bas ventre à chaque fois que sa virilité sillonnent au fur et à mesure, de plus en plus en loin, ses lèvres chaudes et humides de son intimité, de son antre offerte qu’il devine ouverte pour l'accueillir. Il a soudain envie d'être à elle, en son ventre. Etre en elle. Il la sens si frémissante, si palpitante, si exaltante. La pointe de sa langue quitte sa poitrine. Elle s'agite entre le chemin frayé entre ses seins pour une descente vertigineuse au plus bas qu'il puisse et que cette position lui permet. Il aurait tant aimé sentir, goûter de sa bouche et de sa langue son intimité, y entrer et s'abreuver de ce nectar. Savoir, connaitre. S'en enivrer à en perdre la raison. Il renverse le corps de Fauve bien en arrière, bien maintenu par ses deux bras autour de sa taille, ses mains bien à plat en son dos, et il descend de la pointe de sa langue au plus bas qu’il le puisse. Son ventre frémit. Trésaille. Sursaute. Il vit. Son corps ne supporte plus cette barrière entre leurs hanches, leurs reins. Sa virilité écarte ses lèvres. Son visage vient se positionner contre le sien, front contre front. Il veut tout lire en ses yeux, tout ressentir ce qui se passe en ses iris à la seconde où il entre en elle, qu’il s’'invite en son antre. Il contemple ses yeux mi-clos. Il est fiévreux. Sa respiration haletante s'accélère au fil de son mouvement lent et long, de légers va et vient, à peine exercer à l'entrée de son ventre. Une de ses mains caresse son visage, passe sur ses lèvres pour en faire le contour, ses doigts se perdent sur leur entrouverture qui laisse s'échapper les gémissements de son plaisir, de son désir et de son envie présente.
Sans ne rien laisser présager, d'un coup, leurs corps s'épousent, plus rien ne les sépare, plus aucune barrière. Ses reins se creusent, ses hanches viennent s'emmêler aux siennes et d'une lente progression, sur toute la longueur de sa virilité et la profondeur de son ventre, il est en elle. Sa respiration s'arrête d'un coup. Tout son corps se cambre, se voûte sur elle, vers elle. Il s'agrippe à sa taille, bouge plus. Il est si bien au fond de son sanctuaire secret. Son regard dans le sien, ses doigts viennent jouer avec sa langue par des allers venus sensuels. Il les alterne par des baisers langoureux.
Le désir et l'envie laissent placent au plaisir.

Les barrières sont tombées et c'est avec un gémissement de désirs inassouvis que Fauve se serre contre lui. Elle s'imprègne de son odeur d'homme, de son gout un peu salé, de la texture de sa peau, des muscles qui roulent et se tendent sous ses mains. Gourmande, elle le goute, le lèche et le mordille. Charnelle, elle le caresse, le masse et plante les ongles en lui parfois quand la tension en elle est trop forte.
Et puis soudain, il est en elle, chaud, palpitant, doux et ferme. Elle se cambre pour mieux l'accepter en elle, elle frémit, haletante, elle l'enveloppe de sa chaleur, de sa douceur. Leurs deux corps ne font plus qu'un et c'est dans un long soupire d'acceptation qu'elle murmure un oui, son regard brillant de désir rivé au sien. Elle embrasse et lèche ses doigts sensuellement quand elle ne répond pas tout aussi passionnément à ses baisers.
Indissociable, immobile, elle prend plaisir à le sentir en elle, contre elle, prêt tous les deux pour une autre danse... La danse éternelle et toujours renouvelée... Un corps à corps ou les partenaires en sortent vainqueurs.
Enfin, elle lui offre un sourire lascif et commence une lente danse contre lui, son bassin ondulant en un rythme sensuel et provocateur, cherchant à éveiller le plaisir dont son corps a faim et réclame si avidement.

Mortel savoure. Il aime. Il s'abandonne. Il se livre. Il perd pied. Il suit le mouvement de cette nouvelle danse. Son sourire lascif. Il la dévore avec envie de ses lèvres chaudes, avides. Tout en lui n'est qu'avidité soudaine. Leurs bassins ancrés l'un à l'autre, se séparent, pour mieux se retrouver au plus vite bien plaqués, bien collés. Dans un long et lent va et vient de sa colonne de chair. Elle goûte, se forme aux limites de chair de son antre, goûte, cherche la chaleur, la douceur, le contact des textures et la profondeur si bouleversante qui l'enveloppe tant de bien-être et d'envies. . Mortel chaloupe bien des reins, il les creuse au rythme de sa cambrure. Ses deux mains jouent à l'unisson entre sa taille et ses fesses. Ils les prennent, les possèdent pleinement. Les poussent au plus loin contre lui, les caresser, les relâcher et revenir à leur conquête avec de plus en plus de frénésie.
Il soude leurs hanches par des mouvements circulaires bien appuyés en elle, la découverte absolue de son elle. De son jardin secret. De ses entrailles. Ses mains descendent sur son ventre, saisissent bien ses hanches. Et il va et il vient entre ses reins. La provocation de Fauve fait son œuvre au point que le rythme lent et rythmé est ponctué par des accoûts fermes en bout de danse pour percuter au plus loin, au plus profond son ventre.
Son regard ne lâche pas le sien. Le peu dont il se détache, c'est lorsque le plaisir est trop intense, par instant. Ces instants où il perd tout contrôle. Où sa douceur, sa sensualité est submergée par cette envie de prendre, de posséder par force, ardeur.
Son visage dérive contre sa peau dont le goût change légèrement. Cette fine pellicule luisante recouvre la jeune femme de toute part. Cela ne fait que provoquer encore plus son plaisir. Il est animal. Tous ses gestes sont primitifs. Il ne caresse plus, il s'accroche, il s'agrippe. Il ne goûte plus, il dévore. Il ne ressent plus, il suit son instinct, la danse de leurs deux corps qui se réclament. Il ne contemple plus, il domine. Il n’est plus spectateur mais acteur. Et son plaisir tend vers le paroxysme au fil des changements d'odeurs, de textures de sa peau et des mouvements que Fauve lui offre contre son corps.
Il relève sa tête vers son visage. Ses reins accélèrent la cadence par des accoûts puissants. Il la sent. Il la voit le surplomber en hauteur au-dessus de lui au rythme de ces soudains assauts.
Le jeune homme se mord les lèvres. Sa tête se pose contre sa poitrine. Il danse au son de sa respiration, du battement de son cœur, de son corps qui réclame tout autant que le sien. Il fusionne sous sa sueur parfumée, brillante. Son corps s'affole, se retient, s'emballe, s'apaise puis le plaisir immerge, ravageur surgit....

Tout le corps de la jeune femme vibrant n'est plus que plaisir ! Chaque parcelle de son corps, réclame la jouissance ! Elle l'enveloppe de sa tendresse et de sa sensualité. Elle le prend contre elle, en elle, le serre fort de ses bras de ses cuisses. Sous ses mains, ses lèvres, sa passion, elle se sent vivante, belle ! Elle est femme et déesse ! Elle se sent aimée et désirée. Elle est prisonnière et libre !
Petit à petit, son souffle devient plus rapide, plus saccadé, sa peau se perle de gouttes de sueur. Elle devient fébrile, féline, vorace. Elle monte et descend sur ce mat de chair brulant et tendu plus vite, plus fort, plus profond. Elle gémit des mots sans suite et cherche à libérer le feu brulant qui envahit par vague chaque parcelle de son corps.
La tension monte, les senteurs lourdes et sensuelles de la passion les enveloppes, les battements de leur cœurs, leurs souffles brulant, leurs gémissements de plaisir les assourdissent, leurs corps moites et vibrants les emprisonnent. Plus rien ne compte que lui et elle ! Elle donne tout ! Elle prend tout !
Toujours plus loin... Toujours plus fort... Et soudain le cœur de Fauve s'arrête de battre, son corps se tend comme un arc dans un cri de victoire, la tête rejetée en arrière, les yeux fermés et un véritable déferlement de lave en fusion l'envahit la faisant trembler, secouée par des spasmes incontrôlables... Elle jouit... Elle meurt... Elle est vivante !

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