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[rp] Tournoi J1 : tour de chauffe

Musartine
[Nyon la Grande, Luc et Muse, tout à leur enthousiasme]

Un dernier point stratégique, une dernière bravade en passant, et c'est parti !

La houpellande beige, accrochée à une branche d'arbre, devant la tente, pour faire croire au gamin roux qu'ils dorment tranquillement dans celle-ci.

le filet posé pour attraper une brochette de crevette qui passerait par là.

Un petit cri d'appât
"ohhhh les poussins ont l'air fameux" Au cas où le guerrero ne serait pas loin non plus.

Et voilà le couple légendaire parti dans les buissons ...


Dis ... c'est pas celle qui demandait à nous voir la vaincre en combat celle qui passe là bas ? On lui montre comment on sait se débrouiller ? hein ?

Ni une ni deux, la voilà sortir discrètement du buisson, et à pas légers, tentant d'éviter au maximum les "schplouk schplouk" que le terrain boueux provoque à chacun de ses pas.

Une fois dans le dos des deux comparses, elle pose sa main sur la bouche de l'homme l'attirant vers l'arrière, et murmurant à son Luc
Je te laisse celle qui voulait nous voir à l'oeuvre !

Et voilà comment on enlève quelqu'un, ni vu ni connu j't'embrouille, toute en douceur, tout en silence ... ou presque.

Youhouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu

alors ??? elle est où la rançon ????


Et à nouveau à son homme : Une tite poésie hurlée pour fêter ça ?


04/11/1460 04:04 : Vous avez racketté un groupe composé de Evil_erin et de Garret qui possédait 109,55 écus et des objets.

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Evil_erin
Partira, partira pas ? Finalement, au milieu de la nuit précédente, on avait réussi à quitter Genève, mon brun un peu à la rue, se demandant au dernier moment où était le lieu de "rencontre".
La journée d'arrivée s'était passée en taverne, croisant les uns et les autres, discutant avec certains, ignorant d'autres, m'amusant des bagarres qui éclataient par endroit, parfois même au sein d'un groupe. Ca promettait pour la suite ...

Je limitais légèrement ma quantité d'alcool, je n'avais pas quitté la ville vraiment à jeun et ce n'était pas le moment de se coltiner la boulasse. Fallait bien que je garde un œil sur ma moitié, passablement sous l'emprise de la fatigue. N'étant venue que pour lui faire plaisir, je déambulais à coté de lui, sans vraiment me soucier de quoi que ce soit, advienne que pourra comme dirait l'autre ! Mon regard se posait sans cesse sur lui, un sourire au coin des lèvres. Il y avait quand même mieux à faire la nuit au cœur d'une foret que de "s'échanger" des bourses, j'avais milles et une idées qui me traversaient l'esprit, une à chaque regard qui le déshabillait, une à chaque pensée qui le caressait.

Chemin faisant, tout semblait calme, jusqu'à ce qu'un léger bruit me fasse avancer, m'éloignant de quelques pas de Garret, mon regard tentant de fouiller un fourré. Et lorsque je me retournais ... Hum ... Merrde ! Où il était passé ?


Hep ! Chéri ! Pas le moment de jouer à cache-cache hein !

C'est là que m'apparut .... la réalité de la situation. Je levais les yeux et esquissais un sourire en direction de nos "agresseurs".

Ah !!! C'est ca votre technique alors ! Vous avez attendu que je sorte de la taverne pour me suivre !

Quelques heures auparavant, j'avais passé un moment avec Luc et Muse en taverne, les écoutant parler de leur technique, une histoire de "houp", un truc qui m'avait semblé compliqué et tiré par les cheveux en fait, ou juste difficile à comprendre.

Une rançon ? Ah mais ...Faut venir la chercher hein !

Je levais les bras sur les cotés, observant l'homme censé recuperer mes biens.
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Luc_la_misere
La brume était tombée épaisse comme l'an dernier on y voyait a peine le bout de ses bras quand sa muse bondit du bosquet avec un temps de retard il la suivit ....

La Brousse mi blonde mi rousse enfin la blonde vénitienne comme elle disait se tenait mains levée devant lui

Désignant son compagnon du doigt


Mais c'est Garry ton coéquipier fallait me le dire avant je t'aurais prévenue que tu n'avais aucune chance de t'en sortir!


Réflexe tellement humain même quand on y vois pas a trois pieds la brousse suivi du regard son doigt accusateur et le crochet du droit partit a la rencontre du joli menton

le KO était inévitable voilà les risques que l'on prend a faire le tournoi sans un casque de la maison léo...

Profitant de son coma il commençait a lui tirer sa bourse qui résistait et se souvenant des bribes qu'il avait lu du livre du Roi René il lui braillait dessus en cherchant son couteau suisse


VIENT TE BATTRE SCÉLÉRATE ....
LES HAUMES ET ECUS PORTERONS LES ARMES DES TOURNOIEURS...
JE TE DEFIE.....
UNE LANCE ET UNE EPEE COURTOISE SONT LES ARMES DE TOURNOI....
DEOS RECONNAITRA LES SIENS.....


Parvenu a retirer la bourse il la faisait sauter dans ses mains

aller au suivant ma muse!


Ils entendaient des cris des cliquetis d'armes un peu de partout mais impossible de se repérer dans cette purée de pois

viens on va par là!

quelques heures plus tard....

OUH OUH Y AS QUELQU UN? ..............OUH OUH...................


Mais si je te jure que j'ai le sens de l'orientation !
Je sais bien on entend plus rien....mais avec ce brouillard c'est pas évident hein!


encore une poignée d'heure.....et la brume se levant ils étaient en vue des murailles de Genève d'ou s’échappaient une foule de fonctionnaire allant porter leur salaires aux mineurs on était dimanche et les fonctionnaires suisses muni d'une enveloppe et d'un coucou portable pour arriver toujours a 9h tapante devant le valeureux mineur couraient bon train


Merdasse demi tour! faut les suivre ils nous ramènerons a Nyon!

il en menait pas large lui qui s'était présenté a sa muse comme doté d'un grand.......sens de l'orientation.....
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Somica
{à L’aube sur le champ}

C’était l’heure, après avoir désinfectée son entaille sur sa joue et les quelques bleus reçu en taverne, So avait la rage au ventre avant de rentrer sur le champ de bataille…la rousse, la rousse je vais la choper ! Elle va morflée ! Un regard sur tous les participants, l’est où cette folle ?

Main au-dessus des yeux, elle essayait de repérer sa cible, Ils traversaient le brouillard sans faire attention aux deux donzelles qui s’étaient mises sur leur chemin Rhaaa pas le temps de jouer avec de la blonde ou de la brune, je veux de la rousse !


Allez les filles, filez nous vos écus et laissez nous passer !

Le visage de la blonde n’avait pas l’air d’accord…hum.. pas bon signe tout ça... Sans somation, So’ se sentit voler dans les airs, son corps tomba lourdement sur le sol…sa cheville avait lâché sous le coup de pioche de la blonde. Les cheveux maculés de boue, la conscience à la limite de passer dans l’autre côté, elle se demandait ce qui lui arrivait…

Les yeux encore ouverts, elle vit la blonde poser son pied sur sa poitrine, lui demandant de s’incliner ou elle trépassait. En même temps, elle ne pouvait même pas trop riposter ! Prise par surprise, elle n’avait même pas eu le temps de dégainer la pioche.
A genoux… !

Mordiou… PHELLLLLLLL DEGAINE PARDI!

A choisir, entre perdre la vie, ses écus et perdre sa fierté l’espace de deux secondes y’avait pas photo ! So’ s’exécuta et se mit à genoux, tout en priant pour qu’elle puisse continuer le tournoi et surtout prendre certaines vengeances. La blonde affichait un sourire en coin, fière d’avoir mis la dauphinoise a ses pieds…So se passa de commentaires, blessée dans l’âme, elle se releva tant bien que mal, sa cheville la faisait souffrir. Ce n’était pas sa nuit… Elle allait terminé en charpies dans ce tournoi.

Elle posa sa main sur ses écus qui étaient toujours dans sa poche. Elle afficha un petit sourire innocent, avant de se mettre en retrait… Elle regarda de côté si le phel avait réussi à dégainer plus vite mais…


04/11/1460 04:04 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Istanga et de Oberthur (coefficient de combat 10), qui essayait de vous résister. Hélas, il a triomphé de vous, vous laissant vous enfuir en boitillant.

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Garret
La nuit avait commencé dans le calme. Garret et sa compagne avaient fait un petit tour dans les bois sans le moindre ennui, ils n'avaient même pas beaucoup discuté en route : " Il faut rester discrets surtout ! " avait-il répété à sa blonde avant le grand soir. Il faut noter qu'une discussion avec la blonde ne tardait guerre à se transformer en échange bordélique de paroles insensées, qu'on pouvait prendre pour une dispute, mais non, c'est compliqué en fait... " Quelle femme ! " pensa-t-il en poursuivant son chemin, sourire aux lèvres.

Lents pas en regardant ses bottes, évitant les nombreuses flaques de boue causées par les précédentes pluies, si lent qu'il se retrouva vite seul, écarté de la femme à l'épée géante.

Il tourna la tête à gauche à droite en plissant les yeux pour la retrouver, " Mais où es tu encore passée !? " se demande-t-il aussi. Il leva alors ses mains au niveau de sa bouche en porte-voix et s'écria de tout l'air qui remplissait ses poumons :


« Errrrrrrrrrri... Ehg ! »

Quelque chose l'avait tiré en arrière, et une main fine lui cloua la gueule. Mais comment.. ? Il n'avait rien senti, rien vu venir, le Garret, qui pensait ne jamais se faire prendre par derrière. Une femme l'a fait.

Il renifla la main et commença à se débattre, la femme était doté d'une force impressionnante, et a su le maîtriser à temps. Sa langue se glissa d'entre ses lèvres et commença à lécher la paume de la femme, tandis que ses dents essayaient de s'écarter pour la mordre.

Elle l'avait bien eu...
Musartine
[Luc & Co, toujours]

Et maintenant ainsi l'homme, la guerrière qui n'avait plus eu de combats depuis des lustres sourit à son Luc lorsqu'il mit une magnifique droite à l'a femme.

Elle senti alors la langue de l'homme qu'elle maintenait prisonnier...


Tout doux le bellâtre. Zêtes pas le seul à réclamer à lêcher mon corps ainsi, mais comme les autres, vous faudra attendre, y en a un autre qui en a la primeur.

Menfin, merci pour votre compagne, qui donne votre rançon sans rochigné ... à peine besoin de négocier. Par contre, la prochaine fois, si vous pouviez avoir l'bligeance de vous battre un peu, je vous en serez gré. C'est pas très gentil de gâcher ainsi un rendez vous romantique !


Elle le lâche alors, pour retourner vers d'autres combats, elle attend que ça, elle s'impatiente de ces combats.

Luc l'a invitée à cette fête, et elle entend bien en profiter. Quelques sploink sploink plus tard, pas discrets donc ... enfin tant que la boue le permet, ce qui limite grandement la chose, ils se sont éloignés d'eux...

Eloignés ...

Faut dire que Luc, il est doué pour la discrétion, pas comme elle. Elle, elle sait invictivié l'ennemi à merveille, imaginez quelques armées prêtes à s'affronter, des milliers d'hommes, s'il y a une personne qui ira énerver l'autre camp, ça sera elle.
Elle a même mis sa houppelande rouge pour cela. Tout est dans l'art de la provocation.

Mais les tournois d'entrainement, à effectif limité, elle ne maitrise pas franchement. Alors la Misère l'a emmené en entrainement, et elle suit ses conseils avisés à la lettre.

Quand il dit "on va à droite", parfois, elle rechigne, mais au final, elle va à droite. Qu'il y ait de temps en temps un "t'es sur que c'est par là, nan parce que j'entend plus rien" c'est juste pour le principe. Elle a une réputation à tenir ! celle d'une chieuse contestataire, alors elle conteste ! mais au final, faut bien reconnaître qu'il s'y connait bien mieux qu'elle. Et tout ça, c'est sans parler de son sens de l'orientation aiguisé ... qu'elle n'a pas.

Bref.

Une fois les murailles de Genève visibles, et une fois la brume levée...
Ouaip, t'as raison, on va faire demi tour ...

pour demain ... t'es sur que tu préfères pas que ça soit moi qui gère les mouvements de troupes ? hein ?


et non, elle ne lui fera pas une scène. Ca aurait été surement pire si c'est elle qui avait pris le commandement des opérations. Pis lui au moins, il se trompait de quelques lieues, 3 fois rien ... elle s'était par dizaine qu'elle se trompait. Pis, avec tout ce qu'elle lui avait fait subir, elle allait pas en plus lui mettre sur le dos une petite erreur de rien du tout.

Alors, toute contente, en forme pour les combats suivants (si combats il y avait ... parce que bon, tomber sur des pacifistes, ça va bien 5 minutes), elle lui montra ses mains
T'as vu ? même pas un ongle cassé ! pas aujourd'hui que je vais revenir avec une cicatrice !

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Phelim
[Combats]




A la faveur de la nuit et de la brume, deux ombres habillées sobrement se déplaçaient en silence ... suivi par les deux oies bien sur, puisqu'elle avait insisté pour les emmener.
Parfois, la main du Guerrero se posait sur l'abdomen de sa compère, geste silencieux pour lui faire comprendre de s'arrêter. Alors, il mettait un doigt dans sa bouche avant de le lever dans l'air frais nocturne.

Quelques secondes d'attente .... puis le verdict tombait.


Embuscade à droite, prenons le chemin de gauche.


Et c'est ainsi que grâce à l'index vicomtal, ils évitèrent moult pièges tendus et ne furent pas attaquer . Et là chance voulut qu'ils tombent finalement sur des proies faciles, mémé Ober et l'ancienne juge du LD.
Un sourire en coin orna le visage du grand brun, qui se voyait déjà gagnant pour ce premier tour de chauffe.

D'ailleurs, il rêvassait même qu'il revenait de Nyons vainqueur, acclamé par tous Genève, lui brandissant d'un geste triomphal la bourse de mémé Ober. Mais il fut tiré de ses songes par l'appel de So qui semblerait-il n'avait pas chaumé du temps.


PHELLLLLLLL DEGAINE PARDI!

Oui oui, tout de suite.

Sa paluche alla dans ses braies, et il dégaina ...

Le plan d'action qu'il avait caché là dedans. Il fallait s'en tenir à leur plan minutieusement pensé s'ils voulaient s'en sortir de cette déplaisante situation.
Approchant le parchemin de ses azurs plissés qui peinaient à déchiffrer l'écriture, l'Imprévisible en fit lecture à sa pucelle, pour qu'elle sache comment agir....


Alors So', tu dois passer une main sur tes .. tes ... seins ! Avec une moue sugg sugges ... suggestive au visage !
Puis, tu remues les esse ... les fesse !!
Oh tiens, une faute, il faut un "s", quelqu'un a une plume? Ah oui, pas le moment.
Ensuite, tu mets un doigt dans ta bouche, et avec tu fais ensuite le tour de ton té... Aïiiieeeeee

Pas l'oreille Istanga!


C'était la partie où Phelim était le plus sensible et ainsi fut-il forcé de se mettre à genou sans l'avoir vu venir.
Mal en point le groupe, sur le point de se faire rançonner alors que ça aurait du être le contraire.

Fut-ce le bruit soudain que firent les oies, le craquement d'une branche annonçant l'approche de concurrents ou tout autre chose? Quoiqu'il en soit, la pression sur l'esgourde du taureau disparut soudain et il s'enfuit sans demander son reste. Sans même attendre Somica, d'ailleurs, si elle pouvait rester en arrière pour empêcher les deux harpies de le rattraper si des fois elles venaient à se lancer à sa poursuite, ça l'arrangeait !




04/11/1460 04:04 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Istanga et de Oberthur (coefficient de combat 10), qui essayait de vous résister. Hélas, il a triomphé de vous, vous laissant vous enfuir en boitillant.

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Le_g.
04/11/1460 04:04 : Vous avez été racketté par un groupe composé de Nicbur et de Swan .
04/11/1460 04:04 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Nicbur et de Swan (coefficient de combat 10), qui essayait de vous détrousser. Hélas, il a triomphé de vous, vous laissant inanimé dans un champ.
04/11/1460 04:04 : Vous avez été racketté par un groupe composé de Mahaud et de Raoulleglabre .
04/11/1460 04:04 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Mahaud et de Raoulleglabre (coefficient de combat 10), qui essayait de vous détrousser. Hélas, il a triomphé de vous, vous laissant inanimé dans un champ.
04/11/1460 04:04 : Vous avez racketté un groupe composé de Aqwaqwaqwaqwa et de Grazziela qui possédait 206,18 écus et des objets.
04/11/1460 04:04 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Aqwaqwaqwaqwa et de Grazziela (coefficient de combat 10), qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.
04/11/1460 04:04 : un malfaiteur nommé un groupe composé de Laryssa. et de Marieladamnee (coefficient de combat 10) a tenté de vous détrousser. Vous lui avez infligé une bonne correction, et il est parti en boitant, après s'être excusé à genoux.


Pfiou ! Ils y étaient ! Enfin, il allait pouvoir voir de près ce tournoi, en y participant. Deux ans qu'il attendait ça, mais bon, quand on peut pas v'nir, on peut pas hein... et pis d'abord que c'était pas d'sa faute ! L'an dernier, y'avait une armée qui campait juste d'vant sa roulotte ! Il aurait mis l'pied dehors, il aurait risqué sa vie sans doute. Bref, là, il y était ! Les retrouvailles avec ses amis furent chaleureuses pour la plupart. Il avait soigneusement évité la copine bi de son ex, et tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes ! Il avait même pu voir sa filleule, parler à son frangin en taverne. Qui dit mieux ? Résultat, il était en pleine forme Le Gaucher.

Alors Gare ! héhé, et les premières qui tentèrent de s'approcher de sa bourse en furent pour leurs frais, un p'tit tour de passe-passe, une petite clé au bras et hop, il se retrouve derrière la p'tite Marie, il s'bat pas pour elle, mais contre elle et c'est avec le plat de sa botte qu'il lui fout sur le fondement qu'il la jette un peu plus loin. Ouaip, pas des plus galants le Louis sur ce coup-là, mais bon hein ! Sont pas là pour jouer à la poupée non plus !

Il regarde le terrain de jeu, et sourit, s'approchant d'Aqwa.


Hey ! S'lut l'ami !


Lui posant une main sur l'épaule, bah vi, entre potes, ça s'fait, d'se saluer par une accolade amicale nan ? Bah ça lui permet surtout de lui faire les poches de ses mains agiles, avec un sourire, avant de lui coller une bise sur la joue.

J't'aime toi !

Et de filer en riant dans l'autre sens, tout en soupesant la bourse d'Aqwa. Seulement voilà, trop en veine, c'est la déveine, et sa garde baissée, il se fait prendre à son tour, lorsque Mahaut s'approche de lui, et qu'il la reluque. Tel est pris qui croyait prendre. Il rit, tout en continuant de reluquer les formes de la donzelle.

Bien joué.

Lorsque sa nièce s'approche, il lui fait une bise et lui sourit.

Désolé ma puce, t'arrive trop tard. Tonton était un p'tit peu occupé à... admirer un joli tableau. J'plus rien. Faudra retenter ce soir, mon cygne adoré !
Mandorrallen
[Sur le noeud, premiers combats]

Son épée engainée, le jeune escuyer attendait patiemment qu'un duo se présente devant eux. Il devisait tranquillement avec sa coéquipière, la jeune Aubanne rencontrée avant hier en taverne. Le tandem s'était donc formé à la dernière minute, et aucun des deux combattants formant le duo ne savait quoique ce soit sur l'autre.

Voilà quelques adversaires à corriger dame Aubanne! fit l'ancien soldat, en avisant de son regard acier les deux combattants qui avançaient à leur rencontre.

Son épée émit un chuintement strident en quittant son fourreau et un frisson d'excitation parcourut l'échine du guerrier.

Point besoin de paroles provocantes ou d'insultes pour entamer le combat. Mandorrallen s'élança sur le premier adversaire. A la fin de sa course, l'écuyer inversa la prise sur son épée et d'un revers fulgurant, écarta l'arme de son opposant. Le bras du guerrier se referma presque avec délicatesse sur le poignet adverse et le tordit sauvagement pour le forcer à lâcher prise. Mando acheva ensuite de mettre son adversaire hors d'état de nuire en frappant du pommeau de son épée sur sa tempe, le plongeant directement dans l'inconscience.

L'ancien soldat tourna ensuite la tête pour constater que sa coéquipière avait obtenu le même succès. Lui adressant un sourire éclatant, il prit la parole d'une voix où perçait l’excitation et l'adrénaline du combat passé.


Voilà qui est encourageant dame Aubanne, notre association de dernière minute n'aura pas été vaine!

04/11/1460 04:04 : Vous avez racketté un groupe composé de Anton_voyl et de Sysko qui possédait 98,82 écus et des objets.
04/11/1460 04:04 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Anton_voyl et de Sysko (coefficient de combat 10), qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.

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Nicbur
[le jour du tournoi, nicbur et swan contre le g et Semrehymh]

Citation:
04/11/1460 04:04 : Vous avez racketté un groupe composé de Le_g. et de Semrehymh qui possédait 0,00 écus.
04/11/1460 04:04 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Le_g. et de Semrehymh (coefficient de combat 10), qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.



Ca y est le grand jour était enfin arrivé. Il allait une nouvelle fois prouver sa valeur, et une nouvelle prouver au reste de l'humanité qu'il était bien le meilleurs guerrier que le monde ait connu. Quoi que, ces derniers temps, peu de personne lui ont fait part de leurs doutes. Une petite piqure de rappel, ça n'a jamais tué personne.

La plaine était noire de monte. De toutes parts, on entendaient les épées s'entrechoquer, les ennemis s'insulter, les noms d'oiseaux fusaient.

Nicbur était à la recherche de son premier adversaire. Il cherchait dans la foule un adversaire bien habillé avec un air hautain. Et cela pour deux raisons: La première c'est que les gens sappés comme des princes sont souvent des princes, et Nicbur détestait les nobles. La seconde, c'est que souvent, quand ils ont de beaux habits, ils ont des bourses bien pleines, ce qui promettait une rançon juteuse.

Il scrutait les adversaires quand une tornade rousse lui passa devant à toute allure.

Swan, sa partenaire, avait semble t'il trouvait un adversaire et se ruait vers lui. Il partit à sa suite au pas de course.

L'adversaire vers lequel elle se dirigeait semblait s'être déjà battu, vu son souffle haletant et les sept gouttes de sueur qui perlaient sur son front (oui, Nicbur arrive, en courant, à bonne distance, à compter le nombre de gouttes de sueurs sur le front de son adversaire. Mais c'est on ne peut plus normal pour un Issime)

Swan allait être la première sur leurs victimes, mais curieusement, elle ne semblait pas être préparée à la collision... Et c'était le cas de le dire, vu qu'elle claqua la bise à... son tonton??? on avait tout vu...

Passablement agassé, il lui lança:


On s'y met quand tu veux...

Et se remit à scruter l'horizon
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Qui qui c'est l'plus balèze? c'est bibi!!!
Swan
    [Groupe de Swan et Nic]



Citation:
04/11/1460 04:04 : Vous avez racketté un groupe composé de Le_g. et de Semrehymh qui possédait 0,00 écus.

04/11/1460 04:04 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Le_g. et de Semrehymh (coefficient de combat 10), qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.



Jour J, heure H. Le temps était venu de montrer ce qu'elle savait faire ! Elle avait fini par retrouver son coéquipier et se tenait à con coté à scruter elle ne savait trop quoi. Que cherchait-il ? Pour elle, il fallait juste repérer une victime et y fondre dessus. Comme à chaque fois elle fonçait tête baissée et sans réfléchir.

Là, elle cherchait soit son oncle, soit son père. Elle voulait trop leur faire les poches et remplir les siennes avec leurs écus. Bah quoi, au moins ça restait dans la famille hein !

Elle trépignait à attendre comme ça, jusqu'à ce qu'elle voit la tignasse brune de son oncle accompagné de sa nounou Mendoise. Elle fila direct sur lui sans préambule et lui sauta dessus en poussant un grand cri de guerre.

Seulement voilà, il avait les poches ... Vides !!!

Elle avait beau le fouiller, il n'y avait rien ! Mais rien de rien, plus un Kopeck ...


Désolé ma puce, t'arrive trop tard. Tonton était un p'tit peu occupé à... admirer un joli tableau. J'plus rien. Faudra retenter ce soir, mon cygne adoré !

Dépité, elle regarda son oncle avec un petit sourire en coin et cola une grosse bise sur la joue.

T'as d'la chance tonton, j'te ferais l'poches une aut'e fois !

On s'y met quand tu veux...

Elle repartit vers Nic qui l'attendait et qui l'avait regardé sans sourciller.

Ouai j'arrive !

Puis à l'attention de son oncle.

J'file tonton, faut qu'on passe aux choses sérieuses maint'nant !

A Nic.

C'bon j'suis prête !
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Semrehymh
[groupe Semrehymh, Le_g.]

Après un après midi sur la route de Nyon, quelques conseils et démonstrations de l'ami Louis, sur comment faire les poches, quelques saluts de-ci de-là, ils arrivèrent à proximité de la mine, le terrain de chasse.

A peine étaitent ils arrivés, que deux silhouettes graciles s'approchèrent de très près, peut être trop près....
c'est louche ça non, on se connait pas et voilà que ça se frotte...
Sentant une main fouineuse se ballader, le Mendois attrapa fermement la main, et d'un geste éloigna la damoiselle , en lui faisant comprendre qu'il ne fallait pas qu'elle y revienne. Dommage, hein elle aurait chercher les bourses, il l'aurait peut être laisser faire, mais ce n'était que la bourse qu'elle semblait chercher....

Visiblement, le tournoi était bel et bien commencé.

Un peu plus loin, Louis rencontra une connaissance à lui, qu'il salua d'une franche accolade.
Sem fit un signe de tête à l'homme, puis une légère révérence à la damoiselle qui l'accompagnait, puis
Permettez, votre ceinture semble se défaire, je vous la remets....., et d'une main habile, il empoigna une sorte de petit mouchoir noué, et continua sa route.

Un peu plus loin dans la campagne, Hey Louis t'as vu, pas mal débrouillée sur ce coup-là, y'a au moins 200 écus.
Aie il en avait trop dit et surement trop fort, qu'un bonhomme lui tomba dessus. Du haut d'une branche, celui ci avait sauté et de tout son poids s'écroula sur Sem.
patatra , l'est pas léger le gaillard et voilà que le Sem, estourbi par la chute du gros fruit en plein sur la tête, perd un peu connaissance et tombe au sol. A peine le temps de voir Louis à faire avec une donzelle.

Un moment, plus tard, il ne savait pas combien, Sem avait chaud.
Etrange sensation, vu le temps qui régnait.Toujours est-il que quelques gouttes de sueur sur son front perlaient. Sans doute le mauvais coup prit sur la tête.
Chemin continuant, une furie rousse alla se coller dans les bras de Louis. Sem la reconnu, c'était sa nièce, suivie par un gaillard encasqué qui semblait essayer de vouloir la rattraper.Deux, trois petits mots amicaux, puis la rousse et le blond continuèrent leur chemin, Sem et Louis aussi.
Istanga
Alors, tu vois, tu ne les laves pas... tu les essuies délicatement, pour ôter les brindilles, la terre. Tu fais chauffer de la graisse d'oie dans une poêle simple, sans levier et tu jettes …. mais.... qu'est ce que....

Effarée, je vois Somica se jeter, poitrail en avant, sur Ober, suivie de loin par..... hin hin hin.... Phelim, le poussin dauphinois. Je vais me le farcir, celui-là...

Mais qu'est-ce qu'il fabrique ? Il lit, ma parole ! Et ça pour moi, un homme qui lit, c'est sacré. En plus, il n'est pas mal, il faut bien le reconnaître, le ducaillon. Une seule solution, lui tirer l'oreille. Ça met tout de suite en position d'infériorité, avec des souvenirs qui les gagnent, des nonnes sadiques qui te font entrer le livre des vertus dans le crâne en agrandissant les oreilles, ça les infantilise, les hommes. Enfin, c'est ce que j'ai lu dans la bible de la femme indépendante.

Eh, mais c'est que ça marche. Il geint, enfantin.

Soudain, un glougloutement. Je lâche l'oreille en me retournant.

Arwel est là ? Ah non, c'est une oie.

L'autre a déguerpi, sans demander son reste. Dauphinois, ne faillis pas ! Oui...c'est ça !





04/11/1460 04:04 : un malfaiteur nommé un groupe composé de Phelim et de Somica (coefficient de combat 10) a tenté de vous détrousser. Vous lui avez infligé une bonne correction, et il est parti en boitant, après s'être excusé à genoux.

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Je nettoyais ma fourche... le coup est parti tout seul.
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