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[RP] Un accouchement chiassique

Le.gaucher
Suite de : [RP ultra ouvert] Distrais-moi





Déa : Oh Louis, comme vous êtes drôle, oui, vous avez raison, allons continuer cette... discussion en privé.

Ben voyons ! Malgré ce qu'il pressent, elle poursuit la comédie. Le spectacle continue, quoi qu'il arrive, hein. Il esquisse un sourire en coin. Toujours la même malgré le temps qui est passé, malgré son poutrage, et ce gamin qui est resté accroché alors qu'elle a failli y passer. La nonne aurait au moins pu faire en sorte que le bébé crève, mais non, même pas. Il songe à Nicolas, qui veut un petit chat à la place du bébé... Il va lui "trouver" un cheval, ça devrait le contenter son grand garçon.


Déa : J'te signale que c'est d'ta faute si on en est là, alors t'es mignon, maint'nant tu r'mets ta ch'mise et... AH.. hum... Oui voilà, vers la droite.

Et un sourire à la con de la part du Gaucher. Faut dire qu'il savoure là. Elle va être obligée de calmer ses ardeurs, sa chiasse ! Mais de là à lui faire plaisir, il y a un monde ! Et ce monde, c'est une chemise, qui reste sur son épaule finalement, vu qu'il ne l'enfile pas. Mais la soutenant quand même, bah oui, il aimerait autant qu'elle reste en bonne santé, et que son futur fils, oui c'est forcément un garçon ! Jamais deux sans trois ! Nicolas, Julian, et ... heu... souci ? P'té ! Mais quelle idée il a eu de donner ce nom là quand il a été la voir à Millau où elle se refaisait une santé après un poutrage ! N'empêche, elle qui s'vantait, elle a eu droit un poutrage et de la prison, lui, il a pu éviter les poutrages, même si la prison, il connait, les chaînes aussi d'ailleurs.

Marge : Veuillez me suivre, je vais vous trouver une chambre… et une matrone.

Intervention d'une servante, qui fait qu'il reprend un peu ses esprits, et qu'il regarde la colombe.

Louis : Oui, je pense que c'est pour bientôt.

Et oui, il le sent, il l'a deviné, à la voir pâlir, et son bras autour de la taille de la belle, lui permet de sentir les contractions, qui pour le moment, ne sont pas "trop" douloureuses. En même temps, c'est pas lui qui les a. Il regarde à gauche, l'escalier, puis regarde la chiasse, et adieu le spectacle, ou alors bienvenue à un autre, il la prend dans ses bras.

Louis : Vous n'êtes pas si lourde pour une femme prête à mettre bas.

Il esquisse un sourire amusé. Quoi, il en profite un peu ? Bof, si peu... Et il emboîte le pas à la servante du castel. Après tout, sa roulotte est assez loin, et y emmener Déa, ça serait se casser les reins pour quoi au final ? Qu'elle le fasse caguer encore une fois ? Et c'est donc avec un petit signe de tête qu'il indique à la femme qui a un accent à couper au couteau.

Louis : Dites au p'tit que j'ai pas oublié pour le jonglage... je tiendrai ma promesse, même si c'est pas aujourd'hui, ce sera demain, mais je lui apprendrai.

Plongeant son regard volcanique dans les aciers de sa belle, il esquisse un sourire, et une main sous ses cuisses, l'autre dans son dos, la porte et grimpe les escaliers sans trop de difficultés. Il a repris l'entraînement, pour faire quoi ? Ca lui seul le sait, mais il a repris des forces.



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J'étais ce que j'ai fait,
Je suis ce que je fais,
Je serai ce que je ferai.

http://www.univers-rr.com/RPartage/index.php?page=perso&idp=Louis%20Track
Andrea_
Elle le regarde, bien sûr qu'elle le regarde elle connait personne d'autre !
Berdol, ce gosse fait chier son monde alors qu'il a même pas pointé le bout de son pif, voyez comme il tient déjà de son père!

C'est assez " marrant" comme situation -on s'gausse n'est-ce pas?!-, parce qu'elle se souvenait pas avoir eu si mal pour la naissance de Nicolas. Sinon elle n'aurait pas recommencé, et l'embryon aurait tâté de l'aiguille à tricoter quelques semaines à peine après s'être lové dans l'utérus -confortable- de la Chiasse.

Son visage se décompose un peu, la douleur, ça vous transforme une femme canon en gros thon en moins de temps qu'il en faut pour le dire, en plus le Louis se lance dans une représentation tragiquo-comique


Vous n'êtes pas si lourde pour une femme prête à mettre bas.

Nan mais admirez moi ça, l'Homme dans toute sa splendeur, mais il la prend dans ses bras, alors on pardonne -un peu-.

Tant de...Aïe gentillesse pour un seul homme.. c'est aïe déroutant Messire.

Long soupir de la Colombe qui se retient comme elle peut au sourire de Louis. Bien trop occupée à contrôler sa respiration, la Belle n'entend pas la suite de ce qu'il raconte, ce qu'elle voit c'est qu'il laporte et qu'il grimpe les escaliers. Lovant sa tête contre l'épaule du Brun, elle accuse le coup et comprend pour lapremière fois que de cet énorme bide va bientôt sortir un bébé. Un enfant, un autre. Un gosse à élever, à langer, à nourrir.Un autre enfant qu'elle élèvera et que rien ni personne ne pourra lui enlever. Rien, ni personne, même pas Louis qui la pos sur la couche -il allait pas la garder dans les bras hein !-.
S'accrochant cependant à son cou, elle l'attire vers elle et lui murmure à l'oreille


Pars pas, j'te jure Louis,pars pas
Aïeuh, rha !



Berdol, il pourrait pas sortir tout seul c'lui là? Il s'sent obligé d'être le centre du monde? P'tain mais d'qui il tient ça ?
Et vas-y que j'te broye les côtes et qu'pousse vers la sortie,bin tant qu'on y est hein...

La Belle laisse choir sa tête contre l'oeiller, aggripant les draps et se contente de serrer les dents, croyez moi, vu l'humeur de la bestiole quand elle a mal, il vaut mieux qu'elle serre les dents. Sauf que...


Rha mais qu'elle dégage, j'veux personne !
J'ai b'soin d'personne, laissez moi !
Louis...



Mais oui Andrea, t'as b'soin d'personne...Alors pourquoi tu lui chopes la main ? Et...Pourquoi tu la broyes ?
Hey ! Mais pourquoi tu grimaces comme ça ?

Nan vraiment, j'aurais voulu être un homme.

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Le.gaucher
Bah oui, elle n'est pas lourde, mais il finit par la poser quand même sur la couche qu'on lui indique. Le murmure de Déa le remue un peu, et il se contente de hocher la tête. Bah oui, il est des fois où il fait pas le mariole, et voir sa chataine souffrir, il aime pas, mais alors pas du tout, et vu qu'il est coupable de son état, il va pas l'abandonner.

Il la regarde, l'observe, et... met un genou à terre, pour lui caresser les cheveux, alors qu'il a les yeux rivés dans ceux de la belle. La seule avec Ryxende pour qui il se soit mis à genoux, la seule pour qui il le refait, sans même une once de regret. Se voulant rassurant, vu qu'il était là pour Nicolas, il sait ou plutôt devine.


Dis, tu veux bien que je regarde où ça en est ?


Souriant à sa belle, même si elle lui broie la main, et il continue de lui caresser les cheveux de l'autre.

Oups, baissé de rideau, le Gaucher est à genoux près de sa femme, et il serait prêt à tout pour qu'elle souffre moins. D'ailleurs, il a du chanvre dans la poche, elle pourrait peut-être tirer une taffe pour avoir moins mal sur sa pipe ?

Il lui sourit, et lui dépose un baiser sur le front, pas l'intention de sortir de la pièce, même si ça se fait pas et que les hommes sont dehors normalement, lui, il l'a aidé à accoucher de Nicolas, il a bien l'intention de l'aider pour celui qui arrive.

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J'étais ce que j'ai fait,
Je suis ce que je fais,
Je serai ce que je ferai.

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Andrea_
Les hommes ont toujours des idées farfelus dans les moments délicats.
Madame a mal aux fesses ? Monsieur lui propose un massage, ce qui est débile quand on y réfléchit, si j'ai mal c'pas pour que tu tâtes.
Madame a mal à la gorge? Monsieur a LE remède - un remède à base de liqueur de fruit de ch^n qui ne marche pas, j'ai testé pour vous!-.

Et bien là c'est pareil.



Dis, tu veux bien que je regarde où ça en est ?

Oh mais oui Lou', j't'en prie soulève ma robe et regarde ce que tu n'as pas regardé depuis neuf mois ! Et envoie moi un pigeon postal hein ! Nan mais j'vous jure !
Seulement bon, ça s'fait pas, elle se rappelle de la naissance de Nicolas, de la façon dont Louis avait assuré, rassuré. Alors elle ferme les yeux un instant, tentant d'oublier la douleur dans les caresses du futur papa.


Ouai, nan 'fin ouai mais... Mais encore?
Et merd'.


Le "Et merd' " symbolisant le top départ pour la vision d'horreur. Les jambes se replient un peu et le drap est lâché, la main droite ne se sépare pas de Louis, se détendant un peu quand même... Le pouce caresse désormais le dos de la main Gauchienne, les mirettes, elles, restent fermées. Une douleur, encore, puisqu'ils sembleraient qu'elles se soient filées rendez vous à intervalles réguliers.

Et puis, alors que Louis lorgne on ne sait trop quoi...



Allez... J'suis sûre que t'en as...AH!humpf, dans ta poche, tu vas pas m'laisser crever comme ça...


Oui la Colombe aime en rajouter, en attendant, ça avance, ça avance. Comment on l'sait ? Bin le visage rougit, les gouttes de sueur perlent sur son front, la respiration se saccade... Ça y ressemble non ?
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Le.gaucher
Glissant sa main gauche dans l'endroit où elle veut surtout pas qu'il aille visiblement, même si elle le laisse faire, à croire qu'elle a confiance en lui, il lui caresse du pouce de la main droite, le dos de la main qu'elle lui broie encore à intervalles réguliers. Un doigt explorateur vient vérifier l'état du travail qui avance, décoller la membrane qui va bien, bah oui, il a soit pris des cours, soit appris à force... Bien qu'il ne soit pas si vieux que ça, même pas trente ans, il a une certaine expérience, comme celle d'accoucher ses maîtresses. Et celle-ci a une place de choix, elle est sa femme, celle pour qui il vient de se remettre à genoux, pour la seconde fois en dix ans, celle pour laquelle, il a un faible, un penchant, un désir qu'il ne lui avouera jamais ! Et puis quoi encore ! Faudrait être con pour qu'il lui dise qu'il l'aime ! JAMAIS ! Foi de Gaucher ! Bon la suite des évènements, à savoir lorsqu'il sera sur le retour prouvera qu'encore une fois, les paroles qu'il peut se faire à lui-même concernant sa vie privée c'est du vent. Autant il arrive à tenir sans problème ses paroles quand il s'agit d'affaire, de travail ou autre, autant dans sa vie privée, il tient la palme du fiasco. En attendant, il aide à ce que le travail se fasse plus vite, venant de finir de décoller cette fameuse membrane qui retenait le bébé accroché.

Un sourire à la chiasse alors qu'il retire sa main, après avoir vérifier où en est la tête du bébé, à savoir près de sortir, sauf que... bah c'est pas la tête qu'il a pu sentir. Ne voulant pas l'effrayer, il lui sourit, essuyant sa main dans le drap.

Amour... je crois qu'il se présente par le siège. T'inquiète pas, je reste là, et puis je me suis peut-être trompé.

Oui, ça serait vach'ment bien qu'il se soit trompé, parce qu'il est pas médicastre, qu'ils sont pas à Mende et que le seul qu'il connaisse à qui il confierait la vie de Déa, c'est Bentich. chiabrenna, lui faut une solution, il beugle alors comme un veau, tant pis si ça perturbe la vie de l'oustau du Senher Enzo.

UN MEDICASTRE !!!

Puis il se penche sur Déa, lui dépose un chaste baiser sur les lèvres, tout en revenant lui caresser les cheveux de la main gauche.

C'est juste une précaution, je suis pas médicastre, La Colombe. Va bien falloir accepter de l'aide. Mais ne t'inquiète pas, tout ira bien.

Bah voyons ! Et si elle le croit, il pourra se faire appeler Saint Louis, parce que là franchement, il en mène pas large, et il est plutôt inquiet, même s'il le cache, elle le connait par coeur.

Et si tu me rends ma main, je te prépare une pipe de chanvre avant que t'ai le temps de réaliser. On parie que je peux la préparer entre deux douleurs ?

C'est ça, et ça va les chevilles ? Bah oui, elles vont bien merci pour elles, mais il a surtout mal aux genoux là, un p'tit coussin s'rait le bienvenu.
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J'étais ce que j'ai fait,
Je suis ce que je fais,
Je serai ce que je ferai.

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Andrea_
Louis et sa " douceur légendaire", Louis qui lui farfou... Hey mais qu'est ce tu fabriques là ?
Allez, on sert les dents -et un peu les fesses- et on attend que Monsieur finisse son " travail", et quand enfin il se décide à retirer sa main - qui l'avait habitué a bien plus agréable-, il lui sourit ce qui parait plutôt bon signe quand y réfléchit.


Amour... je crois qu'il se présente par le siège. T'inquiète pas, je reste là, et puis je me suis peut-être trompé.
Pard...aille ?

Elle voulait dire pardon, Louis aura compris, c'est le seul qui arrive à comprendre ce qu'elle dit la bouche pleine donc...
'Fin bref. Le....le SIEGE ? Hein quoi ? Aïeuuu
T'es en train d'me dire ni vu ni connu que TON -parce que c'est celui de Louis en cet instant- gosse a décidé de montrer son cul avant sa tête -quand j'vous dit qu'il tient de son père- ou j'rève ?
Et en plus tu souris ? Mais j'vais t'le aille faire bouffer ton sourire, et les dents avec !



UN MEDICASTRE !!!

Et c'st pas le baiser sur les lèvres qui va nous la calmer, Louis aura réussi à nous la mettre en panique, en .... oui, en moins d'une minute, il devient de plus en plus fort. Louis qui gueule qu'on amène un médicastre alors que tout l'Ousteau est en représentation, cest que...


C'est juste une précaution, je suis pas médicastre, La Colombe. Va bien falloir accepter de l'aide. Mais ne t'inquiète pas, tout ira bien.
Tout ira bien ? T'es en train d'me dire que TON fils a décidé d'me AILLE ! déchirer en deux pour voir la lumière et tu m'dis qu'tout ira bien? Non tout n'ira pas bien, tu vois bien qu'tout n'ira pas bien !



La Chiasse en couche ? Un concentré de positive-attitude à faire pâlir le plus dépressif. Ou juste une fille réaliste qui se crispe de douleursun peu trop souvent à son goût. Bref, une fille agréable en somme.


Et si tu me rends ma main, je te prépare une pipe de chanvre avant que t'ai le temps de réaliser. On parie que je peux la préparer entre deux douleurs ?

Bin voyons, et mon cul c'est du poulet ? Mais tout homme à sa chance, et pour une bouffée de chanvre, elle s'rait prête à presque tout en cet instant. La main Colombienne lâche celle de Louis et vient se poser sur l'habitat qu'aura squatté son fils -un fils, forcément !- pendant quelques mois. Aucun cri, aucun soupir, juste une Chiasse angoissée qui fait comme elle peut


J'parie qu'non, mis si c'est la cas-aille- j'fais c'que tu veux.
Au fait... T'as bien fait pas r'mettre ta ch'mise, j'peux au moins m'raccrocher à un truc...
MAIS IL EST OU CE P'TAIN D'MEDICASTRE ?
ET ELLE VIENT CETTE PIPE ?



AH oui, décidément, très agréable, quand elle a mal.
Mais pour qu'elle montre à Louis qu'elle douille, alors qu'ils ne peuvent plus faire autre chose que se tirer dans les pattes depuis quelques mois, c'est que vraiment il se passe un truc.



J'vais crever...



Désolé pour le lien. Vraiment désolé, j'suis pas comme ça d'habitude hein.

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Le_g.
Se penchant sur elle, avant que quelqu'un ne vienne les déranger, sachant qu'ils n'auront plus beaucoup de temps seul à seule sous peu, il lui vole un baiser, lui mordille la lèvre inférieure, lui caressant la joue de la main gauche alors qu'elle continue de lui broyer la droite. Au moins, c'est pas sa main habituelle hein. Avec audace, tant pis s'il a pour réponse un coup de crocs, il immisce sa langue entre les lèvres de la Colombe, pour un baiser langoureux. Oui, il a toujours le chic pour avoir envie de faire des choses, les faire, et ça tombe rarement bien, et puis c'est SA chiasse chiabrenna ! La sienne à lui, alors s'il veut l'embrasser, il l'embrasse. Bon, il va pas la prendre pour la faire sienne là tout de suite, mais il y pense. Ce qu'elle est belle, sa déesse.

Pour ce qui voudrait le tableau : une chataine, les cheveux collés par la sueur, les joues en feu, les yeux humides, du sel qui marque les joues par les légers ruissellements intempestifs lors des contractions, grosse, bah oui, elle est énorme, sur le point d'accoucher, bref, un charmant spectacle, mais il faut croire qu'il est tombé amoureux de sa femme, il la trouve très belle, et il le lui fait savoir par ce baiser passionné, fougueux.


Tout ira bien ? T'es en train d'me dire que TON fils a décidé d'me AILLE ! déchirer en deux pour voir la lumière et tu m'dis qu'tout ira bien? Non tout n'ira pas bien, tu vois bien qu'tout n'ira pas bien !

Amour, essaye de te détendre.
ouaip, il en a de bonnes lui hein ? c'est la version gauchienne du mâle protecteur envers sa biche mais le médicastre n'arrive pas, et là, c'est imminent, l'arrivée du gosse. Je suis là, je vais pas t'abandonner et ce fils, tu vas me l'offrir, comme une fleur. J'parie que t'es pas capable d'accepter que je tente de le tourner de mes mains avant qu'il sorte ! Et là, la version Louis Track, que je te colle un défi histoire que tu penses trois minutes à autre chose.

Et si tu me rends ma main, je te prépare une pipe de chanvre avant que t'ai le temps de réaliser. On parie que je peux la préparer entre deux douleurs ?

Bin voyons, et mon cul c'est du poulet ?
J'parie qu'non, mis si c'est la cas-aille- j'fais c'que tu veux.
Au fait... T'as bien fait pas r'mettre ta ch'mise, j'peux au moins m'raccrocher à un truc...
MAIS IL EST OU CE P'TAIN D'MEDICASTRE ?
ET ELLE VIENT CETTE PIPE ?
J'vais crever...


S'tu crèves, j'irais t'botter l'fion jusque sur la lune !
Faut être réalistes, le paradis solaire, ce s'ra pas pour eux. Le couple d'amants terribles des Ecumeurs se jauge, se toise, et se cherche depuis des lustres, mais là, étrangement, on dirait presque qu'il sont d'accords. Presque hein, faut pas pousser.

En attendant, il sort de sa poche sa pipe, et esquisse un sourire en coin, parce qu'il a triché, en fait, elle est déjà prête. Attrapant son briquet et sa pierre, il le bat pour mettre le feu à l'étoupe qui est sur le dessus, et hop, tire un bon coup sur la pipe, histoire de faire prendre.

M'dame est servie !

Il la lui met entre les lèvres, venant poser un bras dans son dos pour qu'elle puisse s'asseoir, et cale les oreillers pour sa belle. Et pendant qu'elle fume, d'autorité, il va se mettre entre ses jambes, vient lui caresser les cuisses, glissant ses mains près de l'antre de plaisir qu'il a si souvent visité et qu'il rêve encore de conquérir. Avec plus de douceur cette fois, il frôle les chairs tuméfiées, et pour tenter de faire passer le tout, lui caresse son bourgeon, avec délicatesse, comme la toute première fois. Lentement, il vient glisser ses doigts en elle, tout en poursuivant ses caresses pas du tout amicales, mais celle d'un amant attentionné, éveillant sa biche à certains appébread. D'ailleurs, ça n'a peut-être pas d'effet sur la Colombe, mais ça en a dans les braies du Gaucher...

Le travail étant assez avancé, il peut glisser presque sa main, et pourtant, elle est pas petite, alors il n'hésite pas trop, et à la fin de la contraction suivante, il la laisse être happée près du bébé. Il le fait bouger, vérifie où est le cordon, le petit remue, mais il n'est pas question qu'il tue sa femme, alors vu qu'il a déjà pu faire ça, quand il a eu travaillé dans une ferme, oui bon d'accord, sa femme n'est pas une vache, en même temps il n'aurait pas de renflement au niveau des braies si c'en était une, et il arrive à le faire tourner un peu... au moins, c'est plus les fesses que le chieur présente, mais son dos. Vite... il serre les dents, patiente pendant la contraction suivante, sans bouger plus. Il faut absolument qu'il arrive à lui mettre la tête en bas avant la suivante.


Serre les dents.

Bah oui, il va pas faire dans la délicatesse, il a la vie de sa femme à sauver, à la limite, le chiard, il en a déjà hein... Nicolas et Julian, C'lui-ci, il était pas programmé...

En sueur, torse nu, il regarde sa chiasse, un peu perdu, il sait ce qu'il a à faire, mais pour une fois dans sa vie de brigand/voyou/mercenaire/soldat, c'est la peur qui s'y lit. La peur de perdre sa femme. Et d'un geste vif, il tourne un peu le petit après la fin de la contraction qui était venue, puis retire sa main, et vient prendre Déa dans ses bras, il s'en fout qu'on le trouve comme ça. Il s'assoit sur le bord du lit, la serre contre lui, lui caresse les bras, et lui donne la main droite, celle qui n'est pas souillée, alors que ses lèvres viennent de nouveau lécher le cou, cette saveur salée de sueur qui perle sur la peau de sa belle.


Ca va aller, ma colombe, ma douce. Ca va aller, encore un peu de temps, et il sera là. J'ai pu le tourner. Notre fils ne va pas te déchirer, j'préfèrerai le tuer plutôt que de te perdre.

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J'étais ce que j'ai fait,
Je suis ce que je fais,
Je serai ce que je ferai.

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Une homophobie profonde est-elle liée à une homosexualité ou bisexualité réprimée ?
Andrea_
Elle rêve, oui c'est ça, c'est forcément un rêve. Un rêve différent de ceux de d'usage sur certains points.
Habituellement, il y a bien Louis, il est bien entre ses jambes, elle est également couverte de sueur. Parfois même, comme maintenant, elle a gardé sa robe. Et forcément, il lui fait des propositions indécentes, en commençant ses phrases par un mot tendre. Et regardez, sinon fait pas attention, ça colle.


Amour...je vais pas t'abandonner et ...tu vas m'...offrir...une fleur...j'parie que t'es...capable d'accepter...mes mains avant...

Alors ? Surprenant hein. Sauf qu'on n'est pas dans un rêve, que la sueur n'est pas dû à une activité physique qui ne regarde qu'eux, que la proposition est certes indécente mais qu'il n'a pas DU TOUT dit ça.
D'ailleurs, la Chiasse a entendu la vraie version -rassurez vous- et en reste pensive. Certes, il vaut mieux que ça soit lui que quelqu'un qu'elle ne connait pas, surtout qu'il l'a déjà vu sous cet angle -et quel angle!- pour la naissance de Nicolas, pis de toute façon, ils sont plus amant, alors si ça lui coupe la chique, c'pas très grave hein. Mais avant d'accepter une telle proposition, elle se doit de faire quelques recommandations, toutes en souplesse bien sûr.
On approche les mains du cou du gaucher, on lui chope la tignasse et on lui "murmure"


Si tu t'loupes, j'te JURE que j'te fais bouffer TON fils et TA fleur et que j't'arrache le PISTIL avec les DENTS
On fait comme ça mon Lou' ?


Ouais, mais j'pense qu'on peut tout lui pardonner, Père Idural n'est pas là et la douleur n'est pas feinte, non vraiment, on lui pardonne.

S'tu crèves, j'irais t'botter l'fion jusque sur la lune !

Très drôle, ah oui, très drôle, et t'y montes comment sur la lune ? Ah il en a d'bonnes aujourd'hui. Mais quand même ça la touche, parce que le Lou', pour qu'il dis un truc pareil, c'est qu'il tient un peu à elle. Alors elle pourrait lui sourire, histoire de lui montrer que c'est réciproque, mais non, parce que Madame est servie. La pipe arrive à point nommée, si ça pouvait être magique et lui enlever toutes les douleurs, ou, encore mieux, la faire dormir et se réveiller avec le nain dans les bras, elle adorerait. Mais faut peut être pas rêver...

Le dos posé contre les oreillers, et en pleine pipe, la Colombe ne voit pas tout de suite le Gaucher qui disparaît sous sa houpp', -pas complètement hein, y a d'la place mais quand même!-. Il semblerait que Louis fasse l'inventaire. Relevant la tête, elle aplatit son jupon pour voir la tête du Gaucher avant de finalement se reposer en arrière et de reprendre une bouffée de chanvre -pas mauvais au demeurant-. Parce qu'on la trompe pas si facilement la Colombe, et les caresses du Lou, là, sont plutôt significatives. Ça voudrait dire que le Brun aurait encore du mal à résister à sa Colombe ?
Non, sûrement l'effet du chanvre, ils se détestent, c'est bien le seul point sur lequel ils sont sur la même longueur d'ondes.
Par contre, Lou', tu m'as habitué à plus agréable hein, t'y mets vraiment pas du tien !

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Le_g.
Mouais, il en a fallu du temps, de la patience, pour arriver là où ils sont. leur je t'aime, moi non plus continue, mais malgré tout, l'instant n'est pas à la bagatelle.

Le Gaucher regarde la Chiasse, et serre les dents quand elle déverse sur lui, sa rage, sa colère, sa frustration et le reste, en lui refaisant sa coiffure, et en le marquant de ses griffes.


C'plus la Colombe que j'vais t'app'ler, mais la Fauconne.

Sourire en coin, alors qu'il la caresse, comme il le ferait avec une jument rétive, qu'il vient lui murmurer à l'oreille, des mots tendres, protecteur avec elle, comme au premier jour.


Amour, tu te souviens ? De nous ? Au début ? Un hédoniste qui a fait le pari de te faire sienne et toi qui avait fait le pari de ne jamais me donner ce que je voulais pour me rendre fou ?

Il lui dépose un baiser sur la tempe, parce qu'ils ne sont plus ensemble, parce qu'elle va mettre au monde son fils, et qu'il ne le verra sans doute pas grandir. Il lui sourit, et pose ses yeux de braise sur l'acier de ceux de la Colombe, pour tenter de la faire fondre, nul doute sur ses intentions, alors qu'il lui susurre d'une voix un peu rauque où limite, elle pourrait deviner le désir qu'il a d'elle, pile là, maintenant, même si c'est pas le bon moment.

On vous l'a déjà dit qu'ils étaient jamais en phase nan ? Bah là, ça se vérifie, il a envie d'elle, alors qu'elle vient de lui lacérer la peau, et que bon, elle, pas certain qu'elle pense à ça là à ce moment là.


Ma douce, sur ma vie, même s'il est de mon sang, je préfère le perdre lui que te perdre toi.

Une main rassurante qui caresse la nuque de sa belle, alors qu'il lui happe les lèvres, les mordille, pour un baiser sauvage, passionné et fougueux, avant qu'il ne lui caresse doucement la gorge, la poitrine, descendant plus bas, alors qu'il vient se mettre entre les cuisses de la belle, lui écartant les jambes de ses mains...

Et non, il a pas retiré ses braies, même s'il vient tenter de lui procurer un peu de plaisir, caressant la peau intérieure de ses cuisses, venant masser délicatement sa fleur, tout en douceur, une main sur cette intimité qu'il connait par coeur, qu'il a déjà vue dans cet état, et l'autre sur le ventre.

Ca devrait calmer ses ardeurs ? Bah raté... c'est un loup, sauvage, rustre, un paillard pour certaines choses, un tendre romantique sur d'autres, mais qui ne s'encombre pas de choses inutiles. Pour l'heure, le loup est occupé, il veut diminuer les douleurs de sa femme, et doucement, levant les yeux vers elle, lui dit :


Pousse quand tu le sens. Courage, c'est bientôt terminé.

Et vrai, ça va plus durer, dans quelques minutes il sera là, leur gamin. La route tracée par Nicolas est telle un boul'vard pour le chiard qui arrive.

Dis, on l'appelle comment ? Nan parce que bon, Souci ou Problème, c'quand même pas un nom pour un gamin si ?


Tirant légèrement sur la tête du gamin quand elle pousse, il le fait tourner, et sourit, puis le positionne doucement pour mettre les épaules, une vers le haut, l'autre vers le bas.


Encore deux fois, et il sera là.
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J'étais ce que j'ai fait,
Je suis ce que je fais,
Je serai ce que je ferai.

http://www.univers-rr.com/RPartage/index.php?page=perso&idp=Louis%20Track
Une homophobie profonde est-elle liée à une homosexualité ou bisexualité réprimée ?
Andrea_
Elle ne sait pas pourquoi il a ce pouvoir sur elle. Elle ne l'a jamais su. Il l'exaspère au plus point et pourtant il peut la calmer en un regard. Et ça devient d'autant plus étonnant que même lorsque la douleur atteint un seuil pas dégueulasse, il arrive quand même à lui arracher un sourire, amer.

Les mots sont tranchants. " Amour". Non, elle n'est plus son amour. Alors pourquoi est-ce qu'il la lascère de mots doux depuis que le travail a commencé- et ce n'est pas fini- ? Pourtant... Pourtant entre deux grimaces, les mots glissent, doucement



J'crois qu'au fond, on a gagné nos paris même si on avait toujours cru le contraire...


Elle le dévisage... Et oui Louis, je n'ai pas tord. On a toujours cru qu'on avait échoué mais regardes-nous des années après. Tu m'as fais tienne et je ne t'ai jamais donné ce que tu voulais. On s'est laissé passé, et pourtant on se retrouve toujours aux moments clés... La voix de l'ex amant terrible résonne près de son oreille et elle fond, elle avait résisté au regard mais cette voix.

Berdol Lou' C'pas le mom...
Humpf....


Elle aimerait lui sourire, le regarder et lui dégueuler une phrase bien mielleuse, sur le fait qu'elle ne peut pas vivre sans lui, que c'est trop dur et qu'elle préfèrerai crever que d'élever ce gamin toute seule.
Non mais c'est vrai Louis, pourquoi tu as peur de me perdre alors que tu me détestes et que dès que je fais un pas vers toi tu recules de trois?

Oui, elle aimerait lui vomir un truc dans le genre, pourtant lorsque sa main effleure sa nuque, c'est encore un frisson qui la parcourt. Même son corps est fourbe tsss ! Son corps et sa tête, car en cet instant, elle répond à son baiser avec la sauvagerie qui la caractérise, s'accrochant aux lèvres de son ancien amant comme si sa vie en dépendait - ce qui est peut être le cas-. Et il la caresse, il pouvait pas faire ça "avant" ? Tu sais Louis, "avant", quand elle était pas à la limite de l'agonie, avant qu'elle ressemble à une baleine échouée sur la couche d'on ne sait qui ! Le dos écrasé contre les oreillers elle rumine, elle rumine les mots doux, les paroles, et rien ne passe, tout reste bien collé sur son coeur, comme une guimauve qu'aurait eu un peu chaud. Vous pourrez frotter, mais rien ne s'enlèvera. Mais vous savez, être une Colombe c'est tout un art. L'art du retournement de veste quand le vent change, observez.



Lou', J'te jure Oui, une colombe qui a mal est une colombe qui jure beaucoup
Si tu m'appelles encore une fois ma douce, ou amour, ou je ne sais quel autre mot qui sert depuis quelques années à tes conquêtes d'un soir, j'te jure que j'fais en sorte que tu sois pendu avec le cordon qui nourrissait ton fils jusqu'à maint... Rhaaaa !



Pousse, pousse il en a des jolies lui! Et quand tu l'sens, ah les hommes en ont d'bonnes...


Non mais à ton avis, j'le sens pas ? Tu crois que j'suis en train d'te pondre un haricot vert là ? Tu crois que...


C'est peut être un boul'vard mais on l'sent quand même -non mais oh, comment qu'il parle de l'intérieur de la chiasse lui!-. C'est juste que cette fois, Track junior troisième du nom est super pressé de rencontrer ses parents. Faut dire que s'il se magne pas, y a de grandes chances qu'à sa sortie Maman ait renversé le pot de chambre sur la tête de Papa qui aura lui même tenté d'étouffer maman avec un morceau de placenta donc.... -bon appétit-.
Grimace de la Belle qui ne l'est plus tout à fait en cet instant, les crampes viennent de partout et la respiration s'est barrée en cours de route. Pousser, pas trop compliqué, à vrai dire ça se fait presque tout seul hein, -j'ai dit presque-, les draps se froissent sous les ongles Chiassiques alors qu'elle plante ses azurées dans les Ambrés du Brun.



Lou', j'vais t'dire un truc.
Un seul.
J'm'en FICHEEEEEEUUUUH
Tu peux l'appeler Souci ou problème, j'en ai rien à carrer, il est en train de m'tuer ce gosse, PUTAIN vraiment j'm'en fiche !



Et la douleur se calme. Jusqu'à la prochaine. Juste le temps de balbutier un petit


Gewann. J'veux appeler mon fils Gewann.


Oui, des fois faut pas chercher, elle a envie d'lui filer un nom Breton d'puis qu'elle sait qu'elle va l'avoir. Histoire qu'elle puisse l'élever en Bretonnie et au chouchen à volonté. Oui Gewann, et si c'est une fille? C'est un garçon, l'instinct maternel ne trompe pas.

De nouveau un spasme arrive et la Colombe cramponne ses genoux comme elle peut, sans quitter les yeux du Brun. Ses yeux, ses rivières ambrés, la seule chose qui finit toujours par le trahir.
Les chairs s'écartent sous une poussée maternelle laissant apparaitre le petit corps tout humide, Un grondement se fait entendre et la Belle pensant son travail accompli se laisse choir en arrière. Les mirettes se ferment. Non elle ne veut pas voir. Ni son fils dans les bras de son père, ni les yeux du père posés sur le fils. Elle ne veut pas voir ce tableau final, ce tableau qu'elle ne verra pas une seule autre fois, parce que c'est décidé... Gewann est son fils, et elle ne le laissera jamais.

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