Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   1, 2   >   >>

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[RP ouvert à tous] Une naissance...

Medea7


L’aube, la belle rousse n’a rien dormi de la nuit. En regardant son amant dormir, elle s’inquiète, une douleur la tient en alerte depuis la précédente matinée, elle ne sent plus l’enfant bouger et elle a mal, ça tiraille. Aux premières lueurs du soleil, Medea, se lève, se lave et file hors de la maison, seule. Elle marche comme elle peut. Besoin de se détendre, elle sent que le moment est proche… et elle a la trouille la future maman. Première grossesse, premier pas de futur maman, pas de mari, pas de compagnon officiel… pour une Dame, ça la fou mal. Mais elle vit, elle revit au côté d’un beau messire. Elle profite de chaque instant qu’il veut bien lui donner. Elle se dirige vers le marché, s’amuse, une main sur le ventre, à regarder les fermiers monter leurs étals. Assise sur une pierre elle respire l’air matinal. Tentant de maitriser ses peurs et de comprendre pourquoi elle a soudainement mal comme ça. Elle est loin de comprendre que la délivrance arrive. Elle se releve. Une violente contraction là prends. Elle se plie en deux, tente d’appeler à l’aide, mais aucun son ne sort de sa bouche. Elle reste là, debout, flagellante. Elle attend que ça passe. La contraction passée, Medea, blanche et morte de trouille pose ses mains sur son énorme ventre. Et cherche des yeux un endroit où s’assoir. Diantre qu’elle se sent seule. Le blond n’est pas là, Imas, le pére de l’enfant n’est pas à côté d’elle. Et sa Louna… où est-elle. Seule. La dame de Villers-la-Combe panique. Des messires passent à côtés, elle n’ose les interpeller. Elle marche comme elle peut jusqu’à l’auberge la plus proche, entre et demande le plus sereinement possible à l’aubergiste, une chaise. Morte de peur. Elle prie pour ne pas ravoir cette douleur qui vient de la prendre, ne comprenant pas. Ne voulant pas comprendre, elle savait pourtant ce que s’était… ayant aidé à mettre au monde son neveu. Mais là… quand il s’agit d’y passer. Elle panique, elle se place à une table. Et respire doucement.

Sacrebleu… Fichtre… mais… qu’est-ce que je vais faire.

Assise là, elle se demande si elle a été vue sur la place. Sa main se crispe sur le tissu de ses braies. Une nouvelle contraction là prends. Les larmes lui montent aux yeux. Un murmure. Nannn pitié… je veux pas mourir.


[Bonjour, Bonsoir,
Merci de baliser votre sujet en éditant votre message et ajoutant [RP] dans le titre, comme cela est stipulé dans les règles d'or du coin des aRPenteurs.
Bon jeu, bon RP,
Modo Mahelya]
Luc
Le blondinet allait tranquillement boire un coup en taverne lorsqu'il tombe sur son amie, la belle rousse, couverte de sueur et le visage laissant transparaître une souffrance immense.
Ni une, ni deux il se précipite à ses côtés, comprenant immédiatement la situation.

Légèrement dépassé, et ne sachant aucunement ce qu'il doit faire, il glisse sa main dans celle de la rousse, cherchant des yeux une quelconque aide que les passants pourraient apporter.


Hey, y'a pas un médicastre dans l'coin? s'époumone-t-il inutilement.

Il reporte donc son attention sur la rousse, après cette vaine tentative.

Hmm, je crois qu'on va devoir se débrouiller... Allonges-toi, c'est un bon début !
Preciodekerroch
Une brune au comptoir les yeux perdus dans le vague. Qu'est ce qu'elle fiche dans cette taverne si loin de ses côtes bretonnes. Une envie de s'évader au loin, de briser quelques carcans qui lui pèsent.

Maître-herboriste, chirurgien de son état, la vicomtesse voyage incognito. Pas besoin d'afficher les armoieries au risque d'attirer l'oeil sur sa personne et ses gens. Une voix qui la sort de sa torpeur.

Hey, y'a pas un médicastre dans l'coin?Elle regarde l'homme, sourcils froncés. Un médicastre pour une femme qui va accoucher ? Quelle drôle d'idée quand on sait que la plupart sont des charlatans. Autant prendre medecin ou chirurgien.

Et quand le devoir appelle. Elle ne transige pas avec le serment qu'elle a fait.
La Violine s'approche de l'homme et de la femme qui semble en souffrance.

Je suis maître-herboriste, chirurgien. Je peux peut-être aider ?
Medea7
Medea qui avait de gros soucis avec la croyance dans le très haut depuis quelques mois, ce mit à bénir ce jour. Elle vit Luc arriver. Elle tenta de lui sourire lorsqu'il glissa sa main dans la sienne. Mais une violente contraction la prit à ce moment là. Elle la laissa passer et soupira. L'entendant appeler à l'aide. Oh oui un médecin ce serait une bonne idée. Elle allait obeir à Luc qui lui disait de s'allonger lorsqu'un ravissante Dame arriva à leur hauteur. Quand elle annonça sa qualité, la jeune Medea n'en cru pas ses oreilles et se promit d'aller très vite quand elle le pourrait à l'église. Elle allait être entre de bonne main. Serrant la main de Luc pour lui montrer qu'elle était heureuse qu'il soit là, elle tenta de répondre à la Dame.

Je vous serai reconaissante à vie si vous pouviez m'aider...

Morte de trouille la Dame de Villers-La-Combe. Elle était perdu complétement, ne savait plus quoi dire ni quoi faire. Et Louna... où était sa soeur. Elle avait promis d'être là... comme Med avait été là.
Medea respira un grand coup, une énième contraction la prit. Une fois celle-ci estomper.


Que devons nous faire?
Luc
Le blondinet ne peut s'empêcher de soupirer de soulagement en voyant la brune s'approcher, et l'entendre dire qu'elle est maître-herboriste.

Oh.. Merci pour votre aide ! Je... je peux faire quelque chose pour vous aider? s'adressant à la brune, la remerciant du regard

Luc se sent rassuré d'avoir quelqu'un de compétent à ses côtés, prêt à aider la belle rousse dans ce moment difficile.

Il s'empresse de lui souffler: Je suis là, Medea, ça va bien se passer !
Kamellia
Du haut de son banc public, elle observe les passants, cherchant désespérément un groupe de voyageur, qui l’emmènerait vers d’autres aventures.

Elle aperçoit la rousse entrer dans l’auberge se tenant le ventre,elle semblait souffrir, était-ce le moment ?
Étaient-elles amies, ennemies, elle ne le savait pas encore .
Elle hésite, aller voir ou rester là, quand Luc entra a son tour suivie d’une femme.
Elle sauta de son banc et entra a son tour, peut-être qu’ils auraient besoin d’elle
Du coup d’œil, elle observe la scène et compris que la rousse allait mettre bas .
Kam sortie de sa botte une dague, qu’elle essuya avec un bout de sa chemise et la planta sur la table regardant la rousse


-Bon si je peut-être utile, je sais vider les entrailles d’un lièvre, ça pourra aider au cas où.*sourire en coin *

-Me regarde pas comme ça, je plaisante
- Mais ce mioche est entrer, va falloir qu’il sorte maintenant .
Alors prête ma belle ?


Un regard vers le blond puis vers la médicastre

- heu..............faudrait faire chauffer de l'eau et trouver des linges propres,non?
Imas
Pendant ce temps la le long de la Garonne…

Imas été assit le long de berge du fleuve, l’eau s’écouler calmement vers l’océan, une cane à pèche entre les mains, il tenter de titiller un poisson ou deux et faire bonne chaire par la suite. La pèche lui permet de réfléchir et bien sur ses pensés se dirige vers Médéa et l’enfant qu’elle attend, son enfant… La grossesse devait arriver à terme maintenant, la dernière fois qu’il avait vu la rousse, elle était bien grosse, l’enfant ne bougé plus beaucoup.

Imas ne savait pas ou était Médéa en ce moment, probablement avec « son homme ». Luc ! C’est comme ça qu’il s’appelle, encore une drôle d’histoire… Si elle à un problème, il pourra l’aider, enfin Imas l’espérer.

Il ira la voir, plus tard dans la journée… quand ces poissons vont enfin mordre !
Medea7
J’étais là, assise sur ma chaise. Luc à mes côtés… une dame brune médecin à mes côtés. Je m’efforce de me dire tout vas bien je vais bien. Je vois Kamellia entrer. Surprise. Mais qu’est-ce qu’elle fait là. Cependant j’apprécie sa présence, mais je sens que cette salle de l’auberge va finir comme une partie des halles, pleines. Mes yeux sortent de leurs orbites… une dague…

Maiiiis Kamiii ça ne va pas la tête !!! Je ne suis pas une ….

Violente contraction.

Respiration qu’il s’accélère, elle ne pourra pas terminer sa phrase.
Doucement… Medea, qui récupère de la contraction. Les regardes tous un à un. Elle hoche la tête.


Oui… je crois que des linges vont être nécessaire.

Très nouille la rousse, prend appui sur la table et tente de se lever.

Il faut que je prévienne….

Elle n’a pas le temps de finir sa phrase qu’elle attrape la main de luc, une douleur dans le ventre… et voilà que ses braies marrons claires… s’assombrissent.

Je suis trempéééée. Dame, qu’est ce qui se passe ??
Medea7
Et Medea, qui panique devant le silence des personnes présentent. Pourtant elle sait ce que c'est qu'un accouchement, mais là... vivant la chose, la jeune femme, panique...

c'est grave? Mais répondez non de non?

Et comme elle s’affole forcément... une contraction la fait se plier en deux. Elle a mal... Elle sent que quelques choses se passent. Les contractions sont maintenant trés rapprochées.
Jeanne_mortemont



- Mais qui est-ce qui gueule donc tant ?


Jeanne Mortemont s’en revenait du marché et hésitait à s’arrêter boire une petite chope à l’auberge, c’est qu’il faisait chaud et qu’elle avait soif, la Jeanne. Le Très Haut saura bien lui pardonner, un petit verre de vin de pays n’a jamais tué sa femme et, en pieuse aristotélicienne qu’elle était, jamais oh grand jamais, Jeanne Mortemont n’abusait des bonnes choses. Une vie simple et pieuse. Une vie d’effort et de labeur.
Une vie discrète aussi, et elle n’aimait guère les cris et l’agitation. Et encore moins quand elle s’apprêtait à entrer pour s’installer et savourer quelques instant de tranquillité. Un œil sur la femme qui fait tout ce remue ménage. Sûrement une dame de petite vertu qui… Ah non. Du tout. Le regard expert de la matrone comprend immédiatement. Une femme en travail. Dans une auberge !
La Mortemont secoue la tête. Elle sait qu’elle ne boira pas. Pas maintenant en tout cas, une autre tâche l’attend. Une tâche qu’elle connaît bien, des années qu’elle s’y consacre, avec application et dévouement. Jeanne Mortemont est matrone et elle va aider cette femme à mettre au monde son enfant.
D’une voix forte, qui surprend souvent son entourage, elle braille :


- Je ne veux plus voir aucun homme dans cette pièce ! Aucun ! Déguerpissez-moi le plancher, et vite !

Un regard sur la femme en souffrance.


- Et vous, je ne sais pas d’où vous vient cette idée idiote de vous allonger mais ça n’est pas comme ça que vous allez me faire descendre cet enfant ! Relevez-vous enfin… C’est votre premier ?

Et de proposer son aide à la jeune femme pour se relever. Un œil sur l’entrejambe de la dame.

- Avec un peu de chance, ça ira vite. Laissez-moi regarder comment est placé ce petit. Vous permettez ?


Une interrogation qui est plus un ordre déguisé. Jeanne Mortemont remplira sa mission, et elle est presque certaine que la femme ne s’y opposera pas. C’est qu’elles sont vulnérables dans ce moment là, les femmes. Vulnérables mais terriblement fortes en même temps.
Medea7

Medea qui commençait sérieusement à paniquer. Ouvrit de grand yeux quand une femme, un peu bourrue prit la parole. Elle mit tout le monde dehors. Enfin tout les hommes... donc Luc principalement. Medea ne put articuler un mot tellement cette femme avait de la poigne.


ben... allongé... ben... je sais pas.
Oui c'est mon premier.


Elle se releve avec courage. Légèrement inquiète par ce qui se passe. Ne connaissant pas la dame. Un oeil sur Precio qui semblait léthargique. Il allait falloir faire confiance à la femme présente qui semblait s'y connaître.

Oui... allez-y.
Faites ce que vous voulez mais sortez le moi de là !!


[Cheffe Aldraien
Retrait du HRP, il n'a pas sa place dans le RP. Si vous souhaitez transmettre un message aux participants de ce RP : Passez par les MP ou le topic de coordination HRP des Arpenteurs. Merci & bon jeu.]
Jeanne_mortemont


Jeanne Mortemont hoche la tête. Un premier. Ca se voit tout de suite. Sinon, elle ne se serait pas retrouvée dans cette auberge. Est-ce que les mères de notre époque ne transmettent plus rien à leurs filles ? On voit de plus en plus de naissance non préparé. Déjà qu’elles risquent d’y passer les mères, si en plus, elles font n’importe quoi ! La matrone soupire. Elle aidera cette femme qui qu’elle soit. Nobliaute ou catin, fille de haut rang ou fille de rien, elle l’aidera parce que c’est ce qu’elle a choisit.
Après avoir vérifié que plus un seul mâle ne se trouve dans les parages et avoir menacé l’aubergiste des pires représailles s’il cherchait à empêcher la nature de faire son œuvre dans sa taverne, heureusement fort peu remplie à cette heure du jour, la matrone se concentra donc sur la femme qui lui faisait face. Elle entreprit de lui enlever ses braies en soupirant et en marmonnant à mi-voix.


- Des braies ! Pouvez pas portez jupon comme toutes les honnêtes femmes… Enfin! Cette jeunesse me rendra folle!

Sans souci aucun du confort de la jeune femme dont elle ignore toujours l’identité, Jeanne tâte le ventre plein sans ménagement. Elle tâte, elle toussote, elle soupire, elle fonce les sourcils, elle réfléchit, elle marmonne… Le tout sans vraiment regarder la mère. Ce qui lui importe en cet instant précis, c’est que l’enfant sorte sans dommage et que la mère reste en vie. Le reste n’a pas vraiment d’importance. Accoucher c’est douloureux, ça l’est plus encore quand la mère a péché, c’est la colère du Très Haut qui se manifeste, mais la douleur permet aux femmes de se racheter de leurs fautes. Donc peu importe la douleur pour la Mortemont, ça n’est jamais sa première préoccupation, même si elle tente bien souvent de l’atténuer, là elle n’a pas le temps, ni son matériel donc on fera avec les cris et la souffrance.
S’adressant à la jeune femme :


- Sentez vous libre de marcher et de vous mettre dans la position qui vous soulage le plus. Accroupie ou à genoux, souvent, ça aide bien. Ca va se faire tout seul je pense. Vous pourrez pas le râter, ça fait comme… heu…


Peut-on décemment dire à une femme sur le point de mettre au monde son premier enfant que la sensation sera proche de celle qu’on a lorsqu’on va aux latrines pour évacuer plus que du liquide. Jeanne Mortemont va éviter, c’est qu’on ne sait jamais si c’est une dame de la haute, ça pourrait l’émouvoir.
D’une voix plus forte, elle crie à qui voudra bien l’entendre :


- Du beurre ! Qu’on m’amène du beurre ! Et si vous trouvez quelques linges dans un état correct, ça ne serait pas de refus !

Et puis elle a ce geste immuable, un geste millénaire, un geste qu’elle a répété mille fois. Elle prend la main de la jeune femme et lui sourit. Un sourire franc et rassurant. Elle sait ce qu’elle fait, la matrone, même si ça ne tourne pas toujours comme elle le voudrait.
Medea7
Totalement éberluée, Med laisse faire Jeanne. La laisse lui retirer ses braies. La voit tâter son ventre, sourciller... inquiétude de la future maman.

Euh... tout va bien?

Énième contraction... Medea fait quelques pas... et s'accroche à la table pour s'accroupir. Elle tente de suivre les conseils de la matronne... elle reste quelques secondes accroupie et elle choisit plutôt de se mettre à genoux.
Un brin affolée. Elle regarde la matronne demander du beurre.


Du beurre ? vous avez faim?
Jeanne_mortemont


Comment ça tout va bien? Mais est-ce qu'elle le sait Jeanne? On peut dire que tout va bien quand la mère et l'enfant sortent en état convenable de cette épreuve. Ca n'est jamais garanti. Jamais. A priori, la mère est de bonne constitution, elle n'a pas connu la faim, son bassin est bien fait... Non, ce qui soucie la matrone, ça n'est pas ça. Elle soupire, elle regarde la mère. Elle regarde le ventre. La Mortemont marmonne. Elle se saisit des linges et du beurre qu'une bonne âme a bien voulu lui amener, elle jette à peine un oeil sur la jeune fille qui lui tend ça et la renvoie d'un geste de la main tout en lui demandant de ne pas trop s'éloigner. On ne sait jamais, une deuxième paire de mains pourrait bien être utile.
Elle enduit l'index et le majeur de sa main gauche de beurre.


- Bougez pas que je ne vous fasse pas plus mal que nécessaire!


Et sans attendre, elle enfonce ses deux doigts dans... enfin là où il le faut. Elle sent la tête, l'enfant se présente bien. Une bonne chose déjà. Oui mais... Enfin, elle fera avec. Elle prie pour que les choses ne tournent pas mal. C'est que ce genre de naissance, ça complique tout forcément. Elle ne prévient pas la mère, inutile de l'affoler. Une mère qui panique c'est toujours pénible.
Elle regarde la rousse et lui sourit tout en retirant ses doigts.


- Ca va être à vous bientôt, j'crois bien. Ne vous inquiétez pas, laissez faire les choses, n'essayez pas de retenir, toute façon, vous pourriez pas...


Jeanne Mortemont a un petit rire. Elle jette un oeil à la mère, généralement, ça les fait moins sourire elles.
Elle reprend son sérieux.

- Je suis là. Vous n'êtes pas seule.

Et maintenant, à part attendre, il n'y a plus grand chose à faire. Ah si, prier. C'est toujours utile.
Medea7
Yeux qui sortent de leur orbites. Mais... elle a mit ses mains dans... oh... diantre...
C'est qu'elle est jeune Medea, jeune et il n'y a pas si longtemps elle était niaise comme pas deux. Elle ferme un instant ses yeux. Elle a pourtant vu un accouchement, aidé même activement, elle sait comment ça se passe.

Elle entendit vaguement ce que Jeanne lui a dit à propos de pas se retenir. Elle n'essaie donc pas. Puis elle l'entends lui dire qu'elle n'est pas seule.
Medea, qui est un brin observatrice regarde la matrone. Elle ne sait pas pourquoi mais elle sent qu'il se passe quelques choses. Des regards vers son ventre... la future mère commence à avoir un peu peur mine de rien.

Un regard aux femmes, Precio, Kachina... personne ne bouge personne ne réagit. Donc la rousse se concentre sur les paroles providentielles bien que séches de la femme à ses cotés. Elle n'est pas seule.

Une contraction la prends, une forte... Medea tente de pousser tiens... elle ne sait pas si c'est ce qu'elle doit faire... elle verra bien ce qu'on lui dit.
Peu de parole, une femme qui accouche a déjà bien du mal avec son souffle.
See the RP information <<   1, 2   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)