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[RP]Le couvent de Chinon

Fleur_de_songe
Le couvent...Enfin.
Fleur toque à la lourde porte,de longs mois se sont passés depuis qu'elle a mit les pieds ici la première fois.
Triste drame à cause de son entêtement.

La porte s'ouvre...Soeur Marie-Caroline!
Un large sourire s'affichent sur leurs visages.

-Vous revoici Fleur!Et pas seule...

La jeune Soeur posa un regard sur le bébé.

-Elle est très belle...Mais ne restez donc pas là,je vous emmène voir la Mère Supérieure,elle va être ravie de vous revoir.
Elles traversent les couloirs du couvent jusqu'au bureau de Marie-Edith.
La Mère se précipita vers Fleur,heureuse de la revoir.

-Comme je suis heureuse de vous revoir et ...Oh...C'est Isil...Aurèle m'a beaucoup parlé d'elle.
Marie-Caroline allait préparer une chambre pour Fleur et ...Mais où est Aurèle?Il n'est point avec vous?...Tout va bien entre vous?


Fleur lui sourit.

-Aurèle devrait nous rejoindre sous peu,ne vous inquiétez pas.

Elle n'en ajouta pas plus,ne voulant pas inquiéter la Mère.

-Si vous permettez,je voudrais aller me recueillir sur la tombe de mon fils,je peux vous confier Isil?

Marie-Edith n'hésite pas une seconde pour prendre le bébé contre elle.

Fleur s'échappe du bureau,parcourant les allées,les souvenirs reviennent...ça fait mal...
Et puis,le petit cimetière du couvent,la blondinette s'approche de la petite tombe,tombant à genoux devant.

-Bonjour mon bébé...Tu vois...Je suis revenue.
Tu m'as manqué.


Elle pose sa main sur la tombe,une larme glisse le long de sa joue.

-Tu sais....Plusieurs fois,j'ai pensé a te rejoindre mais le Très Haut en a décidé autrement en me donnant Isil.
Dors en paix mon petit Ange,elle ne te remplacera pas,vous avez tout les deux une grande place dans mon coeur.


_________________
Carabas
Carabas arriva devant le couvent...

Il s'arrêta longuement. Il scruta attentivement la façade, la lourde porte...
rien n'avait changé.

Il usa de l'anneau lourd sur la porte pour frapper trois coup sourds.

Une jeune soeur qu'il ne connaissait pas ouvrit la porte.


Messire ?

Je suis le seigneur de Morlieu ! Annoncez-moi auprès de la mère supérieure !

Carabas avait pris un ton autoritaire et une grosse voix pour impressionner la novice ce qui fonctionna à merveille !

La soeur couru dans les couloirs pour avertir la mère supérieure.
Soeur Marie Edith se précipita à l'annonce du seigneur de Morlieu croyant avoir à faire au père d'Aurèle.

Elle arriva à la porte essoufflée.

Reconnaissant son pas, Aurèle entra brusquement et se jetta sur elle !
Il la prit dans ses bras, la souleva et la fit tournoyer !

Puis la reposant en douceur, il lui fit un baiser sur le front.
Elle fut si étonnée et si désemparée qu'elle en resta muette !
La novice en les voyant n'en croyait pas ses yeux.


Bonjour ma soeur ! Vous êtes toujours aussi charmante ! Le très haut ne mesure pas sa chance !

Oh ! Aurèle !

La soeur rougit et Aurèle sourit

Ma soeur... Il parait que vous hébergez un ange ?

Oh ! Aurèle !!! elle est si belle !

La soeur était si émue qu'elle en avait les larmes aux yeux.

Elle me rappelle tellement...

Allons ma soeur ! Emmenez moi la voir je me languis !

Les soeurs le conduisirent à sa fille. Elle lui dirent que Fleur était au cimetière. Une pensée triste lui traversa l'esprit.

Puis voyant sa fille.. des larmes lui vinrent aux yeux.

Il la prit doucement dens se bras.

Il l'embrassa maintes fois, il lui parla tout doucement...
L'enfant le regardait avec de grands yeux étonnés, buvant ses paroles.
Alors,Carabas s'assit à même le sol et berçant doucement sa fille, il se mit à chanter.

Une berceus ancienne... Des mots qu'il ne comprenait pas lui-même mais qui lui revenaient spontanément.

Il chanta longtemps...

Les soeurs sortirent et les laissèrent seuls.

Carabas chantait...
Isil l'écoutait.
Fleur_de_songe
Fleur quitta la tombe de Elros...Oui,elle avait choisit un prénom pour son fils...
Elros qui signifie écume d'étoile.

Elle traverse à nouveau le jardin avant de reprendre les couloirs du couvent,les yeux rougis par les larmes.

-Dame Fleur!Votre époux est arrivé,il est dans votre chambre avec Isil.

La blondinette sourit discrétement au mot époux.

-Merci ma Soeur,j'y vais.

Une fois devant la porte,elle essuie ses dernières larmes,respirant profondément avant d'entrer sans bruit.

-Coucou vous deux...Je ne vous dérange pas?

Elle s'assoit près d'eux en souriant.

_________________
Carabas
Citation:
-Coucou vous deux...Je ne vous dérange pas ?


Carabas relève la tête et sourit à Fleur.

Chhhht.... Elle s'est endormie...
Viens...


Tandis que Fleur s'approche à pas de loups, Carabas lui tend la main.

Elle s'asseoit près de lui. Il passe son bras autour de ses épaules.


Tu sais pourquoi le très haut nous a fait deux bras ?
Pour pouvoir embrasser les deux trésors de son existence !


Alors, un long moment de silence... Là tous trois serrés les uns contre les autres...

Une image du bonheur.

Juste quelques instants hors du temps. Loin des histoires de tombeaux... d'arbalette et de dame blanche...

Carabas emplit ses yeux de cette image et gonfle son coeur de cette pensée... Il n'est plus seul. Il sait pour quoi il est là maintenant. Il sait pour qui il se battrait.
Fleur_de_songe
Fleur pose sa tête sur l'épaule d'Aurèle.

-Dis moi...Il n'est pas tard...Il faudrait peut être voir pour les tombes et...Aller voir ton père...Tu en penses quoi?

Elle le regarde,sachant très bien que d'aller voir son père allait être une épreuve pour lui.
La blondinette lui sourit.

-Le temps d'aller voir les tombes,on laisse Isil dans son couffin,Marie-Caroline va la surveiller,d'accord?



_________________
Carabas
Citation:
-Dis moi...Il n'est pas tard...Il faudrait peut être voir pour les tombes et...Aller voir ton père...Tu en penses quoi?

-Le temps d'aller voir les tombes, on laisse Isil dans son couffin,Marie-Caroline va la surveiller, d'accord?


Carabas sourit à Fleur et l'embrassa tendrement.
En douceur il se releva veillant à ne point réveiller Isil.

Puis il plaça délicatement le nourrisson dans son coufin. Il ne la quittait pas des yeux, s'émerveillant sans cesse devant chacun de ses soupirs.


Allons-y !

Il sortirent donc tous deux et se rendirent au cimetière du couvent.
Mais Carabs commença par se diriger vers la tombe d'Elros.

Il s'acroupit et lui parla doucement. Quelques instants passèrent ainsi pendant lesquels Carabas semblait expliquer avec une grande douceur plein de chose à l'enfant qui gisait là.


Puis,il se releva. Alors, il se dirigea vers la tombe sans nom.
La pierre tombale avait effectivement été déplacée.
Mais le plus étonnant était quele cercueil et son contenu avaient eux-même disparu sans laisser de traces.

Carabas inspecta tout dans les moindres détails. la pierre, les alentours,la croix qui trônait devant la tombe. Il descendit même dans la tombe et là, passa un bon moment à observer le sol.

Quand il remonta, il semblait soucieux un instant mais dès qu'il croisa le regard de Fleur, un grand sourire envahit son visage !

Ma Fleur... notre mystère prend une tournure bien surprenante ! Figure-toi que le cerceuil n'a pas disparu... Car, il n'y a tout simplement jamais eu le moindre cercueil dans cette tombe !
Etonnant non ?
Et à mon avis... nos pilleurs de tombeau ont du s'en trouver fort marris !


Carabas se mit à rire à l'idée de la tête qu'ils avaient pu faire en découvrant le tombeau vide.

Donc ma Fleur... Une Dame en blanc venait ici très régulièrement et discrètement fleurir la tombe d'un inconnu qui n'y était pas !
Et ce pendant des années !
Voilà qui est bien étrange... Et un jour, la tombe est pillée...
Pourquoi après tant de temps...
Il a du se passer quelque chose...
Un évènement a déclanché une vague d'actes incompréhensibles...
Mais quoi ?...


Allons voir le caveau famillial !
Fleur_de_songe
Fleur le suvit jusqu'au cimetière.
Elle le regarde,intriguée quand il s'adresse à Elros,que pouvait il bien lui dire?

Et puis,la tombe sans nom.
Fleur se penche au dessus du trou avant de laisser Aurèle y descendre.
Pendant qu'il mène sa petite enquête,elle l'attend patiemment.
Quand elle voit sa tête réapparaitre.

La blondinette l'écoute,fronçant les sourcils.

-Pas de cercueil?!

Cette histoire venait vraiment bizarre.
Elle entraina Aurèle devant le caveau familiale.

_________________
Carabas
Le caveau...
Imposant,lourd et opulent. Symbole de la prétention ostentatoire des Morlieu.
C'est là que reposaient les ancêtres. Ces héros de jadis, ces figures fantastiques qui avaient fait de la famille ce qu'elle était... C'est à dire tout sauf une famille.

Carabas arrivant devant la grille qui fermait l'accès hésita un peu. Il observa le monument comme s'il le découvrait pour la première fois. Cherchant dans chaque détail un indice crucial, quelque chose qui le mettrait sur la voie... une révélation.
Rien.
Ils entrèrent donc.
Là, le long des parois reposaient les défunts dans leur gangue de pierre poussièreuses.
Mais au beau milieu de la pièce trônait surélevé un sarcophage plus imposant que les autres. Tel un hommage magnifique à la femme qu'il aimait, le Seigneur de Morlieu avait choisi pour elle cette dernière demeure énorme et magistrale.

Carabas fit la grimace. Sa mère était femme discrète, très belle et d'une élégance en tout sans pareil. Jamais elle n'aurait approuvé un tel étalement de richesse...
Son père, en bon gestionnaire, économe et prévoyant ne se serait jamais lancé dans une dépense si considérable sans une raison impérieuse.

Tout cela ne collait pas...

Sur le sol, éparses des restes de fleurs séchées, fanées finissaient de se désagréger.

La lourde peirre recouvrant la tombe avait elle aussi été déplacée.
Avec une certaine anxiété, Carabas se hissa à la hauteur de l'édifice et regarda l'intérieur...

Vide, comme le lui avait écrit Soeur Marie-Edith, le cercueil avait disparu...

Carabas, comme précédemment avec la tombe sans nom, inspecta longuement l'ensemble.

Mais il s'attarda surtot sur la base. Le long ouvrage de pierre reposait sur un piedestal de marbre. Carabas en fit plusieurs fois le tour et finit par expliquer à Fleur :


Ici, il y avait une table de marbre... elle a été transformée pour y installer ce gros... machin...

Carabas sourit alors à son épouse étonnée.

J'espère que tu es en forme ! On va faire un peu d'exercice !
Tu vois... Je mettrai ma main au feu qu'il n'y a jamais eu non plus de cercueil dans cette tombe... Alors... c'est donc qu'elle est là comme l'autre, pour donner le change !
Cette tombe à mon avis se montre pour cacher quelque chose !
Aide-moi s'il te plait, onva commettre un sacrilège !

Manifestement très amusé Carabas s'affaira à pousser le lourd tombeau pour le faire basculer...
Avec l'aide de Fleur et de gros efforts, l'oblong objet chut bruament sur le sol.
Il se fendit sous le choc et finit par se briser en deux morceaux.

Bigre ! on va réveiller les morts !

Carabas fanfaronnait mais il fut pourtant bien surpris !
sous le cerceuil de pierre, là où auparavant se dressait une belle table de pierre... Un trou.

Les deux amoureux se penchèrent...

Un escalier...
Fleur_de_songe
Fleur se tourna vers Aurèle.

-Ne me dis pas qu'il va falloir descendre là dedans?!

Elle hésitait entre l'appréhension et l'excitation du moment.

-Mais...Dis moi...Si le cercueil de ta mère n'est pas là...Où est il donc?...Ton père doit bien le savoir si il était là le jour des funérailles.

Tout cela lui paraissait bien compliqué,elle plonge,alors, son regard dans celui de son époux,cherchant une réponse que lui même ne devait pas avoir.

_________________
Carabas
Citation:
-Mais...Dis moi...Si le cercueil de ta mère n'est pas là...Où est il donc?...Ton père doit bien le savoir si il était là le jour des funérailles.


A l'évidence,il sait des choses !
Les lui faire dire est une autre histoire...
Mais pour l'instant...


Carabas se saisit d'une torche qui se trouvait depuis toujours accochée au mur.

Je me suis toujours demandé à quoi servait cette torche !


Il l'enflama et entreprit de descendre par l'escalier.


Tu viens ?


Il était très excité par l'idée de découvrir quelque chose d'inédit, quelque secret bien gardé, quelque trésor caché jalousement...
Au bas de le'scalier, une petite pièce contement pour seul mobilier un autel modeste.
Sur l'autel, un petit coffre.

Carabas un peu déçu de ne rien trouver de plus imposant observa le coffre et consata qu'il était fermé à clef.
Qu'à cela ne tienne ! il ne repartirait pas bredouille !

Il prit la dague des Vallon et força d'un coup sec la serrure. Le coffre était modeste, elle ne résista pas longtemps.
Fébrilement, le jeune homme ouvrit le coffre...

Un feuillet... un simple feuillet guère plus grand que la paume d'une main.
Quelque mots d'une écriture soignée... la lueur était trop faible pour les déchiffrer.
Carabas mit dans son gant le feuillet et ils sortirent l'un derrière l'autre.

Il éteint et remit la torche en place. Mais là, il s'arrêta brusquement !
Il fronça les sourcils.

Fleur... nous ne sommes pas seuls...
Doucement il sortit de son étui son épée et se dirigea vers la sortie du caveau.

Quand ils furent dehors, ils n'eurent pas longtemps à attendre.
Cinq gaillards armés et déterminés leur firent face.

Les amants se mirent en garde...


Celui des homes qui semblait diriger le goupe, un grand, la joue gauche barrée d'une longue balafre s'avança...

Pas la peine de jouer aux héros. Donnez-nous le poème et on en reste là...

Carabas regarda les cinq hommes. Pas des rigolos...
Il interrogea Fleur du regard...
Fleur_de_songe
Pas la peine de jouer aux héros. Donnez-nous le poème et on en reste là...

Fleur haussa un sourcil en direction de son époux,petit sourire en coin.

-Dommage pour eux...Je n'aime pas que l'on me donne des ordres.

Elle dégaine son épée,se mettant en position de défense.

-Tant pis pour vous!

Les cinq hommes se jetent sur eux,Aurèle et Fleur restent non loin l'un de l'autre et répliquent.

Les coups d'épées pleuvent mais le jeune couple se défend.
La blondinette est agile et s'amuse...Un défaut,dans ces cas là,elle ne voit pas le danger.
Plusieurs fois Aurèle la met en garde d'être un peu sérieuse,ce qui déclenche une légère moue chez sa femme.

Un coup de lame...

-Eeeh mais nooon!...Aurèle!...Il a déchiré la manche de ma chemise!

La blondinette lui décolle un coup de pied et un coup de pommeau dans le visage.
Elle se recule,dos contre son époux.

-Tu crois....Qu'ils vont se calmer là?!

_________________
Carabas
Carabas tant bien que mal tenait deux des malfrats à distance et gardait un oeil sur Fleur est les trois autres...
Fleur semblait s'amuser, très à l'aise. Carabas lui... faisait de son mieux...

Citation:
-Tu crois....Qu'ils vont se calmer là?!


Heu... je crains que non...
Il esquiva un coup d'estoc et piqua le bras de l'homme qui voulait l'empaler. Un cri !
Fleur dans son dos bataillait ferme ! Elle en avait au moins mis un hors de combat...

Les homme se reculèrent un instant...
Ils s'apprétaient à charger de concert...

Alors Carabas leva un bras en l'air et cria bien haut :
STOP !!!

Les hommes hésitèrent un peu mais cessèrent tout de même le combat.
Alors, doucement, Carabas passa sa main gauche dans sa chemise et en sortit un vélinplié soigneusement.
Il toisa le balafré et lui lança le papier.
L'homme le ramassa, l'ouvrit et le rangea consciencieusement.
Il fit alors signe aux autres de se retirer.
Un instant après ils avaient disparu.

Carabas jetta un regard vers Fleur...Il craignait qu'elle ne se jette sur lui !

Non !!!! Attend ! Je sais ce que tu vas dire ! Alors... Voilà... je ne leur ai pas donné... c'était seulement un poème que j'écrivais pour toi !
Voilà... bon... tu le verras jamais du coup.
Mais... nous avons un rendez-vous...
Je te fais visiter la demeure des Morlieu !
Ne traînons pas ici.
Fleur_de_songe
-Un poème pour moi?!Et tu leur as donné?!
Bon...Bah j'crois que ce poème nous a sauvé la vie alors.


Ils retournent dans leur chambre pour faire un brin de toilette et préparer Isil.
Fleur prend leur fille contre elle,la calant dans un tissu qu'elle noue autour de son cou.
Au moins,la blondinette a les mains libres.

-Allons y.

Ils quittent le couvent sous le regard bienveillant de la Mère Marie-Edith.
Tout en traversant Chinon,Fleur laisse trainer son regard sur les étals du marché.
Et quelques minutes plus tard,la grille du manoir...Fleur regarde son époux en souriant.

-Nous y voilà.

_________________
--De_morlieu
Carabas
De retour au couvent, Carabas lu le livre...

De riches enluminures ornaient l'ouvrage qui semblait ancien.

Le livre relatait l'histoire d'un ailleul de Carabas : le comte Gonzague de Morlieu.
Aventurier, il aurait en son temps parcouru le monde connu.
Avec un de ses amis : George de Vallon, jeune homme comme lui, fortuné et désireux d'aventure, il svécurent de nombreuses péripéties.
Le livre en narrait quelques unes mais surtout l'une retenu l'attention de Carabas.

Il était en effet rapporté que les deux hommes, au cours de l'une de leurs expéditions en de lointaines contrées, furent amenés à observer un rituel étrange.
Un jeune guerrier d'une peuplade reculée avait été grievement blessé par un animal sauvage au cours d'une chasse.
Ramené au guerrisseur du village, l'homme à demi mort fint par sucomber totalement avant que le sorcier eut fint de préparer ses onguents.
Constatant le décès du jeune guerrier, il décida de préparer une autre potion.
Il se déroula alors un rituel sordide.
Le guerrisseur sortit précotionneusement un calice étrange. L'objet brillait comme illuminé en permanence malgré la semi pénombre...
On fit alors ammener une jeune fille.
Une esclave à ce qu'il semblait.
Le sorcier vérifia qu'elle portait sur le cou une marque ovale.
Puis il la fit ligoter solidement.
Il pratiqua alors une incision profonde dans le bras du mort.
et récolta son sang dans le calice.
Puis il fit boire de force à la jeune fille le sang du mort.
Un peu après, il ouvrit le bras de la femme et lui prit une grosse quantité de sang. qu'il recueillit dans le même calice.
Très vite, la jeune femme sembla perdre conscience.
Alors, il fit avaler le sang de la femme aux jeune guerrier décédé.

Peu après, l'homme se releva... Il semblait transfigué, son regard était vitreux... mais il vivait.

Les deux jeunes aventuriers furent profondément frappés par la scène...
Peu de temps après, ils décidèrent de voler le calice et de le rapporter au pays.
Ils vinrent donc de nuit dérober l'objet.
Mais ils furent surpris. Une bagarre éclata au cours de laquelle le sorcier fut tué. Mais cependant, il eut le temps dans le combat d'appliquer le calice sur le cou de Gonzague, ce qui lui provoqua une douleur attroce.
C'est le moment que choisit De Vallon pour achever le guerrisseur.

Le livre était plus vague sur la fin de l'aventure... mais il semblait qu'une dispute éclata entre les deux hommes et que de Morlieu put rentre au pays avec le calice... mais sans de Vallon...
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