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[RP] Cathédrale

Angelo_de_montemayor
MESSE POUR LA PAIX




Ce Dimanche matin, la ville de LIMOGES se mettait en éveil et la vie reprenait son cours. En ce jour du Seigneur d’octobre 1459, la Cathédrale allait commémorer les disparus et les victimes de la guerre. Ils seraient à l’honneur durant la célébration afin que Dieu tout puissant les reconnaisse comme des martyrs, ceux qui ont souffert. L’Evêque avait donc décidé de leur rendre un hommage religieux tout particulier, afin que ceux qui s’étaient endormis dans l’espérance soient accueillis auprès du Créateur.

Angelo regardait pensif les diacres et les prêtres se mettre à l’œuvre avec l’aide des laïcs pour décorer la cathédrale afin qu’elle soit accueillante, qu’elle resplendisse l’espoir. Richement décorée elle était prête à recevoir le peuple de Dieu rassemblé, pour lire ensemble la bonne nouvelle, celle des prophètes Christos et Aristote. Dans la communion des saints et dans l’unité de l’Eglise, la prière serait orientée vers ceux qui ont souffert et souffrent encore aujourd’hui. Dans cette même supplication, un hommage serait rendu aux hommes qui ont uni leurs armes pour un même espoir de paix. Dans la Foi, l’Espérance et la Charité.

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Evêque de Limoges
Benedicte
La demoiselle du Plessis qui avait croisé l’Évêque il y a peu dans une auberge de la Capitale lui avait promis de venir à l'office, même si cette dernière non encore baptisée n'avait le droit à la communion.
Donc ce dimanche, parée de sa plus belle robe, Benedicte se présenta en la Cathédrale elle déposa son premier bouquet de roses -roses- non loin de l'autel et se dirigea humblement vers des bancs libres pour écouter la messe dominicale.
Eloin
Une messe pour la paix... La moniale ne pouvait qu'adhérer à l'initiative de son évesque, tant elle était mortifiée de voir tous ces hommes s'entretuer, pour une guerre qui devenait plus ridicule de jour en jour.

Eloin ne jugeait point les hommes de guerre, elle connaissait suffisamment la nature humaine pour savoir que certains évènements étaient inévitables, mais son coeur saignait de voir la liste des morts et des blessés s'allonger de jour en jour, surtout lorsque à cette liste s'ajoutait une amye proche, qu'elle n'avait certes plus vu depuys longtemps, mais qui comptait toujours autant pour elle.

Aussi fut-elle dans les premières à franchir le portail de la cathédrale, à l'appel lancé par les cloches de Sainct-Etienne. Elle trempa deux doigts dans un bénitier et se signa en regardant les statues de Christos et Aristote, avant de rejoindre un banc, peu importait lequel en ce jour où ce n'était point le clerc qui venait prier, mais la femme, l'amye qui redoutait de perdre, encore une foys, un estre cher.

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Héraldique
Angelo_de_montemayor
Lorsque les cloches cessèrent leur chant, le silence se fit peu à peu dans l'édifice.
L'Evêque commença alors la cérémonie.


Au nom du Très Haut, d'Aristote et de Christos. Amen.



Mes biens chères soeurs, mes biens chers frères.
Soyez tous les bienvenus dans la maison du Très Haut pour demander la Paix et honorer les victimes de la guerre.
C'est avec une vive émotion que je vous accueille ici aujourd'hui . Rejoignons-nous tous dans la prière pour ceux qui ne sont plus
Que la bénédiction du Seigneur soit sur vos têtes et vous donne accès au paradis solaire.
Amen.

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Evêque de Limoges
Angelo_de_montemayor

Angelo ouvrit le Dogme à la bonne page du Chapite puis dit à haute voix.
Citation:


Exclus d’Aornos, Aristote et moi-même rejoignîmes Alexandre, qui attendait avec son armée à quelques centaines de coudées des remparts de la cité. Le roi ne manqua pas de nous interroger sur les défenses de l’ennemi, chose à laquelle, je dois l’avouer, je n’avais pas prêté la moindre attention. Ce n’était manifestement pas le cas d’Aristote, qui fit en détail une description du dispositif militaire Assacène. Il ajouta qu’Aornos n’était qu’une cité corrompue, qui méconnaissait les principes de base devant fonder toute communauté, et qui n’était pas digne du nom de république. Il en concluait qu’il fallait la détruire, et fonder à sa place une cité vertueuse, et qu’il fallait, selon ses propres termes, « extirper l’erreur des esprits faibles, pour y substituer la conviction en la vertu ».

J’eus soudainement un de ces éclairs qui vous font espérer une petite gloire intellectuelle, et je crus pouvoir prendre le philosophe en défaut. Je relevais en effet qu’il avait tantôt affirmé au manitou que la violence était chose vicieuse car relevait de la colère, et que pourtant il encourageait Alexandre dans son entreprise expansionniste. Aristote me répondit plutôt sèchement : « Notre communauté est glorieuse, parce que vertueuse. Ce constat n’a rien de subjectif, c’est une réalité parfaitement tangible, et qui fonde notre droit à établir, sur toute la surface du monde connu, notre république, pour le bonheur des peuples. Nos principes sont la vérité parce que sont tirés de l’ordre naturel des choses. Nous sommes la république universelle de l’esprit ». Je décidais de mesurer, à l’avenir, mes paroles, pour éviter d’être ainsi tourné en bourrique par le philosophe.



Après un temps de réflexion sur le texte lu, l’évêque dit son homélie



« Nous sommes la république universelle de l’esprit » nous dit Aristote notre Prophète.
Rassemblés en ce jour pour faire mémoire de nos morts, de nos victimes et nous sommes amenés à prier pour ces soldats courageux qui ont donné leur vie.
Maintenant je veux prier avec vous. Penser à ces Justes , Ces procès, Ces menaces et la répression qui sont encore vifs dans nos esprits.Je vous demande donc d’avoir avec moi une pensée solidaire, dans la communion et la ferveur pour tous ces anonymes.

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Evêque de Limoges
Lohengrin
Le religieux apatride pénétra le vaste édifice, Il longea le bord le la nef tel un fantôme et se plaça le long d’une colonne afin que l’on ne puisse remarquer sa présence.

Conspué à Rome, chassé de partout, sans église, sans office, l’ancien préfet n’avait plus de lieu ou aller, plus de charge, plus de maison peut être même plus celle du seigneur.

Il se décala et s’installa sur un prie-Dieu. Il regarda amer les stalles ou il n’y a pas si longtemps encore il s’installait en toutes cathédrales du royaume pour assister à la messe….

Oui il avait tout perdu, par amour de la foi, par respect de son enseignement, par honneur et humanité il avait tout perdu face à l’engeance perfide des hommes ambitieux de Dieu. Ainsi soit-il la volonté divine, il retournerait à la vie de misère, de clodo de Dieu.

Il baissa la tête et ramena son capuchon, afin qu’ici il puisse trouver un peu de quiétude sans risquer d’être mis à mal par quelques clercs en quête de pugila, puis il pria son Dieu, Son Dieu d’amour et de miséricorde, qu’il représenta aux quatre coins du monde, son bâton de pèlerin en main.
Qu’importe son devenir au fond, tant qu’il aurait encore la possibilité de prier.
Angelo_de_montemayor
Après un très long moment de silence angelo continua

Pour finir, affirmons notre foi envers le seigneur en récitant le credo. Répétez après moi :

Citation:

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine ;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible ;
En la communion des Saints ;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Evêque de Limoges
Eloin
Le sermon de l'évesque résonna comme un écho dans le cœur meurtri de la moniale, elle qui avait perdu tant de proches à cause de toutes les guerres que les hommes avaient bien pu se livrer depuys qu'elle avait naguère quitté son couvent pour voler de ses propres ailes.

Meshuy elle voyait son cercle d'amys et de parents se rétrécir lentement mais surement, au fil des années, des conflits et des maladies ; tandis qu'elle-mesme semblait résister à tout cela, et se retrouvait contrainte de subir ces deuils à répétition. De sorte qu'elle ne quittait plus la vesture blanche d'abbesse qu'elle s'était fait coudre peu de temps après son ordination. Toujours en blanc, presque toujours en deuil, il en serait certainement ainsi jusqu'à sa propre mort, et quelque part, elle y trouvait son compte.

La voix vigoureuse de monseigneur de Limoges la tira de sa léthargie, et elle reprit le Credo avec un temps de retard.


...
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine ;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible ;
En la communion des Saints ;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Héraldique
Angelo_de_montemayor
Quelque jours plus tôt , Angelo, en voyant un nouveau fidèle, le prit à part pour discuter un peu avec lui pour discuter avec lui de la religion.
Quelques jours plus tard, en entrant dans la paroisse il fut surpris de le voir, devant la porte, un ouvrage a la main... il l'ouvrit et vit en titre La vita d'Aristote. Angelo avait lu les 12 chapitres présentés ici. Il pensa ensuite à sa messe et après avoir longuement hésité, il choisit le dernier de ces chapitres pour son sermon. Il fit alors sonner les cloches de la Cathedrale pour faire venir les fidèles.


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Evêque de Limoges
Elisa.
Même un aveugle avait pu comprendre que quelque chose se tramait depuis maintenant plusieurs semaines au sein du domaine de Saint Bonnet de Bellac. Le domaine était sous agitation perpétuelle. Les valets courraient de droite à gauche, de nombreuses calèches arrivaient et repartaient... Mais personne n'avait encore osé demander ce qu'il se passait...

La princesse quant à elle, s'était faite discrète. S'exilant dans le tranquille petit village de Tulle, à l'abris des regards et de l'agitation de la capitale limousine. Là bas, elle était libre de finir de dicter ses moindres souhaits. Il va s'en dire que le mariage n'avait à prévoir aucun budget limite. Et puis il ne fallait pas non plus oublier que la mère de la mariée voyait toujours les choses en très très grand...

Ainsi, un jeune garçon, blondinet à souhait, s'était lever tôt ce matin là... Il avait une mission a effectuer... Une mission de la plus grande importance. La princesse lui avait confié cette tache, et c'est évidement sans faillir qu'il l'accomplirait... Direction donc la grande Cathédrale de Limoges, où l'attraction n'était pas forcement au rendez vous en ce Lundi. Mais bientôt, peut-être, certains s'agiteraient gaiement sous la nouvelle... Des jalouses pleuraient l'impossibilité d'avoir pour elles le bellâtre Orléanais. Tandis que des hommes se résigneraient à tenter de courtiser l'ancienne princesse à la main libre.... Désormais, ils s'étaient promis l'un à l'autre, sous le consentement de Sa Majesté la Reyne....



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Angelo_de_montemayor
Angelo avait préparéla Cathedrale pour la messe. il alla donc sonner les cloches. Les fidèles commencèrent à arriver etil les accueillit à l'entrée .


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Evêque de Limoges
Angelo_de_montemayor
Angelo attendait les arrivés des fidèles, il tinta les cloches une nouvelle fois
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Evêque de Limoges
Melyna.
Sa pastorale était terminée et bientôt il serait l'heure de son baptême, quoique pour ça il faudrait encore que sa mère et son parrain cesse de bouger et qu'ils puissent rester quelques jours en place !

Aussi quand durant un court passage en la capitale, Mely entendit les cloches sonner c'est à toute vitesse que soulevant ses jupons elle couru à l'église. Zigzagant fort peu fémininement dans les rues pour éviter boue et ordures, la brune ralentie malgré tout l'allure en arrivant devant la cathédrale. Relâchant la jupe de sa tenue, elle la lissa du plat de la main et remis en place une mèche folle derrière son oreille tout en faisant une petite génuflexion devant le prélat, les joues rendues rouge par sa course.


Bien le bonjour mon père...

Mely n'avait pas grande habitude de ce genre de chose et le protocole et elle ça faisait au moins douze ! Le feu de ses joues ne semblant pas vouloir se calmer le demoiselle gagna les bancs où elle pris place, ni trop près, ni trop loin en espérant pouvoir rester jusqu'à la fin de l'office.
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Euzen
Une ? C'est bon. Deux ? C'est bon. Trois ? Trois ...

" Abigail, dépêches-toi !
- Oui suis là !"


Petit sourire qui échappe au Corniaud alors qu'il observe sa fille débouler dans les escaliers. Froufrou et compagnie étaient de sortie avec les trois fillettes. Deux brunes. Une blonde. Deux sosies. Une mouflette. Deux terreurs ... qui ne sont pas les deux sosies... Un ange. Oui, c'est bon, il les avait toutes les trois.

" Bon, on ne traîne pas. On passe chercher Asarine et on file à l'église. Et promettez moi d'être sage là bas !"

Trois petites têtes qui acquiesce vivement, arracha un rire au jeune Montbazon. Pour sur, quand on ne les connait pas, on leur donnerait le bon Dieu sans confession à ces trois là. L'église ? Quelle idée d'y aller. Mais elle avait piquer le jeune homme le matin même en entendant les cloches au loin. Certaine future obligation commencé par un apprentissage ... Maintenant. Alors bon gré malgré, il s'était lever. Mais hors de question d'y aller seul ! Alors il avait embarqué la moitié de la maisonnée. Porte qui souvre et voici la petite troupe dans la rue.

" Et ne courrez pas ou Mathilde va encore m'en vouloir de vous ramener les vêtements tachés et troués..."

Pieux mensonge bien sur. Mathilde ne lui reprochait jamais rien. Ou presque ... Mais un avantage certain de se promener avec un si grand nombre de fillette est qu'il n'y avait pas besoin de faire la conversation. Non point du tout, elles le faisaient parfaitement seules. Se qui laissait tout son temps à leur frère/père de se perdre dans ces songes. Rapidement, ils se retrouvèrent devant l'auberge dans laquelle Asarine avait une chambre. Lui même évita soigneusement d'y mettre les pieds. Vu la pagaille faites quelques temps plus tôt, le patron ne voulait plus l'y voir... Il dû donc y envoyer les enfants. Que c'est susceptible les aubergistes ! Non mais vraiment.

Bref.

Asarine ne fut pas longue à les rejoindre, tirait qu'elle était, par chaque main, par les jumelles. Et ils n'en mirent pas beaucoup plus à rejoindre l'office religieux. Soudain une pensées traversa l'esprit du blond et amusé, se pencha vers son ex future belle mère.


" Dis, heureusement que l'on fait trop jeune pour être leur parents ou ça risquerait de jasé dans l'assemblée des fidèles..." Sourire taquin pour Asarine, puis à l'intention des fillettes qui franchissaient le seuil de la cathédrale. "Doucement et en silence."

Il se donnait vraiment l'impression d'être vieux parfois... A l’intérieur, il y reconnue une jeune Limogeoise rencontré depuis peu. Un léger sourire sur les lèvres pour qu'elle ne lui reproche pas une nouvelle fois de ne pas le faire, il s'approcha d'elle et de l'officiant.

"Bonjour Melyna. Bonjour Monseigneur"

Parole d'Abi mise en accord avec la joueuse.

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Abigail.
Brossage des cheveux en règle, robe comme il faut, les trois donzelles de la maisonnée étaient fin prêtes pour aller sur les bancs écouter la messe.

Abigail avait une tonne de questions dans sa tête de blondinette... l'église, elle ne connaissait que peu. Elle n'avait pas eu l'occasion de suivre de baptême et le silence était nécessaire dans ce lieu, elle n'avait point trop l'envie de s'y rendre trop souvent...

[à l'église, avec Euzen, Asarine et les jumelles]

Elle lache la main d'Euzen et s'approche du bénitier. Quelques villageois se recueillent devant l'autel... demander ? se taire ? la curiosité lui brûle les lèvres pourtant.


Papa ! Papa ! c'est quoi ça !?

Un regard réprobateur, elle s'approche de lui.

C'est quoi l'eau la ? c'est pour que les moineaux ils se baignent ?

Chuuuttttt les villageois se tournent vers elle à tour de rôle. Elle se glisse dans les braies de son père, à défaut qu'il porte des jupons !
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