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Les demi-finales – Joutes d'Avril 1460

Deedlitt
Oyez Oyez, voici les noms des braves qui disputeront les demi-finales! Dormez bien mes Seigneurs demain sera une rude journée.

Minerve afficha ce qui devait l'être.

Citation:
Sa Seigneurie Actarius d'Euphor, Vicomte du Tournel, Baron de Florac, Seigneur de Saint-Dionisy et d'Aubemare affrontera Bourguignon de Sorel, Duc de Beaugency, Vicomte de Fronsac et Baron de Chécy.



Citation:
Guillaume de Jeneffe, Grand Ecuyer de France, chevalier de l'Ordre royal de la Licorne, Vicomte de Marchiennes, Seigneur de Wavrin affrontera Sa Seigneurie Argael Devirieux, Marquis de Senlis, Comte de Menin, Vicomte de Monestier de Briançon, Baron de la Tour du Pin, Seigneur de Saint Giraud, de Gavre et de Vinderhoute.


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Deedlitt
[Journée des demi-Finales]

Minerve fît sonner les sempiternelle bucines pour prévenir les jouteurs du début de l'épreuve.


Citation:
Que s'avance sur la lice, Sa Seigneurie Actarius d'Euphor, Vicomte du Tournel, Baron de Florac, Seigneur de Saint-Dionisy et d'Aubemare et Bourguignon de Sorel, Duc de Beaugency, Vicomte de Fronsac et Baron de Chécy.



Première lance...
Les jouteurs s'avancent et finisse d'être parés. Minerve attend quelques instants et donne le départ de l'épreuve. Un tour de chauffe cette fois ci, aucun jouteurs ne touchent.

Seconde lance...
Il ne fallait pas s'en arrêter à cela, les jouteurs font demi tour, ils prennent leur élan, les lances s'abaissent, se croisent, et seul le Pair touche, il brise sa lance, et envoie son adversaire au tapis.
Secoué, mais agile et jouteur expérimenté, le duc se relève sans blessure.


Actarius d'Euphor est déclaré vainqueur.



Citation:
Que s'avance sur la lice, Guillaume de Jeneffe, Grand Ecuyer de France, chevalier de l'Ordre royal de la Licorne, Vicomte de Marchiennes, Seigneur de Wavrin et Sa Seigneurie Argael Devirieux, Marquis de Senlis, Comte de Menin, Vicomte de Monestier de Briançon, Baron de la Tour du Pin, Seigneur de Saint Giraud, de Gavre et de Vinderhoute.



Première lance...
Pour ce dernier duel des demi-finales, Minerve attend que les jouteurs soient prêts et donne le départ. Ils prennent le chemin de la lice avec fougue et vitesse. Les lances s'abaissent et se croisent, celle du Marquis touche alors que le Chevalier n'a pas le temps d'ajuster sa lance. La Pair brise sa lance, et envoie le Grand Ecuyer au sol. Celui-ci se relève sans blessure.


Argael Devirieux est déclaré vainqueur.

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Actarius
[Actarius VS Bourguignon]


A peine dépouillé de son armure dans le secret de sa tente, le Mendois porta sa main droite sur son coeur. Le listel... comment ne pas y voir un signe ? Comment expliquer cette série de succès improbable autrement que par la présence de ce don près de sa poitrine enflammée, par l'aveu d'amour qu'il représentait ? L'Euphor lui avait déjà réponse à ces questions. Il se sentait transporté. Les doutes présents au début du tournoi s'étaient estompés sous l'éclatante évidence de cette volonté divine. Il triomphait parce qu'elle l'aimait, il triomphait parce que c'était ainsi qu'elle l'aimait. Fort, indomptable, victorieux.

Implacable dans sa réflexion, il en arriva à la simple conclusion que ce tissu offert, que ce serment échangé reléguait l'impossible aux oubliettes. Un miracle. Leur amour réciproque était un miracle au point de le rendre titanesque sur la lice, au point de la rendre heureuse... elle l'avait dit. L'état du Vicomte poussait jusqu'à la vésanie tant l'entrelacement des sensations diffuses et contradictoires avait disparu, tant la vérité était limpide. Un miracle. Il déroula le listel devant lui. "Aultre n'aurai". Chaque lettre semblait s'imprimer dans l'ocre de ses yeux. De fait, c'était toute la devise qui se gravait en son âme et avec elle tout ce qu'elle véhiculait de merveilleux. Ce tissu d'albâtre aurait pour peu pris les traits d'un cerf blanc, mythique animal liant le monde réel à un au-delà féérique, passeur près duquel se mêlaient les apparences pour mieux accoucher d'une évidence. Une évidence incarnée sous un refuge, un ailleurs. Pour Tristan et Iseut, cela avait été la pierre froide et humide d'une grotte, pour Actarius et Ingeburge la toile d'une tente. Une évidence qui n'était autre que l'amour.

Le Mendois, las pour lui, ignorait tout de Gottfried von Strassburg*. Mais cette inculture ne l'empêchait pas de jouir encore pleinement de cette féérie qu'il avait traversée l'espace d'une visite irréelle. Puis, cette ignorance lui épargnait surtout la douloureuse perspective d'une fin tragique. Le douce brume de son "Aultre Monde" ne s'était pas encore dissipée lorsqu'il apparut sur la lice, lorsque son regard glissa sur les tribunes, puis sur son adversaire, son ancien compagnon d'armes et d'infortune en terres provençales. Bourguignon... Un rude obstacle qui inspirait respect et aurait fait naître un peu de crainte auparavant. Mais le Phénix avait oublié jusqu'à la peur dans l'au-delà qu'il survolait désormais. Comme lors des deux duels précédents, il triompha, comme lors des deux duels précédents, la première passe nulle avait encore décuplé sa confiance. Victorieux, encore, son poing de fer rejoignit son coeur puis se leva vers le ciel. Mais l'issue différa. Il releva sa visière et salua le brave Orléanais d'un sourire.
Heureux de te revoir Bourguignon ! Quelques mots francs pour signer un retour à la réalité peut-être dommageable pour la suite.


*Gottfried von Strassburg, poète allemand des XIIe et XIIIe siècle, auteur de Tristan und Isold (1210)

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Neyco
Demi finales.

Toujours présente? Et oui surtout qu'ils n'avaient finit les fut à force ils espéraient pouvoir les achever avant de reprendre route pour le mariage de son cousin puis filer à Orléans pour les joutes suivantes. Planning de Roy? Possible mais c'était pour le bien de son cousin ce petit détour.

Regardant contre qui le Marquis allait se battre, la mini avait vêtu couleur bleu vu le temps se maintenant.

Chacun avaient fanion aux couleurs du marquis. Plus qu'à prier ou attendre.

Devirieux, allez marquis!!!!!

Les deux mini faisant petite danse, forcément le mini de la grande mini sautait plus que dansait mais dans l'élan on pourrait imaginer qu'il voulait faire pipi.

Regardant les jouteurs, la mini croisa les doigts toujours mode souriante. Bon sang certes il y avait conflit d'intérêt un de ses chefs VS l'ancien suzzerain de feu sa cousine. Peut importe elle encouragerai le Marquis pour sa cousine.

Une lance, rapide, un éclair.

Nom d'un biscuit.


Applaudissant, encore une fois, elle félicita les deux jouteurs après tout c'était une belle joute bien que rapide.

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Argael
Guillaume de Jeneffe, Grand Ecuyer de France, chevalier de l'Ordre royal de la Licorne, Vicomte de Marchiennes, Seigneur de Wavrin……Que dire de plus, combien d’occasion entre lui et son épouse de côtoyer cet homme.

De la même génération les deux hommes partagés bien des choses assurément, bien des visions, et si leur chemin se sont souvent croisés, étrangement leur champ d’action fut souvent différents mais point toujours.

Guillaume de Jeneffe, au delà de l’homme, il s’agissait d’une plume d’un esprit aiguisé comme aux premières heures de maturité.

Etrangement bien que tous les deux aguerris à l’exercice des joutes il ne se souvenait point avoir eu à l’affronter, de nombreuses inscriptions communes mais point de rencontre fratricide. Combien d’années au service de la Couronne de France et au-delà combien de temps consacré au Royaume selon une certaine idée de la noblesse, il ne valait mieux pas compter, les années s’égrèneraient que de trop, les renvoyant à leur cheveux grisonnant, et à compter leur blessures que constellent leur corps….

Ne rien changer aux habitudes, rester dans sa bulle malgré l’adversaire, ne penser qu’à quelques verres alcoolisés à l’issue, il en avait des choses à dire au licorneux, mais il était déjà temps de monter en selle.

Armure brillante sous le soleil, déjà la chaleur montée dans l’armure magnifique du marquis, le rang de la noblesse souvent pouvait se mesurer à cette dernière. Combien d’heure sur cet acier, pour travailler les articulations, en cette heure c’est bien les artisans qui tremblait de devoir la retravailler dans le cas d’un choc puissant ou d’une chute….


Citation:
Que s'avance sur la lice, Guillaume de Jeneffe, Grand Ecuyer de France, chevalier de l'Ordre royal de la Licorne, Vicomte de Marchiennes, Seigneur de Wavrin et Sa Seigneurie Argael Devirieux, Marquis de Senlis, Comte de Menin, Vicomte de Monestier de Briançon, Baron de la Tour du Pin, Seigneur de Saint Giraud, de Gavre et de Vinderhoute.



Première lance...
Pour ce dernier duel des demi-finales, Minerve attend que les jouteurs soient prêts et donne le départ. Ils prennent le chemin de la lice avec fougue et vitesse. Les lances s'abaissent et se croisent, celle du Marquis touche alors que le Chevalier n'a pas le temps d'ajuster sa lance. La Pair brise sa lance, et envoie le Grand Ecuyer au sol. Celui-ci se relève sans blessure.


Argael Devirieux est déclaré vainqueur.

Les drapeaux s’abaissent, les chevaux s’élancent, bien vite la distance s’amenuise…. Le choc

Une lance qui touche et qui brise, un noble à terre. Chose surprenante, le montagnard n’a pas croisé la lance adverse, il est en finale….

Dans l’assemblée, elle est la elle applaudit sa victime du tour éliminatoire, il sourit quelque part cela lui rappel Sa Lily Jane, sa vassale rappelé trop vite trop tôt auprès du Très Haut, un signe en sa direction, une invitation à la rejoindre sous sa tente pour quelques victuailles….


….Guillaume, accepterais tu un peu de génépi ? Je t’offre une revanche à ta convenance chevalier, assurément la chance ce jour était pour moi, ou la déveine de ton côté. Ah et j’y songe, tu côtoies un futur père, la marquise attend un enfant quelque chose me dit qu’il s’agira d’un fils…..

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PLUS DE BLASON EN SIGNATURE ALORS HEUREUX ??? Mode révolte ON
Pair de France
Marquis de Senlis
Comte de Menin
Vicomte de Monestier de Briançon
Baron de la Tour du Pin,
Seigneur de Saint Giraud, de Gavre et de Vinderhoute
Guillaume_de_jeneffe
Deedlitt a écrit:
Que s'avance sur la lice, Guillaume de Jeneffe, Grand Ecuyer de France, chevalier de l'Ordre royal de la Licorne, Vicomte de Marchiennes, Seigneur de Wavrin et Sa Seigneurie Argael Devirieux, Marquis de Senlis, Comte de Menin, Vicomte de Monestier de Briançon, Baron de la Tour du Pin, Seigneur de Saint Giraud, de Gavre et de Vinderhoute.



Première lance...
Pour ce dernier duel des demi-finales, Minerve attend que les jouteurs soient prêts et donne le départ. Ils prennent le chemin de la lice avec fougue et vitesse. Les lances s'abaissent et se croisent, celle du Marquis touche alors que le Chevalier n'a pas le temps d'ajuster sa lance. La Pair brise sa lance, et envoie le Grand Ecuyer au sol. Celui-ci se relève sans blessure.


Argael Devirieux est déclaré vainqueur.


La fatigue, il l’avait déjà sentie à la fin de son quart de finale. Et, comme il l’avait présagé, elle ne s’effaçait pas. L’âge, encore, se rappelait à lui. Alors qu’à la guerre il ne faiblissait pas avant les derniers instants du combat, aux joutes, il se trouvait de moins en moins vigoureux, lors même que l’effort était pour le moins incomparablement moins important. Peste soit de ce satané engin qu’est le corps humain ! Et ce n’était pas en assistant au duel qui le précédait que les choses s’arrangeraient. À voir l’énergie déployée par l’autre vicomte, celui du Tournel, le Flamand en vint à se dire qu’il n’aurait jamais cette force…

Baste, déjà on l’appelait pour affronter un ancien frère d’armes, l’époux de l’une de ses plus chères amies, l’un des rares marquis de France, le Devirieux. Rude adversaire que celui-là. Allez, au moins le toucher une fois. C’est tout de même pas le Danemark ! Bah oui, le Pérou, on l’a pas encore découvert, ‘z’étiez où pendant vos cours d’Histoire ?

Une grande inspiration et on y était. Déjà le signal est donné. Les éperons s’enfoncent dans les flancs de sa monture. Le cheval décolle presque. Le sable s’envole. La lance s’abaisse. La vision se fait un peu plus floue. La prise moins assurée. L’arme s’égare à chatouiller l’air. Le plastron s’enfonce. Les étriers glissent sous ses solerets. Il tombe.

Il tombe pour s’entendre tutoyer. Diable, tout change-t-il si vite dans ce monde ?


- Marquis, vous me donnez du « tu » maintenant ? Qu’est cela ? Une manifestation de votre si haute noblesse ?

Le ton était rieur, de sous le heaume. Se redressant, le chevalier poursuivit.

« Mais je m’en serais voulu de blesser un futur père. Et la marquise m’aurait fait écarteler vif. Aussi accepté-je votre invitation avec grand plaisir ».
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Ingeburge
[Tribunes]


Toujours sous le coup la découverte de la présence de sa filleule à Vincennes, de sa rencontre avec celle-ci et cette sensation éprouvante que le Mal était revenu, elle s'en vint assister, machinalement, aux demi-finales. L'envie y était mais se voyait disputée par la conviction qu'elle ne pouvait continuer ainsi. Pourtant elle était là, irrésistiblement attirée, partagée entre son idée du bien et du mal, rendue incertaine. Lui-même, d'ailleurs, semblait moins faire cas d'elle, s'il avait porté sa main sur son cœur – encore – puisqu'il venait de gagner – encore – il ne sembla pas la voir. C'était stupide, assurément stupide, que pouvait-elle apercevoir de là où elle se trouvait? Pas grand chose, si ce n'est rien, mais les trois fois précédentes, elle avait eu la sensation qu'il lui avait dédié un de ces coups d’œil qui pour être bref, n'en étaient pas moins ardents.

Il lui fallut toute sa maîtrise et l'habitude du monde pour ne pas descendre des tribunes à vive allure alors qu'il s'éloignait. Elle tâcha donc d'assister à la passe d'armes entre le gentil marquis de Senlis et le pénible vicomte de Marchiennes. Son argument pour tenir en place? Ce serait de ce duel-là qu'émergerait l'adversaire de l'Euphor. Le nom connu suite à la chute – niark – du Grand Ecuyer de France, elle s'échappa des gradins.

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