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[RP] "Quoi qu'on en dise, un mariage raté..."

Leello
Un parchemin, une invitation, un mariage, celui d'un ami de longue date mais aussi celui d'un de ses frères aujourd'hui.
Leello était heureuse de retrouver ce couple qu'elle n'avait que trop peu vu ces derniers temps.

Elle était encore en train de se préparer quand elle entendit les sabots des chevaux sur le pavé. Si elle avait tendu l'oreille elle aurait surement entendu les grognements de son écuyer mais elle s'abstiendrait vu qu'elle allait devoir chevaucher botte à botte et qu'elle aurait du mal à ne pas les entendre durant le voyage.
Cela dit c'était signe de bonne santé, et elle tenait à son vieux ronchon qui passait le plus clair de son temps à égayer ses journées.

Leello se pressa alors pour ne pas le faire attendre, amusée par l'endroit où ils allaient se rendre ne sachant pas ce que leur réservaient les futurs épousés.
Un fois dans la cour du domaine elle sourit à son frère.


Mon frère ! vous m'attendez !! Me voilà fin prête nous pouvons y aller !

Au final en peu de temps ils avaient rejoint les lieux et voilà qu'ils mirent pied à terre en scrutant la ruine. Leello sourit, elle aimait cette idée puis se tournant vers Oso.


Je vous suis mon frère ! aventurons nous et retrouvons nos futurs mariés.

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Alicia
[Gné? Dodo...Se lever? Mariage? Chouette!]


Main qui glisse dans mon dos, je ronronne comme un petit chat en me blotissant contre Giù, c'est bon les câlins, je suis bien , je m'étire un peu et j'ouvre un oeil aux dires de maman.

Je regarde ma soeur et lui fais un bisou sur le bout du nez pis je saute hors du lit, maman part déjà , je me tourne vers mon autre moi


Wouah! Un mariage! Et en plus elle est belle et très gentille la donà... Par contre, tu crois qu'on est obligée de mettre les robes?

Je regarde les belles robes noires que maman a prévu, pas pratique les robes pour jouer, mais je souris

Remarque si on se salit ça se verra pas, sont noirtes!

Je rigole, je vais me passer un peu d'eau fraiche sur le visage, je fais une toilette rapide et j'enfile ma robe en même temps que Giù.
Quand on entend


LES PUCES!!! Si vous ne venez pas vite, votre petit frère aura fini tout le lait!

Je plisse le nez, je fronce les sourcils, je vérifie qu'on est toutes les deux habillées et je dis à ma frangine

HA! BAH! NON! Pas d'accord, allez vite on y va.

Ma soeur me prend par la main et on descend les escaliers en courant, arrivées dans la cuisine on file faire un gros bisous à notre papounet d'amour qu'on aime gros comme ça et on s'assoit sur le banc côte à côte.

Je pose mon coude sur la table et je pointe mon doigt en direction du Grand Frère qui nous fait tourner bourrique


Toi, si tu as bu tout le lait je te fais manger ton béret!

Je sais pas ce que c'est un béret et si ça se trouve Josh il en a même pas, mais j'ai entendu cette phrase sur les quais et ça m'a fait rigolé, je trouve que c'est le bon moment pour la placer.

Je pousse mon bol et Ondine vient nous servir un bon bol de lait et nous donne des petites tartines avec de la confiture dessus, je commence à manger.

Je me régale, j'ai de la confiture partout autour des lèvres et quand maman arrive toute belle dans sa robe noire, je tends mes lèvres vers elle.

Maman rit, essuie ma bouche rapidement avec un linge propre


Tu pègues ma puce!

Je pègue peut-être mais j'ai eu mon bisou et je me régale et toc! Comme dirait maman, je la regarde embrasser un à un mon frère, ma soeur et papa. Puis elle s'assoit et on déjeune tous les cinq en racontant pleins de choses marrantes...

Moi j'aime les journées en famille! Na!

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T'es qui toi ?
Optat
[Jour J, dans l'église où se déroulera l'office]

Il est arrivé tout juste au moment où chaque invité se presse pour suivre la cérémonie. Le bâtiment sent un peu le brulé et la chaux neuve mélangés. Bizarre, il aurait cru que l'encens l'emporterait comme le vent qui souffle par les battant légèrement disjoints de la grande porte

Il reconnait tout de suite le futur marié. Il lui adresse un petit salut d'encouragement. Ce n'est pas rien un mariage. C'est tout un tas de bricoles à préparer, des ordres à donner, des bains à prendre. D'ailleurs il a faillit passer à côté du Grand Maréchal ElOso sans le reconnaitre avec sa barbe rasée et son habit propre. Heureusement Leello, le Grand Maître des Hospitaliers lui tenait le bras pour lui éviter de s'étaler dans la première flaque boueuse venue. Il leur adresse également un salut fraternel.

A propos de Grand Maître, il reconnait également celui de l'Ordre Équestre du Saint-Sépulcre, le Chevalier Dandolo accompagné de son épouse Stephandra, ils ont récemment célébré ensemble le baptême de Ricco dans leur citadelle. Il croit apercevoir avec eux leur "grande" petite fille qui lui avait caressé la barbe avec curiosité. Il fait un clin d’œil à cette dernière, pose son doigt sur la bouche en signe de ralliement de la secte "de ceux qui savent ce que sont les secrets qui n'en sont pas mais qui le sont quand-même."

Il voit également d'autres invités qu'il ne connait pas encore et probablement celle qui doit être la mariée, enfin le suppose car c'est la seule à présenter des signes de stress alors que les autres dames présentes discutent tranquillement en attendant le début des choses sérieuses. Un instant il avance et s'arrête net, se frotte les yeux et barre son visage d'un large sourire.


Hey Poney ! Toi ici !
Il vient de reconnaitre un vieux complice périgourdin. Il semble que ce sera l'officiant. Il manque de s'étrangler, le père Lotx est vraiment devenu évêque. On l'avait prévenu mais ça lui fait un choc quand-même.

Ça me fait plaisir de te revoir. Je n'ai pas aperçu Sifflard dans ton sillage, peut-être fait-il encore ses incessants va-et-viens dans tous les couloirs qu'il peut trouver. Ou alors il doit tirlipotter le Trucmachinchose dans un coin avant l'office. A ce propos, je ne me souviens si toi t'es Toi ou Moi, ou si c'est moi qui ne suis pas Lui, comme chacun le sait, qui me mélange encore partout !

Puis sur le ton de la confidence,

Dis, un marchand ambulant m'a vendu des paroles de chanson qu'il m'assure être un cadeau de circonstance pour un mariage. Tu veux bien me donner ton avis ? J'ai comme un doute.


[Cheffe Aldraien
Retrait des liens, ceux ci ne sont pas acceptés sur les Arpenteurs, comme indiqué dans les Règles d'Or. Si vous voulez les intégrer à votre RP, utilisez les balises URL. Bon jeu.]

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Asti_dict_le_barbu


[retour de Bourgogne]


Grand chambardement ! Tout avait été pourtant préparé, minuté, prévu, anticipé. Il avait donné les directives et souvent avait fait grimacer Johane qui le trouvait trop « prévoyant » et « planificateur ». Oui ça il l’était et pourtant… ces satanés irlandais avaient tout fichu par terre et leur faisant perdre dix jours au bas mot, le temps de remonter de Troyes à Honfleur, de voir s’il pouvait être utile, de se rendre compte que non tout compte fait, de repartir vers la Bourgogne chercher son maladroit de fils et sa toute nouvelle bru rousse. Des rencontres pas toujours espérées et parfois si, comme ce maire qui les a averti de la présence de voleurs sur la route qu’ils devaient prendre et qui du coup, lui donna l’excuse de dérouter et de trouver par le plus heureux des hasards, quelques tonneaux d’un bon cru du coin. Visites de caves locales … forcément, on ne vient pas dans un endroit bardé de vignes sur tous les coteaux sans visiter les sous sols des maisons, et l’un dans l’autre, le fils, la bru, leurs amis, Johane, Coxynel, le ptit dernier et le vicomte étaient enfin rentrés au pas de course, manquant de peu d’etre en retard pour les noces de sa patronne, Normandie. Et cela, pour rien au monde il ne l’aurait voulu.

Fraîchement lavé, coiffé, habillé, il trouvait le reflet de son image à son avantage et il se le montra. Sourire qui ne resta pas affiché bien longtemps, Johane n’était pas encore prête.

Chérie ! Dépêche toi un peu, faut qu’on parte si on ne veut pas être en retard.

Il ne lui avait pas dit, mais il s’inquiétait. L’invitation disait Saint-Pierre-des-Peuples de Roue. Peut etre était-ce le coup qu’il avait pris sur la tete, mais il aurait juré que le lieu saint avait succombé sous les flammes. Dans le doute, il ajouta pour sa belle

Prend un châle chaud, la pluie menace.


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Lotx
[Être un poney libéré, tu sais, spa si facile!]

Il n'avait pas tout à fait compris ce qu'il s'était passé au juste. Comme à son habitude, il était descendu dans la cave du couvent entre deux et trois heures du matin pour y faucher quelques bouteilles. Seulement, cette fois-ci, à peine était-il entré qu'une douleur vive l'avait lancé au niveau de l'arrière du crâne. Sa vision s'était alors troublée par une multitude d'étoiles et il s'était retrouvé dans un pays mystérieux, entouré de charmantes -et très peu vêtues- nymphes dont l’occupation principale était de lui masser le dos et les pieds et de l'éventer.
Et puis, une odeur fort reconnaissable avait étreint ses narines. Du calva, deux ans et trois mois d'âge. En une fraction de secondes, son subconscient envoya paître les demoiselles et, ouvrant les yeux, il agrippa la fiole d'un geste vif avant de la vider cul-sec.


Mais quesque j'fais là moua?

Clignant deux fois des yeux, il se tourna vers l'homme à qui il venait de piquer la fiole d'un air profondément interrogatif. Mais l'explication devrait attendre comme une vielle connaissance se jeta sur lui.

Hiiiiiiiiiiii! Messire Optat! Comment que z'allez? Nan, Sifflard est pas là, il a été envoyé comme missionnaire pour lubrifier les échanges avec d'autres royaumes. Y dit qu'c'est une position qu'il affectionne beaucoup. Mais j'lui dirait qu'vous domandez à ses nouvelles, ça lui fera plaisir, y vous a toujours beaucoup, beaucoup aimé hein?
Moi c'est TOI et d'ailleurs vous savez quesque TOI fait ici? C'est encore un coup de MOI hein? Elle a voulu que je viende pour que j'lui cède mes parts dans le trucmachinchosisme.


Grognement.

Quant à vos cantiques, j'suis tout ouïe.
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Deedee
[Orival, quelque heure avant de passer la corde au cou du fillot ! En compagnie d’une future mariée… excitée !]

C’était le jour, LE jour J, LE fameux jours où sa cousine allait enfin se marier. Elle l’avait promis, elle était prête à attacher, ficelé son filleul si celui-ci ne s’était pas décidé à prendre la cousine en épousailles, finalement, ses menaces de massacre avaient fini par le convaincre, une bonne chose ! Enfin ! Au moins une dans la famille qui parviendrait à se marier !
Par contre… vu l’état de la cousine, Adeline commençait à se demander si celle-ci allait arriver entière jusqu'à l’église.


-Mais tu l’avais dans les mains ta broche ! Kate, arrête de bouger comme ça tu vas finir par être toute froissé avant d’arrivé à l’autel et comble du pire faire fuir ton futur époux !
Je te préviens, je ne courrais pas après lui, ou alors juste pour le massacrer comme promis !


Léger sourire carnassier, quand elle avait quelque chose dans la tête la de Courcy elle ne l’avait pas ailleurs. Et même si elle adorait son filleul, elle ne supporterait pas l’idée de voir ce mariage annulé, raté, gâché ou que sais-je encore ! Non, non, non !
Adeline regarda alors sa cousine près de la cheminée tentatde mettre cette fameuse broche, bijoux de famille, leur famille, et ne put s’empêcher de porter la main à son médaillon. La famille… Leur famille… Longtemps disperser, longtemps égaré, ils avaient fini par se retrouver, ou presque, mais les questions demeuraient encore et toujours.
Secouant doucement la tête, la jeune femme rejoignit sa cousine, l’heure n’était pas au questionnement, pas plus qu’au raisonnement. Dans quelque heure ce jour serait le plus beau jour de sa cousine, et il était hors de question de se laisser aller, elle l’avait promis.


-Osfrid ?

Cela aurait pu être l’occasion de tous se retrouver mais… après la lettre envoyée à ce dernier, cela ne l’étonnait pas. Là aussi, le chemin serait long, même très long pour retrouver ce cousin…

-Ce n’est pas grave Kate… Un jour… un jour il reviendra.

Petit sourire au coin des lèvres pour faire face, vaillamment. Ne pas se laisser abattre et surtout pas un jour comme celui là !


-Les alliances ?! Euh…. Les alliances…

Mince les alliances ! Elle en avait fait quoi déjà ? C’était pas la petite bourse restée à la maison ? Ou l’autre qu’elle avait confié à Briana ? Zut ! Mais elle en avait fait quoi de ce truc là ?!

-Hum oui oui, ne t’inquiète pas, tout est déjà prévu ! Tout ! tout ! tout ! Pas de soucis !

Et un grand sourire innocent, pieux mensonge histoire de gagner du temps ! Machinalement, Adeline se retourna pour se mirer dans le miroir pour ajuster sa tenue revêtu spécialement pour l’occasion. Une robe assorti à celle de sa cousine tant qu’à faire, que la famille de Courcy soit en harmonie ! Ses cheveux relevés coiffés avec soin, bref, toute la panoplie pour un jour de mariage…

- Je vais aller te chercher ta tisane, il va falloir que je te fasse une petite mixture pour te calmer je crois.. Je vais en profiter pour ramener Briana, elle doit être prête elle aussi, une vrai princesse ! Les filles de Courcy vont éblouir l'assemblée !

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Akane
[ Chez elle… ]

Matin de novembre.
Une brunette se leva comme d’ordinaire aux aurores laissant son époux lui se reposer. Elle n’osa pas le réveiller et elle avait oublié de lui parler d’un mariage à lequel elle devait se rendre et à lequel elle aurait aimé qu’il soit présent… Le mariage de son traitre d’ami et frère d’armes : Meleagre.

Rapidement, elle prépara un pli dans leur bureau sis en leur demeure honfleuraise afin de lui expliquer et de lui laisser la possibilité de la rejoindre avec l’adresse du lieu, avala rapidement un petit pain et un fruit, et se hâta pour se préparer.

La tenue serait sommaire : Elle n’oubliait pas que le Royaume se trouvait en deuil, et n’ayant pas eu le temps de se rendre en son atelier favori, elle se fit coudre une robe par une couturière de la ville, une robe blanche sans fioritures, simple mais seyante à souhait lacée dans le dos d’un ruban de même couleur. Une capeline du même ton accompagnerait le tout. Comme coiffure, elle opta pour un chignon laissant libre quelques mèches folles qui changerait de sa sempiternelle tresse ou de sa manie qu’elle avait de nouer ses cheveux avec un ruban ou un lien de cuir. Pas de bijoux, sobriété de mise …

Elle aurait bien voulu laisser sa longue chevelure libre, mais trouva l’attitude un peu déplacée en cette période donc elle décida de s’abstenir de le faire.

Prête, elle se fit mener à bon port, après avoir rassurée Apajarita qui se demandait où elle allait ainsi…


[ Arrivée donc à bon port… ]

La brune arrivait au lieu indiqué.
A première vue, elle fut surprise en découvrant l’endroit mais il était à l’image du marié : Original mais amenant à quelques réflexions et introspections
Elle connaissait très peu la mariée, et les relations qu’elle pouvait avoir avec elle restaient des plus cordiales.

Déjà du monde se trouvait présent et des têtes connues qu’elle ne manqua pas de saluer.
Rapidement, elle se dirigea vers un attroupement constitué d’hospitaliers


- Marraine, mes frères, le boujou, le voyage fut-il bon ? Je trouve le lieu surprenant et intéressant, je sens que ce mariage sera unique en son genre !

En parlant de ce mariage, elle ne pouvait s’empêcher de penser au sien, et de ce fait de penser à son époux qui lui manquait en ce moment. Pourvu qu’il la rejoigne… Elle ne voulait l’obliger en rien, mais se passer de lui lui était difficile… Elle souriait pour masquer ce ressenti, heureuse pour l’ami qui allait ce jour unir sa vie à celle de sa dulcinée, et espérait que leur union serait aussi heureuse que la sienne.
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Semper Paratus Servio
Eloso
Le Grand-Maitre mit pied à terre, et la foule apparut. De mémoire d'homme, seul le Très-Haut, jusque là, en semblait capable.

Encore choqué par l'évènement, il titube, et là où un barbu aussi ronchon que sudiste n'aurait vu que son souci de ne point souiller le cuir graissé de ses bottes, un homme de bien aurait saisi qu'il venait d'être touché par la grâce. Au bras gauche, même. Il se penche vers ladite grâce, l'oeil droit très sérieux, le gauche glissant irrémédiablement vers les pulmonaires collines que souligne la robe, avec la ferme intention de lui glisser quelque chose d'important, au moment où Optat les salue. Une accolade fraternelle sera la seule effusion publique, les deux hommes n'oubliant qu'en présence de force flacons qu'ils sont des mâles, des vrais, même pas mal même pas peur.

Laissant le sénéchal s'éloigner pour apostropher un homme au nom de monture mais a la tenue de prêtre, ils atteignent enfin le parvis, non sans y prodiguer force saluts. Il semble que tel le Drap d'Or, le lieu rassemble force lames de renoms.

Mais voilà Akane qui s'approche. Certains roulent les "r", mais leur soeur, elle, les mange. Chacun son occupation, ma foi !

Le bonjourrr ma soeur, comment allez-vous ? Le voyage, merci, fut fort agréable, puisqu'effectué en charmante compagnie.
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Leello
Les côtes de son presque vieil ami dont le regard glisse peu discrètement sur la bordure de son décolleté furent épargnée par la venue d'un sénéchal qui vient la saluer, tout aussi reluisant que le grand maréchal à son bras mais tout aussi ronchon, les deux hommes avaient réellement pas mal de points communs.
Leello le salua chaleureusement en se disant que les mariages avaient du bon !
Elle sortit au même moment de sa besace le petit coussin préféré de son fameux Sénéchal afin qu'il ait le confort souhaité durant les épousailles ainsi il n'aurait aucune excuse pour se dandiner sur les banc d'église.

Leello lui adresse un petit sourire taquin.


Mon frère ceci est pour vous ! je suis ravie de vous retrouver pour un évènement aussi heureux que le mariage d'un de nos frères.


Puis c'est avec grand plaisir qu'elle salua sa filleule adressant à Eloso un léger sourire.


Akane ! bien le bonjour, vous êtes magnifique ma soeur. En effet les lieux rendent l'instant assez particulier et je crois qu'il va offrir à nos mariés de très bon souvenirs.

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Briana.
    [ Orival - A quelques heures de rejoindre les ruines de l'Église Saint-Pierre-des-Peuples de Rouen - Avant d'entamer la dernière ligne droite]


Et elles y étaient, elle, en compagnie de sa mère, toutes deux confinées entre les murs du domaine d'Orival. Domaine où tous les petites gens s'affairaient, bruits de pas et voix s'élevant en tous sens, une tension certaine se faisant ressentir au fur et à mesure que les premières heures de la journée s'écoulaient.

Depuis la veille, elles étaient arrivées, sa mère se devant d'être présente aux côtés de la future Dame d'Aeden, et Briana, parce qu'elle avait eu à se retrouver plus tôt que prévu en Normandie, avait, le temps de quelques heures seulement, quitté l'aile protectrice de sa Marraine, pour répondre favorablement à l'invitation de dernière minute qui lui était parvenue.

Ce matin, les heures s'égrainaient à vive allure et Briana commençait déjà à en avoir assez qu'on cherche à la bousculer comme on le faisait depuis qu'elle s'était réveillée. Les yeux à peine ouverts, qu'il lui avait fallu s'empresser d'engloutir un petit déjeuné. Ce fut presque si on ne tint pas à la nourrir à la cuillère, la gavant comme on forçait une oie à manger. Sitôt fait, préférant abandonner la moitié du plateau qu'on lui avait fait servir, elle se retrouva bien vite à devoir revêtir la toilette qu'on lui avait choisie et qu'il avait fallu réajuster durant des heures la journée passée. Heureusement, Carenza avait fini par arriver, avec ses doigts de fées, mettant ainsi fin à un calvaire de longue durée.

Et la tenue avait été passée, les petits doigts qui doucement commençaient à s'allonger caressant tantôt le velours, tantôt le taffetas d'une robe paonacée, finement brodée de fils d'or dont un tassel venait largement diminuer son col en "V". Un banolier orné d'anneaux dorés, confectionné dans la même teinte, était là de souligner la taille fine qu'elle arborait encore, et pour terminer, elle se verrait passer un surcot ouvert, bordé de fourrure de menu-vair en plus d'une grande mante qui viendrait la protéger du froid que leur offrirait les ruines de Saint-Pierre-des-peuples.

Ne restait alors qu'à venir remettre de l'ordre dans sa longue chevelure et pour ça, Carenza s'y attelait déjà, passant à maintes reprises, mèches, par mèches, le peigne dans des cheveux restés aussi blonds que les blés en été.
Les yeux rivés sur le miroir qui reflétait son image, la jeune de Courcy ne pouvait s'empêcher de songer ou bien encore de se poser moult questions dont une première qu'elle s'empressa de poser à sa gouvernante.



" Carenza ? Pourquoi est ce que les gens se marient ?"



Attendant la réponse, ses yeux cherchaient ceux de cette dernière au travers du miroir.


" Et bien parce qu'il est mal vu à notre époque, Briana, de ne pas se marier... Et que lorsqu'un sentiment aussi fort que celui de l'amour a su trouver l'éveil dans le coeur d'un homme et d'une femme, qu'ils soient important pour eux de s'unir devant le Très-Haut... "


" Alors, ainsi, les gens se marient tous par amour ? "


" Ce n'est pas toujours le cas. Parfois, Briana, hommes et femmes, s'unissent par alliances ou par pactes dirons-nous, entre familles rivales. "


Étonnée de la dernière réponse que lui donna Carenza, Briana se retourna vivement, laissant s'échapper un léger cri, tandis qu'une main venait trouver l'endroit douloureux de sa tête, ses cheveux n'ayant pas manqués de s'emmêler dans le peigne.


" Cela veut dire que certaines unions sont imposées ? Foi de moi que jamais je ne me marierai à quelqu'un que je n'aime pas ! Je préférerai me sauver si tel était le cas !"


Déterminée la Mini de Courcy ! Oui ! Et ce tout en écoutant de nouveau sa gouvernante lui parler, et qui s'était doucement penchée à son oreille, terminant de la coiffer, apposant un diadème sur sa tête, sertie d'une améthyste.


" Allons donc... Nous n'en sommes pas encore là de vous marier jeune demoiselle et je suis certaine que nombreux seront les prétendants qui viendront se présenter à votre père et que vous saurez apprécier..."


Sa préparation terminée, Briana ne chercha pas à relever les derniers propos tenus, car dans sa tête elle n'épouserait jamais que le Prince qui lors de bien des nuits s'en venait l'enlever en secret.
Il serait lui et personne d'autre s'était elle promis.

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      Parce que ma vie à moi est faites de rêves, j'ai décidé de faire de tous mes rêves une réalité.
      " Ne rêves pas ta vie, mais vis tes rêves "... avec une pensée pour Lui
Matouminou


TROTTE, TROTTE MA JUMENT...LA VIE EST BELLE! JOUR DU MARIAGE!

Et bien, c'était le fameux jour du mariage. Donc bien apprêtée, ressemblant plus à une baleine qu'à une gazelle, elle se hissa dans la carriole, la faisant dangereusement osciller du côté où elle prit appui...ben oui, la vie n'est pas simple quand on est enceinte de près de 8 mois...Matou attendit que Mahaut fut assise et elle donna l'ordre de se diriger vers l'église de Saint-Pierre-des-Peuples de Rouen.

Le voyage, quoiqu'un peu long, ne fut pas désagréable. Elle papota tout du long avec sa fille, se tenant ainsi au courant des derniers potins de Fécamp. Mahaut avait toujours une oreille qui trainait et retenait tout. Depuis toute petite, elle était ainsi.

Le soleil était déjà levé lorsque la carriole franchit les remparts de Rouen, pour très vite s'immobiliser devant les ruines de ce qui avaient été l'ancien bâtiment religieux.
Il commençait à avoir affluence. Elles se dépêchèrent dont d'atteindre le parvis de l'église.

Matou regarda autour d'elle, mais ne vit pas de visage connu. Elle décida de patienter un peu, ne sachant s'il fallait attendre que les mariés arrivent, ou s'il elles pouvaient déjà s'installer à l'intérieur.
Deidamie.delabrande.


[Le jour du Mariage]

Si tu continue à traîner comme ça la Deid tu vas rater le mariage. Ils se sont levés tôt, en essayant de faire le moins de bruit possible pour laisser Erwan dormir. Les réveils sont toujours doux et tendres, Charpente et Deidamie s’aiment pour toujours a jamais pour l’éternité, ils se le sont promis devant Christos. Devant sa tasse de tisane fumante elle regarde son époux tailler franchement dans la miche de pain et engouffrer le morceau comme s’il n’avait mangé de plusieurs jours. Charp est amaigris et une vilaine cicatrice vient zébrer son beau visage, Il s’approche d’elle en claudiquant et dépose un baiser tendre sur ses lèvres. « Je vais m’habiller mon Amour et tu devrais en faire autant, ou nous serons en retard au mariage » …. « oui j’arrive tout de suite je finis ma camomille ». Que leur est-il arrivé ? Pourquoi ces longs mois d’exil et de cauchemar, Deid ne veut pas y penser aujourd’hui non ! Kate et Mel se marient et il est important que Deidamie soit celle qu’ils ont toujours connue, gaie et insouciante.

L’église n’est pas très loin de leur maisonnette, a quelques enjambées seulement, et cette journée s’annonce merveilleuse. Dans le petit frimât matinal, Deid a ramassé quelques pervenches de son jardinet et en a déposé dans ses cheveux courts et rêches. Elle a enfilé sa robe, trop grande a présent et c’est avec grand soin qu’elle a confectionné une ceinture, pour ajouter à sa taille. Pas mal en définitive ! Mais ce n’est pas le plus important, ce qui prime a ses yeux c’est d’être tout les trois là, lorsque leurs amis de toujours se diront oui. Une inquiétude pointe tout de même lorsqu’ils arrivent devant l’église….Deidamie a toujours beaucoup de mal a se mêler à la haute société, et sa crainte persiste car devant le parvis de l’église en ruine trônent déjà pas mal de calèches, de laquais endimanchés et droits comme des I sans point. Un brouhaha de rires qui fusent, et les personnes présentes se hèlent de la main en signes amicaux. Le froufrou des robes donne à l’ensemble de la scène une magnificence extraordinaire, enfin le chatoiement des tissus ourle le cadre de ce tableau vivant.

Deidamie, Charpente donnant la main a Erwan leur fils, arrivent ainsi devant l’église de Rouen en ruine, au mariage de leurs plus cher amis Kate et Mel. Deid relève la tête, arrange une mèche de cheveux de son fils, tire le pan de chemise de son époux… zou allons y.

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Le carnet chignon de Deid.
http://chardineyo.wix.com/deidamie#!le-carnet-chignon-de-deid/mainPage
Kathryn.brehnian
[Orival toujours, mais plus pour longtemps]

Dans la chambre, le rythme se calme peu à peu, alors que les préparatifs vestimentaires se terminent doucement, dans la bonne humeur malgré l'anxiété obligatoire.
Je n'ai pas l'intention d'aller à Rouen en voiture, j'ai besoin de prendre l'air, j'ai demandé à ce que ma jument soit préparée.
Dans un sourire amusée, elle ajouta, taquine : Alors tu as bien raison de craindre pour que ma robe soit froissée, mais fais un peu plus confiance aux couturières des Doigts d'Or, je suis certaine que tout ira très bien.
Malgré ses dires, elle lissa machinalement le tissu écarlate.

Observant une dernière fois son reflet, elle conclut d'un air peu convaincu.
Je pense que je suis prête... Et avec de la chance, ton infusion suffira avec un peu d'air frais à faire passer la migraine à temps.
Pour le reste de ses doutes...ils se tairaient au fur et à mesure de la cérémonie, quand les probabilités qu'un événement impromptu viennent à contrarier ce mariage.

Ouvrant la porte pour laisser passer sa cousine, elle apprécia au passage la tenue d'Adeline.
Je vais descendre avec toi, je pourrais boire l'infusion dans la cuisine, et je n'ai pas encore pu saluer ta fille.
Elle jeta un dernier regard sur la pièce, qu'elles laissaient, étrangement, dans un état presque paisible.

Alors qu'elle s'aventuraient hors de la pièce, un petit bonhomme de trois ans trottina vers elle, ayant de toute évidence échappé à l'attention de sa nourrice. Fronçant légèrement les sourcils, Kathryn se pencha et ouvre les bras à son fils, déposant un baiser sur les boucles brunes.
Mon trésor, tu n'es pas parti avec ton père ?
Puisqu'Erwann se trouvait dans ses bras, la question était purement rhétorique.
Ce n'est pas grave, tu vas venir avec nous bien sûr.
Ce n'était pas prévu ainsi mais au contraire, elle trouvait infiniment réconfortante la présence de son fils, son mini-Mel. Elle le serra un peu plus contre elle avant se continuer son chemin, sa main enserrant le poing du petit garçon.
C'est un jour important Erwann, très important, aussi pour toi, même si tu es bien trop jeune pour t'en rendre compte.
Elle sourit à son fils dont c'était le dernier jour en tant qu'enfant illégitime et, quelques portes plus tard, passa la tête dans la pièce où sa petite nièce était installée avec sa gouvernante.

Tu es très élégante Briana. Englobant la petite fille et la domestique, elle poursuivit. Si vous avez fini, nous nous apprêtions à passer à la cuisine, je ne sais pas pour vous mais j'ai la gorge un peu sèche.
Ensuite...nous y allons.

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Asti_dict_le_barbu


Johane belle comme … comme Johane, bien mise, le port de tête haut, le visage affable et l’œil qui pétille d’intelligence et de malice, le barbu était toujours fier de l’avoir à son bras, fier et amoureux comme au premier jour, même si parfois, et surtout ces derniers temps, le ciel était moins bleu et l’air moins léger qu’il ne fut, il espérait que ce n’était qu’un mauvais passage. Oui, il tenait à cette femme et son prime objectif était de la marier.

Justement, mariage… ils s’y rendaient à deux, ayant laissé le chérubin à l’organe vocal développé sous la garde de Junie, la nouvelle nourrice qui semblait fort bien s’y prendre avec lui. Johane avait levé les doutes sur le bâtiment religieux, il avait bien brûlé et bien que la journée fut belle pour novembre, nul doute qu’en Normandie, ils pourraient être contents si le vent était seul élément naturel invité à la fête.

La tenue de Johane, une des nombreuses qu’elle avait voulu en prenant la chancellerie était d’un tissus si fin qu’il était impossible de songer ne serait ce qu’une seconde à la froisser et le chemin se ferait donc en voiture à cheval. Fernand ne pouvait conduire, il avait ordonné à Gislain de le faire et l’homme s’en sortait plutôt bien, ce qui n’était nullement une surprise. Fernand était un régisseur hors pair. Le trajet était court et la voiture s’arrêta devant ce qui restait d’une église. Le Vicomte sauta à terre et aida sa belle à descendre. Un regard alentour et un sourire caché dans sa barbe à penser qu’avec une bonne pluie, la jolie robe risquait fort d’etre un brin gachée, puis de voir quelques têtes connues et bien d’autres inconnues.

Sa belle à son bras, le barbu s’empressa d’aller saluer les invités inconnus puis les connus.

Bonjour Akane

Et quelques pas plus loin,

Bonjour Matou

Et de regarder le ciel…

Sera-t-il clément pour cet heureux jour ?

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Flavien
Flavien avait reçu une invitation de la part de Méleagre pour son mariage, et c'est avec plaisir qu'il avait accepté, ce n'est pas tout les jours qu'on insiste à un mariage d'un frère Hospitalier.
Le brun s'était préparé toute la matinée, avant de monter dans le carrosse qui l'attendait devant chez lui, demandant une fois à l'intérieur au cocher de se dépêcher, car il était pas à en avance :


Vite cocher ! Nous sommes en retard.

Durant tout le voyage, il pensa à plein de choses inintéressantes, balayant d'un regard le paysage qui défilait sous ses yeux à l'allure des chevaux, avant que le cocher ne le réveil de son pré-sommeil, lui annonçant une bonne nouvelle :

Nous sommes arrivés messire!

Hop! Aussitôt dit et le brun était dehors, respirant un grand coup se détendre, avant de rejoindre un groupe d'Hospitalier qui s'était formé, composé du Grand-Maréchal, du Grand-Maître, du Grand-Sénéchal et de soeur Akane.

Bonjour mes frères, mes soeurs...Comment allez-vous ?

Décidément, cette journée avait son lot de surprises.
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