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[RP] A la Rosée de l'Aubépine

Mondine
Il était tard quand Mondine arriva au 37 du Quartier du Lion, son panneau de bois sous le bras. La masure, choisie avec soin après examen de tous les plans disponibles au cadastre, était parfaitement située. Elle trônait, vieille bâtisse de tuiles pourpres et d’arceaux de fer sombre, au bout d’une impasse peu habitée qui semblait conçue de toutes pièces pour abriter un établissement tel que celui qu’elle s’apprêtait à ouvrir. Lorsqu’elle était venue, dans l’après-midi, rendre l’endroit présentable, elle n’avait pas eu le plaisir de constater combien la nuit allait bien à cette venelle. Les pavés lisses reflétant l’éclat de la lune, les quelques lanternes où vacillaient des flammes chimériques, les lourdes portes de chêne brut, closes depuis des années… tout y était.

Posant sa propre lanterne sur le palier de la maison, elle sortit de son sac les clous qu’elle avait emmenés et entreprit de fixer solidement la pancarte de bois. Le martèlement sourd raisonnait dans la rue déserte à mesure que son travail progressait. Quand le panneau fut stable, elle l’agrémenta d’un morceau de parchemin et regarda son œuvre.




La peinture avait peine à tenir sur le bois, et le parchemin rapidement manuscrit était à peine lisible, m’enfin… ce n’était pas trop mal. Elle hocha la tête et, saisissant la grosse clé rouillée qu’elle avait accrochée à son cou, ouvrit la porte.

L’intérieur était tel qu’elle l’avait laissé quelques heures plus tôt en venant faire un brin de ménage. Elle décida d’en faire à nouveau le tour pour vérifier qu’elle n’avait rien oublié.

Lorsqu’on entrait, on découvrait une petite pièce boisée dans laquelle flottait l’odeur épaisse et entêtante du jasmin, mêlée à celle, plus âpre, des cendres de la cheminée. Quelques canapés aux allures confortables, velours sombres, soies nacrées, laines rougeoyantes, étaient dispersés autour d’un long bureau qui serait celui de Smooth et d’elle-même. Une armoire vitrée, juste derrière, débordait de registres encore vierges, de bouquets de roses et de divers objets que la rouquine avait jugé bon de disposer là. Des futs remplis de bières, de vin et d’hydromel dormaient paisiblement dans les coins.
Elle jeta un œil à la pièce d’à côté, meublée sommairement d’une petite cuisine, d’une table, de quelques chaises et d’une bibliothèque. Ce serait la pièce-à-vivre des… employés. Personne d’autre que les gérantes et lesdits travailleurs n’était supposé y mettre les pieds.

Tout était en ordre ; elle retourna dans l’entrée puis se faufila derrière une petite porte qui menait à un escalier vertigineux dont les rampes de fer forgé noir dessinaient des arabesques magnifiques. La rouquine monta pour commencer la vraie inspection…

L’escalier serpentait de portes en portes, et derrière chacune de ces portes, on trouvait de drôles de chambres dont aucune ne ressemblait à la précédente. Le premier étage, par exemple, était partagé entre une première pièce aux murs blancs, avec un simple lit aux draps pervenche et quelques meubles dans les mêmes tons, un immense tapis moelleux camouflant le sol ; et une seconde, dont le baldaquin pourpre dissimulé dans une alcôve était gigantesque, et qui était parsemée de bouquets de fleurs séchées dans des vases aux formes fantaisistes. Les placards étaient remplis de robes et de chemises en tous genres, de chaussures, de coiffes d’apparat. On trouvait ainsi, à mesure que l’on arpentait la maison du 37, quartier du Lion, une vingtaine de chambrées, celle-ci exigüe et sombre, celle-là interminable et irisée de feux de cheminées… Quelques paliers donnaient aussi accès à de grands salons meublés avec goût, des salles de bains dorées pourvues de gigantesques bassins et de mille senteurs, des arrières-chambres obscures ou encore de simples cagibis remplis de draps, de victuailles ou de vieux livres.

Une fois satisfaite, Mondine regagna l’entrée. Trois femmes et un homme étaient assis sur l’un des canapés, en face du bureau. Elle les observa avec un soupir.


Hortense, Julienne, Pétunia, Emilien… rebonjour. Bon, je vous ai déjà expliqué. Vous avez vos affaires ? Bien. Emmenez-les dans la pièce à vivre, par là, et rangez-les dans l’un des placards. Ensuite, bin… vous pouvez aller visiter votre nouveau chez vous…


Elle les regarda s’activer. C’étaient là quatre gueux de bas étages, gras et vulgaire ou bien maigrichons et ternes, bref, sans aucun charme. Heureusement qu’elle attendait sous peu de nouveaux employés, dont elle avait entendu dire qu’ils – et elles ! - seraient autrement plus appétissants que les trois rombières et l’escogriffe déjà embauchés… Heureusement, heureusement, parce que, sans ça, la Rosée de l’Aubépine, premier et fier bordel d’Espalion, ne serait guère un succès ! Et la maquerelle top-secrète ne serait pas jouasse… Elle gloussa en songeant à elle, puis s’installa sur un canapé avec une chopine d’hydromel et la savoura, se félicitant pour ce choix. Elle se glissa ensuite derrière le bureau et, de sa voix la plus suave, s’adressa à un interlocuteur imaginaire :

Bienvenue à la Rosée, messire, le temple de la joie dans les braies ! Vous dites ? Une chambre pour la nuit… Evidemment, évidemment, nous sommes une auberge très réputée – clin d’œil appuyé au mur d’en face - ; et, messire, dites-moi… vous voulez quelqu’un en particulier, dans la chambre ? Une blonde, une brune, une rousse ? Truc la douce, Machin l’impétueuse ? Pardon ? Oh, vous me flattez, mais je ne suis que la taulière, ce n’est pas moi qui tient compagnie aux clients… Bon, je vais vous présenter Bidule, elle vous plaira, c’est certain… par ici, par ici…

Elle sourit en coin, trouvant son discours pas trop mauvais pour une taulière débutante. Maintenant, restait plus qu’à voir si des clients montraient le bout de leur nez… ou des demandeurs d’emploi… ou Smooth…

Elle s’étira et attendit tout ce beau monde, relisant le large parchemin, dans un fond de la pièce, qui présentait l’établissement.




La Rosée de l’Aubépine

Etablissement ouvert toutes les nuits de 21h à 8h… pour votre plus grand plaisir !

Vous vous sentez seul ? Votre époux/épouse dort dans la pièce d’à côté et est devenu(e) aussi aigre que vieux/vieille ? Vous avez envie de découvrir de nouveaux horizons, ou, tout simplement, vous aimez aimer ? Il est temps de partir à l’aventure dans l’une de nos chambres, avec l’un ou l’une de nos Aubépiniens… Plaisir et discrétion garantis !

_________________
Rivian




Un jeune homme environ 25 ans marchait dans les rues de l'Espalion. On lui avait parler de la Rosée de l'aubépine une "auberge" qui accueillait les hommes comme les femmes pour y donner plaisir aux autres. Cet homme devait s'y rendre on lui en avait parler car il a déjà fait ce genre de choses dans d'autre ville mais il était surtout avide de conquète ! quel soit féminine ou territoriale, et oui ce beau brun était un don juan... il allait de femme en femme comme de ville en ville.

Rivian arriva devant l'établissement au bout de cette rue ou tout semblait désert a part cette grande maison ou était affichés dessus sur un morceau de planche "A la Rosée de l'Aubépine" quel magnifique jeu de mot ! il poussa la porte et arriva dans cette entrée derrière le bureau était assise une Rousse. il lui adressa la parole dans une révérence assez exagéré.

Bonsoir jolie rouquine, Je suis Rivian vous avez surement eu vent de moi !? je viens pour un emploi. Mon ancienne Matrone m'a parler que vous ouvriez votre maison, alors me voici pour votre plus grand plaisir. Laissez moi l'honneur de vous montrer ce que je vaux.. ou bien je ne sais pas... laissez moi une chance

dans ce dernier mot il tandis la main a Mondine pour lui faire le baise main. Rivian jeune brun de 25 ans au cheveux long et au corps de rêve c'est toujours cru irréversible. Ca n'a pas forcément été ses dires qui ont conquis toutes ces dames mais plus son physique d’apollon. Ca ce voyait bien que cet homme était un flambeur mais bon... si des femmes venaient dans une maison close ce qu'elle recherchait était surement des hommes magnifiques...


Lglvh
Le rouquin serrait dans sa pogne le bout de parchemin que lui avait refiler la donzelle de la taverne,la ou elle y avait inscrit une adresse...

Il arriva devant la bâtisse en question et baissa sa capuche,liberant sa longue chevelure rousse. Il était plutot beau gosse du haut de ses 17 ans. Sauf que son visage trainait perpétuellement une moue maussade.Il n'était pas bien grand environ 1m70 mais avait deja une musculature bien développée,vu son statut de voyou notoire,il avait appris a se battre pour sa survie,cognant fort et le premier.

Il frappa un grand coup a la porte principale et entra dans l'établissement.Un grand brun s'y trouvait deja,en compagnie de la demoiselle rencontré le soir avant.

Il dévisagea le bellâtre sentant en lui un concurrent potentiel et se tritura nerveusement l'anneau qui lui perceait une narine.

Lorsque l'homme eut fini de se presenter,il s'approcha et planta son regard bleuté dans celui de la rousse. Il la salua de son fort accent valaque

Buna seara la d'moiselle. Me v'la!

Il lui décrocha un sourire enjôleur qui affina ses traits maussades.

T'as parlé d'gueuses,t'sais pour voir s'que j'vaut...

Il désigna le brun

pas lui j'espere?

Il se mordit nerveusement les lèvres et se hissa sur la pointe des pieds histoire de paraitre un chouillard plus grand.


_________________
Shae


Des jours auparavant, la belle avait reçu une missive d’Artémis, qui l’informait qu’un bordel s’ouvrait dans une petite ville de Rouergue. L’Andalouse, maison close en bordure de l’Espagne, se faisait vieille. Plus beaucoup de clients depuis longtemps. Et le patron s’autorisait trop d’écarts, vraiment. Alors, un nouveau départ, à poursuivre le travail dans lequel elle excellait, loin de tout ce qu’elle connaissait… L’idée était séduisante. La beauté de ses vingt-quatre ans était aussi pure et désarmante qu’à seize. Plus assurée, peut-être, ce qui n’était pas un tort. Après une correspondance avec une certaine Mondine, elle avait décidé de partir. Son passé, elle le tairait. Ils étaient trop sombres, les méandres qui l’avaient déposée sur les marches du Masque d’Argent, son premier lieu de travail, pour faire d’elle, à mesure qu’elle prenait de l’âge, une de ces filles que l’on oublie pas. Mais l’avenir, quant à lui, venait de lui faire une proposition qu’elle n’avait aucune envie de refuser. Ni une, ni deux, elle avait enfermé dans son sac ses dentelles, ses éventails, ses secrets et ses résilles, et avait fui vers Espalion…

Et…






La voilà qui fend la nuit avec sa longue cape anthracite…

Si seule, et si belle ; et si sûre d’être seule, et si sûre d’être belle… Elle danse davantage qu’elle ne marche.

37, quartier du Lion, c’est écrit sur le bout de parchemin… 37, c’est là. Elle écarte quelques boucles d’ébène qui obstruent sa vision et regarde la maison. Bel endroit…

Trois coups brefs à la porte… Le temps est long sur ce palier. Juste assez pour le fouiller du regard.

La Rosée d’Aubépine, annonce le panonceau. Une demoiselle y est peinte… Cela pourrait être elle, avec ce dos fin et cette robe vermeille. Et l’éventail. L’éventail a toujours été son accessoire de prédilection.

Finalement, la lumière jaillit et une rousse lui fait face.

Un sourire échangé. La rousse s’efface pour la laisser entrer.

De ses longues mains fines, elle effleure l’accoudoir brodé de velours d’un des canapés, s’y assied avec une grâce féline. Laisse choir la cape grise et abimée, découvrant un visage aux traits doux mais sauvages, une chevelure de jais s’éparpillant avec volupté en mille boucles indomptables, un corps long, hâlé, tout en courbes et en légèreté.

Il y a là deux messires ; elle leur sourit sans un mot, tout d’abord. C’est une silencieuse… seulement lorsqu’il le faut.

Sa beauté est insolente, subtile, éthérée. Chaque parcelle de sa peau transpire la sensualité.

Elle pose sur la rousse le mystère de ses yeux. L’un est bleu, l’autre vert. Le saphir et l’émeraude. Ce regard-là, de tout temps, a été le sommet de la liste de ses attraits.

Elle hésite… Lequel de ses prénoms va-t-elle donner ? Oh, bien sûr… L’un des plus anciens… Celui de ses premières escapades…




Je suis Shae, dit l’arrivante d’une voix qui ressemblait davantage à un feulement, piquée d’un accent étrange.

Elle promenait, ce disant, ses yeux sur la pièce. Cet endroit lui plaisait. Il avait tout l’attirail du parfait petit lupanar, sans toutefois être vraiment comme les autres. L’abondance de dentelles et de lourdeurs avait ici un quelque chose de réconfortant. Rien à voir avec l’Andalouse. Quant à la clientèle, eh bien… Elle ne demandait qu’à la découvrir… Avec la désinvolture plaisante de l’habitude, elle arrangea sa chevelure et ses lèvres rouges s’étirèrent en un sourire tandis qu’elle reportait son regard sur la rousse.

Mondine
La rouquine n'avait pas eu le temps de dire ouf, que déjà trois nouveaux visages avaient envahi le petit salon. Le premier arrivé, Rivian, lui avait immédiatement semblé taillé pour l'emploi. Il était très, très, très beau, tant et si bien qu'elle même avait eu une seconde d'ébahissement à son arrivée. Elle lui sourit tandis qu'il faisait la révérence, ses yeux se promenant toujours un peu partout sur le corps du nouvel employé - fallait bien juger la marchandise !

Bien le bonsoir, Rivian... Je suis Mondine, la taulière. Oui, j'ai déjà entendu votre nom, il me semble...

Elle rit, consciente de minauder un tantinet, lorsqu'il parla de lui prouver ses talents. Après quoi elle reprit ses esprits, ce qui quelques mois plus tôt aurait été complètement impensable. Mais désormais, son coeur était obstinément détenu par un certain messire à barbe qui n'avait d'ailleurs pas intérêt à mettre un pied à la Rosée. Ceci dit, si l'arrivant avait réussi à troubler, l'espace d'une seconde, l'amoureuse - mais néanmoins femme ! - qu'elle était, il avait indubitablement un certain avenir dans le métier. Elle se hissa sur la pointe des pieds pour attraper un registre, le tout premier, dans son armoire.

Eh bien... Je n'ai aucun doute quant à votre valeur, et je ne pense pas avoir besoin de preuves. De toutes façons, nous manquons de charmants employés. Alors... vous signez au bas de la page ?

Elle sourit au baise-main et lui laissa le registre pour qu'il ait le temps de lire son nouveau contrat. Après quoi elle s'apprêtait à retourner à ses comptes, quand un rouquin fit son apparition.

Oh, Lestat !

Elle avait douté, plus tôt, des paroles du messire : allait-il vraiment venir travailler à l'Aubépine ? Apparemment, oui... Il était mignon, Lestat, comme rouquin à barbichette ! S'il était pris, il ferait lui aussi tourner les têtes...

Non, je t'épargne Rivian pour cette fois... tu devrais trouver une gueuse - la moins moche des trois - dans une chambre ou l'autre, en haut. Mais avant faut signer ici, même si t'es qu'à l'essai, hein, je préfère. Fais la queue derrière Rivian, sans vouloir faire de l'humour gras.

Même pas le temps de souffler qu'une troisième silhouette faisait son entrée... Une dame, cette fois ! Enfin ! C'est que ça ne courrait pas l'auberge, les jolies dames... Et celle-ci était délicieuse. La rouquine resta un instant fascinée par l'éclat asymétrique de son regard. Celle-ci était, c'était clair, un bon investissement...
Elle lui sourit lorsqu'elle se présenta.


Shae, enchantée... je suis Mondine. Nous avons correspondu, n'est-ce pas... ? Bien. Je vais vous demander de signer le registre, après Rivian et Lestat ici présents...
Il se fait tard, ou tôt, et nous n'avons pas encore beaucoup de clients, alors, quand tout ceci sera signé, je pense que vous pourrez tous les trois aller visiter les chambres et vous reposer un peu. Z'avez du faire de la route, enfin, pour ce qui est de Rivian et de Shae... Lestat, t'as pas du avoir trop de mal à venir !


Elle rangeait quelques papiers en leur parlant, continuant de les détailler un à un. Si avec tout ça l'Aubépine ne marchait pas, ce serait bien incroyable !
Rivian



Rivian lisait le registre... il hochait de la tête en le lisant tout en ce caressant le menton. Quand le roux entra en ce lieu, il le dévisagea de haut en bas. Aucun soucis c'est un roux !!! Rivian était bien sur de lui, pourtant Lestat était plutôt belle homme comme lui mais, le brun ce sentait toujours au dessus de tous les autres hommes l'ont pu entendre un " Huum !" de moquerie en le voyant. il continua de lire le registre et ajouta


Donc juste une griffe ? et bien je signe ! Voila ton premier bel homme !


Rivian était fier et fanfaronnai du haut de son mètre 85 en passant devant Lestat il le regarda de haut juste pour le rabaisser.. aaah c'est homme toujours a jouer au plus fort..


Mais vint une délicieuse femme du nom de Shae.. un nom aussi doux que sa voie et son corps ! Rivian écoutait toujours Mondine mais qu'a demi maintenant il dévorait la nouvelle venue des yeux. il commença à faire sa petite parade d'approche. En commençant par le baise bain des plus délicats et doux


Bonsoir mademoiselle, vous avez entendu Mondine nous devrions allez nous reposer mais visiter avant les lieux. Venez donc avec moi nous pourrons visiter et faire connaissance Bella..


Rivian lui prenait la main de façon tout a fait noble et classe pour l'emmener enfin elle décidait de le suivre en espérant ce cela marche il afficha un large sourire sur son visage en direction du roux



Smoothys
La belle brune au regard azur était revenu de son voyage,
A peine arriver que les nouvelles arrivent, le bordel est enfin ouvert.

Du travaille en plus pour la charmante smoothys comme si le travaille de tribun et de sergent ne lui prener pas assez de temps...
Ralalalalala si c'etait pas pour ses amies elle aurait dit non,

Enfin...la voila dans les ruelles sombre de la ville d'espalion,
Rassant les murs tel un rat, vétue d'un long manteau a capuche rabattue sur la tête,
Elle se glisse jusqu'a l'entrée de cette fameuse auberge.

La smooth regarda la petite pancarte, hésita a entrer ce demandant ce qu'elle trouverait derrière cette porte surement!
Faut dire que ce monde la! La mousse ne le cottoyés pas.. pas que ce n'était pas des personnes assez bien pour elle, c'est pas ca hein! Parceque faut bien le dire tout le monde sort par le même trou! Gueux comme riche!
Non non c'était pas ca..c'était plutôt la peur de l'inconnu ou peut être la peur de ne pas ce trouver a ca place..

Après un long moment d'hésitation, la brunette se décida grace a la promesse faite a mondine de venir voir les lieux.

La jeune smooth entra donc se décapuchone, se met a l'aise, en léve son manteau,
Puis regarde les trois personne dans le hall d'entrée,

Un homme assez grand avec une musculature impossante et qui devait se prendre pour l'homme irresistible! Tout ce que la belle herboriste détestée.

A coté de l'homme un autre homme ou disons un jeune homme au cheveux de feu,
Qui pour être honnête était bien trop jeune pour la smooth et surtout pas a son goût.

Puis non loin de la une femme, une jeune femme.. aussi belle que la smooth, ce qui l'inquieter unnpeu.

Les coups d'oeil étant terminer, elle sourit a son amie, tout en allant la rejoindre

Bonjour je suis smoothys c'est moi qui m'occupe de la caisse!
Les affaires et les écus c'est mon trafic!
Alors j'envois un prés de la caisse je lui coupe la main!


Elle se mit a rire

La présentation faite elle se pencha vers mondine

Me voila..dit moi ce que je peut faire pour t'aider?!
Ah moins que tu a déja tout fait ce qui m'en a tout l'air....
Je vais aller visiter peut être..



Oui...mondine était rapide et ca gêner smooth d'arrivée tard pour l'aider a l'ouvrage.
Lglvh
Le gamin s'avancea pour aller signer le registre et frôla au passage l'homme brun,un brin provocateur,un brin amusé. Ses yeux gris se firent malicieux et sa gueule de voyou n'en paraissait pas moins plutot angélique. C'est qu'il savait jouer de sa beauté encore juvénile,le rouquin.

Il apposa sa signature et porta son attention sur Mondine.


La moins moche tu dis,la d'moiselle?

Il se gratta la joue,perplexe.

Une autre femme arriva et se présenta


Citation:
Bonjour je suis smoothys c'est moi qui m'occupe de la caisse!
Les affaires et les écus c'est mon trafic!
Alors j'envois un prés de la caisse je lui coupe la main!


Il repondit de sa voix rauque et trainante...

j'veill'rais a pas laisser trainer mes paluches..mais tant qu'c'est qu'ca qu'tu coupes mad'oiselle ....

Il inclina la tête et releva le nez,la gratifiant d'un charmant sourire

Buna seara J 'suis lestat gabriel de lioncourt vanhesling,pour comment tu dit ca dans c'pays?..ha ouiii!! pour te servir,ou plus si tu veux. Et on m'appelle Lest c'est mieux,plus court

Il détourna la tête et regarda avec envie voir avidité le couple beau brun,belle brune s'éloigner main dans la main.

L'ambiance feutrée et le peu de lanternes qui éclairaient les lieux lui plaisaient,il se sentait a l'aise.

Il retourna a Mondine


j'espère être a la hauteur d's'que tu attends d'moi...j'aime pas dec'voir et j'm'applique dans s'que j'fais moi,j'aime po l'travail bâclé.

Un clin d'oeil plus tard,il reprit un visage impassible et déambula un peu dans le halle d'entrée ne sachant pas quel coin explorer,à la recherche d'une donzelle à qui il pouvait démontrer ses talents.

Curieux et un rien impertinent il ne put s'empecher de gambader allégrement derrière Rivian et Shae

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Smoothys
la jeune brunette alla visiter quand elle entendit la voix du jeune homme au cheveux roux.

Celui ci avait de l'humour et ca la smooth appréciée.


Hé bien Lest enchantée, pour me servir ou plus tu n'a pas froid aux yeux,
malheureusement tu perd ton temps je suis une femme amoureuse.


Elle rit quelque secondes

puis ne t'inquiéte pas je ne coupe que les mains.. le rest eje te le laisse pour tavailler sans ca je ne suis pas sur que tu ameuterais des dames.

Smooth lui sourit taquin mélant son charme irrésistible de brune

bon aller je vais visiter un peu moi! et attention pas touche a la caisse!
Cecile34
cécile avait entendu parler d'un lieu recemment ouvert....Mondine et smooth lui avaient parlé d'un lieu ouvert à tous où chaleur humaine et convivialité seraient obligatoires...le truc qu'elle trouvait bizarre c'était les heures d'ouverture mais bon avec ces deux nanas plus rien ne l'étonnait

Cécile avait bien noté l'adresse et arrivant dans une impasse elle fut surprise...

et bien j'espere que les gens trouveront!!!!

cecile se mit devant la porte et lu l'ecriteau

ho quel joli nom...

Poussant la porte elle découvrit une jolie petite pièce cossue et cette odeur était loin d'être desagreable

Cherchant du regard quelqu'un

Coucou c'est la curette qui vient visiter y a quelqu'un????

cécile trouvait l'endroit mal éclairé mais peut être voulaient elles faire des économies de bougies....cécile pensait qu'elle pourrait les aider en leur donnant quelques cierges de trop qui prenaient poussiere à l'église
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Mesrant


Mesrant un nom qui sonne oreilles, et qui régale les yeux a la simple vu de cette être angélique.
Poéte a ses heures perdu, ce bel ami du haut monde a déserter les bonnes manières pour devenir un voyou de baiser voler et vivre en toute liberté sa philosophie de vie.

Une philosophie libertine habite "le mignon" comme les femmes aiment l'appellées.

Le mignon est un charmant jeune homme agé de vingt trois ans,
Ses cheveux châtain sont de nature épais, il les porte court cependant assez long pour noyer les doigts de ses partenaires qui vagabonde dans sa chevelure.
La coupe est indescriptible et se coiffe selon les humeurs du vent.

Le visage quand a lui est angélique, les traits son fin et gracieux, la teinte peu bronzé améne un coté mistérieux a son regard profond.

Ses yeux fin en amende sont d'une couleur bleuté, on distingue rapidement un regard expressif qui dévoile toute ses émotions,
Laissant l'impréssion d'être en compagnie d'un garcon sans mauvaise penser.

Au premier a bort Mesrant passe pour un gendre idéal charmant, adorable, mignon, tendre, galant et fait d'habit chic.
Cependant on devine que le jeune homme a la chair ferme! un corps mince, svélte, a la musculature développé celui ci tentera les dames a tout les péchés!
Son fessier quand a lui est ferme, au rondeur parfaite, donnera envie de croquer sans modération.

Il aime dire qu'il aménera les femmes jusqu'a la damnation.

Pour l'heure le jeune voyou qui vie de son corps trimbale son baluchon en tissu de soie, de ville en ville.
Aujourd'hui le baluchon sur l'épaule, il trainer des pieds dans la ville d'espalion, le vent lui avait chuchoté l'ouverture d'un endroit ou le corps a corps charnel était autorisé.

La rue était sombre et étroite, dans sa tête les mots se répété a la rosée de l'aubépine, son regard se poser sur chaque porte massive des habitations..
quand plus loin il vit enfin cette foutu plancarte, il sourit de façon charmeuse laissant déssiner une fausette.

Sans hésitation il entra, et se retrouva derrière une femme a la chevelure blonde, de dos la ligne était assez apéttissante, et il se demander si c'était la patronne.


bonjour dame,

je suis mesrant! me permettez vous que je prénne votre main demoiselle a la chevelure d'or et a l'éclat si merveilleux qu'un trésort?

Le jeune homme lui fit une petite révérance et tendit sa main, genoux a terre.

je doit dire que la patronne est merveilleuse..tel une luciole aux lumières charmeuse.

Le voyou chic compté bien charmer cette belle femme en attendant sa main.

Cecile34
cécile était fort surprise se retournant , faisant volte face avec sa soutane, elle vit là un bel homme qui lui tendait la main

Rouge comme un poivron, elle savait plus quoi dire ni que faire...elle esperait secretement que ses copines allaient arriver

heu...je suis génée messire

Prenant sa main

relevez vous enfin! Voyez vous je viens voir ce nouveau lieu que je trouve très, heu ....très unique va-t-on dire!

cécile cherchait du regard mondine ou smoothys.....
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Mesrant


Mesrant n'était pas un homme insistant mais laisser rimé ses mots, laissant découvrir une voix grave a l'accents teintant comme le champs des cigales.

Le charmant regarder la femme a la soutane yeux dans les yeux avec un sourire courtoie.
Lorsque sa main viens caresser la sienne, il lui déposa un baise main furtif pour ne point la génée d'avantage.


Je m'excuse damoiselle de vous mettre mal a l'aise mes manières feront en sorte qu'elle vous plaise.
Vous dites un lieu unique mais n'est il'pas unique de voir une si charmante blonde en soutane dans un établissement pareille..
Une merveille au boucle d'or appartenant a l'église ici c'est amusant! Le très haut devrais veiller un peu plus sur vous en tout cas moi je veille sur vous.. les corneilles dans les rue sombres sont présent dans chaque coin humide.

Voulez vous que je vous accompagne pour le retour?


Il lui sourit et alla s'appuyer contre le mur, laissant la femme a la soutane attendre ses amies..et lui la patronne ou les patronnes

Mondine
La rousse descendit une volée de marches, ravie de la tournure que tout ceci prenait.

Bon, on pouvait sans trop de peine remarquer que l'Aubépine manquait d’œstrogènes, mais Mondine ne désespérait pas d'accueillir quelques nouvelles demoiselles dans les jours prochains. Shae avait beau être si belle que c'en devenait irritant, elle ne suffirait pas, aidée d'Hortense, Pétunia et Julienne qui n'inspiraient aucun autre désir que celui de fuir à toutes jambes, à faire marcher la maison. Mais les messires, les messires, eux... Booouh ! La rouquine était bien contente, en définitive, de ne pas être célibataire, sans quoi elle n'aurait pas su ou donner de la tête. Bien contente aussi qu'Hero envisage de remplir la fonction de portier, parce que toutes ces chambres et tous ces gens-là autour d'elle, ça ne manquait pas de lui souffler quelques idées, juste de quoi prendre une chambre rien que pour eux...

Elle avait été ravie de voir arriver Smooth, parce qu'il commencer à y avoir trop de monde pour elle seule. Elle admirait franchement la capacité d'adaptation de la brune, qui, tout juste arrivée, menaçait déjà de couper des mains et avait déjà l'air complètement à sa place... Pis elle était vachement contente de bosser avec Smooth, ça lui arrivait pas souvent ! Un peu plus tôt, à son arrivée, elle lui avait répondu en riant :

Oh, t'en fais pas ma Smooth, y reste tout plein de boulot !
Des chambres pas finies, des registres à remplir, des nouveaux employés à tester... Enfin, ça, c'est optionnel... pis des comptes, des comptes, des comptes ! C'est ton boulot ça non ? Pasque moi je m'y retrouve pas !

Puis tout était allé très vite. Smooth avait discuté avec Lestat avant de déserter pour visiter les étages, les nouveaux étaient depuis longtemps en train de trafiquer on-ne-veut-pas-savoir-quoi dans leurs chambres, et la voix de Cécile avait finalement raisonné dans l'entrée. Le temps que Mondine termine d'expliquer à l'une des gueuses patibulaires du bordel que oui, en effet, il était interdit de taper sur les clients à moins qu'ils ne l'aient demandé, le bruit d'une porte qui claque à l'étage inférieur l'avait encouragée à abréger la conversation. De toute façon, fallait bien le dire, Pétunia était une cause perdue.

C'est ainsi qu'elle se retrouva à descendre les escaliers quatre à quatre, espérant de tout coeur trouver, en compagnie de Cécile, une demoiselle pour égaliser un peu l'ensemble des employés...

Or, en approchant de l'entrée, elle trouva sa curette préférée toute bégayante, face à un.. pfff... jeune homme. Planquée derrière la porte, Mondine observa la scène. La déception d'un nouveau mâle à l'Aubépine fut très vite effacée par l'hilarité qui la saisit à mesure qu'elle regardait le spectacle... Qui plus est, la recrue était, encore une fois, fort agréable à regarder, ce qui rasséréna la rouquine. Elle se retint bravement, jusqu'au moment où une Cécile plus gênée que jamais tendit maladroitement la main au jeune... comment déjà ? Mesrant ? avant qu'il n'aille s'adosser à un mur avec des pauses d'icône.

N'y tenant plus, elle éclata de rire et fit irruption dans la pièce.


Coucou Cécile... M'sieur Mesrant, ça, avec la chevelure d'or aux lucioles charmeuses, c'est notre curette... Faites gaffe, elle est plus vierge que la madone elle-même !

Toujours hilare, elle effaça une larme au coin de ses cils et adressa à Cécile un grand sourire qui voulait dire "bon, certes, je me fous un peu de ta gueule, mais j'suis là pour te sauver alors hein !" puis elle se dirigea vers le registre laissé ouvert.

Alors mon petit monsieur ! Bienvenue à la Rosée de l'Aubépine ! Mesrant, si j'ai tout bien suivi ? La patronne, c'est moi, en vrai, avec Smooth qui est en haut.

Calmée, elle le jaugea du regard. Un beau petit bout d'homme. On en mangerait. Et avec une certaine tchatche, visiblement... Rivian n'allait pas aimer une telle compétition !

Vous voulez bien signer le registre ? Pis ensuite vous pourrez visiter si vous voulez !
Cécile, prends un truc à boire, j't'en prie, t'es toute rouge !
Jack, incarné par Theheroinadream
Cela faisait des lustres que l’étrange monsieur Jack n’avait pas mis le nez dehors.
Ayant eu ouïe dire – on ne sait trop comment – qu’un bar à dones de mal viure ouvrait à Espalion, il s’appliqua à décorer sa poitrine de ses plus rutilantes médailles.
Un peu de distinction, bordel ! Tout comme le hachis sans le Parmentier, le sexe sans séduction ne vaut rien qui vaille.
En parlant de viande… Cela faisait longtemps que Jack n’avait pas mis à l’épreuve son engin.
Un coup d’œil dans l’eau claire, lors de sa baignade (la propreté, putain, c’est essentiel !), l’avait renseigné sur l’état de ses parties.
Comme pour le reste, « croulant » était le qualificatif qui adjectivait son truc au mieux.


Et en plus, y’a rien à faire ! J’ai beau triturer l’ensemble dans un sens, puis dans l’aut’, en f’sant l’moulin comme à la grande époque, c’est tout en vrac. Ça pendouille comme un gigot. Heureusement que j’possède encore une fortune de gentilhomme après toutes ces années, parce qu’aucune jeunette voudrait plus en bouffer si j’allongeais pas la monnaie derrière ! Ouais, mes p’tites, j’ai les bourses pleines à ras bord, à craquer, et y’a pas qu’les écus que j’vais allonger c’soir ! Va même p’tet falloir tenter un quat’ mains pour le mettre au garde-à-vous, m’sieur l’Général gode froid ! Foutredieu, vrai qu’la vieillesse est un naufrage…

En route vers le paradis perdu, un sourire d’extase aux lèvres, Jack souilla ses braies. Une fois, deux fois… Trois fois.

J’vais finir par y’aller direct’ment à poil moille si c’bazar continue !

Car, tout comme l’Europe, la trique ou l’Amérique, Jack est incontinent.

Vint le moment où, empuanti par ses propres excrétions, et en âge qui plus est, il atteint le bordel.


« À la Rosée de l’Aubépine » ! Qu’est-ce qu’y vont pas chercher, ces cons… Y’a « pine », y’a « arroser ». D’là à dire que j’me trouve au bon endroit, y’a qu’un doigt ! De r’tour à la maison, l’Jacquot. Feurste standinge !

Sans même attendre qu’on l’introduise, il pénétra dans l’établissement, et se mit à hurler :

Où qu’elles sont, les radasses ? J’suis en rut moille ! Le client est roi ici ou bien ? Parce que j’ai pas qu’ça qu’à fout’ d’attend’ ! Une suite, de suite, et royale s’il vous plaît, madame la marquise ! Un doigt d’gnôleau et au lit, c’est au onzième de passer à l’action ! Et attention, me r’filez pas d'la craspouille hein, j’sais encore faire la distinguance entre une cramouille lavée et une qu’est pas prop’, malgré l’fait qu’avec l’âge j’soye moins r’gardant. M’prenez pas pour une bleusaille !
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