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[RP] Il était une fois, Renard et Rouge Gorge.

Brunehautdartois
L'histoire commence comme une fable, et se termine comme dans les contes de fée, par...."Ils se marièrent et...s'entrainèrent souvent"


Domaine de Moulicent, jour pluvieux.


Mariage pluvieux mariage heureux, lui avait glissé Gervaise sa vieille bonne qui se chargeait pour l'occasion de mener le petit personnel à la baguette afin que tout soit prêt pour accueillir les invités.

La pluie avait pris ses quartiers en cette fin mai, veille du mariage tant attendu, pourtant aucune invitation ne lui avait été adressée.
Depuis les fenêtres du château la future mariée observait l'animation qui régnait au dehors, une armée de valets, embauchés par la futur marié pour l'occasion s’affairait à tout installer.
La cérémonie se déroulerait en plein air, dans un pré longeant les contre forts de la demeure seigneuriale.
Un grand chêne y trônait en son centre, dessous celui ci une table y avait été installée et demain pour la cérémonie, serai recouverte d'une nappe d'autel finement brodée.
Devant, lui faisant face, deux fauteuils recouverts d'un velours rouge accueilleraient les mariés, les branches feuillues du chêne les protégeant de la pluie qui tombait toujours en fines gouttelettes.
Les invités quant à eux pourront prendre place sur des bancs, plus rudimentaire, mais les églises n'offraient pas meilleure assise pour autant.

L'observation de toute cette agitation n'arrivait à suffisamment lui occuper l'esprit et l'appréhension du lendemain commençait à la gagner.
Nerveusement elle se triturait les doigts tout en arpentant les couloirs du château, quelques invités avaient déjà pris leurs quartiers, les demoiselles Ried pour ne citer qu'elles.
Toute les futures mariées étaient elles aussi angoissées qu'elle à la veille de leurs noces?
Elle avait bien tenté quelques points de broderie pour se calmer, mais l'ouvrage avait terminé tâché de sang dans la cheminée, elle n'avait jamais été douée pour le point de croix ce n'était pas aujourd'hui qu'elle allait commencer.
Par contre se défouler épée au poing contre un épouvantail rempli de paille...ah ça...mais on l'en avait empêchée prétextant qu'elle pourrait se casser un ongle, motif peu convaincant vous le concèderait, du moins la concernant, mais elle s'était pliée pour une fois, après tout on ne se mariait qu'une fois, du moins pour elle c'était le cas.
Sans doute le noeud qui s'était formé à son estomac provenait peut être de ça, un terme à son célibat, d'aucuns diront qu'il était temps, car il s'agit bien de ça, le temps, celui qui passe, qui laisse des traces, l'horloge de celui ci qui vous rattrape et vous susurre à l'oreille qu'il est temps justement.

La nuit descendait lentement, demain....demain...elle aurait encore le temps de s'angoisser

_________________
Sabaude
[Du côté du futur époux]

Impossible de rester à Moulicent avec l'agitation qui y règne, il y a de quoi y perdre le peu de raison qu'il lui reste encore. Une note est laissée à sa promise.



Que cette nuit soit tienne et mienne avant d'être notre.
Ne t'inquiète pas de mon absence, Renard sera sous le chêne.


Puis aux attentifs de voir un cavalier s'éloigner en direction de la foret de Reno. Il y restera quelques heures à se ressourcer, allongé sur un tapis de feuilles, à contempler les fins rayons du soleil jouant avec les branches. Personne pour lui demander s'il est prêt, si sa tenue de mariage est choisie, s'il a un présent pour la mariée, s'il sait quand arriveront les invités, qui logera à Moulicent, qui ... Le vide! De toute façon il n'a de réponse positive ou de réponse tout court à donner. Un brin insouciant... de quoi sombrer dans le sommeil avant de chevaucher jusqu'à Verneuil et de pousser la porte de la taverne de Fragar.
Beatrice
[Et la gouvernante, vous y avez pensé ?]

Veille du grand jour.

J'étais installée depuis peu dans ma nouvelle fonction de gouvernante et doucement mais certainement, je prenais mes marques autant avec les enfants qu'avec le Goupil et tous ceux qui vivaient autour de lui.

Les enfants n'étaient ni pires ni mieux que tous les autres enfants, j'espérais ne pas être la pire des gouvernantes, seulement leur apporter tout ce dont elles avaient besoin.

Ce que j'ignorais en arrivant ici, c'est que dans les jours qui suivaient, le seigneur de Moulincent se mariait et que donc, forcément, les filles seraient du mariage !
Ah pour une épreuve décisive, c'en était une !
A qui revenait le grand privilège de veiller à ce que ces damoiselles soient impeccables, qu'elles se tiennent bien, qu'elles ne déchirent pas leur robe, que Agathe ne grimpe pas aux arbres à la place de rester sagement à sa place de damoiselle d'honneur ? Hé ! Mais à moi, pardi !
Si j'étais honorée de la confiance que déjà le Goupil m'accordait, j'étais morte d'angoisse à l'idée que quelque chose ne tourne pas rond.

J'avais passé cette journée, veille du mariage, à tout vérifier et revérifier, vérifier encore et encore, les robes des jeunes filles, leurs coiffes, leurs chaussures, au moins vingt fois ! Je leur avais fait répété aussi ce qu'elles devaient faire, comment elles devaient marcher derrière la mariée, comment tenir leur bouquet, je leur avais fait promettre aussi de rester comme des images.
Maintenant qu'elles étaient couchées, mais qu'elles ne dormaient pas encore, excitées qu'elles étaient à l'idée du lendemain, je m'accordai enfin un moment de repos afin de moi aussi préparer mes affaires. Car bien que je ne serai pas dans la suite, je me devais d'être présente, prête à fondre en toute discrétion sur les filles si jamais...Je m'assis sur mon lit et...prise de fatigue, je m'endormis aussitôt.
Talona
Pour la premiere fois, l'Abbesse Talona allait organiser une cérémonie religieuse en dehors de l'Eglise d'Alencon. Et oui, pourquoi pas? ... Les mariages pouvaient très bien s'organiser en plein air, car Dieu est partout, l'amour et l'amitié ne se limitaient pas aux Eglises et aux cathedrales. Talona était heureuse de célébrer cette cérémonie au plein air, meme si le temps n'était pas très agréable. Elle craignait la pluie et elle priait pour que tout se passe bien.
L'avantage d'uneun batiment religieux, c'est que le mauvais temps n'a pas d'impact sur la qualité du mariage. En revanche, une cérémonie en plein air était beaucoup plus risquée. En effet, si la pluie tombait, le mariage risquait d’être mémorable!


"Bon, est ce que tout est pret?" demanda Talona aux organisateurs, avec le sourire et la bonne humeur.... . "il faut des cierges ici" ..... "Et la, n'oubliez pas un bouquet de fleurs près de l'Autel" ....."HA, attention, il faut prévoir un tissu étanche au dessus de l'autel, au cas où la pluie tomberait!"


*Apres quelques minutes où elle disparut subitement, Talona fit sa réapparition avec une petite surprise pour les mariés*


Voilaaa j'ai apporté ceci, cela vous portera chance! Talona posa un magnifique coeur rouge, devant l'autel, un cadeau qu'elle avait financé sur ses propres deniers, afin de faire plaisir à la mariée. Le cadeau représentait un coeur rouge, avec des colombes blanches et deux alliances, mais surtout, le cadeau était accompagné de deux coupes de vins de Champagne, un breuvage raffiné qui remplit actuellement la vieille cave de l'Abbesse.




Ensuite, en attendant que tout se prépare, Talona fit quelques papiers administratifs avant le mariage

Alors voyons voyons.... nous célébrons le mariage de Dame Brunehaut d'artois et de messire Sabaude. Les témoins du marié : Jocered et Shynai. Les témoins de la mariée: Liptis de Marles et Guillaume de Bivouac. Parfait, tout me parait en ordre! La cérémonie peut commencer dès que nous avons le feu vert
Syrielle
    " Dans leur chambre excité comme deux puces "

    Dormir, dormir impossible de fermer l'oeil, Louison était gentille la brunette n'en doutait pas, mais être au lit à 17 ans alors qu'on est déjà dame ça passe pas vraiment bien, mais les deux damoiselle du Ried devait avoir le teint frais et de pèche pour le lendemain. La brune se tourna vers sa noisette qui tripotait son drap, tien elle non plus n'arrive pas à dormir alors un murmure se faisait entendre dans la nuit.


    Agathe tu dors pas ? Moi j'arrive pas attend j'allume la bougie on va discuter mais en chuchotant sinon Luison va venir nous rouspiller.

    La brunette s'assoit sur le bord du lit et allume la bougie en essayant de ne pas trop faire de bruit, espérant qu'Agathe ne fasse pas des siennes.

    Vient à côté de moi .

_________________
Brunehautdartois
Jour J - Chambre de la mariée

Une brune sur un lit qui picore de la mie...
Fallait bien qu'elle passe le temps, la nuit fut longue, trop longue, elle l'avait passée à compter les heures pour au final s'endormir au petit matin.
Mais au réveil le temps s'était éclaircit, sa nervosité par contre n'avait pas fuit pour autant.
Les nuages s'étaient dissipés, laissant place à un soleil encore quelque peu timide, une belle journée en prévision, comment pourrait il en être autrement, elle se marie bon sang!

Une fois debout, c'était les cents pas qu'elle faisait dans la chambrée, allant de la fenêtre vers la porte, puis de la porte vers la fenêtre, la robe était prête, les accessoires qui allaient avec aussi, ne manquait plus que la demoiselle qui devait l'aider à se préparer et surtout à se coiffer, mais que pouvait bien faire Syrielle.
Elle entrouvre la porte, lorgne dans le couloir, rien, pas l'ombre d'une Ried, elles avaient veillé tout la nuit ou quoi?


Syrieeeelllllle!!

En retard, elle allait finir par l'être si elle n'arrivait pas dans l'instant, comme si elle n'était pas suffisamment angoissée pour encore en rajouter.
Le petit mot laissé par son promis n'ajoutait rien à l'affaire, dans quel état allait il arriver.
Soupire, et re soupire, elle se laisse tomber sur son lit..attendre...attendre encore.

_________________
Liptis
Liptis avait reçu, il y avait plusieurs semaines, un courrier de sa marraine lui annonçant son mariage. La joie de l'Arrageois avait été grande. Profitant d'une envie de quitter l'Artois pour quelques temps, il avait averti Brune pour lui annoncer sa venue.

Pour rien au monde il n'aurait voulu rater un tel évènement, une telle fête.

Pour arriver tôt, Liptis avait galoper chaque jour, mettant de côté sa crainte des chevaux. Même 'Canasson' semblait vouloir arriver vite et avait malmené son cavalier...

Il avait eu le plaisir de rencontrer le futur époux de sa bien aimée marraine. Nul doute que l'homme saurait la rendre heureuse. Etant arrivé rapidement, l'Arrageois en avait profiter pour découvrir ce petit duché à l'ambiance bien différente de l'Artois. Il avait retrouvé certaines personnes connues et vivait heureux, attendant le grand moment.


Jour J.

C'était le grand jour. Levé tôt, Liptis se prépara puis revêtit ses plus beau habits. Il ne devait pas faire honte à l'une des personnes qu'il aimait le plus en ce monde. Il était tout excité et se décida d'aller marcher un peu dans les rues de la ville.
Talona
*Talona avait bien conscience que ce jour était un grand jour, un moment où tout le monde était plus ou moins pressé et stressé, mais.... personne ne lui avait encore confié les alliances pour la bénédiction. Elle s'adressa aux témoins*

Dites moi.... je n'ai toujours pas pu bénir les alliances, serait t-il possible de les voir pour que j'y apporte ma bénédiction? Ce serait un péché de commencer la cérémonie sans avoir béni les alliances, cela porterait malheur dans votre foyer car nous laisserions une porte ouverte à la créature Sans-Nom!

Beatrice
Le grand jour.

Syrieeeelllllle!!

Ce fut la douce voix de la future épouse du Goupil qui me tira du sommeil profond dans lequel j'étais tombée la veille au soir.
Ah pour ça, j'avais bien dormi, merci !

Bon sang mais quelle heure pouvait-il être ?
Les filles dormaient-elles encore ou bien s'étaient-elles levées et faisaient-elles mille bêtises ?
Apparemment, Syrielle n'était pas auprès de damoiselle Brunehaut !
Ca allait chauffer !!!

Vite, vite, je me mis sur mes pieds et je tâtai ma coiffure afin de m'assurer qu'elle n'était pas trop en désordre, je lissai comme je le pouvais le bas de ma robe, espérant que personne ne se douterait que j'avais passé la nuit habillée et que je venais seulement de me réveiller.

Je collai l'oreille à la porte qui séparait la chambre des filles de la mienne. Rien, pas un bruit. Elles dormaient encore. Je pensai immédiatement qu'elles avaient du veiller tard et qu'elles ne s'étaient endormies qu'à une heure déraisonnable. Elles allaient être dans un bel état !

Je frappai à la porte pour prévenir de mon entrée et prenant une voix sobre et monocorde, j'annonçai :


Damoiselles Ried !
Il faut vous lever, et vite !

Damoiselle Syrielle, dame Brunehaut vous réclame, dépêchez-vous, vous devez la coiffer, elle doit s'impatienter.

Mettez seulement votre surcot, je vous habillerai lorsque la mariée sera coiffée.

Je tendis le surcot à Syrielle avec un grand sourire et je retirai la couverture du lit dans lequel les deux soeurs s'étaient endormies.

Damoiselle Agathe, vous allez prendre un bain.
Sabaude
[Quelque part dans un bois non loin de Moulicent]

C: Pourquoi nous arrêter sous ce chêne ?
S: J'ai écrit que Renard serait sous le chêne. Je n'ai pas dit lequel.
C: Seriez-vous cynique ? Vous ne l'aimez-pas ?
S: J'aime le soleil et je ne me marie pas avec pour autant.

A la face de l'astre il rit. Au narquois de trouver une meilleure assise sur sa selle.

S: Je place mes devoirs envers une femme après ceux de mes allégeances et de mes charges . Elle le sait. Mais l'a-t-elle compris ? Car je ne changerai pas.
C: Vous attendez de moi une réponse ?
S: Non, tu ne saurais la donner.
C: Qu'allez-vous faire ?
S: Tu vois ceci, c'est une dague, offerte par un homme singulier comme je les apprécie.

De sa main droite il envoya le bel ouvrage se ficher dans un tronc. De quoi faire grincer les mâchoires de son ancien possesseur s'il l'avait vu faire.

S: Va me la chercher veux-tu.
C: Tenez.

Il sourit en admirant l'arme qu'il prit de la main gauche. D'un mouvement vif et sûr elle se planta dans l'arbre à un doigt de la marque laissée par le précèdant lancer. D'un haussement du menton il enjoignit l'homme de la lui ramener.

S: Un jour la droite, le lendemain la gauche... Versatiles sont mes pensées et désirs. Cependant l'inconstance de l'âme ne saurait être celle du cœur.
C: Voilà donc pourquoi vous attachez tant d'importance aux serments ?
S: Sans eux je serais à la dérive. Le navire a son ancre, j'ai mes engagements. Je veille cependant à en avoir peu.

Il essuya la lame puis la remit à sa place, glissée à son ceinturon.

S: Est-ce que tout est prêt pour ce soir ?
C: Oui. L'affaire est réglée. Il ne manque plus que les invités sélectionnés et audacieux.
S: Bien. Allons-y.
C: Puis-je savoir où ?
S: Mes propos étaient-ils équivoques ? Ma future épouse m'attend !

Penché sur l'encolure de sa monture le jeune noble sembla lui murmurer quelque chose sous l’œil circonspect du compère. Redressé il flatta l'animal d'un tapotement puis sur un « YAAAA » partit au galop en direction de Moulicent.
Syrielle
"Dans la chambre sous la couverture"

C'est un sourire qui s'affiche sur le visage de la jeune du Ried car elle rêve qu'elle est dans un champ de coquelicots, le soleil est au zénith elle habillée d'un fine robe de soie et de voile qui vole au vent, elle s'amuse à tourner sur elle même bras ouvert mais d'un coup.


Damoiselles Ried !
Il faut vous lever, et vite !

Damoiselle Syrielle, dame Brunehaut vous réclame, dépêchez-vous, vous devez la coiffer, elle doit s'impatienter.


Un grand sursaut c'est la voix de Louison qui vient rompre ce doux moment, un oeil s'ouvre et un petit grognement d'insatisfaction se fait entendre.

Oui je me lève Louison.

Ni une ni deux la brunette est debout prenant son surcot qu'elle enfila au plus vite, un baiser sur le front d'Agathe, la brune fila dans la chambre de la mariée saluant de sa main Louison et Agathe.

A tout à l'heure

"Chambre de la Mariée"

TOC! TOC! TOC! Brune c'est moi Syrielle

Coiffer la marié était un plaisir le du Ried s'imaginait un grand chignon fait de petite tresse nouée, de torsade.
_________________
Joseced
[8 Chemin des Artisants à Verneuil]

Joseced c'était fait beau, le grand jour de ses amis étaient arrivés. OUI José c'était fait beau. Complètement rasé, bien coiffé, tout de blanc vêtu, il avait laissé son épée à la maison et Kilia à la boulangerie de Ztneik, le voisin.

Avant de partir il se regarda dans une petite glace qui appartenait à la défunte mère de sa fille. Il fit un sourire, finalement, quand il voulait, il pouvait se rajeunir, peut-être que le prochain mariage serai le sien ?
M'enfin fallait trouvé une donzelle, et c'est pas la choses la plus aisée.

Il enfila un manteau et monta Feux de Neige, son cheval blanc, pour se rendre sur place.

Mais en chemin (2 minutes après être partis) , il s'arrêta chez Fragar pour se "ressourcer".
Agathedr
    [Dans une chambre, avec Syrielle et Louizon]


Une nuit de causeries, de complicité et de fous-rires. Malgré leur différence d'âge, Syrielle savait redevenir une enfant pour le plus grand bonheur d'Agathe. Le problème ce jour, c'est que visiblement le soleil, lui, n'avait trouvé aucun complice pour veiller tardivement... Comme à son habitude, il se leva à l'aube et entama son décompte du temps qui, assurément mettait Louizon dans tous ses états ce matin !

La gouvernante entra dans la chambre tel un blizzard hivernal, assurant le réveil comme un capitaine royal mal embouché saurait le faire avec ses hommes ! Si Syrielle réussit à émerger en vitesse, il semblait que l'option réveil immédiat ne fut point inscrit dans le capital génétique de la petite. La face écrasée dans le moelleux de l'oreiller, la bouche entrouverte d'une respiration jusque là paisible, les paupières ne purent se résoudre à s'entrouvrir.

Un vague râle s'échappa cependant pour manifester cette incapacité momentanée à s’éjecter de la couche. Le baiser déposé par Syrielle sur son front conforta l'enfant dans le ressenti actuel : la vie n'est que douceur et confort douillet...

Oui mais voilà...C'est précisément à ce moment que les mots de Louizon finirent leur trajet oreille-cerveau agathien...


Damoiselle Agathe, vous allez prendre un bain.


Ils firent l'effet d'une petite fissure dans la torpeur ouatée où Agathe baignait, celle-ci se propagea lentement, se transformant bientôt en implosion, brisant rêve et tranquillité...

Alors...Deux options possibles : le lever immédiat et obéissant...pas vraiment dans le genre d'Agathe....Reste la rébellion farouche au risque de mener à l’affrontement...Pfiouuuuu...C'est trop tôt pour ça !

Aha...Troisième solution : Agathe effectua un lent mouvement de rotation avec sa tête, plaçant celle-ci côté mur...Mouvement tout en douceur, du genre" J'ai rien entendu, je dors, revenez plus tard Louizon..."


On ne sait jamais sur un malentendu, ça peut fonctionner...
Nefi
[Orthez, Béarn]

Voilà quelques temps déjà qu'ils avaient eu l'invitation et le jour du départ était enfin venu.
Elle s'était chargée de préparer leurs malles bénissant le jour ou sur un coup de tête elle avait commandé de nouvelles tenues à ses talentueuses collègues. Ils n'étaient guère sortis de l'hiver tout consacré qu'ils étaient à leurs études respectives et les tenues n'avaient pas encore eu la chance d'être portée. L'auberge était vide depuis quelques temps mais tous deux vivaient fort bien ce tête à tête amoureux comme une très longue lune de miel.
Pendant qu'elle terminait de remplir les malles, Lndil se chargeait de choses plus masculines à savoir l'attelage et les laissez-passer. Ils formaient tous deux une bonne équipe et bientôt ils purent prendre la route.
Ce n'est pas sans un soupir à fendre l'âme qu'elle regarda cette boîte à roulette qu’elle haïssait tant. Une fois de plus elle ne supporterait pas les chaos. Pourquoi fallait-il donc qu'on la punisse ainsi, chaque brimbalement lui remonterait le cœur au bord des lèvres et elle arriverait encore le teint grisâtre et tourmenté.
D'un coup d’œil à l'arrière de la voiture, elle s'assura que les malles étaient bien chargées. Un tel chargement ne pourrait convenir pour un voyage à cheval et le temps incertain n'arrangeait rien. Elle sourit tendrement à Lndil qui l'attendait.


Il faut bien que ce soit pour brunette pour que j'accepte les tourments de ce voyage.
J'espère que les quelques améliorations que j'ai fait porté à cette engin suffiront à améliorer un peu les choses.
tout est en ordre de ton coté nous pouvons prendre la route ?

Il souria tout en lui faisant un clin d'oeil.
Oui tout est prêt chef Néfi... et j'ai même pensé à vous prendre quelques coussins pour votre séant.

Elle rit légèrement de son allusion décidément certaine événements les avaient marqué pour longtemps.

Je vois que vous préférez prévenir que guérir cher vicomte, Je saurais m'en souvenir...

Il rigola, préférant sourire de la douleur qui touchait sa douce à chaque voyage car il connaissait bien ce qui la tourmentait le plus.

Je pense avoir monté toutes nos affaires que tu avais préparées pour nous. J'ai bien sur veillé à des affaires plus militaires afin que nous puissions nous défendre comme il se doit si nous devions avoir une surprise sur la route.
Je pense que les brigands ne devraient pas être nombreux vu les armées en déplacement. Mais c'est vrai que ces dernières n'en seront peut être pas moins problématiques.


J’ai moi aussi repris quelques anciennes habitudes. Ma Dague à repris sa place bien au chaud. Mais j'ai bien peur que les préoccupations militaires ne nous fassent courir d’autres risques encore.

Ils prirent place dans l’attelage poursuivant leurs discussions, le cocher put fouetter les chevaux et prendre la route en direction de l’Alençon. Ils en auraient pour plusieurs jours de voyages ponctué de halte pour prendre quelques repos et laisser reposer les chevaux.


post écrit en concertation avec le joueur de Lndil

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Fragar
fragar allait fermer la taverne pour se préparer a partir au mariage
de sabaude et brune , quand un cheval blanc , surmonté d'un cavalier
cela va de soit , encore que ... , stoppa devant le batiment .
il regarda a deux fois ledit cavalier avant de reconnaitre un joseced pour le coup méconnaissable .
cavalier qui ne l'était plus puisque descendu de monture et se dirigeant a pied donc , en sa direction . connaissant le personnage il sourit en déverrouillant la porte de la taverne


salut maestre , encore un peu et vous trouviez porte close j'allais me preparer a départ pour le mariage de sabaude et brune , mais on a bien le temps pour une chope ou deux
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