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Info:
Fin janvier, début février 1461. Fatum a mis Vaudemont en ville franche.

[RP ouvert à tous !] Un colleur d'affiche...

Le.masque.


Citation:


De Fatum,
En réponse aux vieilles perruques impériales,

La dernière annonce de l'Empire à l'adresse du Roy de France signe de manière éclatante la mauvaise foi et la tentative fallacieuse de déstabilisation et de désinformation à propos des relations entre l'Alliance Fatum et son ennemi royaliste et de ses intentions.

Qu'ils soit su :

Que Fatum n'est présente en Lorraine que de sa seule volonté, n'ayant eu à tenir compte que des intérêts diplomatiques de son allié genevois.
Qu'il est vain pour l'Empire de demander au Roy le retrait de l'armée Fatum du territoire Lorrain.
Que rien ne nous ferait plus rire qu'un édit royal demandant notre retrait, que nous déchirerions aussitôt.
Que Fatum n'est en Lorraine et ne ponctionnera ses terres que pour son propre intérêt.
Que les pressions royalistes et impériales sur Berne, pour le maintien ou le retrait de l'agrément genevois, ne concernent que le conflit qui leur est propre.
Que peu nous importe donc si nos actions profitent à l'Empire, au Roy, aux frondeurs ou encore aux Ponantais.
Que les armes que nous acceptons, qu'elles soient genevoises, impériales, royalistes, ponantaises, désintéressés ou non, ne présagent en rien d'une quelconque dépendance.
Que toute tentative de la part de l'un de ces fournisseurs de dicter, courber, atténuer l'action de Fatum, officiellement ou officieusement se verrait suivie d'un renvoi immédiat de ces armes.
Que seuls comptent pour nous le respect des nôtres, de nos associés de nos alliés, et de nos engagements temporaires de non-agression.
Qu'enfin, Fatum reste à ce jour, et ce depuis sa création, entièrement indépendante et insensible aux influences extérieures.

Pour Fatum !





Certainement qu'il n'aurait pas du être là, et certainement qu'il n'est pas à sa place, mais revoilà votre colleur d'affiche préféré, celui qui dans l'ombre fait le boulot qu'on lui a demandé, avant de tenter de partir. Les gardes lorrains l'auront-ils vu ? Il ne sait pas... et se retourne pour se retrouver face à ?
Réponse A : au vent,
Réponse B : à la nuit,
Réponse C : un escadron de gardes épées au clair ?


totalement free la réponse à la dernière question, selon les jd lorrains à vous de donner la réponse, j'ai envie de m'amuser et de jouer, pas vous ?

_________________






Germaine
C'est beau, un colleur d'affiches, la nuit... râpe le faux Raoul.
Il accompagne Germaine dans ses pérégrinations lorraines. Il l'a adoptée, ou bien c'est le contraire.

Tu l'as dit, bouffi, répond Germaine.
Quoi bouffi ? D'orgueil ?
Mais non, juste une expression.
Ah, j'préfère !
Dis donc, Raoul ! T'arrives à lire c'qu'y a sur l'affiche ?
Non, fait trop noir, m'dame Germaine !
Bah oui, faut-y êt'con pour v'nir coller des affiches la nuit !
Z'avez raison, m'dame Germaine ! Cor' d' la propre à glande !
C'est ça Raoul... levant les yeux au ciel. Allez, on retourne à l'auberge !
_________________
En mode Shadow.
Muette.
Réponse D comme ...

Dis, t'as pas un quignon de pain ?

La mioche était dans son dos depuis un bout de temps quand il s'était retourné. Elle l'avait suivi dans les ruelles, petite ombre silencieuse trottinant derrière une autre ombre non moins silencieuse et l'avait observé à loisir tandis qu'il collait ses affiches un peu partout.
Elle n'avait même pas sursauté quand il avait fait volte-face. Le regard levé vers lui sans ciller, elle ajouta laconique.


J'ai faim !
Loguen


Loguen patrouillait avec sa section comme toutes les nuits, il respectit bien sur le tour de garde qu'on leur donnait mais discrétement, il en fesait un peu plus. On était jamais assez gourmand en tour de garde, c'était une de ses phylosophie, on pouvait pas savoir sur qui on pouvait tomber et la nuit pouvait révèler plein de bonne surprise. Elle permettait aussi de satisfaire certain plaisir, Loguen n'aimait pas forcément être un ange gardien, mais ses hommes oui, il étaient pour le moins enflammé, la jeunesse sans doute.. Ils avaient tous 10 ans de moins que lui et lui occupé un post minable car il avait changé de vie, mais sa situation allait peut être se modifier. Bref, il était dans ses pensés quand un mon sergent le sortit de sa torpeur.

Un de ses hommes lui indiquait avec le doigt, un groupe de quatre personnes, assez byzarre en effet, surtout à cet endroit et à cet heure, d'ailleurs si ils n'étaient pas en train de parlé, la patrouille ne les aurait sans doute jamais vu.. Loguen machinalement vérifia ses armes, on était jamais trop prudent tout en réflechissant. Il avait 4 hommes avec lui donc 5 en tout, ils étaient trois et ce rassemblement l'intriguait au plus au point. Ses hommes étaient les meilleurs, en tout cas il se plaisait à le pensser, il avait 2 archers et deux fantassin, deux signes lui suffirent pour donner ses ordres. les deux archers partirent se planquer dans la pénombre pour surveiller tout ceci de loin et les 2 fantassin le suivaient.

Ils étaient donc trois a se diriger vers le petit groupe, un autre petit signe et ses deux hommes qui le collés de prêt s'écartèrent de lui pour former un demi cercle. Le filet allait s'abbatre. Deux hommes, une femme et une gamine, sa sentait la bonne surprise de la nuit. A porté de voix, il s'exprima de manière forte pour être sur que tout le monde l'entende.


Bonsoir, ost lorrain. Que vaut cette petite réunion en pleine nuit ? Et ne penssé pas à filer, des fléches sont pointées sur vous!

Ses deux hommes sortirent leur lame, professionel jusqu'au bout et ses deux archers devaient déjà avoir leur arc bandé. Lui ne sortit pas sa lame de son fourreau, il ne fallait surtout pas exiter ces personnes si c'étaient des ennemis mais dans tous les cas, il se tenait prêt, au cas ou... Il attendait une réponse et surtout une justification, tout en se dirigeant vers l'affiche qu'il venait d'apercevoir pour voir ce que sa pouvait bien être..


Amusement nous voila, par contre pauvre marionette Germaine et son compagnon Raoul qui se retrouve au mauvais moment, au mauvais endroit^^.
Edit parce que je me suis fais grillé
Le.masque.


Réponse D donc...

Il esquisse un sourire et lui ébouriffe les cheveux.


B'jour toi. T'sais qu'c'est pas prudent d'être seule dans les rues ?


Son accent chantant de l'occitanie le trahit encore une fois, le troubadour, même s'il n'est pas là pour jouer un tour, mais plutôt pour se battre, ou pas, allez savoir, pour le moment, il porte l'écusson Fatum cousu sur sa cape, et il jauge la gamine, sortant un quignon de pain.

Té, c'pour toi.

Il esquisse un sourire amusé.


T'as pas peur, toi. S'tu veux, j'connais un endroit où les enfants, ils mangent à leur faim, et ils sont protégés... Ils ont pas d'fouet, pas b'soin d'travailler, ils jouent, et ils vont s'prom'ner dans les bois pour apprendre à chasser, ou à faire des cabanes...

A ce moment là, l'ost lorrain qui débarque... Han ! C'était la réponse C ! Il a l'air fin d'avoir tapé causette avec Cosette... Il inspire profondément, et patiente de voir ce que vont dire les autres, le silence étant de mise pour sa part. Il observe, et repère les hommes du sergent. Trois donc... et des flèches hein... sauf que s'il pique une course, les flèches, c'est pas des carreaux d'arbalètes. Il reste encore cette chance là. Il recule d'un pas, pour se mettre un peu plus dans la pénombre, maudissant la pleine lune pour une fois. Faisant face aux hommes, il se demande comment se débarrasser de sa cape discrètement, et sourit à la gamine, en l'enlevant.


J'suis sûr que t'as froid aussi non ?

Et hop, comment il fout la mouise avec une suite F, tentant de retomber sur ses pattes, le Fatum, ou de retrouver le Fil. Le Gaucher tente donc de mettre sa cape sur les épaules de la gamine, à l'envers, pour cacher l'écusson. Pas qu'il ait honte, mais pas le moment de faire le mariole quand on est seul face à plusieurs, et sans doute pas assez de dagues de lancer pour les gorges de tous.

_________________
Muette.
Le visage de la gamine s'éclaire. Elle prend vivement le quignon comme s'il allait brusquement s'évaporer et le glisse contre elle, bien serré sous le bout de tissu miteux qu'elle a croisé sur sa poitrine pour se protéger du froid.

Elle écoute l'homme sans rien dire. Pas pour rien qu'on l'appelle " la muette". Elle écoute mais reste sur le qui-vive, prête à détaler au moindre geste menaçant de la part de l'étranger. Elle écoute et ...

Bruit de ferraille derrière eux.

Bonsoir, ost lorrain.

Une patrouille. Miette souffle précipitamment à l'inconnu
Derrière vous ... la fontaine ... la ruelle à senestre ...
Elle attrape maladroitement la cape qu'il lui colle sur le dos. Puis s'échappe prestement du piège qui se referme, se faufilant derrière le bloc de pierre plus grand qu'elle, pour courir se réfugier à l'entrée de la venelle qu'elle lui a indiquée.
Là elle s'arrête, dissimulée par l'ombre des murs si proches l'un de l'autre qu'on ne peut s'y engager à deux. Elle sort le bout de pain qu'il lui a donné à l'instant, en arrache une bouchée qu'elle mastique lentement et les observe. Eux, les bien nourris ...
--Alice_caprice_



Non elle était pas aux pays des rêve Alice , elle aurait dû mais point possible de dormir avec tous se bruit dans la rue . Les volets de bois fermés , la dentelière avait bouclé et même barricadé son échoppe . Définitivement agacée elle sortie en trombe armée de sa cane , le visage fripé et les yeux froncé en un regard noir d encre .

Qui a collé ce torchon sur les volets de ma vitrine . Qui as osé faire ça ??? !!!!!

Elle en avait ras la dentelle et fulminait . Depuis des jours y avait pas moyen de sortir tranquille sans risquer de se faire agresser . Bon c est vrai que son commerce profitais quand même , parce que Fatum avait ramené de la coquette , mais tous de même tous se remue ménage a son age finissait par faire gonfler ces varices .Alors voila , la vieille alice armée de sa cane et de sa trognasse aimable s approcha des gardes et vis une petite souillon des rues se faufiler .

Dites vous la , vous pouvez pas laisser les gens dormir ! c est dejà pénible toute cette vermine mais si en plus vous vous amusez a faire peur aux gamines en pleine nuit !

Une nuit au clair de la lune , elle ne portait pas ses plumes l alice Caprice mais la langue affuté la vipère ne lachais pas les gardes . Mais son attention fut attiré par un jeune homme qui gracieusement c étais débarrassé de son étoffe en cape . Ne craignant pas le moins du monde pour sa vie l aigre douce fit quelques pas vers le jeune homme . Bonnet de nuits en dentelles vissé sur un chignon défraichi , une mais sur la hanche , la cane dans l autre .

AH ! mais c est toi mon lapin , tu sais qu il est bien tard pour venir boire le thé !!

Un clin d oeil complice la coquine elle espérait tous simplement ramené le bel androgyne chez elle et lui ... chanter une berceuse voyons !
Le.masque.


L'androgyne, avec ses 6 pieds de haut et ses 170 livres, on l'avait affublé d'à peu près tous les noms, mais l'homme n'avait pas vraiment l'air d'une danseuse... C'est donc avec un sourire, n'ayant pas eu le temps de réagir quand la gamine est partie que Le Gaucher regarde la mamie.

Très calme, du moins en apparence, il s'approche d'elle, et se fend même d'une bise en se baissant pour lui murmurer à l'oreille :


Merce.

Puis il se redresse, et la regarde.

Bah tatie, j'venais juste voir si t'allais bien. Avec tous ces brigands qui trainent dans l'coin, j'voulais m'assurer qu'tout allait. Et pis j't'ai apporté un pot d'confiture d'mirabelle qu'ma mie a fait.

Le Gaucher tourne le dos, très momentanément aux gardes, pour quelle raison, me direz-vous ? Bah pas pour se retrouver avec une flèche dans l'dos, l'est pas suicidaire, mais pour montrer qu'il a pas peur, et espérer ainsi passer pour un quidam lambda, et non pour un traqué. Le temps de cette brève intervention, et il se tourne de nouveau vers eux.


Content d'voir qu'l'Ost t'protège hein. C'fait plaisir à voir.

Jetant un regard vers la ruelle que la petite lui a indiqué, tout en laissant passer ses yeux sur le reste de la place, il remet enfin, la p'tite dame dans sa mémoire... c't'elle qui fournit les donzelles en fanfreluches pour les corsets et l'reste... Se souv'nant d'avoir escorté certaines, avec d'autres gars, et d'avoir du patienter des heures le temps qu'elles trouvent le bon ruban assorti au bon tissus et autres bidules tout aussi nuls, 'fin, sauf quand il s'agit de mâter, il boude pas son plaisir, faut pas déconner, même s'il est marié, il a des yeux hein, il songe qu'il y a deux entrées, une sur cette place, et l'autre qui donne de l'autre côté sur la rue... sauf que si lui, il le sait, alors qu'il vient de débarquer, les autres doivent le savoir aussi.

Rapidement donc, il incline la tête et rebise sur la joue, sa "tatie" improvisée.


Bonne nuit tatie, j'file r'joindre ma mie, avant qu'elle m'tire les oreilles, on pass'ra d'main pour t'saluer. On a vendu des baies d'sureau, et des feuilles de thym, et t'la connais, elle voudrait une nouvelle robe.

Alors, essayant de ne pas paraître trop pressé, il se dirige vers la fontaine, puis la petite ruelle à droite, espérant que la gamine y est toujours parce que là, il va se perdre à coups sûrs dans c'te ville qu'il connait pas trop bien pour le moment, même s'il a fait pas mal de repérages. Plus qu'à espérer qu'il n'entende pas les gardes lui dire d'arrêter de marcher... ou que la tatie improvisée vienne pas lui tirer les oreilles pour l'obliger à aller boire une tisane dégueux, ou pire bouffer ou boire de la mirabelle...


Et Chiabrenna ! Il a causé de la confiot', mais il l'a pas donnée... Il prie in petto, pour que là, personne n'ait remarqué sa bourde.

_________________
Loguen


Bordel, bordel, bordel, sa pouvait jamais être simple, on se pointe, on interroge, on explique, on a un coupable, on le ramène a la maison pour des petits jeux. Pourquoi, la était la question, bref, quand il arriva a porté du petit groupe, voila que la petite se taillé! mais il n'était pas la pour elle, elle ne devait sans doute pas être vraiment lié à la situation. mais il fallait à tout prit éviter une fuite généralisé du petit groupe.

Au moment ou il faillit prendre la parole, voila qu'une vieille sort de la boutique ou était affiché l'affiche! Et qu'elle commence à gueuler, puré, cela avait le don d'énerver le sergent plutot deux foi qu'une. Il ne voulait pas que la situation dérape, surtout qu'il tenait peut être quelque chose. Il ne pouvait pas savoir si la femme qui sortait de la boutique ne fesait pas parti du groupe ou non, ils seraient donc tous traités à la même ensseigne.

Il se plaça en face des deux qui restaient du dépars et leur dit:


Mettez vous à genoux et ne bougez plus. Soldat vous tranchez un membre si y en a un qui bouge.

Un de ses hommes vint donc se placer devant les deux, l'arme sortit afin de s'assurer qu'il respecte l'instruction. Puis il se dirigea vers la dame sortit de l'échoppe et le messire qui tentait de se barrer!

Hopopope, vous la bas!

Il sortit sa lame et la pointa dans le dos du fuyard.

On retourne avec les autre et à genoux comme tout le monde!

Tout en surveillant le bonhomme, il s'adressa à la vieille femme.

Ma dame, je suis désolé, mais je vais vous demander de vous mettre sur le coté avec mon deuxiéme soldat.

Son deuxiéme homme se plaça à coté de la vieille femme a distance raisonable de la canne. Loguen tout en guidant de sa lame le fuyard, il tendit son autre bras pour arracher l'affiche, il pouvait bien faire les deux en même temps en étant tout a fait apte à transpercer quiquonce, ses sens pour le coup étaient en éveil. Il s'éclaira à la lumière de la lune pour jeter quelques coup d'oeil à l'affiche, il lui suffit de lire Fatum pour la laisser tomber par terre.. Il prit alors la parole d'une voix imperieuse.

Eh bien, nous avons un ou des membres de fatum parmis nous... Quelqu'un aurait'il quelque chose à dire ?

Maintenant, tout le monde était suspect.. Il y avait un membre de Fatum içi et il voulait l'attraper. Il avait appris dans sa tendre jeunesse à faire parler les gens, son naturel imperturbable l'aidant assez. Il avait tout de même tous ses sens aux aguets, une fillette avait quand même fui et du coup, elle pouvait appartenir aussi aux groupes, des renforts allaient même peut être se pointer.. Ses archers avaient intéret à être attentif. Et surtout, le bonhomme au bout de sa lame pouvait tenter une idiotie surtout qu'avoir tenter de se sauver sans justification fesait de lui son meilleur supect


édité car grillé
Le.masque.


La lame d'acier sortant de son fourreau, un bruit caractéristique, qu'il a déjà entendu. Le Gaucher s'arrête immédiatement en la sentant lui caresser le dos si l'on peut dire. La situation s'arrange pas, c'est le moins que l'on puisse dire... Bon, alors, on a donc des archers dans le coin, d'ailleurs, en se déplaçant, il a pu deviner l'un d'eux, mais y en a-t-il d'autres ? ça se balade à combien les soldats ? Quatre, ou cinq ? Plus ? Moins ? P'tain, pour une mission de routine... Un truc tout con à faire, coller des affiches, mais non, il a fallu que ceux-là patrouillent... Ils pouvaient pas être sur les remparts comme tout l'monde au lieu de surveiller la cité !

Bref, ça l'aide pas de s'énerver, il faut qu'il mette sa tête en action, et vite. Pour le moment, il n'y a rien à faire, sortir une dague, c'est clairement perdre la vie à coup sûr. Il obtempère donc, et va se mettre près des autres, passer pour le citoyen lambda qui faisait que passer... ne pas leur donner un motif de quoi que ce soit, et éviter de trop causer, ça s'rait pas mal, parce que son accent va bien finir par le trahir, même si pour le moment, il arrive à parler comme la gueusaille du coin. Un gueux pour un gueux, ils ont pas vu la différence.

Lentement, sans mouvement brusque, il se laisse guider, et va se mettre près du couple, leur jetant un regard en entendant le sergent dire qu'il y a un membre de Fatum présent. S'ils causent, il est cuit, tout autant que si la gamine n'arrive pas à s'échapper, sa cape étant une preuve qu'il faut surtout pas qu'ils aient.

Se mettre à genoux, en ayant une épée dans le dos, c'est pas ce qu'il y a de plus facile, croyez-moi. Il faut y aller en douceur, sinon, elle vous transperce les chairs, et ça chatouille un peu. Son gambison sous sa chemise lui permettrait d'éviter le moindre désagrément de ce genre, mais les archers eux, et les autres soldats, auraient tôt fait de le transpercer de part en part. La maigre protection de cuir ne serait pas suffisante, loin s'en faut.

Il s'agenouille, et tente de respirer calmement. Pour toute réponse à la question si quelqu'un a quelque chose à dire, il ne donnera que le silence et pas un mouvement suspect, rien, visage impassible, détendu dehors, tendu dedans, attendant l'occasion.

But du jeu ? Il vient de le trouver ! Faire passer le couple pour les membres de Fatum. Il tourne lentement la tête et fait un sourire, avec un clin d'oeil de connivence, pas du tout discret.


Y'avait un aut'gars t't-à-l'heure. L'est parti par là.

Et il montre vers la gauche, espérant que ça suffise à faire passer qu'il aide le couple près de lui.

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Germaine
Germaine s'interloque. Comment peut-on imaginer qu'elle appartient au grand banditisme? Pourtant, elle obtempère.

Pose sa main sur le bras de Raoul.

Bougeons pas, s'raient capables de nous étriper, ces couillons, dit-elle à voix basse.

Tandis qu'ils restent plantés, immobiles, ils observent.


Tiens, faudra que j'aille la voir, s'te vioque! j'aime bien son bonnet d'dentelle!
Rhooo m'dame Germaine! Z'êtes bien trop jeune pour porter s't'horreur!
Ah? tu crois, Raoul? C'est gentil, ça!
....

Dites, m'dame Germaine!
Oui Raoul?
J'crois qu'y nous a oublié, l'général!
Ah bon, c'est un général çui-là?
Ben sûr'ment, vu qu'y commande une troupe!
Ah... et quatre gugusses, ça forme une troupe?
Bah... oui, j'crois!
En même temps, on s'en fouiche!
...
Faudrait faire un pas vers not'gauche, pis s'arrêter un peu, pis r'faire un aut'pas, pis s'arrêter, pis r'...
Ooooh ça va! Chuis pas folle j'ai compris! ça s'appelle filer à l'anglaise, Raoul! Ni vu ni connu, par ici j't'embrouille!

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En mode Shadow.
Le_barde
Il étais tard dans la nuit, une fois de plus à cette heure ci, le barde sortais, complètement éméché d'une de ses tavernes préférée, et, à un croisement de rue, devant une maisonnette, il croise un petit attroupement.

Prenant bien soin de se cacher derrière un coin de maison, il regarde la situation :

Beaucoup de gens. Pis il les connais pas, en plus. Il s'en fout, Le Barde. Il y a même des soldats, et il fait pas un temps à croiser de la bleusaille.

S'apprêtant à rebrousser chemin pour contourner l'obstacle, il entend une voix bien connue. Le Masque !

Bon sang, le bonhomme à la pointe de l'épée, c'est Le Masque !

Le Barde ne peux s'empêcher de lâcher un juron.


Dedieu...

Il prend son courage à deux mains et respire un grand coup pour ne pas se laisser envahir par l'alcool qui lui est monté à la tête, et, dans un cri, presque un rituel dans ces situations d'assaut, se jette sur les 3 soldats.

Ayant encore son luth en main gauche, il en assène un grand coup sur le coin de la tête d'un des archers, qui tombe inanimé, et dans le même mouvement sors sa belle et toute nouvelle épée, et en appui la pointe entre les omoplates de ce qui semble être le capitaine, prenant bien soin de garder le capitaine entre lui et l'archer encore debout, puis il lâche un magistral :


Bougez et je vous embroche.
--Alice_caprice_


Citation:
Bah tatie, j'venais juste voir si t'allais bien. Avec tous ces brigands qui trainent dans l'coin, j'voulais m'assurer qu'tout allait. Et pis j't'ai apporté un pot d'confiture d'mirabelle qu'ma mie a fait


Un arque ce dessine dans un de ses sourcils broussailleux , " tatie " il l avait appelé tatie ! Pour sur qu il avait des ennuie le mignon , mais bien vite la vieille se radoucis , il lui avait rapporté un pot de mirabelle . C est vrai qu elle en raffolait et en un éclair Alice se revois enfant a chiper dans les mots de confitures que sa mère faisait . Pare contre aucun souvenir d avoir un neveu quelconque ! Point grave la dentelière était flattée et sous le charme de ce jeune homme si poli .
On pouvais pas en dire autant du blondinet armé qui s approchait d eux menaçant . Un garde zélé qui les menaçais de leur couper un membre ...de nouveau la broussaille de la vieille en bonnet de nuit forme un arc , interloquée par les paroles du garde . Voila ti pas qu il voulais que tous le petit monde se mette a genou . Mais c est qu il as perdu la tête le jeunot !
Il a quand même la décence de ne pas la forcer elle avec ces os vieillissant a se plier a terre . Un couple est la aussi et l as bien vu la vieille rombière que l autre la reluque bizarrement , qui k'cé ti ça encore ?
Oh mais l'petit qui tente maint'nant de prendre la tangente rhaa mais ...

    Citation:
    Eh bien, nous avons un ou des membres de fatum parmis nous... Quelqu'un aurait'il quelque chose à dire ?


La s en est trop , la pointe de l épée menace son neveu inconnu , et voila que le garde nous envoie ses divagations .. un fatum ? Un spectre ?

OH mais dites vous estes pas un peu fada vous ? Y a pas de fatum ici et les spectres n existe pas ! Non mais dites vous n este pas tranquille dans votre tête mon garçon .

Elle se tais d un coup pensant que peu être son age avancé et ces quelques toutes toutes petites rides pouvais prêter a confusion . Une sorcière ! peut être mais un fantôme ^^ se foutais du monde le garde !!!!
Elle ronchonnait tous le temps quand un luth apparu dans une main qui venait de nul part , puis un fracas et une lame d épée . Mimant une bagarre la vieille encourageais presque l intervenant a taper encore et encore . Enfin le garde a la pointé de l épée de l assaillant qui voulait l embrocher .

Levant le poing en l air en signe de victoire la dentelière sourit . La suite risquais d être tous aussi mouvementé et dangereuse . Mais la dentelle de son bonnet devant les yeux la vilaine étais ravie d être venue .

    Y dit qu'y a un fatum ici ! Y blasphème le blondinet , y a point d'fantôme ici .


Si c étais pas honteux de déranger les honnêtes gens a c't heure !
Loguen


Et la vieille qui radote, soit elle était folle, soit vraiment dans un autre monde, dans tous les cas, cela suffisait a Loguen pour qu'il l'ignore. Le bonhomme au bout de sa lame oppérait les instruction, tant mieux, mais personne ne voulait répondre à ses intérogations! Il allait devoir prendre la manière forte, pas de bol pour eux. Mais le probable couple tenté de s'enfuir discrétement!

Monsieur, ma dame, j'ais dit a genoux!

Quand il allait agir, voila qu'il entend un de ses rafus dans son dos, byzarement, il ne bouge pas, byzarement, son archer qui était caché se fait assomer et lui se retrouve avec une lame dans le dos. Et que le pseudo libérateur de la petite réunion ou du membre de Fatum qui croit l'avoir à sa porté. Mais quel idiot ce bonhomme, heureusement pour lui que ses adversaire, jusqu'a maintenant s'était toujours retrouvé être de parfais imbécile. Il prit donc la parole d'une voi monocorde tout en étant sur que son deuxiéme archer toujours en jeu pouvait l'entendre.

Messire, vous qui menacez un membre de l'ost lorrain avait oublié que sous un uniforme il y a une côte de maille. Et vous allez perdre votre jambe!

A ce même moment, vombrissement et une fléche qui vient se figer dans le mollet du pseudo héro. Sentant la pointe de la lame ne lui taquinant plus le dos, il se sert de son pommeau pour assomer le bonhomme qui était au bout de sa propre lame. Un probléme de moins puisque s'il n'était pas assomé, il était pour le moin sonné. Il se retourna et même technique, un sacré coup de pommeau dans la tronche de l'homme qui avait osé l'attaquer. Son nez pouvait bien être fracturé si ce n'est plus, dans la suite, il récupèra la lame de cet homme qu'il mit a sa ceinture.

Loguen était d'un naturel trés calme, mais il ne fallait pas le chercher. La situation de nouveau sous controle, pour combien de temps, il ne pouvait le savoir, il se permit de répondre à la vieille.


Madame, Fatoum est le nom de l'armée qui nous attaque, comme vous ne me semblez pas apte à collaborer avec nous, je vais donc vous demandez de nous obéir le temps que l'on soit sur d'être en sécurité avant de vous laisser partir.

Ou pas mentalement. S'adressant à ses deux fantassins qui n'avaient rien pour le coup.

Toi, va me chercher un chariot, j'en ait vu sur la place juste a coté, selle le, et raméne le içi. Toi tu vas me chercher le pauvre qui s'est fait fracasser un truc sur la tête, tu le raménes et tu reviens pour les surveillez avec moi. Pour l'acher qui m'entend, tu bouges pas et tu surveilles!

Se retournant vers les trois personnes qui n'avait pas encore reçu de coup de paumeau.

S'il vous plait, allez contre la façade de l'échoppe et asseyez vous contre, et trainez moi ces deux la avec vous contre la deventure.. Ma dame si vos articulations vous empéche de vous assoir, vous pouvez restez debout, pour les autre, sa sera bien assis.

Loguen avait toujours la lame à la main et était prêt à recevoir n'importe qui, surveillant les personnes devant lui et les ombres avec attention..
Le_barde
Le Barde s'écroule à terre en gueulant :

AÏE !

Groggy, mais pas assommé, le Barde s'assoit au sol avec peine.

Nan ! Mais ça vas pas vous ?

Le Barde met la main à son nez, qui saigne et grogne en regardant la flèche plantée dans son mollet.

'Tain, ça fait un mal de chien vot' saloperie là ! AÏEUH J'EN AI MARRE A LA FIN !

Le Barde lance une série de jurons en flamand, puis enchaîne :

Rah ! Ca m'apprendras a vouloir secourir les honnêtes gens...

J'pensais que vous étiez des brigands en train de tenter de piquer leurs biens à ces pauvres gens, et en filant un coup de main, c'est comme ça qu'on me remercie ?


Le Barde tente, tout en râlant, d'extraire la pointe de la flèche fichée dans son mollet.

Quelle idée, aussi, de porter des uniformes aussi peu... uniformes ! Surtout la nuit !

Le Barde, toujours assis par terre, continue de râler au sol.

Faudra me rendre mon beau couteau par contre, sinon, ça s’apparentera effectivement à du vol, et j'en référerais à votre supérieur.

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