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[RP] Procés Comté Poitou contre Yuliya et Syd

Choupi22
Les procés en salle publique , une bien belle idée , avait pensé le juge du Comté mais a chaque fois c'est le même bordel, réservation de salle , faire enlever la riche décoration de la salle du château pour que cela ne ressemble pas à une petite fête, faire changer le mobilier, on se rendait pas compte cela prenait du temps en fait et le procés ne commençait jamais quand cela été prévu

bon finalement le grand jour était arrivé, et voila le juge qui entra dans la salle, au même moment q'un préposé s'amusa a crier dans ses oreilles

Le Juge du Comté , Seigneur de Beauvoir Sur Mer, veuillez vous lever

à une époque il aurait occis une telle personne qui lui aurait crié de telle sorte dans les oreilles , surtout qu'il n'aimait pas se faire remarquer quand il rentre à quelque part pour la première fois , mais bon le protocole est ainsi et cela n'ont plus il ne pouvait le changer

il traverse la salle puis prit place derrière le bureau qui était réservé au juge qui allait présider la séance , y posant le volumineux dossier qu'il tenait

puis choupi22 prend la parole



Ce sixième jour du mois de Décembre de l'An de Grasce 1460, nous déclarons ouverte l'audience de prime instance opposant le Comté du Poitou à la dame Yuliya et au sieur Syd .

Celle-ci sera menée par le Sieur Azzazelo en sa qualité de Procureur du Comté du Poitou ; Et nous même, Choupi22, Seigneur de Beauvoir Sur Mer, en notre qualité de Juge du Comté du Poitou.

Le procès sera commun pour ces deux personnes , car les mêmes faits leurs sont reprochés .De plus cela fait suite à leur demande d'être jugé lors de la même séance , en salle publique

Pour commencer , je tenais a rappeler certaines règles élémentaires qui seront à respecter dans le procès à venir.

Comme vous le savez , car nous sommes tous réunis ce jour ici lieu , il s'agit d'une procédure peu commune car audience de cette affaire sera faites ici lieu , et non en la salle habituelle , suite à la demande du couple auquel nous avons accéder .

Maintenant à procédure peu commune , découle des règles peu communes en notre castel qui se devront d'être respecter et que voici :

- Chaque partie se devra de prendre parole quand elle y sera invité par le juge du Comté , c'est à dire moi même
- Toutes prises de paroles qui seraient faites hors de ce cadre et qui amèneraient débordements ou toutes autres formes de provocations seront immédiatement retirées des minutes du procès par le greffier et pourront faire l'objet d'amendes voir de poursuites
- Nous respecterons la procédure des procès habituels lors de cette séance.
Cela signifie que les témoignages des témoins ne sont point soumis à question , et que vous aurez tout loisir de faire des commentaires sur les dépositions lors de votre dernière plaidoirie.

Maintenant ,que les choses sont claires , et acceptés par toutes les parties que cela soit l'accusation ainsi que la défense nous pouvons commencer


Regardant les accusés et le procureur qui se tenait devant lui


Dame Yuliya , Messire Syd, il me semble avoir compris que vous désirez faire appel à un avocat, est ce toujours d'actualité ?

Une fois que nous aurons réponse, Monsieur le procureur, je vous cède la parole afin de procéder à l’énonciation des faits de la présente procédure.

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Syd
La Corneille était sereine. Elle avait l'habitude de traîner dans les tribunaux. En effet, Syd avait été juge du Béarn du vingt-huit juin au vingt-six août 1460. En revanche, il n'avait jamais été du côté des accusés. Ce fait nouveau ne le mettait pas mal à l'aise, puisqu'il était sûr de son droit et de son innocence.

Il se leva quand l'huissier annonça le juge.
Il regarda attentivement le seigneur de Beauvoir-sur-Mer. Il nota la barbichette et s'empêcha de sourire. Il n'avait jamais pu souffrir les excentricités capillaires et pileuses autres que les siennes. C'est d'ailleurs une pure antipathie qu'il avait ressentie en voyant un de ses accusateurs dans la taverne de la Saintes Chope peu avant l'ouverture du procès, un moustachu.

Il écouta parler le juge avec soin. Chaque mot était important car il décidait de son avenir. Être jugé coupable lui couperait l'herbe sous le pied pour tout ce qu'il voudrait entreprendre par la suite, particulièrement dans ce comté du Poitou, où il se rendait pour faire des recherches historiques.

La question du seigneur Choupi le 22ème fut suivie par la réponse franche et concise qui suit :


- Oui, messire le Juge, nous désirons faire appel à maître Cyphus Garion, avocat du Dragon.
Et, si je puis me permettre, mon nom n'est pas Syd, mais Clément de Montbazon-Navailles. Syd est réservé à mes amis.


Il termina par un sourire.
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Cercle des Amis de l'Histoire du Poitou
Choupi22
Et bien cela commence bien une erreur dans l'état civil d'un des accusés, loin de se démonter le juge répondit

Et bien Messire, il semblerait que vous ayez des amis dans la prévôté Poitevine car tout nos rapports de douanes ainsi que le dossier à été rédigé sous le nom Syd

Bien nous enregistrons la modification et veuillez m'excuser de cette petite coquille

Dame Yuliya , je me trompes pas cette fois ci j'espère, vous souhaitez vous aussi être représenté par le Maistre Cyphus Garion et partager la défense de Clément de Montbazon-Navailles ?


il ne restait plus qu'a attendre la réponse de la dame , puis attendre l'arrivée de l'Avocat de la défense , puis le Procureur pourra prendre parole pour énoncer l'acte d'accusation

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Cyphus
Le dragon entre à son tour, salue le juge et rejoint son client sur le banc des accusés. Le temps que le procès ne commence, il le conseille à voix basse.
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Yuliya
La grande rouquine fit également son entrée. Yuliya ne connaissait pas le monde de la justice, n’ayant jamais déposé un orteil dans un tribunal par le passé, ni même eu à porter plainte auparavant. Ironiquement, c’est le jour où elle était brigandée en compagnie de son fiancé au sud de Saintes qu’on l’accusait du même fait, au même endroit, mais quelques jours plus tôt. Incompréhensible pour la jeune femme. Pourtant c’est le visage impassible et calme qu’elle apparut au tribunal, vêtue d’une robe rouge qui ne dissimulait pas son état, sa grossesse se faisant chaque jour plus visible. Le visage impassible certes, mais surtout encore marqué par l’attaque subie quelques jours plus tôt comme le prouvaient les contusions sur le côté gauche de son visage et sur ses pommettes.

Non loin de Syd, Yuliya parcourut le lieu de son regard bleuté. Plus loin le juge s’exprimait, et c’était avec beaucoup d’attention que la Flamme l’écoutait, hochant la tête pour montrer qu’elle comprenait bien tout ce qui était dit. Elle allait répondre, mais son fiancé fut plus rapide. Un sourire se dessina sur ses lèvres en l’entendant parler et surtout rectifier son nom. Une chose que la Béarnaise allait devoir elle aussi faire. Enfin c’était à elle précisément que le juge s’adressa, et logiquement, elle répondit –non sans remarquer l’arrivée de l’avocat qui allait les représenter.


- En effet messire le juge, je souhaite également être représentée par Maître Cyphus Garion et partager la défense de Sy…Clément de Montbazon-Navailles.
Puis-je me permettre aussi de vous demander de me nommer sous mon nom complet, soit Yuliya von Kreizen ? L’information n’a pas dû être remontée étant donné que nous n’avons pas été contactés par la douane à notre arrivée.


La question fut ponctuée par un aimable sourire. Son nom, elle y tenait aussi.
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Syd
L'avocat était arrivé, la Flamme avait répondu à la question du juge. Malgré les erreurs dans l'état civil, le procès allait pouvoir réellement commencer.
Syd se passa la main dans les cheveux et se retourna un instant pour voir le public, il y avait foule. L'honneur du couple était sous l'épée de Damoclès.

Clément avait hâte que la Vérité rayonne.

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Cercle des Amis de l'Histoire du Poitou
Malone
Pour une fois qu'un procès se tenait en la grande salle ... elle tenait à y assister. Dans la petite, elle n'aimait pas trop : manque de place, on se faisait systématiquement remarquer, et puis de toute façon, il fallait déjà y entrer... C'était l'avantage de la grande : un procès public, signifiait procès un peu exceptionnel, de quoi donner l'envie de venir. Même quand on ne connaissait pas le ou les chefs d'inculpation.

A peine les festivités commencées, que le blonde avait déjà de quoi grommeler et se tordre le coup en tous sens. Un membre de la famille au hérisson ?! Et en Poitou en plus ?! Déjà que ça tonnait quand des membres de la famille salissaient le nom de la famille par des mésactions ... le faire en Poitou, promis juré, la cheffe de famille en serait vite informée, non mais ! Enfin, si, justement, "mais" ... mais depuis quand y avait-il un Clément chez les MN ?!

Au bord des lèvres de la blonde, un "t'es l'fils à qui toi ?" fut rattrapé. Pas le lieu. Mais à la sortie ... le Clément risquait fort de ne pas y couper.
Pas le moment de lâcher la garde malgré tout : les présentations faites, le motif d'inculpation allait être annoncé. Les émeraudes montbazonesques se fixèrent donc sur Azzazelo ... alors ?!

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Lilyena
Déformation professionnelle ? non, simple curieuse, comme toujours.

Lily se lève à l’arrivée du Juge Choupi, puis piste ses voisins directs pour s’autoriser à se rassoir. Elle ne connait ni les accusés ni le chef d’inculpation mais un procès dans la grande salle, c’est toujours intéressant, plus que les petites affaires d’impayés d’impôts qu’elle a instruit elle même.

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Choupi22
et bien décidément l'état civil n'était point son fort ce jour

Bien voila maintenant nous sommes d'accord

Puis regardant le procureur


Messire Procureur , je vous en pries
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Azzazelo
Le Procureur fit un signe de tête au Juge puis commença à parler

En ce six décembre de l'An 1460, nous, Azzazelo, Procureur du Comté du Poitou mettons en accusation Yuliya von Kreizen et Clément de Montbazon-Navailles, autrement connu sous le nom de Syd, au motif de Trouble à l'Ordre Public.

Yulya von Kreizen et Clément de Montbazon-Navailles sont accusés d'avoir attaqué Dame Mimosa3 sur la route entre Blaye et Saintes, en territoire poitevin, et de lui avoir dérobé les biens qu'elle possédait. Cet acte de brigandage a été commis dans la nuit du 29 au 30 novembre.

Nous avons en ce
dossier
les preuves du délit : témoignage de la victime, qui a identifié formellement ses agresseurs, ainsi que les étapes de l'enquête de la Prévôté.

Cet acte de brigandage relève du Trouble à l'Ordre Public tel que le définit notre Coutume que je me permets de vous citer

Citation:
II.4-Du trouble à l'ordre public
a. Tout acte portant préjudice à une personne ou à un groupe de personnes, ou susceptible de le faire, de quelque nature qu'il soit, sera considéré comme trouble à l'ordre public. Il en sera de même de tout acte nuisant à la quiétude publique.
b. Sera pareillement considérée toute atteinte aux intérêts du Poitou commise par une personne n'étant pas sujette du Poitou. 


Rappelons évidemment que nul n'est censé ignorer la loi, puisque chacun peut la consulter en Place

 Publique

J'en ai terminé pour le moment, Votre Honneur, et vous laisse le soin d'appeler les accusés ou leur avocat pour leur défense.

C'était bref, c'était sobre, en même temps il n'allait pas non plus faire dans les effets de manche, les trémollos. Une affaire de brigandage, des preuves, un procès, et la Justice qui tranche au final.
Choupi22
Choupi22 Aquiesca de la tête

Merci Messire Procureur,

La parole est à la défense, ou à son avocat .
Nous écoutons votre première plaidoirie avant d’appeler les différents témoins dans cette affaire

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Cyphus
Encore un mot à ses clients, un signe du poing pour les encourager, et l'avocat se lève pour la présentation règlementaire.
-Sire Choupi de Beauvoir sur Mer, juge du Poitou, sieur Azzazelo, procureur du Poitou. Je suis Maître Cyphus Garion, Comte de Châtellerault et Avocat du Dragon. J'assisterai lors de ce procès la partie défenderesse, à savoir dame Yuliya von Kreizen et sieur Clément de Montbazon-Navailles.
Mes clients ont, et c'est la première fois de ma carrière, la courage d'affronter seuls la barre qui angoisse souvent même mes confrères. Je ne serai donc là que pour les conseiller, même si je reste bien entendu prêt à intervenir en leur nom si la pression de cet endroit solennel venait à leur faire perdre leurs mots.

Il hoche la tête pour ponctuer la fin de son intervention, s'écarte sur le côté et invite Clément à s'avancer avec un sourire encourageant.
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Syd
Syd s'avança devant la barre pour faire sa première plaidoirie. C'était nouveau pour lui d'être à cette place au tribunal. En effet, quand il était juge la sérénité venait de son sens de la Justice, là, elle venait de la certitude d'être innocent.

- Sire Choupi, Juge du Poitou, sieur Azzazelo, Procureur du Poitou,
Je suis Clément de Montbazon-Navailles, originaire de Lourdes. Je tiens à préciser mon lieu de domicile, même si vous semblez l'avoir deviné par je ne sais quelle magie. La douane de Saintes ne m'ayant jamais interrogé et je n'ai même pas été accueilli à mon arrivée au Castel poitevin. On m'appelle également Syd, par chez moi en Béarn.

Il reprit son souffle avant d'aborder le vif du sujet.

Je suis aidé dans cette affaire par maître Cyphus Garion que je remercie au passage pour la diligence avec laquelle il a su reconnaître l'injustice et s'efforcer à la combattre par le truchement de ses judicieux conseils.

Je suis donc accusé - et non "coupable de" comme on peut l'entendre dans certains milieux judiciaires non respectueux de la présomption d'innocence - d'avoir, en compagnie de ma fiancée Yuliya, racketté un couple, dame Mimosa et sieur Bruce, au sud de Saintes, la nuit du 29 au 30 novembre.

Le procès se fonde sur une plainte de la première qui n'a, et c'est fort regrettable, pas été lue dans l'exposé de l'acte d'accusation. Aucune preuve n'a été avancée.

Je vais maintenant vous dire ce que je pense du portrait-robot de l'agresseur présumé, produit dans le juste but de répondre à la nécessité de justice, je cite :

"L'homme était brun, vêtu de braies noires, d'une chemise verte et de bottes rouges. Il était armé d'une hache et portait un bonnet de père Noël rouge sur la tête."

Toutefois, comme vous pouvez le remarquer de visu, ce que n'a apparemment pas fait dame Mimosa que j'ai croisé en taverne à mon arrivée à Saintes, je ne ressemble pas à ce portrait.

Quant à ce Bruce, je l'ai rencontré, le jeudi 6 décembre et après m'avoir dit qu'il était enchanté de me rencontrer, il s'est mis aussi à me confondre avec son prétendu agresseur. Quel quiproquo ! Regardez vous même :


fait un tour sur lui même pour que l'assistance le regarde mieux. Puis se passe la main dans les cheveux.

J'apprécie beaucoup ma chevelure, qui est noire assurément. Je la laisse vivre au soleil et je ne suis pas armé.

Il est tout de même assez curieux que les portraits robots - car ma rouqumout est comme son nom l'indique, une rousse flamboyante, autre erreur - soient à ce point focalisés sur les vêtements, alors que la mode est à se changer souvent. Certains adopteraient même les mêmes tenues ! En revanche, mes cheveux n'ont jamais été bruns. Et ils ne peuvent que tourner inéluctablement vers le blanc.

Je serais donc accusé parce que je me suis habillé un matin comme un brigand à qui je ne ressemble pas ?
Est-ce sérieux ? Cela confirme surtout le ridicule de décrire la tenue d'un suspect, si le brigandage est avéré les brigands sont certainement en braies et chemises rouges dans le public en train de rire de votre candeur !

Regard circulaire.

Ah ben non, ils ont dû fuir alors.

De toute évidence, je ne suis pas le malfrat qui a attaqué dame Mimosa et son mari.

Messires, c'est une grave accusation, qui nuit à ma réputation et celle de ma famille qui comme vous l'avez remarqué en voyant ma fiancée, risque de s'agrandir bientôt. Voulez-vous que ma femme accouche en prison, sur les fallacieuses accusations dont nous sommes la cible ?

Il n'est pas acceptable de retenir l'outrecuidante plainte d'une victime présumée insiste sur ce mot surtout si elle n'accuse pas les accusés, comme seul élément à charge.

Quelles sont les preuves ? Pas de témoin. Aucun butin. Juste les affabulations d'une femme qui m'a dit l'autre jour en taverne qu'elle préférerait qu'il n'y ait pas de plaidoirie, ni de procédure et qu'on nous envoie pourrir dans une oubliette. Est-ce cela votre vision de la Justice , messires ? Je ne le crois pas.

Il s'agit donc d'une plainte par défaut. Dame Mimosa a paniqué en voyant mes vêtements qui ressemblaient à ceux de son agresseur (s'il y a bien eu agression), sans même regarder mon visage.


fixe ses deux yeux bleus dans ceux du juge.

Pourtant il y a de quoi apprécier !

Plus sérieusement, elle a paniqué. N'a même pas demandé à son mari de vérifier. Peur et perte de contrôle, elle crie au secours et voilà une mauvaise pioche de la police, qui semble ne pas faire grand cas de la plainte de ma femme, enfin passons. L'erreur est flagrante, mais pas pour tout le monde visiblement à moins que la case "enquête" ait disparu du plateau de la Justice.

J'espère me tromper.
En l'état, rien ne permet de m'accuser, ni la plainte qui n'a pas été exposée, ni aucune preuve.

La question est donc simple : l'accusation affirme aujourd'hui reconnaître des brigands, qui ne répondent pas à leur propre signalement. Quels sont ses arguments ? Quelles sont ses preuves ?

J'aimerais terminer par une lettre d'une personne qui peut témoigner en ma faveur et qui a été envoyée à ma fiancée ; cette dernière atteste que je n'étais pas sur les lieux du "crime" à la date sus-mentionnée.




De moi, Rozenn ar Roc'h-Wenn,
Au tribunal poitevin,

Kaixo !

Qu'apprends-je ? Ma correspondante béarnaise et son fiancé en procès pour brigandage ! Méfait qu'ils auraient commis le 30 novembre ? Impossible.

Ils étaient en vacances en Gascogne le 27, alors je vois mal comment ils auraient pu être là où on a supposé qu'ils étaient pour ce brigandage. Je sais que les chevaux courent vite de nos jours, mais quand même ! Avec une femme enceinte en plus, ce serait risqué de faire courir ces bestioles trop vite, le bébé pourrait sortir en avance à cause des secousses.

Et puis entre nous, si une diaconesse avait des amis brigands, ça se saurait, nan ?

Que le Très Haut veille sur vous, et sur les poitevins tant qu'à faire,

Rozenn.


N'ayant pas le don d'ubiquité, je me permets de terminer par une simple question : Croyez-vous que je serais assez fou pour laisser ma fiancée s'embarquer dans des affaires interlopes nécessitant une force que sa future maternité ne permet plus ?

Je vous remercie de m'avoir écouté, messires et sait que justice sera rendue.


Syd alla se rasseoir et regarda sa rouquine avec tendresse, c'était à elle de s'exprimer maintenant.

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Cercle des Amis de l'Histoire du Poitou
Choupi22
Le juge nota 2 ou 3 choses sur un papier à la suite de la plaidoirie de la défense , puis adressa un regard au procureur

Merci
Messire Procureur , vous pouvez appeler vos témoins

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Cyphus
Cyphus lève le bras.
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