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[RP] Allégeances à Antonio Licors – les lettres (fermé)

Ingeburge
        CEREMONIE D'ALLEGEANCE – MANDAT D'ANTONIO LICORS
        DUC DE BOURGOGNE
        MERCREDI 27 MARS 1461


Citation:

    D'Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, dite Montjoie, Pair et Roi d'Armes de France,
    A la Noblesse de Bourgogne,
    Salut.



    Le Conseil ducal de Borugogne ayant reconnu Sa Grâce Antonio Licors comme duc régnant à l'issue des dernières élections ducales et celle-ci ayant vu son allégeance à la Couronne de France acceptée par Sa Majesté Eusaias Blanc-Combaz, roi de France :

    Qu'il soit su que la cérémonie d'allégeances à la Couronne de Bourgogne se tiendra le mercredi 27 mars de l'an de grâce mille quatre cent soixante-et-un en la Salle du Trône du Château des ducs de Bourgogne à Dijon et que les vassaux bourguignons sont aimablement invités à ladite date à venir renouveler leur allégeance à la couronne bourguignonne et à présenter leur serment à leur suzerain ainsi reconnu;
    Qu'il soit également su qu'en cas d'empêchement, missive datée, scellée et signée doit nous être mandée afin que celle-ci soit présentée au duc au soir de ladite cérémonie;
    Qu'il soit pareillement su que tout noble ne remplissant pas ses devoirs dans les temps se verra être signalé à la comtesse qui pourra, le cas échéant, demander destitution du ou des fautifs;
    Qu'il soit enfin pris en compte par ceux qui ont beau jeu de menacer et de s'agiter au prétexte que la cérémonie d'allégeances n'a pas encore eu lieu et conséquemment de prétendre à se délier de leurs obligations de leur propre chef, que le lien avec la Couronne de Bourgogne est perpétuel jusqu'à ce que les nobles lui étant attachés trépassent ou commettent acte de félonie et que la reconnaissance royale faisant le feudataire, les mêmes nobles sont d'ores et déjà tenus de répondre aux demandes du duc de Bourgogne actuellement en place, duc tributaire des possibilités de la Hérauderie de France en matière d'organisation des prestations de serment.


    Recevez, nobles de Bourgogne, nos humbles respects.


    Donné le vingt-sixième jour de novembre de l'an de grâce MCDLXI.






Citation:

    ANNEXE HRP

    - Sujet fermé, réservé aux JD comte, Roi d'Armes et chevaucheur pour les réponses aux missives; il n'y aura pas de réponse aux lettres sur l'autre sujet et personne ne peut y poster hormis les trois joueurs cités.
    - Les lettres doivent être datées du 26 mars au plus tôt et du 27 mars au plus tard.
    - Pas de lettre acceptée après le 27 avril, 23h59 heure française.

    Danke.


_________________
Ingeburge
[Après la cérémonie d'allégeances, Salle du Trône]


Un Roi d'armes de France d'un côté.
Un duc de Bourgogne de l'autre.
Une soirée déjà bien avancée.
Du vin et des petits pâtés.
Un bon feu flambant dans l'âtre.

Une partie fine?

Na, une corvée, celle des réponses aux serments épistolaires. Chouchouette, hein!

Et la première lettre d'être exhumée, histoire que le duc, primo ne se fasse pas des idées, secundo fasse fissa histoire qu'Ingeburge aille se pieuter.


Citation:
De nous Lenada de Valmont,
Vicomtesse de chamilly, Dame de Tanlay,
A vous,Antonio Licors, Duc de Bourgogne
Salutations,

Etant actuellement en voyage à travers les beaux Duchés de notre Royaume, je ne puis assister à votre allégeance et vous m'en voyez énormément déçue.
Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous, Antonio Licors, Duc de Bourgogne par la grâce des urnes.
Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),
Que si un conflit venait vous opposer vous, Antonio Licors, Duc de Bourgogne , notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.
Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.
Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.
nous Lenada de valmont, Vicomtesse de Chamilly, a écrit et ratifié,
Date sur les routes du Royaume , le 26 Mars 1461





_________________
Antonio
Ah, enfin seuls ! Il l'attendait ce moment le Duc de Bourgogne, son tête à tête avec Montjoie. Sans doute la seule fois de son existence. Alors il comptait profiter de chaque seconde, et si possible rendre original cet après-cérémonie. Ils avaient tout pour passer un bon moment, de quoi rincer leur gorge bien sèche après avoir autant parlé tout deux. De quoi manger pour éviter les gargouillements d'estomac durant le silence au moment de la lecture des lettres. Car il doutait fort que Montjoie lise à haute voix chaque lettre. Et enfin, un petit feu, pour leur donner bien chaud et les inciter à faire tomber couche après couche. Et le Duc commença en ôtant son manteau.

-Mettez vous à l'aide Montjoie. Faîtes comme chez vous.

Et le Duc de s'installer et de poser son regard sur la Froide.

-Et si nous rendions cet exercice amusant ? S'amuser étant le fait de prendre plaisir à faire quelque chose.
Je vous propose qu'à chaque lettre scellée par mes soins vous buviez un verre de vin. Qu'en dîtes vous ? Si vous voulez, à chaque lettre que vous me tendrez je ferai de même.

Si le coeur
- elle a un coeur Montjoie ? - vous en dit, nous pouvons également nous dégourdir les jambes de temps en temps. Hum, disons, toutes les 3 lettres ?

En attendant la réponse du Roy d'Armes, le Duc de Bourgogne se pencha sur la première lettre, la lue et y répondit. La Vicomtesse Lenada pour commencer donc. Il regarda la lettre et resta bloqué sur le sceau. Alors qu'il s'était servi une tartine de pâté il regarda Montjoie, la bouche légèrement pleine.

-Euh Montjoie... J'crois qu'y a une couille dans l'pâté ! ... Pas dans l'vôtre hein.

Ma vassale a scellé sa lettre avec mon sceau... J'ignore comment elle a pu faire ce tour de passe-passe. Belle imitation en tout cas.

Je réponds tout de même, je ne sais si cela posera problème.

Citation:

    De Nous, Antonio Licors, Duc de Bourgogne,
    A Vous, Notre vassale, Lenada de Valmont, Vicomtesse de chamilly, Dame de Tanlay,

    Salutations.


    C'est fort peiné, triste, et déçu que nous n'avons pas eu le plaisir de croiser votre regard en Salle du trône du notre château.
    Cependant, nous avons le plaisir d'ouvrir le bal de la post-cérémonie des lettres, avec la votre. A ce propos, nous sommes en compagnie de la charmante Montjoie qui - nous l'espérons - saura rendre cet exercice divertissant.

    Nous, Antonio Licors, quarantième Duc de Bourgogne, entendons votre serment et le recevons. En retour de quoi nous vous promettons subsistance, justice et protection pour vos fiefs de Chamilly et de Tanlay.

    Même si nous ne pouvons goûter à vos lèvres, recevez notre baiser vassalique.

    Recevez avec ce pli, un plume de colombe en signe de Paix pour la Bourgogne.

    Bien à vous.




_________________
Ingeburge
Bon. Le duc de Bourgogne n'était ni décidé à faire fissa, ni à la laisser aller se pieuter. Ce constat mit Ingeburge en des dispositions plus que défavorables ce qui, c'était certain, ne changeait guère de d'habitude. Aussi, c'est d'une voix algide qu'elle indiqua :
— Je ne bois rien après l'office des vêpres.
Si ce n'est tisane et eau. Et vu qu'il faisait nuit, cela signifiait que non, elle ne boirait pas de verre de vin à chaque lettre à laquelle Antonio répondrait.
— Quant au dégourdissement, marchez donc si cela vous agréé, pour ma part, je ne me lèverai que pour partir.
Cela, pour la proposition gymnique. Donc non, pas plus qu'elle ne se pinterait – car boire aussi régulièrement, c'était juste pour viser la griserie, non? – elle ne s'adonnerait à une marche destinée à... quoi d'ailleurs? Pas curieuse de nature, elle ne demanda pas et se contenta de voir faire savoir :
— Puisque vous avez remarqué cette empreinte sigillaire litigieuse, vous pouvez en faire une remarque dans votre réponse à la vicomtesse de Chamilly. Je vous laisse la modifier.

D'une main blanche, elle rouvrit sa reliure et en sortit non pas une, mais deux lettres, comme ça, puisque le Licors avait envie de marcher toutes les trois lettres, il pourrait le faire dans les cinq minutes.
— Voilà pour vous.
Citation:

    Par la grâce d'Aristote.
    De nous, Della d'Amahir-Euphor, Duchesse de Chartres, Vicomtesse de Montpipeau, Baronne de Seignelay, Dame de Railly et de Bréméan.
    A vous, Antonio Licors, Duc de Bourgogne par la grâce des urnes et celle du Très Haut.

    Bonjour.

    Par la présente, nous vous reconnaissons comme suzerain et Duc de Bourgogne puisqu'il en est ainsi.

    De fait, nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

    Que si un conflit venait vous opposer vous, Tonio Licors, Duc de Bourgogne, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous dans la mesure des moyens dont nous disposerions à ce moment et de la meilleure façon qu'il soit.

    Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

    Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

    Nous Della d'Amahir-Euphor, Duchesse de Chartres, Vicomtesse de Montpipeau, Baronne de Seignelay, Dame de Railly et de Bréméan avons écrit et ratifié,

    Fait à Seignelay, le 26 mars 1461.

    Qu'il en soit ainsi et heureusement. Amen.






Citation:
Par la grâce d'Aristote,

De Nous, Asclépiade de la Boissière Sancte Foy,
Vicomte de Quincy en Bourgogne

A Vous, Antonio Licors, Duc de Bourgogne par la grâce des urnes

Paix et Salutations

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous, Antonio Licors, Duc de Bourgogne par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait vous opposer vous, Antonio Licors, Duc de Bourgogne, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

Nous, Asclépiade de la Boissière Sancte Foy, vicomte de Quincy avons écrit et ratifié,

Que le Très Haut Vous ait en Sa Sainte Garde et qu'Il Vous protège tout au long de votre règne.

Faict en la ville de Bayeux le vingt-septième jour de mars de l'an de grasce MCDLXI





Qu'on se le dise, le duc de Bourgogne n'obtiendrait pas plus que des épîtres de la part du Roi d'Armes de France.
_________________
Antonio
Farouche Montjoie. Comme d'hab quoi. Aussi, le Duc de Bourgogne quelque peu contrarié repris sa réponse concernant la Vicomtesse Lenada, et y ajouta une ligne.

Citation:

    De Nous, Antonio Licors, Duc de Bourgogne,
    A Vous, Notre vassale, Lenada de Valmont, Vicomtesse de chamilly, Dame de Tanlay,

    Salutations.


    C'est fort peiné, triste, et déçu que nous n'avons pas eu le plaisir de croiser votre regard en Salle du trône du notre château.
    Cependant, nous avons le plaisir d'ouvrir le bal de la post-cérémonie des lettres, avec la votre. A ce propos, nous sommes en compagnie de la charmante Montjoie qui - nous l'espérons - saura rendre cet exercice divertissant.

    Vicomtesse, nous ne savons par quel tour de passe-passe vous avez réussi à imiter notre sceau, mais nous devons vous avouer que c'est une réussite. Cependant, le sceau de Bourgogne ne revient qu'à nous seul durant les deux mois de notre mandat. Nous ne vous en tiendrons pas rigueur, mais faîtes attention à l'avenir.

    Nous, Antonio Licors, quarantième Duc de Bourgogne, entendons votre serment et le recevons. En retour de quoi nous vous promettons subsistance, justice et protection pour vos fiefs de Chamilly et de Tanlay.

    Même si nous ne pouvons goûter à vos lèvres, recevez notre baiser vassalique.

    Recevez avec ce pli, un plume de colombe en signe de Paix pour la Bourgogne.

    Bien à vous.





Et c'est un Duc qui ne calculait plus Montjoie - ou presque parce qu'il la regarda avec un léger froncement de sourcil - qui prit les deux autres lettres afin d'y répondre.

Citation:

    De Nous, Antonio Licors, Duc de Bourgogne,
    A Vous, Notre vassale, Della d'Amahir-Euphor, Duchesse de Chartres, Vicomtesse de Montpipeau, Baronne de Seignelay, Dame de Railly et de Bréméan,

    Salutations.


    Quel plaisir de vous lire qui contraste complètement notre peine lors de la cérémonie d'allégeance à laquelle vous n'avez pu assister.
    Nous espérons que vous allez bien et que nous aurons le plaisir de vous revoir prochainement.

    Nous, Antonio Licors, quarantième Duc de Bourgogne, entendons votre serment et le recevons. En retour de quoi nous vous promettons subsistance, justice et protection pour vos terres de Seignelay.

    C'est avec grand regret que je ne peux goûter vos lèvres chère vassale, mais recevez notre baiser vassalique épistolaire.

    Recevez avec ce pli, un plume de colombe en signe de Paix pour la Bourgogne.

    Bien à vous.





Citation:

    De Nous, Antonio Licors, Duc de Bourgogne,
    A Vous, Notre vassal, Asclépiade de la Boissière Sancte Foy, Vicomte de Quincy

    Salutations.


    Notre cher ami, que de chemin parcouru pour l'un et pour l'autre depuis notre première rencontre à Dijon la belle. S'il y a bien une chose que nous partageons tous deux, c'est bien l'amour de la Bourgogne. Cette dernière doit vous manquer terriblement j'imagine. Pour avoir passer un mois en Artois il y a de cela quelques années, nous imaginons ce que vous devez ressentir loin de vos terres natales.

    Nous, Antonio Licors, quarantième Duc de Bourgogne, entendons votre serment et le recevons. En retour de quoi nous vous promettons subsistance, justice et protection pour votre fief de Quincy.

    Même si nous ne pouvons vous serrer dans nos bras pour l'accolade vassalique, sachez que le coeur y est.

    Recevez avec ce pli, un plume de colombe en signe de Paix pour la Bourgogne.

    Bien à vous.





Et il l'est tendit à Montjoie en la fixant cette fois dans les yeux.

-Dîtes moi Montjoie, puis-je vous poser une question ?

C'est qu'il restait poli le Duc, en toute circonstance surtout devant la Froide.
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