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[Rp] Je ne sais pas, comment te dire ...

Thomas_sauveur


      ... J'aurais peur de tout foutre en l'air,
      De tout détruire . *


Au fils des jours qui s'écoulaient, la fin apparu comme une évidence. Mais ce qui était évidant n'était pas pour autant acceptable, alors il décida de ce muer dans un silence et une distance de courtoisie. Cela n'avait rien de polie, de vraiment courtois, mais l'homme avait besoin de réflexion. Auprès de sa meilleure amie depuis quatre jours, Thomas n'avait eu que peu de temps pour les réflexions, Hellina avait besoin de lui et la disparition de Lenaic l'avait affectée au point ou elle ne voulait voir personnes sauf lui et ses filles. La situation était des plus étranges, mais dans le fond cela lui importait peu. En cette après-midi les filles et Hellina étaient occupées en bas et l'homme eu le loisir de profiter de sa solitude. Car même s'il aimait observer la vie du Manoir, il appréciait également d'être parfois seul dans ses pensées.

S'enfermant dans son bureau, Thomas savait que la situation entre lui et Luisa n'était pas viable et que tout deux souffraient plus que de raison, mais ce qu'il savait n'était pas forcement ce qu'il voulait. Sa main attrapa sa plume et alors que le bec de celle-ci fut trempée dans l'encre, il rédigea un courrier.


Citation:


    Très chère Hermine,

    Nous nous permettons de vous écrire afin de vous donner rendez-vous aujourd'hui même à la lisière de la forêt. Nous avons besoin de vous revoir seul à seul, pourriez-vous échapper à la vigilance de vos domestiques quelques instants. Vous nous manquez,

    Thomas.



Il fixa le courrier en soupirant, pourquoi tout était si compliqué il ne pouvait le savoir, mais Luisa lui manquait vraiment la Luisa d'avant, celle qui souriait, profitait de la vie et le laissait amusé à chaque rencontre. Tout avait changé entre eux depuis cette histoire avec le chevalier Kaelig et Thomas n'avait peut-être plus très envie de ce battre pour ce qui ne pouvait être. Oh il l'avait aimé de toute ses forces, mais maintenant il en doutait, parce qu'elle avait eu toute sa confiance et avait répondu : ''Je ne sais pas'' parce qu'elle n'avait pas cette lueur dans son regard qui le rassurait, parce qu'elle était différente avec lui qu'avec tout les autres. Il aurait pu mettre bien des fautes sur le dos de Luisa, mais les fautes en réalité étaient partagée. Ce donc dans cette mélancolie constance qu'il quitta son bureau dans son confier le parchemin à un domestique, Sebastian et Edmond partis ce fut un de ces valets inconnus qui n'avait pas la confiance de Thomas qui s'en occupa. Lui, décida de prend son chapeau et annonçant qu'il sortait prendre l'air il quitta le Manoir. N'ayant pas trop de craintes pour Hellina ou les filles, toutes trois étant bien trop occupé pour l'instant. Il grimpa donc sur le dos de son étalon et prit la route de la forêt le visage fermé, sombre, triste sans doute de ce qu'il devait faire, de ce qu'il devras lui dire. Et si tout était foutu après ? Que restera-t-il d'eux ?




*Jocye jonathan – Je ne sais pas -
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Cherche joueur(euse) pour incarner un PS ou PJ Fœtus, Mâle.
Luisa.von.frayner
Tout allait pour le pire.

La vie de Luisa était en fait un amas de catastrophes émotionnelles et, armée de ses douze ans, elle ne parvenait pas à y apercevoir le moindre éclaircissement. Ca n'avait pas été faute d'essayer ! Plusieurs fois, elle avait cherché à comprendre, demandé des explications, mais voilà, dans le secret, il est difficile de s'ouvrir beaucoup plus que par une réalité déformée qu'on fait passer pour une imagination sortie de nulle part...Le seul qui avait pu l'entendre , de par l'assurance qu'avait Luisa qu'aucun mot de sortirait de la confession, avait été son parrain, le cardinal Uriel. À défaut de pouvoir vraiment lui venir en aide - bouh, comment c'est pourri, l'amour - il lui avait fait prendre conscience de quelques subtilités du sentiment qui, bien qu'intéressantes, n'avaient fait qu'embrouiller la von Frayner dans sa réflexion. Les événements, eux, continuaient de se dérouler, et Luisa les accueillait avec autant d'incompréhension que possible, les mêlant à son cheminement intérieur, pour en arriver à une définitive - ou pas - conclusion : cette chose, c'était pour les vieux. Pour les pas de son âge, en tout cas. Pour Lorenz, peut-être, elle, non, elle ne semblait pas être vouée à comprendre et à supporter les conséquences de cette chose qu'elle n'arrivait toujours pas à vraiment définir. Réflexion d'autant plus justifiée par les faits : elle avait lâchement abandonné ses naïves mais douces promesses au profit de cette chose qu'elle avait avec le Talleyrand, et depuis, celui-ci restait distant, froid, même. Comment ne pas regretter ? Ne pas s'en vouloir ? D'avoir mal choisi, ou d'avoir mal agi, d'avoir provoqué ce comportement, peut-être. Non. Elle ne comprenait rien. Et finalement, ne voulait plus comprendre. Autrefois intriguée, elle était désormais méfiante, réticente face à cette chose que les autres aimaient à appeler l'amour.

Et puis une victoire était venue éclairer ce tableau. Son père, cible de sa plus tendre admiration, était devenu Empereur. L’Empereur. Quant à elle, on pouvait désormais l'appeler Altesse Impériale, et loin de l'idée de se venter de cette place, elle ne pouvait empêcher une certaine fierté, une grande et reconnaissante fierté. Celle-ci lui apportait un bonheur qu'elle n'avait pas connu depuis des mois, qu'elle ne pouvait s'empêcher de voir, et de s'en délecter. Le reste, aujourd'hui, passait derrière, il n'y avait plus que cela d'important. Sa famille, leur place. Il n'y avait cependant qu'avec elle-même qu'elle pouvait éclater de cette joie, risquant de paraître prétentieuse auprès des autres, et cela lui était difficile. Il y avait bien Lothar, oui, elle pouvait partager cela avec Lothar. Lorenz, sûrement, si elle ne dépassait pas la limite du raisonnable. Thomas. Elle aurait bien voulu partager cela avec Thomas, mais cette nouvelle, aussi lumineuse soit-elle, annonçait la fin de l'idée effleurée de mariage, et bien sûr, elle imaginait qu'il ne pouvait pas s'en réjouir. Et puis, lorsqu'elle avait envers lui des élans de complicité, il semblait les repousser avant qu'elle n'arrive à lui ; elle ne trouvait plus le moyen de l'intéresser, de l'attendrir, de lui parler. Alors oui, peut-être que cela se finissait, elle n'y connaissait rien, elle ignorait comment on arrivait à la fin d'une relation, mais certainement était-ce ainsi. Bien sûr que cette idée lui faisait rougir les joues, trembler les lèvres, monter les larmes au yeux et serrer la gorge. Mais le refus de sortir de son bonheur, l'envie d'être digne, peut-être, comme le lui avait conseillé Colombe, l'aidaient à simplement accepter, à imaginer que cela avait un sens, qu'il était inutile de poursuivre le chemin vers un "rien". Elle n'avait pas la détermination et le sens de l'amour de Juliette, encore moins ceux de Roméo, certes, mais au moins, elle ne mourrait pas stupidement.

Mais ce jour-là, elle apprendrait que non, une relation ne se terminait pas dans le vide. Certainement qu'elle le comprenait déjà un peu à la lecture du courrier qu'elle avait alors entre les mains. Nous avons besoin de vous revoir seul à seul. Si cette phrase avait été dite plutôt qu'écrite, elle aurait sonné faux, et le rendez-vous semblait plus donné comme une corvée que comme un désir profond.

Mais elle s'y rendit. Elle était parvenue à oser s'en aller avec Violette pour seule compagnie, et sans insinuer que sa présence ne comptait pas, celle-ci n'était pas un problème pour une rencontre avec Thomas.

La lisière de la forêt. S'il y avait eu un lac à Épinal, parions que cela aurait été au bord du lac ? Un début, une fin, un seul endroit ? Peut-être que c'était comme ça qu'on faisait, on refermait le cercle.

Et comme lors de leur dernière rencontre ici, la nouvelle princesse abandonna sa chaperonne qui accepta de rester à l'écart, complice payée qu'elle était, et s'avança vers la deuxième moitié du centre de cette histoire. Il affichait la même mine que celle des derniers jours, fermée à Luisa et qui lui semblait presque méprisante. Malgré son désarroi face à cela et son inquiétude de ce qu'elle savait chemin, elle tentait aux yeux de Thomas de paraître douce et apaisée, presque souriante.


    Bonjour.

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Thomas_sauveur



      Et oui tôt ou tard
      Il y a toujours un départ
      Et c'est le mien aujourd'hui
      Parfois le mot partir
      Nous amène à souffrir
      Et mon coeur est avec toi *




Le chemin séparant le Manoir Sans Nom à la forêt d'Epinal était habituellement assez court, mais aujourd'hui il fit traîner son étalon, pas pressé d'arrivé. Il détestait tout cela, qui il était, ce qu'il allait faire, ce pourquoi il le fait et tellement plus encore. Un coup de blues s'abattait sur notre joyeux luron le transformant en homme moins ténébreux, moins fort, moins hautain sans doute également. Il était sûr de lui, ils ne pouvaient pas continuer ainsi c'était certain. Il appréciait cette gamine, l'avait aimée et protéger de toute ses maigres forces, il l'avait gardé contre lui lorsqu'elle était malade et même apaisé ses larmes, mais maintenant que restaient-ils d'eux ? Le néant, un néant profond et froid, à peine un Bonjour, à peine quelques sourires tous faux. Il l'avait fuit clairement et lorsqu'il ce demandait pourquoi la réponse était plutôt clair, pour ne pas les faire souffrir, pour ne pas avoir à la regarder alors qu'il savait que tout allait ce terminer. Passant une main sur ses joues, il fit accélérer son étalon, ayant envie de sentir le vent sur ses joues et dans ses cheveux, s'approchant dangereusement du lieu de rendez-vous. Tout commença au bord de l'eau et tout finira au bords des arbres, foutu destin, foutu vie, foutu coeur.

Ses bottes touchèrent le tapis de mousse et il caressa l'encolure de son étalon de ses mains ganté de cuir, il lutta pour ne pas fuir, lutta pour être fort sachant bien qu'il ne pourras pas l'être éternellement. Supportera-t-il de la perdre ? De la voir en compagnie d'autres hommes, de la savoir comblé avec eux, plus qu'avec lui ? Non sans doute pas, cela était vexant pour tout homme lui le premier. Il avait échoué à une tâche simple et réalisable de tous. Et lorsque le souffle de son bonjour caressa sa nuque, il ferma les yeux mordant ses lèvres pour ne pas céder aux sentiments qui envahi son être à cet instant. Ces sentiments atroces qui lui hurlait qu'il n'était qu'un lâche, un sot, un crétin et pourtant... Sans demi-tour possible, il devait ce faire raison, dans un mois, un ans, une éternité il l’oubliera Luisa Von Frayner, princesse de Impériale. Lorsque des milliers d'hommes lui demanderons sa main et ce mettrons en quatre pour avoir ses faveurs, lui... fit l'inverse.

Il ce retourna lentement, les azurs sur les azurs, l'image lui parut flou sous un fin rideau de larmes, il aperçois l'Hermine voilà quarte- cinq jours qu'ils ne font que ce croiser, ce dire Bonjour rapidement avant de ce séparer comme-ci rien n'avait jamais eu lieu. Il est sot, elle est...jeune. Il l'observe, apeuré, chassé contre chasseur, balaye l'horizon à la recherche de Violette sûrement pas très loin. Manque d'air, manque de force, hésite, ne bouge pas, meurs d'envie de courir, ne dit mot et... cède un peu, parce qu'il à beau ne plus l'aimer comme avant, il sait ce qu'il doit faire, mais s'y refuse un tout petit peu, ne voulant pas la perdre, pas la fuir et pourtant... Cela est déjà fait. Il la perdue le jour ou elle à quittée Epinal sans lui, il le sait, mais l'accepte pas vraiment. Il avance donc cédant à ce qu'il c'était promis de faire, il aimerait la tenir contre lui, lui dire qu'il l'aimera toujours dans le fond, lui demandé de ne pas le détester, lui demander de continuer à ce glisser contre lui parfois, d'enlacer sa taille comme elle le fait avec ses amis. Mais au fond de lui, il sait qu'elle ne le fera plus, parce qu'il n'est pas l'un d'eux, parce qu'il ne le mérite sans doute pas, parce qu’il n'est pas celui qu'il aurait aimé être vraiment. Il le pense, depuis un moment et cette vérité, qu'elle soit réel ou non, le ronge, l'attriste aussi.


Bonjour

Pas de révérence, pas de ces fausses courbettes qu'il n'accorde qu'as ceux qu'il n'apprécie pas vraiment. Rien de tout cela, il la regarde un main toujours sur son étalon qui le rassure en quelque sorte. Et doucement, il ce demande comment formuler cela, elle doit bien le sentir, le savoir, il as cherché à lui donner de l'espace, la faire revenir en vain, ce n'était pas leurs destins, ce n'était pas leurs histoires. Mais il n'en resta pas moins touché par cette réalité. Il sait qu'il trouvera une femme faite pour lui, un jour... ou pas.

C'est impossible Luisa, vous le savez n'est-ce pas ? Une princesse n'épouse pas un... ennemie politique. Et puis nous sommes...pas celui qui vous conviens le mieux, vous êtes...éloignée depuis longtemps et nous ne sommes pas...combattant comme vous l'auriez aimée. Nous sommes en train de nous détruire lentement l’un et l’autre. Vous devez continuer sans nous pour être heureuse et ... avoir la vie qui vous...conviens.

Il referma ses doigts sur la robe de son étalon, dieu pourquoi il n'y arrive pas. Il aurait aimé lui dire qu'il l'aimera encore, que ce n'était pas grâve, qu'elle avait le droit de le détester, de le maudire, de ne plus lui... Mais non. Les larmes coulaient sur ses joues avec une lenteur déconcertante alors que lui, ne bougea plus depuis son arrivé. Il fallait qu'elle parte, qu'elle accepte, qu'elle ne l'approche surtout pas, sinon...Sinon quoi ? De toute façon tout était terminé. Ludwig ne dira jamais oui, Liz non plus, elle était Princesse il était l’ennemie, le Talleyrand, maintenant qu'ils étaient puissants et seuls Maître assurément tout était clos avant même d'avoir vraiment commencé. Punkt Schluss !**


*Lucie Azard
** Point Final

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Luisa.von.frayner
    J'ai fini par me dire qu'on éviterait le pire,
    Qu'il fallait mieux couper plutôt que déchirer,
    J'ai fini par me dire que p't'être on va guérir,
    Et que même si c'est non, et que même si c'est con,
    Tous les deux nous savons que de toute façon...
    C'est fini.*


Elle avait à apprendre à rester digne en toutes circonstances. Voilà ce qu'on lui avait dit, et voilà ce à quoi elle travaillait depuis quelques jours. Elle avait devant elle un exercice pratique des plus corsés. Oui, elle avait deviné, elle avait su ce qu'il allait lui dire et avait déjà réussi à l'accepter - avec toute la dignité qu'elle entraînait - mais maintenant qu'il était là, face à lui, face à chacun de ses mots...
Mais elle y parvenait. Difficilement. Elle avalait ses explications, goûtant à l'amertume de certaines, à la douceur d'autres. C'était un discours qui aurait dû sonner faux, des mots que le monde avait mille fois entendus, et pourtant ils semblaient à leur place. Que pouvait-elle bien en penser ? Pas grand chose. Elle découvrait le fonctionnement de "la fin", le cœur certes serré, mais l'esprit clair et docile.

Thomas, lui, ne semblait pas l'accepter de la même manière. C'aurait dû être à elle de pleurer. Était-ce normal qu'un homme pleure aussi souvent que lui ? Certainement pas. Halala, pauvre demoiselle qui faisait souffrir malgré elle !

Ses sourcils se brisèrent en une expression mécontente, presque de reproche, à la manière de Simone, la domestique d'Hayange, qui tombait sur Lothar en l'une ou l'autre action défendue. Ca ne devait pas se passer comme ça. S'il y avait des pleurs, c'est que cela était triste, et si cela était triste, ça ne pouvait pas mettre fin à la tristesse...Si ? Un pas en avant, juste un petit, pour lui signifier qu'elle allait parler et qu'il fallait l'écouter, et elle prit la parole, en adulte. Toute l'émotion qu'elle avait, pourtant, ne se reflétait pas dans sa voix qu'elle parvenait à maîtriser presque parfaitement.


    Thomas. Vous n'êtes pas un ennemi. Pour le reste vous avez...sûrement raison. Mais vous ne devez pas pleurer.
    C'est stupide. Et puis, vous le savez, vous me l'avez déjà dit. Alors ne pleurez pas, vous devez être d'accord avec vous.

L'art de retourner des remarques contre leur auteur...


* Jean-Louis Aubert
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Thomas_sauveur



      On a parcouru le chemin
      On a tenu la distance
      Et je te hais de tout mon corps
      Mais je t'adore

      On a parcouru le chemin
      On a soufert en silence
      Et je te hais de tout mon corps
      Mais je t'adore
      *



Il l'observe d'une froideur qui ne relève rien de leur amour passé, emplit de rancœur, de regrets, il ne peut avancer, ni reculer. C'est fini ressentant ce désir brûlant de lui tourner le dos de la planter-là ce moquant bien des conséquences, était-elle seulement triste ? Il en doutait et ce servi de cela pour trouver la force de rejoindre son étalon sans lui accorder un denier geste d'affection. Ils se sont aimés trop fort pour ce dire Au revoir correctement, lui avait besoin de temps, de distance et elle de quoi avait-elle besoin ? Sans doute pas de lui ou si peu. Voilà comment Thomas voyais tout cela, c'était faux sans doute, mais il n'avait plus la capacités de juger cela avec apaisement. Il ce sentait ennemie, de trop, et n'en pouvait plus d'avoir cette place dans deux familles auxquels il tenait pourtant. Retournant sur le dos de son étalon, il plongea ses doigts dans la crinière de la bête, souhaitant qu'elle n'approche plus. Le regard noir, la haine dans les prunelles il se referme doucement, mais sûrement, ce plonge dans l’abîme dans laquelle il est né et ce sens mieux, bien, apaisé. Après tout avait-il besoin de lumière de joie, de bonheur, non tout cela n'était que foutaises et faux semblant. Posant une main sur son coeur, il s'inclina devant la poupée et murmura:

Au revoir... Hermine

Il donna un coup de talon dans le flan que l'étalon qui quitta le lieu de rendez-vous au galop et ses doigts qui s'accroche à lui solidement et son corps qui s'en va rapidement.Il l'avait toujours sus et aujourd'hui alors que la réalité dépassait les pensées, il ne savait pas vraiment si un jour il réussirait à l'oublier. Il ne voulait pas renter au Manoir, pour y voir Lina ou les filles, il ne voulait pas songer à tout cela. Alors tournant la tête une toute dernière fois sur Luisa, il fini par ne voir qu'un point dans le lointain et s'autorisa à soupirer un peu entre le soulagement et la tristesse. Ils en reparlerons c'étaient quasiment certain, mais peut-être que maintenant ils devaient évoluer un peu loin de l'autre, lui surtout avait ce besoin d'avancer sans elle et ne plus s'attendre à avoir de ses nouvelles.

* Kyo - Le chemin
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