Afficher le menu
Information and comments (0)

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[RP semi-privé] Ma Dame, vous oubliez votre fouet !

The_legend.
Aux refuges des Courtisanes


C’est en chevauchant à travers le royaume que la donzelle encore une fois fut piégée par sa trop grande curiosité.

Cette écervelée de Fauve n’avait rien trouvé de mieux que de prendre un raccourci par les chemins déserts des forêts du Domaine Royal.
Déserts, hum pas tant que cela…
La forêt d’Orient était certes immense et la contourner pour arriver à Troyes était hors de question.

Cela faisait maintenant quelques heures que Fauve marchait au pas de sa jument, perdue dans ses pensées. Le décor autour d'elle était plutôt lugubre.
A vrai dire, la Forêt d’Orient n'avait rien de bien rassurant. Des bruits étranges résonnaient et une atmosphère lourde et humide semblait peser sur les épaules de la jeune femme.
Une légère brume flottait au ras du sol et la lune illuminait les bois, donnant des ombres effrayantes aux arbres.
Fauve se hâta, pressant doucement Fleur d’épine.
Elle pouvait sentir la brume caresser ses joues, son cou et s'insinuer dans le décolleté de son corset. Elle savait que si un danger se profilait, elle n'avait qu'à tirer son katana qui se trouvait dans son étui, entre ses omoplates.

Pourtant, la belle féline aperçut enfin la fin de la forêt alors que son esprit n'était plus torturé par les questions qu'elle se posait.
Une fois sortie, un choix s'offrait à elle.
Quel sentier prendre ?
Elle en choisit un au hasard et continua son chemin.

Bientôt, une auberge s'offrit à sa vue. " Au refuge des Courtisanes ".

Fauve soupira. Elle avait entendu parler de cet endroit.
Cachés derrière presque chaque arbre des alentours de ce refuge, on pouvait trouver brigands, malfaiteurs, comploteurs et violeurs, même des assassins avides de sang tuant pour leur simple plaisir.
La brunette n’en n’avait que faire, elle n’en n’était pas à son premier affrontement et s’était déjà à maintes reprises retrouvée là où il ne fallait pas, soit au milieu d’une bagarre, soit à défendre sa vie ou son honneur, voir même ceux de ses proches et amis.

Toujours prête à pallier au moindre conflit, autre son katana, sa hache et sa dague, elle avait toujours sur elle son arme favorite, un fouet, taillé dans un cuir fin, solide et souple, discrètement enroulée sur sa cuisse droite.
Comme on dit… armée jusqu’aux dents !

Malheureusement, elle avait besoin d'étancher sa soif et de dormir un peu. Avec un peu de chance, elle serait acceptée avec plaisir.
Bon, elle n'avait rien à perdre ou presque… alors elle s'y rendit.

Le bâtiment était si peu éclairé de l'extérieur que Fauve dut attendre d'être proche pour bien situer la porte.
Elle pénétra prudemment dans le refuge, ses yeux écarquillés sous la surprise. Certes elle s'attendait à quelque chose de différent des auberges habituelles, mais pas à ça.

A peine la porte fut-elle ouverte, qu’une bouffée de chaleur la percuta.
S’en suivit des odeurs d'hommes et de femmes en chaleur, odeur de boisson, odeur de nourriture et odeur de renfermé. Sans oublier de fortes émanations de sang dues aux trop fréquentes bagarres et règlements de comptes.
Tout ce mélange en faisait un air âcre et difficile à respirer pour un non habitué des lieux.
L’air vicié semblait stagner comme un brouillard épais et la chaleur y était étouffante.

Fauve s'avança doucement, regardant les hommes allongés un peu partout, sur des sofas, à même le sol ou sur le comptoir.
Sous son air surpris, une jeune courtisane passa et enroula autour de son doigt une des boucles de ses longs cheveux châtains.


« Vous voulez que je vous serve quelque chose mademoiselle ? »

Fauve la fixa de son regard doré et réussit simplement à faire un signe négatif de la tête.
Elle était mignonne et arborait un sourire charmeur.
Mais pour qui la prenait-elle ?
Elle caressa sa joue du bout des doigts avant de filer vers un client qui braillait.
La féline était perdue pour de bon, debout entre tous ces gens qui paraissaient si étranges par rapport à ceux qu'elle avait connu auparavant.
Elle resta donc là, à attendre, sans bouger, observant tout, sa curiosité reprenant le contrôle de la situation.
Peut-être quelqu'un viendrait-il la sortir de là ?...

_________________
Cyanure
L'inconnue...


Il était temps de retourner les voir, ces femmes qui vendait leur corps pour de l'argent, les fameuses courtisanes de l’Orient.
Il devait aller voir sa protégée, ça ne faisait pas très longtemps qu'elle y "travaillais", il devait donc la surveiller pour être sûr qu'elle fasse l'affaire et que son corps soit apprécié.

Il marchait tout en pensant à elle, quand il arriva non loin du refuge.
Il releva la tête de le regarda dans toute sa splendeur. Ce grand bâtiment des pêchers charnel.
Il esquissa un sourire, mit ses mains derrière son dos et s'avança vers le bâtiment qui n'était éclairé que par deux lampes à huiles accrochés aux dessus des deux côtés de la porte.

Après être rentré, Cyan commença tout de suite à chercher la femme qui lui appartenait, mais en cherchant parmi les dépravés allongés sur les divans et ceux qui s'étaient écroulés par terre ce n'est pas elle qu'il trouva, mais une femme réellement magnifique.

Elle avait l'air un peu perdu ou en train de chercher quelque chose… ou quelqu'un comme lui.
Il était plutôt intrigué, car il ne l'avait jamais vu auparavant.
Son regard était irrésistiblement attiré par elle.

Il se passa donc une main dans les cheveux et s'avança vers elle.
Il était totalement absorbé par cette femme qui avait l’air si vulnérable, dans un endroit qu’elle ne connaissait pas.
Les yeux de la jeune femme faisaient des va et viens sur chaque personne, son regard analysait la salle en détails et dans ses prunelles persistait une lueur de surprise.

Il la vit se faire accoster et observa sa réaction. Gardant les yeux légèrement plissés, se tenant en retrait, il suivait l’échange.

Dès que la jeune courtisane s’éloigna en quête d’un nouveau client à combler, Cyan fixa de nouveau son regard sur la belle inconnue.
Il commença à l’analyser de la tête aux pieds.
Son visage de poupée en porcelaine était d’une pâleur, mais d’une beauté à couper le souffle.
Ses magnifiques yeux bruns et dorés capables d’attraper n’importe quel regard étaient soulignés par un fin trait noir et entourés de cils à faire pâlir les plus nobles femmes.
Les yeux du mercenaire glissèrent sur la peau de son visage en passant par son petit nez retroussé puis s’arrêtant sur sa bouche.
Il y vit des lèvres pulpeuses et délicieusement rosée.
Ce visage de poupée étant encadré par de longs cheveux châtains, qui firent découvrir aux yeux de l’homme le corps qui suivait.

Cette femme était d’une élégance presque parfaite avec son corps et sa taille fine, sa poitrine charnue, son profil élancé et ses muscles délicatement dissimuler sous sa peau à l’allure de soie.
Elle portait un petit corset en cuir qui rehaussait bien sa poitrine et collait à sa taille de guêpe avec un pantalon de tissu qui moulait bien ses jambes et pour finir elle portait des bottes en cuir, ce qui était une bonne chose pour marcher en forêt.

Ayant totalement oublié le but premier de sa visite dans ce lieu « immonde », Cyan esquissa un sourire de chasseur et commença à se diriger lentement vers la femme qu’il dévorait presque de désir.

Elle dut le sentir arriver, car alors qu’il arrivait proche d’elle, elle se retourna sans étonnement. Il en fut lui-même surpris, mais heureux. Il lui attrapa la main et s’inclina devant elle en lui faisant un baisemain.


« Que fais une femme telle que vous dans un endroit aussi dépravé jeune damoiselle ?
Il me semble que ce ne soit pas tout à fait votre environnement habituel. »

_________________
The_legend.
La rencontre...


Fauve ne perdait rien des yeux, son regard doré toujours en mouvements.
A droite, à gauche, derrière elle, elle observait les moindres détails.
Depuis sa plus jeune enfance, elle avait appris à être patiente et à observer quelqu'un pour le déchiffrer.
Chaque fait, chaque geste, chaque parole ou même chaque regard comptait.
Les yeux d'une personne étaient les fenêtres de son âme. Ses démons et ses émotions y brillaient constamment malgré les tentatives de camouflage sous un rire, un sourire ou une soirée un peu trop arrosée.

La jeune femme se perdit alors dans sa contemplation.

Non loin d'elle, vers le fond de la pièce principale, un homme était affalé sur un divan, accompagné de deux ou trois jeunes femmes qui se relayaient pour le masser, le servir, l'embrasser ou caresser son corps.
Le client aux allures de roi avait de grosses cernes sous les yeux et son regard bouffi montrait qu'il avait pleuré, il y a moins d'une heure.
Malgré son rire rauque et son verre de vin à la main, une tristesse voilait son regard.
Mari trompé ou quitté, il venait noyer sa peine et sa souffrance avec ses courtisanes. Elles lui feraient passer du bon temps, certes, mais ne lui feront pas oublier.

A l'opposé de la salle, un autre homme se tenait là, avachi sur le comptoir, draguant une minette qui faisait le quart de son poids.
Une bedaine énorme et ronde lui donnait l'air enceinte, son double menton semblait le noyer et ses jambes ressemblaient à des jambonneaux.

Fauve rit légèrement aux pensées qui lui traversèrent l'esprit.

L’homme racontait sa vie à la jeune femme.
Parlant de son travail, sa demeure et son argent, mais il ne dit rien sur sa famille. Le regard de la féline se posa sur sa main, où la trace qu'avait laissé une bague était visible. Il sentait aussi le parfum léger qu’utilisent les jeunes mamans fortunées pour langer les bébés.
Homme marié et père de famille sans aucun doute, présent pour calmer sa soif ou profiter de plaisirs charnels que sa femme ne lui donne pas ou plus.

Derrière le bar, une servante essuyait la vaisselle de ses gestes mécaniques.
Elle semblait complètement indifférente à son environnement, et à priori, les ébats qui se déroulaient sous ses yeux ne la dérangeait pas le moins du monde.

Fauve était plongé dans ses réflexions quand elle sentit sur sa nuque un regard chaud, comme si elle était observée. D'ailleurs, elle en était même certaine.

Une odeur de fraîcheur se détacha de l'atmosphère lourde et chaude. Un parfum différent se rapprochait.
La jeune femme se retourna vivement et vit un homme arriver vers elle.

Allait-on encore la confondre avec un client ? Ou pire… une servante ?
Pourtant, celui-ci attrapa sa main et l'embrassa en s'inclinant légèrement.

" Que fais une femme telle que vous dans un endroit aussi dépravé jeune damoiselle ?
Il me semble que ce ne soit pas tout à fait votre environnement habituel. "


L’homme était grand et mince, sa démarche assurée et élégante et une certaine beauté sauvage émanait de lui. Sa peau était lisse et sans imperfections apparentes.
Les traits de son visage étaient fins et doux. De longs cheveux noirs ébène coupés courts autour de son visage, descendaient lisses et regroupés en une queue de cheval dans son dos.

Mais la chose qui attira le plus le regard de la jeune femme fut ses yeux d'un bleu azur surprenant.

Plantant son regard doré dans celui du beau sieur, la féline lui fit un de ses célèbres sourires charmeurs, battant des cils.


" Bonsoir... En effet, c'est la première fois que je viens ici. Je cherche juste un endroit où me reposer durant mon voyage. "

Fauve avait chevauché toute la nuit dernière et n'avait pu dormir, abritée dans une grotte lorsque le temps était trop rude, hantée par des cauchemars ne trouvant pas le sommeil.
Elle avait juste besoin d'un bon lit douillet et d'un bon verre de vin.
L’inconnu ne semblait pas de ce milieu non plus.
Mari trompé ou trompeur ? Il n'en avait pas le profil.


" Et vous ? Que faîtes-vous ici ? "

La jeune femme sourit une fois de plus et en profita pour se présenter, le monde autour n'ayant plus d'importance maintenant que son… sauveur… était là.

" Je suis Fauve du Haut de Hurlevent…
Vous ne vous êtes guère présenté. "


Cachant sa curiosité, elle voulait en apprendre plus sur cet homme… fort séduisant...
_________________
Cyanure
Incartade...


Quand la jeune femme se décida enfin à le regarder dans les yeux elle lui lança un regard charmeur, tout en battant des cils et en lui servant un grand sourire avec sa bouche parfaite et rosacée.

- Un endroit où vous reposer ? Hum…Je crains que vous ne soyez tombé sur le pire endroit possible pour cela…

Il lui renvoya aussitôt un sourire. Puis, c’est à ce moment précis qu’elle lui rappela les bonnes manières, elle se présenta, comme il aurait dû le faire depuis le début.

- Oooh ! Toutes mes excuses. Je manque à mon éducation de gentleman.

Il s’inclina, en posant une main sur son ventre et en baissant la tête, puis lui pris la main et la baisa.

- Je suis Cyanure Del Brontë, pour vous servir. Ravi de vous connaître, belle damoiselle De Hurlevent.

Il lâcha sa main doucement et releva la tête. Puis planta ses yeux de couleur clair dans les siens et esquissa un léger sourire charmeur.
Il se rappela alors de ce qu’il disait plutôt et recommença à parler.


- Je disais donc, que le Refuge des Courtisanes n’était en rien le meilleur endroit où dormir. Vous ne pouvez jamais savoir sur qui vous tomberez ni ce qui pourrait vous arriver. Disons juste que la propriétaire aime bien les jeunes femmes dans votre style. Il vous faudrait mieux trouver un autre abri.

Quant à ce que je fais ici…
Je vais et je viens, je ne fais pas grand-chose, mais je suis toujours là au bon moment. Pour ce qui est de ma présence ici-même en ce lieu, disons que je suis venu voir une... bonne amie. Quelqu’un qui fait partie de ma famille...


Cyan avait à peine fini sa phrase qu’une femme vint le percuter, elle venait de sa droite.
Il regarda donc dans cette direction et remarqua un homme, assez âgé, qui s’était levé du confortable fauteuil dans lequel il était avachi jusqu’à maintenant.
Il avait l’air assez en colère, et faisait des moulinets dans les airs avec ses bras, essayant d’atteindre la courtisane en face de lui.
C’est à cet instant que le jeune homme prit conscience que la femme qui l’avait percuté et qu’il avait retenu inconsciemment dans ses bras ne réagissait pas. Il baissa donc ses yeux sur elle et vit des traces de coups sur son visage, ainsi qu’un mince filet de sang qui coulait de sa bouche jusqu’à son cou.
Il installa la femme sur le côté, sur le premier divan qu’il trouva.

Le gentleman s’excusa auprès de Fauve, lui disant que ça ne prendrait que quelques secondes et se dirigea vers l’homme d’âge mûr.
Celui-ci allait réussir à atteindre sa cible, une autre pauvre courtisane, quand Cyan arriva pour l’en empêcher. Il donna sa chance à cette dernière d’aller retrouver son « amie ».
L’homme plus âgé, sous l’emprise de l’alcool, ne se rendait pas compte de son infériorité face à un jeune homme encore frais et pimpant.
Il essaya donc de frapper Cyan, qui esquiva assez facilement l’attaque et lui rendit la pareille en lui assenant un coup du « tranchant » de la main sur le côté droit du cou, mais l’alcool aidant, l’homme ne réussit que partiellement à l’éviter.
Sous le coup de l’impact, il ne put, finalement pas, éviter le sol qu’il frappa de plein fouet, tête première. Une belle bosse sur la tête et un mal de crâne était tout ce que cet homme avait gagné en venant ici ce soir.

Cette petite incartade passée, Cyan retourna auprès de la femme qu’il venait de rencontrer, puis regarda l’homme se faire emmener par deux costauds plus vieux que lui, mais aussi plus baraqués.
Sans aucun doutes la « sécurité », qui l’emmenait dans une chambre où il pourrait dégriser et profiter de ses dernières heures à l’Auberge des Courtisanes.
Le jeune homme se tourna vers Fauve et lui fit un grand sourire.


- Encore désolé pour... ça !
Disons que ce n’est pas le genre de chose que j’aime voir arriver. On ne sait jamais à qui il aurait pu s’en prendre après.
À mon « amie » ou bien à vous-même...

_________________
The_legend.
Fascination


L’ambiance de la soirée et l’odeur d’alcool n’avait en rien laissé envisager à la jeune femme qu’elle était tombée au bon endroit pour passer une nuit calme et douce.

Après sa journée de marche épuisante, Fauve n’avait souhaité qu’une chose : un bon lit pour une bonne nuit de sommeil.
Pourtant, son chemin l’avait mené ici.

Inutile de dire que c’était le lieu qu’il fallait pour une soirée arrosée et déjantée, à l’opposé de tranquille et reposante.
Malgré l’atmosphère lourde et les relents de boissons alcoolisées, sa curiosité l’avait poussé à rentrer et observer tout ce… beau monde, si différent des lieux qu’elle fréquente.

La voilà maintenant accostée par un messire tout à fait charmant. Pour le coup, la féline ne maudit pas le chemin que son destin lui avait choisi pour ce soir.

Cyanure lui confirma que l’auberge était le pire endroit possible pour qu’elle puisse être tranquille le temps d’une nuit.
Il s’expliqua sur sa présence sans toutefois se présenter de suite.
Lorsqu’il dit qu’il était là toujours au bon moment, elle n’eut aucun doute à le croire, contente de faire la rencontre d’un mâle aussi charmant.

Mais elle ne comprit pas tout ce qu’il lui dit ensuite…
Sa famille ou son amie ? Sa servante ? Pourquoi était-elle ici si elle le servait ? A moins qu’elle…

Fauve s’empourpra légèrement, baissant la tête pour le cacher.
Non pas qu’elle était prude quant aux différentes habitudes sexuelles de certains et certaines mais quelque peu en colère quand il s’agit de priver de liberté de choix ses congénères femelles face au sexe.
Mais bon… la vie est ainsi faite avec ses nombreuses injustices.

La coupant dans ses pensées, il se présenta enfin après s’être excusé de son oubli.
Il s’était incliné face à elle, une main sur son ventre, l’autre prenant sa main pour la baiser de ses lèvres alléchantes.
Fauve sourit, une légère teinte de rosée restant sur ses joues. Puis le fameux Cyanure se redressa, lui rendant sa main.

Leurs regards se croisèrent, le bleu saphir et l’or se mélangèrent alors que les fenêtres de leur âme se contemplaient.

Le gentleman souriait encore, faisant presque fondre la féline qui le lui rendit aussitôt.
Alors qu’il allait reprendre la parole, une bagarre éclata… Guère étonnant dans ce genre
d‘endroit d’ailleurs.

Fauve était épuisée, vidée.
Tout ce qu’elle demandait pour le moment c’était de dormir.
Elle ferma les yeux un instant, les rouvrant pour voir où en était la bagarre poussant un long soupir.

Puis Sieur Del Brontë revint à sa hauteur, s’excusant de l’incident.
Il l’observait de son doux regard.

Bien que cet homme la fascinait étrangement, elle avait envie de fuir de cet endroit…

_________________
See the RP information
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)