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[RP ouvert... of course] Il va y avoir du sport...

Serguei_et_natasha
[Le Tsar et la Princesse]

Longues chevauchées, débridées – le double sens est exact. Les deux Russes, duo inséparable, ont monté aux côtés de deux des leurs, à brides raccourcies, non par empressement, mais surtout par volonté de quitter tous les déserts urbains qu’ils ont croisés… Quant au sens second de « débridées »… s’il faut vous dessiner une esquisse, je ne peux plus rien pour vous. Il en ont foulé des sentiers, tous fers équins dehors, en ont parcourues des lieues, sous les sabots des montures, en ont rencontrés, des boulets, au détour des tavernes désertées de certains bourgs cimetières, en ont laissé derrière eux, des proches et amis qu’ils retrouveraient bientôt, après la convalescence de ceux-là, sous bonne garde aînée et fraternelle, mais pour l’heure…

Mais pour l’heure, ils sont là, les Novgorod.

Le petit jour aura connu leur arrivée, et le soleil n’aura pointé son nez que pour ployer devant la noblesse affichée de ces deux parias là. Pas de capuches, pas de capes pour les dissimulés, juste assez de vêtements pour ne pas avoir froid sur les montures, et encore, de façon sélective ; ces deux là, vu d’où ils viennent, sont aguerris au gel.

Le Lion, surnommé ainsi pour sa crinière blond clair, et sa carrure musculeuse, mena Lada aux écuries, pour la panser et la nourrir ; petit regard à sa sœur, à un ballot de paille non loin, et le sourire de s’étirer doucement :


- Ca t’dirait qu’on s’repose un coup, avant toutes choses ?

La définition de « repos » est agréable de ce qu’elle varie selon les gens, et la présence d’une large poutre pour permettre de sceller l’entrée par l’intérieur n’aura sans doute pas échappé à la Divinissime Platine…

Combien de rumeurs, rancœurs, frayeurs et autres mots en « eurs » auront-ils déclenché sur leur passage ? Sans nul doute plus qu’ils n’en auront jamais conscience, car de scrupule, ceux-là n’en ont pas… Combien d’animosité, inimitié, agressivité, grossièreté et autres mots en « é » auront-ils nourri sur leur passage ? Sans nul doute plus qu’ils n’en pourront jamais rêver, car de cauchemars, ceux-là n’en sont que l’enveloppe charnelle… Poison au minois angélique, au sourire séraphique et Lion à la crinière aurifère, au physique sublime… La jeunesse de la fratrie Novgorod, les « jumeaux » comme on les désigne parfois, la perfection pour le duo d’arrogants infernaux !

Ainsi donc, aux premières lueurs du jour, leurs montures foulèrent les terres genevoises ; quatuor fabuleux extrait d’une meute indécente dont quelques membres pansaient encore leurs plaies, quelque part, dans un trou paumé d’un comté asphyxié, sous le joug de l’ainé, comme dit précédemment, sous l’œil du Tigre (ouais, c’est pitoyable mais j’assume). Les primes rayons de l’astre diurne diffusaient plus d’or dans les tignasses slaves, la Platine et son Tsar de frère en tête de cortège, altiers. Bientôt, la ville s’éveilla et chacun de vaquer à ses occupations après quelques informations quant au séjour dans la cité.

Les deux protagonistes dont il est question ici, à savoir Natasha et Sergueï, l’autre duo écrira son histoire à sa guise, on ne va pas non plus leur mâcher le travail namého… Nos scandaleux bouchonnaient donc leurs canassons, regards entendus pour non-dits ; les lèvres carmines de la Divine s’étirèrent à la proposition Sergueienne et d’y répondre, taquine :


Mhm... t’cours tellement la gueuse qu’tu t’y perds, Amour. J’suis pas une fille de ferme hein.

Et la féline d’abandonner son hongre, Iarilo ; un coup d’œil par-dessus son épaule comme elle quittait l’écurie et d’ajouter :

On s’reposera oui, mais à l’auberge !

Les effrontés sont dans la place, Asmodée vous salue…



Ecrit à 4 mains
Serguei_et_natasha
[Genève, ses montagnes, ses tavernes]

Que dire ? Un séjour amusant si ce n’est intéressant… quelques silhouettes connues et reconnues qu’elle a aperçue ; quelques insignifiants ou manants qu’elle aura croisés ; quelques bulots et autres mollusques qu’elle aura vus… Genève, phare de l’aristomachin ; Genève, cité singulière s’il en est, de par ses lois, de par ses coutumes ; Genève, un pur bonheur, simplement !

Ainsi le séjour se passait, à l’instar du sablier de Chronos… les grains se dissipaient comme le duo slave d’ailleurs ; tantôt ensemble, tantôt séparés. Ils vaquaient, elle à arpenter le marché en quête de quelconque affaire, chiffons à l’honneur ; ils vaquaient, lui à visiter les granges, les bordels, à trousser quelconque putain, gueuses à l’honneur… ça, c’est la version de la Divine Platine, évidemment.

Mais, le soir venu, ils se retrouvaient… union fusionnelle plus qu’on ne le voudrait, plus qu’on ne pourrait l’imaginer ; ils se retrouvaient, dans un bouge, un estaminet, un lupanar peut-être… jamais l’un sans l’autre, unis, envers et contre tous !

De son côté, le Lion a fait quelques petites trouvailles de rencontres ; un homme sympathique qui n’a pas pris les taquineries du Félin pour argent comptant et a eu assez d’humour pour rendre celles-ci, et une petite partenaire de joutes verbales, au rôle assez confus dans l’une des tavernes – dame latrines, toujours fidèle au poste, assez acerbe dans ses réponses, mais, faut-il le préciser, parfaitement divertissante.

Mais la « femme à coiffure d’abat-jour », à défaut de tête de chou, n’était pas la principale pensée nourrie par le Slave, qui égrainait le temps trop long, trop lent, en pansant Lada, en agaçant Tulipe – de la pointe de sa langue -, à taquiner la bergère et en dragouillant Marie, quand il – et c’était là la majeure partie de ses activités – ne mirait pas sa sœur, sa jumelle, son autre, sitôt le soleil couché. Oiseaux de nuits, ça ils l’avaient toujours été… c’est « oiseaux de proie » qu’ils avaient hâte de redevenir, après un arrêt forcé par les armes, et la chute de certains des leurs… Et ce séjour était fait pour.




Post à 4 mains
Marieladamnee
Aux premieres lueurs de l'aube ils étaient arrivés en ville. Les 4 fantastiques étaient présents et on pouvait lire dans leurs yeux " Ici c'est chez nous ". D'accord c'est vrai partout où ils passent parce que c'est partout chez eux. Mais ici il y avait encore plus de détermination, tournoi oblige. Il fallait montrer les crocs pour impressionner les futurs adversaires et ça les louves et le lion savaient faire.

Après des semaines d'ennui dans un trou perdu il était temps de passer un peu à l'action, l'Infernale commencait à avoir des fourmis dans les jambes et son Ironie bien que pleine dépérissait de ne pouvoir batifoler dans les forêts. Les préparatifs de ce voyage avaient rendu à la pouliche tout son allant et sa gaieté.

Voyage qui s'était bien passé et escale sympathique chez eux à Saint Claude ou ils avaient revus les amis. Brin de nostalgie pour Marie en pensant à Ali qui était restée dans le trou paumé mais elle était en bonne compagnie avec le tigre. Ils se retrouveraient tous bientôt quand les blessés seront en mesure de bouger.

En attendant le temps s'écoule entre farniente au lac ou pres d'un feu en taverne. Bieres et siestes occupent avec bonheur le repos de la guerrière.

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Marieladamnee
[ Voyage en terre inconnue ]



Premier tournoi pour la brune infernale, et elle se pose mille questions. Bon le principe est compris, le plus fort gagne, c'est toujours ainsi. Et pour elle la plus forte c'est Natasha, d'ailleurs c'est limite de la triche vu que la Platine est hors catégorie, tellement elle est forte, belle, intelligente, une déesse... Mais finir après elle c'est comme une victoire pour tous les communs des mortels que sont les autres.

Les autres.. Qu'est ce qu'elle a pu en croiser des autres depuis qu'ils sont arrivés à Genève. Et jusque là aucun ne l'a impressionné. Depuis son combat à Rodez elle se sent un peu au dessus du lot la brune. La chute sera peut être rude mais jusqu'ici tout va bien. Faut dire que des combats elle en a connu mais elle s'en est toujours tiré indemne, même pas un ongle cassé.

Le jour du départ est enfin là. Ironie a été bichonnée, brossée, elle est prete pour la route. La fidèle épée est aiguisée, le bouclier brille tout comme ses bottes. Marie est au top pour affronter son destin une nouvelle fois. Elle rejoint ses frères et soeurs et chantonne:


Allons enfants de la famille, le jour de gloire est arrivé, la victoire est au bout de la route et l'ennemi sera en déroute, et l'ennemi sera toujours en déroute. Entendez vous dans la campagne rugir ces féroces combattants, ils viennent jusque dans nos bras, nous piquer écus et victuailles.
Aux armes ma fratrie, formons nos bataillons, galopons, galopons, que leurs bourses vidées parsèment notre route.



Merci à la marseillaise qui veut bien être revisitée par moi

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Serguei_et_natasha
[Nyon… à l’aube]

Qui du canasson ou de sa cavalière trépignait le plus ? Il aurait été difficile de le dire… L’hongre piaffait d’impatience, frappant les pavés des sabots avec agacement comme les compagnons attendaient sa maitresse ; quand la Divine apparut enfin, elle siffla le départ et le quatuor de chevaucher au rythme de la chansonnette.
Nulle appréhension dans la caboche dorée, la dérangée n’avait-elle pas rejoint, en d’autres temps, bourrins et autres coupe-jarrets, juste pour venger un gamin ; nulle peur, non plus, juste l’envie d’en découdre avec quelques crapules et surtout, de s’amuser sans aspirer à faire couler le sang ou prendre la vie d’autrui… Une belle occasion de garder la forme, en plus des formes concernant les femmes du groupes ; de partager avec son Autre, une intimité qui leur faisait souvent défaut ; un entrainement à grande échelle et bien plus exaltant qu’une lice.

Sauf qu’en arrivant aux alentours DU lieu, elle mesura l’ampleur de sa connerie ; y’avait pas trois pelés et deux tondus… Elle scruta l’horizon un moment qui lui paru interminable avant de poser l’ambre sur son Tsar ; le nez se fronça sensiblement comme elle leva le bras à l’attention des sœurs :


Y’a un mariage, une cérémonie ? Non parce que… p’tain, t’as vu l’monde ?!

Que disait la ritournelle de l’Infernale déjà ?... ah ouais, la victoire au bout de la route… Ben, va d’jà falloir l’atteindre l’bout de la route ! Pour l’heure, monter le bivouac sans marcher sur les adversaires friserait le prodige… Et là, deuxième effet pisse coule ! Bien beau de batifoler jusqu’à pas d’heure mais, fatalement, ça les avait un brin retardés ; la Platine mena le groupe à l’écart, protégés par quelques bosquets, en prenant bien soin de ne plus croiser l’azur fraternel…


Mhm… on s’ra bien ici, hein ?

Tempête en approche ? Meuh nan, vont pas s’taper dessus alors qu’ils faisaient équipe… quoique, impossible n’est pas Novgorod !

C’est un Sergueï d’apparence tranquille mais fou d’impatience qui suivait sa sœur, chevauchant Lada, sa jument immaculée ; pour une fois qu’il pouvait monter une femelle sans provoquer le courroux sororal, c’est le sourire aux lèvres qu’il prenait plaisir à la balade, d’autant qu’elle n’était pas vaine, mais lançait, au contraire, les hostilités.

Bien sûr, l’appel avait été entendu, et la chevauchée avait été entamée à quatre, alors qu’ils n’agiraient qu’en duo ; aurait-il pu en être un autre qu’avec elle, d’ailleurs ? Jamais. Jamais il n’aurait fait équipe avec une autre que sa sœur, sa vie, son Autre… Dos à dos, flanc à flanc… Corps à corps, il avait tellement confiance qu’il pourrait laisser sa vie entre ses mains et y aller les yeux bandés – mais on va éviter quand même, hein ?

Ah, la joute n’attendait pas, mais tout cela serait bon enfant… Après tout, l’endroit ne serait qu’un coupe-gorge saturé de vilains, hein, pourquoi craindre quoi que cela soit ? Les Novgorod étaient terribles de père en fil(le)s, n’est-ce pas ? Natasha était auprès de lui, tout irait bien. Il n’avait pris que deux lames, qu’il avait placées à sa ceinture, par-dessus sa chemise – une fois n’est pas coutume, il en portait donc une, qu’il virerait aussitôt qu’ils seraient au bivouac - ; le chemin en question atteint, il éclata de rire à la remarque de sa presque jumelle, observant tout ce petit monde s’installer.


- J’sais pas si y a un mariage, Princesse, mais les types sont d’jà là pour l’banquet. Si la mariée tourne, j’en suis !

Toujours furieux après sa sœur d’avoir osé regarder – et pas que - un autre homme, et passer du temps en sa compagnie, de façon plus ou moins vêtue, le Slave n’en demeurait pas moins charmant, attendant LE bon moment pour être pénible, et pour montrer à sa sœur l’étendue de sa rancœur. L’arrivée à l’emplacement choisi par la Divine coïncida étrangement – le hasard fait bien les choses -, avec ce moment, et le Lion de poser pied à terre, pour mener, bride en main, Lada à l’écart et la panser. Ci-fait, il frôla sa sœur qui demandait de façon purement rhétorique si l’endroit conviendrait, et se laissa tomber sur le sol, bras repliés sous sa tête, collant un brin d’herbe longue entre ses dents, dans la position évidente de quelqu’un qui a prévu de n’absolument rien foutre ; hey, chez les Lions, c’est les lionnes qui s’envoient pour le boulot, pour rappel.

- J’vous laisse faire vos trucs d’femelles, j’dois m’reposer des cinq d’hier.

Chemise roulée en boule et envoyée aux pieds de sa sœur, il crut bon d’ajouter, gros malin suicidaire :

- Et s’tu pouvais laver ça… Vu qu’c’est inné chez vous aut’… fais toi plaisir.

Marieladamnee
[Journée d'attente]

Ils s'étaient tous rendus chevauchant, marguerite à la lèvre sur le lieu de villégiature. Il y avait dans l'air comme une odeur bizarre, un mélange de détente et de nervosité ainsi qu'une puanteur certaine. Certains voulaient peut être vaincre grace à leurs écoeurantes effluves corporelles.

Si c'est un mariage vu l'odeur jveux pas gouter aux mariés


Et la brune de pincer le nez dans une démonstration toute à propos.


Jvais chercher un endroit ou Tutu et moi on pourra attendre de sombres crétins pour leur tomber sur le dos.

Marie avait parcouru l'immense terrain mais elle ne trouva pas grand chose à part un vieil arbre mort planté au milieu de nulle part. Lieu étrange pour un arbre mais faut pas chercher à comprendre. La brune essaya de se glisser à l'interieur. Victoire elle y entrait, elle reviendrait là le soir et Tutu aguicherait le challans avec ses obus de compétition. Elle en eu les jambes flageollantes rien que d'y penser. Ah les seins de la fleurette, ils feraient se damner tous les saints et les seins de l'Infernale en étaient au garde à vous. Furtif frisson et la brune de rejoindre les autres en attendant que la nuit tombe et que les affaires commencent vraiment.

[L'embuscade]

Le soleil s'était couché lentement, les 2 groupes s'étaient séparés partant dans des directions opposées. Main dans la main, limite en gambadant la brune et la blonde filent sur le champ de bataille, esquivant les corps à corps déjà entamés. Elles se postent près de l'arbre mort où l'Infernale reexplique son plan à la blonde.

Alors ma belle, tu aguiches tous ceux qui passent, moi jme planque dans l'arbre et jleur saute sur le dos. Et le tour est joué.

La Tulipe opina du chef et Marie se cacha comme prévu. Elle était concentrée, très concentrée, trop concentrée sur les seins de la blonde. Elle sauta bien sur le dos du premier gars qui passa mais elle avait oublié de regarder s'il n'était pas accompagné. Elle se retrouva à terre en moins de deux, sur le dos, un pied sur la poitrine qui l'empêchait de respirer. Elle essaya de se débattre mais le brun devait faire plus de 6 pieds et plus de 150 livres et elle ne faisait clairement pas le poids.

Euh messire vous êtes lourd. Et on s'est déjà faits dérobés nos bourses ainsi que nos vertus depuis longtemps. Vous devriez passer votre chemin et nous bein on évitera de vous recroiser.
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