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(Rp) Bureau de Dénonciation

Stronghold
P'tite précision, Sir...?!
La sentence s'appliquera-t-elle aussi aux poils de cul ou vous contenterez vous de ceux qui se trouvent sur la tête ?


Stronghold leva les yeux vers celle qui l'apostrophait. Celle-ci était perchée sur un toit , encore une , mais c'est une manie dans ce pays?! Justice réfléchit donc deux secondes au terrible problème existentiel que la femme venait de lui donner afin de taper de son marteau sur la table et de dire

Par respect pour l'intimité de la victime , car nous ne sommes après tout pas de gros pervers de nobles, les poils de cul ne seront pas rasés sauf en cas de récidive...Maintenant si vous tenez vraiment a me montrer votre ravissant derrière et a ce que je m'en occupe , il suffit de demander Donà! Pas besoin d’enfreindre la loi!

C'est à ce moment là que Maodun fit son apparition dans le bureau de dénonciation , après avoir assommé quelques normands au passage, politesse oblige... Celui-ci avait ramené des champignons dont ils firent la dégustation en attendant de nouvelles dénonciations! Stronghold hocha la tête avant de donner son soutien à la proposition de son ami

Bon bah soit , si y'en a un qui fait chier on l'enverra cueillir des champignons! Autant qu'il soit utile hein! Non parce que à part se révolter tout seul avec une pelle ou défendre le pouvoir a Fecamp alors qu'il n'y a pas d'attaque sont pas forts actifs les Normands!

C'est à ce moment là que Stronghold releva la tête vers la charmante Normande perchée sur le toit et qu'il reconnut sur son épaule LA chouette maudite! Il se leva et saisit une arbalète en rugissant!

La Chouette! 100 écus à celui qui abattra cette maudite chouette!
Anna_clara
Je souris, l'oeil moqueur, appuyée contre le mur. Grasces soient rendues à Aristote, je n'ai pas la pilosité aussi développée que ces "nouvelles normandes" qui ont "libéré" nos terres, Sir. Pas qu'elle m'aient montré leurs fonds de culotte - j'ai une nature craintive - mais les nids d'oiseaux aperçus sous leurs bras ont suffi à me faire une idée de la faune qui pouvait se trouver plus bas... Je croquai une nouvelle fois dans ma pomme en souriant. Vous serez donc heureux de vous épargner la peine de vous occuper de mon derrière, ravissant, il est vrai...

J'écoutai la suite des sentences prononcées lorsque tout à coup, l'homme s'écria en brandissant son arbalète :

Citation:
La Chouette! 100 écus à celui qui abattra cette maudite chouette!


Je sursautai, levai la tête en direction d'Aria, que je vis battre des ailes dans un mouvement paniqué... C'était jamais bon, quand elle paniquait... Jamais...

La bonne journée, Sir... Je m'éclipsai avant que ne survienne un drame...
Aria.la.chouette
La chouette battit des ailes, affolée par les cris de l'homme, qui de surcroît pointait son arbalète vers elle. Elle vit Anna jeter sa pomme, puis s'en aller d'un pas pressé, visiblement inquiète. Ce geste la terrifia : c'est qu'elle n'avait pas l'habitude de voir sa maitresse partir de cette manière, et associa aussitôt ce fait aux gesticulations de l'individu, avec son manche dans la main.

Rassemblant le peu de courage qu'elle avait, elle se décida donc à tenter le tout pour le tout pour sauver celle qui la fournissait en calva, fut-il de Dieppe, et se jeta du haut du toit, dans un mouvement réflexe, pour attaquer Stronghold.

Son vol bancal, l'amena à tournoyer au dessus de l'homme. Elle se figura, héroïque, lui crevant ses yeux de ses serres, les arrachant de son bec... lorsque... hélas... ses boyaux en vrac la lâchèrent. Elle sentit un drôle de gargouillis, à l'intérieur... Vite, vite !! Fallait qu'elle se pose !!!

Et de là où elle était, elle n'avait pas super le choix... Elle tomba quasiment sur la tête de Stronghold, aggrippant ses serres dans ses cheveux pour se maintenir stable. Là, sur ce promontoire, ses yeux se plissèrent dans le même temps, lui donnant l'air de pousser...

Mais en réalité... Nul besoin d'intention... Tout partit sans qu'elle puisse rien retenir. Elle déféqua comme jamais, prise de colique... Ses boyaux ravagés ne pouvant contenir le résultat d'une digestion rendue difficile par son alcoolisme notoire. Les restes de rat putréfiés et autres charognes dont elle se contentait en raison de son extrême paresse finirent comme ça, dégoulinant de manière absolument immonde sur Stronghold.

Pas à dire, cette chouette était vraiment un boulet... Beurk...

Caliana
Adossée contre un mur, les bras croisés, son regard errait sur le spectacle qui se déroulait devant elle..Le bureau des dénonciations.
L'excentrique eu un léger sourire sur les lèvres, toute cette agitation l'amusait, certes la ville était rempli de Fatum, mais certain était plutôt agréable, même sympathique. La blonde avait pu en croiser et parler avec histoire de comprendre ce qui les poussaient à faire ça...Leur cause était...Justifiable, compréhensible peut-être. La blonde n'était pas du genre à jeté la pierre et juger simplement à cause d'une activité, d'un clan...

Et, si d'autres réagissait comme elle, tous cela ne se passerait certainement pas ainsi. Mais elle pouvait comprendre, ils aimaient leur duché, leurs villes...Elle n'était là que depuis deux mois, peut-être plus...Elle n'était donc pas attacher à ce duché comme certain pouvait l'être.
Malgré tout, elle aimait cette animation, il manquait peut-être un peu de baston en taverne...Mais bon, on ne peux pas tous avoir. Les auberges étaient presque toute rempli les soirs, et c'était déjà pas mal. Fatum...C'était la principale discutions du moment, certains allait parler avec eux, la blondinette en faisant partit et d'autres...Leur crachait littéralement dessus. Et si ce n'était pas de Fatum qu'on parlait en taverne, c'était de stratégie. Ou..Peut-être de l'homme qui s'était déplacé jusqu'ici...Un brun..Comment on l'appelle déjà..S'avez un grand truc avec une couronne sur la tête..Hum..Ah ! Le roy !
Est-ce qu'il sera vraiment utile ? Hum..Pas sûre mais bon...Ça l'occupe un peu de venir ici pour faire comme si il était intéressé par ce qu'il se passait dans ce duché. Et, ça donne bonne figure surtout.

Les yeux de la jeune femme se levèrent vers une chouette et une femme mangeant une pomme...Haussement de sourcil, qu'est ce qu'une chouette foutait dehors le jour ? Si même les rapaces si mettaient...

La main posé sur le pommeau de son épée, appuyé nonchalamment dessus, la blonde regarda la scène, perplexe ou...Blasé. P't'être les deux...

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Princepatrick


L’homme entra dans le bureau le xiphos séleucide en main pour parer à toute éventualité. Il venait dénoncer la traîtrise de cette harde de fainéant, pouilleux qui avait pris possession de Normandie et pire encore, ce qui avait déclenché sa colère, investir le port d’Avranches.

A la vue du garde :


Toi si tu bouges, je te fends en deux ! Va me chercher le guignol qui commande ici.

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Mabelle
La dieppoise s'ennuyait à mourir. Rouen était déserte...quelle poisse d'être coincée ici, elle ne pouvait même pas chatouiller de l'épée tandis que d'autres qui ne savaient même pas tenir un godet étaient admis dans des lances ! On aura tout vu décidément...
A peine sortie du couvent qu'elle se retrouvait au sein d'une animation quelque peu, distrayante... enfin ! Elle en aurait presque remercier les assaillants ! Parce qu'il fallait bien le dire, Mabelle se demandait bien où était passée sa Normandie ?
Jean disparu depuis bientôt cinq mois, sa famille éparpillée entre champs et couvent, et son village qui ne ressemblait plus qu'à un hameau désert. Depuis des mois,elle ne reconnaissait plus grand chose la normande : les gens occupés avec eux mêmes, atteints d'un étrange phénomène de troubles de la mémoire, voire même sourds ! Le mieux reste en taverne ! N'avoir aucun retour aux questions posées ou même simplement aux propos des conversations, de guerre lasse, se taire et siroter en silence son calva, et en retour avoir le culot d'être vexé parce qu'on ne parle plus ! A se taper la tête contre les pichets !

La bonne idée que d'aller rejoindre sa cousine à Rouen ! Juste le jour précédent la prise de la ville ! Et bien évidemment on n'a pas jugé utile de prévenir, mais en revanche, qu'est ce que l'on juge ! Ah oui pour juger, ils étaient doués les normands !
C'est avec une lassitude à faire pleurer un fossoyeur, qu'elle trainait ses bottes dans les rues, songeuse et dépitée mais avec des envies grandissantes de voyage. Extirpée de ses pensées par une agitation soudaine, elle leva le bout de son nez pour découvrir le bureau des dénonciations. Ah enfin un peu de vie !
Discrète comme elle avait appris à le faire du temps où elle était 009, elle s'installa dans un recoin en vérifiant ses bases "On m'voit, on m'voit pas...on m'voit ? on m'voit pas !".
Quel ne fut son étonnement de constater tous ces gens qui avaient à se plaindre ! Elle reconnaissait le juge, qu'elle avait croisé en taverne. A ce moment elle eut un doute. Peut être qu'elle même serait dénoncée puisqu'on avait douté de sa probité envers sa contrée ?! Ah mais non puisque nous n'étions pas au tribunal normand ! Son tour viendrait peut être plus tard !
En revanche, les affaires qui défilaient l'amusaient grandement !

Et une idée prit forme dans son esprit ; depuis des années qu'elle supportait les railleries de tous ses soi disant compatriotes à propos du calva dieppois, elle se demandait si ce n'était pas le moment de dénoncer tous les normands qui n'étaient pas dieppois !
Ses racines normandes la malmenaient toutefois avec ses inlassables "p'têt ben qu'oui, p'têt ben qu'non !"
Au moins les forbans, eux, ils l'ont avalé sans le recracher son calva ! Ils l'ont même apprécié ! C'est dire l'estime qu'elle leur portait rien que pour cela ! Ben oui, des années de maltraitance, c'était lourd de conséquences pour la triple veuve ! Lasse d'être prise pour sa gourde la Mabelle ! Ils étaient où tous ces railleurs lors de la prise du château, lors des combats contre les ennemis voisins, lors des prises d'otages où les champs non plus dorés par les blés, étaient rouges comme les flammes de l'enfer ? Et après on se permet de juger !
Si son intégrité n'était pas sa première qualité, il en fallait de peu pour qu'elle passe du côté obscur, était il si sombre que cela d'ailleurs... ?

Un long soupir de découragement, elle resta plantée là, Brennus à ses côtés, dans l'ombre, comme toujours...
Ah tiens ! Une nouvelle intervention ! Mabelle observa le nouvel arrivant puis leva les yeux au ciel en secouant la tête, la suite semblait prometteuse de distraction !

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La_blonde_lorraine
Gribouille bien que loin de la Normandie avait eu de l'invasion de celle-ci et surtout du bureau des dénonciations.

Et là comme par magie , le cerveau de la blonde ne fit qu'un tour !! depuis le temps qu'elle cherchait à mettre la main sur le l'héritage de son mari , l'occasion était trop belle et comme elle était en Empire on risquait pas de la soupçonner.

Elle prit donc plume et parchemin et de sa plus belle écriture rédigeât sa missive.



Messire,

je viens par le présente dénoncer Messire Maître_Aupyl comme traître!!!
En effet , le bateau de ce mécréant recèle de tous les trésors que vous n'avez point trouver en la mairie de fécamp et je ne parle pas non plus des richesses qu'il a ramener du sud pour cette même mairie.
Sans compter qu'il compte filer à l'anglaise chez les anglois afin de tout cacher !
Je vous somme donc pour le bien de tous de le torturer et de brûler vif ou au mieux l'écarteler!
messire je compte sur vous pour que justice sois faite !
vive fatum !!! et vive vous !


Elle accrocha sa missive à une patte de pigeon , l'envoya et alla fêter son futur veuvage en taverne .
--Une_simple_paysanne
La simple paysanne avait bien du mal à en placer une, faut dire que ça défilait dans le coin. Même qu'elle reconnut celle qui se renseignait de détail de la sentence.
Rasé, les poils ou pas, les champignons, la récompense et le bonhomme qui vociférait de pas bouger, une qui guettait on ne sait quoi et ça continuait sans cesse. La pauvre paysanne, était toute embrouillée, fallait qu'elle fasse le tri des informations.


Eurf ! Dites, ça ira oui ? J'peux dire merci à Justice. Attendez vot' tour, nondidiou !

Reprenant sa place dans les rangs, la simple paysanne tapota sur le bras de Stronghold pour attirer son attention.

J'dis pas d'nom, ça sert à rien, l'est déjà en procès, mais la dame de la chouette chieuse ben elle est son amie. J'dis ça, j'is rien, hein !
Mais votre sentence m'plait bien , rasé l'D.. oups le coupable ce serait jouissif, comme qui disent les nobliaux. Le problème qu'c'est que j'l'ai pas sous la main, le pleutre.

Pis m'appler pas Donà ? Moi ? Donà ? bah non, j'suis juste rien.
Mais Donà ça l'fait bien, ouais, ouais. Une langue d'en bas du royaume hein ? C'est ça ? J'reconnais. J'vous aime bien vous.


Toute contente de la réponse obtenue, la rousse paysanne s'en retourna d'où elle venait : L'anonymat d'une simple paysanne.
Maodun
Dundun se grattait le menton en regardant la chouette : elle ne manquait pas de charme ... Avec ses jolies ailes, son regard euh ... vif ! Et tellement ... d'assurance dans le vol !

'fin bon, v'là-t'y pas que maintenant qu'une chouette était passé, ça criait de partout ! Machin voulait parler à Justice, Bidule voulait manger du saucisson ...


Du calme, du calme !
Justice a dit que chacun ici serait entendu, alors cela sera fait, soyez-en sûr !


Une paysanne avait accosté Strongi, une de moins à s'occuper. Les laissant mener à bien leur petite discussion dans leur coin, Maodun se saisit de sa rame : la chouette ! Encore elle ? Il semblait pourtant au défenseur des champignons qu'elle s'était enfuie ...

La rame levée, Maodun s'approcha de Strongi et l’abattit violemment :


Ahah ! Une bonne chose de faite !!

Sentant déjà les 100 écus dans ses mains, Maodun releva sa rame : zut ! Un pigeon ! Et avec un mot qui plus est ...
P'tits coups d'oeil : tout le monde l'avait vu ... Zut de zut !

Maodun tourna le dos aux personnes qui faisait la queue et lut le message : une dénonciation !


Hey Chef ! Une dénonciation pour dénonciater un type sur un bateau ... Il faut le brûler vif à c'qu'y parait, mais son bateau va brûler avec lui ! Arrêtons-le d'abord, on le brûlera quand il sera plus sur son bateau, non ?

Mais au fait ... Un bateau, c'est en bois, non ? Donc ce type a indirectement, voire directement, participé à l'abattage d'arbres ?
AU BÛCHER !!


Maodun, bien loin de penser qu'un bûcher condamnerait un arbre de plus, n'eut pas le temps de dire au suivant d'avancer qu'un gus entrait, l'arme à la main :

Toi si tu bouges, je te fends en deux ! Va me chercher le guignol qui commande ici.

Qui ça ? Moi ? Quelle drôle d'idée ! Pourquoi je bougerais ?
Et puis j'ai beau me prononcer en faveur des arbres, je n'en suis pas un, donc me fendre me parait assez improbable, s'tu vois c'que j'veux dire ...

Allons, allons, asseyez-vous et respirez un bon coup ! Qui voulez-vous dénoncer ?
Votre voisin vous réveille en rentrant de taverne le soir ? Il fait sortir sa chèvre une fois le soleil couché pour entretenir le gazon ?

Ou pire, il vous interdit de laisser votre charrette devant sa porte ?
Allez quoi, dîtes un truc, j'peux pas d'viner non plus !
Princepatrick


--Maodun a écrit:
Toi si tu bouges, je te fends en deux ! Va me chercher le guignol qui commande ici.

Qui ça ? Moi ? Quelle drôle d'idée ! Pourquoi je bougerais ?
Et puis j'ai beau me prononcer en faveur des arbres, je n'en suis pas un, donc me fendre me parait assez improbable, s'tu vois c'que j'veux dire ...


Ce n’est pas à toi que je parle bougre d’idiot, mais à celui qui est parti en courant chercher son patron.

Tarde à revenir d’ailleurs le redresseur de tort !

En attendant espèce de niais, tu vas le cuire comment ton pain et ta viande ? Tu vois je ne te parle pas de légume ! Tu n’as pas l’impression que ton père t’a fini à l’urine ?

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Maodun
Princepatrick a écrit:
Ce n’est pas à toi que je parle bougre d’idiot, mais à celui qui est parti en courant chercher son patron.

Tarde à revenir d’ailleurs le redresseur de tort !

En attendant espèce de niais, tu vas le cuire comment ton pain et ta viande ? Tu vois je ne te parle pas de légume ! Tu n’as pas l’impression que ton père t’a fini à l’urine ?


Maodun fronça les sourcils : c'était un local ! Un normand ! Voilà pourquoi il comprenait rien, entre l'accent, l'odeur qui nuisait à la concentration et les mots inventés que seuls d'autres normands pouvaient comprendre ... Voilà qui ne facilitait pas le langage !

Bon, essayons autre chose !

Dundun commença à agiter les bras : les frontières n'agissaient pas sur le langage corporel, ainsi, peut-être pourrait-il se faire comprendre ! Il essaya ensuite d'employer des mots simples et concis :

Moi, Maodun ! Toi ?

Dundun se montra, désigna ensuite son interlocuteur en hochant la tête pour l'encourager à entamer le dialogue:

Courage petit ! Moi et Justice, on va punir les méchants ! Dis nous qui sont les méchants !

Maodun sourit alors pour l'encourager à dénoncer : ben oui, qu'est-ce-qu'on peut faire d'autre dans un bureau de dénonciation ? Ou alors il savait pas lire, et avait fait la queue pour faire comme tout le monde ... Ciel, un ignorant ! Et aveugle qui plus est ?

Euh ... Par contre je suis pas médecin hein, si tu vois des miches de pain flotter autour de ma tête, une côte de porc sur mon front et un fromage à la place de mon nez, j'peux pas t'aider l'ami ...

Quant à mon père, je sais pas, il faut avouer que nos sujets de discussions ne se sont jamais portés sur l'utilité qu'il faisait de son urine ...
Mabelle
Elle avait envisagé une suite prometteuse, mais elle n'avait imaginé qu'en plus, cette dernière aurait tant de panache !

Toutefois elle se frottait la tempe en plissant les yeux, ne comprenant pas tout de la dernière requête. A moins d'avoir manqué une charrette et qu'une troisième personne tenait ce bureau, qui était parti en courant chercher un autre ?
La dieppoise pensa alors qu'elle vieillissait et que ses qualités de raisonnement n'étaient plus très vaillantes ! Elle se retenait de rire devant les scènes vaudevillesques qui s'offraient à elle, vraiment elle ne regrettait pas d'avoir mis son nez, "fort joli d'ailleurs", dehors.
Ele se rapprocha légèrement, peut être pourrait elle intervenir au sein de cette scène qui ne manquait pas de rebondissements détonnants...

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Vidara
Vidara regarde le bureau des dénonciations et voit Dagoon se plaindre

Hein quoi quoi !!! Quelqu'un qui t'attaquait avec une pelle ?? Fais attention les pelles parfois coupent les têtes c'est coupant ce truc là ^^ Normal sans épées il n'ont plus que les pelles et pioches !

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Stronghold
Stronghold avait toujours eu un terrible instinct de survie aussi lorsqu'il vit la chouette foncer vers lui, sa réaction fut rapide! Il chopa un péquenot de normand qui passait à côté de lui et lui passa son marteau , son arbalète et lui enfila la perruque filocheuse de juge qu'on lui avait prêté. Ensuite il se jeta à terre et attendit que la chouette ivre se trompe de cible.

Il se releva ensuite , époussetant son manteau plein de poussière et regarda l'innocent normand qui avait été victime de la chouette. Il lui adressa un regard mi narquois mi conciliant et finit sa conversation avec la paysanne.Il lui adressa un sourire chaleureux avant de s’intéresser aux autres dénonciations. Il reconnut dans les gens présents plusieurs âmes connues de sa péripétie à travers la Normandie. Caliane de Fécamp , Mabelle de Rouen.. Il leur adressa un petit salut avant de se remettre dans ses affaires! Il placarda alors une affiche


Citation:
Le dénommé Maître_Aupyl est déclaré Vilain Chenapan de Normandie! Il peut desormais être insulté , culbuté , frappé , caillassé , excrementé par tout citoyen de Normandie qui désirera le gratifier d'un de ces gestes!

Vive La Normandie Independante!


Alors que Stronghold rigolait en entendant Maodun partir dans ses délires arbrophiles , Stronghold vit un homme s'approcher , arme à la main.. Cet homme était il suicidaire? Se rendre dans le bureau de dénonciation , l'endroit le plus engagé pour la protection du Nouveau Regime Normand? Outre les gardes , les dénonciateurs et partisans du Nouvel Ordre étaient nombreux au sein de la salle.. Si l'homme pensait pouvoir charcuter ne serait ce qu'une personne et s'en sortir c'était peine perdue.. Un véritable sacrifice, héroique mais stupide.. Comme la plupart des sacrifices d'ailleurs! Stronghold s'adressa alors à la foule se levant de sa chaise!

Normands , Normandes! Un homme vient de pénétrer ici l'arme à la main! Un foutu noble sans doute! Celui-ci une fois de plus tente de passer avant vous, surement pour dénoncer son incontinente ou pour se plaindre du fait qu'il ne peut plus entretenir des relations suspectes avec des enfants! Car tous les nobles en entretiennent , sachez le et faites gaffe! Bref donc cette crapule , cet homme qui aujourd'hui fait le fier avec son arme alors qu'il a été incapable de défendre son gouvernement corrompu face aux hordes de libération! Cet homme , donc se dresse devant Nous , Justice aujourd'hui! Il pense sans doute pouvoir faire fléchir notre voix! Foutaise! Nous Sommes Justice et Nous répandons celle-ci avec votre aide , fidèles normands! La haine de votre ancien gouvernement est effrayante! Elle pousse cet homme a rentrer dans un bureau où se tiennent plus de 5 gardes dans une ville ou le dernier étendard normand sert désormais à torcher le cul de nos bons conseillers!
Mais soit qu'il parle , ce fier faquin , Nous Justice sommes prêt à lui accorder l'une de nos magnifiques oreilles pour entendre ses misérables suppliques!


Jetant un regard amusé à l'homme alors que plusieurs compagnons se plaçaient derrière lui, Stronghold lui fit un petit signe de la main tout en conservant son arbalète chargée en main en direction du jeune inconscient .Dehors attiré par la harangue de Justice, de nombreux Fatum s'approchaient..

Monsieur, que nous vaut le plaisir de votre visite? Est ce un suicide ? Voulez-vous vous rendre aux mains de la justice ? Dans tous les cas rangez donc votre joujou là car nous savons tous les deux pertinemment que si votre armée n'a pas réussi à nous arrêter, vous n'arriverez pas non plus à vous débarrasser d'une dizaine de Fatum; sans y laisser l'entièreté de vos entrailles.


Lâchant son habituel rire méprisant, Justice attendit la réponse de l'homme tout en sachant pertinemment qu'à chaque instant qui passait, de nouveaux guerriers du Régime s'approchaient de la bâtisse.
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Durandal
Après avoir dénoncé le duc déchu et humilié, le jeune brun est resté dans le bureau des dénonciations.

Arène comique, où vont et viennent frères et sœurs Fatum. Le verbe dénonciateur et l'air provocateur.

Se mêlent à la fête quelques imbéciles normands.

Ya d'ailleurs un drôle, avec une arme de facture orientale. Le sérieux de son courroux contraste avec la légèreté et le naturel dont son traitées les affaires courantes. Il vénère l'ordre, et vient se foutre en plein chaos.

Soit l'est courageux. Soit l'est con.

Soudain, il s'excite, l'arme à main. Menaçant. Au milieu d'un symbole du pouvoir de l'Alliance.


Pas très malin, l'pendard. Tout ce qu'il va trouver comme ça, c'est la corde et la honte, à mi voix.

Ce qui doit arriver, arrive, et Justice prend la parole. Excite la foule.

Durandal, comme d'autres fidèles, se rapproche. Il vient se positionner derrière Justice, et pose nonchalamment la main à la garde.

Un sourire de biais au visage. L'œil moqueur braqué sur la brêle.

S'adressant à Maodun, non loin, il lui glisse :


Ya plus qu'à espérer qu'il fasse le con, et ça va être un massacre.
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