[Rp] Non de Zeus! Just Teuf!

Il y a longtemps de cela les athlètes de l'olympe mire au point le discobole, Leurs armes le disque, qu'on trouve dans toutes les bonnes discothèques.

Son succès et tout de suite légendaire, très vite, les muses, les aèdes de tout poil avec des lyres s'y essayent, bientôt suivi de nouveaux arrivants. À la fin des années 1970 avant Jules César, ce furent les grand prêtres de la haute Egypte qui mire au point une combinaison adéquate pour pour glisser sur la vague sonique. C'est dans tous les cas une fusion qui ne manque ni d'intérêt ni de personnalité.

La teuf est alors dans les boîtes, mais les roc, haine roll la villipende, nostalgie des vieux croutons, mais pierre qui roule n'amasse pas mousse. Les combats sonique font rage, mais le défoulement des sons dans cette période molle, balance une déferlante énergétique, qui submerge cette vague morose. De nouveaux personnages arrivent au sens de la dérision et du spectacle affirmés, possédant le génie du mauvais goût. On voit alors apparaître des pepeols emplummées, affublés d'attribut pharaonique, des déesses alanguies au groove lacif. Neptune ou prêtes légèrement vêtues à un voyage spécial, sans parler des mystiques, cette joyeuse exubérance s'oppose alors à un roc morose et immobile, pour vieille pierre arthritique.

Le Kuan sort son pipo et donne le Mi.

Red sort la batterie.

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On voit alors apparaître des émydes plus excitées que des belettes sous acide, c'est la postérité. Les fossiles s'confrontent avec la nouvelle vague, et ça garde pourtant cette foutue trogne en l'air, avec ce sourire à la con que tu peux pas t'empêcher d'mépriser. Tous ensemble dans une même vague, courge, cloche, cafard, coquin, lutin, et c'est cette onde qui éclate contre le rivage et qui gueule : "ça va chier des bulles psychédéliques les mecs!"
Et là tu deviens plus space que Neil Armonstrong, tu t'envoles au pays des raves comme cette foutue blonde à l'air idiote... tu flottes à l'unisson en orbite autour de la Terre. Ca balance grave tu prends un pieds, une main, un coude ou un genoux d'enfer à kiffer la zizique, c'est comme si tu baisais avec un peu non ? Remontons dans le temps, atteignons l'Olympe continuons cérébrale voyage notre dans le temps. Pour quelques instants de clairvoyances, ça s'tire une vilaine balle dans le cortex, adieu certitude, à bientôt réalité. Y a encore quelqu'un ?

Olympe et leur discobole, on doit en passer par là alors on prend le temps de les regarder. Les athlètes s'mettent à tourner sur eux-même électrisés par les ondes de choc, et ça finit par s'envoler tant ça va vite.. Les basses étaient si fortes qu'on entendait les vibrations jusqu'au Moyen-âge.
Cistude, Maître Tortue, bêtes qui ont traversé les âges et les limbes du temps. Sagesse, Solennité, leur réalité a fini par s'envoler. Définitivement. On enlève les freins, et les fantasmes font partis de notre réalité.

La Tortue sort un oud

pLaIt


Le poisson a fris!
Il a tout compris!

La vraie histoire est toute intérieure


Plus loin, le mevlevi, en quête d’unité transpersonnelle entre les danseurs, entame le sema recueillant la grâce divine dans le creux de sa paume levée vers le ciel. Harmonie universelle… Extâââââse co(s)mique ...

Trois petits tours et puis décolle. Les planètes tournent autour de l’astre divin qui tourne sur lui-même et c’est le cosmos tout entier qui tourne autour de la Terre qui tourne autour des planètes.

Union sacrée de la pensée et de la science. Les astres nagent dans un fluide parfait qui n’oppose aucune résistance à leurs mouvements et dans le quadrilatère convexe inscrit dans leur cercle, le produit des diagonales est toujours égal à la somme des produits des côtés opposés….

……

Ou pas…

… Suivant le degré de réfraction…. Et la pente du terrain… car au bout d’un certain temps ou d’un temps certain le cercle s’ovalise pour devenir ellipse. Qu’est ce qui commence par « E » et qui finit par « E » et qui ne contient qu’une seule lettre ?

… Une enveloppe…

Et on tombe… Et ça recommence encore.

Ténèbres fécondes

Fiat Musica, si delectamur, innexus conscientiae nervis.*



L'as ide fait une poussée de tripes! Et il envoie les ouates à coup de marteau coton tige directement par injection des écoutilles. Le son coule à flot dans les landes battues à l'unissons, l'ode happe les corps au passage, baignent avec lui, ondulent, s'allongent, vibrent... Apparaît les éclats des lumières d'argent, d'où émerge les minois ébouriffés, des parements brodés, des bandeaux multicolore saturent l'air et zèbres, s'élance au ciel kaléidoscope.

La rosace prend vit sous les transepts de la nef sonique sous les souffles de l'orgue de barbarie en son choeur et son triforium. Les éléments fraternisent, se soudent, tanguent comme un vaisseau sous la tempête, chevauchant océan. Les rafales sauvages éclatent, et la coque transporte les argonautes aux formes déliées de coloris, c'est leur moisson à eux; elle infuse une vie nouvelle à la terre, s'ouvre l'aventure des contrastes.


*Que la musique soit, à s'en délecter, lié à la complicité des nerfs.