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[RP ouvert ] Place du Village : Fêtons tous ensemble Noël !

Camille.p
Après être sorti des thermes Camille fît un crochet pour se rendre au sapin et voir les tranformations.Noel approchait et elle avait encore quelques petites choses qu'elle avait apporté dans un sac et qu'elle souhaitait mettre sur le sapin.Si toutefois il restait encore de la place.
Elle y croisa en cours de route Krystel les bras chargés de décorations elle aussi.
Camille embrassa sa Marraine et c'est ensemble qu'elle fîrent le reste du chemin.
Notre sapin prend forme Krystel.Il est magnifique.Messire Bilok a fait du beau travail.Je ne manquerait pas lorsque tout sera terminé d'aller le remerçier.Mais surtout que Messire Bilok fasse à son goût.Il n'est peut-être pas nécessaire de tout mettre.Si le sapin était trop chargé ça ne ferait pas beau.
Isora
Isora en trombe et à pas de loups arriva derrière ses deux amies et bouuuuuuuuuh fit sursauter Camomille ! Bah alors tu as peur de moi ?
Elle adorait la taquiner, car elle marchait au quart de tour, oui c'est comme ça que disait Assyr aussi en parlant d'Isora. Camille avait les bras chargés de décorations toutes aussi belles les unes que les autres. Ah mais Kristel aussi, elle embrasse cette dernière bien volontier. Alors les copines on veut faire s'écrouler le sapin avec tout cela ? Et bien il va falloir le veiller sinon on pourrait nous l'enlever ! Isora admirait le sapin, elle avait toujours été fascinée par les préparations de noël, elle avait gardé une âme d'enfant, les surprises, les chants, les mets et dire qu'on lui avait dit, très récemment d'ailleurs, que ce qui se passait en halle était puérile !
Kristel
Kristel eu un peu peur du crie d'Iso, mais se doutait bien que c'était elle, elle n'en faisait jamais d'autre et lui sourit.

Et bien Iso on se permet de nous faire peur et de nous faire échapper nos choses de Noel pour le sapin, cela aurait pu risquer de les briser en plus, et d'oû sors-tu toi pour nous arriver dans le dos comme ça?? Tu te cachais je présume!!!

Elle lui fit une grosse bise froide en souriant.

Comme tu peux le constater Camille et moi apportions encore des décorations pour le sapin, et oui il va être superbe, as-tu vue les magnifiques choses que Camille apporte en plus, cela brille, formidable, elles sont superbes ses décorations, je me demande bien ou elle a pu dénicher de si belles choses.

Regardant Camille tout en lui souriant, elle était heureuse de la revoir et était contente d'être enfin toutes réunies et de pouvoir fêter Noel toutes ensembles, cela serait formidale pensa-t-elle.

Une seule ombre au tableau c'est Omere qui avait glissé et qui devait être perdu en quelque part, sa glissade doit l'avoir amener quelque peu un peu trop loin et elle avait hâte de le revoir, il devait être tout gelé le pauvre, elle devra le réchauffer à son retour.

Allez déposons nos choses près du sapin, Bilok les installera quand il passera n'est-ce pas les filles??

Elle se hâte de retourner dans sa chaumière bien au chaud car il faisait très froid.
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Bilok
Bilok arriva et vit tout les objets que les filles avaient déposé. Bilok les prit et commença a les installé.

C'est super les filles, vous êtes géniales. Kristel, tes petits oiseaux, je vais les mettre sur les arbres autour car ça manque de décorations.



Bilok s'assura qu'il n'oublié rien car il avait oublier des objets à Camille. Bilok se dit que l'arbre était merveilleux. il se dit que lui n'allait rien mettre car il était super beau et les tonnerois était des gens fantastiques. Bilok versa une petite larme de joie et eu pensé pour quelqu'un en particulier.
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Bilok
Bilok laissa un mot à coté du sapin racontant l'histoire des fêtes de Noël

Citation:

Hagiographie de saint Noël

Ses origines

Arrière-petit-fils d'un brave homme ayant suivit Christos de son vivant, Nicolas Noël est né dans un chariot tiré à ce qu’on dit par des cerfs dressés par son père.
A cette époque les registres n’existaient pas et on ne connaît pas le lieu exact, ni la date exacte de sa naissance mais on sait que c’était pendant un hiver particulièrement rude.

Noël faillit ne pas dépasser l’âge de la puberté tellement il avait souffert à sa naissance, et il a même été en état de mort plusieurs fois. Par contre à chaque retour à la vie, contrairement au commun des mortels, il revenait plus en forme que jamais.
Pourtant chaque année au solstice d’hivers il semblait mourir pendant cinq jours et cinq nuits, mais bien que son corps soit veillé certains prétendaient l’avoir vu à différent endroit, offrant du pain aux plus pauvres, du feu à ceux qui n’en avaient pas, et même un simple jouet aux enfants triste.

Sa vie

Vers l’âge de 15 ans alors qu’il n’avait jamais étudié, il racontait l’histoire de Christos que son arrière-grand-père avait transmit à son grand-père et qui lui-même l’avait transmis à ses enfants et petits enfants.
Le curé de sa paroisse l’invitait régulièrement à participer à la messe et en fit son diacre. Très vite tout le monde fut surpris de son érudition, sa simplicité, son amour pour les autres et ses connaissances intuitives du dogme aristotélicien.

Un jour où on le questionna sur les raisons de ses problèmes de santé liés à l’hiver il répondit :

Je parlerais d’un cadeau de Dieu plus que d’un problème, car à chaque fois que je frôle la mort j’en apprends de Christos et Aristote, car notre Créateur nous donne toutes les réponses à toutes les questions pour que nous puissions voir notre vie sous des jours nouveaux, et que nous puissions nous juger nous même avant d’être jugé.
En principe en revenant à la vie, nous laissons ces connaissances et un peu de notre force, mais Dieu en a fait autrement pour moi je pense, bien que je ne garde qu’une réponse, sans choisir la quelle, je ne perds pas tout de ma visite chez les Saints.

Bien entendu personne ne le prenait réellement au sérieux, et il ne l’était d’ailleurs peut être pas, mais tout ce que les gens retenaient de cet événement c’est que c’était un érudit et un homme aussi sage que bon.

Tout au long de l’année, il donnait la moitié de son temps pour aider les malheureux, pas forcément les pauvres, mais bien ceux qu’il nommait les malheureux.

Quand on lui demandait pourquoi il aidait des riches comme les pauvres, il aimait répondre des phrases qu’il disait tenir d’Aristote lui-même :
« Les talents du riche ne remplace pas le talent d’être heureux ».
« Etre remplis de talents ne permet pas d’acheter le bonheur »
« on vit avec talent, mais on n’emporte pas ses talents dans la tombe »

Tous ne comprenaient pas, car il y avait longtemps que le talent n’était plus monnaye courante...

Vers l’âgé de 35 ans, il fut nommé Evêque et il continua sa vie de la même façon, aidant ceux qui devaient être aidé, quel que soit leur rang social, il était reconnu pour toujours avoir la parole ou le cadeau qu’il fallait pour rendre la boulasse aux plus malheureux.
Et chaque solstice d’hivers il semblait mourir, mais chaque fois 3 ou 4 jours plus tard il revenait plus en forme que jamais et organisait une messe vers minuit où il racontait une nouvelle histoire.
Une année il annonça que vu son grand âge, il avait près de 90 ans ce qui est un miracle en soi, il renonçait à sa charge et entreprendrait, seul, un dernier pèlerinage. Bien sur tout le monde voulu l’en dissuader, mais il promit qu’il reviendrait pour le 25 décembre, et que de toutes façons il faudrait bénir ce jour particulièrement car il avait appris de Christos et d’Aristote eux même, que c’était le jour de leur naissance à tous trois, Aristote étant né à midi et Christos à minuit et lui juste entre les deux, à dix huit heures.

La légende

Le Père Noël, comme avait continué de l’appeler ses fidèles, pris la route et revint parmi les siens le 6 décembre suivant.
Il ne répondit que peu aux questions sur ce pèlerinage, mais il avait ramené deux chariots. L’un remplis de bûches, et l’autre rempli autre de pains
Il fit distribuer le pain et le bois aux plus pauvres, et une fois la distribution terminée, il envoya les chariots faire le tour des plus riches à qui on demandait de déposer un présent.
Le 24 décembre, Monseigneur Noël organisa deux messes, l’une à midi en l’honneur d’Aristote et une à minuit en l’honneur de Christos, puis il se dirigeât vers la sacristie et plus personne ne le revit.

La totalité des villageois, du plus croyant au plus mécréant passèrent la nuit à le chercher, et c’est seulement au petit matin qu’épuisés, ils rentrèrent chez eux.
C’est là que la légende fut inscrite parmi les miracles, car chaque maison sans exception avait son foyer allumé et des cadeaux au pied de la cheminée.

Depuis cette époque, chaque année on dit un peu partout qu’en décembre il passe dans les maisons pour donner un peu de bonheur. On prétend même, que parfois, Christos et Aristote l’accompagnent directement...


Il se dit que le sapin était très beau comme ça. Il le regarda encore. Les dernier évènement l'avait fatigué. La défense, l'arbre, et son passé. il versa une larme. Il se cacha pour que sa larme ne soit vu. Tant d'émotion , Ses Amis exprimaient leur sentiments.

je vous aimes les amis lui avait dit Fantou

"Vous faites du très beau travail.
Vous êtes quelqu'un de chouette et Tonnerre a besoin de gens comme vous"
lui avait écris Camille

Lui aussi voulait dire ses sentiments surtout à quelqu'un en particulier mais ne pouvait. Il essuya une autre larme et rentra chez lui pour préparer la suite

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Isora
Isora arrivait sur la place, le jour J était arrivé.
Nous y arrivons enfin !

La mise en place du feu qui sera le signe du début de la veillée !

Les villageois avaient répondu présent, certains avaient apporté de nombreuses petites bûches, pour maintenir le feu.

D’autres des sarments de vigne, indispensables pour que le feu démarre au mieux.


Ils avaient tout entreposé en plein milieu de la place du village face au marché, ni trop près ni trop loin, hors de question de prendre le moindre risque. Il avait été fortement conseillé de prendre toutes les dispositions nécessaires afin d’éviter le moindre accident. L’idée était que la lumière des flammes se reflèterait dans les décorations de leur magnifique sapin et ainsi il en serait encore plus beau !

Il manquait encore le gros tronc d’arbre qui avait été choisi dans un bois très dur pour qu’il brûle jusqu'au premier jour de la nouvelle année qui arrivait à grand pas. Il serait décoré de feuillages et de rubans et on le placerait au centre du foyer.

Bilok allait sans doute arriver avec ? Mais où était-il passé ?


Bilok
Bilok arriva et vit la belle et ravissante Isora. Il avait les Bras chargé de Bois.



Bilok Laissa tombé le bois par terre tout en évitant les pieds d'Isora. Il lui fit la bise.

Et Bien ce n'est pas de tout repos. Il faut que je fasse encore Trois allé et retour pour qu'il y est assez de bois pour le bûché. Tu attends, je reviens...

Bilok repartit en courant. Après trois allé et retour, Il souffla. Il se massa l'épaule car le bois était très lourd. Pour une fois il ne s'était pas fait mal . Donc tout allé bien.Bilok Vit tout le bois qui avait déjà été amener et se dit qu'il allait avoir assez.

Ses épaules lui faisait très mal mais c'était pour la bonne cause.

Le feu allait être en face du sapin de l'autre coté. Le feu alla se retrouvé a cote du musée où se trouvera le repas pour la soirée de Noël et du nouvel an. Du musée, on allait pouvoir voir le bûché depuis le buffet.

Bilok installa, les bûches de bois.



Bilok se tourna vers Isora..



Ça te plait comme ça ??? J’espère que ça te convient, plus a Droite, Ou a Gauche. Je veux que ça soit parfait.
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Fantou
Coucou mes amis !!!!
Devinez qui se cache sous ce loup !!!! Houuu !!!

Je vous apporte aussi ma modeste contribution !!!!
Voici la flamme pour éclairer le feu de la Saint-Jean du solstice d'hiver !!!!


Et la facétieuse Fantou se met à danser avec ses étranges bottes qu'elle a fait faire par un cordonnier de ses amis !!! Elle rit toute seule de son allure insolite sur la place du village, elle regarde ses amis pour voir s'ils ont deviné que c'est elle qui se dissimule sous ce loup !!!!
Mais elle a encore une surprise en réserve pour eux.........
Way
Way arriva sur la place aussi faible qu'un moineau grippé mais avec la détermination et la force de conviction d'acquerir en cette belle ville de Tonnerre tout ce a quoi il aspirait .... du pain! non evidemment non, surtout cette chance de partager et d'evoluer dans une entente chaleureuse, connaitre la solidarité humaine pour lui qui n'avait vu que la facette bien plus sombre de ses semblable...et de lui même.

Il chassa les souvenirs et son visage qui avait été tant de fois éteint s'illumina d'un sourire sincère en arrivant devant tout ce monde qui etait déjà arrivé.


Bonsoir bonsoir, eh bien j'ai aussi apporté tout ce que j'ai.....c'est a dire rien cependant je mettrait tout en oeuvre pour me rendre utile, si je peux participer et vous aider dans les derniers préparatifs ce sera avec grand plaisir!
Isora
Isora regardait Bilok courir d'un côté, repartir de l'autre sans qu'il ne lui arrive rien. Il avait failli toutefois lui écraser ses pieds, mais bon. Voilà qui était un exploit ! Ouf aucune bévue, ratage, emmêlage...... Elle sourit lorsqu’elle l'entendit lui demander si cela lui convenait.

C'est parfait Bilok, surtout ne touche plus à rien ! Formidable !

Tout était prêt il suffisait d'attendre maintenant celui qui allait mettre le feu ! Celui qui allait tout faire flamber !

"Coucou mes amis ! "Isora se retourna et vit une bien belle Dame Noël tiens ! Euh coucou jolie Dame masquée ! C'est étrange elle parle de loup or Isora, Fantou et way avaient parlé de loup cet après midi, ce pourrait-il que ce soit la malicieuse Fée Tonnerroise qui se serait cachée derrière ce masque. Elle n'en dirait rien du tout. Ah mais oui quelle bonne idée, je n'y avais pas pensé ! Merci beaucoup F...... Dame Noël ! Isora se saisit de la torche qui allait servir pour allumer le magnifique feu tout à l'heure, en faisant bien attention de ne pas brûler son joli bonnet ! Je l'a remettrais à qui de droit ! Merci merci !!!
Ah et voilà Way qui vint à son tour. Bonsoir Way, merci soyez le bienvenu, plus on est de fou plus on rit !!
Assyr
Ce fut appuyé sur une canne qu'Assyr arriva. Son pas était lourd, trainant. Avec le récent pillage de la ville, il avait pris un coup de vieux. Il avait, certes, été blessé dans chair mais il avait, surtout, été blessé dans son orgueil et dans sa fierté. Le visage défait, des cernes sous les yeux, ses cheveux de jais qui avaient pris quelques mèches blanches étaient comme toujours ébouriffés.

Il s'approcha du centre de la place, où trônait le sapin. Le maire déchu leva les yeux et admira le travail. Une larme perla au coin de son œil. Il alla ensuite en direction de l'emplacement du futur feu, où se trouvait déjà Isora, Fantou, Bilok ainsi qu'un jeune inconnu. Un léger sourire se dessina sur ses lèvres. Un sourire empreint de mélancolie, de tristesse, de fatigue aussi.


Bien le bonsoir, mes chers amis. Vous avez fait un travail formidable. Je suis fier de vous. Sa gorge se serra légèrement. Il essaya de ne rien laisser paraître. Je suis prêt à allumer ce feu. Mais nous attendons encore un peu, n'est-ce pas, que d'autres viennent.
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Grangousier
Grangousier arriva fort joyeusement sur la place du village, porteur d'un tonneau de vin et de victuailles en tout genre !
Il embrassa affectueusement sa marraine Fantou et la belle fée bleue Isora avec laquelle il avait fait connaissance et qu'il trouvait fort aimable !
Puis il salua le reste de la petite assistance.

Mes amis en ce beau jour de noël, ripaillons ensemble !
Que coule le vin en abondance et que se remplissent les estomacs !
Mais puisqu'en ce jour nous commémorons la naissance de Christos, voici comment se déroula son enfance telle que rapportée par Samoth, le premier prophète en l'an de grâce 87 dans La Vita de Christos alors que l'âge le rattrapait ...


Citation:


CHAPITRE 1

Lorsque j’ai connu Christos, celui-ci aimait à nous parler des heures durant, d’une voix passionnée autant que passionnante. Nous buvions ses paroles avec ferveur et en nourrissions nos âmes. Ce fut lors d’une de ces discussions que Christos nous raconta son enfance. Ainsi, je vous la rapporte, mes enfants, car cette partie de sa vie fut aussi belle que ce que j’ai vécu à ses côtés.

Maria vivait avec Giosep qu’elle allait épouser. Tous deux étaient d’humbles vagabonds, mais ils vivaient dans la vertu, en remerciant le Très Haut des bienfaits terrestres dont ils jouissaient. En outre, ils éprouvaient l’un pour l’autre un amour sincère et pur de toute luxure, leur vie était heureuse. Mais un jour, Maria vit en songe un cavalier venant de loin aller à sa rencontre. Arrivé devant sa maison, il mit pied à terre. C'était un homme d’allure majestueuse; il s’avança, et dit :

"Maria, n’aie crainte, car l'Eternel t’aime et t’a choisie. Aussi, un enfant va naître de toi, que tu nommeras Jeshua. Il sera un guide, un messie habité par Dieu. Il portera la parole de Dieu partout ou il lui sera donné d’aller et sauvera le peuple de ses péchés en lui enseignant la sagesse d’Aristote."

Le cavalier repartit ensuite vers sa contrée lointaine comme il était venu. Maria se réveilla à ce moment là et vit Giosep devant elle la regarder avec des yeux amoureux.

Et il advint ce que le songe avait annoncé, Marie conçut un enfant, et les deux parents firent en tout selon la prophétie d’Aristote, le nommant Jeshua.

L’Enfant naquit à Bethléem, en Judée. Du fait du surpeuplement qui existait alors dans cette ville, le couple ne trouva pour se loger qu’une bicoque délabrée car il n’y avait plus de place ailleurs pour les accueillir. Mais lorsque l’enfant naquit, celui-ci semblait, à tous ceux qui le virent, être touché par la grâce divine, car il rayonnait de douceur et de calme. Si bien que les gens du petit village se cotisèrent pour que cet enfant béni de Dieu ait tout ce qui lui était nécessaire. Les uns amenèrent du linge, d’autres contribuèrent à la rénovation de la bicoque et d’autres encore amenèrent des vêtements neufs et de la nourriture aux deux heureux parents.

Maria était transfigurée par le bonheur. Sa joie la rendait lumineuse et elle remerciait chaque jour le Très Haut de la naissance de cet enfant.

C'est dans ce calme paisible que Jeshua commença sa vie, loin de toute violence et de toute perversion... jusqu'à ce que...

CHAPITRE 2

Mais Maria était trop heureuse d’être mère de celui qui allait devenir le messie pour tenir sa langue. Un jour, alors qu’elle allait chercher de l’eau à la fontaine, elle croisa une courtisane du roi de Judée qu'on appelait Elitobias.

Elitobias, une érudite servant la voie de l'Etat avec zèle, vivait dans un luxe insultant, se nourrissant de viande, de poisson, de lait... Elle avait l’habitude de se moquer de la pauvreté de Maria. "Moi, disait-elle, je sers le grand roi de cette contrée, notre aimé Mistral IV. "

Alors, Maria fit une erreur, ne pouvant plus supporter les sarcasmes de Elitobias, elle lui répondit :

"Et moi, je suis la mère de Jeshua, le messie qui portera le message d’Aristote et qui détrônera tous vos faux rois, vos faux prophètes. Mistral IV est un roi temporaire, mon fils le dépassera en charisme et son nom restera gravé dans les mémoires vachement plus longtemps que ton Roi."

Alors, Elitobias, qui croyait aux songes et aux signes du destin, fut troublée. Elle rentra précipitamment dans le palais de Mistral IV pour prévenir son maître.

Mistral IV était un homme de marbre, une statue polie par la patine du temps. C’était un ténébreux, un veuf, un inconsolé au regard triste et lointain. Un prince qui avait combattu les mèdes grâce à un astucieux système de poulies et de charrettes. Mais sa gloire était alors bien pâle, et il était devenu un roi silencieux et détaché des misères de son peuple. Jaloux de son pouvoir, il prétendait diriger ses sujets mais laissait en fait à sa femme intrigante le soin de gouverner le royaume. Lui ne sortait jamais des ors de son palais que pour réprimer un complot ou anéantir une fronde.

Lorsqu’il entendit Elitobias, pour laquelle il avait une inclination coupable, raconter ce qu’elle avait entendu, il fut surpris. Alors, il lui demanda: "Qui est ce péquenot qui se fait appeler Jeshua et qui sauvera son peuple ? Où pourrais-je le trouver ? Dans quelle halle ? Dans quelle gargote ?"

Elitobias poursuivit alors son discours dénonciateur, en espérant mériter ainsi les grâces de ce roi d’une beauté glacée.

"D’après ce que m’a dit Maria, Jeshua est le messie, le guide, le miroir de la divinité. Il est annoncé par Aristote et, selon sa prophétie, il apportera aux hommes la bonne parole et confirmera les préceptes Aristotéliciens. Son influence sera grande et ses disciples nombreux, qui se reconnaîtront en lui et en Aristote pour les millénaires à venir. Vous pourrez le trouver à Bethléem."

A ces mots, Mistral sentit remonter en lui ses anciennes superstitions, ainsi que le souvenir de la foi qu’il avait su réprimer et noyer dans son cœur. Il avait peur de perdre son trône et prenait la menace au sérieux. Il appela ses gardes, et leur dit:

"Gardes, un homme vient de naître, qui pourrait conjurer contre moi. Il faut à tout prix empêcher cet homme de percer. Il se trouve à Bethléem. Trouvez le, et assassinez le ! Usez même d’astucieux systèmes de poulies et de charrettes si nécessaire !"

Alors, la garde du roi s’exécuta, et partit vers Bethléem.

Mais cette nuit là, Maria eut de nouveau un songe. Elle revit le cavalier qui lui avait annoncé la naissance de Jeshua. Il réapparut en effet à Maria et lui dit:

"Levez vous ! Prenez Jeshua avec vous, et allez sur les chemins. Dirigez-vous au Nord, vers l'Île de Chypre, et restez y jusqu'à ce que l’on vous prévienne. Car Mistral veut faire périr le petit enfant. "

Alors, les parents se levèrent, prirent dans leur bicoque les miches de pain et épis de maïs qui leur restaient et partirent sur les routes, en direction du Nord, en passant par Tarotshé. Ils sortirent des frontières du pays et restèrent en Chypre aussi longtemps que la menace grondait.

Mistral IV, apprenant par ses gardes que les parents avaient fui le pays, devint furieux, et dit : "Gardes, ce Giosep et cette Maria sont des provocateurs ! Ils m’ont roulé et se sont rendus coupables de trahison en refusant un édit royal ! Qu’on les éradique immédiatement ! Quant à ce fils de... de... il ne doit pas percer. Allez et trouvez tous les enfants de moins de deux ans, et éradiquez-les, à la fronde s’il le faut. "

Alors, les fameuses armées de Mistral, celles qu’il était capable de lever en masse en quelques heures seulement, se mirent en marche et sillonnèrent tout le pays. Ils arpentèrent chaque halle, chaque gargote, laissant des messages sur lesquels ils demandaient à la population de présenter aux autorités tous les enfants de moins de deux ans, pour les recenser, soi-disant.

Et les gens du peuple, innocemment, présentèrent leurs enfants ou leurs filleuls aux autorités sans se rendre compte du drame qui se jouait. Et l’on entendit des pleurs, des cris, et l’on vit du sang, de la sueur et des larmes. Ces gardes, qui étaient affreux, sales et méchants égorgeaient ces jeunes âmes innocentes devant les yeux de leur parents.

Et le ténébreux, du haut de son trône, regardait le massacre silencieusement, mélancolique et froid. Après cette crise, le roi retomba dans son silence, léthargique. Si bien qu’il oublia, les années passant, de s’alimenter et perdit des forces. Il devint faible, puis squelettique, et mourut enfin.

A Chypre, les parents apprirent la mort de Mistral et pensèrent que la vie de Jeshua n’était plus menacée. Alors, Giosep et Maria décidèrent de rentrer en Judée, cependant, ils choisirent de ne plus appeler leur fils Jeshua mais Christos, pour ne pas attirer l’attention sur lui. Ils prirent dans leur bicoque les miches de pain et épis de maïs qui leur restaient et partirent sur les routes, en direction du Sud, en passant par Tarotshé. Il arrivèrent enfin dans une ville appelée Nazareth, afin que s’accomplisse la prophétie d’Aristote.


Et maintenant que la fête commence en musique !
voici belle chanson de printemps pour oublier l'hiver que je vais vous chanter !
Bilok
Bilok regardait le monde arriver. Il vit une jeune femme avec un loup et un bonnet rouge. Il s'approcha.

Je t'ai reconnu Isora mais pourquoi tu as mis un masque. Tout le monde va te reconnaître. Tu fais attention de pas te brûler avec ta torche. Ça serait dommage. Par contre, je cherche Fantou, Elle aussi devait venir avec une torche. Vous allez être deux à allumer le feu ????


Bilok lui prit la main et lui fit un doux bisous sur le dos de la main. Puis, il regarda l'assistance. Il reconnu Assyr, way. Il vit Grangousier et se dit que ce devait être lui. Et il vit une belle femme en rouge de dos.

Tiens je ne la connais pas. Tu sais qui c'est Isora ..????

Il l'observa attendant qu'elle se retourne. Il regardait impatient de savoir quand soudain.

Ha mais C'est .. C'est .. C'est Isora !!!!!!!

Bilok surprit et se retourna vers la personne qu'il avait pris pour Isora.

Hhhaaaaaaaaaaaaa.... Mais tu es qui ?? C'est ... Tu es .... Fantou.... Heu ...

Je suis désolé Fantou je t'ai pris pour Isora. Mais je ne te reconnait pas... Tu es méconnaissable...

Il lui fit un bisous sur le front.

Tu es superbe.

Puis regarda en direction Isora. Puis Quand cette dernière se tourna vers Bilok. Rougissant de honte, Bilok se retourna vers le bûché d'être allumé par le Maire légitime et son ami Assyr.
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Kristel
Kristel arriva elle aussi près des buches, elle en avait presque oublié que ces amis(es) voulaient fêter encore et avoir un grand feu au village. Elle aperçu toute ses amies ansi amis autour des buches, s'approcha et vit une dame qui était déguisée et sourit car elle se dit que cette personne n'est nulle autre que Fantou, il n'y avait qu'elle pour faire des choses comme cela.

Coucou les amis, vous sembles bien vous amusez et surtout la dame qui est déguisée vous ne la reconnaissez pas?? Voyons, voyons es amis pensez-y bien moi je crois savoir qui est cette personne car nulle autre qu'elle peut faire des choses comme cela, allez les amis devinez??

Elle regarda tout autour d'elle en cherchant ou pouvait bien être Bilok elle vit revenir avec d'autres buches. Elle avança près de lui et lui en leva quelques-unes pour lui faciliter la tache.

Tiens Bilok cela va t'aider, ça va être quelque peu moins lourds si j'en prends quelques-unes et attention de ne pas t'entrer une écharde comme l'autre jour!!!

Elle lui fit une grosse bise et pris pas loin de 4 grosses buches dans ses bras et alla les déposer avec les autres.
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Camille.p
C'était donc Aujourd'hui que le Maire allumait le feu ?
Camille venait de reçevoir un pigeon d'Iso.Elle était malade et ça tombait mal.Mais pour rien au monde elle n'aurait voulu râté cela.
Elle se vêtit de sa plus jolie robe et prit soin de bien se couvrir et avec son époux et la petite Rose, ils prirent la direction de la place.
Lorsqu'ils arrivèrent, ils virent que déjà tous étaient là et Camille alla embrasser ses amis.
Ah désolé de vous avoir fait attendre les amis.On va pouvoir commençer.
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