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[RP-Août-Fermé] Un mélange de cuivre et d'halé donne de l'or

Cersei_



    La Mystique est par sa décoration et son atmosphère inspirée de ces contrées lointaines où le miel et les épices aux saveurs de cannelle ornent ici-bas, les tables des plus hautes familles. Cette pièce est ainsi tamisée, éclairée faiblement par quelques bougies dont la lumière mouvantes se perd sur ces nombreux voiles aux couleurs sombres tels que le bleu nuit, le vert foncé et le bordeaux. Toutefois, des poufs de couleurs plus vives sont disposés ci et là en guise de siège tandis qu’un lit à baldaquin se cache mesquinement derrières quelques tentures légères. A son chevet, un guéridon sur lequel repose une boule de cristal et quelques bâtons d’encens.
    Et si comme pour l’Enfumée, les vapeurs et les tentures de cette salle servaient à cacher de plus funestes desseins que celui de la chair ?...Questionnez donc votre destin sous l’éclat de cette boule de cristal.


    You've cast a spell on me, spell on me
    You hit me like the sky fell on me, fell on me
    And I've decided you look well on me, well on me
    So let's go somewhere no one else can see, you and me...

    Glad You Came - The Wanted*

    Un premier contact des doigts du slave sur le bras de la sulfureuse, et celle ci n'en prend un regard que plus glamour. Les godets furent vidés, le ton était donné. Il lui laissait le choix de l'endroit ou tout se passerai cette nuit. Elle le regarda un peu mieux quitte à reculer d'un pas pour en apprécier encore plus les couleurs. Elle savait de suite dans quelle chambre ils finiraient, si celle ci était libre. La Mystique. Chaude et épicée, comme l'hispanique.
    Cerseï aperçut Angella et lui demanda de faire porter la bouteille, le miel et deux godets dans la dite chambre. Pour le moment elle allait s'occuper du cosaque et lui faire traverser le salon pour se rendre à la suite. Tout ce chemin légèrement allongé pour laisser le temps à la demoiselle de porter "la" boisson sur le guéridon, près de la boule de cristal. Ce soir, ce ne serait pas le temps des voyances, mais bien celui d'un moment charnel avec un homme qui même par son age l'attirait de plus en plus. Est ce que cela venait de la Gorsalka ? Ou tout simplement de ces cheveux gris et de cette allure peu commune ici à Paris ?


    Suivez moi dans ce cas, je vais vous mener dans un lieu ou personne ne saura ce qu'il va s'y passer ...

    Sa main alla chercher délicatement celle du slave pour l'entraîner la ou le plaisir serait la première chose à prodiguer après un autre godet bien sur. L'hispanique aimait les nouvelles choses et goûter au cosaque en était une ce soir.
    La vie de l'homme avait du être pleine de rebondissement, elle se promit dans sa tête, qu'en sortant de l'Aphrodite ce soir, elle resterait dans ses pensées jusqu'à la nuit des temps.

    Un passage au salon pour bien montrer à Dacien que cette nuit elle était prise, qu'il ne compte pas sur elle pour la retrouver dans sa piaule en fin de service. Elle ajouta :


    Ce soir je vais vous prouver que les hispaniques ne savent que donner chaud.

    Un sourire à la limite de la provocation se dessina sur son visage. Elle serra un plus son étreinte sur les doigts du slave et avança, doucement, surement, vers le plaisir et tout ce qui en découle ...

    *Tu m'as jeté un sort
    Tu m'as heurté comme si le ciel m'était tombé dessus
    Et j'ai décidé que tu m'avais remarqué
    Alors allons quelque part où personne d'autre ne peut voir, toi et moi.


édit correction
Torvar
Il lui avait laissé l’initiative et elle n’avait pas rechigné à la prendre. Bien au contraire. Quelques instructions plus tard données à une jeune demoiselle et Cersei conduisait le cosaque au cœur de l’Aphrodite afin de lui ouvrir les portes du paradis.

D’abord, le regard de l’étranger s’était posé sur chaque meuble, chaque décoration, chaque tenture qui agrémentait le cœur du salon qu’ils traversaient. La curiosité d’un monde nouveau et inconnu qui s’ouvrait à lui. Puis enfin, Torvar avait observé, comme toujours, chaque personne qu’il croisait. Veille habitude du soldat qu’il n’était plus pour l’heure mais qui avait la vie dure et longue dans son existence. Et enfin, ses perles d’acier étaient venues se loger sur les courbes de celle qui l’accompagnait. L’hispanique, fière comme une femme du sud et tout autant que celles de son pays, se tenait à ses côtés et le cosaque se sentit légèrement grisé par cette sensation surtout lorsque Cersei vint à nouer ses doigts fins aux siens plus rêches et plus abîmés.

Il fallait dire que bien peu de femmes osaient se tenir ainsi près de lui et encore moins se montrer aussi avenante… même dans ce genre de lieu. D’ailleurs, il n’avait jamais été un grand démonstratif et encore moins un homme aux convenances et aux belles manières mais on ne pouvait pas pour autant l’accuser d’avoir jamais malmené une donzelle. Ce n’était pas dans ses habitudes. Oh ça arrivait plus souvent qu’on pouvait le croire dans sa tribu, dans ce clan de l’ailleurs, mais le vieux cosaque avait une certaine morale surtout depuis qu’il vivait dans ce royaume. Ralentissant légèrement leur course Torvar resserra son étreinte par fierté masculine. Cet orgueil mal placé qui faisait de lui ce qu’il était, un Cosaque, un homme de l’Est, un homme différent de ceux ici présent ce soir. D’ailleurs, il détacha ses doigts de ceux de Cersei afin de laisser sa main aborder sa taille en douceur. Puis cette dernière vint alors épouser les courbes charmantes et uniques pour mieux dévaler le creux de ses reins, se positionnant ainsi sur le côté inverse. Torvar tenait la jeune femme par la taille sans pour autant la serrer. Si elle le désirait, le bel oiseau du paradis pouvait s’envoler afin de garder sa liberté et ses distances à tout moment. Enfin il se pencha vers le creux de son oreille pour lui répondre.


- Mais je ne doute aucunement de vos capacités dame… mais sachez que même si je viens d’un pays où le froid mène la danse, il n’en est pas moins que je sais insuffler une certaine chaleur.

Un sourire énigmatique fut offert à sa compagne de soirée car Torvar n'était pas homme à se laisser impressionner. Quant à savoir qui mènerait la danse, il n'attendait plus qu'une chose, être face à la belle dulcinée.
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Cersei_



    Le regard se fait contemplateur pour le cosaque, lui sur les meubles et tentures, elle sur lui. C'est sans gène qu'elle le regarde de bas en haut, sa démarche, son allure, la façon dont les occupants du salon les observent, tous les deux main dans la main.
    Pourtant, elle sent les doigts rugueux lui glisser d'entre les siens pour venir, à son grand plaisir, se poser sur sa taille.
    La sulfureuse lui sourit, approuvant cette place qui lui convient et en profite au moment du chuchotement pour placer la sienne derrière le large dos du slave dans une douce caresse.

    Le souffle dans l'oreille est prometteur, l'écoute se fait attentive même s'il n'y a quelle qui a entendu le désir du slave. La chaleur. A n'en point douter, les deux partenaires auraient chaud ce soir, à en faire transpirer les murs, les draps ... les corps, ou dans le sens inverse. Roulant les "R" à merveille elle répondit dans le même chuchotement à l'oreille.

    Je vais vous les montrer, n'ayez crainte, avec moi ce soir vous pourrez vous détendre, vous laisser aller. Et si vous êtes sage, elle attendit un instant pour annoncer la suite, je vous laisserai refroidir, par moment.

    Ils arrivèrent devant la porte de la Mystique. A peine ouverte, celle ci nous portait dans un autre pays.
    L'odeur des épices enivrantes vous prenant jusqu'aux derniers sens. Cerseï jeta un coup d’œil au guéridon, la bouteille était bien la.

    Une fois que vous aurez franchis cette porte, personne ne viendra vous sauver de ... moi.

    Le sourire se voulait très angélique. La brune avait affaire à un homme mur, plus vieux de deux fois son age, ou pas loin. Une première pour elle qui n'était ici que depuis quelques semaines.
    Aimant les défis et les nouveautés, elle n'en était que plus avenante.
    Elle se décala légèrement, son bras devant lâcher le dos du slave. En entrant dans la chambre, elle lui laisserait encore le choix de fuir loin de cette pièce qui ne donnait qu'une envie, la découvrir.
    Le lit à baldaquin était à peine voyant derrière les grandes tentures, mais le chemin pour y arriver était facile à trouver entre les poufs colorés.
Torvar
*je vous laisserai refroidir… par moment*. La phrase avait été lancée dans un murmure et Torvar en avait souri. La nuit se parait de promesses qui serait, il l’espérait, honorées car l’hispanique lui ouvrait l’appétit. Déjà que la main toute en délicatesse de la jeune femme était venue se poser sur son dos, lui offrant bon nombre de frémissements... Ces gestes lui étaient d’ordinaire prodigués par des femmes qui œuvraient dans un parfait automatisme mais elle… elle avait le don particulier de lui faire croire à la réalité des choses.

Un nouveau frisson était venu lui parcourir l’échine. Prometteur, arrogant, provocateur. Et le cosaque avait hâte de faire plus ample connaissance aussi quand la porte de la chambre s’ouvrit, il n’eut aucune hésitation quant à la suite de son attitude. Et n’étant pas homme à changer d’avis lorsque quelque chose lui plaisait. Il s’engouffra alors à la suite de Cersei, refermant la porte du bout de sa botte, d’un petit mouvement sec du pied tandis que sa main, elle, rattrapait le bel oiseau de paradis qui s’était quelque peu éloigné de lui.

La dextre s’était déjà saisi du poignet de l’hispanique tandis que tout le corps du cosaque venait à la rencontre des courbes féminines. Les doigts, quant à eux, se faisaient conquérants tout en longeant le bras pour venir se poster sur la nuque de la brune. Et Torvar ne quittait pas la belle du regard, plongeant dans cette rêverie qu’elle lui offrait, au cœur des promesses lancées sur le trajet pour arriver jusqu’à cet oasis de bonheur. Son souffle chaud vint à la rencontre des lèvres sans pour autant les prendre, reculant l’acte de cette finalité qu’il attendait, qu’il espérait, qu’il désirait maintenant plus qu’autre chose. Bloquant la nuque de Cersei avec une poigne ferme mais sans violence, le cosaque se mit à jouer les provocateurs.


- Qui parle de sauvetage quand la victime est consentante ?

Le souffle glissa doucement sur l'arête du visage de Cersei, dessina avec douceur les courbes harmonieuses de son cou. Torvar l'effleura à peine, s'enivrant de la chaleur de sa peau tout autant de que de son doux parfum. Il ferma les yeux quelques secondes avant de remonter jusqu'au bord de ses lèvres tentatrices afin d'y goûter enfin l'empreinte que la Gorsalka avait laissé sur sa bouche.
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Cersei_




    Envoûté par des idées folles
    Soudain
    Mes envies s’envolent
    Le désir devient ma prison
    À en perdre la raison


    Le Bien Qui Fait Mal - Mozart L'Opéra Rock


    Ce regard, elle le connaissait. Ces yeux elle en avait déjà vu. Elle se savait maintenant sur un terrain conquis prête à assouvir les désirs et les envies du slave. L'hispanique a remarqué que le simple contact de ses dextres sur le tissus qui recouvrait encore le corps de son amant du soir, le faisait frissonner.
    Nul besoin de sentir les frissons sous ses doigts, sa peau parlait pour lui.
    La porte était franchis, la botte venait de refermer la dernière limite du choix qu'il pouvait encore faire.
    Le jeu était lancé, la partie ne faisait que commencer.

    La sulfureuse n'eut pas le temps de faire un pas de plus que la main de Torvar attrapa son poignet et que les deux corps se rapprochèrent, comme attirés l'un vers l'autre, comme si leur survit était en jeu.
    Un homme de poigne, elle aimait ça. Elle aimait tout en fait dans les jeux des différentes chambres. La douceur, la chaleur, la soumission, mais ce soir l'ambiance serait plus provocatrice.
    Une main la maintenant à son poignet, l'autre derrière sa nuque, l'oiseau était en cage, les rôles venaient de changer à partir du moment la porte s'était refermée.

    Et comme Torvar le lui faisait remarquer, pas de sauvetage pour une victime consentante. A ces mots, plus d'une auraient surement pris leurs jambes à leur cou, mais pas Cerseï. Pas la Sulfureuse.
    Cet envie de goûter était bien plus forte que celle de fuir.

    Suis-je la victime ce soir ?

    De sa main libre, elle prit le "risque" de la déposer sur la taille du cosaque tirant doucement sur la chemise blanche pour lui ouvrir un passage sur sa peau. Le faire frissonner, voila ce qu'elle voulait.
    Elle ne quitta pas les yeux du slave, sentant le souffle sur sa gorge, comme si la morsure allait être terrible. Mais la douceur des lèvres se posèrent enfin sur les siennes. Resserrant son étreinte, la brune colla son corps au sien sans aucune retenue. La douceur du baiser devenait plus sauvage, plus ardant, plus attirant encore.
    Libérant son poignet, Cerseï prit les devant. Victime ? Non ! Elle voulait mener la dance. Mais s'il insistait un peu, elle le laisserait faire à sa façon. Elle tira sur le bas de la chemise, pour que cette fois elle finisse à terre, vaincue. Elle quitta les lèvres pour le regarder. Les yeux en disaient long sur le ressentit et elle savait les déchiffrer. Le torse mis à nu venait de mettre en évidence la dureté de vie que cet homme avait du connaître.
    Une balafre zébré traversait son torse. Cerseï ne posa ses yeux dessus que quelques instant ne sachant si il serait gêné.
    Le regard dans les yeux se faisait plus intense et la brune se mit à lui tourner autour pour ne pas perdre une miette de ce corps à moitié nu devant elle. Elle stoppa son tour pour poser ses lèvres sur son dos devant se mettre sur la pointe des pieds pour arriver juste à hauteur des omoplates. Il était grand, bien conservé, attirant par cette arrogance qui le rendait beau. Ses bras entourèrent la taille pour défaire la ceinture de soie rouge qui lui entourait la taille puis ses pas la menèrent à nouveau face à Torvar.


    Ou vous allez me laisser faire .... ?
Torvar
Il savait son corps meurtri, il le connaissait par cœur. Bon pour la casse s’il n’avait pas eu ce formidable instinct de survie et cette envie profondément encrée en lui d’aller toujours de l’avant. Et elle, elle osait le regarder, le toucher, l’embrasser. Les femmes qu’il payait pour s’offrir du bon temps avaient toujours eu le même regard envers lui… il y avait souvent lu le dégout. Forcément, il n’était pas de ces hommes planqués chez eux qui se couvraient de soie et de taffetas tout en hurlant à la guerre depuis leur trône.

Ses lèvres, un baiser. Torvar ferma les yeux pour mieux en ressentir les bienfaits. Savait-elle à quel point elle lui rendait sa fierté au guerrier qu’il était ? Le cosaque savait bien que non mais c’était plus fort que lui d’y penser. Gonflant sa poitrine qui lui semblait contenir un feu ardent, il tendit chaque muscle sous l’effet de ses lèvres d’une douceur exquise tandis que son corps voulait crier « encore ». Puis ce fut au tour des mains de venir le conquérir, défaisant sa ceinture qui alla rejoindre la chemise au sol rapidement. Là, Torvar tira un coup sec sur les poignets qu'il venait d'emprisonner, attirant ainsi sa compagne d’un soir beaucoup plus près de lui. Leur corps se lovant l’un contre l’autre, il ne résista pas une nouvelle fois à l’appel de ses lèvres et les happa avec cette fièvre qui le caractérisait. Relâchant lentement la belle hispanique, il vint dessiner le contour de sa bouche de la pointe de sa langue avant de murmurer tout contre cette dernière.


- Victime ou bourreau, l’une ne va pas sans l’autre…. Mais si tu veux que je te laisse faire, donne-moi une raison d’abdiquer si facilement… ou de faire de toi ma prisonnière pour la nuit…

Jouer. Voilà ce qu’ils étaient en train de faire. Jouer avec le feu et ce tête-à-tête était ce qui pouvait arriver de mieux à Torvar depuis des mois. Lui le solitaire, le taciturne, celui dont le regard avait était abîmé par les guerres et les malheurs voyait une étincelle de vie s’étendre en un brasier ce soir. D’un geste sûr, le cosaque plaqua sa main dans le creux des reins de Cersei pour la maintenir contre lui tandis que sa jumelle caressait sa gorge, glissant inexorablement dans le creux de ses voluptueux monts avant de revenir sur l’arrondi d’une de ses épaules qu’il dénuda tranquillement. Chaque geste était d’une lenteur calculée, désirant voir briller le regard de la jeune femme autant que le sien. Torvar n’était pas un chien. S’il prenait du plaisir la plupart du temps de façon sauvage et sans concession, il savait mettre de côté ses bas instincts quand une rencontre le valait. Et cette nuit, à ses yeux, sa compagne valait tout l’or du monde.

D’une soirée incertaine à une rencontre incroyable, il n’y avait qu’un pas que le cosaque avait depuis longtemps franchi. Et ce n’était que le début…

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La décadanse
Sous mes doigts
T'emmènera
Vers de lointains
Au-delà
- Des eaux troubles
Soudain troublent
Mes sens


La Décadanse - Serge Gainsbourg

    Le corps de la brune n'a aucune marque, aucune cicatrice alors que lui ... en est rempli. La balafre sur le torse était impressionnante, mais le dos était tout autant marqué. Des multitudes de petites marques ici et la recouvraient son large dos. Chacune d'elles seraient soigneusement comblées par la sulfureuse pour mettre à son aise le slave. Nul chichi devant un corps qui a vécu d'affreuses souffrances.
    Et les douceurs s'enchaînent, la langue devient joueuse, taquine, aguicheuse.
    Un plaisir délectable devant ce spectacle de muscle saillant se dessinant comme pour effacer les frissons.
    L'attirance un peu brutale ne faisait que réveiller en elle la tragédie d'un acte non aboutie. Alors dans ce murmure de victime à bourreau ne sachant quelle place prendre cette nuit, de ses dents, elle lui attrapa la lèvre inférieure.


    Dis moi et je serais ce que tu voudras ...

    Il était client, il était donc ... Roi. Mais l'hispanique se régalait de l'effeuiller pour sentir sous ses dextres la chaleur que dégageait son corps. Elle en apprécia encore plus le contact quand il la plaqua contre lui, posant une main au creux de ses reins. L'approche était torride et les gestes si précis que Cerseï lâcha un soupir d'aise. Son épaule dénudait elle pencha légèrement la tête pour lui ouvrir le chemin sur son cou prêt à accueillir la bouche encore sucré par le miel de Torvar.
    A jouer ainsi il allait la rendre folle, lui faire monter une pression non égalable, celle du désir.
    La ceinture rouge du slave ayant rejoins sa chemise, il ne manquait plus grand chose à lui enlever pour avoir une vue d'ensemble sur sa rencontre de ce soir.
    Cerseï posa doucement ses mains sur le haut de son dos, laissant courir ses doigts le long des chairs pour atteindre la taille et enfin l'arrondie de ses fesses qu'elle n'hésita pas à empoigner pour les coller dans un corps à corps tentant.

    Un baiser des plus langoureux scella toutes les caresses prodiguées jusqu'à ce moment. Cerseï était ravie d'avoir partagé cette boisson avec Torvar au bar et de l'avoir entraîné dans la Mystique. Une rencontre qu'elle n'oublierai pas.

    Derrière eux se trouvait le lit, Cerseï essaya de le faire asseoir dessus, les bottes de Torvar l'empêchant de terminer de le mettre à nu. Allait-il se laisser faire en Victime ou le Bourreau serait plus dur et décidera de faire d'elle ce qu'il voudrait ?


    Je suis prisonnière de toi entre tes bras, fais en sorte que ça reste ainsi jusqu'au bout de la nuit.
Torvar
Elle était joueuse, il le serait tout autant. Torvar était un gourmand de la vie sans aucun doute parce que chaque jour, il ne savait s’il serait vivant le lendemain. Aussi appréciait-il une compagne de cet acabit, qui savait ne pas s’effaroucher devant la douleur qui l’avait marqué. Et Cersei, belle de nuit magnifiquement drapée dans une sensualité qui lui faisait devenir fou, était parfaite.

Dans un râle il accueillit la morsure de sa lippe tandis que ses doigts s’enfoncèrent dans les chairs de la brune. Elle voulait le rendre fou et il en prenait le chemin. Sourire amusé sur cette bouche qui s’était libérée de son précieux bourreau, elle glissa enfin sur le cou offert avec délectation. D’abord elle fit connaissance avec tendresse, soufflant un petit air chaud aux saveurs de miel et d’alcool qui s’échappaient encore de ses profondeurs puis doucement la langue désira être de la partie. Magnanime elle goûta par petites touches le grain de cette peau inconnue qui finalement était douce comme de la soie. Un soupir s’échappa des lèvres du cosaque. Extase, plaisir, il n’était plus vraiment dans l’acte réfléchi mais plutôt dans celui de l’instinct. Et sans plus attendre, il se fit conquérant, gourmand, acharné. Ses dents, avec délicatesse, vinrent mordre la chair tendre que Cersei lui offrait. Et il traça un chemin jusqu’à l’épaule nue qu’il mordilla à son tour avant de se redresser pour mieux plonger ses billes d’acier dans les profondeurs du regard de sa compagne.


- Pourquoi choisir qui sera qui… Je n’ai ni maitre, ni dieu mais la tentation peut m’offrir ce que je ne connais pas… Ne cherche pas à savoir qui tu es ni qui je suis… vis ce qu’il se passe ici ce soir… vis Cersei…

Il ne voulait pas définir leur rôle, il voulait être surpris, être enchanté, être emporté. Trop souvent, pour ne pas dire à chaque fois, il avait été le dominant car les filles qu’il côtoyait n’étaient pas en mesure de l'apprivoiser ni capable de prendre les rênes mais elle… elle, il le sentait, était une femme-maitresse tout autant qu’elle pouvait devenir l’inverse. Et il ferma les yeux quand soudain, elle l’extirpa de ses pensées en venant prendre à pleines mains ses fesses. Se redressant fièrement, il se laissa conquérir par son baiser mais résista à la direction qu’elle essayait de lui donner afin qu’il se laisse aller sur le lit. D’un coup de reins vif, il les poussa en direction du mur contre lequel il se plaqua, tenant toujours Cersei contre lui. La danse s’était muée en combat mais quel duel entre eux… amusant, sensuel, sincèrement excitant. Torvar passa alors l’une de ses mains sur la cuisse de la brune volcanique sous cet amas d’étoffes qui finirait bientôt par ne plus être qu’un souvenir afin de caresser le galbe de cette jambe, en saisir tous les contours, glisser sur le soyeux de sa peau jusqu’à venir se percher sur les endroits secrets qui bientôt n’en seraient plus pour lui. Alors qu’il laissait ses doigts voyager ainsi sur son corps, ses lèvres, elles, prenaient un malin plaisir à taquiner cette bouche gourmande qui lui offrait des baisers aussi sucrés que chaleureux.

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    Personne n'est jeune après quarante ans mais on peut être irrésistible à tout âge.Coco Chanel


    Cet homme arrivait à la rendre irrésistiblement aguicheuse. Le faire languir pour le mettre dans tout ses états était devenu le but de la brune. Un mélange de douceur et de duel faisait d'eux un seul et unique élément. Toutefois, Torvar ne se laissa pas conduire près du lit et la Sulfureuse se retrouva plaqué sur son corps à moitié nu contre le mur de la Mystique.
    Les cadres en auraient presque tremblés, les bougies dansaient selon le rythme du ballet. La main curieuse du slave cueilli la cuisse dans une caresse douce et adroite, le soupir fût lâché sous la sensation d'emprise de cet homme.
    Les bras enlacèrent le cou, la jambe si soigneusement caressée remonta le long du corps de son amant pour venir l'emprisonner à son tour sur ce morceau de mur.
    Le souffle était court et saccadé, l'envie et le désir étaient montés au plus haut quand les frissons parcoururent le corps chaud comme la braise de l'Hispanique.

    Les mains agiles de Torvar taquinaient sa peau et elle en voulait plus. A cet instant sa robe était de trop pour apprécier le contact avec le torse déjà offert du slave.
    Ses lèvres quand à elles étaient ravies de sentir cet épiderme frissonnant. Cerseï profita pour en savourer quelques parties. L'épaule mordillée, le cou grignoté, les lèvres suçotées. Un délice. Une gourmandise.


    Fais moi vivre ce soir, montre moi ce que tu connais, je te donnerai le change.

    Les mots avaient été lâché contre sa bouche, les yeux dans les yeux, l'étreinte resserrée pour que chacun puissent sentir le cœur de l'autre battre contre la poitrine.
    Cerseï dégagea les bras de son cou pour laisser ses doigts parcourir le torse marqué, descendre encore et encore pour passer sur la taille et atteindre le galbe des fesses.
    Elle aurait voulu le lâcher et se reculer, juste pour voir si une partie de chasse dans cette chambre lui plairait. Cette idée lui donna un sourire taquin sur son visage demandeur de plaisir.
    Puis advienne que pourra, elle se dégagea du cosaque sans pour autant le quitter des yeux, reculant de trois pas, pour venir de ses doigts fin, tirer sur le lacet qui retenait encore sa robe.
    Doucement elle tira dessus, si lentement pour apprécier toutes les expressions que Torvar lui laissait paraître sous le spectacle ...
Torvar
La taquine, elle prenait un malin plaisir à le tenter. Belle comme l’astre du jour, Cersei était d’une beauté peu ordinaire et les yeux brillants qui accrochaient les prunelles du cosaque l’avaient ensorcelé. Rarement il avait eu une femme aussi exquise pour lui, jamais aucune n’avait voulu jouer avec lui à ce petit jeu de la séduction car l’acte était certes une bénédiction pour deux êtres qui se cherchaient mais l’avant… tout ce qui se passait avant cet accomplissement, voilà qui était prometteur.

La laissant l’aguicher comme il se devait, Torvar passa la pointe de sa langue sur ses lèvres. L’attraction que l’hispanique exerçait sur lui le rendait gourmand alors sans plus attendre, ses pieds se débarrassèrent de ses bottes en peau afin d’être libre d’entrave qui l’empêcherait d’accomplir sa destinée de la soirée. Relevant un sourcil, il observa sa compagne avant de se diriger vers la petite table où trônait la Gorsalka. Elle voulait jouer, il allait pimenter l’action. Rapidement, avec l’adresse de l’expert, il prépara un verre de ce breuvage ambré qu’il tendit à Cersei mais au moment où elle aurait pu l’attraper, il lui saisit le poignet et l’enroula avec délicatesse afin de tenir son bras dans son dos, la plaquant contre lui. Le corps de la brune épousait d’ailleurs à la perfection les muscles saillants du cosaque. Et doucement, Torvar porta aux lèvres de Cersei le verre, faisant couler avec lenteur le breuvage. Quelques gouttes s’échappèrent, longeant le menton de la brune en direction de son cou. Sans la lâcher, il plongea son regard dans le sien avant de venir taquiner sa bouche de la pointe de sa langue, prenant ses lèvres avec force et vigueur. Le baiser était endiablé, la Gorsalka échauffait les sens du guerrier. Torvar finit le verre et le lança par-dessus son épaule avant de soulever la brune dans ses bras pour mieux lui dévorer le cou. Il traça de sa langue une ligne de feu qui descendait sur son buste parfait tandis que ses mains s’étaient mise en coupe sous ses jolies fesses pour la maintenant à sa taille.

Sourire aux lèvres, soupirs de désir contre cette peau à la saveur sucrée, Torvar faisait connaissance avec les courbes délicates de ce magnifique corps qu’elle exhibait devant lui sans aucune honte. La tête du cosaque remonta quelques instants au niveau du visage, son nez fureta quelques instants sous l’oreille de la brune, mordilla ses chairs avant de venir y déposer des baisers. Alternant ses lèvres et ses dents, Torvar suivit le chemin de la goutte d’alcool qui avait imprégné la peau chaude et onctueuse, un véritable envoutement. Les doigts du guerrier resserrèrent leur prise sur les formes rebondit tandis que ses genoux se pliaient d’eux-mêmes afin de se laisser tomber au sol sans relâcher Cerseï. Il était hors de question qu’elle s’échappe à nouveau. La flamme du désir venait lui bruler les entrailles, son petit manège ayant très bien fonctionné. La faim qu’il avait d’elle grandissait au point que bientôt il ne pourrait plus retenir ses désirs.

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Cersei_



    C'est étrange cette sensation de bien être qu'on ressent quand le plaisir commence à vous hanter et que les frissons vous gagnent avant même que vous puissiez soupirer. Mais que c'est bon de se sentir désiré, de se regarder dans les yeux en cherchant ce que l'autre veut.
    La joueuse se fait taquine, le récepteur se fait conquérant ou conquit, les deux.
    L'hispanique ne le lâche pas du regard se mordillant la lèvre inférieure. Torvar a une allure rassurante par sa carrure, mais elle sent aussi que la partie qui se joue peut vite tourner à la violence. Les marques qui parcourent sa peau sont réelles, présentent à jamais, montrant combien la guerre et les armes vous laissent des traces.

    Cerseï déposa un instant ses yeux sur la bouteille de Gorsalka, la boisson n'étant pas une décoration il fallait bien la consommer. Ne jamais refuser un verre, la était sa devise. Mais l'emprise de cet homme la chamboulée. Elle pourtant si sure d'elle se sentait passer proie quand la main du slave bloqua la sienne derrière son dos pour lui faire apprécier la chaleur du miel et le brûlant de l'alcool dans sa bouche, son cou et cette langue aguichante qui venait la titiller à l'en faire soupirer et fermer les paupières.
    Le verre partie en fracas contre l'un des murs de la chambre et ni une ni deux la brune se retrouva soulevée par les bras puissant du cosaque.

    Mélange de saveur quand les baisers comblaient le silence qui s'était emparé de la chambre, une danse qui était loin de ressembler à une valse et un toucher voluptueux sur ses courbes délicates.
    Cerseï était dévorée par cette bouche sachant très bien ou aller pour faire monter la fièvre, ces dents qui ne relâchaient que rarement la peau sucrée de son cou, ses lèvres.
    Ses bras avaient entourés le cou de Torvar laissant une main se fondre dans les cheveux grisonnant, ses jambes quant à elle serrées fortement sa taille, elle ne le lâcherait pas, pas maintenant qu'il était à point. Les baisers de plus en plus langoureux, avec une pointe sauvage dérivaient dans une lutte sans merci.

    Torvar menait le pas, Cerseï lui donnait le tempo.

    Dos au sol ne pouvant qu'apprécier de sentir le torse du slave sur elle, ses mains quittèrent la chevelure pour se fondre sur le dos et rejoindre le pantalon bouffant qui n'était plus qu'une barrière pour un moment endiablé. Le sourire malicieux de l'hispanique en disait long et l'envie de gouter la peau plus pressante. Elle planta ses dents dans la chair sans pour autant faire "mal", juste pour en marquer une partie sur son épaule essayant de détourner l'attention du guerrier afin de lui ôter le tissu.
    Elle le voulait nu, de suite, sans patience, sans retenu, rien que pour elle, une nuit.
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