[RP] Le lac de Chinon

La dernière fois qu'elle était venue près de ce lac, c'était en famille, avec Mathéo, Racam et Louna. Depuis Mathéo avait pris son envol et Racam était sur le point de mourir.

Wal marchait le long du lac, elle tenait la main de sa fille Louna tout peine 4 ans. Comment expliquer à cette petite fille qu'elle ne reverrait plus jamais son père... Cela faisait déjà plusieurs qu'elle essayait de trouver les phrases les moins perturbantes pour expliquer la perte d'un être cher.

La petite ravie de jouer dans la neige avait lâcher la main de sa mère pour courir puis s'empressa de comparer ses empruntes avec celle de sa mère.

Hannn Maman!! t'as des grands pieds!!! Moi ben moi je fais plus de dessins que toi avec mes chauchures!!

Wal esquissa un sourire et proposa la construction d'un bonhomme de neige.

Tu fais comment?? Z'e sais pas faire moi!

Regarde on va faire une petite boule et on va la faire rouler pour l'agrandir.

Pendant l'élaboration de cet être de neige, Wal s'essaya à la faire comprendre l'évolution de la maladie de son père :

Tu sais Louna, je t'ai dit que Papa était très malade... et bien il est de plus en plus malade... et les anges du ciel vont bientôt l'appeler pour qu'il les rejoigne...
Elle regarda la petite qui n'avait pas l'air de l'écouter
Louna!

Papa va pas revenir? Il nous aime plus?
Wal qui avait toujours su retenir ses larmes devant sa fille ne put le faire cette fois ci tout en se laissant tomber à genou. La petite vint câliner sa mère au bout de quelques minutes. Wal tenta de reprendre ses esprits.

Ca te dirait un bon lait chaud ma poussinnette?
Oh oui Maman!! Z'en veux!!
Elle attrapa sa fille et l'emmena prendre un bon gouter
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[ La ou je t emmènerais ... ]

Pas cette fois ... elle partait seule , du moins sans lui ! Elle avait du se faire violence pour ne pas se retourner et courir le retrouver sur les remparts . Lui dire qu elle reviendrais , qu il allais affreusement lui manquer . Le supplier de l empêcher de partir ... même s il ne l aurait jamais fait !

Alors en éperonnant son coursier ce soir c est les yeux remplit de larmes qu elle s éloigne de chinon accompagné d une furette , d une abeille et d un boulet . Ils chevaucherons toute une nuit avant d arriver . Furette n est pas rassurée et milles questions déferlent de sa bouche . Mini tente d y répondre du mieux qu elle peut pour rassurer la belette . Au pire Mylèna ne lâcheras pas d une semelle la brunette qui l accompagne . Pourtant Furette devais être habitué aux patrouilles ... mais elle doutait . Il fallu beaucoup de patience a la volcanique pour rassurer son amie .

Quand ils furent assez loin de chinon prêt a quitter les berges du lac , Mylèna laissa ses compagnons s éloigner et stoppa son équidé . Bientôt ils s enfonceraient en rase campagne et pour cela il fallait s équiper .
L insolente attache alors sa longue crinière ébène et couvre son visage d un casque de cuir . Casque qui depuis des années ne la quitte pas mais qui depuis des mois étais rangé dans une mâle . Mylèna avait fait une promesse a Marcello et elle s y tenait sans que cela ne lui coute . Et jamais elle ne trahirais sa promesse . Non ce qu elle allait faire la bas .. étais tous ce qu il y a de plus honorable pour qui défend les valeurs d une terre sacrée .



Masquée , le regard glacial , Minidingue ressurgissait au beau milieu de cette nuit sans étoiles . Demain elle userais de ses talents pour occire ceux qui tenteraient de passer clandestinement . Pas d armée ... pas d armes ... pas de brigandages ... Tout étais respecté !

Il y avais tant de manières de tuer ... sans que le sang coule , sans laisser de blessures béantes ! Et c est avec un sourire presque carnassier qu elle talonne de nouveau son étalon pour le lancer au galop et rattraper la troupe .
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Elle tournait en rond dans sa chambrée, à la recherche d’un de ses chapelets. Celui que lui avait offert sa mère : son dernier cadeau avant de partit pour Dijon, il y avait déjà bien longtemps.

Gabrylla soupira une énième fois, agacée, et finit par s’étaler sur un petit fauteuil , cadeau d’un habitant d'un village durant ses long voyage dont elle ne se rappelait que très vaguement le visage, et pas du tout le nom. Elle ne chercha plus l’objet convoitée que du regard, et ses iris tombèrent sur son reflet dans le grand miroir de sa chambre qui servait à lui seul de décoration...

Ses pupilles s’attardèrent sur les joues vermeilles, le teint admirable, le cou délié et la bouche rose que barrait une mèche de cheveux dorée.A ses 20 ans, au début de sa vie Gabrylla était encore une jeunette comme disais un certain Homme...et son charme pourtant émanait de son regard une certaine lassitude depuis qu'elle était partit de chez elle...

Elle regrettait son village, peuplés de bals et de rires légers, de voyages et de réceptions dans les tavernes. Les airs complices de ses amis, les monologues pétulants des nobles, les sourires mielleux de cet Homme...

Gabrylla pencha la tête, apercevant au loin, sur la console, fichée entre deux coffrets de bijoux, une chose qui brillait avec les rayon du soleil qui s’apparentait à un chapelet.
Se relevant prestement, elle alla quérir l’objet, le regarda puis soupira...Elle n'avait plus envie d'aller à l'Eglise ses heures à chercher ce chapelet l'avait ennuyer...Elle se changea et enfila des braies ainsi qu'une simple chemise puis elle sortit de sa chambrée dans l’intention de rejoindre le lac, dont on lui avait parler quelques jours avant...

Elle mit sa cape sur ses épaules, remonta sa capuche sur sa tête cachant ainsi ses cheveux blond, puis passa la porte...Les beaux jours étaient de retour et Gaby prenait plaisir à se balader au bord des lacs ou dans les forêt.

Arrivé au bord du lac, elle se promena chantonna une chanson qu'une lui avait appris durant ses voyages quand elle vit au loin une barque, ceci lui rappela les souvenirs qu'elle avait avec son père, les partis de pêche qui ne se finissait jamais ! La jeune femme avança vers celle-ci, se pencha au dessus et vit une canne à pêche...Elle se tourna regarda autour d'elle si personne n'était là en disant doucement... "Hum...Il y a quelqu'un ???" Pas de réponse...Sourire en coin, elle poussa la barque dans l'eau et monta dedans...Elle avait décider de pêcher, sa faisant tellement longtemps !

Elle s'assit dans la barque et rama jusqu’à arriver au milieu du lac...Canne à pêche à la main, elle lança le fil dans l'eau et posa la canne sur la barque attendant un poisson...Les rayons du soleil reflétait sur le lac et la jeune femme commençait tous de même à avoir chaud, elle enleva sa cape et la posa à coté d'elle, puis regarda attentivement le bouchon en liège...

Sa faisait déjà un moment que Gaby était la à attendre...Elle s'allongea alors dans la barque et pose sa main sur la canne pour la sentir bouger si un poisson se décidait à mordre...Le soleil tapait sur son visage, elle aimait sa...sentir la chaleur du soleil sur son corps, elle attendait l'été avec impatience...Gaby pensa que Chinon était un village très calme, peux être un peu trop mais il avait malgré tout ses charmes comme ce lac...Peu à peu Gaby s'endormait doucement...elle sentait sa barque avancer doucement dans le lac se qui la berçait et la fit s'endormir encore plus vite...

Elle dormait profondément quand la barque se mit à bouger, Gaby se réveilla au sursaut et eu juste le temps de rattrapé la canne à Pêche avant qu'elle ne tombe à l'eau, le bouchon de liège était sous l'eau et le poisson bougeait dans tous les sens embarquant avec lui la canne à pêche et la barque ! Gaby tira sur celle-ci comme elle le pouvait avant que La barque rencontre un rocher...Gaby prit par surprise lâcha la canne et regarda la trou dans la barque avec de gros yeux et mit ses mains sur sa bouche en disant doucement : " Oh...Non, pas sa.." elle essaya par tous les moyens de boucher se trou pour ne pas couler mais pas moyen...l'eau remplissait déjà à moitié la barque...Gaby regarda le ciel, soupira et sentait déjà ses genoux sous l'eau...Elle regarda la barque s'enfoncer de plus en plus et se parla à sois même : " Bon...Et bien je crois que il va falloir nager..." La jeune femme pris vite sa cape et plongea...l'eau était foncé et lui piquait les yeux, pas moyen d'ouvrir les yeux sous l'eau...Elle remonta alors se cognant la jambe contre ce fameux rocher et laissa échapper un cri lorsque sa tête était sortit de l'eau...

Elle se mit à nager tenant sa cape entre les dent et s'approcha de la berge...Enfin arrivée à celle-ci elle se laissa tomber sur l'herbe dans un long soupire...La jeune femme jeta sa cape sur l'herbe et inspecta ses habit mouillé lui coller au corps et grimaça lorsqu'elle vu du sang sur son mollet, se rocher avait décidément pas décider de l'épargner...elle reposa sa tête sur l'herbe, regarda la ciel...Elle resta allongée sur l'herbe et décida d'attendre que ses habits sèchent...Le sourire au lèvres elle se dit alors qu'elle n'irait plus à la pêche seule...
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[Du pain, du vin, un bain?]

Emelinne s'était levée très très tôt, à moitié endormit, elle est jeta les stères de bois dans le four afin de le monter en température, elle apporta les sacs de farine dont elle avait besoin, quelques litres d'eau, de grosse pincer de sel, une levure qu'elle avait préparé la veille et qui dégageait une agréable odeur de levin, puis ses mains commencèrent à mélanger le tout, un léger nuage blanc se souleva, elle pétrissait la pâte en pensant à une potentielle victime, c'est que mine de rien, c'est physique comme tâche...
Elle s'essuya le front avec son épaule avant d'entamer le découpage de la pâte en morceaux généreux pour les mettre en boule et les enfourner dans son four tout neuf.
Pendant la cuisson elle se fit un petit déjeuner. Une agréable odeur se répandit dans la boulangerie, le pain avait pris une jolie couleur dorée et commençait à craqueler en se levant.

Hummm... J'ai réussi ! Wouhaaaaa... Mon premier pain !

Elle les retira du four pour les entreposer encore brulant dans des paniers en osier afin de les vendre au marché lorsqu'elle s'arrêtait net.
Emelinne avait eu vent d'une course sur le lac, et ça, elle ne voulait pas le rater...

Mais c'est ce matin .!!!

Elle ne pris pas le temps de se changer ni d'enlever la couche de farine qui la couvrait presque intégralement et sortie de sa boulangerie direction le lac, elle entrepris de prendre un raccourcie, se fraya un chemin au travers des buissons, arbres et ronces pour enfin arriver sur les lieux d'où elle pouvait apercevoir Myléna qui s'impatientait en arpentant la berge.

Bonjour ! J'suis par en retard?

Tout en marchant elle revela ses braies sur le haut de ses cuisses et retira ses bottes en sautant a cloche pied afin d'aller tremper ses pieds.. l'eau glacée lui saisissa la peau qui se frisa et la fit frémire légerement.

Oh.. Elle est..... Froideuhhhhh !!!!

Miladiou de miladiou il et ou donc se fichu lac pol nouvel arrivant sur chinon avait pris la mauvaise direction ..pfff bien de moi de me perdre pol aperçut une tite vielle au bord d'un chemin ramassant quelques fagots .

Bonjour dame dites voir le chemin du lac je prend quel direction

la tite vieille lui indiqua un chemin à l'opposé de la direction ou il se trouve.

bin min gamin te voila perdu !! va par là tu en a pour deux minutes.

pol fi demi-tour et fonça direction le lac .

Me voila cria pol en voyant ses nouveaux amis je me suis paumé en chemin miladiou.. il salua ses amis et approcha du bord humm fraiche fraiche mais bien agréable allé zou à la flotte pol rit de bon coeur

Targus n'etait pas contre l'idée de rester au sec, donc oui il donnera le depart. Polzar etait arrivé, il ne manquait plus qu'un candidat a l'appelle.

Je sifflerai, quand les pecheurs arriveront, si vous n'etes pas revenus j'essairai de les distraires.
Vous avez quand même bien du courage de vous mettre a l'eau avec ce froid.


Targus se dit que quand même il faudra qu'il apprenne a nager, ça a l'air tellement amusant tout ça et puis ça peu aider.
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Mylèna sourit aux paroles de Targus , la c étais clair aucun doute les amoureux ne se mettraient pas a l eau ! Puis soudain le regard de la brunette fut attirée par une nouvelle arrivante . La jeune Guennièvres fit son apparition et visiblement sa cheville allait mieux .

Oh bonjour Guennièvres , voulez vous participer a la course ?

Mylèna invita Guennièvres a prendre place sur une barque puis indiçât a Targus ...

Bon et bien je crois que Gaby ne viendra plus maintenant , vous pouvez donner le départ ...

Fin prête l effrontée , rame en main n attendait plus que le signal pour se lancer dans la course .
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Le temps pressait, les pêcheurs serait là dans peu de temps, tout le monde etait prêt, Guennievre ne semblant pas vouloir se joindre au navigateur de fortune, Targus donna le depart

Attention, vous êtes prêts? au sifflet hein?
5.....4.....3......2.....Targus vit les protagonistes, serrer leurs mains sur les rames, les muscles bandés, prêts a donner le premier coup de rame 1......pfffffff, prrrrrrr ah oui il avait homis un detail, il ne savait pas siffler, arffffff

bon ben allez y, hein...
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http://www.youtube.com/watch?v=Gpc5_3B5xdk

Mini trépignait d impatience viendra , viendra pas .. guennièvres semblais hésitez , quand a Gaby elle avait du disparaitre car ils n avaient plus de nouvelles ... Pourtant la blondine s ennuyait ferme qu elle disait et cette course aurait pus l amuser !

Toutes a ses pensées Mylèna n eu pas le temps s esquiver la pluie de gouttelettes que lui envoyais Pol en éclaboussures . Hannnnnnnnnn tu va me le payer gougnafiéééééééééééé
Elle râlait, pestait et répliqua aussitôt par un mouvement de rame habile une gerbe d eau vint alors s abattre sur le jeune insolent . sans suivis un éclat de rire général . Mais en bon sale "mômes" ils ne prêtèrent pas attention a Targus qui donna le départ en décompte . Quand le mot " allez y " résonna

Hippppaaaaaaaaaaaaa c est partiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii youuuuuuuuuu

Alors la une pagaille sans nom se mis en marche , les uns ramaient comme ils pouvaient les autres tentaient de tenir en équilibre et de voguer droit devant eux . Mini elle se lança dans la courses a coup de rames et les yeux pleins de malice ... les voila enfin parti pour rejoindre la petite ile ....
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Polzar jouais les tourniquet désordonné et la jeune Mylèna éclata de rire en le voyant juré . Elle progressait au rythme de ses coup de rames suivi de peu des autres qui malgré maladresse arrivais a avancer .

Hey ... alors la tortue ? On t attend !

Le soleil brillais haut dans le ciel et commençais a chauffer , quelques gouttes de sueurs perdaient déjà sur le front de la brunette . Alors elle lâche une de ses rames pour s essuyer le front ne prenant pas garde a cette dernière qui prit la tengeante au fil de l eau . Les yeux écarquillés de surprise , Mylèna tente de rattrapé le fugueuse qui flotte paisiblement sur les eaux du lac . En vint bien sûr car le risque est alors grand de basculer par dessus bord .

Elle perd un temps précieux et vois les autres concurrents la rattraper voir même pour un la dépasser . Alors comme a son habitude elle râle , elle pestouille et son unique rame a la main tente de reprendre sa progression . L ile n est plus très loin ! Mais tous peu encore arriver !!!
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Ramez ramez il en avait d'bonne le Targus ! Non mais avec une rame ... en plus ça lui allait bien de crier pour les encourager , installé confortablement pret de sa dulcinée .

N empèche qu il aavit raison , parce que le Pol la rattrapait a grand coup de rames ... il en avait deux lui ... de rames !

Tant bien que mal la brunette ramais , ramais , et pataugeais plus qu elle n avançait . C étais tous de même comique car sur la rive targus s égosillais , pendant que les prelmiers pêcheurs a pieds arrivaient canes a pêche en mains . Tous le regardais crier puis tournaient la têet pour regarder en directions des courreurs en barques . L ile approchais , mais l heure tournait aussi et bientôt les propriètaires des embarcations arriveraient . Allez mylèna un dernier effortttttt .... le regard soudain fixé sur Pol qui un sourire en coin arrivais aux berges de l ile . Pffff Nan mais il avais pas encore gagné hein ... restait l épreuve du retour a la nage Tiens ça lui donnais une idée ....
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Guennievres avait décidé de regarder la course c'était très amusant elle repensa a ce que ses amis avaient dit alors elle attendit la fin de la course pour leur parler :

- oh enchantée messire Polzar

elle lui sourit et rougit comme d'habitude toujours aussi timide
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Guennievres aimais beaucoup ce promener prêt du lac tout en admirant le magnifique coucher du soleil.

Guennievres étais douce , sensible,timide mais oublier sa tristesse quand elle passer sont temps a regarder le coucher du soleil .

Elle vue au loin un jeune home allongée mais elle ne voulut pas le dérangé car comme toujours elle avait du mal a aller vers les autres en particulier les garçons .

Elle s’assit sur l'herbe et pensa a sont passée puis son présent et enfin son futur mais elle remarqua qu'elle n’arrivait pas a imaginer sont futur.

Mais comme toute les femmes de sont age elle pensait beaucoup et rêvait de trouver le parfait grand amour .
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Guennievres détourner parfois le visage vers ce belle inconnue.

Quand elle vue qu' il avait lui aussi poser sont regard sur elle elle ne put s’empêcher de rougir.

Elle espérait que celui ci viendrait a elle mais ce demander que si ceci arriver elle ne trouverait pas les mots ou même les paroles pour lui parler.

Quand elle pensait a sa elle le regarder toujours en rougissant .

Elle vue arriver sont petit renardeau toute souriante elle le pris dans ses bras toute en étant assise et le câlina avec douceur comme elle savait si bien faire mais elle retourna vite dans ses penser.
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Ange amusé fixait toujours l'inconnue assise non loin de lui.

Il l'avait surpris plusieurs fois regardant dans sa direction, malheureusement la nuit devenait de plus en plus obscur et il ne pouvait distingué les traits de la blonde mais il pensait qu'elle devait etre jolie mais certainement tres timide pour ne pas lui parler.

Il allait se lever quand deboulla un touffe de poil qui se jetta dans les bras de la jeune fille, un mouvement sur le pommeau de son épée quand il constata que le petit animal n'etait pas dangereux et qu'elle le carressait.

Ne voulant les effrayer en se relevant, il se recoucha sur le dos, regardant les étoiles naissantes dans le ciel pur, une petite brise glaciale se levait et il frissonna.

Une voix cristaline et des rires lui parvenait, il s'assit, genoux repliés et observait la jeune fille qui jouait avec son animal, allongée dans l'heure.

Il allait se relever quand la touffe de poil bondit vers lui et il pu enfin voir que c'etait un petit renardeau qui s'approchait en courrant. Il tendit la main pour que l'animal s'approche de lui.

La jeune femme s'etait relevée et courrait apres son fugitif.

Le renard, pas peureux, se laisser carresser par Ange qui releva la tete et regarda la jeune femme en lui souriant. La lune qui s'etait levée, eclairait le visage de la petite fée blonde. Ange detaillait la sylhouette devant lui.

Jolie petit brin de fille, se dit t'il, guere plus agée que moi. Du haut de ces 17 ans, ce n'etait pas un courreur de juppons mais il savait apprecier les belles femmes.

Il pris le renardeau dans ses bras et se releva d'un geste souple, se tenant devant la jeune femme, la regardant du haut de son metre quatre vingt dix. Elle parraissait petite et frele, grelottant devant lui.
Il lui mis le renard dans ces bras et degraffa son mantel, contourna l'inconnue pour le lui deposer délicatement sur les épaules. Revenant devant elle, il avait envie de mieux la connaitre.

Bonsoir, je vous rends votre petit coquin avant qu'il ne se sauve, et rentrer vite, il fait froid maintenant, vous risquez d'etre malade.

Ange devisageai se petit visage triste levé vers lui, plongeant ses yeux noirs dans ceux de l'inconnue.

Il la regardait toujours et haussa les epaules.

Gardez mon mantel si vous allez vous promener, je n'en est pas besoin et vous me le redonnerer un autre jour.

Peut etre que comme cela il la reverait pensa t'il en lui souriant.

Guennievres, quel joli prenom, il vous va a ravir. Je suis Ange et je suis heureux de faire votre connaissance. Comment s'appelle votre petit compagnon ?

Il n'osa faire un geste vers la jeune fille qui tenait toujours le mantel. Son désir de rentrer etait aussi passé, il avait envie de rester encore un moment en charmante compagnie.

Des effluves de parfum lui chatouillaient les narines et il ne pu s'empecher de lui demander.

Humm, quel est votre parfum ? Cela sent si bon !

Joli nom pour ce petit rouquin, repondit Ange.

Son sourire s'evanoui quand elle parla de la rose, trop de souvenir affluaient a l'évocation de ce nom et Ange de repondit rien, perdu dans ses souvenirs.
Il se tenait toujours devant la jeune fille mais son regard avait perdu l'éclat joyeux et il baissa la tête, une douleur sourde lui dechirait le coeur.

Le silence se faisait pesant et il releva la tête presque étonné de voir cette jolie blonde se supperposée a l'image de la petite brunette qui occupait toute ses pensées.

Il retient le geste de la toucher, image irréelle devant lui. Il secoua la tête et décida d'oublier le passé pour au moins ce soir et profiter de l'instant présent.

Quelques pas au bord de l'eau en ma compagnie vous tente t'il ?

Un petit sourire à Guennievre et il lui tendit son bras.

Ange mis sa main sur la main qu'elle venait de poser sur son bras. Sa peau était douce et il frissonna.
Il l'entraina, marchant doucement en reglant son pas sur le sien vers le lac qui luisait doucement sous la lune argentée.

Alors, vous etes de Chinon depuis longtemps ? qu'y faite vous ? vous etes fiancée ?

Les questions se bousculaient, il avait envie de faire plus ample connaissance.
Il n'osait la regarder de peur qu'elle ne rougisse encore, il trouvait cela charmant mais il avait peur de la mettre mal a l'aise et laisser son regard errer au loin.

Ange sourit a la réponse de la belle damoiselle..

Je n'ai personne dans ma vie non plus, juste ma mére. Je viens d'arriver a Chinon et j'espere y acquerir un champ bientot.

Il se retourna vers Guennievres et lui sourit doucement, l'entraiant vers les rives du lac.

[De l'autre coté de l'eau]

Marti était revenu dans son pays.Il profita de cette journée pour ne rien faire, seulement se ressourcer.
C'est pourquoi il était parti s'isoler près de la rive, dans le calme, son épée dans une main et sa pierre à aiguisé dans l'autre.

Après tout, s'il voulait être reconnu comme très bon forgeron, encore fallait il que son épée soit toujours clinquante.

Il faut dire que les Renards du Berry ont la tête dure et que son épée avait pris.

28-04-2012 04:04 : Vous avez frappé Le_drac. Ce coup l'a probablement tué.

Jamais faire un voyage sans rien ramener. Cette fois ci, ce sera du bois et des souvenirs. Il commence à connaitre leur route aussi bien que celle de Touraine.

Tout en affutant cette somptueuse épée (qui lui a maintes fois sauvé la vie), il perdit son regard dans le bleu de l'eau de Chinon, rythmant la nature par ce bruit répétitif, ce bruit de forgeron.

Guennievres rit en rougissant un peut et dit :

- Oh messire mais bien sure !

rougie par c'est parole

-Je vous donnerez l'age de 2o ans je me trompe ?

Rit
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Guennievres ce mis a rougir comme elle ne l'avait jamais fait et elle le regarda :

- Vous vous tromper aussi Messire j'ai 21 ans

Elle regarda et baissa les yeux

- Non je ne pense pas que vous soyez trop jeune pour tomber amoureux tout le monde est amoureux un jour

Quand il pris ses cheveux elle ne bougeait plus et elle rougie ...
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Guennievres le regarda et ne rougissait pas elle ne voulait plus elle en avait mare de rougir :

-Oui depuit toute petite je croit au coup de foudre

Et mince raté elle ce remis a rougir et força pour ne plus rougir elle vue que Ange frissonnait alors elle mis son mantel sur lui et lui sourit :

-Tenez Ange je vous le rend vous inquiétez pas pour moi je vous remercie du fond du cœur

Quand elle dit ses paroles elle mis la main sur son cœur qui battait très fort

-Oh je vois qu'il ce fait tard mais je ne vois jamais le temps passer habituellement et avec vous c'est encore pire car je m'amuse

Guennievres lui fis un grand sourire mais elle vue qu'il tenait sa main sur son épée elle le regarda en riant :

-Vous voulez me tué messire je devrais surement m'enfuir

Elle riait en marchant

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Guennievres sourit et le regarda :

-je vous remercie Messire vous êtes si gentille avec moi

Guennievres rougie et ce mis avec lui dans le mantel elle le regarda en rougissant suivie d'un sourire

-je vous remercie vraiment je croit que on a jamais étais aussi gentille avec moi

des petites larmes de bonheur coulaient sur ses joues toutes rose
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Guennievres rougie un peu a sa réaction

-Oui messire a mes 12 ans un homme a tué mes parents voyer vous ma tante et décédée il y a pas longtemps c'est donc pour sa que je vis a Chinon sans familles

Guennievres vue que Ange serré ses poings Elle le pris dans ses bras en rougissant
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Guennievres le regarda et lui dit :

Je vous remercie Ange je n’oublierais jamais ce que vous avez fait pour moi

Guennievres avais le cœur qui battait :

Oui vous en faites partit dans la meilleur des catégorie

Elle le regarda d'un visage triste avec une larme qui coulé sur sa joue elle lui murmura a l'oreille

Vous allez me manquais

Quand elle entendue ma petite fée elle regarda en rougissant avec un regard triste

Je vous écrirez a chaque fois que je pourais Ange a chaque fois !

Elle ce mis a fondre en larme
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Guennievres le regarda en souriant et en rougissant :

- Je ne serais jamais dans les bras d'un autre homme que vous Ange !

Guennievres rougie :

- Oui je veut bien . Il ce fait tard vous ne voulez pas dormir dans ma chaumière j'ai un matelas si vous voulez

Guennievres lui fit un grand sourire mais tout de même en rougissant
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Guennievres rougie au baiser de Ange et le regarda un peut triste et lui fit un signe de la main avec un sourire car elle préférer attendre qu'il ce retourne quand elle pleurerait quand il ce retourna elle lui cri

-Vous allez me manquais je vous écrirez chaque jours !!!

Elle ce mit a éclaté en sanglot

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On lui avait dit : tu verras, Paquita ! La Touraine, c'est que de la douceur, la joie de vivre, un art consommé du bonheur ....

Ah ! Oueille ! ben pour la joie de vivre, le bonheur, tout ça, faudra revenir quand le guichet sera ouvert ! Parce que pour l'heure, le seul contact qu'elle en a c'est une lettre de douane, menaçante à souhait. De quoi vous donner l'impression qu'une anguille vous remonte l'échine !

Quand à la douceur, parlons en justement ! A peine arrivés, voilà que le Gros s'esbigne en direction de l'église.
La Brune pousse un soupir de soulagement. C'est pas pour dire, mais un homme, en voyage, ça ne fait que geindre, râler, ronfler, se moucher, et ça ... c'est quand tout va bien.
Son injonction de se présenter à la prévôté en main, Paquita, remonte la rue, tranquille, le nez en l'air.

A droite, à gauche, encore à gauche, pis c'est par la venelle qui descend et là, vous y êtes, pouvez point vous tromper.

Sauf que ... à gauche ... y a une porte de ville, et qu'elle est fermée. Qu'à cela ne tienne, la Brune contourne en suivant la muraille, finira bien par y arriver...
Mais ça, c'est dans l'idéal, parce que dans la réalité, elle déboule sur les berges du fleuve. De prévôté, point à l'horizon. Par contre un coup de vent qui lui arrache le chapeau... Bien !
Qui le lui arrache et qui l'emporte ! Ce malandrin !

Paquita, la chaurienne d'adoption, se lance à la poursuite de son couvre chef et du vent qui le lui a chipé. Elle court, elle court, les yeux rivés sur son bien qui caracole sur les berges. Elle tend le bras, le frôle du bout des doigts...
Une rafale le lui ôte et va déposer la coiffe sur l'eau qui roule dans son lit, lequel s'élargit, justement, jusqu'à former un lac.

Le chapeau navigue gaillardement de vaguelettes en vaguelettes et s'éloigne à vive allure.
La brune accélère, elle est presque sûre de le rattraper quand son pied bute sur une souche. elle manque s'étaler, trébuche sur quelques pas, reprend son équilibre, s'arrête et se retourne en grognant.

Son regard se porte sur ce qui a causé sa presque chute. Deux jambes étalées, surmontées d'une bedaine, laquelle supporte une trogne rouge à la moustache batailleuse.

Duflan ! j'aurais dû m'en douter ! l'est tojorn dans les mauvais coups quand m'arrive quelque chose.

Cornecul ! par les os de Christos ! Bran ! L'est point possible ça ! Tu ne peux pas faire attention ?! Nenni ?!

De rage, elle balance un grand coup de pied dans la besace gonflée de charcutaille et de bibine de son ennemi juré, laquelle besace décolle et après une très jolie orbe va plonger aux côtés du chapeau qui clapote à quelques coudées du bord.

Avec de très jolis bruits mouillés et des bulles très intéressantes, la besace s'enfonce mollement dans les eaux sombres.
Paquita se plante devant Duflan.

Si tu vas chercher ta besace, tu pourrais me ramener mon chapeau, l'affreux ?

Battements de cils et sourire engageant de rigueur.
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Par un tendre matin d'été, à l'heure où la ville dort encore, où la rosée du matin recouvre l'herbe encore naissante, où seuls les chants des oiseaux baignent de leurs mélodies celles d'une cité grouillant de ses habitants, Arthur recouvra d'un tendre baiser les lèvres de Para qui roupillait encore.

Para c'est l'heure, les poissons n'attendent pas...

Leur voyage de noce n'en était qu'à ses débuts, mais il avait mille chose a lui montrer. La pêche en faisait partie. Elle lui avait glissé à l'oreille qu'elle serait heureuse qu'il lui apprenne. Ce sera chose faite dès ce matin.

Pendant qu'elle émergeait doucement, il prépara tout le barda, comme un soldat qui partait au combat... Cannes à pêche, ok, les leurres faits maison, ok, les vers de terre, ok, le repas de midi, ok.

Le lac n'était pas loin, il se tenait droit comme un I, sac sur le dos. Il était prêt.
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Je suis prête ! On peut y aller !

Le départ était donné. Il glissa sa main dans la sienne, instinctivement, sans réfléchir, avec ce besoin irrépressible de la sentir contre lui.

Après une courte marche, dans la fraîcheur matinale, les rayons du soleil transparaissaient derrière le feuillage timide des arbres, et se posaient déjà sur la peau avec une insolence d'été, même à cette heure-ci.

Au bout d'un chemin bordé d'arbres plus âgés les uns que les autres, le lac se dévoila devant eux, grand calme, majestueux. Un sourire à sa douce, il posa ses affaires sur la plage, en sortit une canne à pêche et la mit délicatement dans les mains de Para.

Alors c'est simple...Reste plus qu'à attendre et écouter, regarder...

Il savait que cette dernière réflexion était choisie et que les mots en étaient sélectionnés. Il était inutile de préciser que ne pas parler pour la jeune femme allait vite être un calvaire. Ne voulant pas la décourager, il avait à coeur de partager ce moment avec elle.

Il se plaça derrière elle, la guidant dans ses gestes, avec toute la douceur dont il était capable. Et c'est sans trop attendre que le flotteur bougea, assez violemment au bout de la ligne. Dans un geste discret, Arthur montra du doigt la surface de l'eau et lui glissa à l'oreille...

Doucement...ramène le vers nous...tout doucement...
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Oh Arthur je fais quoi?

Il savait qu'elle réussirait, elle transformait tout ce qu'elle touchait en or, y compris son cœur. Tout ça, il l'avait en tête. Il aimait voir ce moment de doute chez elle se transformer en pure réussite, et se dessiner sur ses lèvres ce sentiment de satisfaction qui lui donnait confiance en elle. Un sourire se dessina sur ses lèvres quand la première prise de Para frétilla sur la plage, le sable collant aux écailles, alors qu'il tentait de se débattre vainement, dans l'espoir de rejoindre les courants agréables du lac.
S'en suivit un regard vers elle à la fois tendre et fier. Elle apprenait vite, il fallait bien l'avouer. Il n'en avait jamais douté.
Tentant de ne point être troublé par ses azurs, il s'évertua de faire diversion à son esprit, et s'approcha du poisson, lui enleva le hameçon, et lui tendit...

Une belle truite ! C'est qu'on se refuse rien...

Ses yeux rencontrant encore, par le pur des hasards, les siens, déviant discrètement sur sa silhouette, puis mine de rien retournant en direction de ses affaires échouées sur la plage. Il attrapa sa propre canne à pêche, frôlant sa femme dans un geste délicat. Il se dirigea vers la berge, tout en jetant la ligne au loin, et finit par planter le manche solidement sur le sol.

On verra bien si on en attrape un autre...

Il leva la tête vers le soleil, qui était au zénith. Ceci expliquait pourquoi des gargouillis s'échappaient de son ventre. Il avait faim, et il ne devait pas être le seul.
Alors qu'il attrapait quelques branches et attisait quelques brindilles pour allumer un feu, il se tourna vers elle...

Je sais pas toi, mais moi j'ai un petit creux. Ça te dit de déguster ta prise ?
En plus avec cette chaleur, il va pas se conserver des heures...

Une fumée, une étincelle, une flamme, alors qu'il l'alimentait pour que le feu prenne. Voilà qui était fait dans un crépitement caractéristique. A croire que le bois mort était bien sec.
Il déplia une couverture sur le sable fin, y posa sa besace dans laquelle il avait pris soin d'emporter de quoi manger : fruits, charcuterie, pain. Il y avait de quoi se restaurer. C'était certain. Il lui prit la main...

Tu as faim?
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Guennievres décida d'aller faire un tours au lac de Chinon car elle n'y était pas retourner depuis le départ de Ange elle pensait que aller faire un tour ne lui ferait aucun mal

elle sortie de sa chaumière et marcha jusqu'au lac elle vue l'endroit ou c' était assis Ange lors de leur rencontre

elle s’assit et regarda le lac comme elle le fessait souvent

elle repensa a tous les moment quel a vécu et fit un sourire

elle resta longtemps et regarda le coucher du soleil .
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Guennievres assise pensait a plein de chose lorsque quel sentie un chuchotement tous prêt de son oreille elle avait le cœur qui battait elle ce dit que ce n'étais pas possible alors elle dit tous de même :

-Ange?

Son cœur battais ...
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Sortant sa barque de l'eau à l'aube, Furette est prise dans ses pensées qui la font sourire. La pêche a été bonne, la journée s'annonce belle et chaude et peut être même que quelqu'un de précieux à ses yeux et son coeur pense à elle.....

Elle prend son panier contenant deux poissons hors de la barque lorsque très près d'elle...

Furette reste figée, plus de sourire aux lèvres et immobile comme une statue.

ooooh misèèèère ! c'est pas possible !!! pourquoi c'est toujours à moi que ça arrive !!!! au secour..au secour...au secour....qu'est ce que je fais ???? calme toi...calme toi....pas de mouvements brusques, juste rester calmeeee.....

Elle prend une grande inspiration en fermant les yeux une seconde.
Doucement, elle se tourne et voit un loup près de la barque d'Esta à quelques pas d'elle.

Quelle bête ! elle va me dévorer, elle a l'air affamée ! ahhhh.....mon jour est arrivé !!! non...calme toi...calme toi !

L'animal reste là, assis près de la barque la regardant fixement.

Il me regarde....ahhhh!

euh....ne me regarde pas comme ça! y a rien de bon à manger sur moi !!!

L'animal penche un peu sa tête.

manger...manger...faut lui donner quelque chose, ça le distraira et je pourrai m'enfuir..

Furettre regarde autour d'elle paniquée lorsqu'elle voit ses poissons dans le panier. Avec nervosité elle prend un des poissons et le jette vers le loup.
Celui ci renifle avec méfiance et Furette en profite pour s'éloigner lentement à reculons. Le loup relève la tête remarquant un mouvement.
Prise de frayeur, Furette jette son deuxième poisson et court à toutes jambes vers la maison des pêcheurs sans même se retourner un seul instant.

Elle entre dans la maison en trombe et ferme la porte derrière elle.
Toute essoufflée, elle regarde par la fenêtre et voit le loup dévorer ses poissons calmement. Elle ouvre la fenêtre et crie :

Bon appétit hein !!!! et fais attention aux arêtes ! .....pffffffff, je me fais toujours avoir !
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Le poisson fraîchement pêché, ne fit pas long feu, si bien qu'il finit sur les braises ardentes, laissant crépiter le foyer, quand il y fut posé. Les odeurs de grillades commençaient à s'échapper, alors qu'il observa Para, paisible et détendue sur le tissu posé au préalable sur le sol. Il ne quitta pas la poiscaille du regard, non qu'il risquait de s'échapper, mais parce que la cuisson en était délicate.

Tu aimes les truites ?

En réalité, truite ou pas, ça lui était bien égal. Il voulait juste profiter de cette instant où, après des mois de labeur, ils allaient enfin profiter et s'occuper d'eux. Un regard discret à son attention, ses yeux retournant rapidement vers leur futur met qui prenait le temps de dorer. La chaleur se faisait plus forte, et l'ombre de l'arbre qui recouvrait entièrement l'emplacement de la couverture était bienvenue.

Le poisson grillé a la main, il s'approcha d'elle, s'asseyant à ses côtés, fier de ses exploits pour une première partie de pêche.

Pour quelqu'un qui ne savait pas pêcher, je trouve que tu es douée, et tu apprends vite. Sans toi, on ne mangerait pas si bien...

Le coupant en deux, il lui donna la moitié.

Puis plongeant son regard dans le sien...

Ça te rappelle pas nos premiers voyages en duo, en tant que MA a nos débuts? Je sais bien que le contexte n'a rien à voir...mais...c'est drôle de voir le chemin parcouru, entre nos motivations de l'époque et celles d'aujourd'hui...

Un sourire attendri, voir même ému, de ce voyage qui s'ouvrait devant eux...
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Après un moment de retraite elle prenait le temps de savourer le soleil, d'observer la nature et suivait Picous de près. Dans ces journées de chaleurs qui s'étendaient en longueurs , il n'y avait rien de mieux que les bords du lac pour trouver un peu de fraicheur. Revenue à hauteur du jeune garçon, la jeunette lui montra du doigt un petit coin un peu plus loin.

Picous, si on va un peu plus loin, il y a de l'herbe et on peut facilement aller se baigner. T'veux?

Mais Susi n'attendit pas la réponse déjà elle était partie en courant. Bien décider à se jeter à l'eau.
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Un petit regard en arrière afin de voir si son nouveau camarade était derrière elle et Su' se lança toute habillée à l'assaut du lac. En trois grandes enjambées elle avait déjà de l'eau au genoux. Il y avait en elle comme une envie de tout oublier, ne plus penser aux ducales, ne plus penser à ce qui se passait à Tours. Profiter juste du moment, comme s'il n'y en aurait pas d'autre. Dans le timbre de sa voix, on pouvait y entendre tout ce que l'enfant en elle avait retenu depuis le début des élections ducales, finit le sérieux imposés. Elle n'avait pas encore 15 ans, et encore tellement le temps de se prendre la tête pour des choses qui par moment la dépassaient. Alors, Su' aujourd'hui riait, riait d'être là, riait de se sentir bien.

En plus elle est même pas froide!

Elle se retourna et dans un grand éclat de rire ne manqua pas d'éclabousser Picous qui n'en était qu'a entrer ses pieds.


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Flavie sortit du lac, la peau toute douce. La nuit tombait sur Chinon, une nuit tranquille et calme après la tempête, une belle nuit éclairée par un croissant de lune pâle, idéale pour se promener sur les remparts avec son amour ténébreux, main dans la main.
Mais...
Il ne viendra pas ce soir non plus...
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Flavie, boulangère, tribun de Chinon

Lun arrivait au lac, la journée était ensoleillée, après ne nuit a marcher , un bon bain ne serait pas superflu
Elle choisit un endroit un peu reculé, se dévêtit , et entra un pied dans l' eau
Lun se hâta pour ne pas être vue dans son plus simple appareil, on ne sait jamais sur qui on peut tomber ....
Elle se délassa dans l' eau tiède, regardant au loin, les gens s' amuser
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Lun sursauta quand l' eau projetée par son ver venait lui éclabousser le dos, surprise elle se retourna et le vit sourire

Eh bien dit dont, ça fait plaisir de te voir ici !!!
Il fait si beau, ça nous rafraîchit ...
Avec cette chaleur ...
Ca met du baume au coeur !!!

Elle fit un pas pour se rapprocher de son bien aimé
Quand par mégarde elle manqua de tomber
Voulant se retenir , elle s' accrocha a tout et n' importe quoi
A tâtons sa main frôla son bout de bois
Enfin, l' équilibre retrouvé
Elle n' avait plus qu' a s' excuser
Mais elle préféra sourire
Et ne rien dire

La morale de cette histoire
C' est qu' avec Lun il faut le voir pour le croire
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Aude avait pris un joli petit chemin au bord d'un lac. Elle avait besoin de calme, de silence et de solitude. La journée avait été difficile dans la mine et elle devait absolument se détendre avant de rentrer chez elle, retrouver homme et enfants. Mais, soudain, elle entendit un cri qui lui parut inhumain :

NAAAAAAAAAAAAAAANNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN!!!!!

Quelque chose d'affreux avait dû se produire. Devait elle courir pour aller voir ? ou bien courir pour partir ? Son instinct de survit lui dictait la deuxième solution, mais sa morale et surtout sa curiosité l'invitaient à savoir quel était ce bruit bestial : un ours pris au piège ? un âne coincé dans la vase ?
Elle partit donc rapidement en direction du NAAAANNNNNNNNN !!! tout en faisant très attention ou elle mettait les pieds pour ne pas plus effrayer l'animal. Quand elle arriva à destination elle fut surprise de voir un homme, assez grand, un peu grassouillet, chauve, en train de pêcher dans le lac, de l'eau jusqu'aux mollets, tranquillou. Pourquoi avait il crié de la sorte ? Un poisson lui aurait il mordu les zorteils ? Elle lui cria à son tour...

Tout va bien messire ? je peux faire quelque chose pour vous ?

Aude le regarda, compatissante à sa douleur. Quelle chose HORRIBLE en effet. Il devait souffrir d'une douleur vive et atroce. Elle même ne souhaitait une chose pareille à personne...pas même à son pire...quoi que si...son ennemi serait privé de saucisson, après tout, supplice pour supplice autant trouver le plus supplicieux, le plus douloureux, le plus cruel.....

Messire ne vous inquiétez pas, j'ai tout ce qu'il faut, j'en avais apporté avec moi pour mon casse-croute du matin et j'ai pas tout mangé. Essayez donc d'attraper les poissons et je me charge du reste. Je peux préparer un bon feu en attendant. Il fait trop beau et j'ai pas envie de rentrer à la maison tout de suite. Si ma compagnie de vous gène point, je me joint à vous avec plaisir. Mais par pitié, ne hurler plus de la sorte, vous allez effrayer notre repas. Au fait, je me nomme Aude, Aude Vaisselle.

Elle sortit de son balluchon une grosse tranche d'un beau saucisson qui courrait encore il n'y a pas si longtemps et le déposa à la vue de l'homme, histoire de le mettre en bouche et qu'il se dépêche à pêcher.

Ange l'avait suivit en sortant de la taverne et viens la rejoindre a l'endroit ou il savait qu'elle se trouverai. Ce petit coin de verdure ou ils s'etaient rencontrer. Il souriait malicieusement en venant s'etendre pres d'elle sur le ventre, les yeux rivés sur elle.

Mon coeur, ca ne va pas ?

Il trouvait la jeune femme un peu mélancolique et se doutait de la raison.

Ange lui carressait les cheveux, faisant couler entre ses doigts les boucles de la jeune femme, l'autre bras la serrait contre lui.
Il était heureux d'etre prés d'elle et se rememorait leur rencontre, les instants passés avec elle, c'était la femme de sa vie, celle auprés de qui il voulait vivre et fonder une famille.

Il restait comme cela, perdu dans ses pensées qu'il n'osait formuler.

Ange et argail arrivèrent sur le bord du lac mains dans la mains pour profiter des derniers instant de jours ensemble...

Argail sourit de loin a son ange mais ne pu repondre a son signe et du la faire attendre un moment le temp de rassembler tt ses filets...

Une fois a terre il la rejoignit

c'est le cas repondit il avec un grand sourire avant de la prendre dans ses bras.

Il la fit monter dans la barque et les amena sur une rive un peu plus eloigné, et plus tranquille...

Argail s'etais adossé contre un arbre dans un coin isolé, ange s'etais calée contre lui et il avait refermé tendrement ses bras autour d'elle, la calinant, lui collant des bisou sur les joue, dansd le cou ou sur les oreilles, lui murmurant des mots doux...

Une journée bien maussade comme Ange qui se sentait pas bien...La lettre de son amour dans sa main elle arriva au lac ...

S'asseyant au bord et tout en regardant l'horizon elle se perdit dans ses pensées espérant que tout aille bien et que bientôt son amour lui reviendra!
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Babinour s'avança à petit pas vers les bords du lac. La personne en question lui avait donné rendez-vous un peu plus tôt dans la journée, dans les ruelles sombres de Chinon, refusant de lui donner sa véritable identité. Le rendez-vous était fixé ce mercredi 26 décembre de l'an 1460 au bord du lac de Chinon, vers le grand Chêne qui, par sa pousse étrange, donnait l'impression que l'arbre était endormi sur le lac, et que les vaguelettes berçaient ce dernier.
Babinour se rendit donc vers ce grand chêne en longeant le lac, il paraissait immobile, comme glacé par le froid qui régnait sur la région.
Babinour attendit presque une heure complète en songeant aux rencontres qu'il avait fait quelques heures plutôts, des rencontres qui selon lui allaient changer le cours de sa vie.
L'attente fut longue, il pensait à ce que cette personne dont il ne connaissait absolument rien allait bien pouvoir lui révéler. Et si c'était un piège? Une façon que les pilleurs de la région avait mis en place afin de dépouiller leurs victimes de façon plus discrete? Babinour n'en avait que faire, de toute façon il ne possédait rien...
Au bout d'un certain temps, il s'impatienta, et, contre toute attente, décida d'agir. Il se mit à demander en criant:

"Il y a quelqu'un? Ohé quelqu'un m'entend?"

Mais personne ne répondit...
Dans l'heure qui suivi, il répéta cette opération une bonne centaine de fois mais aucune réponse ne lui parvint.
Manque de chance pour Babinour, le sort en avait décider ainsi, cet homme qu'il n'avait jamais vu auparavent et qui contre toute attente savait des choses sur son passé et sur la tragédie qui toucha Babinour, ne vîme pas.
Babinour, l'air déçu, décida que celà avait assez duré, et il rentra, bredouille au village de Chinon.
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Il était à présent une heure bien avancée de la journée, le calme, le silence aux abords du lac, pas un souffle de vent, pas une seule vague, pas une seule âme. Enfin il y avait bien Babi, mais pouvait-on le considérer comme une âme...
Il se baladait gaiement, jonchant les rivières qui jouaient de douces mélodies par le sanglots de ses flots, les rayons du soleil se baladaient sur lui comme si son visage n'aspirait qu'à le combler. Lorine le suivait, sautillant fièrement dans les herbes qui bordaient la lisière du bois, il revivait, il se sentait démuni de tout fardeau, il était... lui. La chaleur, la merveilleuse saveur des senteurs qui se dégageait des fleurs, la beauté du décors, tout était idyllique, depuis très longtemps, il se sentait enfin vivre.
Une touche d'humidité vint perturber ses rêves... Babi ouvrit un œil, puis d'un coup les deux et se releva en sursaut...
La chienne fit un bon en arrière, apeurée, la queue entre les pattes, les oreilles baissées.
Babi senti la bave de son hôte dégoulinant encore le long de sa plaie...
Il tendit la main vers la bête, non pas pour la punir de ses méfait, mais simplement pour lui donner une caresse... Son long roupillon lui avait redonné des idées, il n'était peut-être pas foutu après tout...
La chienne s'approcha de sa main, méfiante, mais après un très cours laps de temps, accepta son câlin...
Babi se demandait encore ce qu'il faisait là, pourquoi était-il jonché au bord de ce lac, complètement trempé et frigorifié... Des flash lui vinrent à l'esprit, des rêves, des souvenirs, tout lui était confus... Où est ce que ce rêve voulait en venir?

-Saleté de cabot!-
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Par cette belle journée Ange partie vers le lac lieu qu'elle affectionnait ....

S'asseyant sur le bord laissant ses pensées divaguait elle se remémorait les moments passé et tout ce qu'elle avait enduré pour enfin trouver la sérénité .

Elle était à présent heureuse auprès de son amour et jour après jour leur avenir se dessinait...

Ange resta ainsi tout en scrutant l'horizon
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voila argail le vagabond venant poser quelques pas au bord du lac de chinon...

de loin il vit ange, solitaire sise sur la berge, en silence come il savait bien le faire il s'approcha et glissa doucement une main reconforatnte sur l'epaule de ange

je te cherchais partout dit il d'un ton tranquille et sans aucune inquietude apres un petit moment, puis il baissa ses yeux vers ceux de son amoureuse en souriant...

Argail entendit uen voix criait non loin...

Il tourna vivement la tete et apercu la jeune femme qu'il avait croisé ce matin en allant s'enroler dans la milice. Peu loquace avec les etranger il l'avait seulement salué, dommage qu'il soit trop prit pour aller en taverne ces temp ci. voir du monde lui manquait meme si il preferais passer du temp avec ange...

La jeune dame avait l'air bien malheureuse... s'allongeant lourdement sur la berge malgré son poid apparemment plume...

dit ange, si on invitait cette dame non? elle a l'air toute triste argail interogea sa compagne du regard

je l'ai croisé ce matin, elle m'as l'air si malheureuse... je voudrais faire quelques chose pour elle la pauvre, tu devais etre comme ca aussi quand j'etais loin...

argail se dirigea vers ohanna d'un pas tranquille....

c'était vrai Ange venait souvent au lac pendant l'absence de son amour, elle se tourna voyant Arg partir vers la jeune femme ....
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Ohane rougit à la remarque du jeune homme sur sa beauté.

Je vous remercie du compliment.

Elle regarda Ange, se tourna vers le jeune homme

Vous avez une magnifique jeune femme à vos côtés, vous devez être heureux avec elle, cela se voit dans vos yeux

Elle essuya ses yeux encore humide

Quand à ses larmes, elles sont pour l'homme que je pensais aimer et que je pensais qu'il m'aimait. Mais il a préféré suivre sa lance que de rester avec moi alors que j'étais malade et effrayée.
Heureusement pour moi, le village regorge de personnes bienveillantes, sympathiques, très accueillantes et généreuse

Ange rejoint les bras de son amour et se tourna vers la jeune femme ..

-Enchantée je suis Ange et je ne vous ai jamais vu par ici ! vous êtes de passage ou vous restez parmi nous ?
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on vous attend ce soir alors? dit il avec un clin d'oeil a ohanne

puis il se pencha vers ange...

ca te derange pas? tu es d'accord?

il rendit son sourire a ange avant d'en adresser un a ohanne

ca vous convient ohanne?

Argail arriva avec sa jaque et sa pique de milicien il n'avait pas beaucoup de temp avant de reprendre son tour de ronde mais il avait promis a ange...

il reconnut la panier mais ne la vit pas, elle n'etait surement pas loin...
il s'allongea dans l'herbe et ferma les yeux en attendant son retour

allez depeche toi mon coeur pensa il tt haut en gardant les yeux clos

Il garda les yeux clos et un sourire illumina son visage quand elle s'allongea sur lui
elle roula sur le coté et il l'entoura d'un bras

mais c'est normal mon coeur, je t'aime trop pour te laisser seule dit il en souriant il se releva avec elle.
Il mangèrent en se racontant leur matiné, en se calinant...

Argail chemina main dans la main avec ange, puis il fallu la laisser et retourner avec les hommes d'armes...

a ce soir mon coeur lui dit il de loin apres lui avoir envoyé un baiser

Une grotte près du rivage du lac


Le glaçon nordique qui commençait à se dégeler,à son immense surprise,icelieu,venaystre avoir confirmation des Signes de ses Dieux et de leur Dieu Unique.

Le Régnant Ducal avait dà autorisation à installation sur ses terres magiques ou l'on devinait,pourtant,immenses,Souffrances,Douleurs et moultes Grands Bonheurs....Ue Terre rude,dure et pourtant d'Acceuil et de Sérénité que seul un Peuple Valeureux ayant connut Souffance d'Ame pouvait donner....Gantelet de fer aux piques acérées pour le Faux et le Fourbe mais Patte de Velours pour le Vrai et le Sincère...

La nordique se sentait bien icelieu,son Ame torturée et in Furor s'apaisait doucement....Et elle apprenait tant et bien plus avec toutes ces Ames Radieuses icelieu.....En peu de Temps,le glaçon avait appris à aimer ce Peuple de Touraine,à aimer cette Terre qui ressemblait à son sien défunt royaume..Certaines Ames étaient maintenant en son Coeur et son Ame,et elle donnerait son Sang en souriant pour eux et elles....

Anti prenayct conscience qu'elle en effrayait encore moultes autres,mais,in fine,cela l'importait peu...La Walkure en avait habitude et les gens,une fois la frayeur passée osait venir et parlementer en sa compagnie...Riaient de ses gaffes de vocables et de manières,et même les plus ours s'amusaient et se moquaient en gentillesse...

La Walkure remerciait en Pensée ses Dieux et leur Dieu Unique...Quand même un tantinet les deux foutriquets l'ayant brigandée aussi....D'avoir mené Bucephale en ce lieu de tout les Possibles.....Ce Duché estoyre bien à part de tout duché et comté qu'elle avait traversée en précédence...Un Royaume en seing d'un autre......

En attente si Ser Bourgmester acceptait ou non sa mandasture,la guerrière avait trouvée une grotte près du lac.....Elle avait monté enclos pour Bucéphale et un autre pour le cadeau empoisonnée qu'estoyre ce porcin femelle nommée Florence...Encore quelques jours et ce fourbe pourceau femelle mauvais comme teigne serait occis et transformé en bonne victuailles....

Elle s'était construite vaillant lit en un coin sombre,mit feu en milieu et des peaux d'ours épaisse et en grand confort de partout.....Sa réserve de calva mise en frais au plus profond de la grotte....

Anti avait placé de petites statues de ses Dieux sur un petit plat bord naturel de pierre et avait tenter de faire une statue de ce Dieu Unique comme elle avait vue peinture en le Sancte Lieu et comme l'idée en sa têste elle se faisait...L'avait placée en place d'Honneur,à droite d'Odin,Père de tout ses Dieux,égualité de Dieu Unique et Odin le Terrible....

Un recoin graniteux était transformé en petit lieu de lecture et escriture,le sol et paroi couvert de moelleuses peau de mouton....

Après avoir vérifié les fers de Bucéphale,donner pitance et breuvage à son destrier et le porcin fou comme Loki,elle alla relever ses pièges à poissons et crustacés disséminé devant la grotte...Fut heureuse du bon constat des occupants.....Elle entreprit de vider,écaler lesdits poissons,certains seront fumés à la mode nordique et d'autres en cuisson comme les françoys faisaient....Les crustacés serviraient en un savoureux plat frit au blé et maîs,assaisoné de rude eau de vie.....Anti se mandasture si elle invitait à partageance ce repas sommaire avec Frère Pisouc si cela estoyre bien en coutume de sa nouvelle Terre...Ne s'offusquerait-il point de l'invitation? Elle aurait aimé faire cette partageance avec Dame Furette,mais n'étant point en lien d'Amitiés,Anti craignait d'offusquer cette Noble Dame de son invitation.....

Elle prit un velin,veillant à mestoyre en coté les parchemins aux armes de sa Royale Famille,seul vestige d'un Passé présent et qu'elle ne voulait point estoyre en oubliance.....Le petit drakkar,cadeau de Seigneur Jeremie avant son précipité départ,tronait en place d'Honneur.....Et entreprit à rédiger son invitation Frère Pisouc.....Attacha un tube d'or à la patte fine de son faucon et le lâcha en lui donnant nom du destinataire.....

Anti s'attela à lever filet de poissons,les enduire d'une huile aux baies aromatiques de chez elle et parsema quelques herbes d'icelieu pour les suspendre au dessus du brasier de fumage.....

Puis,ayant récupéré des ustensiles culinaires,entreprit de faire son plat de crustacés au blé et maîs frit..... Plaça le pain d'épeautre fraiche préparé la veille sous la cendre du feu pour que sa cuisson soyct en perfection de fondaisance en bouche.....

La géante,préparatifs achevé,cuisson en entamaison et filet en fumaison ,s'installa devant l'entée de sa gortte qu'elle jueait chaude et chaleureuse à ses us et coutumes des fjords.....Sortit une pipe qu'elle avait taillée en une racine de bruyère et cette herbe que fumait certains françoys,cadeau d'un voyageur que le glaàon avait aider lors d'une de ses périgrinations....Elle entreprit la pipe et l'alluma...Laissant ses prunelles dériver sur l'onde azuréenne du lac paisible,savourant ces instants précieux ou elle écoutait les peuples des Lieux lui conter leur histoire et de fort belles légendes et mythes......le glaçon en avait même oublié de garder,à portance de senestre,Thor son casse têste....

Maintenant,elle devait penser à Evoluer pour ne point donner Honte de la Confiance que Frère Pisouc et Frère Frogy avait placée en elle....Et elle désirait aussi diatriber avec le Sancte Homme Prince du Sud sur leur religion étrange,tenter de comprendre....Dame Furette était en intégration en une Famille au nom impossible à édicter pour la nordique...Elle voulait comprendre....Et tant de questions sur cette religion et ses Hermétiques Arcanes bruissaient en sa têste.....Frère Picouse était comme elle...Ils avaient été refusé en leur Wallalah respectif,comme Frère Frogy ou ce qu'ils nomment...Ange?????!!!!!...L'avait sauvé.....Le Sancte Homme Prince du Sud devait Savoir puisqu'il était un Béni de leur Dieu Unique,il devait diatribé avec Lui,donc,il avait toute les responce,le Sancte Homme.....

Anti acheva de fumer en plénitude,puis vida sa pipe et botta les minuscules brandons...Elle jeta ultime prunelle à ses pitances en cuisson,hésita un instant...Ce qui l'a surpris derechef....Puis opta à juste prendre son épée de brettage,laissant en fond de sa grotte toute ses autres armes...Mais garda ses précieuses piques de cheveux empoisonnées en sa coiffure.....

Le glaçon en dégel flatta son sombre destrier de guerroyage,puis de son pas lourd du Nord pris direction de l'estaminet chaleureux de Dame Furette....

Une grotte près du rivage du lac

Tot,Mâtine avant chant de coq,Anti se leva,prit furgal rpas,tellement en grande inquiétude estoyre poru Picous Sien...

Lui venir éclair hier en apres de midi mais aprs plus rien...La Walkure nourissait,en son sieng,immense inquiétude maintenant...Elle regarda soie précieuse qui entourait sien petit cadeau pour Ame Double Sienne....Puis,petits cadeaux de Jeremye,miniature de drakkar et statut de Odin,Père de idgaard et tout les Dieux avec mins grenouille sur sienne épaule,que Frère Frogi vant,en ptience faystoyr création....

Après agape,la guerrière alla donnerpitance à Bucéphale et horreur de pourcin mauvais,Florence...Demain,couik le pourceau....

Revint dans grotte pour mestoyre pain épeautre fraiche sous cendres pour qu'il cuise bien et en doucement...

Elle alla poser nasse pour pieger crustacés,posa petit flet plus loin pour poissons taille à bon fumage de filets,puis mit petit drakkar sien en eau...Un peu pêche fera grand bien à calmance inquétude immense en elle pour Sienne Ame Double...Anti prit lance de pêche à empant tri dents et commença ramage vigoureux pour trouvance coin gentil de poissons.....Gardant oeil sur rive,avec espoir à voir PIcous Sien en arrivance...Peut-être....
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Pucelle élue Touraine Duché...Pas cherchance à vérificat sinon mien poing dans groin vostre...

Une grotte près du rivage du lac

La géante,revenu fraiche instant de mission,porta pieds à sienne grotte....Alla mestoyre vaillance d epitance et eau fluide à Bucéphale et infame pourceau Florence....Demai,promesse enfin couik gronkgroink faux et putride...

Otant tenture de entrance,la grande dirigea ses pas vers le fond ou chambre sienne estoyre,posa petit présent pour Sien Roy Picous,ota armure et borc encombrements....Jeta rude serviette sur sienne épaule et alla au rive de lac Chinon,juste devant entrance sienne grotte...

Rendnat Dévotions à Siens DIeux et Dieu Unique leur,avec immense Pensée pour Sien Amour Picous et esperance vivance de enfin voir Lui,et serrer enf ort contre sienne poitrine,Unique AMour Picous,Anti entra en onde fraîche,bien que chaude pour la nordique ,peu ne hasbitude de température d'icelieu...

Rendnat Ultime Dévotions pour drakkar de Dame Furette,Sancte Homme et tous équipage au Dieu des Flots et peuples Ondins pour dà Protecta sur eux tous,Anti enfonça têste sous surface azuréenne de lac et nagea en vigueur jusqu'à ce que souffle vinsse vouloir reviendre...Sortant en silence têste,la Walkure nagea en long moment,veillant à toujours voir rive et esperance voir enfin Magique Apparition Sien AMour Picous....

Long moment fut,...Rien...Anti,coeur gros,revint en berge,sortit de l'onde et posa sienne rude serviette sur sienne épaules...S'en fut,en tristesse vers sienne grotte et se vestit sans sienne armure,pour secondis fois...Pour Honorifica Sien Roy Picous et que Lui pas honte de sa guerrière....

Rendant ultimes Dévotiosn à Siens Dieux et Dieu Unique leur,la géante nordique porta pas vers estaminet de Huberte Amie...Coeur plein ne espérance de Lui......
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Pucelle élue Touraine Duché...Pas cherchance à vérificat sinon mien poing dans groin vostre...

Une grotte près du rivage du lac

La géante pucelle arriva à sienne grotte.....

En rapidemment,elle ota armure,peau d eorus,alla faire nécéssités près Bucéphale tet infame pourceau Florence puante toujours en vie ça pourceau....


Siennes narines fréùissantes,babines secouées par tremblement,Anti ressentit Sien Frère de Naissance aussi en énervement que elle...

In Primus Sien Roy enfin revenu,mais lui rien en dire,grrr..Puis cette débutance soirée,petit Frère en bras blancs,petit Frère pas bien ...Mais quoi avoir en têste ester peuple à rien ressentir de sien Peuple et voloyr toujours prendre à Mère Midgaard Siens Enfnats alors que eux rien ressentir ni rien en compréhension,grrr.....

Anti,nerveuse,balança lentement têste e tcorps et hullula en tristesse pour Petit Frère en incompréhension de autre....Frère de Naissance respondit en tristesse.....Leurs deux Voix se mirent à unisson pour pauvre petit Frère......

La nordique ota tous sien vestements,puis approchant en pas coulant vers l'onde,jetta œil par derrière sienne épaule...Frère ester là,nerveux,fébrile....Regardant par dela Tenebris,Anti avait immense e tfol Esperance d evoir Sien Roy enfin viendre...Mais ...Rien...Rien,encore et toujours rien...

Se tournant vers l'onde sombre,elle inspira en grand et plongea pour calmer vibrations en elle avec Peuple Ondins....
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Pucelle élue Touraine Duché...Pas cherchance à vérificat sinon mien poing dans groin vostre...