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[RP] La croqueuse et le mordu se marient...

La_croqueuse
La blonde n'y croyait toujours pas, cela se passait si vite...
Et pourtant malgré l'appréhension elle éprouvait un bonheur sans limite a se qui allait bientot arrivé.
Certes elle avait rencontrer bien des hommes, mais jamais l'idée de dire OUI ne lui avait traverser l'esprit...
Cela faisait quelque temps qu'elle le connaissait pourtant elle n'avait pas vraiment porter attention sur lui, a l'époque ses pensées était toute pour sa fille qu'elle s'en allait chercher.
Mais dés son retour a SBC, la croqueuse ne fit d'abord pas plus attention a lui jusqu'a ce que sa garce intervienne et la défie de s'installer sur ses genoux et continue de pousser le jeu au détriment de sa mini garce de fille, Emilie..
Mais a force de jouer cela est devenu bien plus pour Mélyanna et apparemment pour le mordu aussi.
quelques jour a peine et l'un comme l'autre on ceder au désir qui commencait a naître entre eux.
Au départ tout cela n'était qu'un jeu et un simple désir.
Prendre du bon temps simplement entre ami mais se qu'ils ne s'attendaient pas, c'était que des sentiments se mêlèrent peu a peu a leur jeu devenant petit a petit tout sauf un jeu..
ils passèrent de plus en plus de temps ensemble, l'homme allant jusqu’à délaissé de plus en plus celle qui était alors sa fiancée venant chercher le réconfort des bras de la croqueuse quand la dame de château et lui se disputaient.
un soir alors qu'elle savait que Le mordu venait de se séparer de sa futur épouse, et sachant que celle ci était la digne fille de la garce et ferait tout se qui était en son pouvoir pour le garder, Melyanna les vit en tête a tête en taverne se doutant de se qu’Émilie pouvait bien faire pour tenter de maintenir ses fiançailles.
La capuche ne fut pas déçu par la fille de la garce vu que celle ci se jurant pure a tous était sur une table entièrement nue et Oddar entre ses cuisses.
Elle leur sourit arrivant tout juste a temps avant que Le mordu ne fasse la plus grosse connerie de sa vie.
Emilie resta un moment sans réagir puis en se rendant compte que l'encapuchonnée ne partirait pas elle attrappa sa robe et se cacha derriere allant se rouler en boule dans un coin, se qui fit sourire la croqueuse et qui en la regardant lui dit quelques mots..

N'oublies pas... je t'attend au zénith a la lice... ne t'en fait pas j'ai donner ma parole, je ne te tuerai pas... mais tu n'oublieras jamais de ne pas insulté la croqueuse...

La blonde sourit en la voyant partir Oddar ne montrant rien lachant juste un soupire trahissant des sentiments qu'il éprouve autant pour son ex fiancée que pour la capuche.
Celle ci vint réconforter le brun qui était perdu la jeune femme fut surprise de voir revenir Emilie peut apres discutant et limite se chamaillant elle fini par envoyer une choppe en pleine tete du mordu qui fut quelques instant sonner l'ex futur épouse sans alla et Mélyanna accouru aupres de Oddar prenant un chiffon propre qu'elle humidifia, puis posa la tête de son amant sur ses genoux et commenca a nettoyer sa plaie alors que le jeune la regardait sans bouger et lui demanda de l'embrasser, se que fit Melyanna la brune réapparu et resta figée de les voir ainsi sans se cacher, son visage dévaster par toute sorte de sentiments et reparti les larmes noyant ses joues


après de longue discutions et plusieurs jours en tête a tête Oddar retrouva rapidement le sourire dans les bras de sa blonde.
qui s'adoucit a vue d'oeil pour ceux qui la connaissaient.
au point que la blonde devint rapidement jalouse de celle qui approchaient d'un peu trop près celui qui partageait a présent sa couche tout les soir, il avait réussi a se faufiler et se faire une place importante dans son coeur jusqu'a un soir ou malgré une petite querelle d'amoureux des plus banale il lui demanda sa main se que bien sur elle accepta regrettant de devoir prendre la route le lendemain a l'aube.

Mais les amants devenu fiancé profitèrent de leur nuit comme rarement auparavant..
Mélyanna fini par prendre la route comme convenu pour rejoindre ses amis Serregill et Alphy a muret et ensuite continuer vers Auch avec bien sure son petit homme qui ne la quittait plus un seul instant.
arrivé sur place elle retrouva ne nombreuse personne qu'elle connaissait et certaine comme Queen la fit sourire cela lui faisait plaisir de la revoir.

Un soir une lettre lui parvins, son oddar qui lui manquait temps, prenait la route, il ne supportait pas être loin d'elle et avait décidé de venir l'épouser a Auch...
La jeune femme en fut heureuse mais se mit soudain a réfléchir qu'il lui fallait des témoin, une robe, enfin bref trop de chose dont elle ignorait tout.

La croqueuse décida de demander a son ami serregill de la marier vu qu'il en avait le droit, ensuite elle demanda a Alphy et Queen de l'aider a ressembler a une jeune femme.. Et encore plus dure a une futur mariée...
Se qui n'allait pas être de tout repos pour ses amies qui avaient heureusement pour elle du courage a revendre.

L'encapuchonnée passa vite grignoter quelques chose en taverne ayant un appétit d'ogre, puis se dirigea vers la tisserande la plus qualifiée de la ville et sans ménagement lui ordonna de lui faire une robe de mariée avec une cape.
La tisserande était pas du genre a se laisser faire mais la croqueuse ne se démonta pas et lui souligna bien l'obligation de la capuche...

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Alphy


Dans la chambre de Mélyanna le jour J

Elle avait été conviée… enfin en fait, elle ne lui avait pas demandé vraiment son avis mais la connaissant il aurait été étonnant du fait inverse.

Notre amitié avait bizarrement commencée, amitié ? Oui maintenant elle me fait une bise sur le front quand elle me voit.

L’encapuchonnée en Poitou avait voulu apprendre à me connaître, j’étais peut-être encore sa rivale, en tout cas celle qui avait pris sa place dans la vie de Serregill et dans son cœur je l’espère. Cette première rencontre éclaire en taverne était limpide, je ne devais en aucun cas faire du mal à « Serre » sinon j’aurai affaire à elle. Loin de la craindre, mon empathie avait plutôt pris le relais me disant qu’elle devait encore souffrir de la séparation. C’est pourquoi quelques temps plus tard, quand un appel au secours arriva du Limousin, il n’était pas question que je m’y oppose.

Cela fut ma véritable rencontre avec Mélyanna et dans quel état. Médecin depuis peu, je l’ai soigné physiquement mais j'ai aussi tâchée de la réconforter. Je l’ai vu si affaibli à Tulle à ce moment là, que je ne pouvais pas lui en vouloir de nous avoir dévié de notre but. Nous cherchions un lieu pour nous établir avec Serregill mais il y avait des priorités.

Nous avons repris la route, le calme est revenu. Mély est repartie de son côté et voilà qu’aujourd’hui, après encore une fois dévié de notre but, j’apprends que je dois l’aider à enfiler une robe de mariée.

Mély… mariée si vite… encore plus vite que la demande qui m’a été faite quelques temps auparavant par mon "terrible". Sans nulle doute, la connaissant, je savais que ses impulsions pouvaient la conduire vers de sombres histoires et j’espérais que cet Oddar dont je ne connaissais que le nom serait à la hauteur. Il aurait de nombreux fantômes à combattre sans le savoir peut-être.

C’est ainsi que me voilà à l’étage de l’auberge où s’est installée "la croqueuse". Elle est accompagnée de son fils adoptif et a dû récupérer sa petite Luna chez les nones. Cet entourage lui portera bonheur je l’espère. Je toque à la porte de la chambre.


Mély… c’est moi… Alphy …. Je viens t’aider... pour ta robe… Tu es là ?

J’allais devoir avoir de la patience pour la rendre domptable en ce grand jour mais j’avais une carte à jouer. Je l’avais connu si mal, j’espérais que toute sa confiance m’était accordée aujourd’hui.
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La_croqueuse
La blonde avait passé la journée a tourné en rond, elle avait trouver l'endroit ou elle voulait que le mariage ai lieu car elle se refusait de mettre les pied dans une église.
La robe était la posée sur le lit avec sa cape un baquet d'eau derrière un paravent d’où elle venait de sortir enroulée dans une serviette et enfiler un peignoir. Wely et Luna étaient la, ni l'un ni l'autre n'acceptait vraiment cette union, mais tout deux y seraient pour le bonheur de leur mère...
La jeune femme n'avait que très peu croisé son fiancé qui était arrivé tard dans la journée,
Elle ne cessait de grogner puis sursauta quand on frappa a sa porte, elle se dirigea vers celle ci en reconnaissant la vois de Alphy elle lui ouvrit et la tira doucement dans la chambre puis referma la porte derrière elle et lui embrassa le front

Merci Alphy.. Tu n'imagine pas comme je te suis reconnaissante d'accepter de m'aider...
Queen, une autre amie ne devrait plus tarder, deux avis vaut mieux qu'un.. et je la connais depuis aussi longtemps que serre.


Elle lui montra la robe et tout les accessoire tel que la cape et la capuche, qui accessoirement remplaçait le voile, ensuite les chaussure, la jarretière, dont elle ignorait encore a quoi cela servait et toute sorte de petit objet de torture qui servirait a la coiffé et la préparer a ce jour unique dans une vie.


Citation:


Lieu choisi pour se marier, au bord de la riviere hors de la ville de Auch:


Robe;


Jarretière:





La pénombre commençait déjà a obscurcir la pièce et la futur mariée alluma les chandelle pour garder la pièce suffisamment éclairée pour les préparatifs...
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Serregill
Je quitte la chambre de l’auberge que je partage avec Alphy en même temps qu’elle, lorsqu’elle se rend dans la chambre de Mely pour l’aider à se préparer pour ce soir. Il parait que même l’officiant n’a pas le droit d’assister aux préparatifs de la mariée… Première nouvelle. J’ai donc plusieurs heures à tuer avant la cérémonie.

Je profite de ce moment de tranquillité pour aller grignoter un morceau dans la salle de l’auberge, vide à cette heure, ou même le feu de la veille semble s’être endormi dans l’âtre. Déjà vêtu pour la cérémonie, d’un beau manteau de fourrure, souvenir d’un passage au Rouergue lors d’un hiver particulièrement difficile, ceint à la taille par une ceinture de cuire à laquelle pend mon épée. N’étant pas vraiment prêtre, je ne vois pas l’intérêt de m’en défaire.

Je reste un moment à réfléchir à ce qui va se passer. Je vais officier au mariage d’une amie, chose que je n’ai jamais faîtes, n’ayant même jamais assisté à un mariage de ma vie. La dernière fois que je suis entré dans une église, j’étais plus occupé à apprécier le ciselage sur le calice d’argent qu’à écouter les sermons du prêtre. Enfin, ça ne doit pas être bien compliqué… Marmonner quelques paroles incompréhensibles… Boire un verre de vin… Leur dire de se passer la bague au doigt… Un jeu d’enfant.

Je suis occupé à manger les restes du poulet cuit à la broche la veille au soir quand un pigeon entre par la fenêtre et se pose sur la table, un message accroché à la patte. Je m’empare du volatile (le vivant) et lit le court message qu’il transporte.


Citation:
Serregill, bonjour.
Sais-tu qui je suis? Ou plutôt, ne m'as-tu pas oublié?
Le nom d'Ezio te rappelle-t-il quelque chose? Sans doute...
Bref ca m'est égal.
Je ne t'ai pas oublié, Serregill, prépare toi, ta fin approche... Ton sang coulera...
Ezio.


Je soupire en froissant le parchemin et le jette dans l’âtre. Décidément, encore un qui veut ma peau. Entre la rouquine qui sera présente aujourd’hui, et lui qui veut me retrouver, le mariage risque d’être sacrément mouvementé. Prenant un morceau de parchemin et une plume, je prends le temps de lui répondre.

Après quelques échanges avec l’homme, j’apprends qu’il est en route… En route pour me trouver… Cela m’aurait presque amusé si Alphy n’était pas là. Je ne peux pas la mettre au courant pour le moment, n’ayant pas envie de l’inquiéter pour rien, et doutant encore de la véracité des dires de l’homme. Ramassant mes affaires, je fourre donc les lettres dans le fond de ma besace et quitte l’auberge, prenant la route de la rivière près de laquelle la cérémonie doit se dérouler.
Queen
« Il y a deux sortes de femmes :
Celles qui trompent leur mari...
Et celles qui disent que ce n'est pas vrai ! »

    Maurice Donnay



Encore un mariage. A croire que c’était la saison. Les mariages, c’était son dada, mais il ne fallait pas abusé des bonnes choses !
Cependant, cette fois-ci, on lui avait confié une mission très spéciale. La jeune rouquine s’était préparée pour aider à chercher une robe. Elle n’avait évidemment pas comprit que la robe avait déjà été choisis.
Toutefois, avant de faire son petit marché, elle été allé dans un endroit plutôt inattendu. L’Amarilys été sorti de la ville, pour se rendre dans une maison de charme, non loin. Pour ne pas trancher dans le paysage, elle avait revêtit une robe attachée par le cou, et serrée la taille par une fine chaine. Elle n’était que très rarement allée dans ce type d’endroit. A chaque fois pour la même chose.
Elle évita quelques courtisans, et s’approcha directement de la matrone. Cette dernière l’accueillit d’un sourire, et Queen lui exprima sa demande.

« Je veux voir les tenues de vos courtisanes. Je désire en acheter ».

La demande aurait pu paraître étrange, mais la tenancière de l’établissement, ne parût pas surprise. Elle détailla la rousse du regard, jusqu’à la bourse qui pendait à sa taille. Puis, la matrone entraina Queen à l’étage, dans une pièce remplie de placard, miroirs, et artifice en tout genre. La sans gêne ne tarda pas à ouvrir les armoires, et fouiller dans les affaires des prostituées. Les tenues allaient du plus sobre au plus excentrique. Une robe de satin rouge attira son regard. Le dos était entièrement nu, et tenu sur le haut qu’avec une chainette dorée, le devant présentait un col en V profond d’un tissu transparent et brillant. De la soie, certainement. La poitrine était tout de même encore un peu cachée par bustier couleur sanguin, et la jupe plissée, s’ouvrait sur a jambe gauche. Des jarretelles de soie accompagnaient la tenue. C’était tout à fait le genre de robe qu’elle espérait porter ELLE au mariage. La Peste la mit de côté, et continua sa recherche.

Trop blanc.
Trop transparent.
Trop fille sage.
Trop … Oulà !


En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, Queen avait mis la pièce sens dessus-dessous, sous le regard attentif de la gérante de la maison close. Elle cherchait la perle rare pour son amie l’encapuchonnée. Les genoux à terre, elle lançait par-dessus elle les robes qui l’indifféraient. Claquant les tiroirs en râlant quand rien ne lui convenait. Par-ci, par-là, elle mettait une houppelande de côté, qu’elle donnait au Macro.

« Bon, mémé, quand t’habilles tes filles pour genre… Un seigneur, tu leur fait plutôt porter quelque chose de classe, ou au contraire, qui ne laisse aucune place au doute de ce qu’elles sont ? »

Sous le tas de vêtement, la rouquine entendit un grommellage qui devait surement être la réponse.

« Moui, je me disais aussi que classe, c’est mieux. »

Autosatisfaction de la rouquine, elle attrapa une robe couleur champagne, aux manches ouvertes sur les épaules, et serrée à la taille, surplombée d’une partie d’une double épaisseur dorée sur la jupe. Elle balança une bourse bien remplis en direction de la tenancière, et quitta l’établissement avec ses deux robes sans remerciement quelconque.

Pas peu fière de ses achats, la rouquine qui avait passé une bonne partit de la journée au bordel, rentra en ville jusqu’à l’auberge où logeait l’encapuchonnée. Les mains prises, elle ne toqua pas à la porte, et l’ouvrit d’un coup de hanche.


« Melyyyyyyyyyyyyyyy ? Je suis làààààààààààààà ? T’es prêteeeeeeeeeeeeee ? J’ai une surprise pour touaaaaa »

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Alphy
Attirée dans la chambre et ayant reçu la bise frontale d’amitié, je fus surprise de voir les enfants renfrognés mais sages dans un coin. Je tâcherai d’aller les voir un peu plus tard mais pour l’instant je m’apprête à relever le défi… Faire de Mély une jeune mariée « adorable »

On attend ton amie, très bien…
De l’aide ne serait sans doute pas de trop.

Je m’approche de la couche où se trouve posés toute la tenue et quelques accessoires de coiffures.

Ça m’a l’air magnifique tout cela… Je peux commencer si tu le veux par te coiffer et relever tes cheveux assez hauts, nous verrons ensuite à les arranger sous ta cape… Volontairement, je n’avais pas dit capuche car ce mot était le seul rempart que beaucoup de monde connaissait et le seul aussi qui lui gâchait une partie de sa vie à mon avis.

Je l’attirai vers une chaise devant un grand miroir et lentement avec toute la douceur que je pouvais lui témoigner, je démêlais ses cheveux blonds. La lumière ne portait pas sur son visage et aucune marque ne pouvait s’y faire remarquer. J’eus même l’impression qu’elle aimait ce moment là, trop rare sans doute que quelqu’un s’occupe d’elle.

Les cheveux relevés en attente, je sortis de la pochette de cuir à ma taille un petit flacon d’huile, j’en disposais quelques gouttes dans mes mains et l’appliqua sur les cheveux pour les rendre brillants et un peu sur la nuque et le cou. Son doux parfum associé à un moment de détente lui serait bénéfique, je l’espérais pour qu’elle prenne cette journée unique en toute sérénité.


Je remarquais alors quelques changements sous mes mains. La jeune blonde avait pris un peu de poids. Il faut dire que la dernière fois, elle était si mal mais, sans vouloir être impudique, je m’aperçus aussi que sous la serviette qui l’entourait sa poitrine avait aussi pris de l’ampleur et quelques signes au niveau du cou finirent par me faire lui demander à l’oreille

Dis moi… tu as repris des forces depuis notre dernière entrevue, est-ce que l’amour t’as donné le même appétit que moi ?

Je savais que si les enfants écoutaient cette conversation, ils ne comprendraient pas mais Mély si… et je n’eus pas le temps d’avoir la réponse car la porte s’ouvrit d’un coup par une furie rousse qui se mit à crier.

Oh… Euh… Elle est là… elle est prête oui à avoir votre avis… Surprise elle ne s’était pas présentée mais laissait le temps à Mély de le faire.
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La_croqueuse
La blonde se laissa guider par son amie et sourit appréciant cette instant que toute femmes normale connaissait un petit moment entre amies a se pomponner, et discuter tranquillement, quelques frissons la parcoururent quand Alphy la coiffa avec douceur puis La croqueuse fronça les sourcil a la question de la brune et n'eut guère le temps de répondre que déjà la tornade entrait dans sa chambre se qui la fit sourire.

bonsoir Queen, je suis la...

La jeune femme se dit qu'elle ne la reconnaitrait peut être pas ainsi enroulée dans sa serviette et coiffée.
La blonde se demandais quel était la surprise de son amie se souvenant avoir parler avec elle en taverne puis la regarda avec deux morceaux de tissus dans les mains et grimaça se disant qu'elle n'avait pas osez aller voir des courtisane comme elle avait dis un peu plus tôt en taverne...


une surprise...? j'aime pas trop les surprise Queen ... qu'est ce donc?

Elle se leva et vint lui faire une bise sur le front

Merci d'être la Queen

La jeune mariée se recula jusqu’à la fenêtre et soupira cherchant du regard la louve a qui elle avait écrit pour l'invité car elle savait lui être redevable d'un coté.
elle se perdit dans ses pensée puis se retourna soudain et sourit a Alphy...


Au faite Alphy je te présente Queen une amie rencontrée en Rouergue euh... il y a longtemps..

Melyanna se retint de justesse de nommé Serregill et sourit style de rien et changea rapidement de sujet

et pour répondre a ta question Alphy euh en effet je mange plus mais... Tu crois que cela peu être sa... déjà...

Elle grimace un peu repensant a sa dernière grossesse avec crainte puis son visage se détendit un sourire étirant ses lèvres pensant a la joie de Oddar si elle était vraiment enceinte...

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Oddar
Oddar, tout juste arrivé de ses quelques jours de voyage, rentra dans une auberge. Il se dirigea vers l'aubergiste, un petit monsieur qui ne semblait pas avoir un jour connu la faim. Il écrasa une bourse sur le comptoir, faisant claquer le métal de son gantelet contre le bois du meuble.

"Je veux votre meilleur chambre, qu'importe le prix. La plus grande, la plus belle, la plus luxueuse que vous avez..."

"J'vois, j'ai bien la chambre habituellement réservée aux nobles de passage de libre mais..."

L'aubergiste secoua doucement la bourse d'écus pour la peser en grimaçant.
Oddar grogna doucement, une manie que lui avait refilé sa promise, et lui lança un regard plus glaçant que jamais... Il ne pouvait signifier qu'une chose : Ôse me dire non et tu rejoindras Aristote dans les cieux. L'aubergiste eu un frisson et ronchonna doucement

"Mais... Eu... J'ferai une exception pour vous..."

"Je veux que le lit soit recouvert de pétales de rose, et que les tables soient dressées... J'veux un buffet tellement beau et fournit que le roi lui même le jalousera !"

"Hum... Bien messire... Voi... Voici, la clé de la chambre..."

Oddar lui arracha la clé des mains et se dirigea vers le couloir. La porte de sa chambre était la seule décorée, il l'ouvrit, visita rapidement les lieux avant se diriger vers la salle d'eau où il prit un bon bain... Il ferma ses yeux, profitant du calme, de la température de l'eau et de ses massages. Il tomba rapidement dans un profond sommeil, épuisé par son voyage.
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Kachina
"Je veux que le lit soit recouvert de pétales de rose, et que les tables soient dressées... J'veux un buffet tellement beau et fournit que le roi lui même le jalousera !"

Elle était là quand Oddar avait lancé ses exigences. Elle était là, parce que l'Encapuchonnée comme elle l'appelait l'avait invitée. Et elle l'aimait bien, avec ses airs de vouloir mordre tous ceux qui passaient à sa portée. Cachant ses failles et ses galères sous la capuche.
Et puis de toute façon , elle n'avait pour l'instant rien d'autre à faire .
Et parce qu'à un mariage, il y a du monde. Quelqu'un peut-être aurait eu vent d'un tableau qui trainerait dans le coin.

Bottes crottées, tignasse emmêlée, et jupes froissées, la Brune n'était pas prête pour se rendre à la cérémonie. Il lui fallait déjà un baquet d'eau chaude pour se débarrasser de la poussière récoltée au cours du chemin. Un baquet, et de quoi calmer sa faim. Son estomac lui rappelait qu'elle n'avait rien avalé depuis la veille.

C'est pourquoi, elle était entrée dans la première auberge du coin, prenant place à une table, dans un coin tranquille. Elle ne souhaitait pas être dérangée par le premier venu. Elle avait filé quelques pièces à un mioche, qui pour la peine surveillait l'étalon attaché à l'anneau dans le mur.
Elle était là, devant une soupe à moitié froide et sans saveur aucune, à se demander pourquoi elle s'était fourrée dans un tel pétrin.
Assister à un mariage.....
Vous savez, ce genre de truc où on se sent obligée de glisser quelques fleurs dans ses cheveux , cheveux disciplinés pour l'occasion dans une coiffure digne de la dernière des dindes et de porter corset et collier de perles.
Une grimace déforma ses traits fins à cette idée et elle marmonna pour elle même :


- Plutôt crever !

Ses doigts fins reposèrent la cuillère et vinrent jouer avec une pièce qu'elle avait au fond d'une poche, et elle songea :

- Pile, je fais demi tour ! Face, j'y vais !

Et c'est là, à cet instant qu'elle assista à l'arrivée d'Oddar. Sa bouche esquissa un sourire quand elle l'entendit menacer l'aubergiste des pires sévices s'il ne le contentait pas. Le bougre n'avait pas changé.
Mais le sourire de la Brune se changea en une moue dépitée quand elle l'entendit parler de roses........Elle étouffa un nouveau juron avant de voir le jeune homme grimper à l'étage :


- Foutre Dieu ! Des pétales de roses.......

Nan mais, parce que franchement, vous avez déjà essayé, vous, de faire l'amour sur un lit de pétales de roses ?
Rien que la couleur refroidit déjà vos ardeurs, à moins de choisir des roses rouges.......
Imaginez, vous êtes là dans ses bras, chaude et frémissante, les sens en émoi. Et lui, ivre de désir , vient déjà de déchirer cette foutue robe qui vous a coûté des jours et des jours à casser des cailloux à la carrière de pierre.......C'est connu , les hommes ne connaissent pas le prix des choses....
Bon, avouez que vous aimez ça, cet empressement qui prouve qu'il n'en peut plus, qu'il vous veut sans attendre....parce que vous êtes tout simplement sublime...

Bref, les roses sont roses, la robe déchirée et là, il vous pousse sur le lit, impatient et prêt à vous faire grimper aux rideaux ou toucher les étoiles, c'est selon.

Avec un peu de chance, les pétales sont encore trempées de la rosée du matin. C'est froid et ça colle à la peau. Et si vraiment vous êtes en veine, il y a, là où vous posez vos jolies fesses, celles à la vue desquelles votre Tendre se transforme en satyre en rut...........
Là où vous posez votre tendre séant, disais-je, possible qu'il y ait sur une des pétales un limaçon ou autre bestiole......genre araignée ou chenille.

Et alors tout bascule.....
A cet instant, vous regrettez la table de l'auberge, le vin renversé sur les plans de la ville qu'ensembles vous projetiez de piller, le bois rugueux de la poutre contre laquelle, il vous prenait avant les épousailles .
Vous regrettez d'avoir dit oui........
Et vous devenez une épouse docile et frigide, avec une foutue migraine qui ne vous quittera plus chaque fois que vous respirerez le parfum des roses.....Roses qu'il vous offrira bien sûr chaque fois qu'il aura envie d'une soirée batifole....

Nan ?

Faudra un jour quand même que les hommes apprennent ce qu'aiment les femmes.....

La Louve repousse son écuelle, l'appétit définitivement coupé, lance la pièce et grimace.

Face...Elle est foutue......
Sermon du curé, quête à la messe, et larmes sur les joues des pucelles du coin. Regards énamourés des tourtereaux et sourire de la Croqueuse qui ne sait pas encore pour les roses......

La Louve , avec un soupir repousse d'un geste agacé une mèche qui vient lui chatouiller la joue, la recale derrière son oreille et s'étire en murmurant :


- Oddar, des pétales de roses...........Le Jok me fait ça , je me sauve en courant, moi !

Allez.......L'heure presse......Elle prend la clé que lui a confié le tavernier à son arrivée, gravit les marches qui mènent à la chambre n°3 et file se préparer. Quand faut y aller, faut y aller......Non ?

Et naturellement, Boulvay a encore trouvé moyen de se défiler pour ce coup là......" Je ne te quitterai jamais ma Louve qu'il disait....., je serait toujours à tes côtés..... Ouais, ouais !!! Et en plus, il lui offre jamais de roses...Didiou !

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Oddar
Oddar ouvrit les yeux, constatant que le soleil commençait à se coucher. Son eau s'était pas mal refroidie, il en sortit la peau moite. Il se dirigea vers une malle dans laquelle était rangé ses achats. Des vêtements ! Des vêtements en tissus ! Il grimaça à l'idée d'enfiler autre chose que son armure qu'il ne quittait plus depuis des mois. Il s'habilla rapidement et s'empressa de se regarder dans un miroir. Il était plutôt élégant, couplé à son charme naturel aucune femme célibataire n'aurait pu lui résister... Tant pis pour ces dames, l'homme était déjà follement épris d'une ravissante créature qui malgré ses nombreuses cicatrices avait su lui plaire. Cette femme... Pour une raison obscure le comprenait... Elle comprenait ses désirs, ses besoins... Melyanna l'a soutenu, et même réconforter. Sans elle, surement serait-il toujours avec Emilie et malheureux, souffrant des conflits incessants que leur union engendrait.

Il sortit de la taverne, droit comme un piquet, fier comme à son habitude et se dirigea vers la sortie de la ville. Sa belle avait organisé la cérémonie à la lisière de la forêt, le long de la rivière. Il s'arrêta en chemin pour récolter quelques jolies fleurs des champs, il savait que les bouquets lui faisaient plaisir ce n'était pas le premier qu'il lui offrait. Il traversa un bout de forêt, se dirigeant droit vers la rivière. Le reflet des dernières lueurs du jour se reflétait dans l'eau. La lumière s'estompait en même temps que sa liberté qu'il offrait volontiers à Melyanna. Se lier à une femme... Ce n'était que des mots, un rêve lointain... Mais un rêve dont il s'approchait à chaque pas. Si un quelconque passant aurait croisé sa route, il aurait rapidement lu en lui son enthousiasme grandissant.

Il était le premier arrivé sur la berge. Attendre... C'était la seule chose qu'il lui restait à faire. Il fixait son reflet, l'air rêveur... Essayant d'imaginer sa promise dans sa robe de mariée.
Queen
Un coup de hanche et la porte valdingue déjà, faisant certainement trembler quelques murs. La furie –Puisqu’il paraît que c’est un surnom que les gens affectionnent – débarqua dans la pièce, tout sourire. Ses achats la comblaient parfaitement. Ah, une vraie femme que celle-ci. Et dire qu’il y a un an encore, il fallait la forcé pour la faire s’habillé convenablement. Maintenant, elle ne jurait que par les grands couturiers de Paris, et se tenait informé des modes. Pas noble, mais bien assez riche pour se le permettre.

La rouquine jeta un coup d’œil oblique sur la chambre. Jusqu’à tomber sur la robe qui était posé sur un fauteuil.


« Eh merdeuuuuh ! »!

Après un bref raclement de gorge, elle décrocha son regard de la tenue de cérémonie et se rendit compte que l’encapuchonnée lui causait.

« Une surprise ? J’ai dit ça moi ? Que nenni ! »

Eh hop, Queenie, tu as gagné une tenue de noce si jamais tu rencontres un bel inconnu qui décide de te faire la fête, pendant la fête. La rouquine adressa un rapide sourire à Alphy. La peste restait surtout surexcitée. Les mariages, vous l’aurez compris à force, c’était son pêché mignon - Entre plein d’autre –. Faute d’avoir réussi le sien, elle prenait un malin plaisir à gâcher celui des autres. Enfin. Peut-être que celui de Mely restera une exception… Ou pas.

Mely était plutôt une jolie femme, sans sa cape, et bien pomponnée. Elle avait l’air simple, et à portée des autres. La rousse plissa le nez quand la blonde vint lui baiser le front. Elle haussa un sourcil, puis finalement, abandonna de commenter cela. On ne pouvait pas être méchante sur tout.

La nuit était tombée. Etrange idée que de se marier pendant la nuit d’ailleurs. Cela apporte un avantage au moins, dans le noir, on ne voit pas si vous dormez ou pas. Ou encore on ne voit si vous êtes toujours là, ou si vous êtes partit vous faire con-fesser.
Un instant, en regardant Mely, Queen se remémora son propre mariage. Enfin plus ou moins, avant de se faire passer l’anneau, elle était dans une chambre d’auberge, avec deux personnes, tout pareil, sauf qu’eux étaient de la gente masculine, et l’aidait plus à se déshabillait qu’à s’habiller. Enfin, on en est pas loin.

La remarque d’Alphy sur la taille de la blonde fit sourire Queen. Ah les femmes, que des pestes entre-elles. Mais Queen encore plus.

« Vous êtes certaine de pouvoir rentrer dans la robe ? Parce que s’il faut refaire des points de couture, ne comptez pas sur moi, tout ce que je sais faire avec les aiguilles, c’est crever des yeux, et scarifier. Pas d’une grande utilité ici. »

La rousse se demandait encore pourquoi Melyanna avait demandé à ce qu’elle soit présente pendant les préparatifs. La robe avait déjà été choisi, donc ce n’était pas les goûts prononcé de Queen pour la mode qui avait été requis. Elle espérait surtout que la blondasse ne lui pose pas de question sur le comment satisfaire son époux pendant la nuit de noce, elle ne pipera mot. – Pipera … Oké, je sors –
Puis t’façon Queen n’était pas mariée au final, donc elle ne savait pas. Ca n’était pas considéré comme une nuit de noce. Oh et puis là n’est pas le sujet !


« Bon, qu’est-ce que je dois faire ? »

Puis elle se ravisa quelque peu.

« Je préviens, je ne lave pas, je ne bariole pas d’artifice, je ne parfume pas, je ne coiffe pas, je ne mets pas les chaussures et encore moins la jarretière.» Voilà qui était dit.

Quoi ? Il faut quand même qu’elle se prépare elle aussi !

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La_croqueuse
La blonde préparée et coiffée se regardait puis regardait la robe puis ses amies et grogna..

La robe a été faites sur mesure il y a même pas deux jours... Je ne suis pas si grosse que sa au point de devoir en changer

La jeune femme se passe la main sur le ventre avec une pointe de curiosité mais jeta un œil a sa fille et son fils adoptif du coin de l’œil qui regardaient par la fenêtre puis vit Wely sauter de joie et sortir en courant de la chambre après avoir vu la louve arriver.
Melyanna reporta son regard sur ses amies


Bon je ne sais pas comment on mets se genre de tenue... la j'ai besoin d'un peu d'aide

La croqueuse sourit au dire de Queen a qui elle avait surtout demander de venir pour être certaine de pas s'ennuyer pendant son propre mariage ayant toujours la remarque donnant le sourire lorsqu'il y a un blanc ou que tout le monde s'endort.

Je sens que je vais être en retard a mon propre mariage... Alphy je peux compter sur ta charrette pour arriver jusqu’à la rivière sans que je tâche la robe...
Se serait dommage de la tacher avant... après je m'en moque mais avant...


La futur mariée sourit un peu se demandant se qui lui prend de se lancer dans une tel aventure... Elle ... La croqueuse..mariée... Qui y aurait cru ...
Elle se perdit dans ses pensées se laissant faire et écoutant les bardage de ses amies et surtout de la rouquine qui n'avait jamais sa langue dans sa poche...

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Alphy
Elle n’aurait pas de coup de main de la rousse, soit, elle se dit que de toutes façons, médecin, elle serait à même de déshabiller et habiller de nombreuses personnes et puis Mély, elle l’avait déjà soignée. La jeune encapuchonnée semblait ne plus être effarouchée alors elle se débrouillerait.

Voilà je vais t’aider… tu mets déjà la chemise de coton blanc, ensuite je vais me débrouiller pour… le bustier… non tu n’as pas grossi, enfin… tu t’es un peu… féminisée à certains endroits rajoute-t-elle en souriant. Ensuite elle continua par le jupon puis la robe d’un beau violet satiné et par-dessus le tout, une sorte de long manteau blanc à capuche donnant au tout, une très belle allure.

En retard nous ? Mais non… juste le temps de faire quelques boucles jolies de tes cheveux qui sortiront de cette capuche et voilà…

Fière d’elle, Alphy se recula légèrement pour regarder Mélyanna… Tu es très belle ainsi et bien sûr ma Brume sera idéale pour tirer la charrette qui nous emmènera, elle a le pas sûr.

Elle regarda la rousse. Je pense que vous pourrez aussi prendre place, pour ne pas gâcher votre toilette. Elle regarda Queen un moment. Vous avez besoin d’aide vous aussi ? Moi je suis prête, je n’ai pas de belle tenue à me mettre mais je tiens à la seule dans laquelle, je rentre sans problème. Elle pensa intérieurement que de toutes façons, il ferait nuit.

Nous ne devons pas trop faire patienter le futur époux, faudrait pas qu’il se sauve finit-elle par rajouter en riant puis elle sortit un moment pour demander à un gamin de l’auberge d’aller prévenir Serregill, il leur fallait la charrette et Brume attelée devant l’auberge puis revint dans la chambre.

Besoin de quelque chose d’autre ? Ah… la jarretière… j’allais oublier. Bon la nuit… je ne sais pas qui aura la vue aiguisée pour aller l’enlever se mit-elle à rire de nouveau. La fanfreluche installée.

Je pense que nous pouvons descendre et attendre dans la grande salle que la charrette soit avancée non ?
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Queen
La rousse n’avait aucune intention de donner un coup de main. Comme beaucoup ne cessait de lui répéter, elle n’était pas aimable, pas gentille et encore moins serviable. Si elle n’avait pas promis à la mioche qu’elle ne s’enfumerait plus l’esprit avec ces herbes, Queen se serait jeter sur le lit, pipe à la bouche, et aurait attendu que tout ce fasse.
Cependant, elle avait eu autre chose à faire pendant que la mariée se préparer. Il fallait qu’elle se prépare elle.
Et c’était déjà assez compliqué…

Elle posa la robe de satin sur le lit. Elle jeta un coup d’œil, et la Peste se demanda comme une robe avec si peu de tissu pouvait coûter aussi cher. Pas de tissus dans le dos, un décolleté profond… C’était de l’arnaque en fait. Mais, c’était si beau ! Et Queen avait les moyens, après tout…
La jeune femme n’était pas très grosse, mais n’en était pas rachitique non plus. Elle avait les formes où il fallait, et la robe les épousa parfaitement. Le bordeaux de sa tenue faisait ressortir sa rousseur. Elle tressa simplement ses cheveux qu’elle laissa en arrière. Avec le dos nu et le décolleté, on aurait presque pu croire qu’il n’y avait qu’une jupe. Fort heureusement, tout cela était retenu par de la soie blanche légèrement transparente et un bustier assorti. Elle n’était pas pudique, c’était déjà ramené à moitié nue à un mariage, mais il n’y avait que des amis. Alors que là…

Queen avait fini de se pomponner plus ou moins en même temps que Mely. Alphy proposa de lui faire prendre une charrette. Pouha, pas assez classe pour Queen.


« -Je vous rejoindrai. »

Peut-être.

En attendant, Queen sortit de la pièce. Elle se les caillait habillé comme cela, et elle évitera les tavernes mal fréquenté où l’on risquera de lui déchirer ses beaux vêtements. Elle opta pour aller boire un verre ou deux… Ou plus… Dans une auberge bien éclairée. Elle avait enfilé une cape épaisse pour se tenir chaud. Ou pour vomir dessus si elle buvait trop.





Elle se réveilla avec un mal de crâne épouvantable. Première réaction vérifié qu’elle était toujours habillé.
Oui.
Ça, c’était bon. Vu l’décor… Elle était… Dans une forêt ? Berdol !
Elle se releva, et vit la trace que son corps avait faite dans l’herbe. Il n’y avait qu’une seule trace.
Ouf, déjà, elle ne s’était pas tapé le marier.

« -Bon, a en juger de l’endroit… J’dirais qu’on est pas loin du bled où ils voulaient se marier… Il fait toujours nuit, j’espère qu’j’ai pas raté la cérémonie… »

Et la rousse se mit en route.
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La Croqueuse, incarné par Serregill
La blonde écouta et regarda la rouquine filer dans sa tenue bien plus qu'aguichante et leva les yeux au ciel sachant qu'on ne l'a changera jamais après tout... c'est Queen...
Ensuite elle regarda Alphy et lui sourit


Tu ne te change pas?
Si tu veux il doit encore me rester quelques robe qui devraient aller malgré tes jolies rondeurs qui commence a apparaitre..


Elle lui sourit a nouveau la laissant faire son choix de se changer et l'aider a se préparer si elle acceptait son aide ou pas...
La blonde prit la main de sa fille qui avait décidé de s'habillé d'une longue robe blanche et d'une jolie cape assortie puis ouvrit la porte et sorti suivie de Alphy.


allons y, il serait peut être temps, avant qu'il ni ai un meurtre...


La croqueuse pensait a la rouquine qui voulait toujours la tête de serregill et qui ignorait encore qui il était...
au bout d'un moment elle finit par voir la charrette de Alphy et y fit monter sa fille et la suivit regardant derriere et soupira ne voyant pas son fils revenu et se esperant que kachi arriverait a lui faire entendre raison.

C'est ainsi qu'elles prirent le chemin de l'endroit qu'avait choisi la capuche pour officialisé avec son Oddar...


Posté à la demande de la JD de La Croqueuse
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