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[RP] Une promesse à tenir

Fanch.
Le chauve était en Guyenne depuis quelques temps déjà, il était arrivé avec sa femme et ses enfants.
Lors des différents échanges de courrier qu'il avait eu avec Alenyah, il lui avait promis de lui apprendre les bases du maniement de l'épée.

La Chancelière était bien occupée avec les évènements récents qui secouaient le royaume.
Il avait donc décidé d'inviter sa fille à s’exercer avec eux.

Certes, les exercices ne seront pas les mêmes mais au moins la petite Maélys pourrait se défendre un petit peu, il lui apprendrait les points faibles de hommes.

Ils avaient décider de faire ça à la Chancellerie, Fanch était donc venu avec deux épées émoussées et une épée en bois.


Sa fille était à coté de lui, le chauve lui dit quelques mots.

Ma petite chérie, tu vas rester la bien sagement, tiens prends ça.

Il lui tendit la petite épée en bois, taillée pour son gabarie et pour éviter qu'elle ne se blesse.

Tu vois il faut que j'installe ce que j'ai emmené dans la charrette.

Il sortie la botte de foin, le tissus, des piquets et hop il fabriquât le petit mannequin pour la jeune fille.

Il planta un piquet et y accrocha le mannequin, il ressemblait vaguement à un être humain, avec de la paille qui lui sort de chaque bras.

Il revient donc vers la gamine de 5 ans et lui dit.


Alors tu vois, tu vas prendre ton épée et tu tape de toute tes forces sur l'épouvantail que j'ai fabriqué pour toi.

Puis il lui montra l'entre jambe de ce dernier.

Et surtout, il faut que tu apprennes à taper la, aussi fort que possible.
Les méchants monsieur ont très mal quand on leur tape la alors s'ils sont méchants avec toi, tu tape comme ça.


Il prend son épée d'entrainement et lui montre un coup d'estoc dans les parties intimes du mannequin.
Il s'arrête juste avant pour pas abîmer son oeuvre qu'il a mit tant de temps à préparer.


Allez vas-y à toi maintenant, je te regarde.
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Maelys_
Son papa lui avait promis. Il lui montrerait comment se battre, et elle en était ravie. Sa maman l'était beaucoup moins. Elle était diplomate et n'aimait pas la violence. Mais elle s'était dit qu'après tout, c'était important que sa fille puisse se défendre au cas où.

La petite famille venait de revenir en Guyenne. Maélys en était toute contente, elle adorait ce duché, là où elle avait grandit. Son papa devait apprendre à une Dame à se battre avec une épée, et il avait demandé l'avis de Lau pour qu'il puisse l'apprendre à Maélys en même temps. La maman avait hésité et avait finalement dit oui. La petite en sautillait de joie.

Le jour J était arrivé. L'entrainement allait commencer. Ils s'étaient tous deux dirigés vers la chancellerie et attendirent la chancelière.

La petite regarda son papa en souriant. Elle prit l'épée et fit un signe de tête.


Oui papa, j'attends là.

Elle était tout émerveillée avec l'épée en bois que son papa lui avait fabriqué. Elle joua un petit peu avec, et regarda son papa mettre en place des bottes de foins, des tissus, des piquets et toussah ... Elle sourit. Pour elle tout ça n'était qu'un jeu, pour le moment, et elle trouvait ça plutôt rigolo. Son père revint vers elle, elle l'écouta attentivement en souriant. Elle serra l'épée bien fort, regard concentré sur le mannequin, et regarda son papa faire. Elle fronça doucement les sourcils, plissa les yeux en direction du mannequin, serra encore plus l'épée et bim elle donna un coup à l'entrejambe du mannequin.

Méssant monsieur !!!! Suis plus forte que toi d'abord !!! T'as vu Papa, suis forte hein ?? Ze lui ai fait mal !!!

Elle donna plusieurs coups avant de se retourner vers son père. Elle se demanda l'effet que cela pouvait produire sur un vrai homme. Alors sans vraiment réfléchir, elle donna un coup à l'entrejambe de Fanch. Mais n'arrivant pas à mesurer sa force, le coup fut léger ...
Fanch.
La petite se débrouillait pas mal, un coup par ci un coup par la.

Le mannequin n'allait pas s'en sortir.


Méssant monsieur !!!! Suis plus forte que toi d'abord !!! T'as vu Papa, suis forte hein ?? Ze lui ai fait mal !!!

Et l'Amiral se mit à sourire en voyant sa fille débordant d'énergie et frapper avec tant de vigueur.
Et d'un coup, la petite se retourna vers lui et lui donna un coup dans les valseuses.

Le coup fut léger mais la partie est sensible donc il décida d'accentuer un peut la gravité de la blessure.

Il lacha donc son épée qu'il tenait en main et se mit à hurler.


Whouaaaaaaaa

Il se roula en boule sur le sol tout en hurlant de douleur.

Mais qui est cette petite guerrière, elle tape fort pour son age, je suis battu, ne me fait plus mal!!
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Maelys_
Maélys vit son père lâcher son épée et se rouler en boule sur le sol, hurlant de douleur. La petite était limite sous le choc. Elle eut quelques secondes sans bouger, le voyant faire avec de grands yeux. Elle ne savait pas s'il avait vraiment mal ou si c'était pour de faux. S'il avait eu mal, c'est que le coup était réussi, si c'était pour de faux, il imitait bien la douleur. Dans les deux, c'était amusant. Elle se mit donc à exploser de rire.

Ahah suis plus forte que toi Papa !!!!

Ze peut recommencer ???
Alenyah
Les jardins de la chancellerie, même s'ils n'étaient encore qu'à l'état d'ébauche - entendez vastes terrains herbeux - avaient cela de pratique d'être calmes et peu fréquentés en cette saison, mais en plus, ils reliaient le Château guyennois, le Pavillon Jean des Vignes s et la Chancellerie, proposant ainsi un bol d'air frais entre deux réunions pour les conseillers et autres personnages importants ou non, qui se rendaient de l'un à l'autre.
L'autre avantage considérable, du moins pour une brune qui maniait l'épée comme une poêle à frire, c'était de pouvoir exercer ses talents à l'abri des regards indiscrets ou moqueurs ... Et pour éviter tout risque, la brune n'avait prévenu personne de ce qui se tramait dans ce coin reculé du parc, invisible depuis les trois bâtiments.

Entre deux réunions au sommet, Alenyah prit son courage à deux mains et se rendit à l'endroit désigné. Elle avait appris pas mal de choses au sujet des armées depuis quelques temps, mais jamais encore, elle n'avait du se battre. Elle n'était pas tentée de le faire, préférant de loin le calme des salons diplomatiques au fracas des hommes hurlants comme des bêtes, lancés à l'assaut d'un ennemi aussi inconnu qu'improbable. En gros, dans son esprit, taper sur un inconnu à grand renfort de fer blanc après avoir été abreuvé de propos belliqueux, ce n'était pas à proprement parlé un exploit ... cela lui semblait même aussi ridicule que bestial. Elle, elle préférait les batailles en tête à tête, le poids des mots, le choc des idées.

En approchant, elle distingua la silhouette massive de l'amiral, mais également une autre, plus fluette. Elle s'approcha discrètement tout en tendant l'oreille, amusée par les propos qui lui parvenaient et par la détermination de la petite fille à vaincre son père. Soudain, Fanch s'effondra et se roula dans l'herbe en hurlant. Alenyah s'approcha alors de la petite fille, toute fière de sa réussite et l'interpella.

Mais !?! Jeune fille ?! N'est ce pas là l'amiral de Guyenne que vous venez de terrasser ?


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Maelys_
Son papa n'avait pas encore eu le temps de se relever quand une dame fit son apparition. Maélys ne la connaissait pas, mais elle lui paraissait gentille. C'était certainement la Dame que son papa devait entrainer. Elle lui sourit, toute fière d'elle et lui répondit :

Si ze l'ai battu !! Ze suis plus forte que mon papa !! Mais ze crois qu'il veut pas que ze recommence ...

Puis elle regarda son père.

Hein papa, tu veux pas que ze recommence ??
Fanch.
Et voilà l'Amiral en drôle de posture avec la Chancelière à la regarder se rouler par terre.

Il se releva doucement.


Arf je suis désolé Votre Excellence, je commençais un peu à entraîné ma fille!

Puis un petit regarde bienveillant sur sa fille.

Toi ma petite, tu vas aller t’entraîner contre le mannequin et moi je vais m'occuper de la Chancelière.
Non tu ne me tapera plus la, ce n'est que pour les méchants monsieur d'accord?
Et quand tu en as marre, tu reviens nous voir, tu apprendras aussi en regardant.


Et de se tourner de nouveau vers la Chancelière.

Et bien à nous Votre Excellence, j'ai pris une épée émoussée pour vous aussi.
Histoire d'éviter que vous me blessiez par mégarde.


Et un petit sourire tout en l'invitant du bras à la devancer pour s'écarter un peu de sa fille.
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Alenyah
La chancelière jeta un regard amusé, à la gamine d'abord, puis à l'amiral-ambassadeur.

Cette jeune fille suit les traces de son père... ça promet ! Oh pas d'Excellence ici, hein Excellence. Parce que sur ce terrain, j'ai peur d'avoir à inverser les rôles et je vous avoue que ça ne me tente pas.

Toujours taquine envers ses subalternes, qu'elle considérait d'ailleurs comme ses égaux, la brune partit d'un grand éclat de rire.

Fanch lui fit ensuite part de ses projets et du fait qu'il lui destinait une épée émoussée. La jeune femme songea un instant à la lame de qualité qui lui avait été offerte près d'un an auparavant. Celle-ci trônait à présent dans son bureau d'abord parce qu'il s'agissait d'une arme de grande qualité mais aussi parce qu'elle avait bien trop peur de ne pas savoir s'en servir et de l'abîmer. Autant elle avait déjà eu à se défendre contre des brigands à l'aide d'une dague, qu'elle manipulait d'ailleurs avec agilité, autant la longueur de la lame de l'épée lui semblait un obstacle majeur. Question de dextérité sans doute à laquelle son instructeur allait devoir palier.

Elle considéra l'amiral tout en écoutant ses dires et songea qu'elle serait bien capable de le blesser même avec une épée émoussée.

Je vous remercie pour la confiance que vous me témoignez, Amiral. Franchement je manie aussi bien l'épée que la poêle à frire... Et pour tout vous dire, ce n'est pas moi qui cuisine à la maison ... ça laisse songeur hein...

Bon sur ce... allons-y pour la première leçon ...



_________________
Maelys_
La petite fit une moue triste en entendant son père. Ne plus le frapper n'était pas un problème, mais elle n'avait pas envie de s'entrainer toute seule. Et surtout ... elle voulait passer du temps avec son papa. Des le début elle savait qu'il devait entrainer une Dame, mais une petite fille veut avoir son papa pour elle toute seule. Mais tant pis, après tout pourquoi pas s'entrainer et s'acharner contre un mannequin. Cela peut être rigolo !

D'accord Papa.

Avant de filer vers le fameux mannequin, elle alla enlacer la jambe de son père en souriant. Elle l'adorait son Papa, même si elle savait que c'était pas vraiment le sien, du moins pas par le sang. Mais elle s'en fichait, il prenait soin d'elle, de Tom et de sa maman et c'était tout ce qui comptait.

Elle se rapprocha donc du mannequin rempli de paille et lui donna un grand coup d'épée au niveau du ventre et elle lui tira la langue.


Bien fait !
Fanch.
Le chauve fit un sourire chaleureux à sa gamine.
Elle se jeta dans ses jambes et le soldat se senti heureux avec cette petite, sa fille.
Il la regarda partir et taper sur le pauvre mannequin puis il revint à la Chancelière.


Donc allons-y.

Déjà commençons par le début.


Une petit pause, l'épée d'entrainement sur l'épaule tout en la tenant par la poignée.

Alors comment devez-vous tenir votre épée? Tenez et montrez-moi comment vous vous débrouillez.

Et le voilà qui lui donne l'épée, enfin lui donne, il fait semblant de lui donner et la laisse tomber exprès par terre.

Oh pardon, ramassez la et montrez moi comment ça se tient.

Oh non, il était redevenu méchant, il n'attendait qu'une chose, c'est qu'elle se penche en avant pour récupérer cette épée et lui balancer soit un coup de botte soit un coup du plat de l'épée sur son arrière train pour la faire basculer.
C'était son premier test.

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Alenyah
Mouais ... sourcil arqué, la brune jette un coup d'oeil sceptique à l'amiral. C'est qu'il a l'air de croire qu'elle n'a jamais tenu une épée de sa vie. Et c'est là qu'il se trompe lourdement car même si la pratique date un peu et que la technique a besoin d'être révisée, rafraîchie et revisitée, la brune s'est déjà battue . Ramasser une lame au sol, c'est le test basique et elle ne va pas se laisser prendre au piège ni lui offrir le plaisir de lui filer un coup de pied au derrière, nomeho !

Sans quitter Fanch des yeux, Alenyah se met alors face à lui, le traitant d'un seul coup comme un ennemi. Elle fléchit lentement les jambes jusqu'à ce que sa main touche le sol. Du bout des doigts elle cherche l'arme posée au sol et plus particulièrement sa fusée dont elle a approximativement repéré l'emplacement peu avant. Lorsqu'enfin ses doigts touchent le cuir, elle s'assure d'un coup d'oeil rapide qu'il s'agit bien de la poignée de l'arme et la saisit fermement tout en se redressant, l'air plus menaçant. Elle se met alors en garde, un pied en avant, l'autre en arrière, la lame relevée et tenue à deux mains face à son adversaire. Alors, un léger sourire amusé vient s'afficher sur le visage de la chancelière


Désolée de vous décevoir, Fanch... j'avais déjà eu droit à cette première leçon ....

Fanch.
Et voilà le chauve qui sourit, satisfait.

Très bien, vous avez parfaitement réagit, il ne faut jamais quitter son adversaire des yeux.
Même dans un combat amical, il faut considérer son adversaire comme un ennemi et le combat comme si votre vie en dépendait.


Il tourna autour d'elle, les mains dans le dos avec son épée d'entrainement entre ses deux mains.

C'est parfait tout ça.
Il faut bien que vous fassiez attention à toujours être stable.

Votre épée est une lame que l'on tient à une main normalement, mais vu la taille des votre, vous pouvez toujours y mettre les deux.


Il continua de tourner au tour de la jeune femme.
Il la regardait sous toutes les coutures.
Puis il se place à coté d'elle pour la regarder.


Regardez devant vous et fendez l'air de haut en bas et de droite à gauche.

Il lui montra le geste avec sa propre lame.
_________________
Maelys_
Tiens prends ça !

Et hop, encore un coup d'épée dans le ventre du mannequin en paille. La petite prenait très au sérieux cet entrainement. Mais en même temps, cela la faisait bien rire. Et puis elle se défoulait aussi surtout.

C'est moi la plus forte !!

Cette fois, un coup d'épée dans la tête. C'est qu'elle visait bien la petite. Un vrai petit soldat, comme son papa. Elle regarda le mannequin qu'elle avait totalement dépouillé avec tous ses coups d'épée. Elle était satisfaite d'elle. Elle tourna la tête vers son papa et la Dame et les regarda faire. Son père était en train de lui montrer un mouvement avec l'épée. La petite se rapprocha pour mieux regarder et imita le geste de son père.
Huissier


Un petit pipi derrière les buissons dans le jardin car il avait toujours pas nettoyé les latrines.
Quelques gouttes dans les braies, comme d'habitude, de toute façon l'huissier s'en foutait, l'hygiène ça sert à rien, en plus il lui faudrait une femme pour aller au lavoir et nettoyer ses vêtements, c'est pas un boulot de mec.

Une fois sorti de son buisson, il entendit du bruit, curieux, il se dirige vers la source mais à ce moment la, ça le gêne, un mickey, oui un gros mickey.
Il part donc à la chasse, insertion de son index dans sa narine droite, trop épais, il le chope pas.
Au tour de l'auriculaire, plus petit, il y arrive, il sort sa proie et le regarde avec étonnement et se dit pour lui même.


Ah oui quand même.

Manger, pas manger, arf non pas cette fois, et il le jette par terre, ca colle au doigt, pas facile.

Et la, c'est le drame, la source du bruit c'était quoi, une gamine, la chef et le chauve.
Vu pas vu, il savait pas, il resta la, devant eux, figé pendant plusieurs secondes à ne pas savoir quoi faire.
Maelys_
Alors qu'elle était en train d'admirer son papa avec son épée et qu'elle essayait de faire pareil, Maélys entendit du bruit qui provenait des buissons. Curieuse de nature, elle se déconcentra de son père pour regarder vers les buissons. Et la, elle vit un homme, qu'elle ne connaissait pas, en train de se reculotter et la seconde suivante, elle le vit en train d'insérer un de ses doigts dans sa narine, puis un autre doigt. Il admira ce qu'il avait réussi à en ressortir, Maélys en était bouche bée. Ses parents lui avaient toujours interdit de mettre les doigts dans son nez. La bouche grande ouverte en train de le regarder, il leva les yeux sur elle et sur son Papa et Alenyah.

Berk c'est dégoûtant !!!!!!!

Puis elle alla tirer sur la manche de son père.

Papaaaaaaaa !!! Le Monsieur il a mis son doigt dans son nez !!! C'est dégoûtant !!!

Comme ça, L'huissier était grillé, il pouvait pas fuir, il n'avait plus qu'à assumer ce qu'il avait fait.
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