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Info:
Eloy d'Azayes se présente au domaine de Louhans, rendant visite à Marie-Alice Alterac et ses enfants.

[RP] Visite à une Grande Dame

Eloy_dazayes
Eloy commençait à s'intégrer doucement à la ville de Sémur, il y rencontrait des gens gentils, parfois un peu fou, et aussi de ces rencontres qui changent la vie d'un jeune homme.

Dans une taverne, il avait rencontré une Dame dont il avait entendu parler, mais qui elle, connaissait fort bien sa famille...

Cette dame se nommait MarieAlice, le nom parlait au jeune homme, mais d'où, et en quelle circonstance, il ne s'en souvenait plus...

La rencontre avait été des plus charmante, et il avait fait de son mieux pour représenter dignement sa famille, avec, il avait trouvé, une certaine aisance...

Il aimait connaitre, découvrir, apprendre, quitte parfois à se brûler à trop vouloir savoir.
Ainsi était Eloy, capable d'être des plus attentif, comme des plus espiègle...

Il avait pris la route un matin frais et brumeu, comme seule la Bourgogne en connait...

Il avait suivi scupuleusement les indications données n'hésitant pas à prendre son temps, pour être sur de ne pas s'égarer dans la campagne environnante....

Et tout à coup, au détour d'un chemin, il vit une batisse impressionnante...

Eloy la regarda de loin, les jardins et les bois qui entouraient la demeure pricipale laissait présager un hâvre de paix comme il les aimait. De ces lieux où vous pouvez, au détour d'un sentier vous retrouver dans un silence agréable, et où seul les gazouillements des oiseaux vous accompagne.

Eloy s'avança, et se retrouva devant une haute grille, ne voyant personne, il entra, mais ne s'avança pas. Il se savait attendu, et sa mère l'aurait surement pendu par les orteils si elle avait appris qu'il était entré dans un domaine sans y être invité.

Eloy en profita pour laisser vagabonder ses yeux, sans prêter attention à qui pouvait arriver...

Que c'est beau...

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Mariealice
Après-midi en taverne. Oui elle en avait envie et non elle ne s'était point laissée aller à endormir la douleur par l'alcool. Douce tentation mais ne lui ressemblant point à dire vrai.

Discussion avec Muad. Vaine pour le moment. Elle ne comprenait pas qu'on lui demande de sourire alors qu'elle avait le coeur en sang. Il ne comprenait pas qu'elle ne relâcha pas la pression sur elle-même. Aucun des deux n'arrivaient à faire entendre à l'autre son opinion.

Un tout jeune homme entra et ses traits lui semblèrent familiers. Pourtant elle n'avait nul souvenir de l'avoir déjà rencontré. Ce fut son nom qui lui fit comprendre. D'Azayes. Le fils d'Aliviane. Grimace réprimée, non pas au sujet de lui mais d'elle. Elle le prévint des relations tendues entre elles deux, il lui annonça aimer se faire sa propre opinion.

Diverses visites émaillèrent l'après-midi et elle décidé, après avoir discuté un peu plus avant avec lui, de l'inviter en leur demeure. Après tout, rencontrer d'autres jeunes gens ne pouvait faire aucun mal aux enfants.

Quelques jours plus tard, Marie prenait l'air en marchant dans le parc, profitant du calme loin de la maisonnée. Du calme oui, marchant doucement, sans bruit si ce n'était celui de l'herbe humide de rosée sous ses pieds.

Alors qu'elle passait près des grilles, une voix attira son attention et elle se dirigea alors vers l'entrée du domaine pour y trouver Eloy.


Bonjour à vous. Ravie de voir que vous avez accepté mon invitation. Mais entrez donc, je vous en prie que je vous présente le reste de la famille.
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Eloy_dazayes
Eloy fût surpris d'entendre la voix de la Dame.

Bonjour Ma Dame.
Eloy inclina la tête respectueusement.
Je vous remercie encore de votre invitation, c'est un honneur que vous me faites. Et j'espère en être digne.

Il la regarda, esquissa un sourire, la silhouette gracile qu'il avait vu en taverne était encore plus belle et fine ce jour.
Un teint pale que la douleur devait accentué encore, un regard profond dans lequel il devait être facile de se noyer, mais qui avait cette flamme qui ne trompe pas, cette flamme des gens vifs et intelligents.

La Dame était belle, et Eloy, intimidé.

Il ouvrit son bras afin que la Dame le prenne puis se ravisa, il était un peu perdu, un peu était peut être d'ailleurs à retirer. Il était perdu.
Ne sachant plus s'il devait donner son bras ou pas.
Il la regarda un instant, elle parraissait perdue dans ses pensées...

Vous avez une fort belle demeure, et des jardins, de ce que j'ai pu en voir, qui sont un hymne au calme et à la reflexion.
Je ne sais comment vous remercier de votre invitation, j'espère pouvoir être de charmante compagnie, même si je pense que ma curiosité m'amenera à vous poser bien des questions.


Eloy avait l'esprit vif mais dissipé. Capable de se concentrer quand le sujet lui plaisait, comme de vagabonder bien loin, dans des contrées lointaine quand l'interlocuteur l'indifférenciait.

Il avançait doucement dans les allées, suivant la Dame, contemplant ce qui l'entourait, admiratif devant la beauté des lieux.

Dites moi, je.. enfin, si vous me le permettez, je... enfin, j'espère que vous ne vous offusquerez pas si je me trompe dans les convenances, j'avoue que souvent mon esprit vagabondait quand on me parlait de tout cela, et il m'arrive d'être encore... Approximatif...

Eloy rougit légèrement, il n'était plus l'enfant d'avant, même s'il aimait croire qu'il ne gradirait pas, ni totalement un homme, et son frère aimait à lui rappeler dès que l'occasion se présentait.

Une pensée restait dans l'esprit du jeune homme, ne pas faire d'impair, et bien reflechir avant de parler... Il avait la chance d'être l'invité par une hôte de qualité, et il se devait de faire bonne figure.

Mais la maison se dessinait déjà devant eux...

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Mariealice
Inclinaison de la tête en réponse au salut, petit sourire, froncement de nez devant le ballet du bras s'offrant puis se retirant, léger haussement de sourcils interrogateur mais passager.

Ne vous en faites point, je n'ai aucune raison de regretter mon invitation.

Son regard se reporta sur le chemin qui menait au bâtiment principal, englobant au passage les arbres autour d'eux, les fleurs qui en ce printemps ouvraient leurs pétales au soleil. Visage levé vers ce dernier, elle ferma un instant les yeux, profitant de sa chaleur pour tenter de se réchauffer.

Je vous assure que vous n'avez point à me remercier et je suis certaine que vous êtes de bonne compagnie. Et puis je suis ravie que les enfants rencontrent d'autres jeunes gens.

Pas se suivant, reprenant la direction de la demeure, remontant l'allée de terre, lentement, respirer encore, reprendre le masque posé lorsqu'elle était seule. Non plus par devoir mais parce que si elle montrait aux enfants à quel point la douleur l'affectait, ils s'inquiéteraient.

Nous ne sommes point à la Cour et les convenances ne sont point un souci ici. Oh bien sûr la politesse, le respect sont importants mais cela, nul doute que c'est une partie de votre éducation. Quant aux questions, vous pouvez en poser autant que vous le souhaitez.

Regard bienveillant sur le jeune d'Azayes, nul raison qu'il se sentit jugé ou surveillé.

Je ne sais si je vous ai parlé des enfants que vous allez rencontré s'ils décident de montrer le bout de leur nez.

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Maeve.
Ils étaient arrivés depuis un petit moment maintenant. Gabrielle avait tenu sa promesse, et au fur et à mesure de leurs pérégrinations, elle prenait ses marques dans le chateau imposant de Gaborn. Dans la petite tête rousse, ça tournait pas mal ces derniers jours.
Les retrouvailles, les disputes, les explications, les rencontres et enfin les larmes... La petite Alterac ne savait pas vraiment comment réagir face à sa mère. Ce n'est pas qu'elle n'avait pas ressenti de chagrin à l'annonce de la mort de son frère, mais la douleur était loin d'incommensurable comme celle de Marie-Alice. Après tout, Maeve n'avait que peu vu Arthur ces dernières années, et ne s'en portait pas plus mal. Un grand frère turbulent, souvent moqueur... S'il était au Soleil, alors sans nul doute qu'Aristote avait du souci à se faire pour la tranquillité du lieu...

Seulement elle avait beaucoup de mal à gérer dans son coeur de petite fille le chagrin de sa Maman qui réapprenait pourtant enfin à sourire. Une des raisons pour lesquelles elle avait accepté d'apprendre à connaître Gaborn d'ailleurs.
Première admiratrice de celle qui l'avait mise au monde, elle pouvait faire toutes les bêtises du monde, personne ne trouvait grâce à ses yeux s'ils ne la trouvaient pas aux yeux du Perce-Neige.

A son petit bureau, elle venait de rédiger une missive pour Pitt, le dieppois qui s'était si bien occupé de Leandre et elle quand ils étaient encore en Normandie. Et des taches d'encre maculaient les menottes de la jeune rouquine. Alors qu'elle quittait sa chambre, à la recherche d'un broc et d'un peu d'eau pour se les laver, elle passe devant une fenêtre et aperçoit sa mère en contre-bas, qui remonte l'allée avec ce qui semble être d'ici un jeune garçon. Leandre ?
Le coeur rate un battement, et le sourire aussitot éclot sur les lèvres roses de Maeve qui s'élance dans l'escalier, toute à sa joie se revoir son chevalier. Arrivée à la porte, qu'elle ouvre difficilement, c'est que ça pèse le poids d'un âne mort, ces grandes planches de bois qui marquent l'entrée de la demeure, le minois précédemment ravi se pare d'une teinte de déception. Non, de près, ce n'est pas Leandre. Ni Aleanore, ni Gaspard, ni aucun enfant qu'elle connaisse.

Il a l'air plus grand qu'elle, même plus grand que Leandre. Arrêtant net sa course effrénée, elle planque immédiatement ses mains derrière son dos, les essuyant au passage dans sa robe, tentant ainsi de s'éviter une réprimande. Retient son élan vers sa mère, même si ses prunelles azurées détaille avec attention les traits tirés de la vicomtesse. Les yeux rougis ne sont plus humides, et les épaules menues s'affaissent un peu, rassurées.
Enfin elle esquisse un semblant de révérence vers le jeune homme qui se tient aux côtés de Marie.


Bonjour ... Sieur ? Il est trop jeune à ce qu'il lui semble... Elle ne connait pas son prénom, elle hésite, et décide de passer outre pour le moment. je m'appelle Maeve Alterac.

Que dire de plus ? Les yeux se tournent vers sa mère, attendant la suite des présentations, alors que déjà ses pensées sont tournées vers l'endroit où elle pourra trouver discrètement de l'eau pour laver ses mains noires d'encre...
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Eloy_dazayes
Eloy, tout en écoutant la Dame, se mit à rêver, de ses rêves qu'on peut faire à treize ans, de ses rêves où tout est possible, et sans danger...

Les jardins étaient si beau...
Eloy s'imaginait bien allongé au pied d'un chêne, les pieds nus, machouillant un brin d'herbe et revassant à des histoires d'enfants, de dragons, de chevaliers, et... eventuellement, de princesse...

Je ne sais si je vous ai parlé des enfants que vous allez rencontré s'ils décident de montrer le bout de leur nez.

Non Ma Dame, mais ça sera avec plaisir que je les rencontrerai !

Ainsi la maison n'était pas vide, et la Dame avait des enfants, qui devaient, à n'en point douter, de par leurs cris et leurs jeux, atténuer quelque peu la douleur de MarieAlice.

La grande porte de la demeure s'ouvrit, laissant apparaitre une petite fille au teint clair et aux cheveux roux, Eloy la voit cacher rapidement ses mains derrière son dos, et il ne peut s'empêcher de sourire, se rappelant du nombre de fois, où, les mains pleine de terre ou d'encre, il avait essayé de cacher sa saleté, dans laquelle tout enfant se plaît, même s'il ne le dira jamais.

Mais la voila qui approche, à l'allure, la démarche, il n'y a aucun doute, elle est la fille de la Dame, on sent chez la jeune fille ce même air fin et alerte, cette petite flamme.

Eloy essaye de se tenir encore plus droit, pour donner bonne impression. Paraître est du domaine des adultes, et Eloy essaye de s'habituer, doucement, à ce rituel...

Bonjour ... Sieur je m'appelle Maeve Alterac.

Sieur.. Tout à coup, Eloy prend un coup de vieux... On lui disait Sieur... Pour lui il fallait au moins avoir l'age de son frère plus un, en gros, il repoussait l'echeance tous les ans d'un an, ce qui l'arrangeait fort bien pour mériter un tel...égard ?

Bonjour, je suis Eloy d'Azayes, mais appelez moi Eloy.

Mince, la gaffe, la première, surement d'une longue série, il aurai dû attendre d'être présenté...

Eloy incline la tête en signe de respect, embêté...

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Mariealice
A croire qu'il suffisait d'en parler pour que l'un d'entre eux pointa le bout de son nez.

Petite tête rousse aux grands yeux bleux, d'abord parée d'un sourire avant qu'il ne se transforma en interrogation à la vue de l'invité. Sans doute pas celui qu'elle avait espéré.Mais il était vrai que Leandre se faisait plus que rare depuis quelques temps et ne les rejoignait plus en taverne pour discuter, ni jouer avec Maeve. Pas vu trace de ses parents non plus. Etrange mais bien assez de soucis pour ne pas aller mettre son nez plus avant dans tout ceci.

Un sourcil se haussa alors que sa fille cachait ses mains dans son dos, laissant au passage des traces noirâtres sur sa robe. Léger soupir, voilà une tenue qui se trouvait irrémédiablement gâchée mais guère envie de faire des remontrances, alors elle fit comme si de rien n'était.

Noisettes se posant tour à tour sur Maeve et Eloy, présentations faites, pas besoin d'elle.


Voici ma plus jeune fille, Eloy. Maeve, voici le fils cadet de la Duchesse Aliviane d'Azayes. Il réside à Sémur, nous nous sommes croisés autour d'une chope et je lui ai proposé de venir nous rendre visite.

Si nous entrions? Maeve, peux-tu voir où se trouvent Gaspard et Gabrielle s'il te plait et leur demander de nous rejoindre au salon? Gaborn doit être dans son bureau à moins qu'il ne soit en train de parcourir ses terres.


Sans attendre, elle passa la porte, demanda à une servante qu'on fit préparer une collation et alla s'asseoir non loin de la cheminée.
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Maeve.
Le jeune homme se présente à son tour. Mais il semble gêné, embarrassé... Maeve regarde les mains d'Eloy, puisque tel est son nom, peut-être que lui aussi il a les doigts maculés d'encre, et que c'est pourquoi il est mal à l'aise. Mais non, elles lui semblent très propres... Un sourcil se hausse imperceptiblement, alors qu'elle s'interroge sur la raison de son inclinaison de tête à la moue embêtée.
Petit détour des prunelles azurées sur sa mère, qui ne semble pas avoir remarqué le trouble du jeune homme. Puis elle repose les yeux sur le garçon, curieuse devant l'Eternel, observatrice sans scrupule, tâchant de deviner son âge, la raison de sa venue, s'il ferait un compagnon de jeu acceptable...

L'attitude encore maladroite du benjamin d'Azayes lui fait penser qu'il n'est pas si vieux qu'il voudrait le faire croire... Dans ses souvenirs elle cherche qui aurait pu avoir cet age... Aleanore n'en est pas très loin, mais elle est encore très enfant... Peut-être plutot Louve, l'amie de Leandre, qu'elle a rencontrée à Dieppe, et qui avait douze ans...
Presqu'un adulte mais pas encore... Même s'il tente d'en adopter la posture. Facétieuse gamine qui tente de même de se vieillir un peu (mais pas trop, elle aime bien être une enfant) en se tenant bien droite, la mine sérieuse, c'est qu'elle a huit ans quand même... Et depuis l'arrivée de Gaspard, plus jeune qu'elle de quelques années, elle se sent investie d'une mission. Sans compter la traversée du royaume faite en la seule compagnie de son chevalier de dix ans...

Mais rapidement sa mère la recadre, comme si Marie pouvait lire les pensées de sa fille. Idée qui se faisait persistante, la vicomtesse devinant plus souvent qu'à son tour les facéties et légers mensonges de Maeve... L'ordre est clair, et Maeve y voit une échappatoire pour ses mains sales.
La petite tête rousse s'incline doucement, tandis que la voix fluette répond aux propos de sa mère.


Bien, Maman, j'y vais.

Et d'obtempérer rapidement, demi tour, mains maculées qui se dévoilent donc au regard, course sur sol glissant, amusement ô combien primé par les enfants (et ceux qui sont plus grands d'ailleurs) arrivée hasardeuse dans les cuisines, où elle chaparde immédiatement un fruit dans lequel elle plante ses menottes.

Vous chavez où che trouvent Gachpard et Gabrielle ?

Face aux mines dubitatives des domestiques, Maeve décide d'entamer seule la recherche, à sa manière. Les marches de l'escalier sont grimpées aussi vite qu'elle les avait descendues, et elle se met à crier dans les couloirs.

Gaspaaaaard ! Gabrieeeeeeeeelle ! Maman est au salon avec un garçon qui s'appelle Eloy et faut qu'on y aille !

A côté de sa chambre, le cabinet de toilette dans lequel elle se précipite, renversant en partie l'eau du broc à côté du baquet, brisant et frottant avec tout autant de célérité, chassant dans l'eau noircie les taches qui jusque là habillaient ses menottes empressées. Entre la serviette et sa robe, elle hésite, mais l'idée de se présenter au salon avec sa tenue trempée devant sa mère facilite grandement le choix.
Et de nouveau les gambettes tricotent dans le corridor, galopent dans les escaliers, et c'est une rouquine un peu ébouriffée, mais rayonnante, qui se présente aux portes du salon, réduisant la vitesse du pas, tentant de récupérer la contenance de mise pour la réception du jeune Eloy. Sérieuse comme un pape, elle vient près de Marie, même pas peur.

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Gabrielle36
Gabrielle se faisait aussi discrète que possible depuis la mauvaise nouvelle. Elle était dans sa chambre à jouer avec Grelot, son chat qu’elle ne quittait pas, et sa poupée que Marie Alice lui avait donné. Elle ne lui avait pas encore donné de nom et n’en voyait pas l’intérêt. Dans son jeu, Grelot était le chevalier qui devait sauver la princesse tandis que Gabrielle faisait le méchant dragon qui l’avait enlevé. Elle courait pressant sa poupée contre elle tandis que Grelot la suivait. Elle s’arrêta net puis elle se retourna sur son chat et lui fit peur. Grelot se cacha alors derrière une armoire ce qui fit rire Gabrielle.

A ce moment là une porte s’ouvre et des pas résonnèrent dans le couloir avant de se perdre dans l’escalier. Curieuse comme à son habitude, la petite lâcha sa poupée et se rendit dans le couloir aussi vite qu’elle le put. Coup d’œil en direction de l’escalier, elle eut juste le temps d’apercevoir des cheveux roux. Maeve … qu’est ce qu’il lui arrivait ? Peut être une bêtise … sans pour autant s’inquiéter elle referma sa porte et reprit alors son jeu.

Gaspaaaaard ! Gabrieeeeeeeeelle ! Maman est au salon avec un garçon qui s'appelle Eloy et faut qu'on y aille !


Coupée de nouveau par la voix de Maeve qui s’écriait, elle laissa là, chat, poupée pour retrouver le couloir. Un garçon ? Encore un orphelin peut être ? Décidément le château reprenait vie, mais qui était-il ? Maeve avait de nouveau disparut, une vrai tornade. Elle hésita un moment, peut être attendre son petit frère et sa sœur mais à priori il fallait descendre de suite vu le ton employé. Gabrielle prit à son tour le chemin de l’escalier, descendant les marches une à une en prenant soin de faire attention car une marche loupée et c’est le drame. Il ne fallait surtout pas ça en ce moment.

La direction du salon fut un peu plus rapide et elle se présenta sur le seuil de la porte aussi droite que possible. Un regard vers Marie Alice puis le garçon et elle s’avança vers eux.

Bonjour, je suis Gabrielle, la fille de Gaborn ! Petit sourire, révérence rapide puis elle rejoint Marie Alice pour lui faire une bise. Ne sachant où se placer et pourquoi Eloy était là, elle resta figée à côté de Marie. Regard vers Eloy, elle le regarda de la tête au pied.
Eloy_dazayes
Eloy regarda la jeune Maeve. repartir.

Hélàs pour elle, dans sa fuite rapide, elle avait déjà oublié qu'elle s'etait essuyé un tant sois peu sur sa robe, et de longues traces noires maculaient sa toilette.

Le garçon ne put réprimer un sourire.
Il fallait grandir, mais pas trop vite après tout....

Eloy suivit doucement la Dame, la fraîcheur de la demeure lui fit du bien, le soleil était encore bas, mais les premières chaleurs ne sont pas toujours facile...

La Dame s'assis près de la cheminée, Eloy la regarda, mais elle perdait déjà ses yeux dans les flammes. Le jeune homme était bien embarrassé...
Comment exprimer ce qu'on ressent, qu'on aimerai pouvoir soulager, tout en sachant que cela est impossible...
Eloy pensa à faire le pitre, mais non, ça n'aiderai surement pas.

La jeune Maeve. revint, Eloy l'avait entendu arriver, sa superbe glissade dans le couloir n'etait pas très discrète...
S'il en avait le temps, et si l'occasion se présentait, il lui expliquerai comment glisser en silence... Les filles ne savaient pas souvent exploiter l'avantage du "jupon magique qui glisse".... Bien dommage, Eloy, lui, etait obligé de se raper le derrière, ou encore pire les bras pour glisser en silence...

ELoy regarda la demoiselle, et lui sourit, elle lui faisait penser à sa cousine Nahy, ce petit air espiégle, mais en fait un coeur en or, sans aucun doute !
Décidement, Eloy ne voulait pas trop grandir...

Mais une surprise n'arrivant jamais seule, une petite bouille fit son apparition, et vint se planter devant lui.

Bonjour, je suis Gabrielle, la fille de Gaborn !

Eloy n'eut pas le temps de répondre que la jeune Gabrielle venait poser une bise sur la joue de MarieAlice...

Une question se posait au jeune homme... Combien d'enfants faisaient vivre cette demeure...

Eloy regarda la Dame...
Triste pour elle, mais en ayant aussi envie de rire... De s'amuser...

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Gaspard.
Depuis sa défaite face à Persan, les activités de Gaspard c'étaient quelque peu modifié. Avant, il adorait parcourir la demeure à la recherche d'un méchant dragon. Mais suite à cette mésaventure, une nouvelle idée le tenait: devenir plus fort. Pour cela il avait pensé allez voir les gardes. Mais au moment de le leur demandé, il avait hésitez. A la place il s'était caché et avait décidé de les espionner. Du haut de ces 5 ans, cela n'avait pas été très dur. Il avait alors trouvé un immense trésors: leurs histoires.
Certes, il n'y avait dedans nul dragon, mais elles étaient si particulières. Nul histoire qu'on lui avait raconté jusque là ne leurs ressemblaient. Ils parlaient de tout, des employés de la maison, des seigneurs y résidant et parfois même de quelques anecdotes récoltés ici et là dans le village. Et plus les gardes avaient bu, plus les histoires devenaient intéressantes aux oreilles de Gaspard. Malheureusement, il ne comprenait pas tout. Il aurait bien demandé quelques précision à Marie Alice, mais quelque chose lui disait, qu'elle se préoccuperait plus alors de savoir ou il les avaient entendus, plus que de le renseigner. Non, il devait en parler à Maeve ou Gabrielle, elle semblaient plus au courant de ses choses que lui, et peut être pourraient elles le renseigner.

Il écoutait une histoire grivoise, bien caché dans son coin, quand le garde entrât. A la manière dont il s'introduisit dans la pièce, le gamin compris qu'il avait une histoire qu'il jugeait intéressante à raconter. Gaspard aimait particulièrement celles là. Elles étaient simple, récente et lui permettaient parfois de trouver la signification de quelques mots qu'il avait déjà entendu.


- Hé, z'avez pas une bière? J'viens d'voir la moufflette passer prestement dans le couloir. Elle semblait avoir le feu au derrière la bougresse.

- Laquelle? Tu sait y'en a pas qu'une maintenant.

- Chiabrena! Comment c'est son nom déjà?! Vous savez... comme celle qu'Ael à mis dans sa couche le mois dernier

- Maeve? … Elle courrait surement après son si grand chevalier...

- Non, pas cette fois. Elle semblait quérir les autres mioches. Semblerait qu'ils aient un invité. P'têt un prétendant aux épousailles.


La nouvelle fit paniquer Gaspard. D'où il était, il ne pouvait sortir sans se faire voir. Hors cela risquait de compromettre ses prochaines visites. Il devait trouver un moyens. Il ne souhaitait pas non plus s'attirer les foudres de Marie, cela avait l'air d'être un invité important.

C'est alors qu'il vit son sauveur arrivé. Quand il l'aperçut il fut étonné. Rien ne l'avait avertit de sa présence, et à entendre les autres gardes, eux non plus n'avaient rien remarqué. C'était un homme de grande taille, le visage couvert de cicatrice. Il portait une épée à son côté. Mais avant tout c'était le capitaine de la garde. Un homme que Gaspard craignait autant qu'il le respectait. D'habitude, l'arrivé de l'homme ne lui plaisait guère, celle ci étant synonyme de la fin des histoires. Mais pour une fois, ce n'était pas le cas.


Un invité?! Et vous rester là ?! Ça vous inquiète pas qu'une gamine sache avant vous que quelqu'un est dans la demeure?! Allez bougez de là avant qu'j'vous envoi casser des cailloux!

Les gardes s'exécutèrent dans un désordre bruyant. Peu après il ne restait plus que le capitaine inspectant la salle du regard. Gaspard eu le souffle coupé, quand il regarda dans sa direction. Mais l'homme ne fit rien qui prouva qu'il l'avait vu. A peine fut il sortit de la salle que Gaspard ce précipitât vers la sortit. Il courut encore longtemps dans les couloirs, avant de s'arrêter net. Il avait oublié le mystérieux invité. Il prit alors la direction du salon et ne s'arrêtât que tout prêt de la porte, essayant de reprendre son souffle et d'essayer de dépoussiéré quelque peu ses vêtements. Puis, il entra, comme si de rien n'était, dans la pièce.
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Mariealice
Un peu trop pensive en ce moment, pour un rien son esprit partait ailleurs, voguant parmi souvenirs tristes ou joyeux, s'évadant d'un présent difficilement acceptable à ses yeux. Certes elle était entourée d'enfants vivants, mais elle oscillait entre peur qu'il leur arriva quelque chose et peur qu'elle n'en fut la cause directe ou indirecte. Et ce n'était ni la gifle de Persan ni la scène avec Gaspard qui risquait de la rassurer.

L'arrivée de Maeve puis de Gabrielle lui fit relever la tête. Combien de temps était-elle restée figée ainsi? Qu'allait penser Eloy de son hôtesse à ainsi le délaisser.

Marie se redressa dans son siège, sourire aux enfants présents avant de tomber les yeux sur la robe maculée de sa fille. Un profond soupir et pourtant qu'était un peu de tissu gâché? Rien.. Vraiment rien du tout.

Un mouvement attira son attention, Gaspard se joignait à la troupe, essoufflé, les joues rouges. Décidément.. Enfin on ne pourrait dire qu'ils n'étaient plein de vie eux.. Pincement au coeur à cette pensée. Non qu'elle leur en voulut, bien au contraire. Mais elle se sentait si désemparée et si peu à sa place au milieu de toute cette agitation pourtant bien normale.


Gaspard viens dire bonjour je te prie.

Eloy, voici toute la maisonnée pour l'heure.. Il ne manque que ma fille ainée Aleanore qui n'est point parmi nous. Maeve ma plus jeune fille donc, Gabrielle, fille de Gaborn de Hennfield a qui appartient cette demeure et Gaspard, fils de feue Apolonie de Nerra et de feu Alayn de Viverols dont je suis la tutrice et marraine.

Installez-vous, la collation va arriver. Et discutons un peu en attendant. Ensuite si vous voulez les enfants, vous pourrez faire visiter la demeure et les jardins à notre invité.

Vous avez en commun avec Gaspard le lieu de résidence de votre famille ainsi que le fait qu'un de vos parents aient régné sur le Bourbonnais Auvergne.


Un valet arriva sur ces entrefaites, portant un plateau chargé de diverses douceurs qu'il déposa sur une petite table avant de servir un verre de lait aux trois enfants de la maisonnée plus un de violette pour Marie.

Que désirez-vous boire Eloy?

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Eloy_dazayes
Eloy regardait les enfants arriver, et il en fut ravi, la vie dans une maison, il n'y avait que ça de vrai...

Un petit garçon arriva, il essaya de se montrer très digne, mais son jeune age le faisait pêcher un peu, mais l'idée était la...


Mariealice a écrit:


Gaspard viens dire bonjour je te prie.

Eloy, voici toute la maisonnée pour l'heure.. Il ne manque que ma fille ainée Aleanore qui n'est point parmi nous. Maeve ma plus jeune fille donc, Gabrielle, fille de Gaborn de Hennfield a qui appartient cette demeure et Gaspard, fils de feue Apolonie de Nerra et de feu Alayn de Viverols dont je suis la tutrice et marraine.

Installez-vous, la collation va arriver. Et discutons un peu en attendant. Ensuite si vous voulez les enfants, vous pourrez faire visiter la demeure et les jardins à notre invité.

Vous avez en commun avec Gaspard le lieu de résidence de votre famille ainsi que le fait qu'un de vos parents aient régné sur le Bourbonnais Auvergne.

Que désirez-vous boire Eloy?


De l'eau Madame, de l'eau, s'il vous plait.

Eloy reflechi...
Tous ces noms ne lui etaient pas inconnus, mais d'où...
Surement des histoires maintes fois racontées dans des soirées où il s'ennuyait ferme....

Il essayait de trouver l'inspiration, mais rien n'y faisait, son regard raccrochait tous le temps celui de la jeune Maeve. et de sa belle robe toute tachée...

Oui, j'avoue que ces noms m'ont déjà été cité, mais je serai bien incapable de donner les circonstances et leurs histoires...
Mais dites moi, ça vous dérangerai si je vous posais des questions sur votre role de permiere secretaire ? J'ai du mal à comprendre, et j'avoue que j'ai envie de voir et d'entendre des explications differentes pour me forger mon opinion, et puis aussi sur d'autres sujets, mais si vous ne vouliez répondre, je comprendrai.

Vous devez surement aussi avoir besoin de calme et de repos.


Eloy se demandait s'il n'en demandait pas trop....

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Maeve.
Marie est ailleurs. La jeune rouquine le sait, le devine. C'est qu'elle la connait bien sa mère. Elle sait quand elle va bien, qu'elle va mal, elle sait déceler la colère à la teinte émeraude qui se glisse dans ses noisettes quand elle s'énerve, elle sait lire dans les cernes ou le rouge de ses yeux la fatigue et la douleur, elle sait déceler dans les sourires le réconfort ou la joie. Et le regard perdu de sa mère dans le feu n'augure rien de bon.
Maeve sait bien que depuis l'annonce du décès d'Arthur, Marie a du mal à reprendre pied, à sourire, qu'elle est malheureuse comme les pierres dans lesquelles Maeve aime tant taper du pied quand elle se promène dans les jardins. Elle a entendu des bribes de conversation avec Muad, elle a lue dans les noisettes humides la peine de la mère qui a perdu sa chair.

La rouquine en veut à la terre entière. Pas tellement du départ de son frère, on l'a déjà dit, mais elle déteste que sa mère ne soit pas heureuse et vivante, active et souriante. Et doucement une bise vient se poser, tel un frolement d'aile de papillon, sur la joue de Marie. Bientot couverte par celle de Gabrielle qui vient d'arriver. Sourire franc à celle qu'elle considère comme une soeur depuis qu'elles se sont rencontrées.
La petite brune au passé difficile qui d'instinct avait calé sa menotte dans la mimine de Maeve, et elles s'étaient promis de ne plus se quitter, promesse renouvelée à Gaspard, qui pointait d'ailleurs le bout de son nez. Ainsi elle avait été entendue. Nouveau sourire au petit garçon, qui comme Leandre et elle veut devenir chevalier.
Mais un vrai hein ! Un avec une Licorne sur sa cape, comme Maman, Papa et son oncle. Un qui tue les dragons, un qui défend l'opprimé, un qui tient ses serments, un qui impressionne quand il entre dans une pièce. Déjà dans l'azur de son regard s'allument les étoiles tandis qu'elle se voit, juchée sur un grand cheval à la robe encore indéfinie, l'épée au côté, l'armure étincelante, le bouclier rutilant...

Retour à la réalité. Le jeune Eloy ne la quitte pas du regard, et elle se demande si elle ne se serait pas mis de l'encre sur le bout du nez... Glissant d'un pas sur le côté, elle s'assied en tailleur aux pieds de Marie-Alice, juste devant un âtre qui réchauffe son dos menu. Les tâches sur sa robe ainsi camouflées, elle essuie, dans un mouvement qu'elle espère discret, son petit nez parsemé de roux, chassant une encre imaginaire.
Portant son regard vers la fenêtre, elle se demande ce que la journée apportera d'autre... De bonnes nouvelles pour sa mère, elle a prié pour hier soir avant de se coucher. Mais encore ?
Anthelme a-t-il été nourri aujourd'hui ? Leandre va-t-il bien ? L'herbe est-elle humide ? Sa lettre arrivera-t-elle à son destinataire ? Son épée en bois pourrait-elle faire mal à l'ombre qui habille le regard de sa mère ?

Rappel. La voix de Marie, si fatiguée, les questions d'Eloy, qu'elle a entendues des milliers de fois déjà. Et la proposition de sa mère, si alléchante soudain. Les jardins lancent leur cri, celui que la plupart des enfants entendent distinctement, l'appel de la course effrénée, des jeux et des secrets, celui des allées et des détours, des arbres larges derrière lesquels se cacher, se confier, les bancs où reprendre son souffle, les trésors sans nul doute cachés dans le sol... Enfin ça elle le garde pour plus tard. Elle se doute, étrangement, que ça ne plaira pas tellement, des trous parsemant les jardins de Gaborn...
Se redressant aussi prestement qu'elle s'était assise, elle s'approche du jeune d'Azayes. Plantant les prunelles azurées dans les siennes, histoire de bien faire passer l'enthousiasme et l'envie, elle lui sort son plus beau sourire. Et de se pencher doucement vers son oreille, murmure intrigant.


Maman est... un peu triste tu sais en ce moment. Est-ce qu'on ne pourrait pas plutot aller faire un tour dans les jardins, se promener un peu, je te montrerai un truc, mais faudra pas le dire hein ?! Et ensuite, si tu veux rester pour dîner, alors peut-être que Maman sera un peu plus... en forme... Et elle répondra à tes questions, j'en suis sûre.

Le ton se fait insistant. La petite Alterac et ses grands yeux bleus qui brillent d'envie et de supplication obtiennent généralement ce qu'ils veulent. Eloy lui fera-t-il défaut ? Marquera-t-il une exception à cette règle ? Le minois angélique se tourne vers Marie-Alice, et le sourire s'adoucit, comme toujours en ce moment quand elle est face à sa mère.

Maman, si cela ne vous dérange pas, j'aimerais faire visiter le parc à Eloy. Peut-être pourrait-il rester dîner, ainsi vous pourriez lui répondre à ce moment-là ? Et vous reposer avant cela... Mais ça, Maeve le garde pour elle.

Un coup d'oeil en invitation pour Gaspard et Gabrielle, et déjà la menotte de la rouquine se tend vers celle de leur invité. Comment lui refuser quoi que soit ? A moins de tenir absolument à une conversation d'adulte plutot qu'à un babillage enfantin... Mais il n'a pas l'air très vieux... Alors ?
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Eloy_dazayes
Du mal, vraiment du mal...
Eloy avait du mal à détacher son regard de celui de Maeve.
Pourquoi ? Il se le demandait lui même.
Peut être à cause de son regard profond, ou de ses petites taches de rousseur sur son petit nez...
A moins que cela ne soit dû à ses airs de chipie au grand coeur, que son age lui permet d'avoir, vous savez, cet air qui permet de vous dire une vérité bien "sentie", sans pour autant avoir l'air cruel, un peu comme SA cousine Nahysse...

Eloy se surprit lui même à rêvasser en pensant à tout ça, intérieurement, il secoua la tête, et essaya de se reprendre...

Il sentait bien que la Dame était fatiguée, et avait besoin de calme, et déjà il regrettait d'avoir posé des questions, trop empressé, trop fougueux, combien de fois lui avait on dit ?
Lui même ne s'en souvenait plus....

Mais voici que Maeve. se lève et s'approche de lui, elle plonge son regard dans le sien, Eloy se sent rougir jusqu'aux oreilles...

Et là, une pensée unique... "Ah non, pas moi, pas déjà !"
Mais Maeve. plante son regard dans le sien, et il n'y peut rien...
Puis doucement elle se penche vers lui...
Il ressemble surement à une écrevisse... Mais bon, l'histoire le dira surement.


Maeve. a écrit:

Maman est... un peu triste tu sais en ce moment. Est-ce qu'on ne pourrait pas plutot aller faire un tour dans les jardins, se promener un peu, je te montrerai un truc, mais faudra pas le dire hein ?! Et ensuite, si tu veux rester pour dîner, alors peut-être que Maman sera un peu plus... en forme... Et elle répondra à tes questions, j'en suis sûre.

Maman, si cela ne vous dérange pas, j'aimerais faire visiter le parc à Eloy. Peut-être pourrait-il rester dîner, ainsi vous pourriez lui répondre à ce moment-là ?


Machinalement, Eloy tend les mains et prend celles de Maeve.
Hochement de tête, c'est reparti pour l'aventure !

MaDame, si ça ne vous gene point j'aimerai en effet visiter les jardins et le parc de votre demeure, prennez le temps de vous reposer, de vous détendre un peu, et puis, quelque part, en discutant entre nous, j'apprendrais à mieux les connaître tous.

Eloy ne lache pas les mains de Maeve.
Regard vers les deux autres enfants, qui ont l'air d'être partant pour s'amuser dans le parc.

Je pense que votre fille connait suffisement, les us de la demeure pour eviter tout manquement à des moments obligés.

Eloy incline la tête vers MarieAlice qui paraît toujours perdu dans ses pensées...
Petit clin d'oeil à Maeve. Il est prêt pour l'aventure !

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