Lisenlou_rogal
Les yeux toujours rivés sur l'enfant, Lisenlou entendit puis vit un homme s'approcher d'eux. La personne en question se trouvait devant l'entrée et la luminosité l'empêchait de voir de qui il s'agissait. Toutefois, elle en était certaine, il ne s'agissait pas du charretier.
Vous arrivez à point nommé ! Le petit est monté dans l'arbre mais j'ai peur qu'il en tombe. Vous pouvez le déloger, je vous prie ?
Les mains jointes devant elle telle une supplication, elle regarda l'homme dont le visage lui était familier à présent pour l'avoir sans doute croisé à Thouars. Elle ne paniquait pas, non mais déjà d'une part c'était pas son enfant donc il s'agissait d'une responsabilité différente par rapport aux siens et d'autre part, elle ne voulait pas non plus s'attirer les foudres de ses parents pour le cas où il ferait une mauvaise chute. Puis à ce moment là, le blondinet donna de la voix et elle lui répondit.
Arthur ! les feuilles ça se balayent sur le sol pas dans l'arbre. Te rends tu comptes que tu lui fais sans doute mal à les lui arracher. C'est un être vivant et même s'il n'a pas de bouche peut être qu'il crie de douleur. Maintenant que tu montes dans un arbre sous la responsabilité de tes parents c'est une chose mais qu'arriverait il si tu venais à tomber sous la mienne ? On me mettra en prison ? On me pendra ? En tout cas, j'aurai mal de t'avoir fait souffrir et vivre avec ça c'est très dur.
Pendant ce temps, le visiteur avait commencé son ascension et avait réussi à récupérer le petit. Elle poussa un soupir de soulagement et alla les rejoindre une fois qu'ils avaient touché terre.
Merci Messire ! Quelle chance que vous soyez passés dans le coin.
Elle lui sourit puis s'adressa au garçon.
Je comprends très bien que tu veuilles monter à l'arbre et je pense que nous l'avons tous fait à ton âge mais là, il y a autre chose à faire car pour le moment, rien est prêt pour le bal. Et comme tu es mon superviseur, tu dois surveiller si les gens font bien leur travail. Voilà ton rôle. Mais pour le moment, il n'y a pas grand chose à faire de ce côté là. Donc, je te propose, si tu veux, de décorer les pommes de pin qui orneront le sapin et les tables. Regardes, je te montre un modèle mais si tu as aussi des idées, n'hésites pas.
Elle descendit la chaise de sur la table et la posa à côté.
Voilà un endroit rêvé pour faire ta créativité.
Elle lui sourit puis regarda le Sire.
Dites moi... Vous passiez seulement dans le coin ou bien vous veniez pour nous aider ? Auquel cas, si vous pouviez retirer les toiles d'araignées au plafond, ce serait formidable. Moi je retourne au balayage.
Sur ses mots, elle alla reprendre le balai et se remit à l'ouvrage.
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Vous arrivez à point nommé ! Le petit est monté dans l'arbre mais j'ai peur qu'il en tombe. Vous pouvez le déloger, je vous prie ?
Les mains jointes devant elle telle une supplication, elle regarda l'homme dont le visage lui était familier à présent pour l'avoir sans doute croisé à Thouars. Elle ne paniquait pas, non mais déjà d'une part c'était pas son enfant donc il s'agissait d'une responsabilité différente par rapport aux siens et d'autre part, elle ne voulait pas non plus s'attirer les foudres de ses parents pour le cas où il ferait une mauvaise chute. Puis à ce moment là, le blondinet donna de la voix et elle lui répondit.
Arthur ! les feuilles ça se balayent sur le sol pas dans l'arbre. Te rends tu comptes que tu lui fais sans doute mal à les lui arracher. C'est un être vivant et même s'il n'a pas de bouche peut être qu'il crie de douleur. Maintenant que tu montes dans un arbre sous la responsabilité de tes parents c'est une chose mais qu'arriverait il si tu venais à tomber sous la mienne ? On me mettra en prison ? On me pendra ? En tout cas, j'aurai mal de t'avoir fait souffrir et vivre avec ça c'est très dur.
Pendant ce temps, le visiteur avait commencé son ascension et avait réussi à récupérer le petit. Elle poussa un soupir de soulagement et alla les rejoindre une fois qu'ils avaient touché terre.
Merci Messire ! Quelle chance que vous soyez passés dans le coin.
Elle lui sourit puis s'adressa au garçon.
Je comprends très bien que tu veuilles monter à l'arbre et je pense que nous l'avons tous fait à ton âge mais là, il y a autre chose à faire car pour le moment, rien est prêt pour le bal. Et comme tu es mon superviseur, tu dois surveiller si les gens font bien leur travail. Voilà ton rôle. Mais pour le moment, il n'y a pas grand chose à faire de ce côté là. Donc, je te propose, si tu veux, de décorer les pommes de pin qui orneront le sapin et les tables. Regardes, je te montre un modèle mais si tu as aussi des idées, n'hésites pas.
Elle descendit la chaise de sur la table et la posa à côté.
Voilà un endroit rêvé pour faire ta créativité.
Elle lui sourit puis regarda le Sire.
Dites moi... Vous passiez seulement dans le coin ou bien vous veniez pour nous aider ? Auquel cas, si vous pouviez retirer les toiles d'araignées au plafond, ce serait formidable. Moi je retourne au balayage.
Sur ses mots, elle alla reprendre le balai et se remit à l'ouvrage.
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