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[RP]Joutes en savoie ,en l'honneur de la gloire et spectacle

Ellebasi
Enfin, après moult journées de voyage, des nuits plus ou moins inconfortables en auberge et quelques kilos de poussière plus tard, l'on était arrivé à la Cour Ducale Savoyarde.

Le voyage avait semblé interminable et c'est avec un soulagement certain qu'Elle avisa les chapiteaux étaient en train d'être monté.
Tout avançait pour le mieux. Un petit bureau avait été posé sous une tente en cette belle journée d'Automne.

De nombreux oriflammes flottaient ,c'était merveilleux ce jeu de couleur..

La brune était stressée ne sachant pas si c'était la peur ou de savoir qu'elle va être seule à l'organiser puisque le marquis Nerval était au monastère ne sachant pas quand il en ressortirait..

Déroulant ses parchemins pour faire le récapitulatif des inscrits,peut être il y aurait-il d'autres inscrits dans les dernières heures.

Elle se leva allant visiter les chapiteaux et attendant sa grâces Marc Antoine di Leostilla, duc de Savoie et ses participants


Ellebasi
Tout etait en ordre et Elle pris la direction de la tente pour commencer à de commencer à afficher les participants. Ella envoya un page afficher les premiers inscrits.

Citation:

Woland von Sélénios, Seigneur de la Condamine-CAstellard :



Citation:
Jehanne du Genevois,Marquise de Bertogne,Duchesse de Beuil,Baronne de Chignin,Dame de Sévrier



Citation:
Marc-Antoine di Leostilla, duc de Savoie, Vicomte impérial de Thann, Vicomte de Jausier.

Représenté par son champion : Octave di Leostilla.



Citation:
Gamalinas Lanas, Seigneur de Larche.



Citation:
Pierre_von_kolspinne, duc de Verceil, duc du Genevois, duc de Chablais, du de Bielle, vicomte de Mosso, vicomte d'Alice Castello, baron de Culoz, baron de Challes les Eaux, baron de Chatillon en Aoste, Chevalier



Citation:
Alinoë De Chenot; duchesse de Cuneo, duchesse de Luserne, Vicomtesse de Thonon, Vicomtesse de Marboz, Dame de Osasco, Dame de Fossano, Dame de Saint-julien en Genevois




Citation:
Charles de Talleyrand,Duc de Piémont & de Salm, Comte de Thérouanne, Vicomte de Gex

Citation:
Hadrien Marcus Von Ostenmark-Sparte:Imperialer Herzog Von Ensisheim und Prince de Dinant und Baron Menezalban und Seigneur de Chevigny



Citation:
Elektra d'Acoma de Katzenthal et de Colmar,dame d'Evian, Chevalier Impérial,Grand Maitre de l'Ordre des Lames.


Citation:
Mini Laskarina d'Alaya, Vicomtesse de la Vilette et Baronne d'Albens




Ella fut un moment plonger dans ses pensés en revassant
Charles
    [Tente du balafré du Piémont]


Colchiques dans les prés fleurissent, fleurissent, colchiques dans les prés c'est la fin de l'été... Les arbres commençaient à changer de couleur et à se déplumer petit à petit, les odeurs fortes de l'automne se faisaient sentir, c'est cette époque qui fut choisit par Charles pour sortir de sa torpeur monacale et tenter de reprendre une vie normale malgré les évènements récents qui le frappait de nouveau. La vie du Talleyrand ne sera jamais calme s'était inscrit dans les astres.

Ces joutes il les ferait pour sa tendre fille Carlotta qu'il venait de perdre. Ainsi c'est tout de noir vêtu qu'il se présenta à sa tente où flottait un étendard à ses armoiries. Son premier écuyer s'assura que rien ne manquait au duc, tandis que les autres commençait à préparer l'armure ducale.

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Octave
S'il était un gentil di Leostilla, un romantique dans l'âme, c'était bien le jeune Octave. Et quelle plus belle saison pour le romantisme, que l'automne naissant ? Ce tableau de couleurs si vives, et si tristes... Dieu ! Voilà que tout s'éteignait, pour dormir à l'abri d'un hiver sans doute glacial.

A peine revenu d'un périple d'Armagnac, Octave avait été appelé pour jouter au nom de son cousin. Bien sûr, qu'il le ferait. Surtout quand il apprit que ses amis, Gamalinas et Woland, serait de la partie ! Se mesurer à ses collègues étaient toujours une bonne chose.

Octave plia l'échine devant le juge-arbitre, et, peut-être comme une sorte de rituel, il alla toucher le sable de la lice. Peu de monde était là. Les gens allaient affluer sans doute plus tardivement.

Puis il rejoignit la tente des di Leostilla, où on commença à la vêtir pour les combats.

Sarah_elisabeth
[Tente du balafré du Piémont]

Une tente aux armes du Piémont, un des pans de l'entrée glisse sous de fins doigts pâles et un visage fin vient se glisser , suivi d'une chevelure de blé, tressée pour ne pas s'emmêler dans la brise qui souffle en ce jour. Sarah, discrète, suit l'effervescence des lieux du regard. Les écuyers préparaient les pièces d'armures qui protègeraient le Duc lors du duel. Sarah n'avait pu, se remettant juste de blessures subies à Genève, se permettre de participer aux joutes mais son suzerain représenterait le Piémont en ce jour et en digne vassale, elle fit un signe au premier écuyer qui se recula d'un pas pour lui laisser sa place.

Charles restait pensif, ne devant pas avoir encore remarqué sa présence. Elle s'avança donc sans prononcer un mot. Avec calme et douceur, elle prit les grèves et s'agenouilla devant l'homme d'armes pour les refermer sur le bas de ses jambes afin de protéger mollets et tibias. Se redressant, elle fixa les cuissots auxquels étaient accrochés par des rivets les genouillères qui protégeraient ses articulations. Elle sangla enfin le tout lentement sans relever son regard, rituel immuable qu'elle suivait avec application. Elle savait qu'il serait bien protégé ainsi et qu'elle aurait pu faire cela pour lui. Elle connaissait les points faibles pour avoir batailler bien plus souvent que son âge pouvait le laisser supposer.

L'opaline se releva alors et vint fixer le haut des pièces au doublet armant grâce aux goussets qui empêchaient les coups aux articulations, point faible en général de ces armures. Son regard croisa celui de Charles et elle lui sourit, rieuse de son étonnement de ne pas trouver son premier écuyer à l'oeuvre mais sa jeune vassale. La douceur de ses gestes, l'application à ce travail, il n'y avait besoin de nul mot à Sarah pour exprimer son attachement sincère en cet instant. Ses mains continuaient leur œuvre et sanglaient pansière et dossière grâce aux braconnières rivetées de celles ci, concluant la protection du tronc par des tassettes sur les braconnières. Il ne restait plus que les bras.

Sarah protégea les avants bras de canons qu'elle ouvrit avant de les refermer et de vérifier la coudière rivetée à ces derniers. Elle accrocha enfin des spallières au harnois pour protéger les épaules et les avant bras. Il ne lui resta plus qu'à ajouter un colletin de cuir recouvert de maille rivetée sur le cou car l'armet choisi de conception italienne n'en possédait pas permettant en contrepartie une plus grande souplesse de mouvement pour éviter la lance adverse. Prenant le baudrier d'épée de Charles, elle enroula ses bras autour de l'homme en armes pour lui ceindre en rosissant. Le casque et les gantelets attendaient sur la table. Le guerrier était prêt, et sa vassale inspira profondément en une prière muette pour qu'on lui rende vivant.


Soyez valeureux Charles, mais revenez nous en un seul morceau ou je me chargerai moi même de vous cautériser les plaies au fer rouge!

Ah, la douceur naturelle des filles des montagnes...
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Gamalinas
Nul doute que pour une fois, les joutes n'allaient pas coûter un voyage interminable. Aujourd'hui la Savoie offrait son tournoi. Quel réconfort de ne pas aller en France, non point que Gamalinas n'aimait pas la France, mais un voyage serait court apaise l'esprit.



L'étendard de Larche flottait près d'une tente carrée couleur crème. Dans cette structure de toile, se trouvait Gamalinas. Il était occupé à écrire. Sans même penser au reste, ou si à une chose très précises. L'avantage de ces joutes en Savoie lui donnait la satisfaction de garder l'oeil sur ses affaires. Affaires qui concernaient tout le monde. Peut être allait-il retrouver un peu d'insouciance aux jeux.
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Elektra.
Par deux fois spectateur, à la troisième les joutes avaient tout bonnement été annulées, alors cette fois-ci, le chevalier comptait bien faire ses premiers pas comme jouteur.
Il avait réquisitionné dans l'Ordre d'abord une tente, de dimensions plus que confortable, d'un jaune vif avec un bel aigle fièrement dressé sur chacune de ses faces. Puis deux jeunes pages s'étaient portés volontaires pour assister le chevalier dans ce premier essai. Nul doute qu'il n'irait pas très loin, mais il fallait bien faire ses armes un jour ou l'autre.

Après avoir été se reposer d'une bonne nuit de sommeil en la capitale savoyarde, Elektra était de retour au petit matin et trouva sa tente montée, de la plus parfaite des façons, aménagée au mieux avec tout ce qu'elle avait demandé de necessaire pour ce défi.

Devant la toile flottaient les couleurs de son fief d'Evian. Une pensée pour sa suzeraine qui participait et avait monté son campement non loin.



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Grand Maitre de l'ODL , Chevalier Imperial de Colmar
Ulrika.von.stern
{ Errant çà et là entre les tentes }

La blondeur spectrale se déplaçait parmi les tentes dressées de dizaine de couleurs différentes. Elle reconnaissait parfois un blason, particulièrement celui de la duchesse Alinoë. Une femme qui joutait. Ulrika trouvait cela aberrant, mais elle se gardait bien d'en parler à sa gracieuse cousine. D'ailleurs, elle trouvait curieux qu'une aussi petite femme arrive à tenir la lourde lance d'arçon bien droite surtout avec le contrecoup de la chevauchée. Ses fines épaules se haussèrent. Si ce genre de choses l'amusaient, tant mieux pour elle au fond. La journée s'annonçait plaisante et la Teutonne avait hâte d'étancher sa soif de sang par procuration. L'enfant-femme -celle qui était femme avec une apparence de jouvencelle à peine nubile- investi les estrades et prit soin de ne pas accrocher sa précieuse toilette à quelques accrocs. Ses cheveux étaient nattés sur le côté et à ses poignets s'entrechoquaient des bracelets d'argent.

La veuve soupira en se posant sur un siège. Quelques badauds se trouvaient déjà sur place. Son homme de main vint s'asseoir à côté d'elle. La jeune femme lui jeta un regard indescriptible, il opina du chef comme pour répondre à une question silencieuse.

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Alinoe_de_chenot
La Duchesse se préparait, enfin pas vraiment, elle jouait avec ses nourrissons et Yollande sa femme de chambre, la regardait d'un air désapprobateur et n'y tenant plus, Yollande lui arracha presque Dacien de ses bras.

- Madame, vous avez votre armure ! Il va se blesser dessus !

Alinoë rit

- Mais pas du tout ! Je fais attention et puis c'est un futur chevalier ! Mais gardez-le, je dois finir de me préparer.

Ce qu'elle fit mais elle resta avec son fils jusqu'à ce qu'on l'appela.
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Ulrika.von.stern
[Tente de la Duchesse de Cuneo]

Nouvelle marche, d'autres froissements de tissus. La Ulrika avait encore la lettre du Duc en tête. Depuis qu'elle l'avait eu entre les mains, elle ne dérageait pas. Or, son mariage lui avait appris à bien mentir et à prétendre que tout va bien même si l'apocalypse emporte tout derrière le miroir de ses prunelles. Sans doute ceux qui gardaient la tente avaient-ils reconnus la blondeur froide de la Teutonne car nul ne s'interposa à son entrée. Les yeux pâles de la jeune veuve se posèrent sur sa cousine avant qu'un faible sourire ne se pose sur ses lèvres rosées. Elle exécuta une révérence courte ; Alinoë n'aimait pas qu'elle soit trop formelle, mais c'était plus fort qu'elle.

« Je ne puis dire que votre attirail me plaise, mein lieber Cousine. La soie vous sied davantage que le fer. Ne craignez-vous pas de périr ou d'être incapacité pour ne plus être présente pour vos enfants? Ils sont si jeunes, il serait injuste pour eux de ne point connaître leur mère. »

Justement, elle avisa Dacien dans les bras de la nourrice et s'en approcha lentement. Elle glissa le revers de son index sur la joue du nourrisson en s'interdisant un air attendri. Elle ne devait surtout pas se laisser émouvoir ou elle risquait de s'éparpiller en pleurs, criant à l'injustice que le fruit de ses entrailles n'ait pas même connu une première bouffée d'air. Ulrika se détourna du bébé et s'approcha de sa cousine.

« Je vous aiderais bien à enfiler le reste de votre équipement, mais je crains de me salir ou de me blesser ; sa Grâce de Savoie m'a dit que j'aurais place parmi les honneurs et je ne désire aucunement lui donner de quoi critiquer plus qu'il ne le faut. Déjà on redira sans doute de mon teint translucide, de mes cheveux trop soigneusement brossés ou de ma robe fort peu pratique. J'avais presque oublié l'intransigeance de la Savoie comparativement à l'oisivité languedocienne. Savez-vous que la régnante s'est mariée à l'intérieur de l'église? Quelle dérogation aux traditions! Et la demande! Oh! En pleine allégeance, il l'a embrassé comme s'ils étaient seuls et il avait ses mains partout sur elle. Si on m'avait fait la même chose, il aurait reçu une gifle, l'impudent! C'était parfaitement dérangeant. »

La blonde soupira silencieusement. Sans doute aurait-elle encore l'air de la veuve amère.

« Peut-être devrais-je vous laisser? »
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Laurent.leostilla


De retour en Savoie, juste à temps, Laurent venait de rentrer en compagnie de Morgana et du nouveau soldat à la solde de monseigneur son cousin légitime. Le gamin était encore furieux des derniers évènements. Quel était le crétin qui avait mené l'armée en fauchage entre Mâcon et Bourg alors qu'il rentrait chez lui. Quelle honte d'être mené par des incompétents pareils ! Blessé au bras, il avait dû rester à Mâcon sous la bienveillance de sa cousine Morgana. Mais la compagnie de Guillebert l'avait ennuyé au plus haut point. Ce jeune homme fort cavalier n'était pas des plus appréciés du dernier Leostilla.

Il était venu aux joutes pour se distraire et revoir sa famille qui avait fort à faire avec le duché. Il n'avait pas passé un jour sans tenir au courant son cousin de duc de la situation à Mâcon et de sa difficulté à trouver nourriture en suffisance. Le duché de Bourgogne n'était pas des plus garnis et l'activité de la ville frontalière plutôt déplorable. Bourg était-elle mieux ? Pas sur ses dernières nouvelles. Constat bien alarmant.

Le jeune homme arpentait le terrain à la recherche de la tente prestigieuse de son éminent cousin. Il était bon de faire partie de la famille du duc mais Laurent voyait ça tout autrement. Opportuniste dans l'âme, tel que le jeune homme fut formé par le duc en question, il n'attendait qu'une seule occasion pour un jour récupérer cette couronne remarquable et remarquée. Il n'avait que cette seule ambition. Mais s'il craignait le Leostilla, il n'en était pas moins perfide et intéressé. L'occasion des joutes était belle mais le gamin n'était pas au bout de ses surprises. L'arrivée dans la tente le mit dans une rage folle.

QUOI ??? C'est Octave ton champion ? Je ne suis pas un incapable, Marc Antoine ! J'aurais vaincu ! Regarde-le, il est ... enfin ... Il n'est pas digne ! Je vais voir ailleurs si j'y suis !

Sans un regard pour son autre cousin de retour d'Armagnac, le fils prodige de Tibérias tourna les talons, n'écoutant même plus les brimades de son cousin et fila à travers les tentes à la recherche de quelques idiots à qui parler.

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Mini.
Et l'idiote dont parlait le gamin du dessus arriva sur ces entrefaits, toute de cuirasse vêtue, son heaume obstruant considérablement son champs de vision, tant et si bien qu'elle rentra de bon coeur dans le gamin zigzaguant entre les tentes ... Se retrouvant sur les miches (ça commençait bien !), elle le houspilla :

Vous ne pourriez pas faire attention, jeune imprudent ???!!

La brunette se releva tant bien que mal dans des couics et des couacs, des grincements de cuirasse en somme ! Si en plus, elle avait su qu'en face d'elle se tenait un Di Leostilla, sûrement aurait-elle proféré un certain nombre de noms d'oiseaux à son attention. Et la bienséance alors ?! On s'en fiche !

Si je vous recroise, je vous embroche !

La messe était dite, nan mais des fois. La brunette défroissa sa cuirasse comme elle l'aurait fait avec une de ces houppelandes dont elle était obligée de s'affubler au sein de la Cour Ducale mais qu'elle n'affectionnait que très peu ...

La Vicomtesse était dans la place malgré son retard aux inscriptions ... Qu'on se le dise !

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Laurent.leostilla


Comment pouvait-on être aussi maladroite ? Le jeune homme entra droit dans une armure articulée au détour d'une tente. Celle-ci se retrouva sur le sol en moins de deux. Laurent fut un peu déboussolé lui aussi et à entendre la voix s'élevant de la carcasse, c'était bien une femme qui s'adressait à lui. Et elle le traitait d'imprudent alors qu'elle se retrouvait le séant sur le sol. Il manqua de rire en la voyant ainsi. Ca le déridait un peu.

Mais qu'est-ce qu'une femme faisait dans une armure comme celle-là ? Ce n'était pas la place d'une femme. Laurent s'écarta légèrement devant les gesticulations de la dame qui tentait de se relever. Il l'aurait bien aidée mais ... c'est qu'elle semblait bien énervée, tout comme lui d'ailleurs. Et voilà qu'elle voulait l'embrocher maintenant. Devait-il en rire ou en pleurer ? Il n'en avait pas vraiment d'idée mais sur le coup, c'était la petite goutte qui venait en rajouter une couche sur son état dépressif. Déjà qu'il venait de passer 45 jours à Mâcon alors si c'était pour se faire menacer sur ses terres.

Je ne m'appelle pas Imprudent mais Laurent ! Laurent di Leostilla ! Et qui plus est, si vous évitiez d'avancer avec un casque sur la tête, vous y verriez plus clair et vous auriez éviter de ME rentrer dedans, madame ! Faites attention de ne pas vous embrocher vous-même auparavant ...

Le gamin évita quand même de faire une remarque sur les dames, les armures, les joutes et leur rôle et tout le toutim. Il craignait quand même les incidents diplomatiques. Ce n'était pas vraiment le moment.

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Jehanne_du_genevois




Enfin divertissement ....


J'arrivais une fois que mon campement fut prest .
A croire que Gosth estait plus impatient que moi ,il avait fait durant le voyage passait au tripe galop et reprenait une allure normale ainsi de suite .
Son fils qui suivait fit pareil .
Je souris de les voir faire ,ils estaient fin prest .
J'avais grand haste de commencer car ce tournoi me sortirait un peu de la vie un peu mornes que je menais .Vitoria-Eva estait avec l'escort de l'empereur ,Emeris dans un monastère à Dijon et Nerval en recueillement aussi depuis presque trois mois alors à Chignin à part mes entraînements rien d'autre me distrayait .

Arrivée sur place je cherchais mes couleurs ,les tentes estaient montées je me dirigeais vers elles .
A peine arrivée que mon escuyer vint à ma rencontre pour me dire que tout avait été fait pour mes montures .Parfait j'allais pouvoir m'en occuper en attendant le début du tournoi

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Pygaer_de_bouvignes
Il avait entendu parler de l'engouement d'Elektra pour tout ce qui concernait l'armée, il savait également qu'elle rêvait souvent de bosses et de plaies et savait pertinemment qu'elle aimerait par la suite se faire dorloter par lui, mais lorsque son vieux serviteur vint lui faire part de la participation de la future dame de Roubion et de Loon à une joute pour le moins rélevée, il dût déglutir à plusieurs reprises

Dame, c'est qu'elle ne s'attaquait pas à n'importe qui, tant les noms prestigieux étaient également signe d'expérience

Aussi, n'ayant rien à faire pour l'instant...et soucieux de la santé de sa (pas encore mais bientôt) fiancée, il se dirigea d'un pas qu'il voulait désinvolte vers l'arène.

En y arrivant, des souvenirs lui revinrent à l'esprit, ses premières joutes, ses premières passes d'armes et ses premières victoires obtenues non point en Savoie mais dans la lointaine Hollande...Les hollandais, du moins à cette époque étaient très forts en culture de fleurs et autres denrées mais question joutes, ils avaient eu encore bien des choses à apprendre...

Il arriva devant la tente du fief d'Evian, au devant duquel une silhouette connue semblait examiner le tout

A pas de loup, il se glissa derrière la jeune femme, lui posa les mains sur les yeux et brailla dans un langage un peu rustre:


"Z'auriez po bisoin d'un ecuyer ma pt'it dam? z'allez vo fer jeter à bas et fodra kékun pour ramasser vos abbatis, ch'crois"

En souriant, il attendit sa réaction...qui avec elle était toujours pour le moins imprévue
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Comte Impérial de Looz, Vicomte de Roubion, Seigneur de Bouvignes
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