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[RP] L'Alabrena - Clap de fin ?

Gnia
"La mélancolie est le plus légitime de tous les tons poétiques." Edgar Allan Poe


Tout aussi discret que l'on aurait voulu être, une troupe d'une dizaine de cavaliers et ce qu'ils trimballaient dans leur sillage pouvait difficilement passer inaperçu.

Lorsque sur la ligne d'horizon, encore troublée par la brume matinale, se dressèrent enfin les tourelles caractéristiques de la place forte qui avait été si longtemps le nid de la Salamandre, Agnès eut un petit pincement à la poitrine. Le Vieux Georges, resté à garder une carcasse vidée de sa vie, devait déjà être tout tremblant d'émotion à l'idée du retour de la maîtresse des lieux.
Quand bien même il s'agissait de revenir pour mieux repartir.

Alors que la troupe se rapprochait de l'Alabrena et que par delà la bâtisse s'élevaient les murs de Montauban, Agnès poussa sa cavale jusqu'à hauteur de celle de la Rouquine Belette et fit marquer un temps d'arrêt à l'escorte.


Je rentre chez moi , j'y loge qui veut, y'a de la place. J'imagine que vous avez tout aussi hâte de retrouver vos murs. Vous savez où me trouver.

Elle se tourna ensuite vers les autres, montrant du doigt la place forte nichée au bord du Tarn.

Moi j'm'arrête là, qui veut vient. Y'a de quoi bouffer, boire, dormir et reposer les cavales.

Le regard se reporta ensuite sur l'édifice, sa vue arrachant un petit sourire empreint de nostalgie à la glaciale Saint Just.
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Scath_la_grande
[Tout départ possède le bourgeon du retour…]


La cavalière parée d’écarlate trotte sur sa petite camarguaise, l’esprit embrumé pris dans les rets de ce retour tout autant attendu que redouté. Le mutisme pour seule compagnie, la Musteile qui d’habitude est une je m’en foutiste de premier ordre s’encombre la tête de mille questionnements divers et avariés.
« On ne devrait jamais quitter Montauban » qui dit l’vieux. A tort ou à raison, tout dépend. Là, pour l’heure, la Bertrix ne pense qu’à fuir cette maudite cité où son cœur consumé s’est tassé dans la cendre, où le fruit des déceptions ont pourri à même l’arbre des espoirs. Oui l’espérance n’est qu’une vertu qui rend esclave et la rouquine abhorre cet état végétatif où elle se trouve prisonnière.
Agnès la détourne quelque peu de ses intenses réflexions. Les fauves regardent vaguement leur suzeraine –par défaut- une rousse aussi réceptive qu’un concombre de mer atteint d’amorphisme aigu.


« Hmmm ? »

La réponse baillée mérite un léger approfondissement, faut revoir le concept là !

« Ahem… »

Mais non pas de ce genre-là.
D’un mouvement discret de l’épaule, elle observe la distance où se tient l’escadron Bouillon.


« Si fait, je m’en vais retrouver ma Ciguë, voir si elle n’est pas trop moisie... »

La main habillement joue de la longe pour rapprocher botte à botte sa cavale à celle de la Saint-Just.

« Puis-je solliciter un entretien avec vous ? La voix s’abaisse encore un peu pour atteindre celui de la confidence. Vous savez pour le… enfin… la chose pour laquelle j’ai dit oui… »

Assentiment en face.

« Bien, dans la soirée de demain alors… »

Sa monture s’éloigne par un mouvement de main soigneusement appliqué par la monteuse de rouge vêtu. Puis se ravisant sur le tard, la tête couronné de roux se retourne vers Agnès.

« Prévoyez de quoi boire en suffisance… me connaissant… »


*** *** ***

Le jour dit à l’heure dite, comme de convenu, Musteile se fait annoncer à l’Alabrena de manière plus civilisée que la dernière fois où elle venait réclamer les impayés d’impôt en tant que Gouverneur de la ville. Cette fois point de martèlement à la porte et point de hurlade devant l’huis.
Tire la cordelette et l'vieux Georges t'ouvrira...

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Calico
[Retour aux sources]


La vie était bien étrange quelques fois. Dire que la sauterelle était née à quelques lieues de là et qu'elle revenait sur ces terres qu'elle avait quitté quelques années auparavant. Tel un costume trop étriqué, elle se sentait corseter en Guyenne et prit la poudre d'escampette pour visiter d'autres lieux.
De fil en aiguille, elle s'était accoquinée avec une bande de Montalbanais et là voilà dans son duché d'origine. Elle avait remonté le temps comme une truite qui remonte les cours d'eau jusqu'au lieu de sa naissance.

De la Guyenne, il ne lui restait rien ni personne à peine quelques brides de rencontres aussi furtives que concises. Revenir lui faisait une belle jambe, car elle était là dans un but précis, une escorte royale.
Ils étaient maintenant à l'Alabrena, place forte de la Saint Just. Elle proposa d'héberger ses fidèles sous son toit quand certains avaient à faire dans leur demeure Montalbaise. Elle, la brunette, n'avait pas de lieu où se reposer le temps de la parenthèse et c'est ainsi qu'elle accepta l'offre de la Reyne pour séjourner chez elle.
Depuis que la sauterelle trainait ses guêtres avec la troupe Bouillon, elle en avait vu des lieux magnifiques et Alabrena en faisait partie. Ce retour en Guyenne se ferait sous de meilleurs auspices que son départ dans la fange.

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Aimbaud m'a tuer....de rire
Gnia
"La mélancolie est une maladie qui consiste à voir les choses comme elles sont." Gérard de Nerval


L'on avait donc trouvé logement pour qui voulait dans les dépendances de l'Alabrena, faisant fourmiller à nouveau la vie dans la bâtisse austère, qui vidée de sa substance en était devenue carrément lugubre. Laissant liberté à chacun de s'accommoder comme il le souhaitait pour passer là un temps encore indéfini.

Et la Salamandre avait retrouvé son nid, froid.
Etat de fait auquel elle avait agréablement trouvé parade tant elle n'avait jamais supporté les angoisses solitaires des heures sombres de la nuit, et plus encore ici.

Ce fut donc avec une gueule de bois carabinée qu'elle accueillit en ses appartements la Dame de Bertrix, la curiosité piquée par l'affaire dont celle-ci semblait vouloir l'entretenir.
Et comme il est universellement connu que pour soigner les lendemains difficiles d'une nuit d'excès, il faut tout simplement recommencer, l'on avait donc prévu de quoi boire en suffisance et renoué avec le vin de Bordeaux, après tous ces mois passés à vivre de celui de Bourgogne ou de Touraine.

La suite de excès étant reportée à une heure plus tardive, la Saint Just accueillit la rousse Belette en lui calant d'autorité dans la main un verre. Puis l'invita à prendre ses aises, avec de quoi se ravitailler à portée.
C'est que l'on savait recevoir à l'Alabrena.


Je vous écoute donc, la Rouge.
Mais je me dois de vous prévenir d'avance qu'en ce qui concerne la question du mariage, je ne suis probablement pas du meilleur conseil qui soit...


Autant poser sans détour les prérequis de base pour mener à bien une discussion qui s'annonçait de toute façons compliquée.
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Scath_la_grande
« La mélancolie, c’est le bonheur d’être triste. » - Victor Hugo (continuons sur le thème)


Voilà un entretien qui commence bien, une entrée en matière des plus directes et éthyliques, comme la Musteile les apprécie.
Légèrement, les fauves se déportent pour observer ce lieu où elle n’est guère venue et aussi pour vérifier le niveau de la réserve de vin.
La rousse cale son fessier dans un fauteuil, toute à sa réflexion de comment elle va pouvoir trouver conseil auprès de la Comtessa qui a des mœurs un peu plus semblable aux siennes que Sa Sombre.


« Ah Reyna meuna*, je suis la proie du doute et je vous pense d’un conseil mieux avisé que ceux de ma Sombre qui est un roc de vertu, et dont je suppose qu’elle ne pourrait pas comprendre les questionnements qui me taraudent l’esprit.
Encore en ce jour, l’on me dit que je ne suis pas faite pour le mariage, j’ai même eu droit à « aberration » pour me parler de cette union. L’on me prête déjà à ce que je dévie de mes serments devant Dieu, l’on évoque mon goût immodéré pour la bagatelle, qui n’est pas si grand qu’on le prétend. »


Un coup de rince gosier aviné avant de poser ses yeux sur Agnès. Les doigts jouent sur le gobelet, le faisant tourner doucement.

« Il y a une chose que je me dois de vous dire… et c’est plus ce sujet qui me donne tant à réfléchir. J’ai grandement aimé quelqu’un… et huu hmmm de fait… je peux même vous le dire, je l’aime encore, c’est un sentiment dont je ne puis me détacher totalement, et je pense que jamais ne cessera cette grande passion qui m’en étouffe presque. Je le sais, avec lui aucune union est envisageable, je ne le souhaite pas… enfin plus pour diverses raisons… »

La lippe gracieuse se plisse, se pince à en blanchir la pulpe vermeille. Voilà une chose qu’elle ne sait maîtriser, et dont elle ne sait expliquer avec des mots simples… l’émoi.
Cruelle émotion toute humaine qu’elle cèle à fond de cale dans son cœur.


« Est-ce mal d’épouser un homme qui a toute ma confiance et pour lequel j’ai une grande affection et un peu d’admiration –n’allez pas lui dire sinon je nie !- alors que mes sentiments me portent vers un autre choix dénué de toutes raisons ? »

On vous l'a dit, question amûûûr, la rousse est une vraie quiche, une handicapée du sentiment.

*En oc : Ma reine
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Gnia
" Cette mélancolie qu'ont les femmes qui ont cherché le bonheur et qui n'ont trouvé que l'amour." Jules Barbey d’Aurevilly


La question qui tue.
Le thème qui dérange.
L'interrogation sur laquelle l'on aurait préféré ne jamais être sollicitée.
Tous ces doutes qui répondent comme un écho déformé aux siens.
Sauf que pour elle, il est trop tard.

Un long silence s'égrena après que Scath ait exposé ce qui semblait la tenir en difficulté, si bien qu'elle en soit contrainte à demander avis à Agnès.
Un profond soupir accompagna la longue gorgée de vin qu'elle prit avant d'enfin parvenir à formuler réponse, tâchant de taire pour l'heure ses propres regrets et d'en éviter, peut-être, à une autre.


Si vos sentiments vous poussent à trahir le serment que vous voulez faire avant même de le prononcer, je crains bien que ce soit un mal.

Le visage tressaille, semblant dénoncer les pensées mouvementées de la Saint Just, le nez se plisse, la bouche se tort en une moue amère.
Elle se penche alors vers la rousse qui vient de s'ouvrir.


Tout dépend de ce que vous voulez entendre, Scath.
Un plaidoyer en faveur des avantages certains d'une union stable, de ses intéressants avantages et de ses malencontreux inconvénients dont il ne faut surtout pas parler ?
Ou bien une envolée lyrique sur la douleur d'aimer ailleurs que là où l'on est liée ? Ou mieux encore, sur la sublime douleur d'aimer tout court.
Que je vous conseille de continuer à rêver à une amour visiblement impossible quand stabilité et respectabilité vous tendent les bras ?
Que je vous parle du goût amer de la nostalgie d'avoir levé la cuisse sans se soucier des conséquences, parce que l'on est libre, et d'ensuite continuer à le faire pour continuer à se sentir libre malgré le licol qui nous entrave, en louvoyant avec sa conscience, en se flagellant au passage de temps à autre ?


Et tandis qu'elle énumère d'une voix rauque et grave quelques exemples choisis de ses propres errements, le regard se plante dans celui de sa comparse de handicap sentimental. Enfin, elle s'adosse contre son siège, prélevant dans son verre une grande lampée de vin.

Parce que je peux vous parler de tout cela
.

Le visage reprend alors de sa dureté, perdant totalement des infimes tressaillements de la passion avec laquelle elle a auparavant parlé.

Mais je suis sûre d'une chose.
Si je peux comprendre vos doutes, de rien de ce que je dirai ne découlera conseil avisé.

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Scath_la_grande
« La vérité est une femme : ses voiles, ses pudeurs et ses mensonges lui appartiennent essentiellement. » - Friedrich Nietzsche


Entre ses doigts le verre glisse, jouant à la faveur des lueurs de ses reflets vermeils, seuls réconforts que la Musteile trouve dans l’amorce de leur conversation.
Comment savoir si les sentiments entêtant qu’elle conserve pour le Louvelle seront de nature à se transformer en trahison un jour ?
Le verre tourne délicatement, accaparant le regard fauve dans le mouvement chaotique qu’elle imprime au liquide.
Comment prévoir ? Alors que la rousse n’est nullement prédisposée à comprendre leurs tournures complexes, imprévisibles, et qu’elle ne peut que composer avec de manières bien bancales.
La gargoine s’offre une bonne rincée, lui remettant un vague ordre dans les idées et un peu de lucidité.

Les yeux se relèvent lorsque la Saint-Just s’approche et la confidence –si c’en est une- lui apparait étrangement comme la vision familière que l’on a face à un miroir.
Elle ne peut briser l’étonnement qui éclos sur son museau, comme une légère surprise à entendre énoncer ses propres peurs d’une voix qui n’est pas sienne.
Mouvement lent des paupières qui tentent de celer ce qui l’a prise de court, l’esprit effleuré par cette troublante sensation que la Musteile vient de jeter un oeil derrière le masque froid d’arrogance, derrière le voile de dureté de sa suzeraine, découvrant une facette qui lui ressemble de manière effrayante.
Les mêmes doutes et les mêmes craintes animeraient-ils toutes les femmes ? Voir l’humanité entière ? Ou n’est-ce que le hasard qu’ils soient communs à ces deux créatures là ?


« Vrai que vous ne m’aidez guère… »

On est pas dans la merde.
La paupière s’abaisse, éclipsant une déception. Ce n’est pas encore pour aujourd’hui qu’elle va démêler les chemins de traverses que Dieu a mis à son âme.
Puis l’ambre se redresse venant débusquer une réponse au-delà des paroles dans le bleu froidureux.


« Arrive-t-on à vivre avec comtessa ? »

Oui dites-moi si ces douleurs-là sont supportables, si elles en valent la peine…
Question d’utilité publique.

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Gnia
"Et vivre sans aimer n'est pas proprement vivre." Molière


Et tandis que la Rousse digère, la Brune boit.
Une gorgée pour étouffer le bon sens qui aurait voulu qu'elle dise à la Dame de Bertrix qu'elle devait oublier les sentiments, ombres fugaces et éphémères, pour songer à l'avenir et au socle solide qu'offre une bonne union.
Une autre pour noyer l'irrésistible envie de céder à son légendaire pessimisme et d'avouer que quoiqu'il en soit elle sera malheureuse.
Le fond du verre pour se laisser le temps de répondre à la dernière interrogation de la Von Frayner.

Et de finalement se lever pour aller remplir le godet vide puis se retourner ensuite vers l'angoissée belette.
Posture désinvolte, cruchon dans une main, godet dans l'autre, sourire en coin au cynisme sans équivoque que fait mentir le regard où la douleur est un timide falot, tremblotant dans l'immense obscurité des azurs sombres.


Ne suis-je donc point tout à fait vivante ?

Tout en étant également tout à fait presque morte ?

Avec ou sans, il faut bien vivre, puisque la Mort ne veut de toutes façons pas de moi.

Et d'approcher pour verser du vin dans le verre encore à demi plein de son invitée.

A dire le vrai, Scath, c'est que tant que vous ne saurez point ce que vous voulez - ou à défaut ce que vous ne voulez guère - vous ne trouverez pas ce que vous cherchez.
Mais la Vie n'est que compromis.
Avec les autres, avec soi-même, avec le Très Hauct...

Compromis et ordres de priorités.


Elle repose alors la carafe de vin pour venir poser un doigt léger sur le front haut ombré de rouille.

Les réponses à vos questions sont en vous.
Ici.


Puis de faire virevolter l'index jusqu'à la poitrine et de le faire peser douloureusement, juste au centre sur l'os si dur alors qu'il voit naître la douceur voluptueuse de la gorge.

Et là.
Quoique je vous déconseille, pour votre salut, de trop souvent interroger cet endroit.

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Matalena
Vas-y-dire...



Agnès,

Georges, marqué peut-être par les leçons que nous prenions toutes deux dans vostre cours autrefois, c'est suffisamment souvenu mon visage pour m'informer un petit de vos projets à court terme.
Aussi...
Je vous attends. Vous saurez me trouver lorsque le moment sera venu.

Votre,

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Musteile
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« RAISON : Type de folie qui fait terriblement défaut aux autres bêtes de la création. » - Albert Brie


Tourne, tourne gobelet entre les mains fines de la Musteile tandis que l’esprit en fait de même des paroles ingérées.
N’a-t-elle pas fait jà le choix de mêler nom et âme pour une même destinée ? En son for si résolue et pourtant en ses sentiments si incertaine.
Il est rare que tant de pensées pesantes viennent mettre la confusion dans ce cabochon qui ne vit que d’insouciances et se nourrit de futilités. L’esprit se fait nid de serpents, sibyllins dans leurs desseins, s’enchevêtrant dans une sorte d’imbroglio dont la rousse en perd les fils.

Aimer est un bien plus grand péril que la guerre, où les aboutissants y sont clairs, on tue, ou l’on se fait tuer. Le sentiment quant à lui est une chose étrange, un animal qu’il faut apprivoiser au risque de se faire mordre, pire, déchiqueter.
Les doigts cessent leur mouvement sur l’étain, portant à la lippe le breuvage qui s’il n’éclaircit pas les pensées, réconforte un peu le corps.


« Compromis ? C’est une sorte de diplomatie à laquelle je ne suis guère rompue… »

Préférant trancher souvent à vif quoi qu’il en coûte, qu’importe les sacrifices que la Musteile doit fournir, la preuve s’en fera bien assez tôt.
Et de laisser le doigt Saint-justien vagabonder en ces lieux où siègent conscience et âme. La paupière bat mollement tentant dans sa langueur de cacher l’iris assombri par le doute.


« Pourtant… »

Oui pourtant.
La rousse prend son temps dans le questionnement.


« N’est-ce pas le sens de la vie, selon les Saints Textes ? L’Amour… tout ça… »

Encore un truc que Dieu a trouvé pour ne pas s’emmerder en nous observant depuis son éternité…
Une belle connerie, ouais !


« ‘fin l’amour n’est pas passion… -le museau se fronce, sous le capot on cogite- mais peut-on parler de passion alors qu’il n’y a pas eu par la chair, le péché ? »

Deux fauves se plantent en curiosité chez l’Agnès.
Théologie et sentiments, nouveau dada d’une Musteile.


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