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[RP] Little wealth, little sorrow.

Zeckiel
    Little wealth, little sorrow.
    À l'autorité, se mesurent les soucis.


Trop longtemps que cela durait. Mais où était-elle cette blondeur vagabonde oubliant de donner nouvelles, inconscientes étaient les filles de sa fratrie, se demandant si le même sang coulait en leurs veines. L’aîné tenta tant bien que mal de faire les cent pas, car d’une récente altercation opposant… Sa sœur et lui à toute une armée, se demandant comment il avait pu en sortir indemne, colère au ventre mais douleur aux côtes, il marche. Il était déjà assez difficile de s’occuper d’une femelle Wolback-Carrann, voilà que la deuxième se complaisait dans le mutisme. Comment ne pas s’inquiéter ? Lui, seul garant de la santé de ses filles, ses sœurs de sang, lui qui avait promis… Voici qu’il devait subir les inquiétudes des parents en l’absence de leurs enfants. Une apprentie infirmière entra, il lui fit signe de dégager d’un geste las. C’est tout ce qu’il avait pu trouver, mais elle n’était guère utile. Ses blessures prenaient du temps à se refermer, et le Scott n’était pas prêt à passer encore une dizaine de jours couché.

Ne pouvant sortir, coincé dans cette chambre close, il tente de garder son sang-froid, mais la douleur le glace. Il prend appui sur son bureau puis s’assied, doucement pour finalement se laisser tomber sur sa chaise, la pression des côtes devenant insupportable. Il sort un vélin, attrape sa plume et rédige. Mais avant cela, souffle, respire mais d’un léger souffle pour ne point torturer davantage ses flancs qui le tiraillent. Mais aussi pour calmer sa colère, il attend puis commence.

Citation:
    A vous, inconsciente tête blonde…

Il fronça les sourcils, puis souria. Car bien que souffrances la fougueuse lui donnait, il n’en était pas moins heureux d’avoir de ses nouvelles. Bien qu’évidemment, il s’occupera de son cas une fois rentrée. Un autre essai.

Citation:
    A vous, ma sœur, Aigneas Wolback Carrann,
    De Nous, votre frère, Zeckiel du même nom.

Ma blonde,

Nous serons bref.
Voilà un moment que nous n’avons plus eu de vos nouvelles.
Sachez que nous devons tous nous réunir, nous, Wolback Carrann.
Comment pouvons-nous prétendre et se délecter de notre union, de notre sang qui nous lie si chacun d’entre nous se trouve à chaque coin du Royaume ?
Nous nous trouvons actuellement en Anjou, avec notre sœur, Mina.
Nous vous y attendons au plus vite et espérons que vous ne tardez pas.

Vous savez que vous pouvez compter sur ma personne pour vous retrouver. Mais espérons que nous n’en arriverons point à ce stade.
Votre sœur et moi sommes blessés, la guerre en Anjou est cruelle. Faites donc attention.
Notre désir est bien évidemment de vous retrouver en un seul morceau.

J’espère que vous vous portez bien.

Zeckiel Wolback Carrann
Fait en Anjou, un jour de neige.



Il confia alors la lettre et espérait rapidement une réponse. Qu’il ne la fasse pas courir ou elle sera la proie.
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Cliquez sur la bannière. Mais non je n'ordonne rien !
Aigneas, incarné par Yolanda_isabel


Bourganeuf.

La ville était déserte, aussi déserte que toute les précédentes.
L'ennui était le seul compagnon de route à notre chère blondeur, qui avait alors tout le temps de penser à sa chère famille qu'elle maudissait. Pourquoi ? Aucune nouvelle, rien, que dalle. Des mois, des jours entiers qu'elle attendait ne serait-ce qu'un courrier, un misérable courrier. Même un courrier froissé aurait pu la satisfaire, mais non. RIEN.
Mina, Zeckiel... ensembles. L'écossaise ruminait. Ils étaient réunis, quand elle n'était que solitude. La haine se développe facilement à cet âge et c'est bien ce qu'est en train de faire Aigneas. Elle développe. Elle déteste.

Car oui elle n'est pas encore une femme, bien qu'elle en ai tout les attraits, tout les atouts. Physiquement.
Son caractère lui n'était pas formé définitivement, comme une enfant il lui était facile de haïr pour un rien, tout comme elle se laissait également aller à l'amour en un mot. Excessive en tout point, et complètement irraisonnée, elle décide donc -attablée en solitaire, de détester soeur et frère. Que sa fratrie soit maudite de l'ignorer ainsi ! Qu'ils crèvent tous oui !

Après quelques heures de mauditude ( oui oui ça existe ) , un messager entre en trombe dans la petite taverne limousoine. ( oui ce mot aussi il existe, laissez moi tranquille ! ), Comment il a pu trouver notre tête blonde aussi facilement ? Nous l'ignorons, mais il est là, et bien là, face à elle, un courrier en main.

Pour Aigneas Wolback-Carrann, qu'il y avait noté sur le courrier.
Car oui le messager, en plus ne s'était pas trompé de destinataire, il était vraiment efficace ce bonhomme là !

le sourire aux lèvres, la blonde attrape le courrier et demande à l'homme de s'éloigner, elle aimait prendre connaissance de ses plis en toute tranquillité.
Aussitôt sa lecture terminée, la Wolback s'empare de son nécessaire à écriture et commence sa réponse. Elle le maudissait deux fois plus, il avait osé mettre un pronom possessif. Ma blonde. Comment osait-il ? Se permettre une tell familiarité alors qu'il ne lui avait point écrit depuis des lustres ?




A vous, Mon frère, Zeckiel Wolback-Carrann,
De Nous, Aigneas.

Je serais tout aussi brève.

Voilà un moment que je n'ai plus de vos nouvelles, et qu'il aurait été normal que notre personne réceptionne, un ou deux courriers de temps en temps.
De vous, de Mina... Qu'importe !
Je sais désormais que nous devons alors tous nous réunir. Enfin! puis-je me permettre d'écrire ?

Quoiqu'il en soit, je me trouve actuellement en la ville de Bourganeuf, je serais dès demain à Limoges.
Cela tombe bien n'est ce pas ? Il me semble que géographiquement, ce n'est pas si éloigné de l'Anjou, nous sommes donc tout proches vous et moi.
Ne le sentez-vous pas ? L'envie de m'écrire vient-elle peut être de cela. Votre corps, meurtri a su sentir le besoin, de moi. J'arrive donc.
J'arrive au plus vite. Prudente et impatiente.

Aigneas, toujours vivace !


Un signe au messager.
Qu'il se hâte de rejoindre son frère et de lui livrer son courrier.

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Zeckiel
Le calme. Il en rêvait presque. Lui qui ne désirait rien d’autre que la gloire et la richesse, voici qu’il enviait les coins tranquilles, les ombres silencieuses et presque les endroits de recueillement. Mais pour l’heure, la vie était davantage au brouhaha, aux entre-chocs de lance, de bouclier et d’autres tas de ferrailles. Blessé, le goût des choses avait tourné. Seul dans cette chambre, il ne pouvait que ruminer de façon incessante. Dans l’ombre, une haine naissait, tranquillement, doucement. Car le Wolback Carrann, jamais ne se lancerait à corps perdu dans une bataille, jamais. Le plaisir de jouer ne peut être présent que si l’on est sûr de gagner. Plus on réussit à faire croire à son adversaire qu’il prend le dessus, plus la victoire est jouissive. Ses lèvres s’étirent à cette idée, cette idée de réussite qui depuis longtemps maintenant l’anime. Allongé sur son lit, le dos droit contre la montagne de coussins qu’on lui avait apporté, se demandait presque si on le prenait pour un morceau de verre.

Bien que coupant, et quelques fois blessant, le Scott commençait à fermer les yeux, tentant de faire autour de lui silence, chose peu aisée. Et voici qu’on frappe à la porte, ou plutôt qu’on la massacre, oui. Il ordonne d’entrer, là, un jeune enfant de moitié sa taille entre et lui donner une lettre. Sourcil levé, ne pouvait réagir devant cette jeunesse surprenante, haïssant toujours les gamins, il reconnait l’écriture mais avant de poursuivre lecture, il se redresse, difficilement et se rend à son bureau. Là encore, il souriait presque. La blonde lui en voulait, mais peu importe, bientôt, tout changerait. Il trempe alors sa plume dans l’encrier.


Citation:
    A vous, ma Sœur, Aigneas Wolback Carrann,
    De Nous, votre frère, Zeckiel.

Votre Blondeur,

Il me hâte de vous revoir.
Vous avez sans doute bien changé depuis notre dernière rencontre.
Je suis certain que comme tout Wolback Carrann, vous avez su vous épanouir et que vous éclairez par votre beauté.

Nous vous attendrons.
Prenez soin de vous.

Zeckiel Wolback Carrann
Fait en Anjou, un jour de neige.


Parlons uniquement de beauté, les femmes aiment cela. Et mieux vaut ne pas étaler diverses sottises. La lettre était courte, un peu trop pour le Scott, mais maintenant il voulait la voir, et non pas perdurer dans ces échanges. « Prenez soin de vous » qu’il disait, lui qui emmenait son sang dans des lieux dangereux. Prit entre l’indécision et la colère, il pourrait presque prier que rien ne lui arrive. Mais non, il se contenta de jurer que si malheur il lui arrivait, la traque il lancerait. Très vite ses pensées se calmèrent. Il appelle quelqu’un, tend la lettre à un messager puis se traine difficilement vers son lit. Voilà qu’il devait se reposer, bien qu’il déteste ça, resté à ne rien faire. Mais là était le prix pour accueillir comme il se doit, son sang.

    Quelques jours plus tard.
    Fine feathers make fine birds.
    Les belles plumes font les beaux oiseaux.


Il s’était levé, au grand damne de l’infirmière qui s’égosillait mais doucement à le faire reprendre raison. Elle l’habille tout de même, tentant de lui expliquer que le froid et l’activité de l’extérieur pourrait aggraver son état. Surtout qu’inutile, sa frangine n’aurait guère de mal à trouver l’endroit. Feuque !* Il lui lance, mais pas vraiment à elle. Il en a assez d’avoir mal, d’être légèrement seul, de devoir expliquer les choses, mais qu’on le lâche. Comme si une personne pouvait trouver la prétention de lui dicter ses gestes. Difficilement et sous l’œil inquiet de l’infirmière, il sort de l’hospice, se dirige vers les remparts, se tenant droit au possible, difficile quand vos côtes vous font l’audace de tarder à se remettre en place. Peu lui importe tout ceci, la blondeur, il voulait la voir briller. A elle maintenant de lui montrer ses éclats. En espérant qu’avant la nuit, elle sera là.

*Expression d’énervement

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Aigneas, incarné par Mumia_jr



Quelques jours plus tard donc.

La route était longue finalement, la jeune femme ne pensait pas que son impatience soit si grande, il lui manquait plus que de raison. Ses soeur aussi bien entendu, mais Zeckiel avait ce coté sauvage qui l'intriguait tant, et puis la fraternité masculine était bien plus complexe à cerner. Il représentait le mâle de la fratrie, le père assumant son rôle protecteur envers sa petite tribu.
Il représentait un sentiment inaccessible, l�ambiguïté évidente, l'amour qu'il ne feront jamais ensemble était le plus beau, le rare, le plus pur, le plus enivrant.*

La dernière fois qu'ils s'étaient vu remontait à des siècles pour elle, mais elle se souvenait de ses traits, et de son regard surtout. Toujours froid, tranchant. Si elle voulait garder un semblant de courage, de tenue face à lui, il lui faudrait prendre sur elle et éviter de le regarder dans les yeux. Qu'il ne gagne pas à ce jeu là.

Elle savait, elle savait qu'il allait tenter de faire comme si de rien n'était, comme s'ils ne s'étaient jamais quittés, la lecture de son second et dernier courrier en avait été la preuve, il éludait tout ce qui pouvait blesser, ou révolter sa jeune soeur, et il se complaisait dans les compliments, plus doux les uns que les autres tentant d'amadouer la femme qu'elle pensait être devenue.

Mais non. Elle ne céderait pas et prouverait combien elle est rancunière, combien le manque de nouvelles l'a endurcie et combien elle leur en veut, elle lui en veut.

Ses bottes ne tardèrent plus à fouler le sol angevin. Et rapidement l'adresse se trouvant sur le dernier mot de son frère fut trouvée, les flocons de neige l'aveuglait, et c'est pour cette raison que la blonde accéléra le pas jusqu'à l'entrée de l'hospice. On n'y voyait vraiment pas grand chose, le temps n'aidait pas, et c'est sans surprise qu'elle heurta un corps se trouvant sur sa route.
Agacée, le visage de la petite écossaise se redresse et lâche sans attendre une insulte cinglante.


Sottard ! Hors de ma rou..route...

Insulte se noyant rapidement dans la confusion, l'homme qu'elle venait de percuter ne lui était pas inconnu, loin de là. Les flocons de neige, balayait les mèches brunes de ce dernier. Il s'agissait bien entendu du scott avec qui elle avait rendez-vous.
Il était là, enfin, devant elle. Bien plus grand que dans ses souvenirs, bien plus beau aussi. Et malgré la promesse qu'elle s'était faite plus tôt, ses azurites croisèrent le regard fraternel, relâchant alors toute haine et toute rancune.

L'amour transcende son coeur. Le blonde est foudroyée mais feint l'indifférence, elle le sait fort à ce jeu là, elle s'y est entraînée ces dernières années, espérant dépasser son aîné. Cet art là sera le sien désormais.




* Ref : Lemon incest.
Zeckiel
Fronçant doucement les sourcils, une main posée sur son front pour s’en server de visière, le froid ne terrassait pas ses entrailles, à sa plus grande surprise. Son esprit était concentré sur autre chose. Quelque chose de plus important, quelque chose d’assez… Indispensable. Sa vue se faisait difficile, la neige n’était guère une alliée. Fermant la vue et rendant difficiles certains arpentements. Qu’elle se dépêche pensa-t’il. Non pas qu’il en avait assez de l’attente. Oh que non. Mais il en avait assez de s’inquiéter pour la blonde. Bien qu’il s’était rapidement rendu compte que son quotidien serait rythmé de pareilles affaires. On s’inquiète pour la rousse, puis la brune, puis la blonde et re la brune, re la blonde. Bref, un cercle vicieux qui n’en finissait plus. Et peu apte à jouer les mères poules, les dindonnes « mamelantes » –encore s’il avait quelques morceaux de gras débordants de sa peau, d’accord, on aurait pu tenter quelque chose, mais là, il n’y mettait pas de la bonne volonté. Lui et son corps sans graisse condamné à veiller plus loin que la mort sur la folie de la jeunesse. On aurait presque pu le croire vieux, ce bougre.

Voilà que prunelles vers l’horizon, il attend. Il ne tape pas du pied, il ne grimace pas, il attend. Ses côtes tout de même lui pèsent assez. Cela le réjouissait, se disant que s’il était enfin debout, c’est que la blessure guérissait. Au moins, il n’était pas coincé dans cette chambre trop… Banale et peu, trop peu agréable. Il attend, une silhouette fine se dessine, il se redresse davantage, un rictus de colère se dessine sur son visage, à son sursaut, la douleur s’était réveillée. La silhouette s’approche, elle ou pas elle ? A plusieurs reprises, il perd son contact visuel dans cette neige peu coopérative. Puis voilà qu’il se sent doucement cogné. Il baisse les yeux et y voit la blondeur. Il sourit. Ses lèvres s’étirent davantage quand elle s’énerve. Il voit dans ses yeux diverses choses. Mais peu enclin à les discerner, surtout dans ce froid et ainsi retrouvé, il glisse son bras gauche dans le dos de la blondeur, pour l’accueillir de façon fraternelle, espérant tout de même ne pas être repoussé. Non pas pour son égo, mais pour ses côtes !

    - Aigneas… Sweet Child, Come on.*

Il se dirigea alors vers l’hospice où il résidait pour le moment, pour se mettre à l’abri et profiter pleinement de sa jeune sœur.
Espérant qu’elle le suivait, tentant de minimiser les contacts physiques la sachant légèrement distante, il entre dans la demeure.



*Suis moi feignasse
Me tape pas JD Aigneas xD
(Han, tu as vu ! ça rime ! )

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Aigneas, incarné par Zeckiel



Feindre l'indifférence ne semble pas l'atteindre, l'entrainement devra se faire plus intensif encore pour pouvoir un jour lui faire mal, lui prouver qu'il ne compte par pour elle alors que bien entendu... c'est tout le contraire.
Il y a tant de temps qu'elle ne l'avait pas vu, la dernière fois ses traits semblaient moins durs, la jeunesse le frappait insolente. Désormais il était plus mûr, il était devenu un homme, le véritable, celui dont elle serait la groupie. A jamais. Mais il fallait qu'il ignore cette admiration grandissante.

La mine renfrognée, aucun sourire ne lui sera cédé, de toute façon, il ne le mérite pas, il ne lui a pas écrit ! Enfin... Si. Mais trop tard. La blonde baisse le nez, elle fuit son regard, car il semble l'appeler aux réconciliations, mais elle ne veut pas que cela soit si simple, non, Aigneas cherche toujours les complications.
Et le désir de discorde est bien difficile à tenir, notamment lorsque son frère passe un bras dans son dos. Sa main vient se plaquer dans le dos de sa cadette, cette main dont elle ignorait encore qu'elle puisse lui tenir si chaud, cette main qui se veut amie, alors qu'elle refuse cela du plus profond de son être... cette main, qui ose se presser si délicatement contre elle, il est impossible de la repousser. Le bras de Zeckiel poursuit alors et encercle le corps de la jeune femme, ainsi emprisonnée, la blonde cède, et se laisse emporter par l'étreinte.
Il l'enlace, et bien que ce geste fut bref et simplement accomplit pour la faire avancer, il fut suffisant pour étourdir Aigneas et la faire perdre pied. Quelques instants seulement.
Le blonde reprend vite ses esprits et se dégage de la chaleur fraternelle, prenant les devants, assurant ses arrières, elle suit le chemin que lui indique l'arrogant.

Une fois à l'intérieur, sa chevelure est repoussée en arrière, trempée par la neige. Les pupilles se dilatent et observent les lieux alentours. Tout est propre, mais impersonnel, même l'extérieur hivernal semble plus accueillant.
Inclination de menton, regard vers son aîné.    

Votre corps meurtri.
Mon coeur aussi...



Vous portez vous mieux, mon frère ?
    

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