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[RP - L] Tout se paye.

Gautier.de.kestel
[Lusigny, Septembre]

L'argent de Désirée réglait bien des problèmes concrets et immédiats, en particulier la dette que Gautier avait envers un homme : Enzo Blackney. Du moins, il était encore Blackney lors de leur dernière rencontre. De sacrés hectomètre cubes étaient passés sous les ponts entre temps. Les écus dans la poche du Vaisneau s'étaient envolés tandis que pas une piécette n'était revenue dans celle d'Enzo.
Bien que le jeune Dragon redoutait d'avantage la colère de Scath que celle du brun, étonnamment d'ailleurs vu leurs statures respectives, il suivait l'ordre chronologique et rembourserait l'homme en premier. Bien entendu, il ne savait rien de l'aventure partagée avec sa présente épouse, plus précisément il ignorait tout de cet Enzo.
L'humeur guillerette que lui offrait la perspective de voir ses dettes résorbées lui donna l'envie de rendre l'argent en main propre et à la même occasion, peut être connaître un peu mieux son créancier. Après tous, ils avaient tous deux le même âge, la même naissance ou presque, et possédaient même quelques traits physiques en commun.

Citation:
A Enzo Blackney,

    Salut !

    Après un retard qui, je l'espère, ne fut pas trop long à tolérer, je suis ce jour en capacité de régler la totalité de ma dette à votre égard, qui revient à 500 écus.
    Pour cette occasion, je vous invite à nous rendre visite à Lusigny où vous serez accueilli par ma femme Elisabeth et moi même. Votre cousine Gabrielle y est également bienvenue.

    En espérant que mon pli vous trouve en bonne santé.

    Que le Très-Haut vous guide,


Gautier de Vaisneau.
Enzo
    [Montpellier - Septembre]


Ainsi, le temps était venu. Les coffres du jeune de Vaisneau semblait aller mieux que la dernière fois. Ce qui arrangeait bien le jeune homme. Falmignoul avait besoin de fond pour être relancé comme il se doit, et même si 500 écus était bien loin de ce qui était nécessaire, il allait les utiliser correctement. Par chance, la principauté en elle-même se relançait économiquement, ce qui donnait un coup de pousse à la Seigneurie, et Enzo mettait le plus de fonds possible pour qu'elle roule bien, et sans être continuellement présent. C'est que Montpellier et Dinant, dans le Luxembourg, ça ne se faisait pas sur une jambe, et certains devoirs le retenait à Montpellier, ville dans laquelle il s'était installer avec Gabrielle. Toutefois, avant de retrouver ses écus prêtés, Enzo allait devoir se rendre à Lusigny. Ce qui le fit soupirer, seul dans son bureau. Il devait aller à Vincennes, avant. Autre soupire avant de finalement prendre la plume et de tremper cette dernière dans l'encre.

Citation:


À vous, Gautier de Vaisneau
De nous, Enzo, Seigneur de Falmignoul


    Addisiàtz !

    Si nous ne sommes pas patient dans la vie de tout les jours, sachez toutefois, qu'en ce qui concerne l'argent, nous le somme un peu plus que de raisons. Ceci dit, puisque vous semblez ne pas avoir souffert d'attaque de ma part. Ni par lettres, ni physiquement, ni même d'insultes, nous pouvons donc dire que vous êtes dans les temps, et vous nous avez moins fait trop attendre. Nous viendrions à Lusigny, donc, après nostre petit séjour à Vincennes. Vers début octobre, donc. Sachant que nous n'avons pas de cousine, mais bien une femme, nous n'apporterions donc pas cette dernière. Ni la femme, d'ailleurs. Elle rejoindra Montpellier, et nous serions seul pour venir à Lusigny.

    Que le très-haut vous garde,

    Enzo,
    Seigneur de Falmignoul
    Grand Escuyer du Prince de Dinant

    P-S : Nous ne portons plus le nom de Blackney, ainsi nous vous serons gré de bien vouloir ne plus l'utiliser.


    [Lusigny - Octobre]


Ainsi, il allait devoir la revoir. Elisabeth. Il avait simplement dit à Gabrielle que des affaires l'attendait, à propos de ses créances. Rien de plus. Il n'avait aucune envie qu'elle lui lance de regard noir, et qu'elle perdre la bonne humeur eu à Vincennes. Bien sur, elle ferait la moue, mais si sa femme savait qu'il allait rencontrer Gautier - dont elle était au courant qu'il était marier avec la Blonde - elle lui en aurait voulu. Beaucoup, sans doute. C'est donc pour cette raison que le jeune Seigneur avait décidé d'éviter d'expliquer où et avec qui. Surtout qu'au final ça lui ressemblait d'éviter de raconter les détails quand il partait pour affaire. Il avait donc laissé l'escorte partir avec Gabrielle, tandis qu'Enzo s'était dirigé vers Lusigny. Sauf que c'est toujours d'un ennui de chevaucher seul, avec seule compagnie le garde qui restait au aguets et ne disait pas un mot. Oui, il n'avait pas prit Audoin. Tout simplement pour que ce dernier comprenne qu'il ne pouvait pas se permettre d'ouvrir trop la bouche devant ses maîtres. C'est tout de même un peu poussiéreux et fatigué, que le jeune homme arriva finalement où Gautier lui avait donner rendez-vous. Dans un soupire, il tira sur les rênes de sa monture pour la mettre au trot, avant de s'avance encore un peu.

- « Veuillez annoncer qu'Enzo, Seigneur de Falmignoul est arrivé. Nous sommes attendu. »


Voix lasse et monotone. Il allait la revoir elle. Et ça, ça ne le rendait pas vraiment de bonne humeur, malgré les 500 écus qu'il allait retrouver.
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©JD Marin
Raoul_et_raymond
Ils roupillaient encore et encore. La vie au Château de Lusigny était morne et sans surprise. La petite Anne à surveiller de temps à autre, enfin surtout la nourrice pour que celle ci reste dans les lieux qu'on lui a autorisé, un braconnier ou deux à chasser, et de temps en temps les visites des maîtres des lieux. Leur vie était tranquille bien loin de l'effervescence de la ville de Dijon. Et justement voilà un invité.

Raoul : T'es au c'rant Ray ?
Raymond : Heu non ? M'me Elisabeth elle a rien dit.
Raoul : On laisse entrer ?
Raymond : heuuuuu ...
Raoul : Le sire a dit qu'il était attendu !
Raymond : Oui mais non on a pas d'ordre.
Raoul : Ouais mais tu te souviens le prince ?
Raymond : Justement. Sans ordre on passe pas !


Raymond se tourna vers un valet qui passait.


Raymond : Faites prévenir la maisonnée qu'en certain Seigneur Enzo est arrivé.
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Elisabeth_stilton
QUOI !!!!!!!

Le pauvre valet essayait par tous les moyens de fuir celle à qui il avait apporté le message maudit. Seulement il devait donner une réponse aux gardes lui. Il voulait juste éviter de se prendre des coups comme avec son précédent maitre. Il ne savait pas qu'Elisabeth ne frappait personne, vu qu'il venait d'arriver. La blonde tournait dans son bureau comme un lion en cage. Comment pouvait il être là, comment avait il osé venir chez elle ! Elle allait lui interdire d'entrer sur sa propriété. Voilà elle le mettrait dehors !

Ou pas ... elle le laissait venir. Elle l’humilierait pour oser venir la provoquer chez elle. Il ne pouvait pas rester en Languedoc lui avec sa femme. Il avaient encore envie de se vider les bourses et comptait sur elle pour cela. Pas question ! Elle allait se jouer de lui. Oh oui ...


Faites prévenir les cuisines que je veux une collation à apporter dans le salon des invités et faites prévenir Gautier que nous avons un invité.

Le blonde mit la robe verte qu'elle avait fait faire pour Gautier. Histoire de bien montrer qui est le mari. Elle descendit au salon attendre ses messieurs et préparer son plan.
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Cherche écuyer pour venir en joutes avec moi !!!
Gautier.de.kestel
Enzo ? Ah oui, tiens ! Il l'avait oublié et n'avait même pas prévenu Elisabeth. Elle ne manquerait pas de lui faire remarquer, assurément. Léger soupire à cette perspective.
Gautier se hâta de s'habiller, avant de rejoindre son épouse. Sourire sincère à la vue de la robe portée par Elisabeth. Le geste était plutôt destiné à Enzo qu'au mari mais ça Gautier ne le savait pas.


- Pardonnez moi, j'avais oublié de vous prévenir. J'ai rencontré Enzo il y a quelques mois en compagnie de sa cousine... enfin sa femme apparemment. Je lui devais de l'argent.

D'ailleurs il n'avait pas compris cette histoire d'épouse. La dernière fois, Enzo l'avait présenté comme sa cousine. Enfin peu lui importait après tout.
Le Vaisneau ne se doutait de rien, il ne remarqua même pas la colère d'Elisabeth, il se contenta d'attendre qu'Enzo se fasse conduire jusqu'au salon. L'aumônière remplie d'écus mise de côté depuis un mois se reposait bien tranquillement attachée à la ceinture de Gautier.

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Raoul_et_raymond
Le message vint. Les deux hommes étaient satisfait d'avoir fait leur mission correctement.

Raoul : Tu vois j'avais raison.
Raymond : Ouais.
Puis vers Enzo. Vous pouvez entrer.
Raoul : Tu as encore de la prune quelque part ?

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Enzo
Était-ce par condescendance qu’il avait dit parler avec le « nous » plutôt que le je ? Peut-être. Sans doute même, puisque même s’il l’utilisait à l’écrit, il parlait au « je ». Comme tout le monde. Il n’était pas Prince après tout. Enzo soupire en regardant les deux hommes parler devant lui, bien indifférent à sa présence. Et lui, il doit attendre. Le jeune Seigneur descends de sa monture et toise les deux protagonistes. Attendre. Définitivement, Gautier n’est pas très homme à ses affaires pour obliger celui qu’il invite chez lui à l’attendre. Devant la garde, de surcroit, même pas à l’intérieur. Enzo soupire, oui. Il déteste attendre. Il n’a jamais vraiment été patient, et maintenant qu’il est bien implanté et connu à Montpellier, il n’attend plus.

Même ses passages chez les Von Frayner allaient rapidement.Peut-être un peu moins maintenant ceci dit. Des affaires entre Ludwig et lui. Autre soupire. Qu’elle idée de penser à eux maintenant. Ils allaient quitter le Languedoc. Ludwig lui disait de créer une liste pour les prochaines élections. Qu’elle idée celle-là. Non pas que ça ne l’intéressait pas, il était arriviste, mais Enzo n’était juste pas dupe. Valait mieux se faire connaitre un peu plus du Comté avant d’aller se casser la gueule comme un con. Il viendra bien assez vite le temps où il sera tête de liste. Le jeune noble était donc ainsi, dans ces pensées, agacé d’attendre, quand la voix d’un des gardes le ramena au moment. Ah… entrer. Enfin. Pas un regard. Pas un au revoir. Le jeune homme avance, faisant suivre sa monture qu’il laisse à qui de droit, puis de suivre vers l’endroit où il serait… accueillit ? Ouais, c’était sans doute le terme, mais avec Elisabeth


- « Addisiàtz Gautier ! »


Et les sinoples de chercher l’autre. La femme. La blonde. Pas un mot. Juste un regard. Sombre. Puis de reporter son attention sur le jeune homme. Gautier. Il lui semblait qu’il avait grandit, ou changer. Peut-être murit aussi. Il ne savait pas bien en fait. Et Enzo de soupirer de nouveau. C’est que définitivement ça l’agaçait d’être ici. Où peut-être était-elle qui l’agaçait. Pauvre Gautier d’être marié à une telle femme…!

- « Alors, déjà la corde au cou ? Qui l’aurait crû. Comme quoi les mois passent comme des années, n’est-ce pas ? Enfin… Bien heureux de vous voir en santé. Au moins ça…»

Il n’allait pas rester confiné dans le silence avec Gautier quand même. S’ils n’étaient pas vraiment amis, puisqu’ils se connaissaient que très peu, ils avaient partagé un lieu de vidage de vessie, et fait une course de chevaux. De plus Enzo lui avait prêté de l’argent. Ça laisse place à l’envie de discuter un peu et à un peu de cordialité aussi. Mais juste un peu. C’est Enzo quand même. Et y’a l’autre blonde…
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©JD Marin
Elisabeth_stilton
Il lui doit de l'argent, c'est la meilleure celle là !!! Il ne pouvait lui demander de le rembourser ou de lui faire porter l'argent par coursier ? Non il l'invitait chez eux !!! Elle l'aurait étripé sur place son époux pour le coup. Elle regardait Enzo, elle devrait regarder Gautier mais ses saphirs ne pouvaient quitter Enzo. Saloperie d'attirance ! La blonde en a assez et se lève.

Gautier je vais faire préparer une chambre et annoncer aux cuisines que nous seront trois ce soir au repas.
Je vous laisse discuter de vos affaires.

Ou comment fuir ce qu'elle commençait à ressentir et surtout comment se préparer pour la soirée et pour se jouer d'Enzo. La blonde pouvait être machiavélique des fois, enfin il faudrait aussi que ça ne lui retombe pas sur la tête.
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Cherche écuyer pour venir en joutes avec moi !!!
Gautier.de.kestel
C'est drôle parce que le "nous" utilisé dans les lettres d'Enzo, Gautier l'avait plutôt pris pour du respect. Quand on parlait à un proche, il n'était pas rare d'utiliser le "tu" et le "je" pour sois même, hormis dans les hauts milieux de la société. Là, avec le "nous" et la distance qu'il imposait, le Vaisneau y voyait de la considération. On utilise ces manières pour des lettres à des gens importants, quand on se veut solennel.
Enfin bref, le jeune homme était certain que le petit séjour qu'Enzo passerait à Lusigny se déroulerait pour le mieux et comme généralement on ne voit que ce que l'on veut voir et que l'on ne remarque pas bien ce dont on ne s'attend pas à trouver, Henripont ne s'aperçoit pas du jeu des regards. De rien du tout, en fait. Ou plutôt si, d'une chose : l'impolitesse des deux. Aucun bonjour, aucun salut partagé par Elisabeth et Enzo. Enfin cela lui importe peu, après tout.

La discussion se poursuivit le long de la soirée, futile, sans grand intérêt. Ils dinèrent, Gautier ne soupçonnait rien et après avoir bu quelques verres mais pas trop -le Vaisneau avait encore en souvenir la dernière fois, il fut temps de donner l'argent à Enzo. Crotte, il en manque. Pourtant il était certain d'avoir bien compté. Soupire.


- Je vous laisse quelques instants, il en manque un peu.

Et Gautier sort de la pièce, tranquille, sans se soucier de rien.
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Elisabeth_stilton
Le souper s'était passé sans encombre, comme toujours quand on recevait à Lusigny. La blonde n'avait pas encore eu l'occasion d'assouvir sa vengeance. Sa robe était autant faite pour provoquer une réaction à son mari qu'à leur invité. Elle voulait qu'il voit ce qu'il avait perdu à Paris, qu'il la désire à nouveau afin qu'elle puisse le rejeter. Tant qu'elle n'était que vengeresse elle savait qu'elle pouvait contrôler sa pensée et que les sentiments bestiaux qu'elle avait pour Enzo ne viendrait pas la déranger. Surtout ne pas se mettre en colère ...

La soirée arrive vers la fin et son époux quitte la pièce. Oui mon chéri, laissez nous seuls que je puisse le punir, le châtier, le massacrer, l'humilier comme il l'a fait en venant ici. Pourquoi le Blackney était il venu lui même récupérer de l'argent. Ne pouvait il pas envoyer quelqu'un le quérir ? Non elle savait qu'il venait pour elle, pour lui nuire, pour qu'elle ai des problèmes avec Gautier. Non elle ne le laisserait pas faire. Alors la blonde leva son regard sur le normand, le fixant sans aucune retenue, tout en savourant un alcool fort avec parcimonie.


Alors Enzo, on trouve toutes les excuses pour venir me retrouver, seriez vous en manque ?

Pique, pique, pique, tu sais bien que ce n'est pas ça mais il faut le provoquer !
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Cherche écuyer pour venir en joutes avec moi !!!
Enzo
Un soupire. Deux soupire. Trois soupire. Tout se passait sans encombres, Enzo répondait quand on lui parlait, évitait de regarder Elisabeth et espérait ne pas avoir à rester longtemps ici. Non pas que Gautier était de mauvaise compagnie, mais reste néanmoins qu’il avait ce mépris restant pour la blonde. Et puis cette robe. Quatrième soupire. Enzo se demandait si elle était pour lui où pour le mari, surtout avec sa façon d’agir, il avait la nette impression qu’elle avait une idée en tête. Quoi, il n’en avait aucune idée. Donc, Enzo restait silencieux restant concentré sur son assiette, s’enfilant quelques verres – trop – comme pour oublier le malaise. Il était las. Si Gabrielle savait où elle était sans doute qu’elle le tuerait. Le détesterais tout du moins, l’engueulerais. Partirais peut-être. Il n’était sur de rien, mais il était clair qu’elle ne serait pas contente. Cinquième soupire. Venir chercher le reste de son argent prêter n’avait sans doute jamais été angoissant. Sans compter qu’il aurait pu simplement envoyer quelqu’un à sa place, disant qu’il n’était pas disponible. Enzo lève alors les yeux quand Gautier se lève pour quitter la pièce. Froncement de sourcils léger, avant de porter une légère attention à Elisabeth qui semble décider à lui parler pour la première fois de la soirée.

- « Je me connais égocentrique, mais il semblerait que j’ai trouvé quelqu’un qui rapporte encore plus que moi à sa personne. »

Sourire narquois, prenant une gorgée de l’alcool qui est là. Il s’en fiche de ce que ce sait, vaut mieux qu’il boive. Et il ne faut surtout pas que Gabrielle sache. Jamais.

- « Je vous l’ai dit que ma femme me suffisait. Si Gautier n’y arrive pas ça n’est pas mon soucis. Trouvez-vous un Duc qui vous fera crier comme il se doit, vu que c’est ce que vous semblez chercher. »


Il s’en fichait lui. Il avait prit la décision d’être fidèle à Gabrielle parce qu’il l’aimait. Il n’avait pas envie de détruire plus qu’il ne le faisait son mariage. Et il détestait toujours la blonde. Surtout que leurs dernière rencontre c’était mal passé.
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©JD Marin
Elisabeth_stilton
La blonde tourna son verre qu'elle gardait en main. Entonnement, elle supportait mieux les alcools forts plutôt que le vin mais elle n'aimait pas en abuser. De plus, un bon alcool ça se déguste ... comme la vengeance. Les saphirs ne quittent pas le normand des yeux, pas question de lâcher sa prise. Elle encaisse les piques du bruns sans mot dire et pour cause cela ne la touche pas. Va t-elle répondre ? Oh que oui.

Outre le fait que vous n'avez aucun humour, ce n'est pas moi qui suis venu chez vous, ce n'est pas moi qui n'est pas envoyé un simple coursier.
Tout comme ce n'est pas moi qui suis venu sur votre lieu de travail pour vous faire des propositions indécentes.


Alors elle se lève, s'approche de l'homme tel un félin, passe derrière le fauteuil ou celui ci se trouve et murmure dans le creux de son oreille.

Vous savez comme moi que nous nous perdons l'un avec l'autre mais que nous en avons besoin. Repensez au plaisir prit au Dragon.


La blonde frôla la joue d'Enzo de sa main, avant de de revenir devant lui. Doucement elle l'enjoint à la rejoindre par un mouvement d'attirance de sa main sur la sienne qu'elle avait prise à son passage. Son regard était clair, il lui proposait un moment torride alors que son époux n'était pas loin, du moins c'est ce qu'elle voulait lui faire croire. Au lieu d'attendre qu'il vienne à elle, Elisabeth s'installa sur les genou de l'homme et passa ses bras autour de son coup. Allons petit Enzo laisse toi bruler les ailes une dernière fois.
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Cherche écuyer pour venir en joutes avec moi !!!
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