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[RP]Parrain, par deux, Pardiac !

Valeryane
    Val était souvent surprise quand elle découvrait un autre membre
    de la graaaaaande famille Duranxie, elle ne connaissait que la moitié et cela n'allait pas du tout ça nomeho! m'enfin il y a bien un moyen de heu répertorier tout ce monde.
    Elle lâcha un petit grognement d'insatisfaction ce jeune homme qui était un filleule à Riri son frère c'était le fils de qui alors? Elle était sa tante ? ou pas ?

    La bouche volcan se tordit les sourcils se froncèrent comme pour montrer
    son mécontentement, oh pas des choix des cérémonies ni autre Val n'était pas une envieuse sinon elle serait déjà duchesse,de toute façon
    elle était la future épouse de l'homme le plus riche du royaume alors les titres tsst! Elle était tout simplement mécontente de ne pas connaître je jolie blondinet.
    Qu'elle détailla dans la moindre couture normale pour une maître couturière l'oeil et le détaille.

    La mère volcan lança un regard vers mini volcan qui comme à son habitude détestait rester assise, si on écoutait bien plus prés de la mini on pourrait entendre de léger grognement tout le portrait craché de sa mère cette petite. Soupire, souire et regard qui se perd dans la cérémonie c'est beau quand même une grande famille.

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Riwenn


Et voilà que l'homme-femme qu'il avait devant lui prenait des rondeurs et du ventre. Par Deos, il avait le portrait craché d'Aricie devant les yeux.

Digne fille... Pas bien, méchant Riwenn, on n'avait dict pas de changement de sexe hein ! Namého ! fils pardon fils de ta mair, promets-tu en ce jorn il se souvint de l'époque où il avait anobli Donamartiri et qu'elle n'avait pas voulu mettre genou à terre, souci de poids, il devait en estre de mesme pour le fils. Bien qu'en faict, Riri n'avait jamais compris qu'Aricie estait enceinte et non grasse. de veiller sur les terres, pères, mères, chairs, savoir-faire mais où allait-il ? de Mondebat, et les progénitures d'ailleurs, ce dans le but de faire prospérer ce fief et d'en faire l'une des grandeurs du Pardiac ?

Et voilà que face à lui, son filleul prenait des teintes roses, et jaunes, et vertes, et mauves, et bordeaux, et noires, et... Riri arqua un sourcil perplexe, attendant la suite et il l'espérait le serment d'allégeance.

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Héraldique européenne
Gildwen_thegen
« Parrain, nous jurons de veiller et entretenir au mieux les biens et gens des terres que vous nous confiez. D'en prendre soin et de les faire prospérer comme s'ils étaient nôtres. » Le ton se fit plus solennel. La voix encore travestie par ce chagrin d'une mère disparue, se révéla au fil des mots prononces plus naturelle. Celle d'un jeune homme de seize années, se forçant à parler pour que chacun puisse l'entendre, et travaillant activement pour que ses aiguë se fasse le plus rare possible. Il savait qu'il en pécherait là en crédibilité.

Le genoux tente une nouvelle fois. Il fléchit, mais ne plie pas. Une grimace feinte anime le visage du Prince, servant une nouvelle fois en excuse à cette rupture de la cérémonie classique. Personne n'en est dupe, mais le prétexte est ainsi trouvé et dévoilé, il peut continuer.
« Pardiac, nous jurons de vous apporter auxilium, par l'aide financière, militaire mais également toute celle qui nous serait demandée ; concilium, vous faisant profiter de la réflexion de notre esprit princier, dans vos questions anodines, politique ou au sein de votre cour de justice ; obsequium jurant logiquement fidélité et obéissance, base de cette relation nouvelle et bien que cela vous soit déjà acquis. » Un légers sourire, simplement, fit son apparition en conclusion. Un regard complice, voulant ainsi remercier de l'honneur fait, alors que rien ne l'y en obligeait. Beaucoup d'autres, en même position, n'en aurait pas fait le début du commencement d'un centième.
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Riwenn


À peine le jeune homme eut-il terminé son allégeance que Riwenn lui emboita le pas.

Et en retour de ton serment, je promets Justiciam, Pacem et Tutelam, ce jusqu'à ce que Deos décide de me rappeler auprès de tes parents.

Le vieux gascon s'approcha alors de son filleul pour le serrer dans ses bras d'une étreinte presque paternelle - non on ne descend pas la main près du postérieur, ce n'est pas une jeune pucelle Riri !!! - avant de s'écarter et de lui sourire.

Qu'elle estait belle, le portrait craché de sa mair ! Mais estait-ce au final Gildwen ou Ida Krimihilda qu'il anoblissait ? La sénilité touchait-elle l'homme ? Il n'en savait trop rien, mais dans le doute, il continua sur sa lancée. Adviendrait que pourrait.


Par cette accolade, je scelle ce cadeau qui t'est faict en ce jorn. C'est un peu une partie de moi qui t'est donnée, ce afin de toujours te savoir près de moi, en bon parrain que je tente d'estre. un signe à son domestique afin qu'il amène la couronne que Riwenn chercha à diverses reprises à attraper, en percevant un trop grand nombre, telles les cercles olympiques, et dont il finit, au bout de nombreuses secondes, par ceindre le front de Gildy.



Gildwen Thegen de Brocéliande, te voilà désormais Senhor de Mondebat !

Ne se doutant aucunement de la source de son trouble, il but une nouvelle gorgée de la divine boisson, pris par la soif. Et d'un sourire à Mélyna, qui avait pris de l'asge d'un coup, pour la remercier une fois encor de son apport alcoolisé, puis à Sakurahime, qu'il voyait nue sous son tabard, ce qui le fit rougir. Au héraut de prendre la parole.

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Héraldique européenne
Sakurahime
Au début elle avait cru mal entendre, mais à bien y réfléchir, elle avait perdu un oeil, pas une oreille...
Une erreur alors?
Le Comte/Duc ne s'était pas repris et semblait aller parfaitement bien, si ce n'est une légère euphorie, comme une ivresse naissante, sauf qu'il était tout sauf rouge, suant ou hagard.

Alors quoi?
Elle lui jeta un rapide coup d'oeil en coin, l'air de dire "non mais tu m'fais quoi Riri là?" mais n'eut pas le temps de dire quoique ce soit - qu'aurait-elle dit de toute façon? - que déjà le filleul breton répondait à son cher tonton.

Il ne semblait pas perturbé par la méprise le prince, bien qu'il eut l'air de préféré qu'on le taxe du genre masculin, et à bien y réfléchir, elle le comprenait, son physique collant avec son genre, malgré sa jeunesse. Et non il ne lui plaisait pas, les gamins, elle s'en passait, mais fallait reconnaitre qu'il ressemblait bien plus à un homme qu'à la plus masculine des femmes!

La suite se fit encore plus étrange, si bien que de sérieux doutes sur l'état mental du vieillard se faisaient jour dans sa caboche, devenait-il sénile? tout cela n'était-il en fait qu'un pseudo testament au lieu d'anoblissements? cela ne pouvait fonctionner ainsi, donc non...
Perdait-il la raison suite à une mauvaise chute? une dispute avec son épouse?
Elle allait lui en toucher deux mots au vioc après après signé le contreseing!

Heureusement, nulle robe ne vint en cadeau après la couronne seigneuriale.
Inconsciemment, elle avait retenu son souffle, prête à voir un tissu chatoyant passer de main en main.

Ahhh attendez!!!
Peut-être s'agissait-il là d'une coutume bretonne? les hommes sont anoblis en tant que femme en hommage à leur mère?
Hmmm non, c'était un peu tiré par les cheveux, même si certaines cicatrices de son corps se réveillait toujours au mot "breton", elle ne les voyait pas se livrer à ce genre de pratiques.

Elle inspira un grand coup et allait entrer en scène à nouveau lorsqu'un frisson la parcouru de la tête aux pieds.
Son regard balaya la salle, à la recherche de la personne qui la scrutait, pour tomber sur le vieil homme couronné et picolant, rouge pivoine, semblant la déshabiller des yeux.

Pour prendre la parole, elle allait la prendre la parole!
Elle se pencha vers lui, histoire de n'être entendu que de son poursuivant - au sens héraldique du terme - pour lui souffler:


Je vous suggère de faire une pause alcool, pour votre santé, avant que je vous fasse démonstration d'un autre de mes talents, et je ne parle pas de ce qui se cache sous mes vêtements, naturellement toujours pour votre santé...


Avant de se relever comme si de rien n'était.


J'entends bien les serments ce jour échangés et dont je suis témoin.
Gildwen Thegen de Brocéliande, dorénavant Seigneur de Mondebat, par ce contreseing et ce blasonnement vous êtes officiellement reconnu par le titre sus-cité. Puissiez vous faire honneur à la Noblesse en général et à votre Suzerain en particulier.

Portez ostensiblement vos couleurs et veillez au Vivre Noblement. Gagez que j'y veillerai personnellement!

Je reste à votre disposition pour toute question et pour l'établissement de votre blason personnel complet si vous le souhaitez.

En attendant, voici le document attestant de votre nouvelle condition, toutes mes félicitations à vous ... Messire!
persifla-t-elle en planta son oeil luisant d'une froide colère dans le regard embué du Pardiac.

Prenez le plus grand soin de ce document.

Citation:
Par la présente, Nous, Sakurahime de Valrochelles-Bergendael, Baronne de Virargues, Héraut de l'Ordre Royal de la Dame Blanche à l'Ecu Vert et Héraut Plénipotentiaire pour l'Armagnac et Comminges, Héraut Plénipotentiaire pour la Gascogne, dicte Blanche, faisons acte de la demande de Messire Riwenn de Castel Vilar de la Duranxie, Duc de Donostiri, Comte de Pardiac, Vicomte de Gimoez et Seigneur de Cazarilh, quant à l'octroi d'une seigneurie se trouvant sur les terres du Comté de Pardiac, Sise au fief nommé Mondebat à Messire Gildwen Thegen de Brocéliande (IG: Gildwen_Thegen).

Après recherches héraldiques dument entérinées, le Fief de Mondebat est bien seigneurie du Comté de Pardiac.

Après consultation d'armoriaux, l'écu se référant à ladicte seigneurie est : Parti, au premier d'or au lion rampant de sable, au second de sable aux trois cordelières d'or en forme de trèfle posées en pal, soit, après dessin :



Aux fins de complément du présent dossier, voici une lettre manuscrite de Messire Riwenn de Castel Vilar de la Duranxie, Comte de Pardiac, attestant de la volonté d'octroi d'une seigneurie à Messire Gildwen Thegen de Brocéliande:

Citation:
De, Nous, Riwenn de Castel Vilar de La Duranxie et Firielle de Castel Vilar, Ducs de Donostiri, Coms de Pardiac, Vescoms de Gimoez, Senhors de Cazarilh,

À Vous, Sakurahime de Valrochelles-Bergendael, Blanche et plénipotentiaire d'Armanhac e Comenge,

Par la présente,

Désirons octroyer les terres de Mondebat, fief vassal de nostre Comtat de Pardiac, à nostre filleul Gildwen Thegen de Brocéliande.

Ce essentiellement en mémoire de sa mair feue nostre vassale mais également parce que nous le savons investi et savons qu'il deviendra un grand homme.

La cérémonie aura lieu en nostre domaine à une date que nous fixerons ensemble.

Faict en Pardiac le XXIII° du mois de Novembre de l'An de Grasce Mil quatre cent soixante



Par notre Scel, actons ce document comme valide et conforme aux règlements Héraldiques et nous engageons à être le témoin Héraldique des serments vassaliques échangés entre l’octroyant et l'octroyé.

Fait le 12e jour du Mois de Décembre de l’an de grasce MCDLX à Paris, en la Chapelle Sainct-Antoine.













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Grand Ecuyer de France
Riwenn


Je vous suggère de faire une pause alcool, pour votre santé, avant que je vous fasse démonstration d'un autre de mes talents, et je ne parle pas de ce qui se cache sous mes vêtements, naturellement toujours pour votre santé...

C'est qu'elle lui aurait faict du charme la borgne !

Se concentrant au mieux sur la cérémonie et laissant ces futilités derrière lui - pour l'instant - il escouta le héraut remettre le contreseing à son filleul, et sourit en le laissant s'éloigner.

Après un léger instant de répis durant lequel il déposa son verre sur le coin du trosne - car ce que femme voulait... Il voulut d'ailleurs tourner son visage vers Sakurahime mais s'en abstint, se rappelant le dernier souvenir qu'il en avait et ne voulant point se faire sauter au coup. C'est qu'il avait du charme ce vieil homme !

Il scruta l'assemblée, à la recherche d'une personne en particulier. Au fur et à mesure qu'il cherchait, les vestements se substituèrent à des peaux, des pilosités. Il s'empourpra légèrement et ferma les paupières pour reprendre une inspiration. À peine eut-il les yeux ouverts que son regard tomba sur la perle qu'il recherchait, une lueur bleue près du banquet - la gourmande ! - au milieu de tous ces corps dénudés. Estrange sensation dénuée de sens.


Mélinda, si tu veux bien approcher... invita-t-il la petite lumière bleutée à venir face à lui.

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Héraldique européenne
Asalais
Blondie débarqua, pis qu'en retard. Il faut dire que ces derniers temps, elle n'était plus au courant de rien alors il ne fallait pas s'étonner qu'elle n'arrive jamais à temps, là où on l'attendait sans qu'elle le sache. Enfin, oui, elle fit du bruit. Comme à son habitude. C'était une jeune femme bruyante, mais pas dans le sens où la majorité l'entend. Bref, elle n'en faisait qu'à sa tête, n'en déplaise à son hrair Titoan.

Petite, elle se fit petite. Son regard vert/noisette embrassa la salle et se posa sur le jeune homme qui faisait face à son pay. Elle ne le connaissait point. De toute évidence, les personnes pour qui elle aurait souhaiter arriver à l'heure ne l'avaient pas attendu. Pourquoi l'auraient ils fait d'ailleurs.

Petite, du moins, elle essayait. Elle se faufila rapidement et prit place... Dans les premiers rang. Elle était en retard, cependant, elle restait la fille de son pay, elle restait la fille de Riwenn. Qu'il en déplaise, elle serait dans les premiers rangs. Gaiement, elle fit signe à son paternel. Oui oui, elle était là, elle était venue. Elle lui offrit un sourire ravissant, celui qu'elle lui donnait de bon coeur depuis sa plus tendre enfance. Celui qui disait « j'ai fais une connerie, mais je sais que tu me pardonneras parce que je t'aime ». Il fonctionnait toujours. Elle apprenait à se battre, épée en main mais son sourire lui, elle avait toujours su le manier. Elle sourit aussi au jeune homme. Après tout, c'était sa cérémonie qu'elle dérangeait, même si son tour semblait être passé. Quelques minutes plus tôt et peut être ne lui aurait il jamais pardonné, cet inconnu.

Enfin, radieuse elle observa tout le monde, lançant des coucous par ci, des coucous par là. Oui, elle était en retard mais finalement, elle ne se faisait pas si petite que cela.
Lycinia
Le regard tournant de droite à gauche se posant sur quelques invités puis divaguant vers le buffet... Voyons, il y a t'il quelque chose la dedans qui a bon gout tout en excluant le moindre risque de se tacher.

Voilà qui est pas mal, hop de quoi faire cesser ces gargouillements d'estomac.

Il faudrait cependant veiller à ne pas se retrouver en train de taper dans le buffet lorsque ce sera ...


Citation:
Mélinda, si tu veux bien approcher...


A moi...

Petit instant de réflexion alors que quelques visages se tournent vers elle, il faudrait un petit coup de pouce divin pour que personne ne remarque qu'elle à la bouche pleine, un miracle comme par exemple quelqu'un qui se mettrait à hurler au bout de la salle...

Ou comme une blonde qui rentre précisément à ce moment là. Mélinda avait soudain beaucoup plus d'affection envers cette charmante porte grinçante, profitant de la diversion pour avaler ses dernières gourmandises, un petit regard au ciel "merci vieux, j'te revaudrais ça."

Mélinda s'avance donc vers Riwenn et pose le genoux à terre en lui adressant un petit sourire discret.


Je suis là votre Grandeur. Votre grandeur, encore plus vu d'ici.
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Riwenn


C'est qu'elle commençait bien la petite. Pas la petite fille qui venait d'entrer et que l'homme reconnut parfaictement, de par entre autres son expression faciale, et qu'il salua d'un sourire paternel, mais l'autre petite, la cousine de Warthe, qui s'estait avançait en s'éloigant du buffet. La gourmande. D'ailleurs, soit elle avait rapetissé soit Riwenn avait grandi. Il la voyait si petite. Plus petite qu'une naine encor. Sa voix semblait venir de si loin.

Le vieil homme plissa les yeux et se dict qu'il devait agir, et qu'il résoudrait ses problèmes de vue par la suite.


Mélinda de Rochechard. Je porte ta famille dans mon cœur. J'ai d'abord connu ton cousin, Roy du Moignon petit rire mon filleul. Et j'ai appris à apprécier cette famille. Jusqu'à toi. J'ai connu tes grandes heures au sein de la cancelleria* gasconne, entre autres. Et parce que je te pense de confiance et que je te sais de bon conseil et de bon aide, j'aimerais que tu acceptes ce jorn de devenir totalement ma femme.

Tout cela portait à confusion, mais c'est ainsi qu'une cérémonie devait avoir lieu, et Riwenn s'en moquait, pour ne pas dire qu'il n'avait pas pensé une seule seconde à l’ambiguïté de ses propos.


*chancellerie

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Héraldique européenne
Chantalia
Cuicui de Rochechard arrivait échevelée d'avoir courru pour arriver à temps....

Elle jeta son manteau au nez du valet qui traînait là, et entra dans la salle, cherchant sa fille Melinda des yeux. Et elle était là, de plus en plus ravissante et fraîche comme la rosée du matin.

Elle aperçut Riwenn et lui fit un signe de tête
Lycinia
Mélinda écoutait attentivement les mots de Riwenn, non sans remarquer que celui-ci peinait à la regarder, il est une chose bien triste de perdre la vue de façon aussi flagrante Elle n'en serait que rassurée si elle savait d'ou venait réellement ces troubles de la vue.

Quand à elle ça n'étais pas par trouble de la vue qu'elle n'eu pas aperçu sa mère qui venait d'entrer mais bien parce que celle-ci se trouvait alors dans son dos, sa joie n'en sera que plus grande en se retournant de reconnaître un visage si familier.

Mélinda écoutais maintenant les mots de Riwenn, souriante lorsque celui-ci énuméra brièvement son penchant pour la diplomatie.


Oui... mes grandes heures au sein de la chancellerie, et j'espère qu'il y en aura d'autres par le futur, peut être ou peut être pas en Gascogne mais il est sur que j'aspire encore à me mettre au service d'une province qui envisagera les conflits autrement que par un bain de sang.

Quoi qu'il en soit cette confiance est pour moi un grand honneur et c'est évidement sans hésiter que j'accepte de devenir votre femme et promet auxilium consilium et obsequium.


Petit regard vers Savaric son compagnon qui manque de s’étouffer avec son verre de vin en entendant cela. Mélinda retint son rire comme elle pu.

Retour au sérieux.


Je n'oublie pas la confiance qui m'a été accordée icelieu. Je ferai tout pour que vous ne le regrettiez pas, sachez que vous pouvez compter, et ce peut importe la situation sur moi, mes mots et mes armes.

Mélinda lui sourit cette fois-ci de façon un peu moins solennelle, emplit de cette lueur qui lui est parfois associée, ce sourire sincère qui ne cache rien d'autre qu'une profonde amitié.
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Riwenn


Avant que Mélinda eut le temps de respondre, la porte grinça. Sa mair estait entrée, ce qui ravit Riwenn qui lui sourit, bien qu'il eut à peine le temps de la reconnoistre que sa teste se changea en icelle d'une colombe...Cuicui portait tout son nom. Le sourcil arqué, le vieil homme reporta son attention sur la jeune Rochechard.

En retour de ce serment, je te promets Justiciam, Pacem et Tutelam, ce jusqu'à ce que Deos en est terminé avec ma vie terrestre.

Le vieux gascon s'approcha alors de son amie et lui donna un baiser sur la bouche - pas avec la langue hein ! - Savaric en serait certainement jaloux, mais il est des choses qu'un souverain puit se permettre, surtout lorsqu'il s'agit d'un anoblissement.

Par ce baiser, je scelle l'union vassalique qui nous lie désormais. un signe à Amaniù afin que le diadème lui soit porté. Diadème qu'il vit bien plus gros que la toute petite teste de Mélinda. Cependant, il n'hésita pas à la ceindre, quitte à ce que sa teste passe au travers.



Mélinda de Rochechard, te voilà désormais Dauna d'Aux !

Il sourit, la couronne avait rétréci et s'estait adaptée à la diplomate.

Sache faire prospérer et grandir ces terres et leurs habitants afin qu'y puisse se refléter la grandeur de Pardiac.

Et sans vraiment se tourner, il attendit que Sakura prenne la parole. Non sans se demander si Mél allait dire quelque chose auparavant.

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Héraldique européenne
Sakurahime
Décidément, cette cérémonie resterait dans les annales.
Bien que déjà marié, le vieux Coms avait prétendu vouloir s'unir à elle, sur le ton de la plaisanterie bien entendu, les momies très peu pour elle, et maintenant, il demandait à sa future vassale de devenir sa femme.

Si le sens pouvait fort bien s'entendre héraldiquement parlant, le caractère tendancieux de ses propos avait de quoi heurter, surtout après avoir été déshabillée du regard.

Non vraiment, le vieux ne se sentait pas bien, mais pas de quoi stopper la cérémonie.
Elle jeta un coup d'oeil à la foule... N'y avait-il qu'elle qui s'inquiétait où bien le vieux était-il finalement si connu pour ses excentricités en milieu familial et amical que personne ne s'en formalisait?

Haussant imperceptiblement les épaules, elle décida d'en faire autant, peu désireuse de se faire remarquer outre mesure que son office ne le lui imposait.

Les échanges sacramentels étant valides, ne lui restait plus qu'à jouer les perroquets, à peu de choses près, et à officialiser tout cela:


J'entends bien les serments ce jour échangés et dont je suis témoin.
Meliinda de Rochechard, dorénavant Dame d'Aux, par ce contreseing et ce blasonnement vous êtes officiellement reconnue par le titre sus-cité. Puissiez vous faire honneur à la Noblesse en général et à votre Suzerain en particulier.

Portez ostensiblement vos couleurs et veillez au Vivre Noblement. Gagez que j'y veillerai personnellement!

Je reste à votre disposition pour toute question et pour l'établissement de votre blason personnel complet si vous le souhaitez.

En attendant, voici le document attestant de votre nouvelle condition, toutes mes félicitations à vous.


Citation:
Par la présente, Nous, Sakurahime de Valrochelles-Bergendael, Baronne de Virargues, Héraut de l'Ordre Royal de la Dame Blanche à l'Ecu Vert et Héraut Plénipotentiaire pour l'Armagnac et Comminges, Héraut Plénipotentiaire pour la Gascogne, dicte Blanche, faisons acte de la demande de Messire Riwenn de Castel Vilar de la Duranxie, Duc de Donostiri, Comte de Pardiac, Vicomte de Gimoez et Seigneur de Cazarilh, quant à l'octroi d'une seigneurie se trouvant sur les terres du Comté de Pardiac, Sise au fief nommé Aux à Dame Meliinda de Rochechard.

Après recherches héraldiques dument entérinées, le Fief d'Aux est bien seigneurie du Comté de Pardiac.

Après consultation d'armoriaux, l'écu se référant à ladicte seigneurie est : D'or, au hêtre arraché au naturel, accosté de deux clés affrontées de sable, au chef d'azur chargé d'une branche de chêne d'or englanté d'argent., soit, après dessin :



Aux fins de complément du présent dossier, voici une lettre manuscrite de Messire Riwenn de Castel Vilar de la Duranxie, Comte de Pardiac, attestant de la volonté d'octroi d'une seigneurie à Dame Meliinda de Rochechard:

Citation:
De, Nous, Riwenn de Castel Vilar de La Duranxie et Firielle de Castel Vilar, Ducs de Donostiri, Coms de Pardiac, Vescoms de Gimoez, Senhors de Cazarilh,

À Vous, Sakurahime de Valrochelles-Bergendael, Blanche et plénipotentiaire d'Armanhac e Comenge,


Par la présente,

Désirons octroyer les terres de Aux, fief vassal de nostre Comtat de Pardiac, à nostre amie Meliinda de Rochechard.

Ce pour le travail que je lui connois et pour l'amitié qui nous unit depuis tant d'années, relation qui ne sera que renforcée par un lien de vassalité.

La cérémonie aura lieu en nostre domaine à une date que nous fixerons ensemble.


Faict en Pardiac le XI° du mois de Décembre de l'An de Grasce Mil quatre cent soixante




Par notre Scel, actons ce document comme valide et conforme aux règlements Héraldiques et nous engageons à être le témoin Héraldique des serments vassaliques échangés entre l’octroyant et l'octroyé.

Fait le 12e jour du Mois de Décembre de l’an de grasce MCDLX à Paris, en la Chapelle Sainct-Antoine.














Allez, au suivant....
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Grand Ecuyer de France
Lycinia
Voilà ça y est elle était dame. Du moins elle était dame en CDD... En quoi? peut importe.

C'est pour moi un honneur, je saurais me souvenir de ce que j'ai jurée et tâcherais de toujours faire honneur à la noblesse si bien par mes dires que par mes agissements.


c'est très très pauvre et je m'en excuse, je dois réviser quelques examens et je post juste pour ne pas bloquer le topic, je remettrais ça en forme avec un joli RP au plus vite =) .

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Riwenn


Le Coms de Pardiac escouta les mots de sa nouvelle vassale et sourit, la laissant reprendre sa place près du buffet.

La cérémonie touchait à sa fin, mais le vieil homme avait remarqué en arrivant une chose inhabituelle et il voulait en parler à la concernée, ceci avant d'aller saluer Alizee et sa sòr qui allaient partir en voyage.

Il se leva donc de son trosne, main dans le dos, et parcourut les yeux de la salle. Jusqu'à ce qu'il trouve qui il voulait trouver. Direction droit devant. Elle estait là.


Adishatz Emylye la salua-t-il imaginant que Sakurahime l'aurait suivi et ne sachant pas si les gens le suivaient ou non du regard, les ayant évités du regard à dire vrai, nus qu'ils estaient. Je suis désolé de vous dire cela mais je crois avoir remarqué à vostre entrée une chose qui clochait avec vos chausses. Il baissa les yeux et ajouta Regardez....là...au niveau du talon droit. C'est...quelque chose de....bizarre....estrange....

C'estait tellement petit qu'il fallait se baisser pour le voir, mais Riw, lui, avait une vision de lynx, ce malgré la vieillesse.

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Héraldique européenne
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