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[RP] Laisse moi m'envoler... la fin à sonné .

Elina
Trois jours... Voilà trois jours que la tornade brune n'était plus. Trois jours qu'elle n'était plus que l'ombre d'elle même. Oui sa vie avait de nouveau basculé. Encore, Diriez-vous? Il semblerait qu'elle ne puisse avoir une vie stable, tranquille, emplit de joie et d'amour. Non il fallait toujours que les drames la pourchasse, la hante et la gagne... Mais cette fois ce n'était pas une de ses petites peines, futile, insignifiante, où on pouvait s'en remettre en quelques jours. Non se drame ci marquerait toute sa vie, la changerait à jamais. Elle ne saurait s'en remettre totalement. Oh oui bien sur, un jour elle se relèverait et avancerait, mais cela restera toujours ancrer dans sa mémoire.

Depuis ces trois jours, Hellina était enfermé dans des appartements au Manoir sans nom. Elle s'était réfugié chez Thomas pour ne plus en sortir. Pourquoi chez lui? Certain trouveraient cela étrange et pas très convenant qu'une femme vive ainsi chez un homme. Mais en l'occurrence elle en avait que faire. Thomas était la seule et unique personnes – en dehors des filles de celui-ci, mais c'est des enfants donc ce n'est pas pareil - qu'elle acceptait de voir et de parler. Il était son meilleur ami, sans doute la personne qui la connaissait la mieux. Avec lui elle n'avait pas besoin de parler, il comprenait. Il n'avait posé aucun question, se contentant d'offrir son épaules aux pleurs qu'il sécha en suite, et lui laissa toute la liberté d'expliquer une fois qu'elle fut prête. Il savait toujours quoi faire avec elle, quoi dire, ou plutôt que ne pas dire. Était là toute la différence. Il évitait soigneusement de lui parler de tout ce qui se rapprochait du drame, lui parlant de tout et de rien à la fois. Voilà une des raison du pourquoi elle refusait la présence de quiconque, elle ne supporterait pas que quelqu'un y fasse allusion. C'était réservé à elle même! C'était son jardin secret, seule elle pouvait y penser. C'était son fils, son bébé, son soleil. Oui on ne se remet jamais de la perte d'un enfant, et en l'occurrence, elle ne savait comment faire face. Puis après tout elle était pas vraiment décidé à faire quoi que se soit pour que cela aille mieux. Elle voulait rester ses journées entières en boule dans le vaste lit, se remémorant tout ses plus beau souvenir avec son fils. Lénaïc... si joyeux, si tendre, si naïf, si Lui... Il était sa vie, sa raison de vivre. A quoi vivre si il n'était pas là? Pourquoi rester ici à souffrir alors qu'elle pouvait partir le retrouver. Oui chaque nuit elle y songeait, chaque nuit elle était tenté. Bien pour cela que Thomas ne la quittait pas d'une seule seconde, il veillait même toute la nuit pour garder un œil sur elle, et être là si jamais elle s'éveillait en pleins cauchemars.

En lui prenant son fils, on avait tué une pars d'elle même. Sans doute la part la plus importante qui faisait d'elle ce qu'elle était. Après tout si on faisait un léger retour dans le passé, on pouvait voir que c'est la maternité qui lui avait fait devenir le Hellina que tout le monde ici connaissait. C'est en prenant son fils dans ses bras pour la première fois, que la « Sombre » quitta son corps et son esprit. Mais maintenant qu'elle n'avait plus son enfant, serait-elle assez forte pour la repousser à nouveau? Elle en doutait.. plus les jours avançait plus elle perdait ses forces, elle serait bientôt complètement incapable d'opposer la moindres résistance. Elle avait un grand vide en elle, depuis le jour où elle avait apprit cette nouvelle. Elle avait la sensation qu'il lui manquait quelques choses, l'impression d'être incomplète... Ce qui la rendait dans un état léthargique, semblable à un zombie. Ses traits étaient tiré, ses yeux rougit en gonflé par les larmes. Elle n'avait plus rien à voir avec la resplendissante d'Acoma.

Aujourd'hui, elle était comme les deux dernier. Fragile, léthargique, et terriblement ailleurs. Elle semblait toujours êtres dans un autre monde, redescendant que dans de rare moment. Elle était toujours allongé sur le lit, en boule sur le côté, ses yeux océanique fixant Thomas jamais bien loin d'elle. Aujourd'hui l'Anglois avait décidé de lui faire la lecture pour lui changer les idées. On ne pouvait dire qu'elle était une auditrice très attentive, mais elle appréciait tout de même. Elle aimait entendre la voix de Thomas, et se concentrait sur son intonation. Cela la calmait, l'apaisait, et la laissait sereine durant un petit moment. Ses yeux se posèrent ensuite sur la fenêtre tout en écoutant distraitement Thomas, et se perdirent à l'horizon.. Elle voulait partir, elle avait besoin de changer d'air.. Il fallait tout d'abord qu'elle aille vérifier elle même si son fils c'était vraiment envolé... Elle gardait tout de même un infime espoir pour qu'il se soit simplement égaré. Le bruit du livre qui se ferme la fit revenir à la réalité, et se tourna à nouveau face à Thomas, l'histoire était terminé. Alors doucement elle plongea ses azur dans ceux du brun et lui dit avec mélancolie, mais sure d'elle:

Je veux partir thomas... Elle comptait s'arrêter là, ne parlant que peux ses derniers temps, mais elle savait qu'à ces simples paroles il allait s'inquiétait. Elle lui avait déjà dit avoir envie de mourir, de retrouver son fils, il fallait donc préciser... Je veux dire, partir d'ici simplement.
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Thomas_sauveur
Depuis quelques jours son Manoir avait été envahi, un soir lorsque l'heure de passer à table était arrivé, une tornade avait terminée dans ses bras en larmes et depuis elle n'avait pas vraiment quitté les lieux. Non pas que cela dérange le Talleyrand attaché à cette femme, mais c'était une constatation réellement la vie de la petite famille tournait autour d'elle à présent. Les filles étaient gentille et compréhensive et lui partageant son chagrin avait prit soin de faire respecter ses directives. Aucune visite, pas de tête même amicale ne devait franchir les portes. Caprice ? Non il n'y songeais même pas sachant bien que Hellina était milles fois plus sociable que lui en temps normal. Alors il s'occupait des trois femmes devenant tantôt lecteur, tantôt confident, tantôt père, tantôt ami.

Les journées s'écoulaient et ne ce ressemblait pas vraiment, emplit de travail, d’inquiétude pour Hellina aussi, même si la jeune femme n'était plus en larmes, elle ne mangeait pas beaucoup, semblait toujours proche de retomber également. Cependant certain trait de son caractère était revenue, elle ronchonnait, luttait et osait même le réprimander ce qui en soit rassurait Thomas. Mais pour combien de temps ? Elle ne pourras pas vivre au Manoir Sans Nom pour toujours, bien que cela ne le dérangeait nullement, elle devait un à moment ou un autre sortir de ce cocon protecteur et parcourir la ville assumant les regards des gens et leurs questions. Oh il savait bien que cela ne serait pas Demain, ni bientôt, mais tout de même ! Un homme et une femme vivant sous le même toit ferons naître des ragots, des mensonges, des allusions et même si le Ténébreux n'en avait que faire de tout cela – ainsi que Hellina- il n'était pas certain que les d'Acoma acceptent tout cela sans rien dire, même pour le bien d'une des leurs.

Aujourd'hui, il avait décidé de lire une histoire à Hellina, comme il l'aurait fait avec les filles, l'histoire était en Anglois, mais Thomas avec son petit accent et ses connaissances de la langue traduit les phrases et laissa donc découvrir à son amie comment un loup devient l'ami d'un agneau. L'histoire typiquement outre-manche avait de quoi intrigué l’auditoire, mais il savait qu'elle n'écoutait pas vraiment. Alors lorsqu'il referma le livre, ce fut pour garder un profond silence, sachant bien que les questions n'auront aucune utilité, avec elle seul le silence permettait de recevoir les informations souhaités. Et une nouvelle fois, sa patiente paya à peine eut-il le temps de reposer le livre sur la table que déjà elle parla de partir.

Partir ? En voilà une idée originale, mais partir pourquoi ? Sebastian et Edmond étaient tout deux partis chercher Lenaic même si les chances de le retrouver était plus que maigre. Alors pourquoi partir d'Epinal, ou étaient leurs amis, leurs familles, leurs avenirs sans doute et leurs passés. Il était déjà partis d'ici, de longue années et avait fini par rentrer à nouveau manquant d'air là-bas loin. Mais diable pourquoi voulait-elle partir maintenant ? Les Vipères ? Les commères, les excuses ne manquait sans doute pas, mais tout de même. Il fronça les sourcils et prit sa main dans la sienne, comme l'ami qu'il était, la soutenant, avec prudence.


Partir ? Avez-vous pensez à ceux qui vous sont cher Hellina ? Vraiment....Mais pour ou?
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Cherche joueur(euse) pour incarner un PS ou PJ Fœtus, Mâle.
Loguen
Une nuit pas comme les autre, il avait reçu un courrier, un courrier qui l’avait profondément abattu mais il se devait d’être fort, non seulement pour elle mais aussi pour lui.

Tard dans la soirée, un messager vint lui porter un plie, il avait l’habitude de travaillé très tard dans la nuit, une vieille habitude qui remontait à assez longtemps. A l’époque, ses journées était occupé d’entrainement martial et de marche ou même combat plus rarement heureusement, Loguen n’avait pu compter que sur ces nuits pour développer ses connaissances et devenir aujourd’hui l’homme qu’il était. Un homme follement ou tendrement épris d’une jeune femme qui venait de recevoir la pire des nouvelles, c’est ce que lui appris ce plis envoyé par un de ses meilleurs ami, Thomas Sauveur, le messager pénétra dans le bureau, déposa la lettre et fila sans demander son reste. Le nouveau capitaine de Lorraine ne l’avait même pas lu immédiatement finissant d’écrire un courrier pour demander des listes de volontaires, quand il s’en saisit, il pus lire le nom de l’expéditeur et déjà une inquiétude l’envahit et il avait bien raison. Au fur et à mesure de sa lecture, ses entrailles le déchiraient de plus en plus, étais-ce ses enfants, pas le moins du monde, les avait ’il vu, encore moins mais c’était ses enfants à elle, une partie d’elle. Loguen s’était fait une joie de vouloir les rencontrer, de leur apprendre tout ce qu’il savait, de les chérir, il regrettait de n’avoir pu les connaitre mais le plus grand mal qui le rongeait de l’intérieur, c’était qu’il n’avait pas su être là, la pour elle, pour lui dire qu’il était là, qu’elle pouvait compter sur lui, qu’ils surmonteraient cette épreuve ensemble, tenter de lui changer les idées.

Il s’en voulait à tel point qu’il aurait pu faire une grosse bêtise, mais cela aurait peut-être aggravé la situation, il ne ressentait que douleur et il ne pouvait corriger son tord vu qu’elle s’était enfermé, il avait failli à sa tâche, lui pardonnerait ’elle un jour de ne pas avoir été là. Il laissa tomber le courrier à terre ne sachant que faire, devait ’il renverser tous les meubles de son bureau pour évacuer cette rage qu’il avait contre lui-même, crier à plein poumons, il n’en avait pas la force. Sa seul et unique réaction fut de se prendre la tête dans les mains, il avait déjà connu plein d’horreur dans sa vie, y compris des enfants inanimé transpercé de coup de lames, mais il s’était toujours dit qu’il n’aurait rien pu faire de toute façon, que le très haut en avait décidé ainsi mais là c’était différent. Il voulait se marier avec elle et n’était même pas capable d’être là pour elle et si il ne la méritait pas et si c’était Thomas l’homme dont elle avait besoin, mil et une questions lui passèrent dans la tête et quand il redressa le menton, le jour pointait du dehors.

Il devait bouger, faire quelque chose, agir, tout tenter pour rattraper sa faute, le capitaine se leva et sans un mot se dirigea vers les écuries pour rentrer à l’hôtel particulier de sa famille sur Epinal là où il logeait, il aurait besoin de ses plus proches hommes de main. Les soldats et autre gradés qui le croisèrent dans les couloirs s’écarter naturellement devant lui, on pouvait voir clairement que se mettre en travers de sa route n’était pas la meilleurs des choses à faire. Sa monture était prête et heureusement, il s’installa sur la croupe de l’animal et fila tel un forcené vers l’hôtel, la route serait longue depuis Nancy.

Une fois sur place, ses consignes furent cinglante, qu’on aille espionner la demeure de ce Thomas afin de repérer ou séjournait Hellina, qu’on lui ramène de quoi écrire, qu’on lui apporte la plus belle des roses d’Epinal et une tenue simple ou il pourrait avoir des mouvements ample. Le personnel de la maison ne l’avait certainement jamais vue comme ça, ils s’exécutèrent donc en filant aux quatre coins de la demeure, lui monta les marches quatre à quatre pour se retrouver dans son bureau ou il retira avec acharnement sa tenue de capitaine de l’ost, symbole pour lui de sa faute, elle aurait dû passer avant tout, il aurait dut être la prêt d’elle et non dans cette caserne. On lui apporta de quoi écrire rapidement, il s’installa donc à son bureau et écrivis :


Citation:
Ma tendre Hellina,

Je ne peux te voir mais je peux t’écrire, même si je ne sais si tu recevras cette lettre ou non. J’ai appris la terrible nouvelle par Thomas, je ne peux t’écrire que ces mots tant ma peine est grande pour toi, je m’en veux tellement.
Sache que je suis là pour toi, à ton écoute, prêt à répondre à toutes tes demandes, je suis loin d’être un homme parfais mais je veux t’épauler dans tous les moments, qu’ils soient heureux ou non, je veux être là pour toi à tout moment.
Depuis le jour où je t’ai rencontré jusqu’à aujourd’hui, je n’ai fait que t’aimer de plus en plus et je pense réellement que tu es la femme de ma vie, je pense à toi chaque jour, chaque minutes, chaque secondes qui passent et encore plus en ce moment, puise dans ma force, puise dans mon âme toutes les ressources dont tu auras besoin pour affronter cette situation.
Je suis là pour toi, je t’aime d’un amour inconditionnel et je veux t’aider. Si tu veux me répondre, me demander quelque chose ou n’importe quoi, tu n’auras qu’à allumer une bougie à ta fenêtre et glisser le mot sur le rebord, je viendrais le chercher.

Ton dévoué, Loguen.


Il lâcha la plume la plume sur le bureau, relisant plusieurs fois ces mots, ses mots car il avait mis un peu de lui dans ce texte. Il le plia en deux afin de le transporter plus facilement et déposa ce parchemin sur son bureau, au même moment, on lui apportait sa tenue et la rose qui venait juste d’être découpé fraichement. Il s’habilla prestement, mis le papier dans une poche de la tenue et se saisie de la rose à pleine tige, se moquant éperdument des épines, la douleur serait dans tous les cas moins forte que celle qu’il éprouvait. De plus, personne ne connaissait l’existence de leur relation naissante, il ne pouvait donc en parler à personne mais il ne voulait pas en parler, ceci ne touchait qu’elle et personne d’autre n’avait à le savoir. Il ressortit donc aussi vite de l’hôtel qu’il était entré, maintenant, il devait rejoindre l’homme qui était censé repérer la chambre d’Hellina.

Arrivé à quelques encablures de la demeure, il chercha son informateur, il ne mis pas longtemps à le trouver du fait qu’il l’attendait. Il avait repéré la chambre et lui montra du doigt la fenêtre attenante, Loguen le fit alors disposé et se mis à analyser la demeure. Atteindre le rebord de la fenêtre ne serait pas facile mais il le ferait, il vérifia donc tout d’abord de ne pas être vu, puis aborda la façade de la demeure, il ne voulait pas la déranger, ni même regarder par la fenêtre ce qu’elle pouvait faire, c’était sa partie privée et elle avait demandé à ne voir personne, c’était donc y compris lui et il le savait. Il arriva à une hauteur convenable ou il pouvait attraper le rebord de la fenêtre avec sa main, il était donc bien positionné, tenant la rose dans sa bouche durant l’ascension. Il libéra un de ses bras alors manquant de peu une chute, récupéra le parchemin, tendis le bras bien au-dessus de sa tête pour atteindre le rebord et il fit glisser le courrier délicatement pour éviter qu’il ne tombe, puis ce fut le tour de la rose, même procédé pour la faire glisser sur la lettre. Elle était assez grosse et charnue pour être vue mais aussi pour résister au vent et ainsi empêcher l’envol de sa lettre. Il redescendit de la façade juste après avoir accomplis sa tâche ne voulant être repéré, il n’avait rien pus voir de la chambre et tant mieux, regardant dans toutes les directions, personne ne l’avait vu non plus.

Il sortit alors de sa poche un petit linge noir qu’il enroula autour de sa main pour cacher les perles de sang qui sortait de sa paume due au contact avec les épines, sa bouche avait été épargné, tant mieux pour rencontrer Thomas dans un sens. Il se dirigea donc à grand pas vers l’entrée de la demeure et y toqua plusieurs fois afin d’être sûr d’être entendue. Un domestique lui ouvra, il prit donc la parole d’une voie assez froide et triste.


Pourriez-vous annoncer à Thomas Sauveur que je souhaite le rencontrer au sujet de la jeune femme logeant en cette demeure, je suis Loguen de la Fiole Ebréchée, merci beaucoup.

Il espérait grandement être reçu et avoir des nouvelles, savoir comment elle se portait, comment elle arrivait à survivre avec cette terrible nouvelle, si elle n'avait pas des envies noir, savoir comment il pourrait être utile, des centaines de questions lui passaient par la tête, il voulait être tout simplement la pour elle, lui aussi.
Thomas_sauveur
Il était toujours dans la même pièce qu'Hellina Rose d'Acoma à encaisser son envie de fuite. Maintenant debout l'homme avait plongé dans ses poches deux mains aux poings fermés. Debout devant-elle, il fit les cent pas perdu devant telle réaction comprenant à la fois et n'étant pas pleinement satisfait de cette décision. Partir,d'accord de toute façon il était écrit qu'il la suivrait au bout de sa folie, Thomas ne pouvait envisager de laisser cette femme seule à chercher son fils. Lenaic, c'était son élève, un bout d'homme qui avait tout l'amour de Thomas et c'était bien entendu hors de question que les recherches ne cesse avant... Longtemps. A peine la nouvelle fut-elle dite que Sebastian et Edmond avaient reçu l'ordre de partir contre Dijon, fouiller les auberges, les ruelles, les Églises, les orphelinats à la recherche du gamin. Mais tout de même partir ! Quitter la Lorraine, leurs Duchés à tout deux, car si lui est né ici, sa famille à elle est aussi présente depuis bien longtemps. Partir... Partir. Il fit les cents pas dans cette chambre, lui lançant des regarda soucieux, d'autres doux, parfois mordillant ses lèvres, inquiet de cette phrase lancé au devant de longue, très longue discutions. Mais il ne devait pas oublier de voir le bon côté des choses, Hellina Rose était de retour, elle n'était plus avachie à pleurer sur son sort, elle ne refusait plus de voir la vérité, elle songeait même à sortir du Manoir. Plongé dans ses réflexions il entendit à peine les chiens dans la cours signalent des mouvements succès et sans Sebastian pour s'occuper de la sécurité du Manoir la tâche du jeune Capitaine fut simplifié, sûrement.

Il était toujours là, ne comprenant pas vraiment comment elle voulait fuir ce qui avait toujours été leurs connaissances. Ce demandant si vraiment ils seraient heureux ailleurs loin de leurs amis, de leurs repères, et décida de s'approcher d'elle à nouveau embrassant son front avec tendresse, incertain de la suite. Comme il aurait voulut pouvoir la protéger à jamais de tout cela, mais finalement ici ou là-bas la souffrance sera la même. Le chagrin venait d'une perte et personne ne pourras lui faire oublier cela, même la distance ou le temps. Il ferma les yeux ses lèvres quittant son front, alors que lui s'installa sur le rebord du lit. Que dire ? Que faire, rien... Il savait que rien c'était le mieux, Hellina était ainsi, ce mettre devant-elle ou contre ses choix était le meilleur moins pour la faire fuir doublement. Alors il haussa les épaules et afficha un début de sourire sur ses lèvres. Il cherchait une phrase taquine à lui dire, le genre de remarque bien lourde qui lui assurait un énorme sourire de la part de la Brune avant de recevoir une tape par principe. Mais... que lui dire ?


Si vous voulez fuir la médiocre cuisinière du Manoir, nous pouvons la renvoyer. Sont poissons est toujours trop salée.

Il caressa sa joue, lentement dans un soupir à peine masqué. Dieu cette femme le tuera un jour, il le savait depuis le jour de leurs rencontres. Elle qui comme lui ce glisse à la hauteur des enfants, ce bat pour ceux-ci, s'attaque au pire des combats pour entrer dans des histoires abracadabrantesques ne pouvait pas ne pas le tuer. Lui qui cherchait que la quiétude et le repos en revenant avait du tomber sur cette femme là, l'inverse même de son lui passé. Il secoua la tête, sachant bien que tout deux avaient eu des hauts, des bras, de grand moment et de grosse colère, mais maintenant ? Il secoua la tête. Lorsqu'il l'avait vu arrivée, morte et pâle, il crut faillir, perdre pied et pourtant il n'avait pas hésiter à décider pour elle pendant quatre jours, quand dormir, quand manger, quand prendre un bain, il l'avait traité en femme enfant, prenant soin de respecter sa pudeur et sa fragilité. Pourtant elle l'avait abandonner au poste de Maire, ne le soutenant que très peu, il lui en avait voulut, tellement fort. Mais maintenant... Non dès qu'il l'avait revu tout était oublié, tout avait été balayer d'un coup de vent frais. Il l'appréciait trop pour se stoper à des détails.

La porte frappa et l'homme fronça les sourcils ce demandant qui osait venir les déranger à pareil instant de la journée. Aelis et Ambre dormait, lui et Hellina étaient rentré aussi il ne manquait personnes dans le logis et si le Talleyrand était rigoureux sur certain point, l'heure des visites en était un important. Son Manoir n'avait rien d'un moulin ou d'une maison de passe. Sachant bien que Hellina avait déjà remarquer son mécontentement il ce redressa du lit et debout à fixer la porte attendit. Pas très longtemps, car déjà un domestique – nommons-le – Antoine frappa à la porte de la chambre pour y entrer quelques secondes plus tard afin d'annoncer, ceci:


Loguen de la Fiole Ebréchée, souhaite rencontrer Monsieur au sujet de de la jeune....femme ici présente.


Thomas posa son regard sur Hellina, surpris adressa une question à son égard :

Voulez-vous le rencontrer ? Sinon nous lui demanderons de sortir Hellina. Songeant fortement que venir au Manoir malgré sa demande de respecter le choix de la brune et vu l'heure était quelque peu indécent. Mais peu importe, Thomas généralement calme posa son regard sur le domestique pour lui donner quelques ordres, bref, mais concis: Antoine. Vérifiez que les filles soient toujours endormit et faite attendre Monsieur Loguen au salon, avec un verre de notre meilleur whisky.
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Cherche joueur(euse) pour incarner un PS ou PJ Fœtus, Mâle.
Elina
L'amour est un tournoi 
Où tombent tour à tour 
Les guerriers maladroits 
Noyés dans la bravoure. *


Francis Cabrel.

Thomas.. Thomas trouvant toujours la phrase, qui arrive à trouver de quoi la détendre, la rassurer. A ses mots elle avait poussé un soupir exaspéré en levant les yeux au ciel. Au fond d'elle elle souriait, mais son visage refusait toute expression. Thomas avec qui elle était en parfaite harmonie, se comprenant par de simple regard, par de simples gestes, les mots étaient inutile entre eux, et d'ailleurs c'était mieux ainsi, car bien souvent avec des mots ils ne se comprenait pas réellement, pas comme ils le voudraient. A ses moments là, il valait mieux se taire, et laisser agir leur complicité et leur amitié sans faille. Car oui sans faille elle l'était, malgré leur innombrable petite disputes, boudages incessant et déceptions de l'un comme de l'autre, ils étaient incapable de s'en vouloir et de rester loin l'un de l'autre. La preuve il n'avait pas hésiter une seule seconde lorsque elle était apparut devant chez lui, plus désemparé que jamais, alors qu'elle, elle l'avait abandonné durant presque un mois avec de maigres nouvelle.

Il s'était assis sur le bords du lit, jamais très loin d'elle depuis ses quelques jours. Elle savait qu'il s'inquiétait pour elle, mais elle n'arrivait pas à le rassurer... Elle posa doucement sa tête sur l'épaule de son ami en soupirant doucement et sans aucun mots. Oui des gestes comme celui ci était fréquent entre eux, et totalement naturel. Certains trouvaient cela déplacé, les trouvant trop proches pour une simple amitié, trop complice. Mais à vrai dire elle en avait totalement rien à faire.. thomas resterait thomas, et ce que les gens pouvaient dire sur leurs compte, elle s'en fichait royalement. Elle repensait aux question de thomas, les tournant dans sa tête en y réfléchissant avant de répondre.

Pour où? Je ne sais pas... loin, très loin. Quant à ceux qui me sont cher...

Elle haussa légèrement les épaules. Elle venait de perdre la personne la plus importante à ses yeux, la personne essentielle à sa vie, à son bonheur, si elle ne l'avait plus à lui, elle pouvait tout perdre que cela ne la ferais pas réagir. Thomas mis à part bien sur, mais elle savait que si elle partait réellement, il l'accompagnerait.

Enfin, nous verrons...

Le nous verrons était très évasif, car elle savait très bien qu'au fond d'elle, elle ne voulait plus rester ici. Tout lui rappeler Lénaïc, tout ici la faisait souffrir, comme ils avaient fait souffrir thomas... *
A sa caresse sur la joue, elle pencha doucement sa tête, à la rencontre de sa main, thomas si protecteur aussi! Serait-elle encore là, si elle n'avait pas trouvé secourt auprès de lui? Aurait-elle eut la force de continuer, d'essayer sans lui? Non assurément pas! Il était sa boué de sauvetage, son rocher au milieux de la mer, désormais son seul et unique repaires.

On interrompit brutalement ses pensées, et sont moment de calme avec Thomas, un homme, surement un des domestique entra. Elle n'écouta pas vraiment ses paroles, en ce moment elle n'écoutait plus vraiment personnes en vérité, se désintéressant de tout. Mais elle retient quelques bribes de la phrase :Loguen de la Fiole Ebréchée,... rencontrer Monsieur. QUOIiiiiiii???? Elle se tourna de suite vers thomas espérant avoir mal compris. Comment ça loguen rencontrer thomas? Où étais l'erreur dans ça? Thomas, Loguen, ici... Tout cela était vraiment vraiment bizarre! Puis pourquoi voulait-il voir thomas? Puis PERSONNE devait venir ici. Personnes c'était pas compliqué non? Alors pourquoi?!! Pourquoi lui imposer ça?

Elle se mordait les lèvres, alors que toutes ses pensées se mélangeait dans sa tête, que thomas gardait ses yeux inquiet fixé sur elle. Au fond elle comprenait Loguen et sa démarche.. elle s'était enfermée ici sans aucune nouvelle. Il se faisait du soucis et c'était légitime... mais c'était plus fort qu'elle, elle ne pouvait pas y arrivait pas, c'était au dessus de ses capacités. Oui Thomas faisait tout pour l'ouvrir a nouveau au monde, lui apprendre à redevenir sociable, mais elle avait encore du chemin à faire. Elle n'avait aucune envie de faire semblant, faire comme si elle n'était pas totalement détruite de l'intérieur, se forcer à parler, échanger, se montrer agréable. Mais c'était plus fort qu'elle. Elle hésita de longue minutes en gardant le silence. Après tout, elle pouvait faire un effort, au moins pour Loguen. Elle lui devait bien ça, avant.... avant quoi? Que se passerait-il? Qu'allaient-il se dire, et sur quoi aboutirait cette dernière rencontre avant un bon moment... Pour le moment elle ne savait vraiment, attendait d'être devant lui pour trouver les mots, pour savoir que faire. Mais le saura t'elle?

Ses yeux se levèrent vers thomas, une lueur de panique les éclairée. C'était une nouvelle épreuve pour elle, affronter le regard d'une autre personne que thomas... elle en avait perdu l'habitude. Mais avant il fallait rassurer le Maitres en protection.

Hum... oui, je... je veux bien le voir. Elle se mordilla à nouveau la lèvre avant de reprendre. Mais accordez moi une dizaine de minutes, je.. je vous rejoindrais.

Oui elle avait besoin de s'y préparer psychologiquement. Personne ne pouvait comprendre ce qu'elle ressentait, même thomas ne la comprenait pas réellement. Mais elle n'y pouvait rien...
Thomas quitta la pièce pour rejoindre Loguen en bas, et un grand vide l'envahit. Elle avait peur, elle avait besoin de lui, et pourtant il fallait qu'elle apprenne à se contrôler seule, à retrouver sa capacité à prendre des initiatives et agir seule, sans son aide.
A peine fut-il partit qu'elle se leva soupirant profondément. Lentement elle s'approcha de la fenêtre, fixant l'horizon. Elle voudrait déjà être loin.... Cette idée de partir lui envahissait de plus en plus l'esprit. Elle en parlerait avec calme à thomas, voyant tout deux toutes les éventualités.
Alors qu'elle était dans ses pensées quelques chose attira son regard sur le rebord de la fenêtre, une rose... et une lettre... Froncement de sourcils intrigué, qui se transforma vite en agacement. C'était Loguen elle en était sure, et il avait osé, osé monter jusque ici, il l'avait surement espionné.. puis comment avait-il pu faire alors que la surveillance autour de la propriété de thomas étaient très développé... C'est toujours avec grand agacement qu'elle ouvrit le fenêtre, pour récupérer cette fameuse lettre et la rose. Son nez s'enfuit dans ses pétales, humant avec délice son savoureux parfum, avant d'être posé sur la table de chevet. Il était tant de découvrir cette lettre.

Elle la décacheta avec soin, très doucement, ayant surtout peur de ce qu'elle trouverait d'écrit. Mais elle savait qu'avec Loguen cela ne pouvait qu'être de très belle paroles...
Belle paroles il fut vrai, très jolie en effet, adorables et touchante. Seulement les première ligne la firent grimacer, elle serra ses poings, ses dents, «  La terrible nouvelle » Comment osait-il?! Il lui en parlait! Il n'avait pas le droit, personne n'avait le droit! Pas même thomas, lui il savait, il il évitait de faire référence à ce sujet. Des larmes se mirent à nouveau à couler sur ses joues, il n'avait vraiment rien comprit à son fonctionnement... non il ne la connaissait pas... Sa peine disait-il? Non il ne pouvait avoir de la peine, personne en avait sauf elle à cet instant. Ses yeux se remplirent à nouveau, alors qu'elle prit place en tailleurs sur le lit, à nouveau effondré. Pourquoi en avait-il fait allusion...
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Thomas_sauveur
Il la regarde ombre protectrice sur sa peau laiteuse, dans ses azurs ce sentiments de rage apparaît en demi teinte. Il contrôle ses moindres réactions pour ne pas hurler à tout va dans le Manoir Sans Nom et ainsi réveiller les gamines et la moitié les domestiques méritant leurs repos après la journée. La folie d'un homme qui protège les siens, car ce fut toujours ainsi entre eux. Lorsqu'un tombe l'autre le relève et ce envers et contre toutes logiques, les ragots ne les touchent que très peu. Il fulmine, regard plisser décidé à lui obéir, si elle refusait de le voir le Capitaine de Lorraine sera renvoyé sans ménagement. Mais chance pour lui, la femme hésite, puis fini par accepter une lueur de crainte dans le regard. Lui ne réplique pas refusant que la faute tombe sur ses épaules quand elle retrouvera sa colère, car elle est ainsi Hellina maintenant elle accepte et après elle hurlera. Haussement d'épaules avant de l'attirer contre lui, lovant sa tête dans son torse, bouclier autour de cette chose fragile et blessée. Il glisse une main dans ses cheveux, triste lui aussi depuis sa rupture, mais assez solide pour deux, il s’abattra plus tard sur son triste sort ou jamais.

Il dépose un baiser chaste sur sa tempe et recule, visage fermé. Dix minutes, voilà le temps qu'il passera en compagnie de Loguen, dix minutes de courtoisie sans lui répliquer ni relever ses allusions. Car Thomas les sentaient arriver les remarques -légitime sans doute- Loguen aimait Hellina il la voulait comme épouse et sans doute mère de ses futurs enfants. Mais celle-ci c'était réfugiée chez lui l'homme qui n'avait rien à voir avec leurs histoires et n'était qu'un ami proche, très proche, trop proche pour beaucoup. Il s'engage dans le couloir supérieur et regarde en direction de la chambre des filles en suspends. Aelis et Ambre étaient ici chez elles et il n'appréciait pas l'intrusion d'un invité inattendu surtout que les gamines étaient sensibles aux hurlements et histoires d'embrouilles entre adultes. Trois femmes perturbées sous son toit, qui dit mieux ? Bref il pose sa main sur la rambarde des escaliers et descend avec lenteur rassemblant ses émotions pour les enfermés dans une boite loin de toute cette agitation.

Et le voici devant le Capitaine de Lorraine, l'invité inattendu, Loguen. Il l'observe silencieux et pose ses azurs sur les verres de Whisky servit par le domestique. Que pouvait-il lui dire, ils n'étaient pas proches bien qu'ayant déjà conversé pendant quelques heures en taverne devant une chopine ou deux. Ils n'avaient rien en commun et pourtant était apprécié par la même femme. En vérité Thomas Sauveur n'aimait pas ce genre d'histoire, lui qui était assez calme et toujours très franc n'appréciait pas les scandales, les agitations, il avait horreur de devoir des explications, n'appréciait pas les visites imprévus et ne cherchait pas les amitiés. Solitaire et froid d’apparences il ne ce liait pas pour avoir un nom, un entourage ou même un niveau social. Non, l'homme devant Loguen ne savait pas quoi lui dire et même s'il aurait sus les paroles étaient assez rare chez lui. Parlez pour ne rien dire, n'avait jamais été son crédo et quant bien même qu'avait-il à dire à cet homme-là. Alors que beaucoup n'appréciait pas le silence, lui en était un grand adorateur. Alors lui passant devant non sans l'avoir saluer d'un court geste de la tête, il attrapa son verre et dégusta une gorgée. L'alcool lui brûla la gorge et il reposa le verre aussitôt, Sauveur aimait la tisane à l'angloise sauf dans ce genre de moment ou seul le goût du whisky apaisait la rage dans ses yeux.


Pourquoi êtes-vous venu?

Question simple qui pourtant le perturbe, il avait été clair pourtant dans son courrier, elle ne voulait voir personne, personne ni lui, ni son frère encore moins sa cousine, personnes. C'était atroce, ignoble, sans doute dur à affronter, mais la pur vérité. Que pouvait-il faire pour lui ? Rien, ni apaiser sa colère, ni lui dire ce qu'il ce passait, ce n'était pas à lui d'annoncer cette nouvelle, ce n'était pas à lui de lancer la cruel vérité, et puis il savait que la pitié n'aidera jamais Lina. Il retourne près de la porte, veillant sur les escaliers au cas ou elle arrive plutôt de prévu. Soupir et tente de faire un effort pour cet homme, cherchant à le rassurer, à ... Il ne sait pas trop quoi, ni comment dans le fond.


Elle...ce remet Loguen, vous ne pouvez rien. Nous ne pouvons rien, laissez-lui du temps.

C'était le seul conseil qu'il pouvait donner à cet homme, l'unique vérité, seul le temps lui permettra d’abandonner les recherche de Lenaic, seul le temps lui offrira le loisir d'accepter qu'il ne serait peut-être jamais retrouver, ou mort. Le temps et le silence... Lui passait ses journées à parler d'autre chose, l'inviter à divers moment de sa vie, il n'avait trouver que cela.
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