Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, ..., 11, 12, 13   >   >>

[RP] Le bout rimé..

Mirandole
aimant cet endroit notre ami alla voir si il y avait du nouveau. Il lu le poeme de dame Lise et fut inspirer par les mots laisser.

Citation:
Depuis que j'vous est vue, je suis sous votre emprise
Oh! non mon amour, pour vous, n'as rien de fugace
Je sait combien, par mes avances,vous futes surprise
Mais j'vous jure, s'est lui, qui m'as donner autant d'Audace



Il relu, sourit en repensant a la scene.

Puis il laissa les quatre mot pour le prochain:

Compassion, tendresse, Passion,detresse

Il repartit comme il était venu se dirrigeant vers la place aux tavernes.
Mirandole
Florimond errait dans les rue de labrit et passant devant le local du bout rimé il entra et s'aperçu qu'il ni avait pas eu de nouveau poème depuis sont passage.

Il pris la plume et griffonna un poeme:


Citation:
A toi la belle qui pour moi eu de la compassion
Toute mon âme aimerait te noyer de tendresse
Tout mon corps éprouve pour toi de la passion
A te voir ainsi perdu, mon amour est ma détresse
L’avenir nous dira si un jour naîtra la passion
A faire vivre en nous un torrent de tendresse


Puis il ecrivit :
amour, platonique, toujours, romantique

Puis il retourna dans les rues ensoleillée avec des idées allourdies par la chaleur
Esteloren
Este et sa douce Mumu se promenaient sur les chemin autour de Labret avec Flocon .Celui ci gambadais avec joie au milieu des champs des fleurs d'été ...
Leurs pas les entrainèrent a proximité de la grange aux mots ...Hasard ou fais exprès peu importe , ils entrèrent lurent avec plaisir les rimes laissé avant eux .Puis ils réfléchirent sur les mots laissés .
Este pris plume et nota .

Voici quelques ligne d'envolée lyrique , un brin romantique ...
Toi la femme de ma vie , mon seul amour ,
Entre nous tout n'est que passion ,rien de platonique .
Je préfère mourir que de te perdre , nous c'est toujours ....


Il reposa la plume puis le parchemin en souriant .

Il nota quatre mot a son tour , puis il sorti....

Voile , sensation , émotion , toile ...
Fleur_de_coeur


Fleur de Cœur avait mis sa robe noire comme à son habitude...
elle trottait sur son bel étalon Melkior, sa robe d'ébène luisait sous les rayons de la lune comme une pierre d'onyx....Aujourd'hui leur course les avaient menés dans la campagne environnant la belle ville de Labrit ....
Fleur de Cœur filais comme porter par le vent
Elle profitait de ces moments , qui lui permettait de se ressourcer....

Le vent s'engouffrait des ses longs cheveux bruns qui se mêlaient à l'épaisse crinière de Melkior...ainsi leur silhouette soulignait bien leur relation fusionnelle...
Tout à coup Fleur de Cœur aperçu l'angle du mur de pierre sur lequel grimpait du lierre...elle s'approcha...
vit la petite porte en bois délavé...
L'envie d'entrée était si grande qu'elle mis pied à terre immédiatement et poussa la porte sans même prendre le temps d'accrocher Melkior...
elle savait qu'il ne s'enfuirait pas....Comme a son habitude ...

Elle fut heureuse de retrouver la sérénité qui régnait dans cet endroit, qui avait dû être une grange...il restait dans un coin quelques ballots de foin...
Les rayons de lune éclairait la grange au travers de la toiture usée par les années...Cette lumière comme tamisée était propice au recueillement...elle en avait bien besoin...elle s'avançât pour profiter pleinement de cette ambiance .
Elle vit la feuille de vélin posée sur le vieux tonneau de bois avec une grande plume blanche et un encrier...elle ne pût résister...saisit la plume et écrivit:


Tout libre que l'on est , on ne peut toujours caché ses émotions...
Tous nos désirs , nos secrets et nos émotions ...
Sur notre vie traine un grand voile
que l'artiste peint avec passion sur la toile ...


Elle laissa aussi quatre mots pour un autre poète :

dédain , vilain , menteur , rancœur...

Puis elle sorti et remonta sur son destrier direction ....le vent ....
Istanga
Arpentant en long et en large les ruelles de Labrit, nos pas nous portent vers une grange abandonnée. La lumière nous dévoile quelques mots épars, quatre mots qui, sans le ciment qui les révèlera, ne laissent qu'une froide sensation.

Un regard à Darius, nous nous en emparons et chantons à pleine voix :


En passant par la Gascogne,
J'ai rencontré des daims!
Cela m'a bien mis en rogne,
J'en suis dev'nu vilain!


Quoi, tu me prends pour une trogne?
Arrête doncques, sale menteureuh,
Oh Oh Oh
Te voila plein de rancoeureuh!
Oh Oh Oh
Oui plein de rancoeur!


Heureusement, personne à l'entour pour nous entendre, apparemment du moins... Je sors de ma besace un vieux parchemin gratté, y appose mes pattes de mouche :

Juste - Flibuste - Cire - Satire

Et le plante sur un clou.
_________________
Je nettoyais ma fourche... le coup est parti tout seul.
Esteloren
Este n'arrivait pas a dormir cette nuit là .
Il se décida d'aller faire un tour sur les chemin en compagnie de Flocon .
La nuit était chaude , une légère brise soufflait mais rien de très rafraichissant .
Les cailloux des sentiers exhaussait la chaleur accumuler dans la journée .
La pleine lune nacrai les arbre , faisait luire les eaux des ruisseaux dans les quelles des grenouilles coassait tranquillement , juste histoire d'empêcher les autres de dormir ...

Il se dirigea vers la grange d'un pas nonchalant , rien ne le pressait ...
Il entra seul laissant Flocon gambader dans les fourrés .
Il lu les rimes déposes par les autres poètes depuis sa dernière visite ...


Il lu les mots laisser , réfléchit un long moment , puis pris la plume ...

Qu'il soit su de toi ,je suis juste ...
Je n'écrit point de satire ...
ni fait la poupée de cire ...
Je ne suis point un flibuste...


Même si j'ai cœur a être filou pour toi ....

Il se relue , se retint de rire , mais laissa ses vers . De toute façon nul ne sait qui les écrit .
Il laissa la plume caressé le parchemin pour y noter quatre mots a son tour ...

tromperie , guerre , nerf , félonie ..
Puis il rejoignit Flocon et tout deux rentrèrent a la chaumière ...
Mirandole
Florimond revenant du moulin trainait dans les taverne depuis le debut de la journée. Ivre il entra dans se lieu où il aimait écrire son amour pour celle qui le regardait pas comme les autres.
Mais aujourd'hui c'était lui qui la voyait plus comme avant et il deversa toutes sa peine dans l'encrier et écrivit ceci:


Citation:
Dur est la vie quand le cœur a subit tromperie,
Du goût pour elle je n’en est plus guerre,
Comment peut-on jouer ainsi avec les sentiments
Je suis triste et mon âme pleure, je suis sur les nerf,
Ce que je croyait amour n’était que de la félonie,
Et pour cela j’ai perdu a jamais tout sentiments.



Une fois ses larmes versées sur le papier il sortit titubant apres avoir laisser ses mots pour le suivant:

devenir rodeur finir voleur
Noupi54
cela faisait bien longtemps qu'elle avait pas poussé cette porte, elle prit la plume, et les mots danserent sur le parchemin



Plus seule que dans une forêt sans fond
J’attend au fil des saisons Mon Prince rodeur,
Entre larmes et naïveté
J’attend au fil des saisons mon prince voleur

Pour finir par donner a mes jours
Une douce saveur
Pour finir par donner a mes jours
Un avenir un devenir.

Il est la, tout pres
Il a éclaire mes heures
Il a allumé un feu dans le brouillard
M’a montré le chemin du bonheur

Ma main dans la sienne sera ma victoire.

A l’aube du septième jours
Entre nuage et ciel bleu
Poussé par un élan d’ amour
Le prince ouvrira ses yeux bleu, son cœur aimant

Pour m’offrir la rose éternelle de l’amour.


lointains chatain, songe, ronge
Mirandole
Florimond trainait les rue d'un pas lourd et pesant, ses chausses frotait le pavé, les bras balant le regarde dans le vide il errait dans ses rues qui l'avait accueilli et rendu joyeux. L'heure était sombre et les idées noires. Quand il passa devant l'éeritoire il ne pu résister a entré. Il lu le poeme qui suivait le sien et ce dit.

Je te souhaite que ton amour soit éternel et heureux chère petite Dame. Que Dieu te garde de mon chagrin et de ma misère.

Il lu les mots et se senti inspiré. La plume coula de peine comme le sang dans ses veine et il écrivit


Citation:
Que de douces journées passées à ses côtés,
Moi par elle tendrement émerveillé,
Que de doux souvenirs Lointains

Alors que j’étais gueux parmi les gueux,
Elle m’as redonné vie par son regard Merveilleux
Elle m’accueilli, nourrit, moi le vilain châtain,

Son sourire a d’un coût éclairé ma nuit
Loin des soucis, Je me voyait déjà à elle unis
Mais tout cela n’est plus qu’un songe,

Voilà que désormais, elle épouse le malheur
Et pour elle nuit et jour je prie et je pleur
et depuis hier mon amour me ronge.


Puis sans relire il s'en retourna a ses érrances apres avoir mis quatres mots

enfant sang geolier emprisonner
Tirlititi

Tirli s'avance vers le recueil , cela fait longtemps que les mots ne sortent plus , qu' ils se taisent .Mais l'envie lui reviens doucement , au fil des jours ou elle reprend vie , le plaisir se fait ressentir

les heures défilent longues et silencieuses
et moi perdu dans mes rêveries merveilleuses
voila que je rêve et 'espère comme une enfant
j'attends ta venue , dissimulant mon impatience
sous des rires alors que je déplore ton absence
je te cherche dans chaque passants que je vois
cherchant une ressemblance avec toi
une démarche nonchalante et me voila réduite
a courir après ton ombre , rougissant de mon inconduite
Mon cœur qui fut brisé ne cherche qu'a te plaire
refusant de m''écouter, il te laisse devenir son geolier
Alors je cède , et malgré ma peur , prend le risque
de le laisser aimer , pour ne pas le voir devenir sec et aride
je le laisse, se laisser enchainer , emprisonner
quitte a pleurer des larmes de sang
Car je préfère être dans tes bras heureuse
plutot que seule a te pleurer et malheureuse
A tes pieds je deposerai mes armes et bouclier
rien que pour te plaire si tu me le demandais

Elle relis ce qu'elle a ecris , et ajoute les quatre prochains mots a donner
souvenirs avenir espoir miroir


_________________
Cerrydwenn
On lui avait souffler un endroit ou reposait un recueil , la rouquine
décida alors de s'y rendre .
Elle aimait coucher les mots sur le velin , replacant une meche safran
derriere son oreille ...elle sortie velin et plume et fit courir sa plume ..





souvenirs avenir espoir miroir

Ce soir en fermant la facade de mes yeux , sont venus gambadés
en mon esprit moults souvenirs .
Te souviens tu de ce jour ..on claque la porte et on s'en va ..
On croit que c'est plus facile ainsi et en fait on finit par comprendre
que d'etre ensemble c'est notre avenir.
Il y a ce soir ou l'on se retrouve ..les mots n'ont nul place et dans un élan
passionné mon jupon se froisse puis se retrousse ..je t'appartiens.
Apres cette nuit d'extase renaissent tous nos espoirs
Car ton âme si lit dans tes yeux comme un mirroir ...


Mirettes gambettes sourire offrir

_________________
Tirlititi
Tirli arrive devant le recueil , elle sourit a nouveau , elle est heureuse , une seconde chance lui est a nouveau offerte ....
Elle veut rester le restant de sa vie dans ces bras

pour toi mon amour , je t'aime Festayre


premier frisons , première étreintes
quand avec amour tu poses tes mirettes
sur mon corps dénudé rien que pour toi
que sous tes mains je frissonne sous l'émoi
quand elles m'effleurent avec délicatesse
que nos corps se réunissent , je deviens ta maitresse
Je sent tes doigts agilent frôler mes gambettes
je te caresse avec sensualité jouant les aguichantes
Je sent tes lèvres explorant ma peau nue
tu m'a apprivoisé , tu y est parvenu
Enfin quand nous ne faisons qu'un et que d'un sourire
tu me comble de plaisir , alors a toi , je veut m'offrir
oui je me donne a toi par amour
jours après jours

sensualité febrilité subtilité vulnérabilité

_________________
Mirandole
Comme souvent Florimond aimait venir en ses lieux il lu les poemes laisser par ses amis.
Quand il vit les mot laisser par Tirli ses sens l'on secouer dans tout son être et prenant la plume il écrivit :


Citation:
Comme elle est belle avec son ventre arrondi, comme un fruit mur elle est sensualité
La voyant ainsi, c’est réveillé, du fin fond de mes entrailles, toute ma fébrilité
J’aurai aimé, mes mains posées, ma tête ennoreillée , afin de sentir la vie dans sa subtilité
Que de frisson et de bonheur, d’embrasser ce petit être et de tenir dans mes bras tant de vulnérabilité
Hélas je n’en ai pas la possibilité et le seul plaisir que je peux m’octroyer est de, tout les soirs en rêver


Les larmes noyait l'encre et ses mots sur le papier il dut si reprendre a plusieurs fois pour que se poeme reste visible. Il ne le relut pas car il esperait qu'elle le verait.

il deposa quatres mots pour le suivant.

Enfant naissant manant aimant
Deodin
Un blond qui marche dans les rues de Labrit comme à son habitude mais...Sans rien voler!!!! Oui oui, il se rangeais peu à peu...Pour la grenouille furibonde et super féconde qu'il allais bientôt épousailler...Et devant le très haut s'il vous plait!!!!!
Apperçevant au loin la cabane à poeme, c'est avec bonne humeur qu'il y entre...
Hum, le dernier écrit lui aurais bien fait verser une larme, mais ayant était écrit par le gueux de Florimont, c'est avec un sourire que le blond tente d'écrire:




Papa est là mon petit enfant,
Malgrès le fait qu'il soit un vrais manant
Il t'aime déjà ce vieux brigand
Autant qu'il aime ta maman!!

Toi petit être, avenir naissant
de la passion de deux être s'aimant
qui s'unir un jours sur un lit branlant
au milieu d'un bordel bien décadent...

Toutefois leurs histoire semble s'embellir
dans les prémisse de leurs avenir
à deux, que dis-je à trois, famille non singulière..
qui connaitras bonheur aussi calme qu'une rivière...


Grimace du blond, pour les talents d'écriture, il repasserait, mais ce petit écrit relater à merveille ses pensée...Il laisse les 4 mots pour le futur artiste: talent, brigand, maintenant, seulement...

Déposant la plume, il sort de ce purgeatoire, sourire au lèvres
Mirandole
Florimond trainant la chausse dans les rues de labrit triste et desoeuvre de ne plus voir sa douce amie passe de temps a autre par ce lieu qu'il aime tant.
Quand il vit le dernier poeme il se serra son poing et se dit que même là il ne pouvait point être tranquille. Cet homme lui pourrira sa vie jusqu'au moindre endroit dans la ville.

Mais si il croit que je partirai il se trompe

Puis il pris la plume et écrit:


Citation:
Je n’ai, pour me faire aimer par une belle, aucun talent,

Meurs cruelle vie, les belles n’aiment que les brigands,

De chemin en chemin, je sait ce qu’il me reste a faire maintenant,

Tristesse de ne pas être aimer et de pitié savoir se contenter seulement...


Il relu et se dit qu'il espère qu'attala passera par la et comprendra le message.

il écrivit les Quatre mots suivant:

tristesse, solitude, detresse, amertume.

Puis tel qu'il était venu il repartit.
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, ..., 11, 12, 13   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)