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[RP] Le bain du maître d'armes

Isleen
La propreté est le luxe du pauvre : soyez sale.
Francis Picabia


L’après midi débutait juste, et la rouquine pataugeait dans la boue créée par les dernières pluies printanières, pour le plaisir et pour le devoir, l’irlandaise était à la recherche du maître d’armes de l’armée de Sang et de Feu, Brekthas.

Pourquoi donc me direz vous ?

Remontons à la veille au soir, plus précisément dans la grande tente dressée au milieu du camp royaliste, cette immense tente ou les soldats des armées se retrouvaient pour boire, parler, discuter, s’amuser et j’en passe.

Les protagonistes principaux : Enzo, Brekthas.

Un sujet de discussion en amenant un autre, il avait été question de propreté, notamment de bain, pour finalement aboutir à la volonté d’Enzo : que Berkthas prenne un bain, se lave des pieds à la tête et se change. Oui, oui un bain, parce que bon le dernier semblait dater d’un bon moment, la date de péremption semblait même largement dépassée, rien à voir avec l’état de la jeune écuyère Minah, dont on sentait les effluves même plusieurs heures après son départ, mais quand même. Enzo allait même pousser la gentillesse à lui payer une catin pour lui frotter le dos et plus si envie lui en prenait, alors il allait devoir y passer que ça lui plaise ou non. Le maître d’armes à peine sorti sur un "on verra", qui selon l’interprétation irlandaise sonnait comme un "compte dessus et bois de l’eau", qu’Enzo avait demandé à l’irlandaise de récupérer lesdites fripes et de les cramer, certain que son maître d’armes allait le prendre ce fameux bain.

Autant dire que les réactions qui s’en suivirent furent des rires de part et d’autres, chacun devant imaginer la scène d’une rouquine venant récupérer en douce les frusques. Une mission pareille la rouquine avait dit oui. Le coté divertissant de la chose l'avait emporté, et les filles présentes avaient été de leur commentaires et de leur demandes aussi : ne pas lui redonner tout de suite ses nouveaux vêtements propres qu’Enzo fournirait , cela afin de mettre de "l’animation dans le camp", une envie de le voir tout nu se promener oui ! Oui oui ce genre d’idées tordues, ce genre de mission réveillait le tempérament un peu fou de la rouquine et tant pis pour les éventuelles conséquences. Rien de méchant de sa part, juste une envie de distraction en ces moments trop sérieux.

Après moult cogitations nocturnes, Isleen en était venu à la conclusion qu’il fallait qu’elle prenne les choses en main, si elle ne voulait pas passer sa journée à coller au train de Brekthas dans l’attente que monsieur prenne son bain ! Du coup, à peine levée, la rouquine s’était mise au travail. Réquisition d’un soldat ou deux, qui après explications avaient donné leur aide, de toute façon, ils n’avaient pas le choix, "ordres du commandant" qu’elle leur avait sorti. Isleen leur avait donné soin de préparer la tente avec un grand tonneau coupé en deux qui servirait de baquet de fortune, et de le faire remplir pour le début d’après midi. De son coté, elle avait récupéré les vêtements propres qu’Enzo avait fait préparer par un écuyer puis était parti à la recherche …enfin choisir la catin qui aurait l’honneur du maitre d’armes . Si un jour on lui avait dit qu’elle ferrait ça , elle ne l’aurait pas cru. La vie réserve de drôles de surprises parfois.

Toujours est-il que tout est fin prêt en ce début d’après midi : le baquet rempli d’eau chaude, Emmanuelle, grande brune toute en formes attend armée d’un savon, ne manque plus que Brekthas. Quant aux vêtements, ils attendent dans sa propre tente.
Après quelques minutes de cherche, la minipouce vient justement de mettre la main dessus, enfin plus précisément les yeux, vu ce qu’il est en train de faire, y mettre la main c'est risqué : entrainement à l’épée avec quelques recrues. L'irlandaise à un grin de folie mais pas à ce point, alors autant ne pas se mettre entre l’épée d’une recrue et le maitre, un coup ça part vite surtout avec les débutants.

Un petit temps d'observation, elle a toujours aimé voir les hommes s’entrainer, ou se battre à mains nues en lice, ça a une certaine beauté, un certain charme, ça dégage un petit truc viril intéressant, et il faut bien le dire il a une certaine allure le maitre d’armes, même à son âge. Bon, ce n’est pas tout, mais le bain attend, à elle d’entrer en lice !


Dia dhuit* soldats ! Il est temps de finir l’entrainement, je réquisitionne votre maître d’armes !

Sourire à chacun, puis à Brekthas et hochement de tête, pour appuyer ses dires.

Nous avons à faire lui et moi et cela ne peut attendre. Viens on nous attends.

Oui, oui ça fait étrange de se voir commander par un petit bout de femme à la crinière de feu, irlandaise de surcroit, que l’on considère plus comme un soldat, un compagnon, à la limite comme une amie, ou une sœur, bref un peu comme quantité négligeable vu qu’elle n’a aucune fonction vraiment particulière au seing de cette armée, sinon que d’avoir la confiance de son chef. Mais messieurs faut vous y faire, aujourd’hui j’ai l’arme absolue et je n’hésiterais pas à m’en servir si on rechigne et elle tient en trois petits mots, qu’il me plait de sortir quand ça m’arrange : "ordres du commandant".


*bonjour
_________________
Brekthas
Comme vous le savez donc, Brekthas étant en train d'inculquer l'art de survivre à de jeunes soldats quand Isleen vint le chercher, par une pluvieuse après-midi. C'était là la principale qualité du maître d'armes, savoir transmettre aux jeunes le maniement de l'épée, mais aussi le bâton, ou la hache. Combattre était pour lui un plaisir, tout comme chevaucher, parcourir la campagne, se battre à mains nues... L'atmosphère étouffée d'une salle des gardes, le parfum des écuries, l'odeur métallique du sang versé aussi, constituaient son univers olfactif. Mais jamais, oh non jamais, le doux parfum des fleurs, la suave odeur des huiles de bains!... Aussi ce guerrier avait-il bien vite oublié la demande du commandant. Après tout, malgré sa menace de ne pas le garder s'il s'abstenait de prendre un bain, Enzo l'avait déjà pris à son service. Un engagement sans conditions.

C'est donc sans se méfier que Brekthas vit arriver Isleen et sa demande. Les plus jeunes recrues n'hésitèrent pas, facilement impressionnables lorsque qu'on usait d'un peu d'autorité dans une demande. Les autres se laissèrent convaincre quand Brekthas suivit.

Nous avons à faire toi et moi?.. Intéressant.

Il sourit. Un léger doute lui vint à l'esprit. Aurait-il tapé dans l'oeil de la rouquine? Non pas qu'il en ait eu spécialement l'impression avant ça, mais l'air un brin mystérieux et coquin de l'irlandaise excitaient sa curiosité.. Mais si coquinerie il y avait, ce n'était pas là où il croyait. Le maître d'armes suivit donc Isleen, sans mot dire, préférant laisser venir. Elle le conduisit alors vers une tente dans laquelle il n'avait encore foutu les pieds.


Tu sais, si tu voulais un moment de douceur avec moi, suffisait de d'mander, pas besoin de faire des mystères!


Riant, à moitié sérieux, Brekthas se fit pousser sans ménagement par la rousse à l'intérieur. Il se laissa entraîner, puis eu un blocage. Ni couche douillette, ni tablée réunissant soldats ou état-major... Rien qu'un grand demi tonneau avec un fond d'eau frémissante, un grand chaudron d'eau brûlante, et une grande brune en petite tenue laissant tout deviner de ses charmes voluptueux. Après un instant sans mot dire, Brekthas éclata de rire.

Alors, comme ça, tu t'es faite complice du commandant!

Merde. L'allait avoir du mal à reculer. Bon, pour le bain, encore, c'était bizarrement pas ce qui l'emmerdait le plus. C'était la putain. Il n'avait aucune intention d'y céder. Non pas qu'il n'en eu pas envie. A vrai dire, il sentait déjà sa virilité répondre à l'appel formulé par les courbes généreuses de la brune. Mais voilà un an, il avait formulé le voeu de ne plus jamais toucher à aucune de ses consoeurs.

Il n'y avait là nul chaste désir. Il aurait volontiers couché avec toute femme lui plaisant et se laissant charmer par sa musculature avantageuse, son aura de guerrier. Il avait durant des années fréquemment fréquenter les bordels, et comme bien des soldats, sa première fois avait été avec une catin. Durant toutes ses années, comme bien des hommes, il avait cru à l'intérêt réel des catins pour lui. Elles gémissaient son nom pendant l'acte, certaines l'embrassaient parfois, elles lui disaient qu'il leur avait manqué, après une trop longue absence. Il y avait cru. Et il en avait besoin. De sentir ce désir pour lui. Cet ersatz d'amour. Puis il avait rencontré une catin, il y a environ un an. Une prostituée qu'il avait appris à connaître, en dehors de toute relation "professionnelle". Lui qui s'était précédemment juré de ne jamais s'attacher aux femmes, du fait du dangereux métier qu'était le sien, avait fini par s'enticher de la putain. Il l'avait aimé, à sa façon. Avait appris son quotidien, la brutalité des clients, des maqueraux, l'obligation de" résultats", et donc le besoin d'assouvir les désirs du client, qu'ils soient sexuels, ou affectifs... Il avait alors réalisé comment ces femmes étaient exploitées. Il avait du ensuite quitter la ville précipitemment, et n'avait plus jamais revu la femme. De cette histoire, jamais vraiment éclose, lui restait ce vœu. Ne plus jamais prendre de putain. Par respect.

Mais là, il était dans de beaux draps. Le commandant lui avait déjà demandé s'il n'était pas de l'autre bord. Et non seulement la fierté du maître d'armes l'empêchait de laisser croire pareille infamie, mais en plus il pensait bien que le commandait pourrait le virer si jamais il se persuadait d'une telle chose. Il allait falloir jouer le jeu.


" Je vois que z'avez trouvé comment convaincre! "

Il rit à nouveau, et fit un clin d'oeil aux deux femmes.
_________________
Isleen
Il la suit et s’en est presque trop facile, un signe de main irlandais à l’attention des recrues et de leur air entendu et elle fait marche. S’ils savaient vers ou elle le mène, ils n’auraient pas ce petit air, d’ailleurs note pour plus tard : le leur faire ravaler à coup de bâton dans le fondement. Avec une bonne motivation, et un but intéressant, la minipouce se donne sans mesures pour arriver là ou elle décide. Pas de chance pour eux, même plus haut qu'elle, elle est tout à fait capable de leur faire mordre la poussière, l'entrainement dès le plus jeune âge, et la ruse, ça paye quoi qu'on en dise, mais ça ils ne le savent pas.

Ceci étant, le petit sourire est aussi arboré par Brekthas et l’irlandaise ne résiste pas longtemps et plonge dans le jeu.


Hé oui nous avons à faire ! tu vas voir, ca va être intére’ssant et passionnant máistir airm !*

Et sur ces paroles énigmatiques, elle laisse le silence s’installer entre eux, c'est surtout histoire de le faire cogiter, jusqu’à ce qu'ils arrivent à la tente, et à force de longues enjambées pour lui et de moins longues pour elle, on arrive forcément , comme maintenant.

Tu sais, si tu voulais un moment de douceur avec moi, suffisait de d'mander, pas besoin de faire des mystères!

Les onyx irlandais se posent sur le guerrier, esquisse d’un sourire et puis éclat de rire qui se joint au sien, alors qu’elle le pousse, les deux mains dans son dos, sans ménagement aucun, dans la tente. Bon, il faut l’avouer, s’il n’avait pas été en train de rire, s’il n’avait pas voulu voir ce qui se cache dans cette tente, elle n’aurait pas réussi à le faire bouger plus de trois pas, bon un seul, faut être réaliste, il est bourré de muscles et bien plus costaud qu'elle, elle perd au corps à corps.

C’est noté mais en atten’dant passe devant ! ar aghaidh, leis an folctha !*

Emportée dans son rire, la rouquine en avait naturellement parlé dans sa langue natale, et heureusement, surement se serait-il transformé en bourrique, refusant tout pas supplémentaire s'il avait su. Qu’allait-il penser du moment de douceur auquel il s’attend ? Elle allait vite avoir la réponse, toujours est-il qu’elle le poussa un peu plus dans la tente et se décala sur son coté droit, pour apercevoir sa réaction. Un éclat de rire, une lueur amusée. Le sens de l’humour, oui, et puis un petit quelque chose d’autre, une légère gène de s’être fait avoir peut être ? Ou plus ? Elle ne saurait le dire, elle ne le connait pas assez pour décrypter le moindre mouvement de cil.

Com’plice mais non ou juste un peu …

Une mimine irlandaise vint tapoter l’épaule, avec un léger sourire, un peu beaucoup complice pour le coup vu qu’il n’avait pas poussé la demande à ce qu’elle prépare, fasse préparer elle-même l’objet du délit. Mais ça , chut, elle n’ira pas le lui dire.

Et quand à sa’voir convaincre, tu n’as pas le choix surtou’t, c’est le bain ! Emma’nuelle, que voici, est là pour te la’ver des pieds à la tête et plus si tu le souhai’tes…mais ça, c’est toi que ça regarde.

Un simple sourire vient ponctuer les derniers mots, elle ne connaît pas beaucoup d’hommes qui résisteraient à pareille offre. Pensez donc, une femme gracieusement offerte par son commandant, une experte qui plus est, prête à assouvir tous vos désirs, et bien faite en plus. Suffit pour elle de poser ses irlandaises prunelles sur les courbes de la professionnelle pour rajouter quelques items à sa liste personnelle de complexes. Qui résisterait ? Pas beaucoup, c’est certain. Toujours est-il qu’elle ne veut pas savoir ce qui se passera sous cette tente, et n’y assistera certainement pas.

Allez Brekthas, dans le bain !

Les onyx se posent sur le guerrier, Oui, oui , pas le choix, tu entres mon grand et sans discuter, quoi que si tu t’y essayes ça pourrait être amusant. Tu fais quoi ? Tu tersiverges ? Tu résistes ou tu fais rédition et t'avoues vaincu ? Pas que je sois pressée mais j’ai tes vêtements à récupérer, à cramer, et puis ça serait dommage que tu te balades à poil dans le camp une fois la nuit tombée, on y verrait plus rien...adieu l'animation,adieu l'admiration d'un popotin rebondi à la recherche de ses braies. Alors ?

*dans l'ordre :
maître d’armes,
En avant, pour le bain !

_________________
Brekthas.
Allez Brekthas, dans le bain !

Le maître d'armes étant loin de se douter de l'implication réelle d'Isleen, ne chercha pas plus loin que l'affaire première dans les motivations de la jeune Irlandaise. C'est à dire le simple besoin olfactif qu'un chef de section soit propre et sente bon. Pourtant c'était pas une mauvaise technique pour terrasser les ennemis que de puer... Bon, en fait, ça ne servait strictement à rien, mais ça pouvait servir d'excuse à l'occas'.

Brekthas n'hésita pas bien longtemps. Il aimait pas spécialement les bains, mais après tout il n'avait pas fait de la saleté un mode de vie, contrairement à d'autres. Juste qu'on l'avait pas vraiment éduqué de façon à ce qu'il soit convaincu des bienfaits d'un bain régulier. Il était plutôt adepte du débarbouillage minimaliste. Mais là, il y avait ordre du commandant, et sacré piège sous la forme d'une putain. Il grommela, ronchonna pour la forme :


Bon, bon... Ouais, ouais, j'y vais hin! Dis bien au commandant qu'il peut m'garder. J'vais être prop' comme jamais!

Sur ce, sans plus de soucis, Brekthas commença à se dévêtir rapidement, commençant par le haut de sa tenue. Habitué des casernes, plutôt fier de sa musculature et des cicatrices de ses batailles passées, l'homme était pas du genre pudique. Néanmoins, alors qu'il commençait tout juste, sans avoir laissé à Isleen le temps de vraiment réagir, il reprit :

T'es pas obligé d'rester hin? J'sais m'laver t'sais! Pis j'pense que.. La brune saura, au pire!
Isleen.
Le sourire s’étire fin et amusé, les onyx pétillent de malice, le feu follet irlandais s’amuse de voir un grand gaillard costaud comme ce maître d’armes, prendre l’air d’un petit garçon qui rechigne à prendre son bain, mais qui s’y pli contraint et forcé, par peur de se prendre une fessée. Quoi que la fessée donnée par la belle brune Emmanuelle, ça doit en tenter plus d'un…

Je lui dirais que t’y a été de bon cœur en plus…

Ca pétille un peu plus dans les billes noires. Il faut dire qu’elle est du bon coté de la situation, ce n’est pas elle que l’on force à prendre un bain, mais bon il est chanceux, une belle jeune femme pour lui savonner le dos, il y a pire punition. Elle à sa place, pas dit qu’elle est un beau brun pour lui savonner le dos et la dorloter, d’ailleurs pour le principe, elle tirerait la tête, râlerait avec vigueur, chercherait tous les moyens pour sortir de cette tente et, au final, pour la forcer, c’est la jeter toute habillée dans le baquet qu’il faudrait faire. L’opposition, surtout pour des choses aussi insignifiantes, ça a du bon, ça met un peu de vie, de peps, de folie surtout quand on peut y embarquer les autres.

On mange quoi ce soir ?

Brekthas ! Enfin bon pas elle, il est plutôt au menu de la belle brune, mais ce n’est pas parce que le plat servi ne l’intéresse pas, qu’elle ne peut pas en admirer la composition, l’arrangement et l’assaisonnement, alors l’irlandaise ne se prive pas tandis qu’il ôte sa chemise. Elle admire les muscles, les cicatrices, le dos puissant…Oui pourquoi se priver d’admirer ce qui généreusement se dévoile sous vos yeux ? Aucune raison, et peut être est ce parce qu’il ne l’intéresse pas qu’elle se le permet sans aucune pudeur. Pas qu’il ne soit pas beau. Mais c’est comme avec Enzo, aussi beau soit-il, il n’a jamais réveillé quoi que ce soit en elle, pas même la plus petite étincelle de désir. L’âge n’a pas plus à voir avec, elle est même plus souvent attiré par des hommes nettement plus âgés qu’elle, comme Christopher qui a un temps réveillé une petit étincelle, sans le savoir. Non au final, elle peut admirer le Commandant et son second, apprécier l’esthétique de leur personne, et leurs caractères haut en couleur, ils ne réveillent rien, des amis, des frères un peu tout simplement.
Et le maitre d’armes, pas encore vraiment ami mais ça ne saurait tarder, ne réveille rien, donc elle admire sans gêne et lui sourit alors qu’il se retourne.


Bon bon, je reste pas. Et oui Emmanuelle sait et pas que ça d’ailleurs…allez à plus tard !

Et sur un sourire amusé, l’irlandaise plante là le futur baigneur. Elle sifflote en s’éloignant de la tente, et fait quelques pas avant de s’arrêter brusquement, de pousser un juron, puis d’éclater de rire sous les regards ahuris des quelques soldats qui trainaient là. Elle vient d’acceder au statut de folle dans leurs esprits et elle s’en moque, demi-tour, elle a oublié les vêtements , ceux qu’elle doit bruler !

Retour tonitruant dans la tente , elle ne prend pas de pincette, elle entre, un peu comme chez elle.


C’est encore moi ! Bouge pas, j’ai oublié….

Regard sur un fessier bien rebondi, descente le long des jambes, dont l’une est légèrement relevée, prête à monter et se poser dans le baquet. Petit moment de silence, pour reprendre ses esprits, regard qui se détachent du séant à la recherche des vêtements.

…Ca !

Chemise, braies, et tout le toutime montré du doigts, quelques enjambées, prises desdites frusques, et léger sourire alors que ces onyx se posent sur le visage de Brekthas.

Quand tu auras fini, viens m’retrouver au centre du camp, j’aurais des affai’res propres pour toi….

Et sans attendre de réponse, la minipouce file de la tente, laissant derrière elle un léger rire.


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