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Les Enfants de Chritos : Asile pour orphelins

Kiki9
Kiki souria quand Renard retira ses barbes, elle pensa de suite à Lys mais elle n'allait pas aborder le sujet maintenant, Renard l'invita à entrer, elle le suivit puis se posa sur une chaise.
Elle ria quand il lui dit c'est vraie que je te trouve maigrichonne, elle ne put s'empêcher de lui repondre en plaisantant:


Oui t'as vue comme je suis maigre, c'est la faute à Fayom, il nous donnait pas à manger, à part un ou deux morceaux de viande de temps en temps, ça nourrit pas un homme ça!

Elle le regarda se dirigeant vers la cuisine et décida de l'accompagner.

Tu veux un cou de main je peux peut être t'aider à faire quelque chose, sinon oui mon voyage de retour c'est trés bien passé, à part une ou deux fois peut être ou j'ai oublié de suivre, mais bon tu me connais moi et ma tête de linotte, on me changera pas.

Petit sourire aux lêvres elle lui demanda:

Et toi quoi de neuf ici, qu'est ce qu'il s'est passé pendant mon absence, déjà je vois que tu as reussi à faire ton orphelina, tes projets se sont donc concrétisés.

Elle entendit comme un bruit prés de la cheminé, peut être une souris qui rodait par là ou un chat que venait quémander son bol de lait, elle s'approcha doucement pour voir.
Renard
Renard faillit sursauter quand il vit que Kiki l'avait suivit, et que par ce fait il avait crié pour rien.

Bien sûr que tu peux m'aider, quoi que je ne sache pas encore ce que j'allais t'offrir.

L'Irlandais sourit en coin lorsque Kiki lui parla de son voyage. Les choses ne changeaient pas beaucoup finalement.

Kiki a écrit:
Et toi quoi de neuf ici, qu'est ce qu'il s'est passé pendant mon absence, déjà je vois que tu as reussi à faire ton orphelina, tes projets se sont donc concrétisés.


Ils entrèrent tous deux dans la cuisine.

Oui, je suis bien heureux de voir ce projet se concrétiser. Et aussi, je me suis fi... Mais c'est quoi ça?

Un sac de farine dormait sur le sol en plein milieu de la cuisine et un léger nuage blanc enveloppait une partie de la pièce. Kiki s'approcha doucement de la cheminée à l'instant où Renard réalisa le danger de la chose. Il y avait quelqu'un ici!
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Daenerys_
Ce que Louis Henri appelait la caravane, c’était en fait une sorte de village ambulant. Un village sans maire, sans conseillers municipaux, où la bonne humeur ne régnait pas toujours, mais constitué de gens sachant que les affaires seraient meilleures s’ils restaient ensemble. Il y avait le Gros Fred, qui possédait trois des chariots du convoi. Ils n’étaient jamais pleins, afin qu’il y ait toujours la place pour ajouter des marchandises achetées à bon prix, histoire de les revendre quelques villages plus loin pour des sommes exorbitantes. C’est lui qui avait appris à Louis Henri à compter sur un boulier, à utiliser une balance pour peser le blé, les fruits et la viande. Et aussi à la bricoler pour avoir moins à payer ou plus à gagner. Le Gros Fred n’était pas un mauvais bougre, mais il ne fallait pas le fâcher. Sinon, c’était une taloche et pas de repas jusqu’au lendemain, Louis Henri l’avait vérifié assez souvent… Il y avait aussi la vieille Nan, qui savait quelles plantes vous soignaient un rhume, quelles autres appliquer sur une cheville foulée ou un bras cassé. Si la vieille Nan était la plus gentille, c’était Loïse la plus jolie. Loïse était la fille de Gérard et de Mirla, qui n’achetaient et vendaient que des étoffes. Le Gros Fred et les autres les raillaient souvent, parce qu’ils auraient pu se faire plus d’argent et trempant dans d’autres commerces. Mais Mirla et Gérard étaient comme ça, seuls les tissus et les vêtements les intéressaient. Et leur fille, Loïse, était la plus jolie.

Mais voilà, la caravane était repartie. Louis Henri, lui, était toujours à Niort. Par les temps qui couraient, les affaires se faisaient difficiles et une bouche à nourrir coûtait cher. Et comme cette bouche à nourrir n’était le fils de personne et que personne ne savait vraiment d’où il venait, personne n’éleva d’objection quand vint l’heure de se remettre en route. Le garçon ne comprenait pas. Il ne comprendrait que bien des années plus tard qu’il était devenu un poids pour les seules personnes qu’il connaissait et qu’elles avaient jugé préférable de l’abandonner. Pour le moment, il ne cherchait pas à comprendre. Ils étaient partis, c’est tout, ce n’était pas grave. Il avait bientôt treize ans, il ne connaissait rien au monde, mais ce n’était pas une grosse affaire.

Avisant des bruits de conversations dans une taverne, il y entra. Il y fit la connaissance de Kiki, Johnston et Melie. Au début, il avait été surpris. Ils s’étaient tout de suite intéressés à lui, lui demandant comment il allait, d’où il venait. Les inconnus qu’il avait rencontré jusque là lui demandaient combien coûtait son maïs ou quand ses poisson avaient été pêchés, rien d’autre. Le Gros Fred lui demandait parfois s’il avait faim, la vieille Nan s’il avait mal. Quant à Loïse, elle l’ignorait. Mais ces gens-là, il ne les connaissait pas, et pourtant ils voulaient l’aider. Louis Henri était surpris. Ce n’est pas qu’il ne voulait pas de leur aide, mais à treize ans ou presque, il pouvait se débrouiller tout seul.

Il comprit par la suite que leur aide ne serait peut-être pas de trop. Quand il suivait la caravane, il aidait le Gros Fred à compter, charger et décharger ses marchandises et ce dernier lui donnait à manger. La nuit, il se couchait sous la bâche d’un chariot, ou bien à côté du feu. Mais le Gros Fred était parti avec les autres et il ne lui donnerait plus à manger. L’argent, Louis Henri savait ce que c’était. Il en avait tenu assez entre ses mains pour savoir la valeur que lui accordaient les gens. Mais jamais il n’en avait eu à lui. Et voilà qu’on lui disait où le pain était le moins cher, pour qu’il puisse l’acheter sans se ruiner. L’acheter, lui. Avec son argent. Louis Henri était fébrile à cette idée, mais elle lui faisait aussi peur.

Heureusement, on lui avait également conseillé d’aller voir Renard. Renard s’occupait des orphelins et des voyageurs. Renard pourrait l’aider. Alors Louis Henri se rendit chez Renard, parce qu’il aurait probablement besoin d’aide.
Lys
Lys vit une ombre approché, son cœur battait fort sa gorge et ses cotes lui faisait mal ainsi elle ne fit pas attention aux voix. Par peur elle s’élança poêlon en l’air pour frapper. Puis elle reconnu Kiki et baissa son poêlon juste à temps.

Kiki, chuchota t-elle en fronçant les sourcils. Ca va pas d’arrivé comme ça sans prévenir ! Tu m’as fait une peur bleu. La prochaine fois... je sais pas moi... envoi moi des signaux de fumé.

Lys balaya la pièce du regard et vit Renard. Elle devint rouge et baissa la tête.

Jour
Kiki9
Il lui avait bien sember entendre tousser, cette toux elle la connaissait car Lys à chaque passage en taverne se raclait souvent la gorge, la voilà qui sortait de derriére sa cachette poëlon à la main, Kiki pour lui faire peur leva son baton et aussi pour se protéger, elle ne voulait pas non plus être assomée.
Elle éclata de rire quand elle vut Lys et lui dire qu'il faudra qu'elle la pévienne la prochaine fois.


Alors la belle qu'est ce que tu fais là pourquoi te caches tu? tu n'as rien à craindre!!!

Elle entendit la grosse porte s'ouvrir, décidement il y avait du monde dans cette demeure, c'est qu'elle avait faim et elle aurait bien mangé une bonne omelette.
Kiki laissa Renard et Lys pour se diriger vers le holle de l'entrée, c'était Louis Henry, apparement il avait eut moins de difficulté à trouver la bâtice, elle alla à sa rencontre pour le saluer.


Bonjour Louis, je vois que tu as trouvé l'orphelina, Renard est dans la cuisine suis moi, je vais te le présenter.

Elle se dirigea vers la cuisine avec Louis et fit les présentations.

Renard je tiens à te présenter Louis Henry, le pauvre n'a pas d'endroit ou dormir, c'est pourquoi John Melie et moi lui avons indiqué cette endroit, je vous laisse faire connaissance.
Lys si tu venais avec moi, on va préparer une bonne omelette, je suis sûre que vous devez tous avoir faim et il faut bien nourir l'ogre avant qu'il nous mange.


Elle si mis à rire, puis commença à préparer de quoi manger.
Daenerys_
L'orphelinat n'avait pas été dur à trouver, c'était le plus grand bâtiment de la rue. Louis Henri ne savait pas trop comment se comporter pour aller chez les gens, il n'avait jamais habité dans une maison et n'avait jamais eu d'amis, en dehors de la caravane, à qui rendre visite. Quand le Gros Fred se rendait chez un client, il rentrait simplement dans la boutique. Alors le garçon poussa la lourde porte et entra. Il déboucha dans un grand hall et aurait été perdu si, quelques instants plus tard, n'était pas arrivé Kiki. Il ne l'aurait jamais avoué, mais il était bien content de tomber sur quelqu'un qu'il connaissait.

Salut Kiki ! Oui j'ai trouvé, c'était assez facile. D'accord, je te suis.

Sur les talons de Kiki, guidé par les effluves provenant de la cuisine, il se rendit à la cuisine et y découvrit le fameux Renard en compagnie d'une jeune fille. Cette jeune fille, il la connaissait, c'était Lys ! Il l'avait rencontrée à la taverne, elle aussi.

Salut Lys ! Bonsoir m'sieur Renard. Oh oui, j'adore les omelettes ! Dis Kiki, tu mets pas de légumes dans tes omelettes ? J'aime pas les légumes, alors faut pas en mettre...

Il se tourna vers Renard, le regarda, baissa les yeux et le regarda à nouveau. Il ne savait pas trop ce qu'il devait lui dire : il ne pouvait pas simplement lui demander à manger et un endroit pour dormir s'il ne travaillait pas un peu pour lui. Mais Louis ne savait pas quel travail Renard faisait, ni s'il serait capable de l'aider ou de faire des tâches secondaires. Il se décida donc à essayer la technique inverse, demander ce dont il avait envie et attendre de voir ce qu'on demandait de lui en échange. Au pire, il se prendrait une taloche, ce n'était pas grave...

Kiki a dit que je pourrais dormir ici, je peux ? Je sais compter et je peux porter des choses, si c'est pas trop lourd, j'ai pas peur de travailler.

Il attendit la réponse de Renard, la tête baissée.
Renard
Alors que ses sens lui dictaient la prudence, Renard cherchait rapidement à proximité un objet pouvant lui servir d'arme, quand ce fut la tête de Lys qui sortit de derrière la cheminée. Ouf! Il ne se serait pas pardonné d'avoir frappé la jeune damoiselle, même si parfois elle pouvait mériter une bonne fessée.

Qu'est-ce que tu fais là Lys? Tu viens vandaliser ma cuisine?

L'Irlandais la regardait avec ses grands yeux réprobateurs. Il fit aller son doigt devant elle avant d'ajouter:

Tu vas me nettoyer tout ça! Et nous verrons ensuite si je dépose une plainte auprès de Flamel. Bien entendu, Renard n'avait aucunement l'intention de porter plainte pour infraction, mais l'idée de donner la frousse à Lys pour que celle-ci comprenne la gravité de son action lui semblait plus qu'approprié.

Kiki arriva avec un jeune homme qu'elle lui présenta.

Enchanté, Louis Henri. Commençons par nous sustenter et ensuite je te montrerai ton lit, tu nous conteras ton histoire autour d'un bon repas... avec quelques légumes, bien entendu. Ajouta-t-il un sourire en coin.
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Valentina_dafirenze
Valentina était venue à l’orphelinat pour voir son amour, Renard.
Elle se trouva devant la porte qu’était restée ouverte, certainement pour inadvertance.
Val entendit des voix dans la cuisine elle s’y dirigea.


Elle vit doux et beau fiancé assis avec Lys et Louis, alors que Kiki s’activait autours des fourneaux….rien d’étonnant car visiblement cette dernière sentait le besoin d’être la maitresse de lieux en toute situation. Enfin… cela commençait à déranger Val au plus haut point.
Surtout après la scène que Kiki s’était permise de faire à la taverne…pitoyable !

Bonsoir mon amour, bonsoir tout le monde !
Kiki je ne savais pas que l’on t’avait embauché en tant que femme à tout faire ici ! Décidemment on te trouve de partout…là où il y a Renard. Mais Max, n’a pas besoin de toi au moulin ?


Elle rigola intérieurement. Elle s’approcha de Renard et l’embrassa tendrement.

Par contre il faudra te concentrer car ça commence à sentir le cramé.

Elle se dirigea vers la fenêtre pour l’ouvrir et laisser sortir la fumée qui devenait épaisse.


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Lys
Alors la belle qu'est ce que tu fais là pourquoi te caches tu? tu n'as rien à craindre!!!

Eh bien c’est que je suis entré sans être invité vois-tu, dit-elle en toussant tout en surveillant la réaction de Renard et en rangeant son poêlon. Il avait l’air un peu surpris de la voir là dans sa cuisine. Mais son air surpris fit vite place à un regard sévère.

Qu'est-ce que tu fais là Lys? Tu viens vandaliser ma cuisine?

Euh… eh bien… je cherchais mes barbes. J’ai du retourner quelques petits trucs ici et là, murmura t-elle en faisant des traces avec la farine sur le sol.

Tu vas me nettoyer tout ça! Et nous verrons ensuite si je dépose une plainte auprès de Flamel.

Quoi !!! redressa vivement la tête un peu inquiète. Oh non J sera fâché si je vais encore en prison. La porte… elle était mal fermée et la cuisine… était déjà très mal rangée, rougit d’avantage suite à son mensonge. Fin bon je veux bien passer un petit coup de balais, ajouta t-elle d’une petite voix étouffé par une quinte de toux.

Distraitement elle se frotta les côtes remettant quelques objets en place puis saisi un balais et entrepris de débarrasser le sol de la farine. Elle n’avait pas fait attention au départ de Kiki et ne remarqua pas non plus son retour accompagné de Louis. Ce n’est qu’en entendant son nom qu’elle redressa la tête.

Salut Louis, se contenta t-elle de dire ne sachant comment réagir fasse à Renard.

Avait-il passé l’éponge ? Elle n’avait pas du tout envi qu’il contacte Flamel. Elle fut tiré de ses pensés par Kiki qui requérait de son aide pour faire une omelette.
Elle grommela : le ménage puis la cuisine ! A croire qu’ils me prennent pour une femme !

Mais Kiki qui avait l’air d’avoir vraiment faim se mit au travail sans l’attendre. Lys tout en toussant se réjoui d’avoir rangé son poêlon. Puis vient Val qui dit bonjour à tout le monde et que bien sur elle salua. Val trouva que l’air sentait le cramé. Lys haussa les épaules depuis qu’elle était malade elle avait un odorat moins alerte.
Daenerys_
Enchanté, Louis Henri. Commençons par nous sustenter et ensuite je te montrerai ton lit, tu nous conteras ton histoire autour d'un bon repas... avec quelques légumes, bien entendu.

Louis Henri releva la tête. Il était content que Renard ait l'air d'accord de l'accueillir. Sinon, il aurait trouvé une grange où dormir ou, au pire, un chariot sous la bâche duquel se coucher. Mais un lit, c'était quand même mieux, et s'il fallait manger quelques légumes pour y avoir droit, il se forcerait. En plus il commençait à avoir faim et le repas ne serait certainement pas composé que de légumes, Kiki avait parlé d'une omelette. En étant assez discret, il pourrait même jeter ses légumes par terre, la cuisine était déjà un peu sale, personne ne remarquerait rien. Et si vraiment, il dirait que c'était Lys.

Sur ces entrefaites arriva Valentina. Elle avait dit à Louis que ses amis l'appelaient Val, mais il ne savait pas si il était son ami ou pas. Il ne voulait pas trop s'avancer, alors il la joua prudemment.


Bonsoir Valentina ! Comment tu vas ?

Il renifla quand elle fit une remarque sur l'odeur, mais ça ne le choquait pas particulièrement. Les abattoirs, voilà ce qui sentait mauvais, Louis en avait déjà visité un. Mais de la nourriture, même un peu cramée, restait de la nourriture et sentait bon. Surtout quand on avait faim... Certes, il y avait un peu de fumée dans la pièce, mais beaucoup moins que quand on faisait brûler du sapin pas sec. En plus, il faisait froid dehors et l'air glacial allait entrer par la fenêtre...

C'est bientôt prêt ?

Décidément, il avait vraiment faim !
Kiki9
Kiki continua à faire son omelette, elle se mit à rire aux propos de Renard, des légumes dans une omelette, bof bof!!!

Louis lui demanda si c'était bientôt prét, elle lui sourit et lui dit:


Je met sur le feu et c'est partie.

Lys était un peu génée, elle les laissa se débrouiller avec le maitre de ces lieux, Val fit son entrée, Kiki la salua comme il se doit.

Bien le bonjour Val, comment vas tu?

Puis elle fut surprise sur ce qu'elle lui dit, même assé attristé, elle ne comprenait pas trop sa réaction d'un coup, Kiki ne voyait ce qu'elle avait fait de méchant, elle était juste venue rendre visite à un viel ami qu'elle n'avait plus vue depuis longtemps et elle voulait surtout voir son orphelinat.

Bonsoir mon amour, bonsoir tout le monde !
Kiki je ne savais pas que l’on t’avait embauché en tant que femme à tout faire ici ! Décidemment on te trouve de partout…là où il y a Renard. Mais Max, n’a pas besoin de toi au moulin ?


Ben j'étais juste venue dire bonjour à Renard, je viens de rentrer de mon voyage, il m'a juste proposé un bon repas et les deux ptis térribles ont l'air d'avoir faim aussi, mais si tu ne veux pas de ma présence ici je peux trés bien me retirer, Max pour le moment est trés occupé à faire la fabrication de sa farine, pour cela il est le seul expérimenté, donc non là il a pas besoins de moi.

Elle la regarda puis se demanda pourquoi elle dit que son omelette sentait le cramer, elle était tranquillement entrain de dorer, certainement la fumé de la cheminé rien d'autre.

Baveuse ou pas l'omelette?

Elle finit sa préparation et la déposa sur la table.

Bon je vois bien que ma presence n'est plus de mise dans ses lieux, donc je vais vous laisser en famille, bon appetit à tous et à trés bientôt.

Elle salua tout le monde, puis tourna les talons et sortie, c'était le coeur gros et plein de tristesse qu'elle quitta l'orphelinat.
Lys
Lys restait en arrière toujours indécise.

Baveuse ou pas l'omelette ?

Cette question l'étonna. pour elle une omelette était une omelette. Elle s'approcha pour regardé. ça sentait bon. Sans pouvoir se contrôlé son estomac se mit à gazouiller. ça l'embarrassa et elle rougit. Tout en regardant l'omelette de Kiki, elle ne fit pas vraiment attention aux mots de cette dernière mais elle comprit qu'elle partait.

Bonne fin de journée Kiki. Elle est très belle ton omelette.

Elle salua Kiki et la regarda partir. Puis son regard se reporta sur la cuisine.
Renard
Renard avait quelque peu été dépassé par les évènements. Son amour était arrivé alors qu'il parlait avec Louis et il avait vaguement entendu la remarque que celle-ci fit à Kiki. L'Irlandais savait néanmoins qu'une certaine tension s'était installée entre eux deux, ce qui ne manquait pas de le chagriner.

Préférant régler ce qu'il y avait à régler en temps opportun, et ce, entre adultes, il laissa Kiki partir, en prenant soin de la remercier pour son aide avant de s'installer à la table avec ses invités. Il invita sa douce, la jeune Lys et le nouvel arrivé, Louis-Henri à joindre leurs mains pour la bénédiction du repas. Après quoi, il plongea avec envie dans la ragoûtante omelette préparée.


Alors dis-moi Louis-Henri, qu'est-ce qui t'amène à Niort?
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Valentina_dafirenze
Valentina s’installa à table, cependant elle était glacée de remords.
Certes, elle avait été blessée par le comportement de Kiki, qui de plus ne voulait pas l’admettre, mais ses valeurs et son éducation lui empêchaient de tolérer la réaction qu’elle avait eue. Kiki avait sans doute poussé le bouchon un peu loin mais bon...Dans sa tête baleina le souvenir de sa maman toujours douce avec tous.
D’instinct elle se leva, fit un sourit timide à son amour et à l’assemblée et sortit en courant.


Kiki était encore devant la bâtisse, ne lui fut pas difficile de la rejoindre, elle lui pris le bras et lui dit :

Je suis navrée Kiki, reviens dedans s’il tu plais, ta place est mise…nous allons nous partager ta bonne préparation et je m’occuperais de la vaisselle avec Louis: cela lui fera faire connaissance avec l’eau puisqu’il veut devenir pirate.

D’ailleurs il y a un truc dont je voulais te te parler….


Val souhaitait détendre l’atmosphère.

Tu sais Kiki, dans quelques jours ce sera l’anniversaire de Renard. (hrp : décalage entre action et date réelle ! ) Qu’en penses-tu d’organiser un diner ou bien même la pendaison de la crémaillère de l’orphelinat à cette occasion ? On pourra le faire ensemble car je sais que tu es calée pour cela, hein ?

Elle regarda Kiki doucement. Elle lui sourit, et en la trainant par le bras elles firent retour à l’intérieur.
Val attendit que Renard eut fini sa prière, pendant que Kiki prenait place, pour s’approcher de son oreille et lui murmurer :


Je suis désolée mon amour, ça c’est encore un coup de ma folle passion, la même que tu aimes tant en d’autres circonstances…

Lui fit un petit sourire coquin, une caresse sur la joue et alla s’assoir à coté de Louis.

Alors mon très cher, la vaisselle est pour nous, hein ???

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Daenerys_
Louis Henri se réjouissait de pouvoir manger cette omelette. Ca sentait vraiment bon et, puisque c'était Kiki qui l'avait préparée, elle devait être délicieuse, comme ses crêpes !

Baveuse ou pas l'omelette ?

Il s'en fichait bien, pourvu qu'elle soit prête au plus vite et qu'on puisse enfin la manger... Il se retourna vers Lys en entendant un léger gargouillis s'élever de son ventre, sourit et se mit à rire... jusqu'à ce que son propre ventre en fasse de même. D'un coup, son rire se stoppa net, son sourire s'effaça et le rouge lui monta aussi aux joues.

Louis n'écouta ni ne comprit tout ce que dit Kiki, il était bien trop occupé à se moquer de Lys d'abord, puis à faire des remontrances à son estomac. Il ne réalisa que lorsqu'elle passa la porte qu'elle s'en allait.


Bah... elle mange pas avec nous ?

Mais Valentina ne l'entendait pas de cette oreille et, tandis que tout le monde se mettait à table, elle sortit à la suite de Kiki. Renard prit sa main et dit quelques paroles à propos du repas, d'un monsieur très haut, de toutes les bonnes choses que nous offrent la vie et d'autres trucs comme ça. Après quoi Louis Henri put enfin satisfaire son appétit, il se jeta sur sa part d'omelette, affamé comme un loup.

Alors dis-moi Louis-Henri, qu'est-ce qui t'amène à Niort?

Absorbé par son repas, Louis ne répondit pas de suite. Quand il se rendit compte qu'on lui avait posé une question, il lui fallut d'abord réfléchir à ce qu'il allait répondre, parce qu'il n'y avait pas vraiment quelque chose qui l'amenait à Niort.

Bah... euh... rien. Je suis arrivé avec la caravane mais elle est repartie sans moi. Et pis Kiki m'a dit que je pouvais rester à Niort et pis que ce serait chez moi, et comme j'ai jamais eu de chez moi je m'demande bien à quoi ça peut ressembler, alors je reste.

Sur ce revint Valentina, accompagnée de Kiki. Louis Henri n'y comprenait rien : qui s'en allait, qui restait, et surtout, qui allait manger de cette omelette, savoir s'il pouvait en reprendre ou pas... C'est qu'il a faim, le gamin, et à son âge, c'est important de bien manger !

Alors mon très cher, la vaisselle est pour nous, hein ???

Cette remarque lui arracha une grimace. La vaisselle, lui ? Encore un truc qu'il n'aimait pas... Il lui fallait à tout prix trouver un moyen d'échapper à cette corvée.

Tu veux pas plutôt proposer à Lys, je suis sûr qu'elle adore ça !
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