Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 7, 8, 9, 10   >   >>

[RP] Mission Search and destroy - a conserver comme exemple

Enduril
Un nuage de poussière sur la route ! Enduril décide de partir un peu en avant afin de voir ce qu’il en est. S’approchant, elle reconnaît Jacob le Guérisseur qu’elle a déjà vu dans les rues d’Alais. Avec lui une troupe de pauvres hères ! Rien à voir avec des brigands mais maintenant, elle à un rôle à jouer !

Elle retourne à la roulotte et demande à ses hommes de s’occuper de tenir en respect le petit groupe tandis qu’elle s’entretiendra avec leur meneur !

Attention, soyez effrayants, mais pas de violence ! Leur recommande t’elle.

Elle descend de cheval et se dirige vers le guérisseur, lui arrachant au passage le sac lui servant à ranger ses remèdes.

Voyons, voyons vos richesses ! Vous empruntez ces routes qui sont miennes et vous devez payer le droit de les emprunter ! Suivez-moi dans ma roulotte que nous y définitions le montant de votre taxe !

D’un sourire cruel et d’un geste de son poignard, elle lui fait signe de monter dans le véhicule où elle pénètre à sa suite.

Elle le fait asseoir sur une banquette et reprend.

Je ne vous ferais aucun mal, parole de Mariposa, mais à deux conditions, la première est de me dire ce que vous faites ici ?

Enduril attend les explications de l’homme…
_________________

Comtessa de Lengadòc
Vanye I Chia
L'accueil lui paraît quelque peu distant et froid. Jacob ne s'attendait pas à mieux de la part de ces gitans. La femme l'oblige à monter dans la carriole, et Jacob s'exécute, craignant de laisser ses ouailles à ces bandits de grands chemins. Il n'a guère le choix, malheureusement.

La femme commence à le questionner. Jacob déglutit et fronce les sourcils. Il lui semble reconnaître cette fille, mais il ne se rappelle plus où il a pu la voir...


"Je conduis un groupe de pauvres gens qui vont vers Nîmes, ou du moins vers la première cité qui pourra leur apporter un peu de protection. Elles ont perdu tout ce qu'elles avaient car leur village a été attaqué par une bande de pillards. Leurs maisons ont été incendiées, et plusieurs villageois sont morts. Ces personnes ne savaient comment se rendre à Nîmes, et comme je passais par là, j'ai proposé mon aide. C'était mon chemin de toutes façons. Qu'attendez-vous de nous ?"
MarieDouce S. d'Axat
Aux ordres donnés par Enduril, MarieDouce descend d'un souple saut, malgré sa longue jupe, en bas de son siège et se dirige droit vers le groupe de paysans. Elle prend son couteau et prend un regard qu'elle souhaite effrayant et s'adresse aux personnes qui semblent apeurées. Elle prend une grosse voix et dit "... on reste en groupe et on ne bouge pas ... " en espérant les convaincre de ne pas bouger. Sans oser se retourner, elle espère que ses compagnons se sont avancés eux aussi, car seule, elle ne pourra pas tenir tout ce groupe longtemps.
_________________
Le paradis ne me sera pas interdit si je meurs le sourire aux lèvres ...


I: 254 F: 240 C: 255
D.S. D'Exat
Djahen avait suivi Marie, et avec un sourire sadique, commença a jouer avec sa dague....

Le premier qui bouge, je lui garantit qu'il aura le plus beau sourire du royaume, dit-il en passant doucement la lame devant sa gorge ...

Puis, toujours la dague à la main, il se mit a contourner le groupe, essayant de voir tout le monde, et estimant leurs forces et leur état ....

Ce faisant, il posa un regard lourd et haineux a tous ceux qui regardaient dans sa direction, passant au suivant lorsqu'ils baissaient enfin les yeux ...
Invité
Pastesue avait sauté à terre pour immobiliser les chevaux, le coteau tiré et l'air mauvais (il s'agissait de les imprésionner bien que marieDouce et Djahen avaient déjà fait leur effet.)

Il se posa devant les voyageurs appeurés et leur fit une grimace horrible
.
"Mesdames, messieurs, la troupe Mariposa est fier de vous présenter ses exécutions sanguinaires. Bien sûr vous êtes raisonnable et vous laisserai vos mains bien visibles. Je vais faire passer un chapeau, pensez aux artistes !"
Enduril
Sur la route entre Nîmes et Montpellier :


Enduril se trouvait face à un dilemme.

Elle avait une mission et s’était défini une ligne de conduite. Mais là ! Elle ne pouvait pas rajouter au malheur qui accablait ces gens.

Aussi, prit-elle sur elle d’expliquer à Jacob qui elle était de la teneur de sa mission. Elle lui fit ensuite une proposition :


Je vous laisse partir, je vous donne même quelques écus pour que vous vous occupiez de ces gens. En contre partie, je vous demanderais de leur faire croire que cet argent, vous avez réussi à me le cacher d’une façon ou d’une autre. En outre, si vous pouviez renforcer un peu la mauvaise réputation de ma troupe, les choses en seraient facilitées pour moi !

Tout en disant ces paroles, elle avait ouvert le sac du guérisseur et en faisait l’inventaire d’un regard connaisseur et admiratif.

Elle se leva, pris dans ses affaires une petite fiole contenant de l’extrait de pavot, l’enveloppa avec soin dans un morceau de tissus, qu’elle remis à son interlocuteur.

Je pense que vous connaissez ses utilités. Maintenant, je suis désolée, mais pour ma crédibilité, je vais être obligée d’être un peu brusque avec vous.

Elle récupéra rapidement une poignée de fleurs d’un bouquet qui séchait suspendu au plafond de la roulotte, puis ouvrit la porte et envoya rouler Jacob au bas des marches en essayant de ne point le blesser. D’un air furieux elle jeta sur lui la poignée de plante sèches en hurlant :

Des plantes ! Et que voulez-vous que j’en fasse ?

Elle les lui jeta au visage avant d’envoyer le sac rouler dans la poussière. Puis elle rappela ses hommes.

Laissez ces crèves misères ! Ils ne valent même pas la lame pour les égorger !

Elle arracha le chapeau des mains de Pastesue et vida sur le sol son maigre contenu de petits objets hétéroclites.

Les hommes de Mariposa ne se contentent pas de vulgaires babioles !

Elle tourna vers le groupe de gueux un regard méprisant.

Allez, profitez de ma générosité, elle ne se renouvellera pas !


Se tournant vers sa troupe :

On repart ! Pas d’autre arrêt avant Montpellier !
_________________

Comtessa de Lengadòc
Vanye I Chia
Jacob se sent angoissé, mais en même temps, il se dit que si cette femme avait voulu le tuer, elle l'aurait fait tout de suite. Il attend la suite des évènements, et elle ne tarde pas. La femme lui déballe un flot d'informations qui lui tombe dessus comme une avalanche. Il comprend la moitié de ce qu'elle dit, tellement elle parle vite, mais il comprend en tout cas qu'il n'a plus rien à craindre.

La femme lui tend de l'extrait de pavot et il l'accepte avec gratitude. Il s'apprête à la remercier comme il se doit quand soudain la femme se lève, l'attrape par le col et l'embarque vers la sortie de la caravane. Il entend vaguement les mots "... un peu brusque avec vous..." quand il se retrouve à voler sans comprendre comment. La chute sur la route intervient somme toute rapidement et de manière plutôt violente. Il recrache de la poussière et se met à genoux.

Il voit de l'activation autour de lui. Les brigands remballent leurs armes et la caravane reprend sa route comme si de rien était. Les réfugiés demeurent figés sur le bord de la route et regardent passer leurs agresseurs.

Jacob se lève et un homme vient l'aider à se relever. Il époussette ses robes et son manteau, pestant. Une pièce tombe et l'homme la regarde avec étonnement. Il reporte son attention sur Jacob en une interrogation muette.

"T'occupe, Vincent ! Je n'ai pas toujours été guérisseur... A voleur, voleur et demi ! La prochaine fois, elle fera mieux attention à sa bourse ! Après tout, c'est pour la bonne cause. Ce soir, nous aurons de quoi bien manger."

Vincent sourit de toutes ses dents et part annoncer la bonne nouvelle à ses compagnons d'infortune. "Ce qu'il faut pas raconter comme bobards..." maugrée Jacob en reprenant la route de Nîmes, suivi de nouveau par ses ouailles.
MarieDouce S. d'Axat
MarieDouce voit le meneur du groupe débouler à l'extérieur de la roulotte. Elle n'y comprend plus rien. Pourtant on les avait prévenu aucune violence qu'elle avait dit Enduril. Et c'est elle qui se permet d'en faire! Rooo !!!

Elle remonte rapidement sur son siège et attend de voir qui de Past ou Dja viendra s'asseoir. Elle est pressée la chef !!!
_________________
Le paradis ne me sera pas interdit si je meurs le sourire aux lèvres ...


I: 254 F: 240 C: 255
D.S. D'Exat
Djahen suivit Marie et s'installa a son coté ...
Quand il reprirent leur marche, il regarda une derniere fois les pauvres heres qu'ils avaient effrayé ...


La peste soit de ces brigands, marmonna-t-il avant de cracher par terre ...

Puis, il décida de profiter un peu du voyage, laissant les rennes a Marie, il prit dans son sac à dos qui était coincé sous leur banc, quelques parchemins, une planchette et du fusain ...

En souriant, il se tourna vers Marie et commença a la dessiner ...
Invité
Geofrey fut tout aussi etonné de voir debouler ainssi le veillard de la roulotte...
Il monta a cheval et suivi la roulotte...Il commencait a avoir mal au cul derriere a parcourir les chemins...m'enfin il pensa a des choses meilleures qu'il avait vecu il y a fort longtemps...
Invité
La chute du vieil homme et l'interpellation d'Enduril avait stoppé la quette de Pastesue. Il remit son chapeau, cracha par terre de dépit et salua les voyageurs d'un geste fort impoli. IL rengit alors ostensiblement sa dague dans sa ceinture et remonta à l'arrière de la roulotte. Il s'installa sur un divan et commença à roupiller...
MarieDouce S. d'Axat
MarieDouce est encore perdue dans ses pensées quand tout à coup, elle se sent observée. Elle se tourne vers Djahen. « Hé !! mais qu’est-ce que tu fabriques encore toi ??? lui dit-elle, le regard noir. « T’arrêtes ça de suite… t’as compris !!! » Puis, se retournant rapidement, agacée, elle lance un cri afin de couvrir le bruit des chevaux et de la roulotte qui grinche « ... Chef Enduril !!!... c'est encore loin Montpellier ??? »
_________________
Le paradis ne me sera pas interdit si je meurs le sourire aux lèvres ...


I: 254 F: 240 C: 255
Enduril
Enduril, au hurlement délicat de Marie se retourne. Un sourire moqueur éclaire un instant son visage tandis que du menton, elle désigne au loin une masse sombre.

Au fur et à mesure qu'ils approchent, les contours se précisent et l'on distingue nettements les toîts et les clochers qui se profilent au dessus de la capitale du Languedoc.

Elle se troune vers la troupe et donne quelques instructions !

N'oubliez pas qui vous êtes, ni qui vous représentez !

Il parrait qu'il n'y a pas de taverne à Montpelier, mais il s'y trouve certainement au moins un lieu mal famé qui sert de point de rassemblement à ceux qui cherche gains ou plaisirs faciles !

Dès qu'on arrive, vous formez des groupes pour essayer de glaner le maximum de renseignements.

De mon côté, je dois rendre une petite visite et je vais faire un tour des herboristeries, on ne sait jamais de quoi on peut avoir besoin.

Pensez aussi à visiter les fabriquants et vendeurs d'armes. Une troupe pareille doit avoir de gros besoins.

Vous me retrouverez auprès de la roulotte vers la mi-nuit. Soyez tout de même prudents et revenez-nous intacts. Scout restera avec Narvic pour monter la garde et veiller sur notre petit trésor !

La roulotte étant arrivée entre temps aux portes de la ville, un campement est monté pour la nuit et la petite troupe rentre en ville laissant à Scout la charge de veillez à leurs affaires.
_________________

Comtessa de Lengadòc
Vanye I Chia
Cela fait deux jours qu'il est en observation près de la porte principale de Montpellier. Deux jours à attendre, deux longs jours bien interminables. Il commençait à s'impatienter quelque peu, même s'il avait prévu de quoi se distraire avec un peu de vin. Deux jours à regarder les paysans aller et venir dans la cité, à faire attention à ceux qu'il cherchait. Bref, l'activité la plus passionnante qui lui ait été donnée de faire depuis bien longtemps.

Soudain, il se dresse et s'enfonce dans l'angle d'un mur d'une vieille bâtisse. Il observe minutieusement la femme qui s'avance dans la foule. Oui, elle a un peu changé, notamment au niveau de sa tenue vestimentaire, mais il la reconnaît bien. Une sorte de mélange entre haine et reconnaissance fusionne dans son coeur et dans son ventre. Il est prêt à bondir sur elle, mais il se retient. Elle passe un peu plus loin sans le remarquer.

Il fait un signe à un type qui se tient tout déguingandé contre le mur d'une écurie et lui indique la femme. Puis lui-même s'éloigne dans une autre direction, s'empressant vers quelque tâche mystérieuse.

Les affaires sérieuses reprennent !
Vanye I Chia
Mirwais se cure les dents avec un vieux bout de bois quand l'autre en face lui fait un signe de la main.

"Qu'est qu'c'est qui veut encore c'lui là ! Commence à m'chauffer 'vec ses désirs ! Môssieur veut ci ! Môssieur veut ça ! Et pis quoi encore ?"

L'autre lui refait un geste en montrant une fille qui passe non loin.

"Y va t'y arrêter d'gesticuler comme ça l'aut' ! Y m'énerve ! Y m'énerve ! Mais oui j't'ai vu ! Pffff...."

Il se redresse et cela lui demande un effort surhumain, puis il s'enfonce à son tour dans le flot des passants. Un chariot manque de le renverser et le regard noir qu'il jette au conducteur suffit à réduire ce dernier au silence.

"Aller, au boulôt !" se dit-il en entrant dans une rue.
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 7, 8, 9, 10   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)