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[RP] Eglise Notre-Dame de St-Bertrand-de-Comminges

Silence
Silence courait dans le village à sa rechercher.... Ou était elle!
Le salut de son âme... C'était le seul moyen de la calmer... Ou était elle! Ou était elle cette fichue église!

Elle ne se souvenait pas être allée à l'église avec son maître, mais sa famille y allait souvent. Elle ne comprenait pas le sens de ce mot: la foi, évidement. Mais lorsqu'elle grandit, elle en eue besoin. Et l'endroit était pour elle un sanctuaire ou rien ne pouvait la trahir. Croire était devenu un besoin. Car elle était seule. Elle l'avait toujours été depuis que sa famille n'était devenue qu'un souvenir...

A présent elle avait de sentiments, des nausées de sentiments embarquaient à bord du bateau de son âme et elle ne savait qu'en faire. Dans un premier temps, elle essaya de les rejeter, jugeant ceux ci comme néfastes à sa vie. Mais elle n'avait plus de but. Elle errait comme un fantôme. Et voilà qu'elle avait trouvé un village, et puis tous ces gens...
Elle n'avait pas l'habitude de parler. Et l'un d'entre eux avait même réussis à la faire être... autre chose...

Ça ne sert à rien de communiquer.... Le travail ne peut pas être fait... Mais elle n'avait plus de travail. Si tuer était un métier... parler à tous ces gens... Alors qu'avant, elle ne faisait que voir un visage pendant à peine quelques secondes tout au plus. Son maître prenait bien soin de lui interdire de regarder sa cible dans les yeux. Elle avait même apprit à se battre les yeux bandés.

Mais il ne lui avait jamais appris à se battre avec les mots... Si son maître était là il l'aurait battue pour s'être autant frotté aux autres... Si son maître était là.
De sa voix innocente elle lui demanda pourquoi, pourquoi maître? Pourquoi êtes vous partis? Ou est mon âme? Pourquoi ne m'avez vous pas emmené avec vous?

Elle aurait préféré qu'il la tue, c'était comme cela qu'on faisait. Mais elle était là. En vie...
Il la laissais seule avec une nouvelle épreuve, peut-être la plus dure de toute...

L'épreuve de la liberté.

Elle n'étais plus un assassin... Devait elle louer ses services à un nouveau maître?
Est-ce que si elle continuais de parler aux autres ils allaient l'accepter?
Est-ce qu'elle allait réussir à ne tuer personne?.... Elle en était capable. Une épée, une dague, un cailloux aiguisé... Même à mains nue.
Mais elle ne pouvait se canaliser. Ses sentiments... Ils ne voudraient pas partir. Elle avait peur de ne plus se contrôler, d'être un danger.

Si Sainjust avait raison, elle ne trouverai pas la paix dans un nouveau maître puisqu'elle ne devait compter que sur elle même...
Et il avait raison. La servitude, elle le savait, n'était que poison.
Le suicide était inadmissible pour un soldat.
Que lui restait il?
La lutte? Comment lutte on contre ceci? Et.... Contre quoi luttait elle?

Elle trouva l'édifice. Grand. Lugubre et rassurant. Silence poussa la porte et écouta attentivement tous les bruits, ne la referma pas. Elle avança sans faire de bruit... Elle se recroquevilla quelque part puis fini par s'allonger, et s'endormit. Elle avait réussit à vider ses pensées. Enfin, la paix. Combien de temps encore pourrait elle contenir ce feu intérieur?...
Kachina
La porte laissée ouverte invitait à entrer. Kachi pénétra dans l'église. Besoin de solitude ce matin.
De s'asseoir là, de regarder la lumière que diffusaient les vitraux, les pierres froides et grises et ces cierges qui brillaient dans la pénombre.

Ecouter le silence, sentir le calme l'envahir. Oublier un instant ce vide en elle, depuis qu'il était parti.

Assise sur un banc, les mains posées sur ses genoux, elle laissait ses yeux se poser sur les statues , les tableaux.
Tout en haut, un couple d'hirondelles avait élu domicile.
Un rayon de lumière entrait par la porte restée entrouverte.

Le silence.....................La paix..................

Et puis , soudain, autre chose.

La sensation qu'elle n'était pas seule, un léger mouvement là bas sur le côté gauche. Un souffle, une respiration .

Kachi se leva d'un bond, se dirigea par là bas , et découvrit Silence, recroquevillée sur un banc, endormie sans même la moindre courtine sur elle.
Kachi posa doucement la main sur le bras de la jeune fille .


- Silence ? Qu'est ce que tu fais là ? Tu n'as pas d'autre endroit où te reposer ?
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Silence
Silence dormait profondément sur le banc. Cela faisait plusieurs jours qu'elle dormait dans l'église, trouvant le calme d'un apaisement divin.
Elle rêvait de l'herbe sous ses pieds, de sa famille et des animaux dans la ferme, ses yeux semblaient bouger dans son rêve. Elle n'avait pas connu ce calme depuis plusieurs semaines. Ce dernier était trop embrumé dans des cauchemars sans fin, répétitif comme une mélodie.

Elle s'éveilla lentement alors qu'une main l'avait touchée.

-Silence? Qu'est ce que tu fais là? Tu n'as pas d'autre endroit ou te reposer?

Elle écouta la voix et le souffle qui 'accordait avec. Elle tentait de déterminer la position de la personne qui lui parlait. C'était une femme. Elle ne semblait pas offensive pourtant...

Gardant les yeux fermés comme lui avait apprit son maitre et lorsque son cerveau fut en alerte, elle se dégagea vivement, se cognant la jambe droite en se retournant pour se mettre sur le banc de derrière, faisant face à la personne l'ayant touchée, en posture défensive.
Elle pu mieux fixer son adversaire, et, reconnaissant Kachina, se redressa en abandonnant sa posture, mais le regard toujours sur la défensive.
Les rayons du soleil qui apparaissaient dans l'église laissaient voir une très jeune fille, debout sur le banc, à l'allure poussiéreuse et sale. Vêtue de haillons, ses cheveux collaient à moitié et elle était maigre à la limite de la beauté. Pourtant cet état pitoyable renforçait la puissance de son regard déterminé, pourtant si perdu à l'intérieur.
Il semblait briller d'un feu intérieur, mêlé à une douleur beaucoup trop large pour une si jeune fille.
Ses haillons formaient un méli mélo de tissus entassés sur sa frêle carcasse, elle ressemblait à une poupée abimée, qu'on aurait laissé trop longtemps dans un grenier. Sa peau, si elle était lavée, serait sans doute très pâle et lumineuse au vu des rayons du soleil frappant sa joue droite. Sa bouche aurait eue la douceur d'un pétale de rose si elle n'était pas couverte de gerçures et ses yeux auraient pu être rieurs. Ses jambes tremblaient sous la fatigue et l'épuisement de ses ressources corporelles. Pourtant elle restait fière et digne. Elle ne bougea pas et fixa Kachina dont les mots résonnaient à l'intérieur d'elle même. Elle fit un effort considérable pour répondre quelque chose, les mots refusant de sortir pour une raison qu'elle ignorait encore.

-Je ne veux pas dormir ailleurs, parce que je n'ai pas mal ici.

Sa voix avait été claire, presque sans hésitation. Elle ne mentait pas, ses nombreux cauchemars généraient une intense douleur physique dont elle réussissait à se débarrasser après une rage folle et plusieurs hématomes et coupures.
Elle se calme un peu, relâchant la tension qui coulait dans ses veines et attendit, un peu gênée, que Kachina dise quelque chose, elle la suppliait même intérieurement, car ses mots à elle ne valaient rien, elle-même ne valait plus rien, elle le savait.
Kachina
La toute jeune flle se réveilla en sursaut et se redressant d’un bond, s’écarta d’elle, lui faisant face dans une attitude combative.
Elle était sale et déguenillée mais ses yeux attiraient le regard.
Ils semblaient hantés, lui donnant cette allure mystérieuse et quelque peu inquiétante.

Silence était maigre et sa peau diaphane attestait qu’elle ne mangeait pas à sa faim. Silence semblait au bord de l’épuisement, à bout de forces.

Kachi allait la rassurer, lui proposer un repas dans la première taverne du coin, mais la jeune fille laissa échapper cette curieuse phrase d’une voix ferme et assurée, presque agressive :


-Je ne veux pas dormir ailleurs, parce que je n'ai pas mal ici.

Kachi la regarda interloquée

Comment ça, pas mal ici ? Tu veux dire , qu’ici tu trouves la paix .
Silence, mais tu viens d’où ? tu caches quel secret derrière ta petite frimousse.

Et puis suis moi, tu as besoin d’un bain, je t’emmène à la rivière….


Kachi tendit la main dans sa direction.....
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Bisac
Cela faisait longtemps que Bisac n'avait pas mis les pieds dans une église. A sa décharge il fallait dire que les messes étaient des plus rares. Bref, il avait éprouvé le besoin d'allait se recueillir quelques instants. Aymeri pénétra donc dans le religieux batiment et il passa devant deux jeunes femmes en pleines conversations. Il les salua d'un signe de tête puis alla s'asseoir. Bisac reconnut une des deux jeunes femmes, il l'avait croisé en taverne il y a quelques jours, il se souvint que cette fille lui avait parue des plus anxieuses.
Quoiqu'il en soit, Aymeri ferma les yeux et s'adressa au Très-Haut durant quelques minutes.

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Silence
Comment ça, pas mal ici ? Tu veux dire , qu’ici tu trouves la paix .
Silence, mais tu viens d’où ? tu caches quel secret derrière ta petite frimousse.

Et puis suis moi, tu as besoin d’un bain, je t’emmène à la rivière….


Silence vit la main de Kachina se tendre vers elle.
Elle la regarda, le visage fermé, les sourcils froncés.
Elle se toucha la joue... Frimousse... J'ai quinze ans...
L'église était si fraiche, si grande, si imposante... Elle ne voulait pas en sortir. Elle ne voulait pas la quitter, ni affronter l'extérieur. Non, elle avait décidé que non. Alors elle continua de fixer Kachina d'un air dur, comme si elle allait prononcer une sentence terrible.
Elle restait droite comme un i solitaire jusque là... La lumière de l'église n'éclairant subtilement qu'une partie de son visage.

Mais fallait il choisir enfin de compte?
Elle repensa à Hireo, et puis vit son champ en vision, et son attention se reporta sur le beau visage de Kachina... Non, c'était impossible, elle ne pouvait pas se laisser aller comme ça, non. Elle ne voulait plus reconnaître personne... C'était trop dangereux d'avoir des sentiments. Faire semblant?... Sans doute. Son esprit ne savait pas. Il était attiré par cet endroit remplit d'une douceur étrange qu'elle n'avait jamais connut lui semblait-elle. Mais c'était peut-être un enfer... Qui étaient tous ces gens? Ils se montraient communicatif, prévenant, ils avaient l'air heureux.
Elle n'avait connu cela qu'en parcourant des villages lors de missions, et ne faisait que survoler l'étrange gaieté qui y régnait, profitant même de cet univers pour mieux se dissimuler dans une masse immense. Ou n'était-ce qu'un mensonge de son esprit?
Silence se revoyait parcourir les rues. Le regard sur le sol, n'écoutant rien que les pas de son maitre. Non... Impossible, elle n'avait pas pu s'imprégner de ce mirage... Un long frisson lui parcourut la colonne, et paralysa un instant ses muscles, elle frémi. Comment avait-elle pu être aussi faible?... Au point de ressentir les autres...?
Son attention fut un instant perturbée par un homme qui arrivait, elle attendit quelques secondes et le vit s'affairer à la prière.

Elle se calma en chassant toute idée, revint sur les paroles de Kachina et renifla l'air, oui elle puait... Et cela depuis plusieurs jours... Semaines?... Kachina ne savait pas à quelle point elle avait raison... Ça n'allait pas du tout. Mais Silence refusait de se socialiser, cela voulait dire ressentir et c'était trop dangereux. Elle avait commencé, et vu des gens en taverne, elle avait même aimé. Mais elle devait reposer son esprit à présent.
Elle articula extrêmement difficilement ces mots:

Pas... de... bain.

Elle courba l'échine en position de défense et sautilla sur les rebords de trois bancs, elle était très agile mais elle manquait de tomber à chaque pas tant elle était afaiblie, et elle voulait regarder Kachina sous tous les angles pour évaluer sa dangerosité avant de se cacher... Pour la traquer, comme avant, et voir ou elle allait, juste la suivre, juste... pour voir, observer. Un sourire malsain s'esquissa presque sur son visage à cette idée. Comme s'était bon de se sentir de nouveau esclave, même si il n'y avait plus de maître.
C'était trop dangereux, non décidément trop dangereux, son cœur refusait de s'ouvrir aujourd'hui. Elle traquerait Kachina en refusant l'idée que ce fut parce qu'elle l'appréciait, non... Elle n'était pas capable d'une telle chose...
Son cœur cogna fort à l'idée de recommencer. Elle allait juste se ressourcer n'est ce pas? Elle ne ferait rien d'imprudent... N'est ce pas?... La folie n'était pas loin.
Chrisfish
Il avait tout prévu …
La veille… s’était rendu à la mairie… non pour voir la mairesse… mais pour être sur de trouver son amie tisserande… Tig… pour une commande spéciale… avec ses doigts de fée entre 2 dossiers municipales… il avait pu récupérer le tout le soir même… bonheur d’avoir une amie sur qui compter…

Tôt … levé…préparé tout sans le moindre bruit… ne pas réveiller sa belle… vérifia sa besace… sourire aux lèvres …partit en direction de l’église de sbc…
Regarda la grande bâtisse…le sommet du clocher … oula c’est haut… quand faut y aller …faut y aller ! …sorti de sa besace une bourse remplie de farine… dérobée dans la boulangerie de sa femme … s’en saupoudre les mains… remet sa besace autour de son cou …et hop … plus conquérant que jamais … escalade les parois menant au clocher …

Avance sans lacher prise … juste regarder devant … pour atteindre son but … gravis a la sueur de son front… quand soudain … la cloche teinte … surpris … son corps fait un soubresaut … une de ses mains quitte la prise … sensation de vertige … mais moins que le vertige de l’amour ….qui le transporte … ptite frayeur … puis reprend appui … continuant son avancé… arrivée en haut… s’assois… reprend son souffle …contemple la magnifique vue que lui offre ce sommet… le village encore endormi … sort de sa besace le tissu …. L’accroche ….




Attache une corde sur l’une des armatures de la cloche… et descend …plus vite qu’il n’est monté … regarde sa banderole …fier …repart discrètement ….
Badiane.
[Quelques instants plus tôt à la boulangerie]

Elle avait fini de cuir son pain, et chargeait les cageots de miches pour les vendre au marché, les cheveux en bataille, et le visage en sueur, la chaleur du four l'avait mise en nage, elle ne rêvait plus que d'un bain et des bras de son amour. Ses yeux emplis d'étoiles depuis ce tête à tête sous l'arbre, depuis l'après midi magique de la veille, son homme avait parlé de mariage, non pas qu'elle désire se marier, mais elle savait combien il n'aimait pas la chose, en arriver au point de lui en parler, juste l'intention était à ses yeux plus précieuse que toutes les noces de la terre, tellement absorbée par ses pensées qu'elle ne se vit pas arriver à la place de l'église le jour de marché.

[Place de l'église]

Impossible de ne pas voir que les cous des marchands et des premiers clients s'étaient dévissés tournés vers le clocher, elle fit de même les bras chargée d'un cageot, elle fut tellement estomaquée qu'elle le laissa tomber sur un pied.

-Aoutch!

La vendeuse à laquelle elle livrait le pain quitta le point de mire pour accourir l'aider à ramasser les miches puis se penchant à son oreille elle lui lance

"-votre homme ne s'appelle pas Chris par hasard?"

Mais la blonde sans un mot avait déjà regagné la charrette, et s'est lancée dans les ruelles de Saint Bertrand..une envie furieuse de retrouver l'investigateur du compte à rebours..Une envie furieuse de ses bras.
Amadeus0
Amadeus0 se rendit à l'église de St. Bertrand, il revenait d'une absence prolongée. Devenu moine il était peu dans la ville, mais il lui fallait passer par là de temps à autre pour ses propriétés et son bétail.

La première chose qu'il fit fut d'aller prier à l'église et de voir si l'entretient était bien fait.

Il entra et après avoir plongé ses doigts dans le bénitier, il fit le signe de croix en même temps qu'une génuflexion rapide. Puis il s'avança devant l'autel, s'agenouilla et se mit à prier, pour ses frères et soeurs restés au monastère,
pria pour l'Archevêché, pour son évêque. Puis il pria pour son fils qu'il n'avait pas revu depuis longtemps, trop longtemps.

Il allait passer à son moulin, peut-être aurait-il des missives et du courrier à répondre. Il passerait aussi au presbytère voir s'il y avait de nouvelles demandes de baptêmes.

Il avait tant de choses à faire, qu'il devrait passer de longues journées à courir de l'un à l'autre, mais il devait le faire, bien que fatigué et malade.
Cette toux qui n'arrêtait pas de le poursuivre nuit et jour.

Enfin, il avait son ministère à remplir et cela serait fait.
Amadeus0
Il rentra dans l'église comme à son habitude peu de monde la fréquentait.

Il en fit le tour,fit un peu de ménage, alluma quelques cierges.
Fit les poussières ce qui ne manquait pas sur les bancs.
Une si belle église si peu fréquentée, quel dommage!

Il résolut de faire une messe spéciale pour le dimanche qui venait.
Dieu appellerai les siens qu'Il connaissait; "Dieu pourvoira" disaient les écritures il était certain que le texte disait vrai.

Une fois qu'il eut terminer de mettre en ordre l'église il se mit devant l'autel à genoux et pria un long moment.
Puis, se leva et décida de se rendre au presbytère.
Il devait passé à l'Archevèché faire son rapport et il voulait avoir des nouvelles de Skarski.
Amadeus0
Il se leva relativement de bonne heure, se prépara, il mit ses vêtements de célébration de la messe et se rendit à léglise. Après avoir tout vérifié une dernière fois, il passa dans le clocher pour faire l'appel aux fidèles.

Il se mit à tirer sur les cordes et celles-ci résonnèrent tout Saint Bertrand serai réveiller pour aller commémorer son Dieu.




Les cloches se mirent à tinter de plus en plus fort.

Il attendait maintenant les enfants de coeurs pour leur faire répéter les chants.

Quelques personnes arrivaient au loin. Amadeus0 se tenait devant le porche pour les accueillir et leur souhaiter la bienvenue.
Godelaine
En ce jour du seigneur, Godelaine de passage à st Bertrand , est toute etonnée d'entendre sonner les cloches de l'eglise.
Cela faisait si longtemps qu'elle ne les avait plus entendue en auvergne, qu'elle c'est arretée pour en apprecier l'invitation à la prière
Sans plus perdre de temps, elle dirige ses pas, vers le lieu de culte et gravis les marches du perron
L'officiant attends ses ouailles, elle passe devant lui et le salue d'une legere reverence


bonjour mon père


Sans perdre de temps, elle penetre en silence dans la nef, trempe ses doigts dans l'eau bénite, se signe et prends place sur le banc de chene, face à l'autel
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Godfrey
Godfrey accourut à l'église, il arriva devant le proche d'entrée et se signa. Il se diriga vers la sacristie et tocqua à la porte.

Bonjour mon père,
Je viens vous voir car j'aimerais entrer dans la grande famille Aristotélicienne en me faisant baptiser, que dois-je faire? ou dois-je aller?
Je voulais savoir si vous n'aviez pas besoin de quelqu'un pour être carilloneur ou sonneur de cloche.


Puis il aperçue dans la nef un gros et long lézards, sans doute un crocodile.(c'est comme ça dans la crai église de SBC)
Amadeus0
Bonjour ma soeur, soyez la bienvenue dans la maison de Dieu.
Il lui fit un sourire et lui laissa le passage.

Puis il vit arriver un homme qu'il ne connaissait pas.
L'homme s'avança vers lui le salua et lui demanda si il avait besoin d'un carillonneur.

Il n'eut pas le temps de lui répondre, que le regard de l'homme se voila.
Amadeus0eut l'impression que l'homme vacillait.
Il lui prit le bras de peur qu'il ne s'évanouisse.


Mon frère prenez donc un siège allongez-vous si vous n'êtes pas bien.
Il l'aida à s'assoir, l'entendit marmonner, puis il rentra comme en méditation.
Ensuite il retourna à la porte accueillir les ouailles qui arrivaient.

Phestu
phestu fraichement arriver a st bertrand entra dans l'eglise tres jolie , il vit mr le curé occupé a saluer les personnes qui entrait ,il s'avansa et demanda , monsieu le curé que doit je faire pour avoir le bapteme car je voudrais entrer dans votre grande famille ,il se metta de coté et atendit
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