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[RP] Convalescence

Kiyo
Kiyo revint vers Lys avec un grand verre d'eau et tenta de la rassurer :

"Tiens, bois un peu d'eau,
tu dois certainement avoir soif ! ...
Je n'en sais pas plus sur l'issue des combats,
je ne fais que compter les arrivants.
Et je suis sûre qu'à l'entrée de La Rochelle, les noms des blessés sont inscrits,
ainsi on te trouvera facilement ici, n'aies crainte,
Pour l'heure, repose-toi, ici, au calme ... "





Désolée .. mais la retraite m'empêche de poursuivre avec cette réactivité
j'essayerai de m'évader pour quelques soins ..
Si toutefois d'autres médicastes acceptaient de me prêter main forte,
ce ne serait pas de refus ...
Merci !

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Quand une Femme du Monde dit "non", ça veut dire "peut-être". Quand elle dit "peut-être", ça veut dire "oui". Quand elle dit "oui", ce n'est pas une femme du Monde.
Lys
De sa main valide prend le verre d'eau et le repose près d'elle.
Même souffrante hors de question de boire cette saleté d'eau.
Se reposer... elle n'en avait aucune envie préférant avoir des nouvelles de J. Que lui était-il arrivé... Était il blessé... Où était-il... ?

Toutes ces questions resteraient pour l'instant sans réponse tant dit que son corps et son esprit épuisé, s'enfonçaient doucement et s'abandonnèrent au sommeil
Serregill
J'entend encore le fracas des armes, le crissement des armures qui encaisse les coups, le bruit sourd des corps qui tombe dans la terre gorgée d'eau des marais, les flèches qui siffle à mon oreille, le hurlement des blessés et les gémissements des mourants. Je vois mes amis tomber les uns après les autres sous les coups d'agresseurs dont je n'arrive pas à distinguer le visage. J'essaye de bouger, mais je n'y arrive pas. Comme pris dans une gangue de boue, je ne peux pas sortir mon arme. Je ne peux même pas avancer. je ne peux que rester là à regarder mes amis tomber.

Je me réveil en sursaut, me redressant violemment comme un pantin remonté par un ressort. Trop violemment, tirant sur ma blessure à l'épaule. De la sueur coule sur mon front. Ma tête tourne, je suis pris de vertiges. Je regarde vivement autour de moi. Ou suis-je? Je ne me souviens de rien depuis la fin de l'embuscade. Une belle flambée dans la cheminée réchauffe la pièce. A coté de moi, d'autres lits sont occupés, uniquement par des gens que je ne connais pas. Quelques hommes, et une jeune fille, tous inconscient ou endormis.

Je comprend que j'ai simplement fait un cauchemar, probablement à cause de la faiblesse qui m'étreint. Vision dont je me garderai bien de parler. Je tend le bras et je suis à nouveau assailli par une vague de douleur dans l'épaule droite. Je passe ma main dessus. Un bandage l'entoure. Quelqu'un m'a donc soigné. Qui? Je n'en ai aucun souvenir.

J'ai soif, la gorge sèche. Depuis combien de temps suis-je ici? Ou suis-je en fait? L'unique fenêtre de la pièce est fermée et je n'arrive pas à le deviner.
J'appelle, d'une voix rauque :


Ohé! Y'a quelqu'un? J'ai besoin d'eau!
Madfly
Le jeune Madfly venait de rentrer indemne des batailles … a peine avait-il passé les portes de la ville qu’il consulta la liste des blessés ! Sglurp, Serregill, Lys, Ulric et tant d’autres … Le jeune homme les connaissait tous plus au moins... Certains était des guerriers aguerris et pourtant ils étaient tombé …
Comment était-il possible que lui, Jeune mousse de la marine Poitevine avait il réussit à tenir avec un simple bâton lors de la premier bataille puis sans aucune arme lors de la seconde ??
Le premier réflexe du Blondinet était de se rendre sur le lieu où les hommes et femmes blessé était soignés …
Il passa chercher un fut de bière chez sglurp avant de s’y rendre. Il savait que la petite Lys ne jurait que par cela !

Apres plusieurs minutes de route il entra. C’était une vision d’horreur ! Du sans était sur ce qui semblait être la table de soin … Des hommes avait des bandages impressionnant. Ulric aussi...
le pauvre n’avait pas été raté …

Il regardait la scène encore quelques secondes … Repensant aux batailles menée … Il fut ramené à la réalité, avec les mots de Serregill


Ohé! Y'a quelqu'un? J'ai besoin d'eau!

Le Jeune mousse se précipita dehors, récupéra le fut de bière puis le plaça dans un coin de la pièce !
Il prit vite une chope de bière et un autre d’eau !


Oui ! Voilà j’arrive !

Le jeune homme se rapprocha de serregill et lui tendit les deux chopes … Il remarque pares quelques secondes qu’il est déboussolé !

Bière ?? Eau ?? Les deux ?? T’as le choix ! l'un anesthésie peut être un peu mieux que l'autre! Heuu t’es sûr que ça va ?? Tu te souviens de moi ?? Je t’ai fait descendre de ton cheval … Tu es ici dans le cabinet de Kiyo. C’est elle qui a soigné tes blessures. J’ai appris qu’elle été maintenant chez les nonnes. Donc je vais venir aider ici… pour participer à votre convalescence !

Au fait, J’ai croisé Alphy lorsque nous étions à Niort après la seconde bataille. Elle se fait un sang d’encre... elle veut très vite venir te rejoindre. Alors ne t’étonne pas de la voir débarquer d’ici peu... J’ai essayé de la rassurer un peu … mais j’ai plutôt provoqué l’inverse …
Bon ?? Bière ? Eau ??


Le jeune homme fait balancer ses deux chopes… Bière ? eau ? Bière ? eau ?...

Apres avoir discuté quelques secondes avec Serregill le jeune homme se retourna vers une jeune blonde étant dans le pays des rêves …
Il se rapprocha puis posa ses fesses sur un tabouret près d’elle... le jeune homme remarqua les deux chopes, l’une avec un fond de bière l’autre pleine d’eau. Le blondinet sourit et pense :


Même blessée elle reste fidèle a elle-même !

Il se releva puis prit quelques chopes et versa de la bière dedans...
Madfly posa les chopes juste à côté d’elle et l’observait dormir regardant également si tout le monde est toujours vivant... En particulier Ulric qui avait l’air de dormir paisiblement peut être trop paisiblement même ….

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Miya
Un.. deux.. trois.. six.. vingt.. cinquante.. encore plus ! La funambule a longtemps végété dans un état macabrement nébuleux… les bonne âmes, comme on les appelle, n’ont jamais été amatrices de loisirs, et la blonde à la crinière sauvage a fait taire ses démons pour une bonne période de méditation intensive, et quand on parle de méditer on parle de planter des fleurs dans sa tête, on parle d’un état d’idiotisme, d’indolence et d’apathie singulièrement prestigieux.

Ceci dit, le temps passe, et les ailes prêtes à battre, en chœur avec les cils, la funambule est prête à jongler, de fil en fil, sur les terrains inconnus récemment ensanglantés par des horreurs qui lui sont bien familières… Ils sont bien là… Mais elle ne l’est plus… elle est bien occupée à faire éclore les fleurs qui poussent dans sa tête... Sauf que la dernière goutte d’opium inhalée remonte à la veille, Alarme ! Les pavots, comme la magie qu’ils offrent disparaissent laissant une traîne pailletée de désespoir… alors la funambule flâne, traînant des bottes, les tavernes du coin parlent donc de guerre, le tribunal semble avoir oublié l’dossier "La funambule et la sotte aux 500 écus maraudés", le monde tourne, change, remue ses ironies et la blonde revit.

Et on y arrive, ce jour où elle flânait à la recherche de têtes de pavots, d’opium ou autre de magique. Les narines palpitantes elle suit l’aura livide et sinistre qui menait à la tente des blessés, là où on y entre pour rester longtemps dans une ambiance « festive » après oui tout est relatif.

La funambule sort sa panoplie funèbre, la mine terreuse, le regard lugubre, le pas flottant et la voix sépulcrale, tout est prêt elle jette ses bottes roses et passe l’entrée. Le regard oblique sur les petits pots, bandages et autres tralalas de « guérisseurs »et les orteils frétillent excités. Elle se penche pour se cacher derrière la table et la petite main tâtonne les pots un par un, en retire un, l’inspecte, le remet à sa place et ainsi de suite, l’un après l’autre… La dextre, quant à elle, vient attraper une chope qui venait juste d’être déposée, faut bien s’arroser l’gosier quand on fait bonne besogne. Voler son eau ou sa bière à un blessé, elle l’aurait volontiers fait, le sourire sournois au bec et l’regard railleur, mais là au-delà des méchancetés gratuites auxquelles elle n’a plus le temps de faire part, la blonde n’a qu’une chose en tête… Des fleurs ! Des fleurs à éclore !
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Woodland
Maeva courrait dans tout les sens. Épuisée par la situation des dernier jours, elle se rendit à la tente afin de prêter main forte à Kiyo qui devait en avoir plein les bras.

Elle entra donc, et vit Madfly au chevet de Lys

Bonjour Mad. Comment va-t-elle?
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Madfly
Le jeune homme regardait toujours Lys dormir quand Maeva arriva.

Bonjour, est bien elle a connu de meilleurs jours la pauvre. Mais en parlant un peu avec les moines j’ai appris qu’elle avait le poignet cassé. Je ne connais les raisons de cette fracture.

Il regarda le bandage de la jeune femme,

Kiyo c’est bien occupé d’elle, elle se portera comme un charme. Tout ira bien j’en suis certains.
J’étais venu la réconforter un peu et lui donner des nouvelles du front et de son père. Normalement il est revenu avec les autres sain et sauf. Le pauvre s’en veut terriblement de ne pas avoir protégé sa fille.
Je le comprends même si sur un champ de bataille jamais rien ne se passe comme prévu.


Il adressa un sourire à Maeva.

Dites au passage ? J’ai appris que Kiyo était chez les nonnes pour plusieurs jours. Il faudrait essayer de prendre soin des blesses … Surtout si on part à la traque de l’aleae furor d’autres hommes et femmes viendrons dans un sale état …
Tu veux bien essayer de t’en charger ?? Ou trouver des gens pour ?? Car je vais peut-être repartir ce soir et je ne peux pas prendre soin d’eux du coup …


Il regarda le maire et lui adressa un second sourire attendant une réponse.
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Woodland
Maeva lui sourit

Je vais prendre la relève. Je suis aussi médecin de l'Ost. Merci déjà de veiller sur les blessés. Kiyo a fait un travail remarquable. Vous avez des nouvelles de Nimi?
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Thegreatgab
Gabriel entra dans la tente en tituban

Bonjour bonjour ma chère Maeva ! je vois que vous êtes plutot bien occupée ... je voulais juste savoir si il y avait un lit de libre pour l'instant ... au moins en attendant mon tour si ce n'est trop vous demander
Woodland
Maeva entendit une voie familière et ce retourna. Quand elle vit Gabriel tituber, elle courue lui venir en aide. Elle glissa son bras sous le siens et le conduit sur une civière de fortune.

Étant toi là. Je vais chercher ma trousse
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Serregill
Après quelques secondes, un jeune homme blond s'approche de ma paillasse, me tendant deux choppes, l'une contenant de la bière, l'autre de l'eau. J'ai tellement soif, la bouche pâteuse comme après une mauvaise cuite. Je tend le bras pour prendre la choppe pleine d'eau quand la douleur se fait à nouveau sentir. Je grimace quand la blessure me lance à nouveau. Finalement, je ne cracherai pas sur un anesthésiant. Ma main dévie vers la choppe de bière que je porte à mes lèvres et que j'enfile cul sec.

Je regarde le jeune homme et le remercie.


Merci. j'ai une de ces soifs...
Oui, ça va. Enfin, dans la mesure du possible. Je me suis réveillé, je me dis que c'est déjà un bon début.
Je suis désolé, je ne me souviens pas de ce qu'il s'est passé sur le champ de bataille. Mais je me souviens de t'avoir déjà croisé oui. Mad, c'est ça? T'es un des joueurs de soule je crois?


Enfin, j'ai l'impression que les brumes de mon esprit s'écartent, que j'arrive de nouveau à penser relativement correctement. Ça doit être un bon signe... à moins que ce ne soit dû à la bière...

Alphy? Tu l'a vu? Comment allait-elle? Je me souviens lui avoir demandé de rester à l'abri, mais avec ces brigands à Niort...

Je me rallonge dans la paillasse, déjà fatigué malgré le peu de mouvement que j'ai pu faire. Décidément, je ne suis surement pas prêt de repartir pour Niort...

Merci d'avoir essayé de la rassurer. Enfin... Tu ne lui a pas dit exactement ce qui m'était arrivé n'est ce pas? Elle va surement pensé que c'est une blessure superficielle... Que ce n'est rien de grave... Tant mieux... Ce n'est pas la peine qu'elle s'inquiète.
Lys
Regarda un instant les aller et venu de chacun d'un œil l'autre lui masquant toujours la vue. Reconnaissant quelques visages qui se trouvaient dans la pièce.

A son réveil elle c'était senti déstabilise, se demandant où elle était pourquoi un de ses yeux ne voyaient pas correctement et pourquoi son épaule et son poignet lui faisait mal. Puis tout était revenu… particulièrement le visage de cette femme.

Habituer à ne pas resté inactive la jeune fille tenta de se redresser tant bien que mal. Grimaçant et prise d’un vertige au moment où elle réussi à s’assoir. Trouvant une lettre à son côté un vague sourire effleura ses lèvres lorsqu’elle la part couru. Posant la lettre sur ses genoux et reconnaissant le liquide mousseux dans une chope près d’elle, elle s’empara de la chope qu’elle bu à petite gorgé.
La lettre qu’elle venait de lire lui avait certes fait plaisir mais la rendait un peu soucieuse.
Otan
Il était de bonne heure ce matin lorsqu'Otan une lettre à la main suivant ses indications trouva le cabinet de dame Kiyo. Il entra doucement. Stupeur!!!

Tellement de blessés, des lits partout. Des anciens soldats, des volontaires et des enfants même. Sous le choque, il avançait en zigzaguant entre les civières et les lits improvisés. Il entendait les plaintes et les cris de douleurs étouffé. Il n'aimait guère ce genre d'endroit qui sentait la mort et le sang à plein nez. Il jetait des regards sur chaque visage qu'il croisait évitant de regarder les corps à la recherche de la personne aimée.
Statere
Statere se rendit au dispensaire comment pouvez t-il en être autrement !!! , il venait de faire le voyage de Niort accompagné de quelques amies...
Il avait rencontré une'infirmière à l'entrée et c'est donc avec un certain empressement qu'il descendit de cheval précédé d'une charrette. Deux hommes lui descendirent deux énormes malles......Enfin il poussa la porte... et fit poser les malles..
Ma foi ce dit-il pour réaliser des cas pratiques y'avait de quoi faire une vraie boucherie !!.
Donc il avait pris un mortier, un pilon, une cornue, un alambic et plus généralement, pleins d'ustensiles pouvant servir à fabriquer remèdes et drogues. Ainsi que tous les ingrédients qu'un médecin pouvait désirer...ou une infirmière confirmée !!
Aider et soulager la douleur..enfin s'il pouvait se rendre utile !! , Il espérait rencontrer la Maire Woodland, Médecin de L'OST, tout comme il le fût en Bretagne..
Statere enleva son mantel puis s'assit au bureau qui était juste à l'entrée enfin prit un parchemin et écrivit quelques recommandations à ses commis, puis se mis à la recherche de Lys car c'est bien ici qu'elle devait être, la fille de Jmanci, de Zéphyre..
Il scruta la grande salle qui n'était que blessés !! espérant trouver aussi rapidement Woodland et lui porter de l'aide.. un premier bilan !! pour mieux se rendre compte .....

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Madfly
[Taverne Le Capitaine Mes Mots]

Il était tôt le matin, Mad n’avait pas dormi de la nuit, il avait le sommeil léger depuis les dernières batailles, le souvenir de ceux qu’il avait emporté, leurs visages, revenait, l’embuscade dans laquelle ils étaient tombé la première nuit, la bataille une armée face à l’autre du lendemain, la plupart de ses amis tombé, laissé pour mort ou blessé….

Le jeune Matelot était donc en taverne... une chope a la main, regardant le feu danser dans la cheminée… il était resté là toute la nuit à boire un peu puis à faire ses rondes, tel était les ordres, garder la ville sûr.

Le blondinet était dans ses songes quand arriva une femme, le sourire aux lèvres, c’était Zephyre ! Elle lui claqua une bise sonnante. Madfly n’avait même pas compris pourquoi. Etait-ce son charme ravageur ??? Non… faut pas rêver ! C’était juste sa façon à elle de le remercier pour avoir aidé la petite Lys à rédiger une lettre pour Zephyre.
En fait, Mad avait écrit la lettre car la jeune fille ne le pouvais pas, poignet cassé, épaule en vrac et un œil violet … faut bien reconnaitre que ce n’était pas un jeu d’enfant pour la petite blonde.
Mad c’était juste contenté de retranscrire les désirs de Lys et d’envoyé les missives, et pour cela il avait eu une bise ! Tant mieux ! À Quand la prochaine missive ??

Les deux discutèrent durant plusieurs minutes puis, voyant que Zephyre était impatiente de voir sa petite et le blondinet comprenait largement, il lui proposa donc d’aller rentrer visite à Lys, Madfly devait guider la femme jusqu’au cabinet de Kiyo.

Zephyre avait bel et bien apporté toutes les affaires mentionnée dans la lettre … Enfin il n’avait pas vérifié mais à en juger par là le niveau d’encombrement du chariot a bras, le jeune homme n’avait pas de doutes….

Il tira donc tout cela jusqu’au Cabinet de Kiyo.




[Cabinet Médical de Kiyo]

Une fois arrivé-il qu’ils déchargèrent un peu le chariot. Il laissa le soin à Zephyre de prendre le coffret que voulait tant Lys et lui avait pris quelques habits sans oublier le peigne et les épingles… il demanda à un garde de surveiller le reste des biens de Zephyre pour s’assurer d’aucun vole puis ils entrèrent.


Décidément les lit improvisé de désemplissait pas … ce n’était pas le lieu idéal pour une jeune fille mais c’était le mieux pour permettre un suivis médical plus simple… au moins pour les premiers jours.
Madfly demanda à Zephyre de le suivre. Il remarqua au passage un jeune homme d’environ 17 ans perdu au milieu des blessés. Il s’arrêta un moment et remarqua qu’il tenait une lettre dans les mains avec le plan qu’il avait fait pour qu’il puisse trouver ce lieu.
Il s’adressa à lui :


Otan ? C’est ça ?? Vous êtes venu voir Lys également ?
Suivez-moi c’est part ici !


Et Mad continua sont bout de chemin pour finalement arriver face à une couchette improvisée ou dormait la petite blonde. Il se retourne.

Chuuuuut elle dort, tenez, je pose les affaires-là. Je vous laisse tranquille avec elle. Prévenez si vous avez des questions ou besoin de quoi que ce soit.

Il alla chercher trois chopes d’eau puis donna une chope a zephyre, une autre a Otan et posa la dernière au pied du lit puis après un sourire. Il les laissa et paix, allant aider d’autres soldats blessés …
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