Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   1, 2   >   >>

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[RP]Lorsque une baleine s'incruste, la vague vous emporte

Isabel_de_mendoza
Tout le monde est invité...
Interdiction de faire d ela politique, autodérison obligatoire...
Si on veut baffer on demande la permission avant...


[Angoulesmesmes comme dirait Sinik, Engolmès comme dirait Flex, Angoulême quoi, hier soir]

Réfléchissons…

Isabel regarda autour d’elle les baluchons qui s’entassaient dans la pièce…Elle savait qu’elle n’aurait pas du acheter tout ça mais elle n’avait pas pu résister…
Elle était déprimée, elle avait tué par la première foi et il fallait déculpabiliser…

Fazzino la regardait d’un air réprobateur et se grattait la tête en imaginant comment ils allaient tout emmener avec eux…
En haussant les épaules elle vit à nouveau par la fenêtre le cadavre…Caché derrière les buissons...
Faudrait trouver un moyen de le découper…
Faudrait demander à Orkaange si elle ne comptait pas un boucher parmi ses connaissances…
Faudrait…
Il aurait fallu déjà qu’elle ne s’inscrive pas au Festival de la Couronne d’abord, à ce maudit concours de tir à l’arc…
L’arc…
Cet arc multifonctions…
Il aurait servi à sillonner la route, ouvrir des tonneaux coincés, se gratter la tête, attraper des objets trop hauts….

Pendant qu’elle chargeait ses bagages dans une charrette (tiens Fazz aide moi avec celui-ci, il est bien lourd) les images du « trucidement » revenaient une et autre fois à elle…

Tout avait commencé de très bonne foi…Elle voulait juste redresser son arc et était allée chercher en taverne une âme noble pour ce faire…Melisandel lui prêta ses fesses et toutes les deux, assisses sur l’arc bavardèrent autour d’une chopine…
Puis elle voulut tester l’arme…
Comme il y avait le comte en taverne et ne voulant pas être accusée de « comticide » la brunette sortit sur la place de la mairie…
Là, elle visa un joli pommier, banda et laissa partir la flèche, sauf que la flèche partit à l’envers…


Hinnnnnnnnnnnnnnnnnnnn… (sais pas comment font les chevaux en français, en espagnol ça fait hiiiiiiiiiiiiiiiiiiii)

Horreur !!!!!

Un beau cheval gisait à terre…
Pourvu que ce ne soit pas celui du comte, pourvu que ne soit pas celui du comte…

Elle approcha lentement, le cheval la fixait…dans une des breloques qui ornaient sa crinière il y avait marqué « Finute Forever »…
Ah lalalalala, c’est la seule chose qu’elle arrivait à dire….

L’équidé lui lança un dernier regard rancunier et marqua avec son sabot une trace sanguinolente sur le mur de la mairie avant d’expirer…
Un frisson parcourut le corps de l’ibère…Quand ses pensés lui donnèrent un peu de répit elle remarqua qu’ils étaient déjà sortis de la ville direction Périgueux…

Le comte et sa dame marchaient devant…
Le Cam, sieur Myrmille se remuait sur son cheval en faisant aïe, aïe…Drôles de manières…
Fazzino trainait derrière en soupirant, comme d’habitude…
Isabel se dit que c’était le moment parfait pour entamer un air paillard et faire passer les mauvais souvenirs lorsque….


Sortez-moi d’iciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Au secourssssssssssssssssssssssssss

_________________
Orkaange7876
[A Angoulême la veille au soir]


Bien cachée derrière son tonneau, Orka observait Fazzino descendre la montagne de bagages, ballots et balluchons appartenant manifestement à la prévote.. Elle hallucinait un peu et guettait le moment ou elle pourrait sauter dans un coffre ou une malle sans se faire prendre..

Elle venait de sortir de chez les nonnes ou elle avait encore une fois fait pénitence.. et abstinence.. Enfin une cure quoi.. désintoxication ils appelaient ça.. Bref.. trois jours à boire de l'eau, manger des foutues racines et faire semblant de prier pour le salut de son âme... Enfin elle se dirigeait d'un pas allègre et pressé vers la taverne la plus proche pour combler le manque qui la faisait presque trembler quand elle avait rencontré Méli.. Qui lui avait appris la nouvelle.. Le Cap fuyait comme un voleur, essayant de profiter de son absence


Grmbl.. Le sale type.. Si il croit qu'il va se débarasser de moi comme ça c'est mal connaitre la blonde.. Mon deuxième nom c'est gluglu.. Pis si il croit qu'il va pouvoir faire le tour des maisons de passe du comté en toute impunité...

Voilà comment elle s'était retrouvé derrière son tonneau. Profitant d'un énième voyage de Fazz, elle avait vidé une malle de ses contenus, trois paires de bottes, quatre robes dont une rose bonbon, cinq ou six gros cahiers roses, des bijoux par tonnes.. Faudrait quand même qu'elle signale aux autorités tout ce que Isabel pouvait trimballer.. Surement pris sur les pauvres gens qu'elle envoyait en taule à tour de bras... Enfin elle avait réeussi à se plier dans la malle tant bien que mal, et à rabattre le couvercle par dessus elle. Elle se sentit soulevée, brinqueballée, tourneboulée et chamboulée, puis plus rien, juste quelques cahots qui signaient le départ de la carriole sur laquelle elle avait été chargée.

Les minutes s'écoulaient doucement, trop doucement à son gré vu sa position inconfortable. pour faire passer le temps, elle songeait à la tête du Cap' quand il la verrait sortir comme un diable de sa malle, quand elle sentit une présence avec elle dans sa minuscule prison. Des gratouillis, des chatouilis, puis une douleur aigüe au postérieur... Elle se mit alors à hurler, tout en se démenant comme un beau diable



Sortez-moi d’iciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Au secourssssssssssssssssssssssssss

_________________
Quand on est plus de quatre on est une bande de cons. A fortiori, moins de deux, c'est l'idéal.
Isabel_de_mendoza
[The Bodyguard version naine]

Votre grandeur éloignez vous ,je gère….

Bah oui, elle gère la prévôt elle a été formé pour cela, pas payé certes, mais formée quand même…et puis elle avait toujours revé de la placer celle là...

Les cris provenaient de sa malle de marchandises réquisitionnés dans les douanes…Tout ce qui était de sa taille hop, réquisitionné…fallait bien gagner sa vie….

Elle sortit sa mini épée et approcha doucement de la charrette…les cris se faisaient plus fort, on dirait un chat en chaleur…
Peu rassurée Isabel appela les deux gaillards…


Fazzino, Myrmille en avant…Exécution !!!!

Elle n’avait pas honte de les utiliser en tant que boucliers, elle aimait sa vie donc tous les moyens étaient bons…
Ils avancèrent jusqu’au bord de la carriole et Isabel avança son épée sortant son bras entre le mur humain…
Avec la pointe elle souleva le couvercle….


Gniiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Et tous les trois se penchèrent pour scruter les profondeurs de la boite prets à bondir au premier signe de danger…
_________________
Cmyrille
Cmyrille se tortillait sur le cheval qu'on lui avait prété. Habituellement il marchait à coté, menant la bête par la bride, une cariole attachée derrière. Mais cette fois on l'avait fait monter, de force, sur la bestiole. Et force était de constater que ça tapait sur le cul la cavalerie et sur les nerfs les voyages en cheval. Il en garderait un vomi à la prévôte à ce sujet...

Il en était là de ses réflexions quand on entendit un cri gutural, presque inhumain, venir des bagages. Et encore une fois, c'était pour la prévôte. Elle avait récupéré une malle parlante à on ne sait quel voyageur malvenu sans doute.
Tous se précipitèrent pour la faire taire lorsqu'on l'appella.


Fazzino, Myrmille en avant…Exécution !!!!


Eh oh!! On est pas aux pièces si?!
Pis de toute manière je sais pas en descendre de vot' bestiau!

Il enleva ses pieds des etriers et se dandina de droite et de gauche, espérant que l'animal comprendrait de lui-même qu'il voulait descendre. Et visiblement ce fut le cas. Le cheval se cabra, s'éleva plus haut qu'il lui semblait possible. Cmyrille commençait à glisser incidieusement de la selle, se rabotant au passage le fondement sur les pièces de cuir sensées le maintenir en place. Lorsque le cheval eu fini ses accrobaties, Cmyrille était au sol, étalé sur le dos, dans la poussière, l'air ébété, et un sabot posé non loin d'un organe sensible. Il se recula en rempant, lentement, pour ne pas effrayer le cheval aux fers menaçants.

Une fois à l'abri de toute menace, ou au moins à bonne distance, il se releva et fit face à la naine en costume de prévôt qui l'avait appelé.


Ca a intérêt à être gravissime ce qui se passe dans cette malle, parce que j'ai pas fait ça pour rien.

Il se plaça donc devant l'odieuse petite bonne femme qui l'avait commandé, histoire de pas se prendre un coup d'épée bêtement en se mettant à dos une femme. Après avoir risqué de perdre la vie face à une bête féroce, ce serait dommage.

L'épée releva doucement le couvercle de la malle incriminée et ils se penchèrent pour voir à travers les ténèbres l'objet de tout ce bruit.

_________________
Qui pisse contre le vent a la chemise mouillée.

Directeur de l'Asile d'Angoulème
Membre de l'EPPA
Fazzino
[ ANGOULEME]


Le temps était maussade. L’humeur de Fazzino aussi.
Pourtant il aimait les voyages. Les départs aussi. Surtout quand on s’était ennuyé un peu. Enfin ce séjour à Angoulême lui avait permis de rencontrer pas mal de gens…..oui des sympas aussi !
L’ennui c’était les départs en compagnie d’Isa.
Sa marraine ! Oui la prévôte comme tout le monde l’appelait maintenant.
Fazz lui, lui préférait le surnom de « La Cheffe ».
Et elle savait justifier cette appelation !

Justement ! Le charpentier bergeracquois hâletait, souflait et suait à qui mieux mieux – on pourrait dire pire pire dans ce cas là .
Son dos courbé sous les dizaines de malle, de la belle. Il chargeait la charrette de toutes les affaires d’Isabel.

Elle lui avait dit d’un air désinvolte
: Tiens Lapinou ! Veux tu bien te charger de mon baluchon je te prie ! Tout est dans ma chambrée !

Un BALUCHON !!!!

Ne rechignant pas , malgré tout à la tâche, Fazz allait et venait entre le logement et la charrette, portant malles, sacs et autres coffres.
Il avait voulu commencer par le plus petit coffret. Il adorait s’échauffer avant tout exercice.

Mal lui en avait pris, comme d’habitude…il avait raté la dernière marche de l’escalier et s’était applati par terre, le coffret sous lui.
Complétement éclaté celui-ci , éventré, avait laissé échapper ce qui semblait être les produits de beauté de la belle.
Crème en tous genres, j’en passe et des meilleures.

Un truc bizarre sauta aux yeux du charpentier-arpette-esclave et serviteurentousgenres…..Les menottes en fourrures roses.
Fourguant tout ce bric-à-brac dans une grande besace, jetant dans un fourré quelques pots d’onguent et crème qui n’avaient pas résisté au choc, il s’attaqua à une grosse malle.
Elle faisait un poids énorme.

Mais qu’est-ce qu’elle a pu bien mettre la dedans. Si Fazzino ne connaissait pas sa marraine comme il la connaissait, il l’aurait suspecté de mettre a gauche une partie de la production de la mine d’or !
Enfin, tant bien que mal, tirant poussant, laissant la malle glisser jusqu’en bas des escaliers, il parvint à charger le coffre sur la charrette et finit d’empiler tout le reste, dans un savant équilibre, précaire somme toute, et ils prirent la route vers Perigueux.

Fazzino aimait les mots, les vers
oui les verres aussi épuisé par l’éreintant départ, il cheminait en arrière, rêvant, baillant aux corneilles, n’oubliant pas de soupirer longuement ça c’est pour mieux respirer pendan un effort et bioudant quelque peu.

Sortez-moi d’iciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Au secourssssssssssssssssssssssssss


Epuisé et las , Fazz ne prêta guère attention à ces cris, sachant très bien qu’un cortége comtale ne se faisait pas sans heurts.

Il vit Isabel accourir longuement
– ben pour faire 6 mètres avec ses jambes , ça prend un paquet de temps- , et appeler :

Fazzino, Myrmille en avant…Exécution !!!!

Comme au garde à vous, mais soupirant un peu, il s’approcha rapidement et vit messire Myrrmille qui lui avait mis plus de temps pour arriver, boitillant et couvert de poussière, l’air pas content du tout et grommelant dans sa barbe.

D’un geste Isabel les fit se mettre en rempart devant un coffre, dégainant son épee, soulevant le couvercle du coffre aboyeur.
Celui-ci ouvert, ils se penchèrent pour scruter à l’intérieur……peu rassurés……..

_________________
Liberté et Amour, voilà ce qui régit ma vie....
Orkaange7876
[Dans une malle entre Angoulême et Périgueux..]

Aieeeuh.. Mais c'était quoi ce truc??? Qui osait lui piquer le postérieur?? La blonde se débattait dans le noir, dans le peu d'espace qu'elle avait à disposition... la malle faisait ddes soubressauts inquiétants et tout à coup.. Que la lumière soit.. Et la lumière fut.. Elle jaillit de la malle telle un diable sortant de sa boite, se tenant le derrière d'une façon peu élégante il faut bien le dire.. Mais au point ou elle en était elle n'en avait cure.

Enfin libre, elle se livra tout d'abord à une danse peu élégante, finissant par attraper le pauvre Rat affamé qui avait jeté son dévolu sur les parties charnues de son individu, en poussant des cris qui de l'extérieur pouvaient ressembler à des couinements de cochon que l'on saigne. La douleur ayant cessé suite à l'arrachage du rongeur, qui au passage emporta une bonne partie des superbes braies roses toutes neuves de Ork, la blonde finit par prendre conscience des gens qui l'entouraient et qui la regardaient l'air un peu médusé.. La prévote, cachée derrière un Cmyrille poussiéreux qui se tenait l'entrejambe en grimaçant, et un Fazz, échevelé et l'air fatigué, qui la regardaient avec méfiance. Elle jeta le rat sacrilège derrière son épaule et essaya de reprendre un air digne, ce qui n'est pas facile vous en conviendrez quand on sort d'un coffre et qu'on a un trou au mauvais endroit dans ses braies. Elle marcha en crabe jusqu'à la charrette afin que ses compagnons ne voient pas le désastre, releva le menton rejetant ses cheveux en arrière et les toisa... enfin surtout Isabel passque les autres, sont trop grands pour elle hein..^^



Ben quoi?? Vous avez jamais vu une blonde sortir d'un coffre?? C'est courant pourtant. Bon on repart?? pas le tout mais j'ai hâte d'arriver moi.; Quelqu'un a apporté un petit remontant?? J'en aurais bien besoin moi...

_________________
Quand on est plus de quatre on est une bande de cons. A fortiori, moins de deux, c'est l'idéal.
Flex
[ Chapitre II : Périgueux]

La capitale du Périgord Angoumois était en vue. Sa capitale, son lieu d'habitat depuis un peu plus d'une année. L'escorte comtale comptait plus de membres qu'au retour qu' à l'allée. La compagnie de sa fiancée était toujours agréable, ainsi que les chants du Prévôt Catalan. Même scénario, à quelques grandes réjouissances prêtes.
"- Gadnon, sole l'olifant ! Qu'on sache que le Comte entre dans sa capitale, afin d'y saluer son beau peuple." Et le bruit de la corne-muse retentit jusqu'aux murailles de Périgueux. Folle chevauchée à en perdre presque ses bagages de voyage, le Comte était impatient de dépasser les grilles de la porte d'entrée. Lorsque ce fût le cas, il prit une inspiration fabuleuse : l'odeur de Périgueux lui avait manqué. Autant de ne plus voir sa fiancée pendant une journée. Il saluait de sa main ainsi que du chef les passants. Flex réduit le pas du Frison, ayant le temps de pouvoir correctement dire la grace à son peuple, au bon peuple.
_________________
Cmyrille
[Chapitre I: Sur la route, à la traine^^]

Cmyrille fit un bond en arrière.

Non mais on avait jamais entendu parler de passager clandestins dans un convoi de charette, c'est stupide... mais tout est possible quand on est blonde.
Il la regarde s'arracher un bestiau du croupion, qu'elle avait fort joli avant cet épisode, puis tenter un semblant de "Ben quoi? Pourquoi vous me regardez?".


Ben quoi?? Vous avez jamais vu une blonde sortir d'un coffre?? C'est courant pourtant. Bon on repart?? pas le tout mais j'ai hâte d'arriver moi.; Quelqu'un a apporté un petit remontant?? J'en aurais bien besoin moi...

Il devait avouer qu'elle le faisait plutôt bien.

Ben moi, mis à part pour jouer à cache-cache, j'avoue que c'est plutôt rare que je vois des gens dans des malles.
Je sais pas ce que tu lui a fais à la prévôte mais elle a vraiment des coutumes bizarres.
_________________
Qui pisse contre le vent a la chemise mouillée.

Directeur de l'Asile d'Angoulème
Membre de l'EPPA
Isabel_de_mendoza
[Les problèmes logistiques me font perdre la tête]

Votre Grandeur, tout est en ordre, vous pouvez nous rejoin….Votre Grandeur ? Youhouuuuuuuuuuuuuuuuuuuu….
Et bé pas de comte aux alentours…


Ils reprirent la route vers Périgueux…
La blonde-qui-s’incruste qui discute ou se dispute sur le cheval avec le CAM Myrmille, que cette fois au lieu de dire seulement Aïe, Aïe dit aussi, mais nonnnnnnnnnnnnn ma chérie…
Fazzino qui soupire, comme d’habitude quoi…
Isabel qui réfléchit…Tiens ça ce n’est pas normal….

*Alors, donc…entrant à Périgueux on balance sur la foule des badges avec l’inscription « la maréchaussée c’est le top et le prévôt n’est pas catalan». Ensuite…on va à l’auberge déposer nous affaires avant d’aller picoler comme des trou…Mais attends un a un problème logistique là…Pas assez de chambres réservées….*

Isabel commença à réviser mentalement la disposition de chambres qu’elle avait faites…

*Hum…Le comte c’est bon, dans son domaine je me la pète-c’est-pour-cela-que-je-fais-grand-voir-contemporain avec sa fiancée, en péché *grimace*.
Fazzino dans la galerie Foulque pour se nourrir d’inspiration pour se poèmes…
Myrmille dans la première maison close qu’on retrouvera dans la route…
Et Orkaange ? On a rien prévu pour elle…Tiens !!! On voit ses fesses là, et assise de la sorte sur le cheval c’est pas trop plaisant à regarder, enfin, suis sure que la foule va être ravie, mais pour une présidente de l’AP…*


Isabel alla inspecter sa malle voir si elle trouvait une écharpe pour qu’elle couvre ses impudeurs …
Mais, mais…maisssssssssssss, elle est videeeeeeeeee….mes bijoux baroques, mes tissus richement brodés, mes culottes propres….

On pouvait lui ôter sa vie mais pas sa robe griffé Pacotille…
Au moment ou ils traversèrent les portes d’entrée de la capitale, Isabel fit signe aux gardes et cria de toutes ses forces….


EN TAUUUUUUUUUUUULLLLLLLLLLLLLLLLLEEEEEEEE LA BLONNNNNNNNNNNNNNNNNNDDDDDEEEEEEEEEEEEEE

Et voilà, on avait trouvé une chambre pour la députée…
_________________
Orkaange7876
[Pirouette cacahuette.. Ou comment échapper à la naine sadique]

Votre Grandeur, tout est en ordre, vous pouvez nous rejoin….Votre Grandeur ? Youhouuuuuuuuuuuuuuuuuuuu….
Et bé pas de comte aux alentours…


Ork fut tout à coup ravie que Isabel détourne l'attention générale pour focaliser le regard de la foule sur le cul des chevaux du comte et de sa dulcinée qu'on apercevait au loin dans un nuage de poussière. Tous? non.. car le cheval du CAM ou Cap comme on voulait, jetait un regard suspicieux voir concupiscent sur son auguste postérieur à elle.


Quoi?? tu regardes quoi toi?? Un cheval, ça doit faire clipiticlop clipiticlop.. et c'est tout.. Alors exécution.. Dis Cap je peux monter avec toi?? Vais pas marcher quand même??

Ayant pris le grognement de Cmyrille pour un assentiment, elle posa la malle rose d'Isabel près du cheval et se hissa dessus, offrant aux regards l'objet qu'elle avait essayé laborieusement de cacher. Cap se hissa à son tour non sans essuyer quelques rebuffades et hennissements indignés de la sale bête, et le cortège qui n'avait plus rien de comtal vu la fuite du principal intéressé se remit en route direction Périgueux. La blonde présidente récriminait contre son CAM tout en essayant de trouver une position confortable sur le bourrin

Tout ça serait pas arrivé si tu t'étais pas barré comme un voleur .. t'espérais quoi?? Aller faire impunément un tour des catins pour écrire un guide des maisons de joie du PA?? Et tu pensais que je m'en apercevrait pas???

Enfin les tours de périgueux se profilaient à l'horizon. Ork espérait que, le comte étant déjà passé, il n'y aurait pas trop de monde pour les accueillir, vu l'état de ses braies. ILs passèrent les portes de la ville quand tout à coup la petite prévote poussa un hurlement

EN TAUUUUUUUUUUUULLLLLLLLLLLLLLLLLEEEEEEEE LA BLONNNNNNNNNNNNNNNNNNDDDDDEEEEEEEEEEEEEE

De saisissement, la blonde, toujours en train de se disputer avec Cmyrille, essaya de se retourner pour voir de quoi il s'agissait, mais fit un mouvement brusque de trop pour le canasson, qui reprit la mauvaise habitude de se cabrer et d'envoyer la blonde et le Cam dans un tas fort peu gracieux aux pieds de la prévote qui s'égosillait devant sa malle vide, l'air désespéré

Quoi ?? hein?? En taule?? Mais j'ai rien fait pour une fois...Nan mais euh Cheffe... J'vous remplacerais les affaires manquantes c'est promis.. Mais j'veux pas aller en taule.. J'ia dja eu à faire à un rat, si ça se trouve il aura passé le mot à ses copains... On m'a toujours loué votre clémence et votre bonté oh prévote de mes rêves.. Vous allez pas faire ça à une blonde repentante quand même??
_________________
Quand on est plus de quatre on est une bande de cons. A fortiori, moins de deux, c'est l'idéal.
Fazzino
[ QUAND ON A PAS DE TETE, ON A DES JAMBES ! ]


La découverte de la petite blonde dans la malle d’Isa avait rompu le monotone du cortège comtale.
Quand il avait fallu reprendre la route, évidemment tout était retombé dans le train train habituel.

Le Cam
il voulait qu’on l’appelle Jean, ainsi en sera fait dorénavant qui avait pris Orka en croupe maugréait toujours.
Le Comte paradait en avant, sous les vivats
quelques quolibets et vieux légumes aussi, tiens ! de la foule.
La « Cheffe », elle allait et venait le long de la parade, l’œil aux aguets , pour la sécurité et le bien de tous.
Enfin, elle savait penser à son bien à elle aussi.
Dès qu’elle croisait le regard baissé de Fazzino, elle n’hésitait pas à le mettre à contribution.


Fazz, tu penseras à m’amener un coussin, cette selle est bien dure.

Fazz, ma liqueur de gland, fais bien attention qu’elle ne soit pas trop secouée par les cahots du chemin hein !

Fazz ! Fazz ! Je me suis fait attaqué par une cocinelle !!!


La méprise du Comte à son sujet , l’avait apparament mise de mauvaise humeur.
Fazz en riait encore..la Prévôte Catalane !! Quelle insulte noundédiou !!

Il avait accueilli cette arrivée en Perigueux avec soulagement, même si la vue des remparts de la ville , lui avait fait monter les larmes aux yeux, mais ceci est une autre histoire.

Savoir qu’il allait bientôt retrouver la galerie Foulque, du sieur Têtedefer, où il pourrait déposer ces poèmes, lui donnait du vague à l’âme, et c’est perdu dans ses rêveries, les mots dansant dans sa tête qu’il fut surpris par le cri d’Isabel :


EN TAUUUUUUUUUUUULLLLLLLLLLLLLLLLLEEEEEEEE LA BLONNNNNNNNNNNNNNNNNNDDDDDEEEEEEEEEEEEEE

Fazzino jeta un œil à la petite p’tite prévôte, qui était rouge de colère, et montait sur ses grands chevaux bon faut dire que pour sa taille, même un poney serait grand.

Il le savait, les affaires d’Isa , c’est sacré.

Il murmura doucement :


Pauvre Orka ! Elle va passer un mauvais quart d’heure !

Regardant la petite blonde toute depenaillée, couverte de poussière aux cotés de Jean ah oui j’avais averti hein Le CAM, à la mine désolée, Fazzino se tapa le front.

Oups ! Les robes, et tissus de grandes valeurs !
Oups du coffre sculpté d’une rose
et c’est moi qui l’ai fait !
Oups ces affaires là, qu’il avait oublié en Angoulesme au lavoir !
Oups ! Oups ! Oups !


Il avait heureusement mis les bijoux et quolifichets dans sa propre besace.
Il s’avança, hésitant, courbant un peu le dos, les yeux baissés vers sa marraine.
Il ouvrit grand son sac, et dévoila les objets du contentieux.


Hum Isa ! Les bijoux sont tous là ! Oui oui tes sceaux aussi ! Oui même ce collier horrible en dents de castor !

Par contre pour les robes…euh….ben….je les ai laissés chez le teinturier à Angoulême mais il fait suivre promis.


Se tournant vers la belle Orka :

Euh pour le logement, la prison de Périgueux est réputée 3 étoiles. Paille fraiche, Vue sur le gibet. Petit dejeuner servi en chambrée. Et animaux de compagnie tolérés et même fournis !

S’éclipsant le plus discrétement possible, Fazz rejoignit son cheval, avec le but d’aller rapidemment récupérer les divines affaires de la naine, euh la belle, restées à la ville précédente !!
_________________
Liberté et Amour, voilà ce qui régit ma vie....
Tetedefer
[Il est né, le divin enfant!]

Tête de fer était parti chercher quelques couleurs pour renouveler les stocks de la galerie Foulque, une course qu'il n'aurait jamais confié à quiconque, car c'était pur plaisir que de bavarder avec le vieil homme qui les lui préparait, au milieu des mortiers et des odeurs parfois surprenante des ingrédients qu'il utilisait.
Aussi était-il chargé comme un âne de divers balluchons de poudres colorées, et marchait-il péniblement en tentant d'éviter tout un assortiment de légumes et poissons avariés qui jonchaient le sol, grommelant pour lui-même
-ils peuvent pas faire balayer de temps en temps, après le passage du comte, nom de Dieu!- lorsqu'un cri retentit sur la place de la Claustre.

EN TAUUUUUUUUUUUULLLLLLLLLLLLLLLLLEEEEEEEE LA BLONNNNNNNNNNNNNNNNNNDDDDDEEEEEEEEEEEEEE

suivit d'un hennissement et de cris d'alarme beaucoup moins aigus et portant beaucoup moins loin que le premier. Tenant un peu plus de l'humain que du porcin...
Il accéléra le pas dans cette direction, se demandant ce qui avait bien pu se passer.
Débouchant sur la place, il fendit la foule à coup de sacs pour arriver au premier rang, où il poussa malgré lui une exclamation :


Diantre! un cul!

En effet, un... postérieur était là, surélevé, et effectivement, il n'y avait doute ni sur son genre, ni sur le fait que la personne à qui il appartenait devait être blonde.

Le premier mouvement de surprise passé, son regard pu saisir la scène dans son ensemble. Le fondement ainsi révélé jaillissait d'une culotte savamment déchiquetée, elle même enfilée sur une femme, prosternée devant... une sorte d'enfant qu'on aurait affublée d'un chapeau trop grand et de divers atours particulièrement compliqués.
L'enfant était couleur écrevisse-cuite, ce qui ne jurait pas trop avec ses brocards violacés, et tenait dans ses petites mains un assemblage d'objets hétéroclites, essentiellement des bijoux, certainement de facture très primitive car il y distinguait même des dents!
Un homme agenouillé tendait une cassette ouverte à l'enfant, et se lisait dans son regard une sainte terreur mêlée d'adoration.
Ajoutez à cela une caravane de charrettes surchargées de malles de toutes tailles et de toutes factures, de chevaux dont l'un avait même un plumet d'un impossible rose vif et portait un coussin, et l'on aurait dit une représentation grotesque de l'arrivée D'Attila en Parisii.

Tout y était, de la terreur et de la reddition de la populace, représentée par l'homme, au barbarisme des coutumes de l'envahisseur, qui faisait porter des coussins à des chevaux et des atours incompréhensibles aux enfants, en passant par les viols et sévices des pillards, suggérés par la blonde (il vérifia rapidement qu'elle était vraiment bien blonde) mortifiée.

En un instant sublime d'épiphanie picturale, la scène s'imprima dans son esprit.
Puis la réalité s'imposa : il reconnut tour à tour Fazzino, le poète, la Dame de Mendoza, prévôte hystérique, et enfin la députée Orkaange (mais il eut plus de mal pour cette dernière, ne la connaissant pas de vue par cette extrémité). Et derrière, qui s'essuyait la parure de débris de légumes écrasés, le CaM, Cmyrille.
Confiant ses sacs à un garde déconfit, il entra dans la ronde.


Holà! Dame la Prévôte! Vous voilà irritée! laissez-moi vous aider! voilà! Vous permettez?

Tout en parlant il s'empara du chapeau de la -toute- petite Dame, et le tendit à Orka, murmurant

Dame! couvrez donc ce cul que je ne saurai voir! cet immense chapeau servira de mouchoir!


bon, que se passe-t-il ici?
_________________

"non quaerenda ratio quorum non est ratio."
Orkaange7876
[Le combat inégal de la baleine contre la crevette rose]

Elle était toujours prosternée là dans la poussière, buvant le calice jusqu'à la lie. Elle se répétait en boucle que le ridicule ne tue pas... Mais curieusement, cela ne la consolait pas vraiment. Elle fut un instant reconnaissante à Fazz d'essayer de calmer la prévote, mais rien n'y faisait.. A genoux devant elle, Ork arrivait quand même au niveau du visage de la Dame, et voyait bien de près les narines qui battaient, la jugulaire qui gonflait en rythme, spectacle d'ailleurs fascinant.. Comment une si petite personne pouvait elle avoir une telle quantité de sang qui passait dans le cou?? Elle eut sa réponse assez vite quand elle jeta un oeil sur le visage d'Isabel.. Ah la belle couleur pourpre.. Elle en avait jamais vu de pareille.. franche, uniforme, elle illuminait le teint de la prévote, qu'elle avait pluôt blafard d'habitude, à force de trainer dans les geoles à dépouiller les innocents qu'elle embastillait à tour de bras... La blonde essayait de faire marcher son cerveau (sisi elle en a un ^^) quand elle entendit un cri dans la foule

Diantre! un cul!

Aaarf.. Elle avait oublié. Le rat, le trou... le postérieur à l'air... bah ayé, elle buvait la lie, ptet même qu'ils allaient lui faire bouffer le calice en prime tiens... Elle tourna la tête, essayant de garder le visage caché par ses cheveux, pour tenir le plus possible l'anonymat... Et elle vit s'approcher le baron... Médusée, elle le vit récupérer le chapeau de Isabel pour lui tendre.. Elle le contempla un instant, pesant le pour et le contre... fesses à l'air vs plumes au cul.. Quoi qui est le plus ridicule??
Soupirant elle se décida et fixa le chapeau grâce au ruban auour de sa taille, et se demanda si en plus il fallait qu'elle caquete??

Tout à coup la chance de sa vie... Le baron qui demandait des explications.. Sa langue lui revint et c'est avec un grand sourire qu'elle s'approcha de Tef et de Isabel



Aaa Isabel regarde.; Un médiateur qui s'offre à nous... tu vas voir on va pouvoir régler ceci à l'amiable je suis sure. Venez Baron, je vais vous narrer nos aventures, et vous jugerez vous même si je dois aller en tôle.. En fait tout est de la faute de Cmyrille au départ.. lui et son attrait pour les femmes de petite vertu.. Enfin pas moi hein? Les vrais catins ..


Tout en parlant, elle avait pris machinalement Isabel par l'épaule et soutenant le regard du baron, les attirait vers la taverne la plus proche

_________________
Quand on est plus de quatre on est une bande de cons. A fortiori, moins de deux, c'est l'idéal.
Cmyrille
Cmyrille avait fini par descendre du cheval, enfin disons que le cheval avait fini par les descendre, lui et Ork. Le bestiau était bien dréssé car à l'appel de la prévote cata... il s'était cabré pour les mettre tous deux cul par dessus tête.
Il s'époussetait dans son coin, ne voulant pas se faire remarquer jusqu'au moment où un habitant pétrocorien tendit un chapeau à plume à Ork pour cacher une partie charnue de son anatomie. Les discussions allant bon train pour savoir qui de la blonde ou de la naine finirait sa journée dans un trou noir et malodorant, Cmyrille faisait mumuse avec la plume qui dépassait maintenant du derrière d'Ork, un sourire béat, voire crétin, affiché sur son visage.


Venez Baron, je vais vous narrer nos aventures, et vous jugerez vous même si je dois aller en tôle.. En fait tout est de la faute de Cmyrille au départ.. lui et son attrait pour les femmes de petite vertu.. Enfin pas moi hein? Les vrais catins ..


De que quoi?!!!

Son doigt ripa sur le bout de la plume, ségarant là où il n'aurait pas dû, à savoir dans les côtes de la demoiselle.

Pourquoi moi? Hein?
On m'a dit dimanche soir "Tuviens et pis c'est tout!". J'obéis au Comte et à la Prévôte moi. J'ai pas cherché les adresses intéressantes avant.
_________________
Qui pisse contre le vent a la chemise mouillée.

Directeur de l'Asile d'Angoulème
Membre de l'EPPA
Tetedefer
[Ménagerie Comtale]

L'air pur retrouvé une fois la tête débarrassée des quelques livres de tissu qui l'en recouvrait, la prévôte hys...panisante semblait retrouver petit à petit des couleurs presque normales, après avoir atteint un paroxysme : de carmin elle était passée à pourpre lorsque la députée avait ficelé autour de sa taille l'empan de feutre emplumé, puis petit à petit suivait un progressif dégradé vers les roses. Là elle en était à fuschia. Avec la bouche ouverte, on atteindrait bientôt l'équivalent de la carpe d'ornement. Ou de l'ablette, disons, pour respecter les proportions.

Venez Baron, je vais vous narrer nos aventures, et vous jugerez vous même si je dois aller en tôle.. En fait tout est de la faute de Cmyrille au départ..

La blonde, une fois attifée, les avait saisis par le bras et les entraînait vers le quartier Taillefer, suivie par le CaM qui semblait chercher quelque chose derrière elle, telle le sanglier cherchant la truffe. Le différentiel de taille aidant, elle devait marcher en biseau, avec un bon mètre d'écart entre les hauteurs de ses deux mains, ce qui lui donnait une démarche passablement chaloupée, faisant se balancer pompeusement le plumet culier, et évoquant certain oiseau coureur réputé vivre en Ifrica (mais il n'en avait vu qu'en bas reliefs, et n'était pas sûr, pour la crinière paille).

... lui et son attrait pour les femmes de petite vertu.. Enfin pas moi hein? Les vrais catins ...
De que quoi?!!!
Aïe!
Pourquoi moi? Hein? On m'a dit dimanche soir "Tu viens et pis c'est tout!". J'obéis au Comte et à la Prévôte moi. J'ai pas cherché les adresses intéressantes avant.


Allons bon... entre la grue et l'autruche, le coeur du CaM balançait donc, tout en restant ornitophile... Pour un sanglier, il avait l'ardeur particulièrement volatile...

Derrière eux, le cortège s'était remis en marche, clopin clopant, agitant, en cadence avec Orka, véritable chef de marche, son propre plumet rose.


Ah oui? Mais Dame comment confondre, car en effet, ces dames ont l'habitude d'autres parties montrer : au moins lorsqu'il s'agit d'attirer le chaland, elles préfèrent sortir leurs plus hauts ornements...


Tête de fer tira de son côté pour faire dévier la trajectoire, rapprochant tout le monde subrepticement de la cour Mareuil, où il savait pouvoir faire s'engouffrer tout le monde et refermer les portes sur la ménagerie.

Mais puisque vous êtes là, et sans doute bien las, laissez-moi vous offrir d'être hôtes en ma casbah : cela règlera bien vos problèmes de taule; j'épouserai dans l'heure, du tavernier, le rôle, et si c'est sur un banc qu'il vous fallait dormir, autant que cela soit devant un feu qui tire.


Ils arrivèrent enfin devant la cour, conseillers, cortège, gardes et badauds (en grand nombre), et des gens de maison se précipitèrent pour aider au grand débarquement.
_________________

"non quaerenda ratio quorum non est ratio."
See the RP information <<   1, 2   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)