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[RP] Eglise perdue en Normandie - baptême de Bertrand

Gribouille87
Gribouille se leva de bon heure ce matin là , ce qui devenait de plus en plus difficile au fur et à mesure que son ventre s'arrondissait , après avoir nourrit tout le monde chez elle , elle avait prit la route suivant un plan que lui avait fournit Bertrand .

ce n’est que quelques heures plus tard qu'elle aperçu l'église perdu dans la campagne normande . Elle y entra , ouvrit en grand et débarrassa sa charrette de tout le matériel qu'elle avait besoin pour officier.

Une fois tout installé et un peu nettoyé , elle se mit à la porte de l'église pour attendre tout le monde ..enfin en espérant qu'il y aurait du monde vu que cette petite chapelle était un tantinet perdue.
Bertrand
[Moulin de Bertrand Jour J]

Bertrand attendait ce jour depuis longtemps, ayant finit sa pastorale au printemps sous l’égide de Monseigneur Savoie, il n'avait depuis lors jamais pu trouver une date avec ce dernier avant son départ chez les moines.

Débordé par ses obligations diverses et variées il avait réussit a croiser la diaconesse de Fécamp pour lui demander d'officier.
Grib ne pouvait refuser et fut enchantée de la demande.

Bertrand avait mal dormit et se demandait si sa marraine aurait eu le temps de revenir de son voyage. Il savait qu'elle ferait le maximum.

Apres avoir préparé quelques sacs de farine Bertrand plongea dans la rivière puis revêtit son plus bel habit afin de faire bonne impression pour ce jour mémorable.
Matouminou


UNE EGLISE, PERDUE DANS LA CAMPAGNE NORMANDE, EN VUE

Elle avait reçu cette demande depuis un certain temps et y avait répondu favorablement. Tout simplement parce qu'elle appréciait Bertrand, un jeune homme sympathique et travailleur. Être sa marraine était un rôle qu'elle endossait avec plaisir.

Pour l'heure, la carriole filait à travers la campagne normande vers une église perdue, tellement perdue, qu'elle en avait demandé deux fois l'adresse à Bertrand.

Elle regrettait que son compagnon, Stromboli, n'ait pu l'accompagner, mais il était occupé à remettre en état son domaine de Guilberville. Domaine qu'ils espéraient bien habiter avant l'hiver.

La campagne normande était belle en ces derniers jours d'été...un été qui, pour elle, avait été une renaissance, un bonheur sans nom, passé à voyager, à s'amuser, à rencontrer des gens dont certains étaient devenus des amis. Et puis, surtout il y avait celui qui était devenu toute sa vie, celui pour lequel elle donnerait bientôt la vie dans quelques mois., celui qu'elle appelait tendrement "son volcan" et qui lui avait offert un présent, et surtout un avenir.

La route lui sembla longue. Elle héla Clément qui tenait les rênes:


- Clément, es-tu sûr que nous sommes sur la bonne route? Il ne faudrait pas que je sois en retard.

Elle vit l'homme secouer la tête et se tourner vers elle, en ralentissement un peu les deux chevaux pour leur demander d'aller à un trot moins rapide.


- Nous y sommes presque, Dame, c'est après le prochain village que vous voyez au loin.

Elle hocha la tête, rassurée, puis replongea dans ses pensées. Il leur faudrait encore séjourner quelques semaines au phare, à Fécamp. C'est là que, vraisemblablement, elle accoucherait. Elle posa alors ses mains sur son ventre qu'elle ne pouvait plus cacher, pourtant, pas encore encombrant pour elle. Elle ne put s'empêcher de sourire en pensant à Stromb qui, dans l'intimité de leur chambre, s'amusait à parler à ce ventre qui le fascinait, s'inquiétant que le bébé bouge trop ou pas assez, posant sa main pour le sentir, lui demandant si cela lui faisait mal. Elle le rassurait, être enceinte n'était pas une maladie.

Enfin, le village fut passé et Clément pris un petit chemin vers une colline. Les chevaux piaffaient, la carriole grinçait, Matou fut un peu secouée, mais bientôt, elle vit la petite église se dresser devant elle.
Machinalement, elle rectifia quelques mèches qui s'étaient échappées de sa coiffe.
Clément l'aida à descendre. Elle le remercia d'un sourire, le priant de l'attendre jusqu'à la fin de la cérémonie.
Elle regarda aux alentours, il n'y avait qu'une charrette. Elle n'était donc pas en retard. En s'approchant de l'église, elle sut qui était la propriétaire de cette charrette, en apercevant Gribouille. Elle sourit, ainsi c'est elle qui officierait. Elle songea qu'elle était heureuse de la revoir. Même si elle n'était pas normande de naissance, l'erreur de Fécamp comme l'appelait Matou pour la faire rager, elle n'en restait pas moins une personne avec qui on pouvait parler et qui savait écouter. Elle avait un sacré caractère, ne mâchait pas ses mots, buvait comme un trou, braillait comme un homme...menant le sien à la baguette, ainsi que ses enfants, mais pour autant, elle avait de l'humour.
Elle se dirigea vers elle et la salua d'un sourire:


- Boujou Gribouille, heureuse de te revoir...hum..enfin, je dis ça pour dire quelque chose, hein? une histoire de noble attitude, mais tu ne peux pas comprendre...

Elle esquissa un sourire moqueur, elle adorait la chercher sur ce terrain, elle poursuivit, en laissant son regard s'attarder sur la taille arrondie de la diaconesse:


- En forme, on dirait? Alors, tu as ressorti ta tenue de diaconesse? Et notre Bertrand? Il est déjà là?
Bertrand
Bertrand, prêt et paré ses plus beau habits était enfin à l'aube de faire partie de la grande famille aristotélicienne.

Il se dirigea vers l’église où gribouille avait décidé d'officier. Bertrand ferma son moulin et en arrivant aux abords de l'édifice il aperçu une carriole.
Sur les portes il remarqua les armes de Guiberville.
Bonne nouvelle sa marraine était arrivé.
Anne_blanche
Vous êtes sûr que c'est là, Bacchus ?

Bah vi, Dame Anne. J'm'a jamais gourrancé.

Hum... C'est bien vrai. Pardonnez-moi, Bacchus.


Le pauvre cocher en grommelait tout seul dans sa moustache, et Anne se sentit bien contrite d'avoir mis en doute son sens de l'orientation. Il est vrai qu'elle-même n'en avait aucun. Même dans les rues de Sémur, qu'elle arpentait pourtant depuis une grande dizaine d'années, elle parvenait à se perdre. Alors, la campagne normande...
C'était la troisième fois qu'elle venait en cette province. Les deux premières ne lui avaient pas laissé de souvenir bien agréable, hélas ! On l'avait embarquée à son insu sur un bateau qui avait aussitôt pris la mer, l'hiver précédent. Et pas plus tard qu'en ce début d'été, elle était revenue pour aller écouter à Rouen les doléances des uns et des autres, ce qui avait été à peine moins secouant que le bateau dans la tempête.

Cette fois, il s'agissait du baptême d'un de ses officiers, ce qui réjouissait fort le Premier Secrétaire d'Etat. En prime, elle avait une autre raison de se réjouir : ses enfants l'accompagnaient. Ce n'était pas si fréquent. Anne-Marie sortait à peine du couvent. Quant à Sylvain... Seize ans seulement, et déjà à courir les routes, accompagné et sans chaperon.
Le vieux coche aux armes de Culan, qu'Anne n'avait pas encore eu le temps de compléter par celle de Courtenay, s'arrêta enfin sur le parvis d'une église isolée. Anne vérifia d'un coup d’œil l'absence de pli sur sa robe et celle de sa fille, plissa légèrement le nez à la vue d'une mèche rebelle sur le front de son fils, et passa à son cou le collier de sa fonction, avec les deux plumes entrecroisées. Elle descendit, et s'avança aussitôt vers Bertrand.


Messire, le bonjour. J'ai pris la liberté d'emmener mes enfants, qui sont aussi heureux que moi à l'idée d'accueillir un nouveau membre dans la fraternité aristotélicienne. N'êtes-vous point trop ému ?

_________________
Bertrand
Bertrand allait pénétrer dans l'edifice quand il vit arriver son Officier superieur accompagné une fois n'est pas coutume de sa progeniture.

Messire, le bonjour. J'ai pris la liberté d'emmener mes enfants, qui sont aussi heureux que moi à l'idée d'accueillir un nouveau membre dans la fraternité aristotélicienne. N'êtes-vous point trop ému ?

Bonjour votre excellence, Pour vos enfants vous avez bien fait, cela est toujours agreable de voir de la jeunesse s'egayer autour de nous. Quant à moi je dois l'avouer ce jour n'est point un jour comme les autres et une petite pointe m'etreint le coeur, sans doute l'émoi!!!

Tout en répondant à sa superieure bertrand continuait a rentrer dans l'eglise!
Gribouille87
La Blonde fatiguée par sa grossesse allat s'assoit dans l'église , tout en réfléchissant à comment mettre la main sur le magot de son mari quand une voix se fit entendre :

- Boujou Gribouille, heureuse de te revoir...hum..enfin, je dis ça pour dire quelque chose, hein? une histoire de noble attitude, mais tu ne peux pas comprendre...

La Lorraine grimaça reconnaissant cette voix entre mille ...matou !!!

- En forme, on dirait? Alors, tu as ressorti ta tenue de diaconesse? Et notre Bertrand? Il est déjà là?

Elle se retourna lentement tout en dévisageant la Normande. Les deux femmes adorait se chipoter et même si gribouille apprécier moyennement le nouveau compagnon de Matou au vu des évènements passés avant le départ de la nobliote, elle savait que quoiqu'il arrive elle pouvait compter sur Matou

Bonjour matou , tu sais que rien de savoir que ça t'enrage de me savoir noble me ravie!!

Puis détaillant la silhouette de matou avec son doigt

Dis moi c'est que as forcis pendant de ton voyage ou....toi aussi tu t'es fait engrossé par ton bellâtre?

Sourire de toute ses dents à la Noble de la part de la blonde

Enfin .. bellâtre pour toi....MOI au moins je suis mariée ...alors question noble attitude tu repassera....

Et voila des mois de séparation et rien n'avait changé , ils faillaient toujours que les deux femmes se cherchent dès qu'elle se voyaient.

Des voix se fit entendre au dehors

Ah je crois que notre futur baptisé arrive ce qui réponds à ta question et je crois qu'il est pas seul

Elle se leva pour accueillir Bertrand
Sylvain_d_aupic
Un trajet long, pour un séjour sur place court... parfait. Sylvain voyait en ce voyage, outre l'occasion de rencontrer d'autres personnes et d'assister à un baptème, moment important pour la communauté Aristotélicienne, l'opportunité de montrer à sa mère et sa soeur son attachement. Lui qui s'était parfois montrer si distant et, il l'avouait volontier, un peu égoiste, voulait enfin se montrer digne de la marque de confiance que sa mère venait de lui donner.

Anne Marie avait vu juste, leur mère les aimait. A lui de démontrer la réciprocité de cet état de fait.

Il descendit à la suite de sa mère, afin de donner la main à sa soeur pour l'aider à descendre. Puis, présenté au futur baptisé, il s'inclina et le salua.

Au coté de sa soeur, trois pas derrière sa mère, il se sentait plus Baron qu'il ne l'avait jamais perçu. Il saurait tenir son rang!

_________________
Davyxiv
Davy prit la route pour ce rendre au bapteme de Bertrand , il le connaissait depuis fort longtemps maintenant , il ce rappela de ces début a la maréchaussée de fecamp en tant que sergent et ce dit que de l'eau avait coulé sous les ponts depuis .
Bertrand
En entrant dans la chapelle Bertrand était un peu fébrile.
Il aperçut immédiatement sa marraine en pleine discussion avec quet... heuuuu l'erreur de Fécamp....... non non la diaconesse pardon!!

A peine entré dans l"édifice que sa supérieur du secrétariat d’état arriva accompagné des ses deux enfants, immédiatement suivie de son ex supérieur de la maréchaussée de Fécamp et néanmoins ami.. Davy tout nouveau maire de la capitale!!!
Anne_marie_d_aupic
Pourquoi fallait-il toujours que les gens mettent derrière le mots enfants la jeunesse enfantine et les rires enfantin? Après l'invitation de la course aux grenouille voilà la réplique du futur baptisé qui me fait grommelé encore dans notre "carrosse". J'haussais les yeux au ciel bien visible de Bacchus, ce qui lui fit apparemment décrocher un rire épais. Bref heureusement il était le seul à m'avoir vu, je n'aurais pas voulu vexer le messire. Je sortais donc ma tête en premier de la voiture, tête que j'avais pour une fois rendu moins stricte en laissant certains cheveux lâchées, tirant pourtant ceux qui tombaient dans mes yeux. J'accueillais la main de Sylvain avec un grand plaisir. Une fois à terre j'avançais timidement derrière ma famille n'osant rien dire, respectant ce que m'avais appris mère.

J'inclinais tout de même ma tête en direction du futur baptisé que je ne connaissais pas.
Davyxiv
Davy arriva enfin a l'eglise , il avait fait route depuis rouen , jamie devait le rejoindre depuis honfleur sur place .


Il entra ensuite dans l'eglise , et alla directement salué bertrand .


Bonjour Bertrand ,comment va tu ? fin prêt pour le baptême ?


en attendant sa réponse il regardait rapidement les invités pour voir si jamie était arrivé et voir qui était dejà présent .
Matouminou


Grand sourire, les réjouissances entre elle et Grib étaient lancées. C'était rassurant de voir que rien n'avait changé. La Lorraine avait du mordant, et faute d'être une quetsche, elle en avait toutefois le petit côté acide.

Citation:
Bonjour matou , tu sais que rien de savoir que ça t'enrage de me savoir noble me ravie!

Dis moi c'est que as forcis pendant de ton voyage ou....toi aussi tu t'es fait engrossé par ton bellâtre?
Enfin .. bellâtre pour toi....MOI au moins je suis mariée ...alors question noble attitude tu repassera....


Elle sourit de plus belle, mais avec un soupçon de crispation, toutefois:

Tssss...tssss...tssss..Grib, tu me prêtes de ces sentiments...la noblesse qui va de pair avec ta grossesse, et vice-versa, te sied à ...hum...comment dire? merveille...enfin...hum...te va bien...


Elle s'attendait à la suite, la question fatidique et, pour une fois, ne sut pas empêcher ses joues de rougir.

- Pour mémoire, car j'ai l'impression que la tienne flanche quelque peu, mon bellâtre s'appelle Stromboli...et ...ahem...oui, je...

Elle eut juste le temps de se dire qu'en effet, Grib avait tapé juste. Matou était dans une situation délicate. Mais, son bonheur étant tel, elle n'avait pas encore vraiment réfléchi à la suite des évènements que ne manqueraient pas de provoquer l'annonce de sa grossesse...dans des moments de grande sérénité, elle se disait que cela ne ferait aucun remous, après tout, personne n'avait les yeux rivés sur elle...et dans les moments de petite forme, elle se voyait rendre son titre...bah...s'il devait en être ainsi...

Elle ne put terminer sa phrase, en effet, on entendait des voix, et, tout comme Gribouille, elle reconnut celle de Bertrand. Elle suivit donc la diaconesse pour l'accueillir.

Quelques personnes étaient arrivées pendant qu'elle et Grib papotaient en vieilles copines échangeant des amabilités.

Elle sourit à Davy, en grande forme...le mariage lui allait bien, elle en fut heureuse. Il le méritait. Elle l'embrassa avec affection.


- Bonjour Davy! tu es radieux!!

Puis, elle regarda les autres personnes. Elle ne les connaissait pas, toutefois, elle fit le tour, se présentant en souriant:

- Bonjour Dame, enchantée, bonjour damoiselle...jeune homme...Je suis Dame Matouminou de Guilberville...Bertrand a eu le courage de me prendre comme marraine..peut-être s'en mordra-t-il les doigts...

Sourires, rires, elle aimait les moments comme cela, conviviaux, où les gens tenaient par leur présence à montrer toute l'amitié qu'ils avaient pour le héros de la cérémonie...d'ailleurs, il était là, devant elle... en le serrant dans ses bras, affectueusement, elle le salua, elle le regarda ensuite, le gratifiant d'un grand sourire:

- Alors sergent? prêt pour le grand voyage...dans cette voie qu'on dit impénétrable...celle d'Aristote...Réfléchis encore un peu...Quand tu auras prononcé tes voeux de baptême, ce sera irrémédiable, et de là-haut tu seras surveillé Bertrand...finies les beuveries en tavernes...les regards coulants dans les décolletés des jeunes femmes...


Elle se mit à rire, et continua:

- Tu devras, par conséquent, avoir un comportement exemplaire..comme moi!!
































Bertrand
bertrand vit arriver davy, qu'il connaissait depuis maintenant quelques temps, il etait seul, sans doute jamie avait elle été retenue par quelques activités portuaires.

Celui ci vint le saluer...


Bonjour Bertrand ,comment va tu ? fin prêt pour le baptême ?


Bonjour Mr le maire... Ma foi je vais fort bien quoique un peu febrile!! Concernant le bapteme je croit qu'il ets trop tard pour reculer dit il en souriant!!

Sa marraine avait enfin finit son appartée avec grib et commencait a saluer les personnes presentes tout en se dirigeant vers le futur baptisé.

Puis s'adressant a Bertrand :


- Alors sergent? prêt pour le grand voyage...dans cette voie qu'on dit impénétrable...celle d'Aristote...Réfléchis encore un peu...Quand tu auras prononcé tes voeux de baptême, ce sera irrémédiable, et de là-haut tu seras surveillé Bertrand...finies les beuveries en tavernes...les regards coulants dans les décolletés des jeunes femmes...

Elle se mit à rire, et continua:

- Tu devras, par conséquent, avoir un comportement exemplaire..comme moi!!

Bertrand regarda son ventre et eclata de rire...

Oui oui marraine exemplaire mon comportement ... a ton image!!!
Anya_de_puycharic


[Rouen, appartement de l'Indomptable]

    Nuit agitée, comme beaucoup trop encore ces derniers temps. Il était temps que ce mandat ce termine et qu'elle parte voyager un peu, notamment escorter sa nièce vers le Sud. Tout, mais être loin de lui. Loin de celui qui lui avait promis monts et merveilles toutes ces années, loin de celui qui avait partagé sa vie et à qui elle avait donné un fils, loin de celui qui l'avait maintes fois trompée, loin de celui qui voulait qu'elle revienne, mais qui continuait à aller voir ailleurs. Loin de lui qui se trouvait au Conseil. Il était réellement temps qu'elle puisse reprendre sérieusement sa vie en main, continuer de panser ses blessures.
    Anya se leva. Tôt. Quelque chose l'avait réveillée, sans qu'elle puisse pour autant dire quoi. Puis, comme une révélation ! Le maria... non, le baptême de Bertrand !

    Elle sauta du lit, large grimace, douleur qui se réveille, puis va frapper à la porte de son Cerbère.

    - Vicomte ??!!!! Deeeeebout !!!! Bertrand va vous occire si vous êtes en retard !!

    Puis entendant des pas derrière elle.

    - Oh, Provençal ! vous tombez bien. Veillez à préparer le coche qui nous amènera à l'Eglise perdue de Bertrand.

    - L'église du Père Dhu ? elle se trouve où ?

    - Heum. Provençal... une église perdue ! pas celle du Père... rho !! allez, vite vite !!


    Anya entendit son cher "Gaulois" ronchonner :" perdue, perdue, si elle est perdue, on risque pas d'la trouver".

    - C'est vers le Nord !!

    - Faut arrêter ces conneries de nord et de sud ! Une fois pour toutes, le nord, suivant comment on est tourné, ça change tout ! *


    Soupir de la blonde qui fila se préparer à l'aide de Clothilde, alors qu'Ernestine avait préparé les petits déjeuners pour toute la maisonnée.
    Une fois prête, elle sortit dans la cour, attendant celui qui veillait à sa protection. Il en mettait un temps fou !!! sans doute encore à prendre son temps pour choisir LE collier qui rendrait jaloux Bertrand et Crockett©.


* Perceval - Kaamelott - Livre I - Ambidextrie
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